Retrouvez "Champions !" du sport au business avec Frédéric Brindelle et Thomas Binet, tous les samedis à 20h sur Sud Radio.
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NewsTranscription
00:00Sud Radio, le magazine des champions, Frédéric Brindel, Thomas Binet.
00:07Le rendez-vous des sportifs entrepreneurs, c'est chaque samedi en début de soirée sur Sud Radio.
00:12Bonsoir à tous, voici votre émission champion du sport au business.
00:16Ce soir, un des joueurs membres de la fabuleuse génération des experts du handball français,
00:21désormais chef de plusieurs entreprises, Adrien Dipanda.
00:25Remarquable, Adrien Dipanda, dans un grand jour.
00:29Je suis resté, et pourquoi je suis resté ? Pour une seule raison, c'est parce que ma femme et moi, on était heureux ici.
00:38Heureux, heureux.
00:38Adrien Dipanda est tout à fait capable d'occuper ce poste-là.
00:42Pour le voir, on a mis Dipanda à la place de Fabregas, parce que Fabregas en défense n'est pas forcément très juste aujourd'hui.
00:47Donc il y a Ilyed Dinar, Guillaume Gilles, Tantoption, Dipanda, Ousseca Centrale avec K.A.R. Batuch.
00:52Tu avais tout juste 24 ans.
00:55Durant ces 12 années passées au club, nous t'avons vu grandir.
00:59Mûrir, être respecté sur le terrain comme un vestiaire, t'épanouir en équipe de France,
01:05où tu deviendras tour à tour champion du monde et vice-champion olympique en 2016.
01:10Deux, un, c'est terminé !
01:13L'équipe de France accroche une sixième étoile sur le maillot !
01:20Les experts sont champions du monde !
01:22Eh ouais, que des souvenirs avec un petit clin d'œil à ses confrères qui ont repris le flambeau du commentaire.
01:28Mais moi, j'ai commenté les débuts d'Adrien Dipanda.
01:31Bonsoir, Adrien !
01:32Bonsoir !
01:33Champion du monde en 2017 à Bercy, vice-champion olympique à Rio avec Carabaticio Meyer à Ballot.
01:40Depuis votre récente retraite, vous collectionnez les entreprises.
01:45Vous devez du coup entrer dans la zone des 6 mètres de notre expert entrepreneurial qui vous y attend.
01:51Bonsoir Thomas Binet.
01:52Bonsoir Frédéric, bonsoir Adrien et bonsoir à toutes et à tous.
01:54Attention, Adrien est à 5 réclions.
01:56Il va falloir aller au contact pour votre challenge.
01:582 mètres 0,2, c'est ça ?
02:00C'est ça, c'est ça.
02:01Adrien Dipanda, champion du monde et médaille olympique de handball, capitaine emblématique du club de Saint-Raphaël.
02:07On y faisait un petit clin d'œil dans ce petit replay proposé par notre réalisateur Anthony Hurvois.
02:14Vous lancez donc une nouvelle entreprise consacrée au béton ciré.
02:18Vous êtes ce soir Adrien Dipanda, notre champion du sport au business.
02:23C'est le relais Adrien et c'est le premier rendez-vous de l'émission.
02:27Le relais, donc une série de questions sur le chemin qui vous a conduit du sport jusqu'à votre activité professionnelle.
02:32Adrien Dipanda, en début de carrière, vous marquiez beaucoup de buts, puis vous êtes devenu un défenseur intraitable.
02:39Qu'est-ce qui est le plus excitant ?
02:41Attaquer ou défendre ?
02:43Je préfère défendre, je préfère défendre.
02:46Ça se ressent dans votre manière d'être chef d'entreprise ou pas ?
02:50Peut-être parce que j'analyse beaucoup la concurrence sans être...
02:56Mais je ne sais pas, je n'ai pas l'impression que je sois le même sur le terrain que ce que je suis en dehors du terrain.
03:01J'ai découvert justement, on en parlait, mais j'ai découvert justement qu'il y avait plein de moi.
03:09Il y avait moi à la chef d'entreprise, moi en dehors avec la famille et moi sur le terrain.
03:13Bon, je vous confirme, pour vous avoir côtoyé quelques années, Adrien, vous êtes un garçon d'une rare bienveillance dans la vie
03:20et vous étiez un joueur d'une rare dureté sur le terrain.
03:23Donc c'est pareil dans votre vie d'entrepreneur ou pas ?
03:26C'est vrai que je peux être très doux avec mes collaborateurs, mais très très exigeant aussi.
03:36Donc il y a un mix de tendresse, d'accompagnement, mais d'exigence que j'aime aussi.
03:43Ça promet, ça promet.
03:46Bon, vous savez que Thomas, vous êtes au courant, évidemment, en handball, il y a les deux minutes.
03:50Et puis quand vous avez trois fois deux minutes, vous avez carton rouge, vous ne revenez plus.
03:54Bon, il lui est arrivé de collectionner les deux minutes, Adrien.
03:57Bon, Adrien, vous installez votre nouvelle entreprise, donc, et vous, vous vous installez en Espagne.
04:04Dans ce pays, vous avez joué au plus haut niveau.
04:06Alors, Espagne, France, en tout état de cause, votre parcours de champion vous aide à avoir un carnet d'adresses beaucoup plus large ou pas ?
04:17Pas plus que ça, parce qu'il n'y a pas vraiment de lien entre...
04:21J'ai volontairement, dès le début, un peu coupé le lien entre ma partie professionnelle de handball et ma partie professionnelle d'entrepreneur.
04:30Du coup, aujourd'hui, il n'y a pas beaucoup de lien entre les deux activités.
04:35Et ça me convient comme ça, parce qu'au moins, je sais que les clients qui viennent pour moi,
04:40ils viennent pour ce que je suis capable de faire en dehors du terrain et pas à ce que j'étais avant.
04:44Et oui, ça marche aussi.
04:45Bon, Adrien Dipanda, place à votre parcours entrepreneurial, notre expert des roucoulettes budgétaires et des chabalas bénéficiaires.
04:53Allons-y.
04:54Oui, roucoulettes et chabalas, c'est la base au handball.
04:56Bien sûr.
04:57Donc, il vous attend, Thomas Bin.
05:00Sud Radio, le magazine des champions.
05:04Adrien Dipanda, vous allez disposer d'une minute pour nous présenter votre projet, justement, dont a commencé à parler Frédéric.
05:10Et au bout d'une minute, il y aura un gong, vous verrez, qui vous dira si vous êtes dans le chrono ou pas.
05:16Notre réalisateur va vous envoyer un son.
05:18Et dès que vous êtes prêts, vous nous le dites et on vous l'envoie.
05:21Vous êtes prêts, Adrien ?
05:22C'est parti.
05:24On y va.
05:27Allez-y.
05:28Alors, Adrien Dipanda, l'entreprise s'appelle Nous Bétons du Sud, spécialisée dans l'application de béton ciré, que ce soit en intérieur ou en extérieur.
05:37On fait aussi bien des sols, que des murs, que des salles de bain, que des piscines.
05:41Et l'entreprise a maintenant trois ans.
05:44On est développé sur le Var et les Alpes-Maritimes.
05:47Et le projet aujourd'hui, c'est de partir s'expatrier en Espagne, dans la belle ville de Palma de Mallorque.
05:53Et de voir comment on peut réussir à garder une activité, même si elle sera raventie, de béton ciré, tout en étant expatrié.
06:06Sachant que j'ai mon associé collaborateur qui sera toujours normalement en partie sur place sur la région de Saint-Raphaël-Fréjus.
06:14Mais voilà aujourd'hui ce qu'est l'entreprise Nous Bétons du Sud sur la côte d'Azur.
06:20Il est fort, mais ça a toujours été ça dans sa carrière, lui.
06:27Il est toujours précis.
06:28Il a fait combien de temps ?
06:29Ah bah une minute pile.
06:31Voilà, vous aviez un objectif et vous l'atteignez en général, Adrien Dipanda.
06:37Bon, eh bien c'est parti, ouvre la feuille de match.
06:40Donc cette feuille de match avec Thomas Binet, Adrien Dipanda part en Espagne installer son entreprise.
06:45Enfin, on va dire prolonger l'activité de son entreprise Nous Bétons du Sud,
06:49qui a agi en sud de la France.
06:52Il s'agit de béton ciré, après avoir mis à mal les meilleurs joueurs du monde de handball
06:57et être venu à bout des moustiques dans sa précédente entreprise,
07:00parce qu'il a aussi fait ça.
07:02Eh bien c'est ce qu'on appelle, raser tout sur son passage, une valeur sûre,
07:05ce béton ciré, Thomas Binet ou pas ?
07:08Oui, alors le béton ciré, oui c'est une valeur sûre.
07:10Moi je ne connaissais pas.
07:11Vous ne connaissiez pas, Fadaric ?
07:12Béton oui, ciré oui, mais béton ciré non.
07:14Alors franchement, Fadaric, il faut sortir, mon ami.
07:17Oui, oui, c'est mon problème.
07:19Écoutez, on va voir avec Adrien, parce que c'est très tendance.
07:21Le problème de la mode, on le dit souvent, c'est que la mode ça se démode.
07:25Alors il faut réussir à passer le cap de la mode,
07:27et que ça devienne un fondamental dans la décoration, dans le design.
07:31Alors maintenant ça dure depuis quand même quelques années,
07:33même si vous ne connaissez pas, Frédéric.
07:35C'est comme le rap, au début c'était une mode,
07:37et puis je me suis aperçu 30 ans après que ça marchait le rap.
07:39Il vous a fallu 30 ans, je l'entends bien.
07:42Bon, donc ça peut dépasser le stade de la mode et devenir un classique,
07:45et c'est le cas, c'est devenu un classique maintenant chez beaucoup de personnes.
07:48Même si on peut le dire aussi, Adrien nous le confirmera,
07:50ça a un certain coût.
07:51Enfin, ce n'est pas donné comme type de procédé.
07:54Adrien, vous l'avez découvert comment ce béton ciré ?
07:57Parce qu'il y a un effet de mode, donc c'est le chef d'entreprise,
07:59là qu'a senti le coup ?
08:00Oui, exactement.
08:01En fait, je l'ai découvert,
08:03c'est toujours en lien avec l'Espagne et les Baleares en l'occurrence.
08:06En partant en vacances, plusieurs années d'affilée dans les Baleares avec ma femme,
08:12j'ai découvert ce matériau-là,
08:14et je me suis dit, mais ce n'est pas possible, c'est extraordinaire,
08:16c'est beau, c'est doux, c'est agréable de toucher.
08:18Je ne connais pas,
08:19j'ai essayé quand je suis rentré à Saint-Raphaël
08:23de trouver des gens qui étaient capables de le faire, pas facile,
08:27et c'est parti de là, quoi.
08:29On a acheté une maison qu'on a entièrement rénovée,
08:31et je me suis dit, bon, ce qu'on va faire, c'est que je vais essayer,
08:34je vais essayer chez moi, je vais essayer de trouver des pros qui sont capables de le faire,
08:38et on va voir si c'est dur à faire,
08:40on va voir combien de temps il faut pour le faire,
08:42et les problèmes techniques,
08:44et est-ce que ça dure dans le temps, est-ce que c'est beau,
08:45et c'est comme ça que c'est parti.
08:47Thomas Binet, j'espère qu'il vous fait plaisir,
08:50mon handballeur adoré, Adrien Dipenda,
08:53c'est ce qu'on appelle sentir le coup,
08:54c'est typiquement la démarche d'un chef d'entreprise.
08:56Oui, il a aspiré l'air du temps,
08:58il a regardé, il l'a dit tout à l'heure,
09:00il aime bien regarder la concurrence,
09:02donc il a regardé ses marchés,
09:03ça c'est intéressant,
09:03parce que c'est la démarche initiale de tout chef d'entreprise,
09:06on ne part pas non plus bille en tête sur n'importe quel sujet,
09:10sans s'assurer qu'il y a un potentiel derrière.
09:12Alors c'est vrai qu'il y a un potentiel sur son marché,
09:13on ne va pas le dire, évidemment.
09:15Vous avez fait des petites études, là ?
09:17Oui, j'ai regardé, mais il a dit lui-même,
09:19en revanche, c'est une certaine technicité,
09:21donc n'importe qui ne peut pas s'improviser.
09:23Ça, ça tombe bien, c'est-à-dire que comme lui,
09:25il commence à maîtriser au moins...
09:26Oui, et puis après, il faut les ouvriers
09:28qui soient capables de prolonger ça,
09:30donc ça demande une technicité,
09:32donc une formation aussi,
09:33pour l'avoir en tête.
09:34Adrien, vous travaillez déjà avec beaucoup de personnes
09:37qui mettent en place vos produits ou pas ?
09:41Alors, on a fait le choix justement,
09:43on parlait de technicité tout à l'heure,
09:45de trouver un fournisseur toujours espagnol.
09:48Pourquoi ?
09:49Parce que quand nous, c'est un peu nouveau chez nous,
09:51eux, là-bas, ça fait déjà 10-15 ans
09:53qu'ils ont déjà essuyé un peu les...
09:56Les plâtres.
09:58Voilà, les plâtres, voilà,
09:59ou le béton, quoi, je ne sais pas,
10:01mais...
10:01Et donc, on est parti là-bas,
10:03en tout cas, mon associé,
10:04dans un premier temps,
10:05parce que moi, j'étais encore en activité,
10:06je n'avais pas le temps,
10:07donc il est parti là-bas se former,
10:09avec d'abord une première équipe
10:11de deux applicateurs,
10:12donc des indépendants,
10:14qui étaient plus dans le domaine
10:15de la peinture, du plâtre, voilà,
10:17mais qui savaient tenir les taloches,
10:19donc on les a formés là-bas.
10:20Et après, petit à petit,
10:21on a commencé à former
10:22deux, trois équipes ici,
10:24donc aujourd'hui,
10:24on a deux, trois équipes,
10:26en gros, deux à chaque fois,
10:28qui sont opérationnelles
10:29pour pouvoir,
10:30selon la taille des chantiers,
10:32parce que parfois,
10:33il faut être deux,
10:34parfois, il faut être six,
10:35et en fait,
10:36selon la technicité,
10:37la taille et la superficie
10:38du chantier,
10:39il faut qu'on soit plus ou moins nombreux
10:41sur place au même moment.
10:42Bon, Thomas Binet,
10:44faites-nous rêver,
10:45parce qu'on le rappelle,
10:47Adrien Dipanda,
10:48notre expert Thomas Binet
10:49est très terre-à-terre.
10:51On ne le fait pas rêver comme chat.
10:52Pourtant, je lui chante
10:53plein de chansons tous les jours.
10:55Mais là, quand même,
10:55il y a de quoi faire.
10:58Parce que ça peut prendre,
11:00non seulement en France,
11:01mais dans toute l'Europe,
11:02cette affaire,
11:02qui arrive d'Espagne.
11:04Oui, alors,
11:04on va tempérer.
11:06Je savais que vous répondriez comme ça.
11:08Allez-y.
11:08Parce que, d'abord,
11:10il n'est pas tout seul.
11:11Oui.
11:12Bon, il y a d'autres acteurs.
11:14C'est des marchés très atomisés.
11:16Il faut l'avoir en tête.
11:17Le marché de l'artisanat
11:18est très atomisé.
11:20C'est d'abord aussi
11:21un marché de relations humaines.
11:23Vous travaillez avec des gens
11:24parce que vous travaillez avec eux
11:25depuis des années,
11:27où on vous les a préconisés.
11:28Donc, le bouche-à-oreille,
11:29tout ça fait partie
11:30des critères de choix.
11:31Bien.
11:31On ne choisit pas comme ça
11:33un artisan.
11:33Ou alors,
11:34c'est parce qu'on ne connaît
11:34absolument personne
11:35et on n'a pas de gens
11:36autour de nous
11:37qui puissent nous préconiser quelqu'un.
11:39Mais sinon,
11:39c'est quand même
11:39la démarche initiale.
11:42Ah, voilà le son du buzzer.
11:44Donc, celui qui annonce
11:45la mi-temps de champion
11:46du sport au business
11:47dans un instant.
11:48Thomas Binet conseillera
11:49avec sa froideur légendaire
11:52notre invité Adrien Dipanda.
11:54Où quand un des meilleurs
11:55défenseurs du monde
11:56de handball
11:57devient l'un des plus visionnaires
11:59jeunes entrepreneurs du moment,
12:01nous l'accompagnons
12:02dans son projet
12:03entrepreneurial sur Sud Radio.
12:05A tout de suite.
12:07Sud Radio,
12:08le magazine des champions.
12:10Frédéric Brindel,
12:11Thomas Binet.
12:13C'est champion du sport au business
12:15chaque samedi sur Sud Radio.
12:17Notre invité,
12:18Adrien Dipanda,
12:19champion du monde
12:20et vice-champion olympique
12:21de handball
12:22qui débarque en Espagne
12:24pour prolonger le parcours
12:26de sa nouvelle entreprise,
12:28spécialiste du béton ciré.
12:30Un projet accompagné
12:32d'un changement de vie
12:33dont Thomas Binet
12:33nous rappelle les contours.
12:37Oui,
12:38Adrien Dipanda,
12:39vous l'avez dit,
12:39Frédéric veut partir
12:40donc vivre en Espagne.
12:41Alors,
12:41comment peut-il exporter
12:43justement son activité
12:44de béton ciré dans ce pays ?
12:46L'objectif,
12:46c'est quand même
12:47de lancer,
12:47faire connaître sa marque
12:48de béton ciré à Palma
12:50avec un budget limité
12:51parce que par définition,
12:52il faut quand même
12:53rester raisonnable.
12:54Alors,
12:55il est évident
12:55qu'il ne va pas transporter
12:56toute son activité
12:57puisqu'il faut travailler
12:58des artisans locaux.
12:59Donc justement,
13:00on va voir comment faire
13:00monter une mayonnaise
13:01autour de cette stratégie.
13:03D'abord,
13:03c'est Adrien Dipanda
13:04qui part en Espagne.
13:06Comment doit-il vivre
13:07son implantation ?
13:08Sa Palma de Maillor ?
13:09Est-ce que le bassin
13:10peut l'attendre ?
13:11Est-ce qu'il y a des choses
13:11à faire là-bas ?
13:12On va y répondre dans un instant.
13:13Ça me rappelle
13:13le début de sa carrière.
13:14Il était à Montpellier
13:15et j'annonçais,
13:16eh bien,
13:16il part à Léon
13:17qui est un grand club
13:18de handball.
13:19Bon,
13:19Adrien Dipanda,
13:20vous êtes un jeune retraité
13:21du handball
13:22et ça fait un an finalement
13:25mais vous avez déjà
13:26une solide expérience
13:27entrepreneuriale.
13:29J'ai parlé
13:30de cette entreprise
13:31précédente
13:32où vous tuiez
13:33des moustiques
13:33un peu comme
13:34vous tuiez
13:34des attaquants adverses
13:37du Danemark
13:38ou de Norvège.
13:40Exactement.
13:41J'ai commencé
13:41mon aventure
13:43entrepreneuriale
13:44en allant
13:45éliminer,
13:47exterminer
13:47les moustiques
13:48de la Côte d'Azion.
13:49J'aurais pas aimé
13:52être à leur place.
13:53Et ça,
13:53ça fait combien de temps ?
13:54Depuis 10 ans,
13:55c'est ça ?
13:56Le tout début
13:58de l'aventure,
13:59c'était il y a 10 ans.
14:00Et on rappelle
14:01que vous avez fait
14:01une grande partie
14:02de votre carrière
14:02au club de Saint-Raphaël
14:03ce qui fait que vous aviez
14:04à la fois votre carrière
14:06de handballeur
14:06et donc cette carrière
14:08de chef d'entreprise,
14:09nous donnons
14:11la parole au coach.
14:15Alors Thomas Binet,
14:16donc Adrien Dipanda
14:17va devoir s'adapter
14:18au rythme espagnol
14:20qui n'est pas le même
14:21que le français.
14:22Oh, c'est facile ça.
14:23Ben oui,
14:24chacun son rythme.
14:25Ben va falloir
14:25s'y mettre au rythme.
14:27Bon.
14:27Bon, parce qu'il a une clientèle
14:29qui l'attend à Palma de Mallorca.
14:30J'ai commencé à le dire
14:31sans le dire,
14:32mais maintenant je peux vous le dire,
14:33il tient un levier différenciateur
14:34là-bas.
14:35D'abord parce que
14:36quand vous êtes français,
14:37vous êtes handballeur pro connu
14:39et que vous vous installez
14:40dans une des zones
14:40les plus fréquentées
14:41par les français,
14:43bien en l'étranger
14:43ou en résidence secondaire,
14:45c'est une niche
14:46très qualifiée
14:46avec un bon pouvoir d'achat
14:47et une vraie appétence
14:48pour tout ce qui est
14:49design d'inspiration méditerranéenne,
14:51sobre et moderne,
14:52la qualité artisanale française
14:54et puis des pros
14:54qui vont parler leur langue aussi.
14:56L'air de rien.
14:57Eh oui, ça c'est bien vu.
14:58Mais ils sentent toujours
14:59les coups Adrien Dippen.
15:00Eh bien écoutez,
15:01on va parler de la clientèle.
15:02Donc il faut viser
15:03une clientèle francophone
15:04premium ou semi-résidente.
15:06Bon, alors ce qu'il faut comprendre
15:07dans le modèle économique
15:09d'Adrien,
15:11c'est qu'il ne transporte pas
15:12son entreprise
15:13avec ses collaborateurs,
15:14les ouvriers français,
15:15les artisans français.
15:16Donc ça peut dire
15:17qu'il doit recréer
15:18là-bas tout un écosystème.
15:19Alors, en quelques mots,
15:20concrètement,
15:21comment on doit s'y prendre ?
15:22Parce que c'est ça
15:23qui va faire son modèle.
15:24Il a quelques mois
15:25pour réussir son implantation
15:27parce qu'après,
15:27c'est toujours un peu plus long.
15:28Il faut bénéficier
15:29du côté novateur.
15:30J'arrive, je m'implante.
15:31Bon, donc il faut qu'il trouve
15:33d'abord tout l'écosystème
15:33de fabrication sur place.
15:35D'accord, les artisans.
15:36Donc il va falloir arriver,
15:38les lister,
15:39vérifier,
15:39s'assurer qu'ils soient
15:40de bonne qualité
15:41parce que c'est toujours
15:42la même chose.
15:43Et puis,
15:44faire un truc
15:44qu'on connaît dans le textile.
15:45Je vais vous donner
15:46un exemple très concret.
15:47C'est ce qu'on appelle
15:47les agents d'usines,
15:48mon cher Frédéric.
15:49Je ne sais pas
15:49si vous connaissez ça
15:50et si Adrien connaît ça.
15:52Vous savez,
15:52il y a plein de marques
15:52de textiles.
15:53Elles ne fabriquent pas
15:54elles-mêmes en définitive.
15:56Ce qu'elles font,
15:57c'est qu'elles ont recours
15:57à des agents d'usines,
15:58c'est-à-dire des gens
15:59qui sont en France,
16:00qui représentent des usines
16:01qui sont à l'étranger
16:02et qui prennent des commandes
16:04et qui assurent le go-between.
16:05Donc c'est-à-dire
16:06ce lien entre l'agent,
16:08entre l'usine et la marque.
16:10Et vous portez peut-être
16:11tous des pulls
16:12qui viennent de ces usines
16:14et qui sont représentés
16:15par des gens.
16:16Concrètement,
16:16on peut appliquer
16:17le même modèle pour Adrien
16:18pour lui éviter
16:19une implantation lourde.
16:20C'est-à-dire qu'Adrien
16:22est en Espagne
16:23mais sa structure
16:24qu'il a en France...
16:25Elle est en France
16:26mais surtout,
16:27c'est qu'il va trouver
16:27les écosystèmes
16:29de fabrication en Espagne.
16:31Il va les représenter
16:32quelque part.
16:33Il pourra facturer
16:33à travers sa société
16:34s'il le souhaite
16:35mais il n'est pas obligé
16:36d'embaucher.
16:37Il n'est pas obligé
16:38de créer une structure spécifique.
16:40Ce qui veut dire
16:41que ça lui laisse le temps
16:41de vérifier
16:42si son implantation
16:43est bonne
16:43parce que c'est son souci
16:44aussi du moment.
16:45Est-ce que mon implantation
16:46en Espagne va marcher ?
16:47C'est comme se lancer
16:48sur un nouveau marché.
16:49Il faut s'assurer
16:49que c'est viable.
16:50Bon, alors là,
16:51il y a plein de questions
16:52à poser à Adrien Dipanda.
16:53Ça vous parle déjà
16:54ce système-là, Adrien ?
16:57Alors, je ne connaissais pas
16:58exactement ce système-là.
17:00Je connaissais un peu,
17:02on va dire,
17:02dans le pharmaceutique,
17:03ce qu'on appelle
17:03les agents de multicartes.
17:05Est-ce que ça se rapproche
17:06de ça ?
17:07Alors, pas forcément, Adrien,
17:08parce que, pardon,
17:09les agents de multicartes
17:10ne sont pas toujours
17:12totalement indépendants.
17:13Voilà.
17:15OK.
17:15Donc là, l'idée,
17:16c'est de rester indépendant ?
17:18Bien sûr.
17:19L'idée, c'est que vous avez
17:19votre structure française,
17:21vous allez recruter
17:22des artisans en Espagne
17:24et vous allez, vous,
17:26leur apporter du business.
17:27En fait, vous allez vous occuper
17:29de la sortie,
17:30c'est-à-dire de trouver
17:31des clients à Palma de Mallorque
17:33puisqu'il y a une clientèle,
17:34on l'a évoqué tout à l'heure,
17:35qui est française,
17:36qui a un certain niveau de vie,
17:37etc.
17:38Vous parlez leur langue,
17:39vous avez votre notoriété,
17:40vous avez votre image,
17:41il faudra jouer d'ailleurs là-dessus,
17:42bien évidemment,
17:43et vous allez ramener
17:44du business à ces entreprises
17:46qui ne l'auraient peut-être
17:46pas eu par eux-mêmes.
17:48Et puis, quelque part,
17:49l'affaire est faite.
17:49Elle n'est pas très différente
17:50de ce que vous faites en France.
17:51La seule différence,
17:52c'est qu'on va l'institutionnaliser.
17:54Parce que votre départ en Espagne,
17:56il est définitif, Adrien ?
17:57Ou vous dites,
17:58parce que souvent,
17:59on part,
17:59on salue Grégory Anquil
18:01qui a été champion du monde,
18:02qui a été mon binôme
18:03au commentaire pendant des années,
18:04lui aussi,
18:05il s'est installé en Espagne,
18:06mais on peut revenir en France aussi.
18:08Vous êtes des voyageurs, vous.
18:11Clairement,
18:11parce que là,
18:12aujourd'hui,
18:12maintenant,
18:13je ne pars pas seul,
18:13je pars avec ma femme
18:15et deux enfants en bas âge.
18:16Donc, l'idée,
18:16c'est vraiment,
18:18dans un premier temps,
18:18de se dire,
18:19on fait une première année scolaire
18:20et à la fin de cette année scolaire-là,
18:23on fait un point
18:24à savoir si on s'y plaît,
18:25si on a envie de rentrer,
18:26si on a envie de rester.
18:27Ah oui.
18:28Et voilà.
18:29Donc, c'est vrai
18:29qu'il faut une structure
18:30qui soit assez légère
18:32et maniable, quoi.
18:34Et pas engager de gros frais
18:35pour être tout de suite rentable.
18:37Donc, ça me parle bien
18:38ce qui...
18:39Oui, c'est en fait
18:39ce que dit Thomas.
18:40Oui, effectivement,
18:42ça a ce sens.
18:43Et ce qui ne vous empêche pas,
18:44d'ailleurs, Adrien,
18:45si éventuellement,
18:46vous revenez en France,
18:47et je pose la question à Thomas,
18:48de continuer son activité
18:49en Espagne, finalement.
18:51Oui, alors,
18:51il faudra quand même
18:52un représentant local,
18:53malgré tout.
18:54Ça, il faut quand même
18:55rester là-dessus.
18:55Eh bien, il embauche
18:56Grégory Antil,
18:57qui est en Espagne.
18:58On les sert à voir ensemble.
18:59On reconstitue
19:00l'équipe de France
19:01devant de balles, oui.
19:02Non, et puis,
19:03vous avez dit un truc important,
19:04il ne faut pas que ça soit
19:05trop coûteux.
19:05Donc, là,
19:06il faut trouver les moyens
19:07de s'approcher
19:08de cette clientèle
19:09parce que ça va être ça aussi
19:10votre sujet.
19:11Ça sera moins difficile
19:12de trouver des artisans
19:12quand vous aurez déjà
19:13du business quasiment
19:14en portefeuille.
19:15Donc, là,
19:15vous savez,
19:16il y a des groupes Facebook
19:17qui existent évidemment
19:18même là-bas
19:19à tout point de vue.
19:20Les Français à Palma de Mayork,
19:22achetés en Espagne,
19:24etc.
19:24Il y a aussi
19:25les femmes d'expatriés
19:26qui ont un peu plus
19:27peut-être une volonté
19:30de design
19:30de leur intérieur
19:31donc qui vont être attentifs
19:32à votre discours.
19:33Bon, voilà,
19:34il faut après développer
19:36la stratégie
19:36que vous avez faite en France
19:37sur le béton ciré,
19:38sur ses valeurs
19:39et sur leur capacité
19:40à être installés chez eux.
19:41Et justement,
19:41Adrien Dipanda,
19:42cette stratégie en France,
19:43vous nous avez dit
19:44sur trois départements,
19:45mais pourquoi pas
19:46plus encore développés
19:47en France ?
19:49Alors,
19:50la difficulté,
19:52c'est d'être réactif
19:54et surtout
19:54le service après-vente.
19:56C'est-à-dire que
19:56si on a un souci
19:58et qu'on a fait le chantier
19:59à Strasbourg
19:59alors que nous,
20:00on est à Nice,
20:02à Saint-Fel,
20:03c'est-à-dire qu'il faut
20:05qu'on déplace
20:05toute l'équipe
20:06pour aller réparer
20:07ou faire
20:08le service après-vente.
20:10Et là,
20:10en termes de coûts,
20:11ça deviendrait
20:11trop important.
20:13l'idée,
20:14c'est de rester
20:14au maximum
20:15à une heure et demie
20:16à peu près
20:16à la ronde
20:17autour de notre base
20:17qui est frais juste.
20:18Alors,
20:19Adrien Dipanda,
20:19je vous pose d'abord
20:20la question
20:21puis après,
20:21j'irai titiller
20:22notre expert
20:23Thomas Binet,
20:24mais quand on commence
20:26un projet comme ça,
20:27vous êtes dans une démarche
20:28artisanale,
20:29on l'a bien compris,
20:30mais vous qui avez
20:31connu la grandeur,
20:33vous envisagez
20:34de développer cette entreprise
20:35et d'en faire
20:36une très grande entreprise
20:37ou pas du tout ?
20:38Non,
20:39l'idée,
20:39ce n'est pas
20:40d'être une multinationale
20:42demain,
20:42l'idée,
20:43c'était d'abord
20:43dans un premier temps
20:44de tester le marché,
20:45comprendre exactement
20:46comment ça fonctionne
20:47et d'être assez léger
20:49exactement en termes
20:50de structure,
20:51de la même manière
20:51dont on parle
20:52pour l'Espagne,
20:53pour ne pas
20:54s'alourdir de charges.
20:56Maintenant,
20:57l'idée
20:58qui va derrière,
21:00c'est qu'on a compris
21:02aussi que ceux
21:02qui gagnent aussi
21:03leur vie,
21:04bien sûr,
21:04c'est ceux qui appliquent,
21:05mais c'est encore
21:06le niveau juste avant,
21:07et c'est ceux
21:07qui vendent les produits.
21:09Donc,
21:09à terme,
21:10peut-être,
21:10une fois qu'on aura
21:11cette technicité-là,
21:12pourquoi pas monter
21:13une marque
21:14de béton ciré
21:16avec toute la formation
21:17qui va derrière
21:17pour former
21:18tous les artisans
21:19et là,
21:20du coup,
21:20là,
21:20on pourrait se développer
21:22sur toute la France,
21:23mais plus en tant
21:24qu'applicateur,
21:25mais plutôt en tant
21:26que formateur
21:27et distributeur.
21:28Voilà,
21:29ce challenging
21:29d'émissions
21:30et d'une fluidité
21:31remarquable,
21:31on y arrive,
21:32Thomas,
21:32qu'en pensez-vous ?
21:34Moi,
21:34je pense que c'est
21:34une bonne idée,
21:35je pense qu'il faut aussi
21:36qu'il ait des relais
21:37et ces relais sur place,
21:38il va les trouver
21:39auprès de cibles indirectes
21:40qui sont,
21:40par exemple,
21:41les architectes d'intérieur,
21:42les décorateurs,
21:44mais aussi
21:45les petits promoteurs,
21:46les rénovateurs,
21:46les agences immobilières
21:47haut de gamme.
21:48Ce ne sont pas forcément
21:49des décideurs
21:51au sens
21:51passer une commande
21:52en directe,
21:52quoique les architectes
21:53pourraient le faire
21:54s'ils représentent
21:55leurs clients,
21:56mais se faire connaître
21:56auprès d'eux
21:57de manière à créer
21:58justement une communauté.
22:00Eh oui,
22:00bien sûr.
22:02Alors,
22:03là,
22:03vous avez les contacts,
22:04Adrien,
22:05enfin bon,
22:05ce sont des pistes,
22:06mais vous les trouvez
22:07les contacts après,
22:07ça,
22:08ce n'est pas un souci.
22:10Actuellement,
22:10je n'ai aucun contact
22:11que sur place,
22:12donc l'idée,
22:13c'est d'arriver
22:13et d'aller toquer
22:16un peu aux portes,
22:16de se présenter.
22:18Thomas a parlé
22:18des architectes
22:19ou des architectes
22:20d'intérieur.
22:20Aujourd'hui,
22:21c'est nos plus gros
22:22clients ou apporteurs
22:24d'affaires
22:24sur la zone
22:25Saint-Raphaël-Fréjus.
22:26Pourquoi ?
22:27Parce que c'est un peu
22:28similaire en termes
22:29de zone,
22:29c'est-à-dire qu'on a
22:30beaucoup de gens
22:30qui sont là
22:31en résidence secondaire
22:32et qui délèguent
22:34toute cette partie
22:34de travaux
22:35à des décideurs,
22:36à des maîtres d'œuvre
22:37et c'est là
22:38où nous,
22:39on intervient,
22:40où ils font
22:41l'intermédiaire.
22:41Donc là-bas,
22:42à mon avis,
22:42ce sera à peu près
22:43la même chose.
22:44Des résidences secondaires
22:45ou des Français
22:45qui veulent rénover
22:46comme il faut
22:47leur maison
22:47et nous,
22:48on travaillera
22:49avec un intermédiaire
22:49qui sera l'architecte.
22:51Ah, voici le décompte.
22:53Adrien Dipanda,
22:54médaillé d'argent olympique,
22:56champion du monde
22:57de handball,
22:58s'apprête à s'implanter
22:59en Espagne
23:01avec son entreprise
23:02de béton ciré
23:03qui cartonne déjà
23:04dans le sud de la France.
23:06Nous suivrons bien sûr
23:07son projet
23:07d'un champion du sport
23:08au business
23:08avec Thomas Binet.
23:10Allez,
23:10qui nous rappelle
23:10en quelques secondes
23:11les grandes préconisations.
23:13La première préconisation,
23:14c'est de trouver
23:15effectivement des artisans
23:16de qualité localement.
23:18Par ailleurs,
23:18de trouver cette clientèle
23:20qui peut effectivement
23:21acheter,
23:22on les a évoquées
23:23et grâce à sa notoriété,
23:25son parcours
23:25effectivement sportif,
23:27etc.
23:27Et le fait
23:28qu'il parle français,
23:29ça joue aussi,
23:29il peut se rapprocher
23:30effectivement
23:31de cette clientèle française
23:32qui vient par là.
23:33Et il parle très bien
23:33espagnol aussi.
23:34Oui,
23:34mais ça va lui permettre
23:35effectivement de faire
23:36ce lien entre les deux
23:37populations dont je parlais.
23:38Et de jouer un peu
23:39sur son image aussi,
23:40de se mettre en...
23:40Oui,
23:41je pense que ça peut jouer
23:42effectivement aussi
23:42auprès de cette clientèle
23:43qui effectivement
23:44se ramènera
23:45sur un territoire français
23:46par l'image.
23:47magnifique.
23:48Thomas Binet,
23:49rendez-vous même heure
23:51la semaine prochaine.
23:52Merci et bravo
23:53cher Adrien Dipanda.
23:54Faites en sorte
23:55que votre arrivée
23:56en Espagne,
23:57ce soit du béton,
23:58tout simplement.
24:00Magnifique,
24:00magnifique transition.
24:01Merci à vous,
24:02en tout cas,
24:02j'étais ravie
24:03qu'on se revoit un peu
24:04même si c'est derrière
24:05l'écran.
24:06Oui,
24:07que de bonheur
24:08partagé ensemble.
24:09Merci Adrien.
24:10Un grand remerciement
24:11à Elvin Defadio,
24:12notre responsable
24:13réseau sociaux.
24:14Merci à notre réalisateur
24:15et handballeur aussi,
24:16Anthony Urvois.
24:18Voilà,
24:18tout de suite,
24:18il faut que ça change
24:19présenté par
24:20Anthony Martin-Smith.
24:21Sous-titrage MFP.