Mercredi 23 avril 2025, retrouvez Sébastien Delattre (Associé, Ambre Patrimoine), Anthony Calci (Fondateur, Calci Patrimoine), Maxime Gohin (Directeur associé, Capital Management France) et Guillaume Martinaud (Président, Orpi) dans SMART PATRIMOINE, une émission présentée par Nicolas Pagniez.
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00:00Bonjour à tous et bienvenue dans Smart Patrimoine, Smart Patrimoine l'émission qui vous accompagne dans la gestion de vos finances personnelles
00:14mais l'émission qui décrypte également avec vous les enjeux et les actualités du secteur de la gestion de patrimoine.
00:20Une émission que vous pouvez retrouver tous les jours sur Bsmart4Change, sur les réseaux sociaux de Bsmart4Change
00:25et bien sûr vous pouvez nous écouter en podcast sur toutes les plateformes de podcast au sommaire de cette édition.
00:31Nous commencerons tout d'abord avec les clés de l'IMO, le rendez-vous dédié à l'investissement immobilier ou à l'acquisition immobilière de Smart Patrimoine
00:37et en l'occurrence nous ferons un point sur les trois premiers mois de l'année en matière de marché immobilier.
00:44Nous nous demanderons de quel ordre se situe la reprise du marché immobilier.
00:49Nous recevrons dans un instant pour en parler Guillaume Martineau, le président d'Orpy.
00:52Nous enchaînerons ensuite avec enjeux patrimoine, un enjeu patrimoine consacré aux produits structurés
00:57qu'elle approche vis-à-vis des produits structurés dans un marché qui retrouve de la volatilité
01:02et qui garde une part d'incertitude vis-à-vis notamment des stratégies américaines en matière de droits de douane.
01:09Nous en parlerons avec Maxime Gohan, directeur associé chez Capital Management France
01:13mais aussi avec Anthony Calci, fondateur de Calci Patrimoine.
01:17Et puis enfin dans la troisième partie de l'émission, dans l'œil de l'expert, nous parlerons fiscalité évidemment
01:22puisque la période de déclaration de revenus est ouverte.
01:26Nous aurons tous les conseils sur le sujet avec Sébastien Delattre, associé chez Ambre Patrimoine.
01:31On se retrouve tout de suite sur le plateau de Smart Patrimoine.
01:38Et nous commençons tout de suite avec les clés de l'IMO, le rendez-vous dédié à l'investissement immobilier
01:42ou à l'acquisition immobilière de Smart Patrimoine.
01:44Nous allons tenter de comprendre quelle est la tendance sur le marché immobilier en ce début d'année 2025, sur les trois premiers mois de l'année.
01:52Pour en parler, nous avons le plaisir de recevoir sur le plateau de Smart Patrimoine, Guillaume Martineau.
01:56Bonjour Guillaume Martineau.
01:57Bonjour.
01:58Vous êtes président d'Orpy.
01:59Alors on va essayer de comprendre un petit peu ce qui s'est passé sur les trois premiers mois de l'année.
02:02Je rappelle l'année 2024.
02:04Tous les experts s'accordent à dire que la première partie de l'année avait été très compliquée.
02:09La deuxième partie de l'année avait amorcé une reprise sur les six derniers mois de l'année 2024.
02:14En 2025, Guillaume Martineau, avez-vous constaté une continuité de cette reprise et un marché immobilier qui allait se resolidifier un petit peu quelque part ?
02:24Alors resolidifier, je ne sais pas, mais tout à fait on constate la reprise.
02:29On craignait en fait en fin d'année que ça soit un feu de paille.
02:31En fait non, ça se consolide.
02:32On a plus 11% de compromis en plus depuis ce début d'année chez Orpy.
02:36D'accord.
02:36Donc c'est quand même un signe encourageant parce qu'on voit quand même qu'on est dans un contexte politique, économique, géopolitique qui est extrêmement lourd.
02:45Bien sûr.
02:45Donc il y a une forme de résilience du marché immobilier et le printemps pour une fois n'a jamais aussi bien porté les valeurs qu'il porte.
02:52C'est-à-dire qu'on sent que ça repart.
02:55Ce n'est pas complètement...
02:56Enfin on n'est sûr de rien en fait.
02:58D'accord, oui.
02:58Mais je crois que personne n'est sûr de quoi que ce soit en ce moment.
03:01Sur quels que soient les sujets d'ailleurs.
03:02Les sujets, mais on s'accroche à ce qu'il y a et la morale est meilleure.
03:06On a plus de compromis.
03:07Nos mandats restent moins longtemps en stock.
03:10On rouvre des agences.
03:12On a ouvert d'autres branches.
03:13Donc non, franchement c'est mieux.
03:15Il faut surtout maintenir les prix.
03:17Éviter qu'il y ait un emballement.
03:18Parce que vous savez que sur le marché immobilier, dès qu'on entend que c'est reparti, tout le monde se met à dire ça y est, c'est fini, il n'y a plus de crise.
03:25Alors on repart.
03:25Et là vous constatez justement au niveau national, au global, que les prix commencent à se tasser par exemple.
03:34On arrive à stabiliser les niveaux de prix.
03:36Oui, alors ce qu'on constate surtout c'est que ça reste très disparate.
03:39Il y a des endroits où les prix, où les compromis sont à la hausse, d'autres à la baisse parce qu'en fait il n'y a pas d'uniformité du marché immobilier.
03:47Ça je crois que c'est la grande leçon qu'on retient de ces dernières années.
03:50Avant quand Paris repartait, alors tout le marché repartait un peu plus tard.
03:53Quand Paris s'enrhumait c'était l'inverse.
03:54Et en fait maintenant il y a des marchés immobiliers, plus que jamais.
03:58Mais globalement l'effet de 2024 avec la fin d'année où on a réussi à stabiliser, les prix ont baissé.
04:06Alors on a réussi à beaucoup d'endroits à faire repartir le marché.
04:09Ce qui est intéressant dans l'étude d'Orpi sur le sujet justement c'est que Paris repart à l'heure actuelle.
04:14Des villes comme Toulouse aussi où il y a un bassin d'emploi assez conséquent.
04:18Mais on voit des villes pourtant intéressantes justement pour des citadins qui veulent aller et notamment des parisiens qui veulent créer une vie ailleurs comme Lyon ou Marseille.
04:28Qui ont du mal elles à repartir.
04:30Comme si potentiellement le post-Covid on avait eu une vague d'arrivée qui avait fait augmenter les prix.
04:36Et puis finalement une fois qu'ils ont redescendu ils ont du mal à repartir un petit peu.
04:39Oui parce qu'il n'y a pas de maturité du marché à cet endroit là.
04:42C'est-à-dire que les vendeurs n'ont pas encore pris complètement conscience.
04:44Vous parliez de Lyon, de Marseille, Montpellier aussi où en fait il y a eu une envolée des prix.
04:48Et puis tout le monde pense que ça continue.
04:50Et en fait il faut faire les efforts nécessaires.
04:53Et l'effort nécessaire c'est de prendre conscience que le pouvoir d'achat des français ne suit pas.
04:58Les taux d'intérêt ont baissé.
05:00On reste quand même très circonspect avec ce qui peut se passer aux Etats-Unis.
05:04Tout ça, tout joue.
05:06Donc il faut que les vendeurs soient quand même extrêmement vigilants et pas penser que ça y est tout est arrêté.
05:10Donc les marchés où les gens ont fait des efforts, on constate une reprise.
05:14Et les marchés où c'est pas fait, alors c'est encore un peu plus lent.
05:16Si on parle psychologie des acheteurs ou des investisseurs, on est effectivement dans un contexte économique où on a de moins en moins de certitudes quand même en matière d'investissement.
05:25Et l'immobilier a toujours eu quand même une place particulière dans les choix d'investissement des français du fait que c'est de la pierre, c'est du physique, c'est du réel.
05:35Et ça peut avoir aussi un rôle de valeur refuge.
05:37Aujourd'hui les acquéreurs vous les sentez dans quelle dynamique ?
05:41Plutôt dans la dynamique de l'incertitude vis-à-vis de ce qui pourrait toucher les marchés et donc le marché immobilier ou au contraire cette envie peut-être d'aller vers la pierre parce que ça rassure quelque part comme ça a été souvent le cas en France ?
05:53Alors ça dépend du type d'investisseur.
05:54On constate un retour des primo-accédants.
05:56Donc ça c'est-à-dire des jeunes ou des gens qui rentrent sur le marché immobilier qui eux finalement se posent moins de questions parce qu'il faut se loger.
06:02Bien sûr et qui eux n'étaient plus là depuis quelques années ou en tout cas beaucoup moins là et c'est ce qui amène de la dynamique sur le marché.
06:09Tout à fait, on a plus de 30% de primo-accédants donc on voit bien qu'il y a une reprise sur ce marché-là.
06:13Sur le marché des investisseurs effectivement c'est le programme de la machine à laver et là vous êtes en essorage, défroissage en permanence parce que là vous ne savez plus à quel sein vous vouez parce que les lois changent, la fiscalité change sans arrêt.
06:24Les gens qui sont sur des marchés ou qui travaillent sur des marchés à l'export savent que leurs entreprises risquent d'avoir des soubresauts avec ce qui se passe aux Etats-Unis.
06:35Donc en fait tout le monde attend, regarde ce qui se passe donc il n'y a pas vraiment de certitude.
06:40C'est vrai que c'est une valeur refuge mais il faut pour ça avoir aussi une forme de confiance dans ce qui va se passer dans l'avenir et il y a toujours cette incertitude déjà en France sur ce qui peut se passer.
06:50Donc on a un marché mais je voudrais quand même tout de même garder en fait un côté positif parce que quand ça ne va pas je vous le dis aussi.
06:56Oui bien sûr.
06:57C'est vrai que ce début d'année laisse penser qu'il y a une reprise.
07:00D'accord.
07:01Il faut juste l'accompagner en douceur, pas laisser les gens s'emballer, pas non plus laisser croire aux accréheurs que ça y est les prix vont encore baisser.
07:08Donc en fait il faut faire preuve de pédagogie beaucoup.
07:10Plus 30% vous dites de primo-accédants qui sont revenus sur ce marché, ça veut dire que début 2025 on peut acheter son premier appartement ou sa première maison.
07:19Là où il y a quelques mois encore c'était plus compliqué.
07:21C'était difficile oui mais je pense qu'il faut que les gens en prennent conscience.
07:24C'est-à-dire que les taux d'intérêt ont baissé un peu aussi donc ça, ça joue.
07:27Les gens aussi, les vendeurs sont plus réceptifs.
07:30Vous avez tout le phénomène des passoires énergétiques aussi dont on comprend vraiment maintenant que certaines choses ne peuvent plus se vendre au même prix qu'avant.
07:37D'accord.
07:37Donc des efforts sont faits aussi de ce côté-là.
07:39D'accord.
07:39Ah oui donc on achète des passoires énergétiques parce qu'il y a une décote par exemple où il y a plus de négociations.
07:43Pour certains primo-accédants, ils se lancent en se disant voilà je vais acheter ça, il y a des travaux à faire mais je vais les faire ou je peux les faire ou je peux les financer parce qu'il y a eu des réformes fiscales là-dessus.
07:53Donc c'est plus un frein.
07:56Et c'est aussi un moyen pour faire comprendre aux vendeurs que quand vous êtes classé en G ou F, il faut faire attention.
08:01Il faut baisser le prix.
08:02Ou faire les travaux.
08:04Faire les travaux mais la plupart du temps les vendeurs ne veulent pas le faire.
08:06Bien sûr.
08:06Il y a une forme aussi de compréhension un peu plus évidente que ça ne l'était le cas il y a ces deux dernières années.
08:12Si on essaye de se projeter sur la suite, alors vous l'avez dit on n'a aucune certitude mais on a vu quand même une fin d'année 2024 où le marché immobilier se reprenait.
08:21C'est confirmé au moins sur les trois premiers mois de l'année 2025.
08:24Est-ce qu'on s'attend à une année un peu plus optimiste, un peu plus positive que 2024 en 2025 ?
08:31Guillaume Martineau.
08:32C'est très difficile parce que vous voyez on pressent qu'il peut y avoir encore une dissolution qui nous pend au nez.
08:39Donc ça peut y avoir des incidences.
08:41Et pourtant la dernière n'a pas eu d'incidence sur le plan économique et sur le plan du marché.
08:44Bien sûr.
08:45Mais on se rend bien compte que les français sont inquiets.
08:49Donc c'est difficile de prédire l'avenir encore plus que l'habitude.
08:52Mais on peut quand même se dire qu'il y a cette envie d'acheter.
08:56Vous parliez de valeur refuge donc on n'achète pas pour spéculer là.
08:59Bien sûr.
08:59On achète vraiment pour se loger.
09:00D'accord.
09:01Il y a toujours aussi peu de biens à acheter si on veut faire de l'investissement locatif.
09:06Donc il y a un marché plus restreint là-dessus aussi.
09:09Donc je pense que les gens en ont envie.
09:12Envie de se lancer en tout cas.
09:13Le fait de penser que ça allait continuer à s'écrouler c'est fini.
09:17D'accord.
09:17On l'a dit.
09:18On avait dit qu'il n'y aurait pas le même phénomène qu'en 2008.
09:21Donc chacun commence à se rendre compte qu'en faisant un peu d'efforts, en baissant un peu, on peut réattirer du monde.
09:26Et puis les acquéreurs peuvent se lancer.
09:28Donc ça se joue vraiment en fait quartier par quartier ou ville par ville ?
09:32En fait chaque professionnel doit être bien conscient d'une chose, c'est que si on laisse s'envoler les prix et si on ne fait pas assez de pédagogie pour expliquer aux vendeurs pourquoi il faut faire attention, alors le marché ne partira pas et vous faisiez allusion à certaines villes.
09:43Et à contrario, quand les professionnels locaux font bien leur boulot, alors les vendeurs le comprennent et on l'a vu à Paris qui avait souffert quand même depuis 3-4 ans.
09:53Donc c'est aussi un bon signal.
09:55Merci beaucoup Guillaume Martineau de nous avoir accompagné dans Smart Patrimoine.
09:58Je rappelle que vous êtes président d'Orpy.
09:59Merci beaucoup.
09:59Merci.
10:00Et quant à nous, on se retrouve tout de suite dans Enjeu Patrimoine.
10:07Quelle stratégie en matière de produits structurés dans des marchés qui retrouvent de la volatilité ?
10:12Voilà le sujet qui va nous animer aujourd'hui dans Enjeu Patrimoine.
10:16Et pour en parler, nous avons deux experts du sujet sur le plateau.
10:19Nous avons le plaisir d'accueillir tout d'abord Anthony Calci.
10:21Bonjour Anthony Calci.
10:22Bonjour Nicolas.
10:22Bienvenue sur le plateau de Smart Patrimoine.
10:24Vous êtes fondateur de Calci Patrimoine.
10:26Et à vos côtés, nous avons le plaisir d'accueillir également Maxime Gauin.
10:28Bonjour Maxime Gauin.
10:29Bonjour Nicolas.
10:30Vous êtes directeur associé chez Capital Management France.
10:32Alors si je trouvais intéressant de faire cette émission avec vous sur le sujet des produits structurés,
10:36c'est que ça fait un petit moment qu'on en parle de plus en plus des produits structurés,
10:40notamment en lien avec la hausse des taux qui ont amené un certain nombre de produits structurés à capital garantie à revenir sur le devant de la scène.
10:49On voit que le contexte de marché aujourd'hui change un petit peu.
10:52On a de la volatilité, on a de l'incertitude, on a des experts qui n'avaient pas forcément anticipé les décisions d'augmentation des droits de douane de Donald Trump
11:03qui finalement est revenue sur le sujet.
11:05Et on a des marchés aujourd'hui qui attendent, hésitent, ont du mal un petit peu à interpréter tout ça.
11:11Quand on investit non pas directement en action mais quand on passe par des véhicules qui sont des produits structurés,
11:17est-ce que ça change radicalement la manière d'aborder les marchés ?
11:21On va commencer avec vous Maxime Gauin.
11:24Alors c'est vrai qu'on a eu une période sur les dernières semaines qu'on n'attendait pas du tout.
11:28Tout le monde s'attendait à ce qu'avec l'élection de Donald Trump, on allait avoir un cycle plutôt haussier sur les actions et notamment les actions américaines.
11:35Finalement, c'est jamais quand on s'y attend que les marchés baissent, c'est pour ça d'ailleurs que ça baisse.
11:39Et puis ça a été déjà traité médiatiquement de manière assez forte, on a parlé de mini-crack, ça peut créer de l'inquiétude pour les investisseurs qui justement sont investis directement en actions ou en produits structurés.
11:49A titre d'exemple, le VIX qui est l'indice de la peur qui mesure la volatilité sur les marchés est passé à plus de 50 à un moment donné au mois d'avril suite aux annonces sur les tarifs douaniers.
12:00Ce qu'on n'avait pas vu depuis le Covid, depuis le début du Covid et le confinement.
12:05Donc c'est vrai qu'on a remarqué une énorme augmentation de la volatilité et donc de la peur sur les marchés avec des actions qui ont énormément baissé.
12:12Les indices par exemple, les indices américains comme le S&P qui a descendu de plus de 15% depuis le début de l'année, le Nasdaq encore plus, les actions françaises également qui ont fortement chuté notamment dans le luxe.
12:24Donc on se rend compte qu'il y a eu énormément effectivement de tensions sur le marché.
12:27Mais c'est vrai que les produits structurés sont une arme justement dans ce contexte.
12:31D'accord.
12:31Alors ça l'était aussi dans le contexte d'avant donc c'est ça ce que j'aimerais comprendre.
12:35C'est l'avantage en fait avec ces produits qui fonctionne un petit peu dans tous les contextes.
12:39En fait à la différence des actions où on ne gagne que quand le marché monte, avec les produits structurés on peut également gagner, avoir du rendement avec des marchés baissiers.
12:46Que ce soit sur des produits à capital garanti ou sur des produits avec un capital qui est simplement protégé.
12:51Alors j'imagine que du coup ce n'est pas les mêmes produits structurés qu'on va utiliser et actionner quelque part quand on retrouve de la volatilité sur les marchés.
13:00Maxime Gouin et ensuite Anthony Kelsey.
13:02Alors ça peut être un peu les mêmes.
13:03Simplement en fait dans un produit structuré une des matières premières va être la volatilité justement.
13:08Plus il y a de la volatilité en général meilleur sera le produit.
13:11On aura par exemple plus de rendement, plus de protection.
13:13Donc on peut avoir des produits avec un peu plus de coupons.
13:16On a par exemple pu lancer à nouveau des produits sur des indices actions comme l'Eurostox ou la S&P 500 avec des rendements entre 8 et 9%.
13:23Ce qu'on ne pouvait pas avoir sur les dernières années.
13:25On a pu également retrouver des niveaux, des points d'entrée qui sont intéressants également sur des actions dans le luxe comme LVMH ou Hermès par exemple.
13:33Donc on a réussi à lancer des produits qu'on ne pouvait pas avoir par ailleurs.
13:36Et on a également lancé des produits avec plus de protection justement car on a un peu plus d'incertitude et de crainte aujourd'hui sur le marché.
13:44Avec des produits qui jouent par exemple beaucoup plus la baisse que ce qu'on pouvait faire par le passé.
13:47Anthony Kelsey, même question dans le contexte.
13:50Alors c'est vrai qu'on parle en jours ou en semaines.
13:53Mais un retour de la volatilité un peu plus impressionnant, de questionnement, d'incertitude.
13:59Est-ce que ça change une manière d'aborder les marchés quand on propose des produits structurés à ses clients ?
14:05Alors moi déjà j'ai mis beaucoup de temps à me mettre aux produits structurés.
14:09D'accord.
14:11Et je m'y suis mis parce que c'est vrai que ça amène une sécurité contractuelle qui est très intéressante et une visibilité.
14:18Et quand on a pu avoir justement, il faut distinguer les produits structurés qui sont à taux et à capital 100% garantis.
14:27À ceux qui ne sont pas 100% garantis, qui ont une garantie partielle, qui sont généralement sur les actions.
14:31Et bien quand j'ai vu ces produits de taux 100% garantis qui permettent d'avoir une rentabilité, enfin un potentiel rendement sur du moyen long terme,
14:42alors qu'on sait que peut-être la fenêtre de ces taux élevés était courte, je me suis dit c'est quand même très intéressant.
14:49On a du capital garanti, on peut avoir du rendement sur longue période alors que la fenêtre est courte.
14:55Donc ça permet de capter à un moment une opportunité de façon très claire.
15:01Et avant ce capital garanti, je n'en faisais pas et je ne faisais jusqu'à présent pas de produits structurés à l'action parce que je trouvais que les marchés étaient chers.
15:09D'accord.
15:10Et maintenant, je re-regarde.
15:12D'accord. Ah oui, donc ça crée une fenêtre d'opportunité pour vous.
15:14Je trouve que les produits structurés, quand il y a une fenêtre d'opportunité, on peut la capter avec une certaine sécurité et de l'expliquer au client de façon assez simple.
15:28Voilà, on a cette idée.
15:30Ça permet de la capter comme celle-ci.
15:32Si on se trompe, de toute façon, votre patrimoine est diversifié et juste sur une part relativement petite de votre patrimoine, j'ai capté la partie taux capital garanti ces dernières années.
15:47Et là, je suis en train de regarder sur les actions parce qu'il y a des opportunités.
15:52Le luxe a baissé.
15:54Je trouvais ça toujours trop cher.
15:55Il y avait toujours un peu trop de hype.
15:57D'accord.
15:57Et je me dis qu'on peut peut-être regarder sur un panier d'actions, en plus avec une barrière de sécurité.
16:02Oui, pourquoi pas ?
16:03Mais alors, Anthony Calci, pour bien comprendre, pour ceux qui nous écoutent, si vous trouviez par exemple le luxe trop cher, si on prend cet exemple-là,
16:08pourquoi aujourd'hui où il y a une opportunité plus intéressante, un point d'entrée plus intéressant selon vous, pourquoi y aller via des structurés plutôt qu'y aller directement en action ?
16:16Qu'est-ce qui justifie cette stratégie ?
16:18Le client.
16:20D'accord.
16:20Vraiment 100% client.
16:21Moi, je suis beaucoup plus ETF, long.
16:25On accepte la volatilité.
16:26On va dire que ça, c'est presque à titre personnel.
16:28Oui, bien sûr.
16:29Le client, il a peut-être envie de voir, ah oui, si ça descend en dessous de moins 40, j'ai quand même une protection.
16:38Oui, d'accord.
16:39Alors évidemment, il va beaucoup moins capter de valeur.
16:42Parce qu'il y a des...
16:42Là, vous parlez des barrières de protection, c'est ça ?
16:44Oui, c'est ça.
16:44C'est qu'il désactive le produit si jamais on touche certaines limites.
16:47Il y a une garantie partielle en capital.
16:49D'accord.
16:49Pour faire simple, le client, il comprend garantie partielle en capital.
16:52Si on met des ETF, il n'y a pas de garantie partielle en capital, il peut tout perdre.
16:55D'accord.
16:56C'est la vision d'un client.
16:58Ce n'est pas la vôtre, mais c'est celle potentiellement des clients.
17:00Oui, c'est ça.
17:01Oui, exactement.
17:02Mais est-ce que le VMA va faire faillite ?
17:05Non, moi, je ne crois pas.
17:06Mais en tout cas, il peut peut-être passer en dessous de moins 40.
17:10Et du coup, pour le client, ça le met à l'aise.
17:13C'est intéressant, Maxime, quand même.
17:14Parce qu'effectivement, il y a ce mécanisme un petit peu...
17:15Alors moi, j'appelle ça des barrières.
17:16Je ne sais pas si le terme est exact.
17:17Mais effectivement, qu'ils viennent protéger quelque part.
17:20Mais qu'ils viennent désactiver le produit aussi.
17:21Donc on pourrait se dire, dans un marché de volatilité, j'ai investi dans un produit structuré.
17:24Puis en fait, je n'ai pas vu le truc arriver.
17:27Et il est désactivé parce qu'il y a eu des sous-brosseaux sur quelques jours ou quelques semaines.
17:32Mais là, si je comprends bien, dans la perception des clients, c'est plus de dire, ça s'arrête avant que le pire arrive quelque part.
17:41C'est vrai, comme le disait Anthony, l'avantage de ces produits, c'est qu'ils fonctionnent quand même avec une visibilité, avec un contrat et avec également une protection du capital qui peut être partielle ou totale en fonction des produits.
17:51Quand on est sur des actions, en général, on fonctionne avec ce qui s'appelle exactement des barrières qui peuvent être par exemple jusqu'à 40% de baisse, 50% de baisse à maturité, voire parfois plus.
17:59D'accord.
18:00La maturité du produit se trouve souvent entre 5 et 10 à 12 ans.
18:04D'accord.
18:04Donc, ça laisse du temps. Même si le marché baisse dans les premiers mois du lancement du produit, la barrière de protection, on la constate souvent qu'à maturité, donc dans très longtemps.
18:11D'accord.
18:12Donc, ça laisse quand même le temps parce que même si on a, par exemple, on a eu des actions comme dans l'automobile qui ont fortement chuté sur les dernières semaines et les derniers mois,
18:18on a par exemple des valeurs comme Stellantis qui ont perdu plus de 50% depuis quelques mois.
18:23Donc, on se retrouve avec des produits qui auraient pu passer en dessous de la barrière de protection.
18:26Mais comme on la constate uniquement dans quelques années, pour l'instant, il peut y avoir beaucoup de volatilité sur la valeur liquidative.
18:34Donc, si un client souhaite sortir par anticipation de lui-même, s'il souhaite vendre ses titres, effectivement, il peut perdre de l'argent.
18:40Mais s'il est patient, il devrait pouvoir quand même récupérer ses sous à la fin.
18:43D'accord. Donc, si on reste dans une stratégie long terme, normalement, on attend de voir de toute façon, mais on se laisse la possibilité que ça fluctue dans les deux sens.
18:52Alors, souvent, ces barrières ne sont jamais finalement observées puisque la plupart de ces produits sont remboursés dans les premières années de vie
18:59puisque la plupart des produits structurés fonctionnent avec des remboursements anticipés.
19:03D'accord.
19:03Ils peuvent intervenir tous les ans, tous les trimestres, souvent à partir d'un an.
19:08Donc, en général, les produits sont remboursés sur les dernières années.
19:11On constate qu'en moyenne, les produits sont remboursés entre la première année et la deuxième année.
19:15Donc, on va rarement en maturité.
19:16Mais si on va jusqu'à maturité, souvent, quand même, le capital sera remboursé.
19:20Il peut y avoir quelques cas sur certaines actions où on a choisi le mauvais cheval.
19:25et donc, on peut avoir potentiellement des risques de perte en capital.
19:29D'accord.
19:29Ce risque-là existe aussi, il faut le dire.
19:31Le risque existe aussi sur certaines actions.
19:33Effectivement, c'est pour ça que si on a choisi une mauvaise action et si elle continue de baisser,
19:36on peut arriver en dessous de la barre de protection du capital.
19:38Le client pourrait perdre de l'argent.
19:40Et donc, c'est pour ça que, comme le disait et le rappelait Anthony,
19:42c'est important de diversifier, de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier,
19:45de ne pas miser uniquement sur une seule action et sur un seul produit structuré.
19:49Anthony Calci, on parle de volatilité sur les marchés actions.
19:51De la volatilité, on en voit aussi sur les marchés de taux.
19:53Alors, pour des raisons parfois différentes, parfois similaires,
19:56est-ce que ça remet en cause des stratégies de produits structurés à capital garanti
20:00avec, pour le coup, une poche obligataire qui, normalement, garantit le capital ?
20:07Alors, si on parle des produits sur lesquels on peut investir aujourd'hui,
20:11les taux, on peut toujours avoir des produits structurés à capital garanti.
20:15Donc, ça, c'est toujours le scénario central, c'est que les taux vont baisser
20:22ou pour relancer l'économie ou pour que les États dispendieux type français ou américain
20:31puissent se refinancer tout à fait correctement.
20:35Et après, on parle de ceux qui ont été faits précédemment.
20:39Du coup, il y a une hausse des taux.
20:40Et si on devait regarder le prix, il y a des moins-values latentes si on veut vendre.
20:46Donc, ça se reste tout le monde.
20:49Et dans ces produits de taux, il y a un capital garanti échange.
20:53Donc, si on arrive au bout des 10 ans...
20:55C'est garanti.
20:55C'est garanti.
20:57Il n'y a pas de petite ligne qui dit...
20:59Non, c'est garanti.
20:59C'est garanti.
21:00Enfin, manque le sous-jacent, c'est-à-dire la banque émettrice face-faite.
21:04Oui, bien sûr.
21:04Mais on va dire que c'est garanti.
21:08Vous aurez quand même perdu de l'argent, entre guillemets.
21:10Parce que si vous attendez 10 ans pour avoir votre capital garanti,
21:14que c'est un scénario de hausse des taux, donc sans doute d'inflation...
21:17Bien sûr, oui.
21:18Vous aurez juste récupéré la même somme que ce que vous aviez mis au départ.
21:21Exactement.
21:21Oui, bien sûr.
21:21Mais si on regardera en pouvoir d'achat, à mon avis, vous avez perdu 30% sur le chemin, peut-être plus.
21:28Oui, bien sûr.
21:29Donc, évidemment, c'est pourquoi ça plaît au client.
21:33Parce que le client, il adore recevoir le même argent 10 ans plus tard.
21:39Oui, bien sûr.
21:39En tout cas, psychologiquement.
21:41Mais nous, en tant que conseiller financier, on préfère être un peu plus en direct
21:46et aussi avoir des scénarios protecteurs sur l'inflation.
21:51Si vous avez un scénario de hausse des taux courts, même de long terme,
21:55vous prenez de l'Euribor, finalement, les taux montent.
21:59Et voilà.
22:00Donc, aujourd'hui, vous pouvez avoir du capital garanti sur la courbe longue des taux,
22:06donc sur du 10 ans européen, par exemple, le CMS 10 ans.
22:09Vous pouvez avoir aussi des capitales garanties sur l'Euribor 3 mois, mais inversé.
22:14Par exemple, vous avez 6% moins le taux de l'Euribor.
22:20Et donc, au fur et à mesure que l'Euribor descend, vous allez avoir votre rendement qui augmente.
22:25Et ça, pour le coup, c'est vraiment très compliqué de le faire de façon traditionnelle.
22:31Ça amène vraiment de la diversification dans les stratégies financières.
22:35Est-ce que l'inflation va baisser ? Est-ce que les taux vont baisser ? Est-ce qu'ils vont monter ?
22:39On peut tout faire, du coup, grâce au produit structuré et dans un contrat diversifié.
22:44On va devoir s'arrêter là.
22:45Et merci, du coup, pour cette conclusion.
22:48Anthony Calci, je rappelle que vous êtes fondateur de Calci Capital.
22:50Merci également Maxime Gauin, directeur associé chez Capital Management France.
22:54Merci à vous, également, de nous avoir suivis.
22:55On se retrouve tout de suite dans l'œil de l'expert.
22:57La campagne de déclaration de revenus est ouverte.
23:05Et vous pouvez donc, jusqu'au 22 mai ou au 5 juin, en fonction du département dans lequel vous résidez,
23:12déclarer vos revenus sur l'année 2024.
23:15Quels sont les détails à ne pas oublier ?
23:17Quels sont les points d'intention à avoir en tête ?
23:20Nous faisons le point avec Sébastien Delattre.
23:21Bonjour Sébastien Delattre.
23:22Bonjour Nicolas.
23:23Vous êtes associé chez Ambre Patrimoine.
23:27Si je vous demande, là, de but en blanc, que faut-il bien avoir en tête avant de commencer à remplir sa déclaration de revenus ?
23:34Qu'est-ce qui vous vient spontanément ?
23:36Il y a beaucoup de choses à voir.
23:38Donc, on ne parle pas du tout des réductions d'impôts, crédits d'impôts.
23:40On parle bien de la déclaration de revenus à remplir.
23:43Et elle est souvent considérée comme longue, fastidieuse.
23:46Et pourtant, il faut être très précis.
23:48Bien sûr.
23:49Bien la lire, bien remplir toutes les cases qui nous concernent.
23:52Parce qu'il y a beaucoup de petites choses intéressantes qui peuvent permettre de payer moins d'impôts quand on les remplit bien.
23:58Par exemple, sur la situation familiale, bien remplir sa situation exacte.
24:02Parce qu'il y a des choses qu'on ne sait pas forcément.
24:04Il y a des choses qui sont connues.
24:05Par exemple, une demi-part supplémentaire quand on est parent isolé.
24:08Mais il y a d'autres situations beaucoup moins connues.
24:11Par exemple, si on est veuf avec enfant, on va pouvoir conserver le même nombre de parts que si on était marié.
24:19Si on a élevé seul ses enfants pendant un minimum de 5 ans, on va pouvoir avoir une demi-part, parent isolé, en cochant la bonne case, la case T, à vie.
24:30En tout cas, tant que la loi fiscale n'aura pas changé.
24:33Bien sûr.
24:33Donc il y a beaucoup de petits détails.
24:36Ou encore les frais de scolarité.
24:37Bien déclarer ses enfants et leur niveau scolaire.
24:40Puisqu'il y a des frais de scolarité de 61 euros pour un enfant en collège, 153 pour un enfant en lycée, 183 en études supérieures.
24:47Mais il faut les déclarer dans sa déclaration de revenus.
24:49Donc le conseil le plus important, c'est le détail.
24:53Bien lire sa déclaration de revenus et bien déclarer sa situation exacte.
24:56Quand on touche un salaire tous les mois, est-ce que tous les mois d'ailleurs, ou quand on touche un salaire tout court, est-ce qu'il y a des subtilités à connaître ?
25:02Oui. Sur les salaires, on va parler de deux choses.
25:05On n'a pas le temps de tout détailler, mais deux choses qui me semblent intéressantes.
25:08La première, c'est que certains revenus ne se déclarent pas.
25:12On le sait par exemple pour les allocations familiales, la CAF, etc.
25:15Ça ne se déclare pas.
25:16Mais il y a d'autres revenus, notamment par rapport aux enfants.
25:18Les enfants qui nous sont rattachés, étudiants, les jobs étudiants vont bénéficier de trois SMIC mensuels qui vont être exonérés.
25:26Donc ce n'est pas un abattement.
25:27Ce sont des revenus qu'il ne faut pas déclarer.
25:29On ne déclare que ce qui dépasse ces trois SMIC mensuels.
25:33De la même façon, si on est apprenti, ce n'est pas trois SMIC mensuels, c'est un SMIC annuel.
25:37C'est plus de 21 000 euros.
25:38Quand vous dites trois SMIC mensuels, c'est trois fois le SMIC mensuel sur un an ?
25:43Tout à fait, sur l'année civile, ce qui fait exactement 5 318 euros pour la déclaration de cette année.
25:51Donc il y a ces jobs étudiants, il y a les stages également ou les apprentis ?
25:54Oui, pour tous les apprentis, donc contre à longue durée d'un an, là c'est un SMIC annuel, 21 000 euros.
26:01Et ensuite, il y a des petits détails.
26:03Par exemple, si on fait dans la salaire et qu'on déclare ces frais professionnels aux frais réels,
26:09les plus gros frais sont les indemnités kilométriques.
26:12Donc il y a un barème d'indemnités kilométriques.
26:14Mais ce qu'on ne sait pas souvent, c'est qu'il y a d'autres petits frais complémentaires liés à la voiture qu'on va pouvoir déduire.
26:20Les frais de parking, si on n'a pas de place de parking mis à disposition par son employeur.
26:25Les frais de péage, s'il y a un péage entre son domicile et son lieu de travail.
26:28Encore plus spécifique, les intérêts du préconso ayant permis l'acquisition de la voiture sont déductibles aux frais réels.
26:37Si c'est un usage professionnel.
26:39Pour un usage professionnel. D'ailleurs, s'il y a un usage mixte, il faudra faire un pro-rata du nombre de kilomètres pro et perso pour les déduire.
26:47Si on regarde les revenus immobiliers, est-ce qu'il y a des choses à savoir ?
26:50Oui. Là aussi, il y a des choses à savoir, qu'on soit sur la location meublée ou qu'on soit sur les revenus fonciers.
26:56Sur la location meublée, par exemple, premier point de détail, ça peut sembler idiot dit comme ça, mais c'est les déclarer dans la bonne case.
27:03J'ai rencontré quelques clients qui faisaient des revenus location meublée parce qu'ils savaient que c'était fiscalement plus intéressant, mais qu'ils les déclaraient en revenus fonciers.
27:14Donc, ils n'ont qu'ils ne fiquaient pas.
27:16J'ai même des clients où c'était 100 000 euros de revenus location meublée qui étaient déclarés en revenus fonciers.
27:22Et j'aurais fait un petit calcul, c'est 35 000 euros d'impôts et de prélèvements sociaux en moins en les déclarant dans la bonne case.
27:27Rapidement, sur les revenus immobiliers, est-ce qu'il y a d'autres choses à avoir en tête ?
27:31Sur les revenus fonciers, cette fois, quand on fait au régime réel notre 2044, on va avoir tout plein de choses qui sont indiquées dans la 2044.
27:39Mais sur les intérêts d'emprunt, on a plusieurs choses qui ne sont pas indiquées.
27:44Les intérêts d'emprunt, c'est les intérêts du prêt, l'assurance du prêt, les frais de dossier, les frais de garantie, les frais de courtage si on est passé par un courtier, et même les frais bancaires de tenue de compte.
27:54Merci beaucoup Sébastien Delattre, on ne le dira jamais assez, il faut effectivement prendre le temps de tout vérifier et bien remplir ligne par ligne.
28:04Je rappelle que vous êtes associé chez Ambre Patrimoine. Merci beaucoup.
28:07Merci.
28:08Et quant à nous, on se retrouve très vite sur Bsmart for Change.
28:10Merci.
28:11Merci.
28:12Merci.
28:13Merci.
28:14Merci.