La fête des travailleurs, ce moment sacré d’unité populaire, s’est muée en théâtre d’une honte : le stand du Parti socialiste, présent au sein du cortège parisien, a été attaqué par des militants vêtus de noir, masqués, se réclamant d’un antifascisme qui a, ce jour-là, perdu toute boussole morale.
Insultes, bousculades, slogans haineux, coups portés à des militants et à des élus venus défendre les droits sociaux, l’égalité, la justice. Voilà le vrai visage de ceux qui ont osé traiter de “collabos” celles et ceux qui, depuis un siècle, portent les combats ouvriers, féministes, antiracistes, écologistes, et oui, socialistes.
Que reprochent-ils au PS ? D’être institutionnel ? D’avoir exercé le pouvoir ? D’avoir, comme toute formation politique, commis des erreurs, sans jamais cesser de lutter pour un monde plus juste ? En vérité, ce procès en trahison est l’arme de ceux qui préfèrent la pureté morale au réel, l’incendie à l’argument, la haine à l’espérance.
Ceux qui s’attaquent au Parti socialiste ne veulent pas reconstruire la gauche : ils veulent la réduire en cendres. Ils ne veulent pas débattre, ils veulent censurer. Et, comble du cynisme, ils prétendent le faire au nom du peuple. Mais de quel peuple parle-t-on quand on frappe des militants, quand on insulte des élus, quand on jette aux orties un héritage de luttes partagées ? Certainement pas du nôtre.
L’histoire ne s’écrit pas à coups de barres de fer et de slogans binaires. Elle s’écrit dans les urnes, dans la rue, mais aussi dans le dialogue. Le PS, avec ses militants de terrain, ses élus locaux, ses batailles parlementaires, reste un pilier de la gauche française. Fragilisé, certes, mais debout. Et c’est précisément cette résilience qui dérange ceux qui ne veulent pas d’une gauche majoritaire, mais d’un entre-soi radicalisé.
À ceux qui étaient sur le terrain ce 1er mai, malgré les insultes, les agressions, les crachats : tenez bon. À ceux qui rêvent d’une gauche rassemblée, populaire, ancrée dans les réalités : n’abandonnez pas la rue aux violents. Et à ceux qui pensent que l’on peut construire un avenir en piétinant ceux qui ont ouvert la voie : relisez Jaurès. Lui savait que la haine n’émancipe pas, qu’elle enchaîne. Et que le socialisme est, avant tout, une espérance.
Insultes, bousculades, slogans haineux, coups portés à des militants et à des élus venus défendre les droits sociaux, l’égalité, la justice. Voilà le vrai visage de ceux qui ont osé traiter de “collabos” celles et ceux qui, depuis un siècle, portent les combats ouvriers, féministes, antiracistes, écologistes, et oui, socialistes.
Que reprochent-ils au PS ? D’être institutionnel ? D’avoir exercé le pouvoir ? D’avoir, comme toute formation politique, commis des erreurs, sans jamais cesser de lutter pour un monde plus juste ? En vérité, ce procès en trahison est l’arme de ceux qui préfèrent la pureté morale au réel, l’incendie à l’argument, la haine à l’espérance.
Ceux qui s’attaquent au Parti socialiste ne veulent pas reconstruire la gauche : ils veulent la réduire en cendres. Ils ne veulent pas débattre, ils veulent censurer. Et, comble du cynisme, ils prétendent le faire au nom du peuple. Mais de quel peuple parle-t-on quand on frappe des militants, quand on insulte des élus, quand on jette aux orties un héritage de luttes partagées ? Certainement pas du nôtre.
L’histoire ne s’écrit pas à coups de barres de fer et de slogans binaires. Elle s’écrit dans les urnes, dans la rue, mais aussi dans le dialogue. Le PS, avec ses militants de terrain, ses élus locaux, ses batailles parlementaires, reste un pilier de la gauche française. Fragilisé, certes, mais debout. Et c’est précisément cette résilience qui dérange ceux qui ne veulent pas d’une gauche majoritaire, mais d’un entre-soi radicalisé.
À ceux qui étaient sur le terrain ce 1er mai, malgré les insultes, les agressions, les crachats : tenez bon. À ceux qui rêvent d’une gauche rassemblée, populaire, ancrée dans les réalités : n’abandonnez pas la rue aux violents. Et à ceux qui pensent que l’on peut construire un avenir en piétinant ceux qui ont ouvert la voie : relisez Jaurès. Lui savait que la haine n’émancipe pas, qu’elle enchaîne. Et que le socialisme est, avant tout, une espérance.
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