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  • il y a 4 jours
Avec Ludovic Malot, économiste et entrepreneur, auteur de "Le suicide monétaire" éd. Maïa


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##LE_FAIT_DU_JOUR-2025-04-17##

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Transcription
00:00Que s'est-il passé à Rennes pour que le PDG de Safran ne veuille plus venir à Rennes ?
00:10Alors qu'on est en pleine et que le gouvernement, avec légitimité, tout le monde est pour la réindustrialisation de la France.
00:18Il faut arrêter cette espèce de mamise totale du tertiaire et essayer de reprendre avec la dette qu'on a,
00:25avec les milliards à rechercher désespérément, il est temps de reproduire, de reproduire, de rapatrier, etc.
00:36Eh bien, il y a des choses qui ne vont pas.
00:37Quoi ? On en parle tout de suite.
00:44Vous vous rappelez ce cri de Greta Sundberg ?
00:53C'était le grand moment de l'écologie.
00:55« Ça y est, vous les adultes, vous avez pollué la planète, vous les avez mis dans tous nos états,
01:00mais dans quels états de saleté, de pollution, de gabegie, nous sommes futurs, la planète est finie, etc. »
01:08Et puis, il y a eu tout le monde écologiste.
01:10Et puis, voilà, hier, à l'Assemblée nationale, il y avait Olivier Andriès.
01:16Olivier Andriès est le PDG de Safran.
01:18Je rappelle que Safran est un grand groupe industriel et technologique français,
01:21présent au niveau international.
01:23Il emploie, Safran, 100 000 collaborateurs
01:26pour un chiffre d'affaires de 27,3 milliards d'euros en 2024.
01:30Donc, il est un peu dans le monde entier.
01:32Et Safran se classe en 2023 au 28ème rang mondial
01:36pour la production d'armement dans les domaines de l'aéronautique,
01:39de l'espace et de la défense.
01:41Eh bien, voici ce que disait Olivier Andriès, hier, devant une commission de l'Assemblée nationale.
01:51Écoutez.
01:52« Les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème,
01:55c'est scandaleux, un groupe vient s'installer, créer de l'emploi,
01:59c'est l'aéronautique, c'est l'avion, ils vont polluer,
02:02et puis c'est le militaire, c'est pas bien. »
02:05Alors, je vais être très très clair avec vous.
02:08Pour moi, il n'est plus question, aujourd'hui, d'investir en France
02:13dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste.
02:18C'est plus possible. Je ne le ferai pas.
02:20C'est pas politique, mais je veux dire, à partir du moment où on oublie l'intérêt national,
02:25à partir du moment où on ne comprend pas, on a une attitude égoïste,
02:29et on ne comprend pas que créer 500 emplois dans un endroit,
02:32c'est quand même très important pour le territoire,
02:36c'est très important pour la vie des personnes qui sont là.
02:41Moi, je trouve qu'à un moment donné, très bien.
02:44Très bien.
02:45Il faut dire tout de suite que ce n'est pas la majorité de la municipalité socialiste de Rennes,
02:51notamment la maire de socialistes de Rennes n'était pas contre,
02:54c'est simplement quelques élus municipaux écologistes
02:57qui ont réagi, et ont réagi de manière assez forte.
03:01voilà, et il dit écoutez, voilà, et Olivier Andriès dit,
03:05c'est pas possible, on ne peut pas, on ne peut pas faire ça.
03:08Et ça veut dire quoi ?
03:09Et vous savez qu'aujourd'hui, le nombre de villes à majorité globe,
03:12il y a Bordeaux, il y a Lyon, justement Rennes,
03:18et puis beaucoup, enfin Rennes, en tout cas une majorité municipale,
03:23et un peu, et beaucoup d'autres villes.
03:25Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
03:26Eh bien, écoutez, il y a eu déjà une réaction que vous voudriez vous faire entendre,
03:31de, évidemment de qui ?
03:33De Sandrine Rousseau, députée ELV, alors écologiste bien sûr.
03:38Écoutez, Sandrine Rousseau qui a réagi justement aux déclarations du PDG de Safran.
03:44La question, ces 500 emplois, pour quoi faire ?
03:46Et de quelle pérennité ces emplois sont-ils le nom ?
03:51En fait, si c'est pour détruire la planète,
03:53on a 500 emplois qui, derrière, vont probablement durer un temps très court
03:58et qui n'auront pas de débouchés industriels intéressants.
04:02Donc en fait, voilà, je pense que c'est ce que les élus écologistes ont voulu dire.
04:06Voilà.
04:08Je rappelle qu'effectivement, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Besançon, Tours, Annecy et Grenoble,
04:15eh bien, les Verts ont remporté, je rappelle,
04:177 villes de plus de 100 000 habitants lors des municipales, sans compter Marseille.
04:22En tout cas, il y a ça.
04:24Et voilà ce que dit Sandrine Rousseau.
04:26Ben, 500 emplois, pour quoi faire ?
04:28Mais c'est vrai !
04:29Et des milliers d'emplois, pour quoi faire ?
04:32Mais ça sert à quoi ?
04:33Ça va durer combien de temps ?
04:34Pour détruire la planète, ajoute-t-elle.
04:36Je rappelle quand même que Sandrine Rousseau a été maîtresse de conférence en économie à Lille.
04:44Oui, elle a été professeure d'économie à Lille.
04:47Ben dis donc, l'économie française, ça va de mieux en mieux avec de tels professeurs.
04:53Alors, on se dit, mais qu'est-ce qui se passe ?
04:55Comment vraiment on peut avoir cela ?
04:58Surtout au moment où on connaît les licenciements,
05:02le tour de France des licenciements,
05:05on ne va pas les numéros, il faudrait une demi-heure.
05:07Entre industrie automobile et équipe entière,
05:10entre chimie et pétrochimie,
05:12entre bâtiments et construction,
05:14entre commerce et grande distribution,
05:16entre métallurgie et sidururgie,
05:18pharmacie et santé, technologie et médias.
05:21Le nombre d'emplois supprimés depuis quelques mois est hallucinant.
05:25Je ne vais pas vous faire, il faudrait une heure pour vous donner le détail.
05:29Mais ça veut dire quoi ?
05:30Ça veut dire qu'on veut quoi, en fait,
05:32quand on reçoit avec des tomates le PDG,
05:35enfin, pas le PDG lui-même,
05:36mais Safran parce qu'ils ont quand même le scandaleux
05:41de faire une usine de moteurs d'avion à Rennes
05:43et de créer 500 emplois, évidemment.
05:46Ça sert à quoi ?
05:47Ludovic Malo, bonjour.
05:51Bonjour André, merci pour l'invitation.
05:53Mais je vous en prie, vous êtes économiste, entrepreneur,
05:56vous avez déjà reçu il y a,
05:58on va en parler d'ailleurs de votre lettre, pétition,
06:02mais surtout, quand vous écoutez Olivier Andriès
06:05et que vous écoutez un prix de réaction
06:09comme celle de Sandrine Rousseau
06:11et que vous avez, vous connaissez comme moi,
06:14le tableau des licenciements du chômage
06:18un peu dans toutes les industries possibles et imaginables,
06:21juste 1254 emplois supprimés
06:24et tout ça en quelques mois,
06:26à Michelin, etc., etc.
06:28Comment vous réagissez ?
06:32Écoutez, je crois que les propos de Mme Rousseau
06:37en disent long sur l'état d'élabrement intellectuel
06:42de certaines personnalités politiques dans ce pays.
06:46Je crois que c'est effrayant d'entendre ce type de propos.
06:51Je crois qu'Olivier Andriès a jeté un pavé dans la mare.
06:55Il a dit tout haut, ce que les gens pensent tout bas.
07:01La plupart des entrepreneurs sont accablés de normes,
07:05de restrictions.
07:07Et aujourd'hui, on voit que ça prend une mesure politique.
07:10Et ceci est vraiment inquiétant.
07:14Je dirais qu'aujourd'hui, ce qu'il faut vraiment retenir,
07:17c'est que le discours écologique est souvent un cheval de troie idéologique.
07:22Donc, on voit bien qu'on a affaire à des pastèques, en fait.
07:26Des pastèques, c'est quoi ?
07:28Ils sont verts à l'extérieur et ils sont...
07:30Rouge à l'intérieur.
07:32Rouge soviétique à l'intérieur.
07:33Donc, on a affaire à des gens qui ont une idéologie fondamentalement marxiste
07:41et qui cherchent à mettre en place et en collusion avec le programme mondialiste,
07:48le World Economic Forum, certaines fondations Rockefeller et Bloomberg,
07:53à mettre en place ce concept de smart cities de 15 minutes.
07:57des concepts où finalement, on enferme les gens dans un espace confiné
08:03pour qu'ils aient soi-disant accès à tout
08:06et que tout soit bien dans le meilleur des mondes
08:09et où finalement, c'est la technologie,
08:12donc une technostructure qui prend le contrôle de la société
08:15et les gens sont régulés, confinés
08:18et contrôlés à travers une surveillance numérique,
08:26reconnaissance faciale.
08:27Donc, c'est une préfiguration du modèle à la chinoise.
08:31Oui, mais Ludovic Malot, pardon,
08:34mais qui peut...
08:35Alors, sans aller, peut-être qu'on va aller...
08:37Enfin, que c'est que les écologistes et autres,
08:40vous dites idéologues, veulent aller vers ça.
08:43Mais enfin, qui est contre le fait que des usines,
08:48le fait que des entreprises veulent implanter,
08:51faire retravailler la France ?
08:52On ne parle que de ça, du matin au soir,
08:55et les princes qui nous gouvernent et tous les autres,
08:57réindustrialisation, rapatriement, relocalisation, etc.
09:02Il y a quand même quelque chose qui sort un peu du domaine du bon sens.
09:09Oui, en fait, on a affaire à des gens
09:11qui, en fait, se moquent totalement de l'économie,
09:17de la situation de l'emploi.
09:20Et ces gens-là passent leur temps à faire des leçons de morale
09:23et à prêcher la bonne parole écologique,
09:26en prétextant que, finalement, le coupable, c'est qui ?
09:32Eh bien, ce sont les Français.
09:34Les Français sont coupables de respirer.
09:36Ils sont coupables d'expulser du dioxyde de carbone.
09:42Grossièrement, c'est ça.
09:43Donc, on est dans une culpabilisation permanente
09:47avec cette imposture sur le réchauffement climatique.
09:53On voit que ce sujet...
09:56Vous n'avez pas le droit de dire ça.
09:57Vous n'avez pas le droit de dire ça.
09:58Vous êtes faux hégémonie.
09:59Vous allez être donné du saut de la famille.
10:02Attention, Ludovic Malo.
10:03Vous contestez.
10:04Vous contestez.
10:05C'est grave.
10:06Ce sujet est instrumentalisé.
10:08Il est clair qu'effectivement,
10:10il y a des problèmes environnementaux évidents.
10:12C'est plutôt évident.
10:13Il y a beaucoup de pollution.
10:14Mais, il y a, effectivement,
10:17ce sujet est instrumentalisé pour contrôler les gens.
10:20Mais comment il se fait, Ludovic Malo ?
10:22Non, juste, chose, politiquement.
10:24Bon, il y a les écologistes,
10:25enfin, certains écologistes,
10:27Sandrine Rousseau et d'autres,
10:28et comme on l'a vu à Rennes.
10:29À Rennes, qu'est-ce qu'il dit à Vries ?
10:32Il a dit, moi, j'en ai marre d'être accueilli avec des tomates
10:34quand on vient créer des emplois.
10:36Mais comment ça se fait que, par exemple,
10:39ils ne réagissent pas ?
10:40Ce n'est pas...
10:41On a enquêté,
10:42ce n'est pas la majorité de la municipalité de Rennes
10:44pour parler de ce cas-là.
10:46Eh bien, ils cèdent devant les écologistes.
10:49Et d'autres aussi.
10:50C'est quoi ?
10:50C'est électoraliste ?
10:52C'est quoi ?
10:52C'est courte vue ?
10:53C'est quoi ?
10:54Alors, c'est évidemment une idéologie marxiste,
11:00communiste, sous prétexte d'écologie,
11:02drapée dans les vêtements de l'écologie,
11:06qui s'infiltre petit à petit, doucement,
11:09mais sûrement dans toutes les municipalités de France.
11:12D'accord ?
11:13Comment se fait-il que ces gens arrivent à avoir autant de pouvoir et d'influence ?
11:20Grossièrement, déjà, parce que les médias leur donnent une tribune en permanence,
11:25dans leur rhétorique et leur discours culpabilisateur.
11:30Déjà, l'autre point, c'est que les Français sont en marre du système politique actuel,
11:37où, finalement, leur voix n'a pas d'importance,
11:40et beaucoup ne vont plus voter, même du côté conservateur.
11:43Ils ne vont plus voter.
11:44Alors, finalement, qui, en général, continue à voter ?
11:48Ce sont les gens de gauche, les extrêmes gauches,
11:53et les écologistes, les communistes, qui sont déguisés en écologistes.
11:59En écologistes.
12:00Donc, ce sont eux qui verrouillent, maintenant, les municipalités,
12:04puisqu'il y a beaucoup de gens qui ne vont plus voter, finalement.
12:07Et donc, ce sont eux, finalement, qui font la loi et qui imposent leurs règles.
12:12Donc, les propos tenus par le PDG de Safran,
12:18c'est, entre guillemets, un cri d'alarme.
12:20C'est très inquiétant qu'un PDG français fasse ce type de déclaration,
12:26on croit rêver.
12:27Jamais on pourrait voir ça, par exemple, en Suisse.
12:31Moi, je vous parle de Genève, parce que j'habite à Genève,
12:35et je connais très bien les deux pays.
12:38Jamais un PDG d'une entreprise suisse serait accueilli comme ça
12:42par des gens qui se prétendent écologistes.
12:46Je dis, on croit rêver.
12:48Je crois que la France est arrivée à un niveau de bassesse intellectuelle
12:53avec ces pseudo-écologistes, qui est vraiment effroyable.
12:57Oui, c'est un vrai, vrai problème.
12:59Restez avec nous, j'ai encore une question à vous poser.
13:01Après la petite pause, effectivement, Ludovic Malo,
13:05on avait parlé d'un certain nombre de sujets la dernière fois que vous étiez venu.
13:09Eh bien, à tout de suite, pour une ou deux questions encore.
13:13Restez avec nous, on n'a pas fini de parler de ce qui se passe en France
13:17du point de vue de la bassesse ou de la hauteur intellectuelle.
13:21Sud Radio Bercoff, dans tous ses états, midi 14h.
13:25André Bercoff.
13:26Et nous sommes toujours avec Ludovic Malo, économiste et entrepreneur,
13:30auteur du Suicide monétaire aux éditions Mayas.
13:33On l'avait reçu d'ailleurs pour ce livre.
13:36Ludovic Malo, je voudrais quand même vous demander,
13:39la dernière fois que vous avez reçu, il n'y a pas si longtemps d'ailleurs,
13:42vous aviez préparé une lettre au patron du CAC 40 et à beaucoup d'entrepreneurs
13:47en demandant, allez, le licenciement, c'est un peu ça, d'Emmanuel Macron,
13:53que vous jugiez peu apte à continuer à diriger le pays, notre douce France,
14:01eu égard à la situation.
14:04Et est-ce que vous avez eu des réponses ?
14:06Est-ce que vous avez eu des échos sur cette lettre
14:09que vous avez envoyée un peu tout le monde, enfin le monde des entrepreneurs ?
14:12Alors, je dirais que ça a circulé, ça a surpris un petit peu.
14:19Vous avez vous-même précisé que c'était un peu audacieux.
14:23Ah oui.
14:23Je dirais que...
14:27Oui.
14:29Il n'y a pas beaucoup de personnes...
14:31Qui ont répondu.
14:32Oui, qui sont disposées à sortir du bois et puis à prendre leurs responsabilités.
14:37Je pense qu'aujourd'hui, les entrepreneurs et les PDG des grandes sociétés françaises
14:45sont directement impactés par les mesures américaines et Trump.
14:52Et du coup, on est dans une situation...
14:55S'ils ne réagissent pas, qu'est-ce qui va se passer ?
14:57Ils vont perdre du business, ils vont perdre des affaires.
14:59Ils vont être gravement exposés.
15:02Donc, il arrive un moment où il faut mettre le poing sur la table.
15:07Les Français, en grande majorité, demandent à ce que ce président quitte l'Élysée.
15:15Puisque aujourd'hui, on est dans une impasse.
15:19On voit bien qu'il s'accroche au pouvoir.
15:20Il n'a plus de légitimité populaire.
15:23Il n'a pas le soutien des...
15:24Oui, enfin, légalement, il a tout à fait le droit de rester au pouvoir.
15:29Il a été élu.
15:30Il faut attendre les prochaines élections.
15:32Oui, peut-être légalement, mais il n'a aucune légitimité aujourd'hui.
15:36Et pourquoi il s'accroche au pouvoir ?
15:38C'est parce qu'il a une mission.
15:39Et sa mission, c'est quoi ?
15:41La mission, c'est le démembrement du pays.
15:44Parce qu'il a été élu pour ça.
15:46Ça, il faut le comprendre.
15:46Oui, alors, c'est ce que vous dites, c'est votre opinion.
15:49On n'est pas obligé de la partager.
15:51Mais est-ce que...
15:52Moi, je voudrais revenir à cela, quand même.
15:54Est-ce que vous pensez que le cri d'alarme,
15:59ou en tout cas la colère d'Olivier Andréès, du patron de Safran,
16:03est-ce que vous pensez qu'aujourd'hui, on a besoin...
16:05Enfin, il serait bon, pour ce qui se passe actuellement dans le pays,
16:09pour parler de la France,
16:10que l'entendre d'autres voix qui disent,
16:13en dehors du fait de Macron et de la personne de Macron,
16:16s'il reste ou pas,
16:17en disant que la situation est grave,
16:19et elle est plus grave qu'on ne pense.
16:21Exactement, c'est ce que j'allais vous dire tout à l'heure.
16:24On a besoin d'entrepreneurs qui ont ce qu'il faut en dessous de la ceinture,
16:29excusez-moi de l'expression,
16:31pour pouvoir sortir du bois et enfin dire les choses,
16:34dire la vérité,
16:36expliquer la situation,
16:38et avoir le courage d'exposer cette imposture
16:44que constituent ces politiciens pseudo-écologistes,
16:48qui sont en fait des marxistes,
16:50qui cherchent à mettre en place,
16:52et collaborent avec le plan mondialiste,
16:55pour mettre en place ces sociétés,
16:58ces villes de 15 minutes,
16:59et de mettre en place une société de répression,
17:02de contrôle numérique,
17:03et de tyrannie.
17:06Donc aujourd'hui,
17:07il est temps de mettre fin
17:09au déroulement
17:13de cette rhétorique politique.
17:16Je me pose la question,
17:18comment ça se fait que Sandrine Rousseau,
17:20en permanence interviewée dans les médias,
17:23vu le discours que cette personne tient,
17:25je me dis,
17:26mais ce n'est pas possible.
17:27Ce n'est vraiment pas possible.
17:28Ah oui,
17:30c'est une grande vedette,
17:31mais qu'est-ce que vous voulez,
17:32c'est une grande vedette
17:33de la télévision,
17:35enfin de l'audiovisuel,
17:37et moi ce qui m'intéresse beaucoup quand même,
17:40c'est qu'elle a été professeure
17:41d'économie politique,
17:43à Lille,
17:44à l'université de Lille,
17:45elle était maîtresse de conférences,
17:48en sciences économiques,
17:49c'est ça qui est intéressant,
17:50vous voyez,
17:51voilà,
17:52je ne dis pas,
17:53heureusement nous avons d'excellents économistes,
17:55mais là...
17:56Je vais vous dire quelque chose,
17:57je pense que Centrine Rousseau
17:59est une femme qui est frustrée,
18:01elle n'a pas de vrai avenir,
18:03elle essaye de s'accrocher
18:04à son idéologie marxiste,
18:07et en fait,
18:08elle n'aime pas la France,
18:09elle déteste la France,
18:10elle déteste ce pays,
18:11elle déteste les valeurs,
18:13elle déteste notre héritage,
18:15et elle n'a aucune foi,
18:16d'accord ?
18:17Aucune foi.
18:18Écoutez,
18:19ça,
18:19je vous laisse effectivement
18:21à la liberté de votre opinion,
18:23on verra,
18:23vous savez,
18:24Ludovic Malo,
18:25je crois que qui vivra
18:26et qui votera verra,
18:27comme on dit,
18:28mais en tout cas,
18:30c'est vrai que c'est intéressant
18:32de voir
18:32si effectivement,
18:34le cri,
18:36en tout cas,
18:36la réaction du patron de Safran,
18:39sera suivi ou pas,
18:40mais incontestablement,
18:41je n'ai pas le temps
18:42de faire le tableau
18:45des licenciements,
18:46on le fera
18:46la semaine prochaine,
18:49dans toutes les industries,
18:51il y en a en France,
18:52ce n'est pas un petit pays,
18:55mais c'est vrai
18:56qu'il y a une situation
18:56très grave,
18:58et qu'il est temps
18:59d'y remédier,
19:00ça,
19:00tout le monde le sait,
19:01mais comment ?
19:02Est-ce que ça va se passer
19:03en dessous de la ceinture,
19:04au-dessus de la ceinture ?
19:05On verra.
19:06Merci Ludovic Malo.

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