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00:00Europe 1, 16h-18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05Merci d'être avec nous sur Europe 1 0180 20 39 21 et vous nous appelez pour réagir à ça.
00:11François Bayrou, c'était hier chez nos confrères d'LCI, écoutez ce qu'il a dit.
00:16Vous ne pouvez pas accepter que dans le pays, il y ait des dizaines ou centaines de milliers de personnes
00:22qui sont en situation irrégulière.
00:25Je ne crois pas que ce soit mieux d'être métissé que de ne pas l'être.
00:31Je pense que les apports étrangers sont positifs pour un peuple
00:39à condition qu'ils ne dépassent pas une proportion.
00:43Je pense que la rencontre des cultures est positive.
00:47Mais dès l'instant que vous avez le sentiment d'une submersion,
00:52de ne plus reconnaître votre pays, de ne plus reconnaître les modes de vie ou la culture,
00:58dès cet instant-là, vous avez rejet.
01:00C'est dans cette zone qu'on se trouve.
01:02Et un certain nombre de villes ou de régions sont dans ce sentiment-là.
01:08Je répète, pour moi, c'est une question de proportion.
01:12Alors, si je peux me permettre mon analyse sur ce qu'a dit François Bayrou,
01:15déjà, là je pense que c'est le François Bayrou candidat 2027 qu'on a.
01:21Vous allez bien Cyril ?
01:23Bien sûr, très bien.
01:25En tout cas, il est lucide.
01:27Il faut bien revenir parmi nous.
01:29C'est vrai que François Bayrou, là, c'est un discours de candidat.
01:32Ce n'est pas un discours de mec qui se dit
01:34je vais essayer de rester Premier ministre le plus longtemps possible.
01:37C'est un discours courageux même.
01:39Mais prudent.
01:41Le mot sentiment est d'une prudence.
01:43Tout sauf prudent.
01:45C'est vrai qu'il se fait attaquer par sa droite qui remet en cause le terme de sentiment.
01:50J'ai vu des tweets de Reconquête disant
01:53après le sentiment d'insécurité, le sentiment de submersion.
01:57Il dit quand même un tout petit peu les termes, si je puis me permettre.
01:59Et par des macronistes.
02:01Et par des macronistes, tu as raison.
02:02Mais dans l'autre sens.
02:04Vous qui le connaissez bien.
02:06Là, pour moi, c'est des propos de futur candidat.
02:09D'abord, ce qu'il dit là, ça prend une dimension nationale au regard de sa responsabilité.
02:13Mais il a toujours pensé ça.
02:15Ce n'est pas la première fois que je l'entends aborder ces sujets-là.
02:18De cette manière-là, il l'a régulièrement fait au conseil municipal de Pau.
02:21Mais ce n'était pas une chambre...
02:23On ne l'entendait pas nationalement.
02:25Il a toujours pensé ça.
02:27Sur la proportion.
02:29Là où il m'étonne un peu,
02:31c'est qu'il prend un risque dans le contexte politique aujourd'hui en termes de stratégie.
02:35Le fait d'exprimer ce qu'il dit là et qu'il pense.
02:38Donc on peut lui accorder une sincérité.
02:40Le fait d'aller sur un terrain de sentiment de submersion.
02:43Sa phrase sur le métissage.
02:45Il me semble qu'il n'a peut-être pas mesuré
02:48les dégâts collatéraux que cela peut faire
02:51dans ce temps précis de négociation avec le Parti Socialiste.
02:54Parce que le Parti Socialiste, Gauthier, aujourd'hui, tu l'as dit tout à l'heure,
02:58réagit très fortement.
03:00Le président Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale,
03:03a interpellé le Premier ministre d'une manière très rugueuse.
03:06Et Olivier Faure a tweeté pour dire que c'était terminé les négociations.
03:09Alors qu'ils sont dans un moment...
03:11On est dans le Monday Time de la négociation budgétaire
03:13avec une coalition mixte-paritaire qui se réunit jeudi
03:16avec le PLFSS qui est en discussion.
03:19Donc oui, ils disent ce qu'ils pensent.
03:21Sur des sujets dont on sait qu'ils alimentent vite de la polémique,
03:24on peut lui accorder du courage.
03:26Est-ce que ce n'est pas un peu téméraire ?
03:28Mais tu es d'accord avec lui ?
03:30Oui.
03:31Je ne suis pas d'accord avec lui.
03:32C'est là qu'on a un sujet à pondre.
03:34Je pense qu'il faut remaitriser nos flux migratoires.
03:38Je pense qu'il y a une tension migratoire dans le pays.
03:41Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il y a de la submersion.
03:45Ce n'est pas un terme que j'emploierais.
03:47Sauf à Mayotte par exemple, puisqu'il a pris en particulier l'exemple de Mayotte.
03:50A Mayotte, oui.
03:51Donc je n'aurais pas utilisé ce terme-là.
03:53Donc vous êtes d'accord avec lui ou pas d'accord avec lui ?
03:55Pas d'accord avec lui sur l'utilisation du terme submersion.
03:58Et pas d'accord avec lui sur la phrase du métissage.
04:00Qu'est-ce que vous en pensez ?
04:02Avant qu'on prenne les auditeurs 01, 80, 20, 39, 21,
04:04je vous dis tout de suite qu'il y a José qui veut réagir dans un instant.
04:06Donc ça va secouer le scénario.
04:09J'aimerais bien que José réponde à Dartigold d'ailleurs.
04:11Je pense que François Bayrou se fait le relais de ce qu'il entend partout en France.
04:15C'est une inquiétude.
04:17Sur Mayotte, il n'y a même pas de débat.
04:19Il n'y a même pas de débat, puisqu'il y a un habitant sur deux qui est étranger.
04:22Donc il n'y a pas de débat sur Mayotte.
04:24Sur la stratégie politique, je rejoins Olivier.
04:27Là, il prend un risque, François Bayrou, c'est de se fâcher avec les socialistes.
04:31Donc il va se rapprocher à nouveau du Rassemblement National
04:33qui va, à la prochaine motion de censure vraisemblablement,
04:36redevenir l'arbitre des élégance.
04:38Si le PS vote cette motion de censure.
04:40C'est-à-dire que c'est Marine Le Pen qui met le pouce vers le haut ou vers le bas.
04:43François Bayrou, je le trouve courageux, je l'ai dit tout à l'heure.
04:45Il m'a surpris, je dois dire.
04:47Parce que moi, évidemment, je n'étais pas au Conseil Municipal de Pau toutes les semaines.
04:50Vu qu'il n'a dit ça qu'au Conseil Municipal de Pau depuis 40 ans, un peu moins,
04:55ça ne m'était pas arrivé jusqu'à mes oreilles.
04:58Donc moi, je ne serais pas comme la droite de la droite
05:01qui torpille François Bayrou en disant qu'il parle d'un sentiment.
05:04C'est énorme.
05:05Un ministre qui parle de sentiment de submersion, je n'ai jamais entendu ça.
05:09Jamais entendu ça.
05:10Donc je ne vais pas faire le militant de reconquête de base
05:13qui dit qu'il parle de sentiment, c'est horrible, il nie ce qu'est la réalité.
05:17Non, il fait un diagnostic qui colle avec la perception des Français.
05:21C'est intéressant ce que vous dit Gauthier Lebray. Géraldine ?
05:24Moi, je suis d'accord avec ce qu'a dit Gauthier, 100% d'accord.
05:26Et effectivement, la France en crève du fait qu'on se bouche le nez
05:32pour tel ou tel terme, qu'on tergiverse et tout ça.
05:34Moi, à titre personnel, en tant que petite bourgeoise parisienne,
05:37je ne suis pas concernée.
05:39Mais en revanche, quand je vais, et c'est pour ça qu'il faut apporter de la nuance,
05:42quand je vais à l'EHPAD ou en soins intensifs ou à ma grand-mère,
05:44je ne vois que des gens ici de l'immigration
05:46qui s'occupent de changer les couches de ma grand-mère,
05:48les brancardiers, les infirmiers, les aides-soignants.
05:51Mais malgré tout, on ne peut pas être dans un déni du réel,
05:55du sentiment des Français qu'aujourd'hui, il y a un problème avec l'immigration.
06:00Et le problème, c'est dire qu'il y a un problème aujourd'hui avec l'immigration,
06:03et ce sentiment de ne plus être dans son pays, c'est réel.
06:07Et les gens ne sont pas racistes, c'est un vrai sentiment.
06:10Et au lieu de le balayer d'un revers de manche,
06:12il faut qu'on s'en empare et qu'on le règle.
06:14Alors, 0180 29 21, on revient dans une minute sur Europe 1,
06:17vous réagissez à tout cela.
06:18Il y a Josée qui voudrait parler à Olivier d'Artigone, tout de suite.
06:21Europe 1, 16h, 18h.
06:23On marche sur la tête, Cyril Hanouna.
06:260180 29 21, vous nous appelez sur Europe 1,
06:29un sentiment de submersion.
06:31Qu'est-ce qu'a dit François Taillon après ses propos sur l'immigration ?
06:34Il y a eu énormément de réactions.
06:36Il y a Josée qui va réagir dans un instant.
06:38Juste avant, il y a Kévin de Mayenne.
06:40Bonjour Kévin, merci d'être avec nous sur Europe 1.
06:42Bonjour Cyril, bonjour tout le monde, comment ça va bien ?
06:45Très bien Kévin, merci d'être avec nous.
06:47C'est moi qui vous remercie de me recevoir.
06:50C'est nous, on est tous heureux de vous recevoir.
06:53Bon, écoutez, je vais peindre le tableau maintenant.
06:57M. D'Artigolle, je n'ai rien contre vous personnellement.
07:00Et moi, je n'ai rien contre vous non plus.
07:03J'adore Kévin parce que tout le monde débarque par ça.
07:06J'ai rien contre vous, M. D'Artigolle,
07:08mais c'est vrai que je suis d'accord avec vous sur rien.
07:10En fait, le pauvre, il va prendre pour tous les gauchistes qui m'énervent.
07:13Entre les gilbernais, les guignolos,
07:16les guignolets, enfin bref.
07:19Mais franchement, force à vous Cyril, parce qu'il faut s'effartir.
07:22Moi, je peux être un calme.
07:24Kévin, merci de me le dire parce que vous savez que force à moi, franchement.
07:27Kévin, non mais je vous jure que c'est vrai.
07:30Franchement, comme je dis à chaque fois, c'est compliqué pour moi tous les soirs.
07:33Ce soir, j'ai Vernez et Guignol autour de la table.
07:35J'espère que vous êtes solide.
07:37Je peux rire, c'est chaud.
07:39Il y a des points de pénibilité de retraite là.
07:41Ah oui, c'est sûr, c'est sûr.
07:43Alors, dites-nous tout Kévin.
07:44Bon, je vais essayer d'être rapide et concis.
07:46Franchement, la gauche qui incarne tous ceux que j'ai précités,
07:51c'est la gauche qui était dans les années 70.
07:54C'était la gauche où ça avait des rapports sexuels sans préservatifs,
07:58ça buvait des camions sur la route et ça prenait le volant sans être contrôlé.
08:01C'est fini, c'est fini, c'est fini.
08:04Maintenant, le monde, il a changé.
08:06En fait, eux, ils sont restés.
08:08Ils ont une vision, mais totalement dénuée de bon sens.
08:10C'est ça le problème.
08:11Il leur manque du bon sens.
08:12Ils sont dans une utopie où c'est la fête, c'est guinguette,
08:16on est chez les Bisounours.
08:17Mais ça, c'était avant.
08:18C'était avant.
08:19Maintenant, c'est fini.
08:20C'est fini.
08:21Alors là, après, on peut parler des termes.
08:23Submersion, ce n'est pas le terme que j'aurais utilisé.
08:25D'accord, vous utilisez...
08:27C'est mon droit.
08:28Tout à fait, mais moi, j'ai le droit de vous le dire aussi.
08:31Le fait est que c'est totalement...
08:32Non, mais voilà, il y a un moment de temps, réveillez-vous, réveillez-vous.
08:35Là, la situation dans laquelle nous sommes,
08:38c'est parce qu'on a trop voulu être gentil.
08:40On a trop voulu être gentil.
08:41Et là, maintenant, honnêtement, on se la prend à l'envers.
08:46On se la prend à l'envers.
08:47On se la prend à l'envers.
08:48Les politiques, mais il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.
08:50Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.
08:52La France, c'est bien.
08:53Les politiques font des déclarations.
08:55Mais on n'est plus souverain de notre pays.
08:57On n'est plus souverain.
08:58Et le peu de politique qui ose faire avancer les choses,
09:01attendez, ça va être retoqué au conseil de Monvier,
09:04au conseil de machin, au bidule.
09:06Ah ben non, on ne peut pas faire ça.
09:08Parce qu'il y a l'humain, il y a machin, il y a bidule.
09:11Eh ben ouais, non, mais on va se faire bouffer.
09:13Là, déjà, honnêtement, on est vraiment dans la merde.
09:15On est vraiment dans la merde.
09:16Et je ne vois pas le futur, comment ça va se gérer.
09:19Soit il y a un moment où ça va péter.
09:21Soit il faut vraiment, vraiment, vraiment que la France,
09:24les politiques, enfin bref,
09:26il faut vraiment qu'il y ait un chamboulement
09:28et mettre les choses à plat.
09:30Donc en fait, moi, la vision de la gauche, je n'ai rien.
09:32C'est bien, il faut être gentil, il faut aider.
09:34Allez, on aide les gens qui ne sont pas français, etc.
09:37Mais on ne peut plus.
09:38On ne peut plus.
09:39On ne peut plus.
09:40On ne peut plus.
09:41Le français de base n'arrive plus à se sortir de là.
09:44N'arrive plus à se sortir.
09:45Ne sort plus la tête de l'eau.
09:47Enfin voilà, je ne comprends pas.
09:49Et en plus, vous restez à fond dans votre connerie.
09:51Enfin, dans votre pensée.
09:52C'est quand même, c'est hallucinant.
09:54C'est hallucinant.
09:55Enfin, je ne sais pas.
09:56Oui.
09:57Alors, ce que dit Kevin,
09:59c'est vrai que c'est le sentiment de beaucoup de monde.
10:01Excusez-moi de vous le dire sur un repas,
10:02un Olivier d'Artigolles.
10:03Mais Kevin, quand on dit Kevin là,
10:06et quand on dit ça,
10:07les gens vont vous traiter de facho, de raciste.
10:10Mais ça n'a rien à voir.
10:11Ce n'est pas du tout ce que veut dire Kevin.
10:13Mais j'ai des chromosomes avec des autres dans le nez.
10:15Je suis séquencier.
10:16On peut me dire que je suis un facho et un raciste.
10:17Je n'en ai rien à carrer.
10:18Alors là, Kevin est incroyable.
10:20Je n'en ai rien à carrer.
10:21Il est en colère.
10:22Il est en colère parce que
10:24j'ai l'impression que c'est,
10:26on voit qu'en ce moment,
10:28on se sent,
10:30je ne sais pas ce que vous en pensez ici autour de la table,
10:32on se sent démuni par ce qui se passe.
10:33Et on sent.
10:34C'est pour ça que quand moi je m'énerve,
10:35après Gilles Verdez, après Thomas Guénolé,
10:37ce n'est pas contre Gilles Verdez ou Thomas Guénolé
10:39que je m'énerve ou contre Dartigold.
10:41C'est que je pense que ces gens
10:43qui ont ce genre d'idéologie
10:45font énormément de mal
10:47à la France pour moi.
10:48Et c'est ça le problème que j'ai.
10:49Et qui sont vraiment pour moi
10:51ce que j'appelle les dodanes de la France.
10:53C'est-à-dire qu'on pourrait rouler à vive allure
10:55mais à cause de gens comme ça,
10:57on a des ralentisseurs tous les 10 mètres.
10:59Et ils ralentissent la France.
11:01Et je le pense.
11:03Et en plus,
11:05c'est une idéologie
11:07qui est prépondérante dans les médias,
11:09qui est prépondérante chez les décideurs,
11:11qui est prépondérante chez ceux qui
11:13ont la carte, comme je dis.
11:15Et on l'a bien vu avec ce patron de presse
11:17qui vient de démissionner parce qu'il avait
11:19liké des tweets de
11:21Sarah Knafo, Mario Maréchal
11:23ou encore CNews.
11:24On voit bien que les décideurs,
11:26les décideurs, à part dans notre groupe,
11:28on ne va pas se mentir,
11:30sont ces donneurs de leçons
11:32qui font énormément de mal à la France.
11:34Et je suis d'accord avec Kevin
11:36qu'aujourd'hui,
11:38ça devient très très compliqué
11:40et que je dois avoir, mine de rien,
11:42une prime de pénibilité quand je travaillais
11:44avec Guénolé ou Ginevernaise.
11:46Et je suis d'accord avec vous Kevin !
11:48Non mais,
11:50sans rire,
11:52vous voyez ce que je veux dire ?
11:53Oui mais bien sûr, et Olivier,
11:54que le terme « submersion » soit pour toi
11:56un mythe ou une réalité.
11:58Il se trouve que les Français aujourd'hui
12:00ont cette impression.
12:01Pas moi, parce que moi je ne suis pas concernée.
12:03Ça n'est pas dans mon quotidien.
12:04Tu comprends ? Donc j'estime que je suis chanceuse.
12:06Mais qu'est-ce que tu dis à ces millions et millions de Français
12:08qui ne sont pas racistes,
12:10mais qui ont ce sentiment-là ?
12:12Ce que je dis, c'est que le terme de « submersion »
12:14il est exact pour Mayotte.
12:16Oui.
12:17Je le conteste dans sa réalité
12:19pour l'ensemble d'un métropole,
12:20mais dans certains quartiers.
12:22Il ne dit pas l'ensemble du pays.
12:23Il dit des quartiers.
12:25Oui, je sais, j'ai bien vu le verbatim de ce qu'il a dit.
12:27Mais dans des quartiers.
12:30Donc on va s'arrêter à ce terme-là ?
12:32Ce terme-là, on va tout suspendre ?
12:34Dans des quartiers et dans des villes,
12:36il est vrai que la réalité est celle que tu décris.
12:38Je ne le conteste pas.
12:40C'est donc ce qu'on appelle l'insécurité culturelle.
12:44Les gens se disent, ça ne va pas,
12:46ça ne va plus, on ne s'y reconnaît pas.
12:48Et donc on va arrêter tout parce que le mot ne convient pas ?
12:50Je dis simplement que je peux dire ça
12:52tout en réfutant le terme de « submersion »
12:56qui pour moi est un terme qui justement
12:58ne permet pas un débat apaisé derrière.
13:00Il faut agir maintenant.
13:02Et oui, mais à force de dire les mots, les mots, les mots,
13:04je l'ai dit tout à l'heure,
13:06Sarkozy avec son ministère, on n'a rien fait.
13:08On voit très bien ce que ça provoque.
13:10Ça provoque une inflammation
13:12immédiate du débat.
13:14Mais par qui ?
13:16Elle vient de chez vous,
13:18l'inflammation du débat.
13:20Je voudrais remercier Kevin d'avoir été avec nous.
13:24Merci Kevin.
13:26De rien Cyril, en tout cas ça m'a fait du bien.
13:28On peut jeter mon venin ?
13:30Je vais jeter mon venin moi ce soir.
13:32Je t'embrasse Kevin.
13:34Franchement je vais vous regarder, assurez.
13:36Mettez l'ordre des 12.
13:38Merci Kevin, je vous embrasse fort.
13:40Merci bien, soyez forts.
13:42Merci Kevin, on ne lâche rien.