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Jordan Bardella, président du Rassemblement national et eurodéputé : «J’ai le sentiment que la gauche a les larmes à géométrie variable», dans La Grande Interview de Sonia Mabrouk mardi 29 avril.

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Transcription
00:00J'ai vu les larmes de M. Mélenchon, j'ai vu l'indignation d'une grande partie de la gauche
00:04et on a le sentiment que ces gens-là découvrent le sujet de la violence, le sujet de l'insécurité
00:08lorsque cette violence est dirigée contre ce qu'ils considèrent être comme une potentielle clientèle électorale
00:15et c'est ce que je trouve profondément immoral là-dedans.
00:18Est-ce que mentalisation, dites-vous, de ce drame ?
00:20J'ai le sentiment que la gauche, elle est l'arme à géométrie variable
00:23et cette gauche qui est extrêmement ferme, extrêmement dure pour condamner ce qui s'est passé ce week-end,
00:28je l'ai été, je le suis et je le suis sans la moindre ambiguïté,
00:32est bien plus silencieuse lorsqu'il s'agit de condamner des actes qui ont pu viser Philippine,
00:38qui ont pu viser Thomas, Crépole, qui ont pu viser Lola,
00:42lorsqu'il s'est agi par exemple de condamner le 7 octobre
00:44et je n'aime pas cette indignation à géométrie variable
00:48et cette condamnation de la violence à géométrie variable.

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