Elisabeth Lévy, journaliste, revient sur les obsèques du pape François : «Il y avait plein de gens qui ne se sont pas déplacés».
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00:00– Alors est-ce que je peux vous faire redescendre un tout petit peu ?
00:03Si on fait la comparaison, donc j'ai entendu ça sur Europe 1, disons-le,
00:07que quand même la moitié du monde n'était pas là.
00:09Pour les obsèques de la reine Elisabeth, tout le monde était là, tout le monde.
00:13Et à mon avis, si on cherche l'audience globale planétaire,
00:17je pense qu'Elisabeth est sans comparaison.
00:22Donc ce que je veux dire, c'est qu'il y a tout un monde,
00:24toute une civilisation dans laquelle l'Église a du poids,
00:27mais il y a plein de gens qui ne se sont pas déplacés.
00:29Ça m'a frappé, ça m'a frappé de l'entendre.
00:31Peut-être que vous pouvez nous dire pourquoi maintenant, cher Macron.
00:33– Vous voulez dire qu'il y a plein de gens qui ne se sont pas déplacés ?
00:34– Oui.
00:35– Il n'y avait pas les Chinois, il n'y avait pas les…
00:37Non mais…
00:37– Oui.
00:38– Ah bah…
00:38– Vous parlez de…
00:41– Vous avez expliqué qu'il y avait un moment diplomatique formidable,
00:44l'absence des Chinois est quand même un peu gênante,
00:45puisque c'était l'essentiel de l'action diplomatique du pape François,
00:50a été de nouer une relation avec Pékin.
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