Alors que les travailleurs sont de plus en plus exigeants sur la QVT et le sens de leurs actions, une entreprise qui produit des boissons sucrées peut-elle rester attractive ? C’est l’équation que doit résoudre Anne-Sophie Jamot, la DRH de PepsiCo France, invitée du Grand Entretien de SMART JOB.
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00:00 [Générique]
00:12 Le Cercle RH est un grand entretien aujourd'hui pour accueillir Anne-Sophie Jameau.
00:16 Bonjour Anne-Sophie.
00:17 Bonjour.
00:17 Ravie de vous accueillir.
00:18 Directrice des Ressources Humaines des RH de PepsiCo France.
00:22 Oui.
00:22 Et comme son nom ne l'indique pas forcément, vous ne vendez pas que du Pepsi-Cola, on est bien d'accord ?
00:27 On ne vend pas que du Pepsi-Cola.
00:29 On vend toute une gamme de produits alimentaires et des boissons.
00:32 Et des boissons, absolument. On a deux catégories.
00:34 Lipton.
00:35 Lipton Ice Tea.
00:36 Ice Tea, un produit phare.
00:37 Oui.
00:38 Le Pepsi, qui est le concurrent de Coca, pour le dire un petit peu durement.
00:41 D'ailleurs, souvent dans les restaurants, on vous dit "mais c'est Pepsi ou c'est Coca ?"
00:44 Vos commerciaux sont confrontés à ça.
00:46 Ils sont confrontés à ça, oui.
00:48 Plus de 600 collaborateurs.
00:50 650.
00:50 650 en deux parties, un siège et puis le reste, c'est votre force de vente.
00:56 Nos forces de vente.
00:56 Vos forces de vente qui sont sur le terrain.
00:59 D'abord, un petit mot global sur une entreprise qui est une multinationale, qui est connue du monde entier.
01:05 Quelle est la raison d'être pour ce type d'entreprise ?
01:08 Parce que vous êtes aujourd'hui la cible de tous les consommateurs un peu écolos qui disent
01:13 "attendez, il faut arrêter de boire du Coca et du Pepsi, il faut arrêter de manger de la junk food".
01:18 Comment vous vous situez par rapport à ça ?
01:20 Alors nous, la mission de Pepsi Co France, c'est de proposer aux consommateurs des moments de plaisir et de partage.
01:26 Et nos marques proposent justement des produits qui accompagnent la vie des français tout au long de la journée.
01:33 Du petit déjeuner jusqu'au dîner, parce qu'on a une marque de céréales qui s'appelle Quaker également.
01:38 Et donc, comme tout plaisir qu'il soit sucré ou salé, tout est une question d'équilibre alimentaire.
01:44 Et Pepsi Co...
01:45 Et de dosage donc, c'est ce que vous nous dites.
01:47 Et de dosage.
01:48 Et Pepsi Co investit énormément pour améliorer les qualités nutritionnelles de ces produits.
01:56 Donc sur nos deux catégories, que ce soit la catégorie épicerie salée ou la catégorie boisson.
02:02 Donc vous assumez ces produits et vous les portez haut avec vos équipes et votre réseau commercial.
02:08 Oui.
02:09 Un mot sur la relation au travail, parce que j'ai vu que vous étiez dans le classement top employer, une entreprise où il fait bon vivre.
02:16 Ça c'est quoi ? C'est la patte de l'ADRH, c'est une volonté, je dirais même, de l'entreprise multinationale
02:22 qui dit aussi à tous les pays "on veut une entreprise engagée" ou il y a une touch française sur ce sujet-là ?
02:28 Alors j'ai envie de vous dire, il y a beaucoup d'acteurs.
02:30 Ce n'est pas que le travail du DRH ou de l'ADRH.
02:33 On a une équipe déjà avec nous, mais c'est aussi...
02:36 Il y a une intentionnalité du groupe, bien évidemment.
02:38 On est dans une société américaine et les sociétés américaines sont très souvent beaucoup en avant
02:44 sur les pratiques manageriales et organisationnelles.
02:47 Mais après c'est un travail d'équipe, aussi bien avec la participation et l'engagement du comité de direction,
02:55 des partenaires sociaux, de l'équipe RH, mais plus généralement du relais managerial également.
03:01 Là on parle du Colomb, c'est le réseau, la direction et les équipes, les forces de vente, la production.
03:08 C'est aussi des entreprises françaises, vous avez une production qui vient du monde entier ?
03:12 Alors on n'a pas d'usine en propre en France.
03:16 On travaille avec ce qu'on appelle des embouteilleurs pour les boissons, qui sont basés en France.
03:21 Et ensuite on a des usines pour la catégorie épicerie qui sont basées en Belgique ou en Espagne.
03:26 Un mot sur l'encrutement chez Vepsico, parce que, au risque d'insister,
03:32 on a des générations Z et on a des experts qui viennent sur ce plateau
03:35 nous expliquer que la génération Z veut tout renverser.
03:38 Elle ne voit plus le travail de la même manière.
03:40 Elle ne voit plus d'ailleurs le sens au travail et l'importance d'aller ou pas dans une entreprise.
03:44 Comment vous faites, vous, pour attirer, pour faire venir les fameux talents ?
03:48 Comment on fait ?
03:49 Alors je ne suis pas tout à fait d'accord avec le fait que les nouvelles générations
03:52 ne trouvent pas de sens au travail.
03:54 Je pense qu'ils ont besoin d'avoir justement un sens au travail.
03:57 Sans doute que ce sens au travail prend une forme différente
04:01 de celle que ça pouvait prendre pour ma génération ou la génération de nos parents.
04:05 Maintenant c'est comment on leur apporte ce sens-là, je pense.
04:08 Et notamment chez Vepsico, on a à cœur de mettre en avant notre culture d'entreprise
04:13 et on a à cœur de mettre aussi en avant toute notre démarche RSE
04:17 autour du programme de la stratégie Vepsico positive,
04:20 qui est extrêmement importante et qui résonne au-delà, bien évidemment, des marques
04:24 qui sont aussi un avantage compétitif, si je puis dire, pour attirer les talents.
04:28 Ça veut dire que c'est un travail que vous menez avec vos équipes,
04:31 en marque employeur, en visibilité.
04:34 C'est quoi l'ambiance Vepsico ?
04:35 Parce qu'on voit qu'il y a comme ça, dans la façon dont vous vous exprimez,
04:39 une sorte d'état d'esprit au sein de Vepsico.
04:42 Oui, il y a un état d'esprit et je pense que l'état d'esprit de l'entreprise
04:46 est à l'image de nos marques.
04:47 Donc on travaille dans un environnement de travail qui est convivial,
04:52 où le partage est important, la collaboration extrêmement importante.
04:57 Mais ça n'empêche qu'on a aussi un très haut niveau d'exigence
05:00 et on a à cœur de faire toujours mieux dans tous les domaines de l'entreprise.
05:04 On est dans un environnement concurrentiel,
05:09 donc il faut constamment se remettre en question,
05:11 mais en se disant qu'on veut toujours faire mieux que les jours précédents.
05:15 Je l'évoquais en vous présentant, parce qu'il y a à la fois un groupe
05:17 qui se trouve la moitié de l'équipe à Colombes,
05:19 puis le reste est disséminé sur le territoire.
05:21 C'est quoi les métiers que vous recrutez chez Vepsico ?
05:23 Parce qu'il y a beaucoup de commerciaux,
05:24 il faut quand même des gens qui soient capables de faire de la négo et de vendre.
05:28 De vendre, de s'occuper, de vérifier que nos produits sont bien présents en magasin.
05:33 Qu'on a des rayons qui donnent envie aux consommateurs d'essayer d'acheter nos produits.
05:40 On a des équipes clients qui négocient avec nos clients.
05:45 Et puis après, on a les équipes marketing, bien évidemment,
05:48 qui travaillent sur le développement de nos produits et des nouvelles innovations.
05:51 Et puis, toutes les fonctions support.
05:54 Donc, on recrute dans toutes les fonctions de l'entreprise.
05:58 Du commercial ?
05:59 Du commercial à tous les niveaux.
06:01 Il faut savoir que chez Vepsico, on est quand même une entreprise qui favorise la promotion interne.
06:06 Donc, on va toujours, quand on a un poste qui se libère au sein de l'organisation,
06:11 on va toujours l'ouvrir en interne et privilégier les candidatures internes avant d'ouvrir en externe.
06:17 Néanmoins, ça peut arriver qu'on n'ait pas forcément le bon candidat en interne au bon moment sur le job.
06:22 Et du coup, dans ces cas-là, on va les recruter.
06:24 Je suis l'exemple, moi, de quelqu'un qu'on est allé chercher en externe il n'y a pas si longtemps que ça.
06:29 On irait chez Vepsico ou on y passe ?
06:31 Parce qu'il y a beaucoup de stratégies, notamment de jeunes sortant d'écoles de commerce, par exemple,
06:36 ou d'autres, d'aller dans des grandes marques, dans des multinationales,
06:39 et puis on y fait quelques années, on s'y fait les dents, puis on part ailleurs.
06:44 Comment ça se passe chez vous ?
06:45 Comment on engage et comment on maintient les gens chez Vepsico ?
06:49 C'est tout le programme de fidélisation des collaborateurs.
06:51 Ça serait assez difficile à résumer en quelques minutes,
06:54 parce que c'est toute la stratégie RH qui se doit d'attirer, de fidéliser les talents.
07:00 Je dirais que chez Vepsico, on peut distinguer...
07:04 On a des collaborateurs qui sont là depuis très longtemps.
07:06 On a, je crois que notre...
07:09 J'hésite toujours entre un collaborateur et une collaboratrice,
07:12 mais qui sont à plus de 35 ans d'ancienneté au sein de Vepsico,
07:15 donc c'est une ancienneté significative.
07:18 Mais c'est vrai que sur les plus jeunes générations,
07:20 on peut remarquer des envies un petit peu différentes.
07:24 Ah, vous voyez qu'on y vient ?
07:25 Oui, oui, alors qu'on y vient,
07:26 mais qui ne sont pas forcément intrinsèques à l'entreprise,
07:29 qui peuvent être liées à des aspirations personnelles.
07:31 Qu'est-ce qui vous demande quand vous faites l'entretien internel ?
07:33 Parfois, ça peut arriver qu'un jeune collaborateur ait une envie,
07:38 à un moment donné, de s'essayer à l'entreprenariat
07:41 et du coup va potentiellement aller développer un projet entrepreneurial à l'extérieur.
07:46 Et il n'est pas rare qu'on puisse rembaucher des collaborateurs
07:48 qui sont allés tenter quelque chose de différent dehors de Vepsico et qui reviennent.
07:53 En disponibilité ?
07:54 Soit en disponibilité, soit ils démissionnent et puis ils partent
07:58 et ils reviennent quelques années après.
08:00 J'ai plusieurs exemples en tête.
08:02 Il y a de la mobilité, parce qu'on l'a compris,
08:04 il y a plusieurs marques, beaucoup de produits,
08:06 produits alimentaires, des boissons, on l'a évoqué,
08:08 le thé, Pepsi, Cola, bien sûr.
08:10 Il y a de la mobilité de collab qui vous disent
08:12 "Moi, le plaisir d'être dans du multinational,
08:14 c'est que j'ai envie de partir dans la filiale sud-africaine,
08:16 d'aller aux Etats-Unis".
08:17 Comment ça se passe, ça ?
08:18 Alors, on gère ça entre équipes RH,
08:22 soit au niveau de l'Europe, soit au niveau du global.
08:25 Chez Pepsico, en France, on attache beaucoup d'importance
08:28 à la mobilité cross-fonctionnelle, déjà.
08:30 Donc c'est vrai qu'on essaye de proposer un maximum
08:32 de ponts entre les fonctions.
08:35 Donc on peut travailler au marketing et ensuite
08:37 d'aller s'essayer sur un poste au sein des ventes,
08:40 ou pourquoi pas à la finance, ou même en RH.
08:42 Moi, j'ai une collaboratrice dans mon équipe
08:44 qui a passé des années en finance,
08:46 qui est ensuite allée travailler dans un autre département
08:48 et qui maintenant est dans la fonction RH.
08:50 Il nous reste un tout petit peu de temps,
08:51 mais deux, trois exemples, vous m'avez dit,
08:53 on ne peut pas détailler, mais qu'est-ce qu'il fait ?
08:56 Quels sont les outils que vous mettez à disposition
08:58 des collaborateurs qui fait qu'aujourd'hui, vous dites,
09:00 on est quand même un petit peu une entreprise en pointe ?
09:03 C'est quoi ? C'est des outils sur la parentalité ?
09:05 C'est la qualité de vie au travail,
09:07 donc ça va couvrir effectivement des aspects de parentalité,
09:10 mais pas que. En termes de diversité et d'inclusion,
09:12 je pense qu'on a mis un gros coup d'accélérateur
09:14 en fin d'année dernière sur les aspects d'égalité des gens,
09:18 de parité et de parentalité.
09:20 Sur l'accompagnement des seniors
09:24 et l'inclusion des différentes générations.
09:28 Et notamment, la stratégie handicap,
09:31 qui est sans doute ce sur quoi on travaille le plus en ce moment,
09:36 parce qu'on n'était pas forcément bon,
09:37 il faut aussi savoir reconnaître quand on n'est pas bon,
09:39 et donner un gros coup d'accélérateur.
09:41 Donc on a une stratégie pour l'inclusion du handicap visible ou invisible
09:44 qui est en place depuis le mois d'octobre
09:46 et qui commence à démontrer des beaux résultats.
09:49 - Avant de nous quitter, on a beaucoup de dérages,
09:53 beaucoup d'entreprises qui nous disent "on peine à recruter".
09:55 Est-ce que chez vous, vous subissez le même sort ?
09:58 Est-ce que c'est plus compliqué ?
10:00 Vous qui avez un regard sur ce métier,
10:02 est-ce que c'est plus difficile aujourd'hui de recruter ?
10:03 - C'est plus compliqué qu'il y a quelques années.
10:06 Je pense qu'il y a beaucoup plus d'offres d'emplois,
10:09 on le voit, le taux de chômage diminue, etc.
10:11 Donc oui, forcément, le "pouvoir" a changé de camp.
10:18 C'est-à-dire que là où les entreprises étaient "plus en position de force",
10:21 on va dire que depuis 2 ans, 2 ans et demi, c'est plutôt les candidats.
10:24 - Celui que vous avez en face, il a le choix ?
10:25 - Oui, il a le choix, mais c'est bien parce que ça nous pousse à nous démarquer encore plus,
10:29 à sortir de nos retranchements et à faire toujours mieux,
10:33 et à se démarquer.
10:34 Donc c'est beaucoup plus challengeant, ça prend parfois un peu plus de temps,
10:37 mais au final, c'est plutôt assez positif.
10:40 - Il y a un mot qu'on n'a pas évoqué, vous avez parlé de la parentalité,
10:42 l'effort que vous faites sur l'inclusion, l'égalité.
10:44 55% d'ailleurs de femmes au sein du COMEX,
10:47 donc il faut quand même le signaler.
10:49 Comment on fait pour maintenir en emploi,
10:53 et comment on fait pour attirer les talents,
10:55 vous savez ces fameux talents, parce que toutes ces entreprises se battent des talents.
10:57 Comment vous faites ? Qu'est-ce que vous leur dites quand vous êtes en entretien,
11:00 pour leur dire "Viens chez nous, parce que tu auras ça, tu auras ça, tu auras ça,
11:05 et tu auras du télétravail", parce que c'est le mot qu'on n'a pas utilisé ?
11:07 - Oui, alors le télétravail, on pratique le télétravail chez PepsiCo 2 jours par semaine,
11:12 avec un petit quota de jours flexibles également,
11:17 qu'on peut utiliser tout au long de l'année.
11:19 - Et vous ne revenez pas dessus, parce qu'il y a certains dirigeants qui disent aujourd'hui
11:21 "Il en est le télétravail, ouh !"
11:23 - Je vais être très honnête, on est revenu un petit peu dessus,
11:24 parce qu'on a signé un avenant il y a quelques semaines,
11:26 on était à 3 jours de télétravail par semaine.
11:28 - Et on réduit un peu.
11:29 - On a réduit un tout petit peu, mais finalement en apportant une flexibilité différente,
11:33 c'est-à-dire au lieu d'avoir 3 jours par semaine,
11:35 on a 2 jours par semaine maintenant,
11:37 mais on a, je vous dis, ce compteur de jours de télétravail flexible
11:42 qu'on peut utiliser quand on veut.
11:43 - Ça a grincé des dents chez les collaborateurs,
11:44 ou tout le monde a compris quand même qu'il fallait peut-être
11:46 être un peu plus présent quand même dans l'entreprise ?
11:49 - Ça a pu grincer un petit peu des dents,
11:51 mais encore une fois, il y a des collaborateurs qui apprécient de venir plus au travail,
11:55 il y a des collaborateurs qui...
11:56 On ne fait jamais l'unanimité quand on prend de nouvelles mesures, on le sait.
11:59 Maintenant, c'est de donner du sens,
12:00 et je pense que les collaborateurs ont compris le sens de cette mesure.
12:04 - Un dernier mot, ça c'est des décisions qui sont prises aux Etats-Unis
12:07 lorsque vous décidez de réduire légèrement ou de réorganiser le télétravail,
12:10 ou c'est une décision très franco-française quand vous prenez ce type de décision ?
12:14 - Ça a été une impulsion du groupe.
12:17 - Du groupe ? - Oui.
12:18 - Qui, d'une manière stratégique et mondiale,
12:20 donc de fait, décide de réduire un tout petit peu le télétravail.
12:24 - Oui, parce qu'on était dans une période aussi où on avait besoin justement
12:27 de renforcer, on va dire, la cohésion des troupes,
12:30 comme on en parlait tout à l'heure,
12:32 et à un moment donné, c'est vrai que quand on a beaucoup de télétravail,
12:36 on se rend compte que ça a un impact et que ça délite un petit peu
12:39 l'engagement des collaborateurs et la collaboration.
12:41 - Anne-Sophie Jameau, merci d'être venue.
12:43 C'est une question un peu traditionnelle que je pose au DRH.
12:45 C'est quoi la suite de votre journée ?
12:47 Parce que là, vous venez en plateau, vous venez nous montrer le beau visage
12:50 de votre entreprise, c'est quoi votre journée ?
12:52 - Ah bah écoutez, ma journée, je repars au bureau parce que j'anime un webinar
12:56 pour informer les collaborateurs de l'atterrissage, participation
13:01 et intéressement de la fin de l'année.
13:02 - D'accord, donc là vous leur faites des annonces ?
13:04 - Exactement !
13:05 - Qu'ils ne connaissent pas, j'imagine, encore ?
13:06 - Qu'ils ne connaissent pas et qu'ils attendent avec impatience.
13:08 - Donc c'est comme on partage le fruit des efforts collectifs.
13:11 - Exactement !
13:12 - Les nouvelles sont bonnes ou pas ? Les chiffres sont bons ?
13:14 - Je pense qu'ils vont être contents.
13:16 - Voilà, donc vous avez plutôt un webinar positif pour vous.
13:19 - Bah en tout cas j'espère, mais oui, je pense qu'ils vont être contents.
13:22 - Ça, ça fait du bien quand on est DRH et qu'on est des collaborateurs.
13:24 - Oui, ça fait du bien quand on est DRH, on est content d'annoncer des bonnes nouvelles.
13:26 - La participation et l'intéressement.
13:28 - Absolument.
13:29 - Qui sont deux choses différentes.
13:30 - Différentes, oui.
13:31 - Merci Anne-Sophie Jameau de nous rendre visite.
13:32 - Merci à vous pour l'invitation.
13:33 - Pepsico France, groupe mondial avec 650 collaborateurs ici en France, avec des emplois ouverts, on le redit.
13:40 - On le redit et tous les profils sont les bienvenus, les jeunes, les moins jeunes, les seniors.
13:45 - Sans diplôme vous le faites ?
13:46 - Ça peut sans diplôme, absolument, si on a de l'expérience, bien sûr.
13:50 - Dans le commercial par exemple.
13:52 - Tout le monde est bienvenu chez Pepsico.
13:54 - La porte est grande ouverte.
13:55 - Exactement, merci à vous.
13:56 - Merci de nous avoir rendu visite, c'est un vrai plaisir.
13:58 Merci Anne-Sophie Jameau, on termine notre émission avec Fenêtre sur l'emploi.
14:02 et j'accueille mon invité.