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La présidente du comité de libération de Boualem Sansal Noëlle Lenoir réagit aux six mois de son incarcération : «Il y a un niveau d'agressivité de la part du gouvernement algérien qui est tel que la France reverrait 28 agents diplomatiques algériens.»

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Transcription
00:00Comme vous l'avez vu, il y a eu un mélange qui a été tout à fait néfaste
00:06entre la politique intérieure, la politique étrangère française et le cas de Boilem.
00:11Et la France, le Quai d'Orsay, n'était pas tout à fait sur le même registre que le ministre de l'Intérieur,
00:16c'est-à-dire était pour une sorte d'apaisement, de réconciliation, de mémoriel, etc.,
00:21comme les tentatistes qui sont faits depuis des décennies sans aboutissement.
00:26Alors maintenant, c'est vrai qu'on est arrivé à un point d'orgue,
00:30c'est-à-dire qu'il y a un niveau d'agressivité de la part du gouvernement algérien qui est tel
00:34que, comme vous l'avez vu, la France renverrait 28 agents diplomatiques ou consulaires algériens en Algérie.
00:44Toute cette action a été déclenchée parce que le parquet national antiterroriste
00:49s'est saisi d'une tentative d'enlèvement et d'assassinat,
00:53sans doute il y a présomption d'innocence par le gouvernement algérien en France,
00:59et donc il y a un juge d'instruction qui convoque des hauts dignitaires algériens
01:03et ça a déclenché évidemment des actions de riposte de l'apport du gouvernement algérien.
01:08Sous-titrage Société Radio-Canada
01:11Sous-titrage Société Radio-Canada

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