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00:00d'une certaine manière, M. Benlazard, et la défense s'est organisée autour de séquences qui ont été utilisées,
00:11où on a appris ce qui s'était dit sur CNews, ce qui s'était dit sur Sud Radio, etc.
00:15Ce qui est très intéressant là aussi. Donc écoutez la séquence et vous réagissez.
00:19Cette séquence sur C'est à vous, une étape importante de la conquête islamiste a été franchie.
00:24En accoutrement, salafistes, bonnets, barbants.
00:27Voici les réactions qu'a provoquées l'apparence de l'humoriste Merwan Benlazard
00:32lors d'une chronique à C'est à vous, le 31 janvier dernier.
00:36Bon alors, avant d'aller plus loin, de quoi il a parlé exactement dans son sketch ?
00:39En fait c'était simplement un zapping humoristique de l'actu de la semaine.
00:43Et ça a fait tellement de bruit que la ministre de la Culture, Rachida Dati, a été interpellée au Sénat.
00:48Est-ce qu'il y avait quelque chose de répréhensible ? Non.
00:51Ensuite, est-ce que des propos ont été tenus par ce chroniqueur qui sont scandaleux ?
00:56Oui. France Télévisions en a tiré les conséquences. Il ne sera plus à l'écran.
01:00Sauf que la société de production de l'émission a précisé que la participation de Merwan Benlazard était un one-shot, c'était un remplacement.
01:08L'humoriste, lui, a réagi en postant sur ses réseaux une photo de son fameux bonnet avec cette légende de la marque islamiste Zara,
01:16fabriquée en République islamique du Portugal, glaçant.
01:19Rachida Dati a terminé son intervention au Sénat en rappelant un petit truc.
01:24L'apparence, le physique, la tenue vestimentaire ne doivent pas discapilifier sans aucun fondement.
01:31Alors cette séquence est très intéressante, Laurent Jacobelli.
01:35D'abord, moi, on me fait tenir des propos comme si c'est moi qui les disais alors que je suis en train de lire une réaction
01:42qui a été dite par je ne sais plus qui d'ailleurs, mais on a le sentiment que c'est moi qui assume cela.
01:47Ce n'est pas du tout ça. Donc je trouve ça quand même assez invraisemblable.
01:51La deuxième chose, c'est qu'il manque quand même toute une part sur cette personnalité
01:55où on ne rappelle pas les tweets qu'il a écrits. Et ça, c'est France Info.
02:00Et c'est une journaliste qui a fait cette tribune et s'est postée sur le réseau de France Info.
02:07Donc je pense qu'il y a un moment, c'est à vous les politiques de poser des questions dans les questions au gouvernement,
02:15vous le faites de temps en temps, et de dire jusqu'à quand ça va durer.
02:19Jusqu'à quand ça va durer France Inter, France Info et le service public ?
02:22Jusqu'à quand ça va durer ? Parce que là, on est sur de la malhonnêteté.
02:26Là, la réponse est de la malhonnêteté, Laurent Jacobelli.
02:29C'est de la malhonnêteté intellectuelle parce qu'il y a un agenda politique derrière.
02:33C'est-à-dire que France Inter est dans une logique de conquête politique de gauche.
02:38Par exemple, vous vous rappelez de Guillaume Meurisse qui avait attaqué le régime israélien et M. Netanyahou.
02:45Bref, c'est une constante dire que ce chroniqueur a été remercié juste à cause de son apparence.
02:52C'est faux. Il a aussi écrit des tweets.
02:54Imaginez une seconde que sur Europe 1, que sur CNews, vous ayez ce type de chroniqueur,
03:00qui soit d'un extrême ou de l'autre, et qui tienne un certain nombre de propos.
03:04Vous seriez immédiatement convoqué par l'ARCOM.
03:06Donc il y a un deux poids deux mesures parce qu'il y a deux totems d'immunité.
03:09Il y a celui de la gauche, le totem rouge, alors là, ils peuvent tous permettre,
03:13et le totem du service public. Vous disiez que c'est une politique d'agir.
03:15Nous, on propose d'agir. C'est faire au moins sauter le totem de service public.
03:19Privatiser France Inter. Privatiser France 2.
03:23C'est-à-dire permettre, finalement, que l'argent public, nos impôts,
03:29ne servent pas à payer des gens qui passent leur journée à nous insulter.
03:32Ce serait quand même la moindre des choses.

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