• il y a 2 mois
Avec Baptiste et Laurent

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##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2024-10-16##

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Transcription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04— Évoquez qu'il y a NEMBAPÉ et ses vendeurs. Et tout à coup, tout le monde s'éveille et écoute.
00:12Bien, c'est ce qui se passe depuis lundi, depuis ces informations, informations pour l'instant parcellaires,
00:19c'est le moins qu'on puisse dire, venues de Suède. Laurent et Baptiste sont avec nous. Bonjour Laurent.
00:25— Bonjour Jean-Jacques. Bien content de vous retrouver. — Bonjour Baptiste. Baptiste, vous êtes là ?
00:31— Oui, je suis là Jean-Jacques. Bonjour. — Bonjour à tous les deux. Alors, le cas qu'il y a NEMBAPÉ,
00:36quel est votre avis, Laurent ? — C'est... On en parle trop, on en fait trop. C'est même... Ça devient même fatigant.
00:45À mon niveau, le bonhomme en lui-même, je veux dire, qu'est-ce qui justifie qu'il y ait un tel battage médiatique
00:55sur cette personne ? Enfin, moi, ça me... Il y a d'autres joueurs, d'autres... Je ne veux pas dire plus importants,
01:03parce que ça dépend toujours où on place le curveur. Mais d'un point de vue général, je trouve qu'on en fait des caisses,
01:07mais beaucoup trop. — Vous dites que sur cette affaire, on en fait beaucoup trop. Au-delà du joueur qu'il y a NEMBAPÉ,
01:15sur cette affaire, on en fait beaucoup trop. Baptiste, vous êtes d'accord ? — Bah oui, oui, oui, je suis absolument d'accord.
01:21On est sur un cas d'école de la nuisance que peuvent représenter les réseaux sociaux. C'est-à-dire qu'il y a...
01:27— Et une certaine presse. — Oui, oui, oui, vous avez raison. C'est vrai que... Bon, bah après, c'est compliqué pour la presse.
01:36Une fois qu'il y a une polémique sur les réseaux sociaux, c'est difficile de ne pas s'en emparer. En revanche,
01:43dans le traitement qu'elle en fait, je suis d'accord avec vous. Par exemple, moi, je suis aussi auditeur, par exemple,
01:48d'une radio un peu concurrente à vous qui fait du sport l'après-midi. Hier, ils en ont parlé de façon très neutre et très factuelle.
01:59— Eh bien ils ont eu raison. Eh bien ils ont eu raison. C'est ce qu'on a fait volontairement hier matin. C'est ce que j'ai voulu hier matin. On a raison.
02:08— Et comme quoi c'est possible. — Mais bien sûr que c'est possible. — Pourtant, on a parlé sans faire des conjectures,
02:13en restant dans le factuel, en disant « Voilà ce qui se passe ». Et pour l'instant, il faut être honnête, il se passe pas grand-chose.
02:18La justice suédoise elle-même dit qu'il se passe pas grand-chose. — Elle n'a pas cité... Je voudrais préciser que la justice suédoise n'a pas cité Mbappé.
02:28— Bien sûr. C'est hallucinant. Il se passe quelque chose dans un hôtel dans lequel il est. Et donc du coup, il serait au centre des accusations.
02:35— Ben c'est un peu gros. Non mais Jean-Jacques, si je peux me permettre, et pour aller dans le même sens que l'auditeur dont j'ai oublié le prénom...
02:45— Laurent. — Vous m'excusez. — Laurent. — Oui. Non, c'est lui, Laurent. — Ah d'accord, c'est moi, Laurent. C'est Baptiste. C'est Baptiste, pardon.
02:52— C'est Baptiste. Excusez-moi, Baptiste. Non, effectivement. Moi, par contre, ce que je trouve hallucinant, il est dans un hôtel.
02:59Je sais pas l'importance de cet hôtel. Je vais peut-être dire une bêtise, 50 chambres. Et parce qu'il est dans cet hôtel, peut-être que lui, il est mêlé à cette affaire.
03:07Alors soit vous avez les biscuits et les preuves et vous les achètez. Mais là, il n'y a quoi ? Il n'y a pas l'ombre d'une preuve. Il n'y a rien.
03:15J'ai entendu qu'ils avaient mis sous scène des affaires personnelles de la plaignante, etc. Mais c'est hallucinant parce que c'est Mbappé.
03:23Mais on en fait trop. On en fait trop. On en fait trop. Largement trop. Vous imaginez ? C'est pour ça que je comprends pas dans le cheminement intellectuel
03:32de cette presse qui a sorti ce truc-là. Il n'y a pas l'ombre d'une preuve. Et pourquoi on le cite, alors, dans ces cas-là ?
03:38C'est vraiment la meilleure preuve que... Je sais pas. On en fait trop sur ce garçon. Mais beaucoup trop. Il en vaut pas la peine.
03:49Je veux pas être désobigeant à son égard. C'est pas ce que je veux dire. Mais c'est un être humain comme tout le monde. Voilà. Pourquoi lui et pas l'autre ?
03:55— Baptiste ? — Oui, oui, oui. C'est exactement ça. Donc...
03:59— Exactement. Est-ce que vous pensez que... Bon, c'est comme les accusations concernant le Paris Saint-Germain. On va bien se garder de savoir d'où ça vient.
04:07Pour l'instant, on sait rien. — Ah ! On sait quand même, Jean-Jacques, que par le passé... Moi, je veux pas prendre la défense de l'avocate d'Mbappé.
04:16Mais au moins, Kylian n'a jamais été accusé de viol. Mais le Paris Saint-Germain a déjà été accusé de faire monter la sauce avec le désarmé numérique
04:26sur les réseaux sociaux pour faire chier des gens dans le sens de leurs intérêts.
04:30— Ça, c'est assez vrai. Ça, c'est vrai. Le Paris Saint-Germain n'est pas exemplaire.
04:34— Ouais. Donc ça veut pas dire qu'il y a plus d'infos sur ça. Mais en tout cas, on sait qu'ils en seraient capables.
04:41— Oui. Oui, oui. Bon, écoutez. Là encore, on va pas se perdre en conjecture, puisque nous n'avons pas d'informations.
04:47Nous en parlons comme ça librement. Et j'en suis très heureux, parce que je partage mais totalement vos points de vue, Laurent et Baptiste.
04:55Et c'est comme ça que nous traiterons l'information ici, sur l'antenne de Sud Radio, avec des faits. Et rien que des faits.
05:01Pas de supputations, pas d'imagination débordante qui pourrait nous faire déraper. Non, il n'en est pas question.
05:10— Il est 7h59. Tout de suite, Rémi André, Le Temps.

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