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[#Journal ] Le 19H30 du 13 Août 2024

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00:00Nous sommes le mardi 13 août 2024. Mesdames et Messieurs, bonsoir,
00:19ravi de vous retrouver pour ce rendez-vous quotidien. Une enquête diligentée par les
00:24autorités du CTRI a révélé un système de fraude à la Société d'énergie et d'eau du Gabon via un
00:31serveur. Une enquête qui n'aurait pu aboutir sans l'appui du directeur général actuel de la SEG.
00:38Nous en parlerons. Et si l'acte citoyen posé par Hervé-Patrick Opianga dans le brûlant dossier
00:44WebCorp avait fait de lui la cible idéale des activistes, c'est la question à laquelle nous
00:50tenterons de répondre. Bienvenue dans cette principale édition d'informations que nous
00:55ouvrons avec la deuxième journée de la tournée républicaine du Président de la Transition
01:00après Libreville et sa périphérie immédiate. La tournée républicaine du chef de l'État s'est
01:05déportée ce 13 août 2024 à Congo, Koko Beach et Ntoum, avec à chaque fois des projets de
01:12développement à l'instar des autres localités du pays qu'il a visitées. En plus du milliard et
01:19demi octroyé à ces trois localités, l'activité du chef de la Transition à Congo a été marquée par
01:26l'annonce de la construction d'une salle polyvalente, du don de deux pick-up et d'une
01:31ambulance, de l'extension de l'école protestante d'Angom qui deviendra un complexe scolaire.
01:37À Koko Beach, l'eau numéro un gabonais a annoncé la construction prochaine d'un débarcadère et
01:44d'un centre de pêche, mais aussi d'une base de la marine nationale, d'une cité administrative,
01:49de 30 logements, d'une station-service entre autres. L'étape d'Ntoum a quant à elle été
01:56marquée par l'inauguration du château d'eau, construit dans le cadre du programme intégré
02:01pour l'alimentation en eau potable et l'assainissement de Libreville, réceptionné
02:06le 31 juillet dernier par le comité de pilotage du Piépal. Nous reviendrons plus en détail dans
02:12cette dense activité dans nos prochaines éditions. Revenons sur la première journée de la tournée
02:18républicaine du chef de la transition à Libreville, où le meeting animé à l'avenue Jean-Paul II a
02:25donné lieu à un discours du premier citoyen de la ville, le général Jude Ibrahim Rappochombo,
02:31qui n'a pas manqué, au nom de ses administrés, d'appeler à la candidature à la prochaine
02:36élection présidentielle du général Brice Clotaire Oligi Nguema. Geneviève Deshune.
02:42Le président de la transition, le général Brice Clotaire Oligi Nguema, a entamé ce 12 août la
02:48dernière étape de sa tournée républicaine avec la province de l'Estuaire. Au cours de la première
02:53journée de ce périple qui s'étendra jusqu'au 14 août, le général président a donné un meeting
03:00géant à la place de l'indépendance de Libreville, occasion pour le premier citoyen de la ville,
03:05le général Jude Ibrahim Rappochombo, d'appeler à la candidature du président de la transition à
03:11la prochaine élection présidentielle. C'était une journée particulièrement dense pour le président
03:17de la transition. Arrivé de Kigali au Rwanda où il a assisté à la cérémonie d'investiture de son
03:23homologue Paul Kagame, fraîchement réélu à la tête du pays des mille collines, Brice Clotaire
03:28Oligi Nguema a été accueilli à l'aéroport Leomba de Libreville par une foule importante. Après
03:33avoir communié avec les populations d'Akanda et d'Ovando, c'était au tour des librevillois de
03:39partager des moments particuliers avec le tombeur d'Ali Bongo Ndimba. Un moment marqué par un
03:45discours de délégué spécial de la commune de Libreville, Jude Ibrahim Rappochombo, qui n'a pas
03:50manqué de relever les défis auxquels est confrontée la capitale gabonaise, non sans saluer le bilan
03:56du CTRI et de son chef.
04:26Fort de cette espérance suscitée chez les populations qui, selon le délégué spécial,
04:35a renforcé les liens entre les librevillois et le général Brice Clotaire Oligi Nguema,
04:40Jude Ibrahim Rappochombo a, au nom de ses administrés, appelé à la candidature de son
04:46frère d'armes à la prochaine présidentielle.
04:57Il faut dire que depuis quelques mois déjà, les appels à la candidature du chef de la
05:15transition se sont multipliés, notamment au sein de la classe politique. En revanche,
05:20l'appel du général Jude Ibrahim Rappochombo est une première pour un membre éminent du
05:26comité pour la transition et la restauration des institutions.
05:29C'est une affaire digne d'un James Bond. La société d'énergie et d'eau du Gabon
05:37étaient victimes d'un système parallèle d'émissions de tickets EDAN via un serveur
05:43rejeté par l'entreprise Sigma Technologies. Un dispositif mis à nu grâce au nouveau
05:49directeur général de la SEG et qui a donné lieu à une enquête minutieuse conduite par
05:55les autorités du CTRI. Voyons cela avec Iris Omanga.
05:59C'est le résultat d'une enquête sérieuse diligentée par les autorités du comité
06:04pour la transition et la restauration des institutions sur dénonciation du nouveau
06:09directeur général de la SEG et d'eau du Gabon. Un système parallèle d'émissions
06:15de tickets EDAN via Suprima 3, un serveur pourtant déconnecté mais toujours opérationnel
06:21par Sigma Technologies, a été débusqué et arrêté, ainsi que ses administrateurs.
06:26À l'heure où les populations tirent le diable par la queue et doivent gravacher
06:30pour pouvoir s'acquitter de leurs factures, il est une ceste d'individus visiblement
06:35mal intentionnés qui estiment qu'elles peuvent s'enrichir sur le dos de l'Etat.
06:39C'est en tout cas la lecture qu'il est aisé de faire dans ce dossier,
06:42au relent rocambolesque qui traduit la porosité des pare-feu au sein du service informatique de la SEG.
06:49Un réseau mafieux permettait d'éditer les tickets EDAN sans reverser le moindre
06:53copec à l'Etat. Tout serait parti d'une simple suspicion de fraude au niveau des serveurs
06:58encore connectés qui semblaient alourdir les charges des consommateurs. Désiré d'en avoir
07:03le cœur net, le CTRI, aidé par la direction générale, va procéder à des perquisitions
07:08au quartier lui, bata véa et rénovation auprès d'un prestataire Sigma Technologies,
07:14filiale du groupe TLDC. La procédure va conduire à la saisie de matériel
07:18informatique, c'est alors que le potoro sera découvert. En réalité, considéré comme
07:23déconnecté et donc plus en production, l'ancien système SUPRIMA III était toujours opérationnel
07:29et permettait à Sigma Technologies de fonctionner en parallèle de la SEG avec la même architecture
07:36informatique, les deux sociétés étant interconnectées via une liaison bel-air.
07:40Ainsi donc, tout comme la SEG, la société au noir parvenait à éditer des tickets,
07:45débloquer des compteurs électriques, et ce, à son propre profit, trois agents sont pointés du
07:50doigt. Il s'agit de Guy Harmel-Kombat, Serge Perini-Ogowan et Régis Dondia, respectivement
07:57responsable de la division études, cadre de la division et directeur des systèmes
08:01d'information. Interpeller pour nécessité d'enquête les mises en cause non pour l'heure
08:06fait aucune révélation supplémentaire. Seulement, les bribes d'information qui
08:11nous sont parvenues permettent d'établir que ce sont ces derniers qui étaient en charge de
08:14la migration de SUPRIMA 3 à 6 afin de gérer les compteurs après paiement. Nous y reviendrons.
08:21Quelles mesures face au risque de surendettement élevé du Gabon alors que les agences de notation
08:30alertent sur l'encours de la dette du pays ? Les choix hasardeux des autorités actuelles,
08:35notamment les dépenses extra budgétaires qui renforcent l'incertitude à la trajectoire
08:41fiscale du pays, nécessitent d'interpeller les décideurs politiques une nouvelle fois.
08:46Analyse avec Esther Kengue. En dépit des assurances des autorités de la transition
08:52sur la situation économique du pays, le risque de surendettement est plus que jamais présent.
08:57Une note de crédit de B- à CC+, qui reflète les risques croissants pour la capacité de
09:04remboursement de la dette, une accumulation des arriérés externes sur la dette envers
09:09les créanciers officiels, estimé à 165 milliards de francs CFA à la fin du mois de mai 2024,
09:16et des tirages sur financement qui se mituplient. On a comme l'impression que l'État marche à
09:21reculant sans prendre de réelles mesures pour faire face au risque de surendettement qui pointe
09:27son nez. Dépendance aux ressources naturelles, avec notamment les recettes pétrolières qui
09:33constituent toujours l'essentiel des ressources du pays, malgré les fluctuations des prix du
09:38pétrole qui, dans le contexte géopolitique actuel, peuvent affecter les revenus de l'État,
09:44augmentant le risque de dette dont les charges sont de plus en plus élevées du fait de
09:49l'accumulation d'arriérés envers les créanciers officiels. Rendement économique limité, avec le
09:55défi de la diversification économique qui peine à être relevé, des incertitudes politiques qui
10:01demeurent et peuvent fortement influencer la gestion économique, le risque de surendettement
10:06est bien présent. À ce titre, les analystes recommandent une gestion prudente des finances
10:12publiques et une diversification économique pour atténuer ces risques. Ce qui, dans le contexte
10:18actuel, entre le bilan des dépenses extra-budgétaires, qui ajoute des incertitudes à la
10:23trajectoire fiscale, comme l'a souligné Fitch Rating, nouvelle exonération fiscale sans plan
10:29concret d'ajustement et annonce de dépenses pour répondre aux besoins sociaux et d'infrastructures
10:35importantes du pays est loin d'être le cas. La politique budgétaire expansionniste proposée
10:41par les nouvelles autorités semble plutôt aller à contre-courant. Empreinte d'excès de confiance,
10:46cette stratégie expansionniste des autorités gabonaises n'est pas sans rappeler celle des
10:51précédentes qui faisait fi des recommandations et autres recriminations des partenaires techniques
10:57et financiers. Comment prévoir des investissements massifs avec un plan directeur à 3 700 milliards
11:03de francs SIFA dans un contexte où la gouvernance reste la principale faiblesse de notre administration
11:09et où la corruption demeure endémique ? Comment envisager des projets au coufoir amineux alors
11:15même qu'il est aujourd'hui quasiment impossible de savoir avec exactitude combien il y a d'agents
11:21publics au sein de l'administration qui engloutissent pourtant plus de 704 milliards de
11:27francs SIFA par an ? Le mieux n'aurait-il pas été dans un premier temps de faire le vide avant de
11:32faire le plein ? Quoi qu'il en soit, sont mesures fortes visant à réduire l'influence de l'État
11:38dans l'économie au profit du secteur privé, son développement de secteurs non pétroliers comme
11:43l'agriculture, le tourisme et les technologies pour réduire la dépendance au pétrole et créer
11:50des ressources. Quoi qu'il en soit, sont mesures fortes visant à réduire l'influence de l'État
11:56dans l'économie au profit du secteur privé, son développement de secteurs non pétroliers comme
12:01l'agriculture, le tourisme et les technologies pour réduire la dépendance au pétrole et créer
12:07des sources de revenus diversifiées, sont des politiques budgétaires prudentes pour contrôler
12:12les dépenses publiques et éviter des déficits excessifs sans amélioration de la transparence
12:18dans la gestion des finances publiques. Difficile d'espérer voir tous ces projets aboutir, difficile
12:25donc de mettre un garrot au surendettement dont le risque ne devrait que s'accentuer.
12:30Retour sur l'affaire WebCorp après la plainte contre X déposée par Hervé-Patrick Opianga afin
12:41que lumière soit faite à propos de la signature d'un protocole d'accord secret d'un montant de
12:4865 milliards de FONSEFA entre Daniel Mousunda, directrice générale de l'agence judiciaire
12:53de l'État et Jean-Paul Komanda, premier président du conseil d'État, l'ancien député de Moumbi
13:00Mounana ferait depuis lors l'objet d'une tabasse de la part d'activistes. Suivons cet élément.
13:06Depuis que l'ancien député de Mounana, Hervé-Patrick Opianga, a déposé une plainte dans l'affaire
13:12WebCorp, une série d'événements et de contre-attaques semblent s'être mises en place. Rappelons une
13:17citation célèbre attribuée à Charles Pasqua, ancien ministre français de l'intérieur. « Quand
13:23on est embêté par une affaire, il faut susciter une affaire dans l'affaire, et si nécessaire,
13:28une autre affaire dans l'affaire de l'affaire. » Jusqu'à ce que personne n'y croit, plus rien.
13:33Cette stratégie, désormais connue sous le nom de théorème de Pasqua, semble trouver écho dans
13:39la situation actuelle. L'affaire WebCorp du nom de l'entreprise maltaise actionnaire majoritaire
13:44de la société gabonaise Grand Marché de Libreville, en charge du projet éponyme,
13:49pourrait bien devenir un véritable scandale d'État. Tout a commencé avec la décision
13:55d'Hervé Patik Opianga de saisir le procureur de la République près du tribunal de première
14:00instance de Libreville. Il cherchait ainsi à faire la lumière sur la signature unilatérale
14:05d'un protocole transactionnel imposant au Gabon de verser 66 milliards de francs CFA à WebCorp
14:12ITP, une décision jugée préoccupante par l'ancien membre du gouvernement. Depuis cette
14:17initiative judiciaire, Hervé Patik Opianga se trouve au cœur d'une violente campagne de
14:23dénigrement orchestrée par des activistes sur les réseaux sociaux. Ses attaques semblent être
14:28une réponse directe à la décision de saisir la justice pour injures publiques et atteintes à
14:34l'honorabilité d'autrui. Les activistes Stéphane Zeng et Landry Amien Washington, principaux
14:40instigateurs de ces actes repréhensibles, ont même été interdits de quitter le territoire
14:44par un magistrat instructeur. Cependant, la réponse des détracteurs d'Opianga a pris des
14:51proportions inquiétantes. Protégés, semble-t-il, par une main noire influente, certains activistes
14:57tant au Gabon qu'en France se sont ligués pour attaquer l'ancien gesteur de l'Assemblée
15:01nationale. Ces attaques d'une rare violence vont jusqu'à envahir sa vie privée, frôlant même
15:07parfois l'indécence. Ces actes se déroulent aux yeux et à la barbe d'une justice qui paraît
15:13impuissante, voire même complaisante. Les événements récents posent question.
15:17Assistons à une tentative de noyer l'affaire Webcor dans une cascade de scandales secondaires.
15:23La viralité de l'affaire opposant Hervé Patik Opianga aux activistes sur les réseaux sociaux
15:28semble avoir éclipsé le cœur même du problème, à savoir le scandale juridico-financier qui pourrait
15:36impliquer de hauts responsables de l'État. Plusieurs jours après le dépôt de plainte d'Opianga,
15:41aucune communication officielle n'a encore été faite par les autorités judiciaires sur ce sujet.
15:47Il est donc légitime de se demander si cette agitation autour du natif de Mounana n'est
15:52pas une manœuvre délibérée pour détourner l'attention du public de l'affaire principale.
15:57Si tel est le cas, cette stratégie d'affaire dans l'affaire pourrait bien réussir à sémer la
16:03confusion, laissant même dans l'ombre une affaire aux allures de haute trahison.
16:08Parlons à présent voire république avec les populations du PK9 dans le sixième arrondissement
16:16de Libreville et principalement celles de derrière l'hôpital militaire qui font face à des
16:22difficultés quotidiennes liées à l'impratiquabilité de la principale voie qui donne accès au quartier.
16:29Geneviève de Huneau et Chien Bueni sont allés à la rencontre de ses compatriotes.
16:34S'emballer du revers de main les efforts des plus hautes autorités de la transition aux
16:40têtes desquelles le général Brice Clotaire a le guillemot en matière de voirie publique,
16:44les populations du quartier PK9 précisément derrière l'hôpital militaire souhaitent
16:49également bénéficier de ce vaste projet entamé par le CTRI. En effet l'état de vétusté de la
16:55principale voie d'accès au quartier est dans un état délabré, une situation pour laquelle les
17:01populations ont poussé un cri de détresse ce lundi 12 août 2024. Des voies praticables en
17:07toute saison sont l'un des souhaits de nombreux compatriotes parmi lesquels ceux vivant derrière
17:12l'hôpital militaire dans le sixième arrondissement de la commune de Libreville. Malheureusement en
17:18pénétrant dans le quartier c'est l'hécatombe tout le linéaire de cette voie secondaire et
17:23complètement en latérite en parcours du combattant pour les riverains. Nous avons créé récemment une
17:29action, nous les habitants de derrière l'hôpital militaire, pour notre route et cette action n'a pas
17:35complètement arrangé la problématique mais au moins elle a permis de réduire les dégâts. Mais
17:39il reste encore beaucoup à faire et nous aimerions qu'enfin les appels de coeur que nous faisons
17:44depuis aux autorités compétentes soient enfin entendus et qu'il y ait enfin une réaction de
17:48leur part pour solutionner le sans-péternel problème de la route et de l'eau. Je suis ici
17:54depuis 2009, ça a vraiment été compliqué pour la plupart d'entre nous de pouvoir même se déplacer,
17:59de ne plus que partir à l'école. Remarquez par exemple là, pour mes petits frères qui sont au
18:04lycée, qui vont être au lycée, le 2 septembre c'est la rentrée, nous sommes aujourd'hui le 12 août,
18:08c'est vraiment compliqué pour eux-mêmes de pouvoir aller à l'école, sachant qu'il y a peut-être
18:12certains lycées qui demandent un style vestimentaire un peu régulier et très strict.
18:17Entre les énormes crevasses rebouchées à l'initiative d'un collectif des habitants du
18:22quartier et l'énorme lac debout qui s'est formé, cette voie secondaire est complètement parsemée
18:27d'obstacles. Avec l'arrivée prochaine des pluies qui coïncide avec la rentrée des classes,
18:32les populations s'en remettent désormais aux autorités compétentes.
18:36Comme vous avez dit, au cas du PK9, on est là, on souffre et tout ce qu'on demande vraiment
18:40de l'autorité, c'est des améliorations au plus vite possible.
18:43Et bientôt la période scolaire aussi, comment on pourra faire si cette route n'est pas arrangée.
18:49Je sais très bien que les autorités puissent venir nous aider dans notre quartier parce que
18:55dans notre quartier c'est vraiment difficile en fait. La route n'est pas bonne, les voitures,
19:00nos parents qui ont des voitures, les voitures s'égraspent vite. Donc tout ça,
19:05on veut un peu qu'on puisse venir nous aider en fait.
19:09À l'instar d'autres quartiers qui aujourd'hui ont bénéficié des travaux de réhabilitation des
19:13routes en béton. Les habitants de derrière l'hôpital militaire attendent désormais les
19:18réactions du comité pour la transition et la restauration des institutions. Si la tournée
19:23entamée dans l'estuaire ce 12 août par le général Brice Clotaire Oligingema, sa campagne
19:29d'annonce forte au plan social et infrastructurel reste à espérer que ses compatriotes bénéficieront
19:35des investissements qui en découleront. Dans le souci de renforcer la politique de
19:42collecte des ordures ménagères, le comité pour la transition et la restauration des institutions a
19:48doté plusieurs localités dont Libreville de 6 000 bacs à ordures selon la communication
19:54gouvernementale. C'était le chiffre du jour à présent. Passons au verbatim et il est du président
20:00de la transition le général Brice Clotaire Oligingema qui s'exprimait ce 13 août 2024 à
20:06Congo dans le cadre de sa tournée républicaine. Le Gabon a changé. Le changement c'est aussi la
20:13discipline et le respect des aînés. Le changement c'est être ensemble et non pas écrire ce que l'on
20:19veut et comme on veut sur la toile. Le changement c'est accompagner les autorités et les respecter.
20:25Le changement c'est avoir une justice forte qui punit celui qui doit être puni. Fin de
20:31cette principale édition d'information, retrouvons-nous demain à la même heure sur Gabon Media Time.
20:43Retrouvez GMT TV sur vos différents réseaux sociaux.