Avec Maud Marian, Avocate au barreau de paris et membre du collectif des 300 (collectif de juriste qui oeuvre pour les libertés dans le cadre de la crise sanitaire)
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##LE_FAIT_DU_JOUR-2023-04-03##
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00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:03 Le fait du jour.
00:04 Quatrième dose, cinquième dose, on se disait bon ben c'est un peu retombé.
00:09 Et bien pas du tout paraît-il d'après ce qu'on entend.
00:14 Casque positif au Covid, augmentation depuis plusieurs semaines.
00:18 Voilà, est-ce que c'est quoi ?
00:21 Pourtant il n'y a pas d'élection, il n'y a pas de truc, il se rappelle ?
00:23 Et bien oui, oui, oui, il se rappelle un autre bon souvenir.
00:26 Alors ça c'est Santé Publique France, c'est quand même fiable.
00:30 En hausse de 26% le 13 et le 19 mars, tourne incidence à tiennes et assises 70 cas.
00:35 Attention pour 100 000 habitants, 78 pour 100 000 ce lundi, etc.
00:41 Bon, bien loin du seuil d'alerte fixé pour rappel à 250 pour 100 000.
00:46 Là on est à 70 pour 100 000, c'est pas la même chose.
00:49 Et puis alors on se demande aussi si l'absentement des règles relatives au recours des tests,
00:53 il y a beaucoup moins de tests, avant on en faisait du matin au soir,
00:56 évidemment qui dit test, qui dit cas.
00:58 Mais quand même, mais quand même, le site de l'Université de Genève repris par le journal Libération,
01:03 il dit que le taux de reproduction est passé au-dessus de 1 en France,
01:07 alors reprise épidémique ou pas reprise épidémique ?
01:12 Maude Marian, bonjour.
01:14 - Bonjour André Barcoche.
01:15 - Appuyez-vous du micro, comme ça que vous vous entendez bien.
01:18 Vous êtes avocat au barreau de Paris et membre du collectif des 300,
01:22 je rappelle, un collectif de juristes qui oeuvre depuis déjà quelques temps
01:27 pour les libertés dans le cadre de la crise sanitaire.
01:30 Alors, de quoi s'agit-il ?
01:31 Parce que ça y est, on parle de dixième vague, on a entendu ça un peu partout.
01:34 Qu'est vrai ou faux, un faux ou un tox ?
01:38 - Un tox ? Un tox André Barcoche ?
01:40 Ben oui, je pense qu'on est retombé sur ce vieux poncif
01:46 qui est de continuer à gouverner par la peur.
01:49 Donc la peur apparemment a reculé quelque peu,
01:52 donc on se dit tiens, réutilisons le Covid,
01:55 c'est un moyen assez facile de refaire peur aux Français.
01:59 Alors que, en fait, quand on regarde bien de très près
02:02 ce qui s'est passé depuis, en tout cas fin 2020, début 2021,
02:06 on est tout à fait informé sur le fait qu'il n'y a pas eu beaucoup d'hospitalisations.
02:11 Il y a eu 2,3% d'hospitalisation Covid en 2020, 2,6% en 2021.
02:17 À l'époque on était en guerre quand même, il faut le rappeler.
02:20 Que l'âge moyen des personnes qui sont décédées était de 81 ans,
02:24 l'âge médian de 84 ans, alors que l'espérance de vie en France est de 82 ans.
02:30 On sait que les gens qui décédaient à l'époque du premier virus Covid,
02:36 puisqu'on sait que ça a atténué depuis,
02:38 on sait que les gens qui décédaient avaient des comorbidités en plus d'être âgés.
02:42 - En tout cas beaucoup n'avaient pas toutes, mais beaucoup avaient des comorbidités.
02:45 - En partie, même le CDC américain le confirme.
02:48 Ça veut dire qu'on a vraiment une population ciblée très clairement.
02:52 On sait aussi qu'au micron, aujourd'hui,
02:54 les sous-variants de micron sont beaucoup moins dangereux.
02:57 On sait aussi qu'en France, alors même qu'on avait des très beaux moyens de santé publique,
03:03 on a fermé 100 000 lits en 20 ans dans les hôpitaux,
03:07 qu'on a continué à en fermer en 2020 et en 2021.
03:10 Donc non seulement on crée une fausse épidémie,
03:15 on crée des fausses saturations,
03:17 puisqu'on multiplie les lits de réa,
03:21 mais en même temps on ferme d'autres lits en parallèle.
03:23 On nous fait peur, on crée des fausses saturations également
03:28 en focalisant tous les malades sur quelques hôpitaux,
03:31 puisqu'on sait qu'en France il y a à peu près 1500 hôpitaux.
03:34 Et en mettant en place le plan Orsan-Red,
03:38 ils ont décidé que seulement certains hôpitaux, et 38 en fait,
03:41 pouvaient recevoir des malades de Covid.
03:43 Donc tout ça c'est pour dire que, vous voyez,
03:46 toute cette logique dans laquelle on était déjà au début de la crise sanitaire
03:50 qui était objectivement plus grave parce qu'on ne la connaissait pas,
03:53 parce qu'on avait un virus plus virulent,
03:55 et parce que justement on était nous aussi beaucoup plus facilement impressionnables,
04:00 on ne va pas réutiliser les mêmes ressorts, je ne les souhaite vraiment pas,
04:04 alors que là on sent quand même qu'il y a cette volonté par derrière de nous inquiéter de nouveau.
04:09 - Donc quand on dit "mais selon Santé publique France",
04:12 quand on dit "contamination augmentée autour des nez en semaine",
04:17 j'ai dit "hausse de 26% en 13/19 mars",
04:20 "70 cas pour 100 000 habitants",
04:22 "78 cas pour 100 000 habitants",
04:24 certes on est loin, je le répète, du seuil d'alerte,
04:27 mais par exemple, 47.214 cas ont été ressentis durant cette semaine,
04:33 enfin la semaine dernière,
04:34 contre 37.537 la semaine précédente.
04:37 Est-ce qu'il n'y a pas quand même quelque chose...
04:39 - Non mais on va retomber sur les discours que vous avez déjà proposés ou entendus ici,
04:44 avec M. Tubiana, avec Pierre Chaillot,
04:47 qui vous expliquent le nombre de cas, qu'est-ce que ça veut dire.
04:50 Alors moi je ne suis pas épidémiologiste et je ne suis pas statisticienne,
04:53 je ne vais pas revenir sur ça,
04:54 mais on a pu déterminer effectivement qu'un test positif n'est pas forcément un cas,
04:59 et qu'un cas n'est pas forcément symptomatique,
05:02 et qu'un cas qui n'est pas symptomatique,
05:04 est-ce que ça reste un malade, est-ce que ça reste quelqu'un de dangereux,
05:07 et voilà, on reprend toujours le même narratif par derrière,
05:11 et en fait ce qui nous importe à nous, en tant que population,
05:16 c'est d'avoir des éléments objectifs d'appréciation du risque.
05:19 Or la mortalité a été très faible,
05:23 la mortalité du premier virus et encore plus la mortalité actuelle,
05:26 alors le nombre de cas devient quasi indifférent si on le prend en considération,
05:30 c'est comme si on comptait le nombre de rhumes si vous voulez.
05:32 Alors je ne veux pas banaliser parce qu'il y a encore des gens qui en meurent,
05:35 ce n'est pas mon sujet, mais je pense qu'il faut relativiser,
05:38 et ce que n'a jamais fait le gouvernement, ce que n'ont jamais fait les autorités,
05:42 lorsque vous relativisez par exemple la mortalité de la plus grosse partie de la crise,
05:47 vous vous rendez compte que même les 68 000 décès qui sont annoncés
05:51 par l'Institut National d'Études Démographiques,
05:54 ne sont même pas forcément en correspondance avec la réalité objective
05:58 de ce qu'on nous a annoncé comme une hécatombe,
06:01 et Pierre Chaillot vous l'a expliqué de manière très précise,
06:03 en lissant les âges, en faisant des statistiques vraies,
06:06 on arrive à une mortalité normale pour la population française.
06:12 - Et puis comme Toubiana le disait, on n'a pas fait le rapport,
06:15 enfin on n'a pas les chiffres entre les vaccinés et les morts.
06:19 - En plus, il nous manque beaucoup d'éléments d'appréciation,
06:22 ce que je veux dire c'est qu'il faut prendre les choses avec recul,
06:24 et je pense avec calme ce que ne va sans doute pas nous proposer le gouvernement,
06:28 parce que c'est à nous aussi maintenant peut-être de s'approprier
06:31 toute cette histoire qu'on a connue dans notre chambre.
06:34 - Et surtout qu'un peu partout dans le monde maintenant,
06:36 les questions se posent sur un certain nombre de vaccins et autres,
06:41 mais justement, on en a parlé, vous en avez parlé aussi,
06:44 on en a parlé beaucoup la semaine dernière,
06:46 mais il y a quand même quelques signes d'apaisement,
06:48 puisque la Haute Autorité de Santé, suivie par le ministre de la Santé,
06:51 a demandé que les soignants non vaccinés puissent reprendre,
06:56 puissent reprendre effectivement leur travail,
07:00 ou en tout cas puissent retravailler.
07:02 Mais qu'est-ce que vous avez pensé, alors vous l'avocate que vous êtes,
07:04 des réactions quand même outrées d'un certain nombre de médecins,
07:09 ou d'urgentistes, ou autres, qui disaient "mais c'est pas possible,
07:13 on est sidérés, comment, on a été envoyés au front pour y aller,
07:17 et puis voilà que le gouvernement nous laisse tomber".
07:20 Il y a eu des réactions assez étonnantes,
07:23 je ne prends pas parti, mais on dirait qu'ils avaient été personnellement blessés par cela.
07:29 Non mais c'est ça, en fait, si vous voulez,
07:31 je pense que c'était un peu dans la stratégie du gouvernement depuis le début.
07:34 On nous a dit, soit disons, que le vaccin avait été une décision scientifique.
07:38 La première chose qu'on peut constater aujourd'hui, c'est que non.
07:41 Puisque si les gens ont des réactions épidermiques,
07:44 je veux dire psychologiques, c'est que ce n'est pas un problème scientifique.
07:47 Ça c'est la première chose.
07:48 Deuxième chose, c'est qu'effectivement,
07:50 on a quand même partagé tous les Français entre vaccinés et non-vaccinés,
07:53 et les soignants d'autant plus.
07:55 Et on a beaucoup insisté depuis à peu près juillet l'année dernière sur la partie éthique.
08:00 On a complètement abandonné la question de savoir si on transmet,
08:03 si on protège les gens, etc.
08:05 On s'est focalisé sur l'éthique.
08:06 Et aujourd'hui, on vient nous dire,
08:08 "Oui, mais finalement, ces gens sont des rebelles".
08:10 En vérité, c'est ça qu'on sous-entend.
08:12 Moi, ce que je tiens absolument à dire, ça me paraît l'argument le plus fort,
08:16 c'est que les personnes qui sont restées en poste,
08:19 et qui à l'heure actuelle ont accepté l'obligation vaccinale,
08:22 ne sont objectivement plus vaccinées depuis au moins une année.
08:26 Pourquoi ?
08:27 Parce que le schéma vaccinal de base pour cadrer avec l'obligation,
08:31 et c'est pas moi qui l'ai créé, c'est le gouvernement,
08:34 j'insiste sur les recommandations de la HHS,
08:37 c'est trois doses, c'est-à-dire un seul booster.
08:39 Or, on sait que le booster n'a d'effet que pour 3 mois, 4 mois.
08:43 - Oui, il y a deux doses plus un booster.
08:44 - Voilà, c'est-à-dire le schéma de base, les deux doses plus un booster.
08:47 Donc, un seul rappel.
08:48 Ce qui veut dire que les gens qui ont eu leur premier appel,
08:51 qui constituent l'essentiel des personnels soumis à l'obligation vaccinale,
08:55 très peu ont fait le second, c'est pas moi qui le dis non plus,
08:58 c'est les chiffres officiels.
08:59 C'est-à-dire que ces gens-là ne sont plus couverts
09:01 trois ou quatre mois après ce booster.
09:03 Donc, si on calcule bien, septembre 2021,
09:06 il est certain que depuis janvier 2022, mars 2022,
09:10 tout au plus le printemps 2022,
09:12 les gens n'ont pas fait le second booster.
09:14 Donc, ils ne sont plus vaccinés au sens du droit,
09:16 et non plus au sens de la science.
09:18 Donc, arrêtons de dire tout et n'importe quoi.
09:20 Moi, ce que je retiens quand même,
09:22 c'est que le gouvernement a mis en place une obligation vaccinale
09:25 en violant les dispositifs légaux internationaux
09:29 qui protègent l'intégrité du corps humain,
09:32 puisqu'on sait que Vavrika, si on prend Vavrika,
09:34 qui était à un arrêt d'avril 2021,
09:36 on sait que le gouvernement a consciemment et délibérément
09:40 oublié, mis de côté tous les principes
09:42 qui ont été édictés par la Cour européenne des droits de l'homme
09:45 pour permettre à un gouvernement de porter atteinte
09:49 à sa population en lui imposant une vaccination.
09:52 - La France n'a pas été le seul.
09:54 - Non, mais bon, c'est pas une raison,
09:57 je veux dire, vous connaissez l'argument,
09:59 si on nivelle toujours par le bas, on ne va pas vers le haut.
10:02 Donc, moi, je suis désolée, notre gouvernement a fait des choix,
10:05 d'ailleurs j'aurais adoré être en face de M. Véran
10:08 pour avoir ce débat juridique,
10:10 parce que quand même, on nous parle de responsabilité,
10:13 on nous parle d'éthique, etc.,
10:15 mais la première personne qui doit avoir de l'éthique
10:17 et qui doit être exemplaire, c'est un gouvernement.
10:19 Un gouvernement qui, délibérément, va à l'encontre
10:21 des traités internationaux en imposant une vaccination,
10:24 en méprisant totalement les critères posés
10:27 par la Cour européenne des droits de l'homme,
10:29 dont il se sert par ailleurs.
10:31 Un gouvernement qui va à l'encontre aussi
10:33 d'un dispositif très protecteur en matière d'essais cliniques,
10:37 je sais qu'ici, on a eu déjà le débat chez vous,
10:39 l'essai clinique, on nous dit "oui, mais un médicament
10:42 qui a une autorisation de mise sur le marché
10:45 ne peut pas être un médicament expérimental".
10:48 Mais c'est ignorer le droit totalement.
10:50 Notre code de la santé publique est tout à fait clair là-dessus.
10:55 Il dit bien qu'un médicament, même bénéficiant
10:57 d'une autorisation de mise sur le marché,
11:00 s'il est utilisé dans le cadre d'une étude
11:02 ou d'un essai clinique, devient un médicament expérimental.
11:05 - Alors, de ce point de vue-là, d'ailleurs,
11:07 je voudrais juste rappeler quelque chose.
11:09 C'était il y a un an et demi, au sein de,
11:11 effectivement, "vaccinez-vous, vaccinez-vous, vaccinez-vous".
11:13 Je voudrais vous faire entendre cette amusante,
11:16 peut-être amusante guillemet,
11:18 de réentendre le gentil Patrick Pelou.
11:21 Voici ce qu'il disait il y a 18 mois, 2 ans. Écoutez.
11:25 - La situation est explosive. Je vais vous dire,
11:27 je pense qu'on n'est quand même pas à l'abri
11:30 des meutes pour se faire vacciner.
11:32 - Vous imaginez ? Voilà. La situation est explosive.
11:35 On voyait des hordes de Français qui arrivaient
11:38 "vaccinez-moi, sinon je casse tout".
11:40 Intéressant. Il n'y a pas si longtemps, tout ça.
11:43 - Oui, mais la communication a été particulièrement bien faite.
11:47 On a tué quelque chose qui était écrit
11:49 dans les rapports tout de suite en décembre 2020.
11:51 On savait qu'on n'avait pas testé la transmission.
11:53 Alors, si vous voulez, quand moi, je suis allée...
11:55 - Et quand on l'a su après...
11:57 - Après, quand on l'a su, on a trouvé des raisons.
11:59 Oui, mais quand même, mais ce n'est pas grave.
12:01 Mais bon, tout le dispositif vaccinal
12:05 a reposé sur la transmission, sur l'idée.
12:08 Et tout le monde est allé se vacciner
12:11 pour ne pas attraper et ne pas transmettre.
12:14 - Et puis pour sortir, aller, venir, etc.
12:16 - Évidemment, mais ça va ensemble.
12:18 Et c'est là où il faut se méfier.
12:20 Je pense que lorsqu'on revient justement sur les fondamentaux,
12:23 vous posiez la question en amont,
12:25 dixième vague, un faux ou un toxe,
12:28 moi j'ai envie de dire que c'est un intox aussi
12:31 parce que ça redonne au gouvernement
12:34 un certain pouvoir, je dirais, d'ingénierie sociale
12:37 sur les gens.
12:39 Et on a bien vu, aujourd'hui, on a quelques scandales
12:42 dans d'autres pays sur le dossier Covid.
12:47 Je pense que c'est aussi une manière de faire un écran de fumée.
12:51 - Il faut suivre d'ailleurs Maude Marian,
12:53 la chambre des représentants actuellement
12:55 de l'élection d'Amérique. - Ah oui, elle est passionnante.
12:57 - C'est hallucinant, ce qu'on entend actuellement
12:59 avec Big Pharma d'un côté, Assemble d'hommes fonctionnaires.
13:03 Mais alors c'est intéressant, c'est que le chef
13:05 des programmes d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé
13:08 a fait une conférence de presse il y a deux semaines.
13:11 Et il dit "Nous arrivons au point où nous pouvons considérer
13:14 le Covid-19 de la même manière que nous considérons
13:16 la grippe saisonnière, à savoir une menace pour la santé,
13:19 un virus qui continuera à tuer, la grippe tuée aussi,
13:22 mais un virus qui ne perturbe pas notre société
13:25 ou nos systèmes hospitaliers."
13:27 C'est quand même assez formidable.
13:29 L'OMS, le chef des programmes d'urgence de l'OMS.
13:32 - Et j'enchaîne sur ce que vous dites,
13:36 parce qu'il a dit qu'il y a eu d'autres éléments
13:38 la récente de l'OMS. Ils abandonnent,
13:40 enfin, ils déconseillent de vacciner les personnes jeunes.
13:44 - J'aime pas. - Et ils ne conseillent pas
13:46 de vacciner les personnes en bonne santé.
13:48 Donc ça veut dire qu'on est quand même là,
13:50 clairement, on le dit depuis le début,
13:52 c'est une maladie qui touche les personnes âgées
13:54 et éventuellement les personnes âgées avec des comorbidités,
13:59 les personnes même jeunes mais avec des comorbidités importantes,
14:02 on sait très bien qu'il y en a à faire.
14:04 Et on sait aujourd'hui aussi, même si on continue
14:06 évidemment à le taire en France,
14:08 qu'il y a des molécules qui fonctionnent très très bien.
14:10 On le voit partout.
14:12 - Mais juste un mot, est-ce qu'à votre avis,
14:15 alors ce narratif de dixième vague et compagnie,
14:17 c'est quoi ? Qu'est-ce qu'on veut avec ça ?
14:20 Puisque effectivement aujourd'hui les preuves s'amoncèlent,
14:23 en tout cas, au moins de douter.
14:25 Le doute et puis ce que dit l'OMS
14:27 par rapport à la vaccination des jeunes,
14:30 par rapport à la grippe,
14:32 la grippe a toujours tué 14 000 morts en France,
14:35 pratiquement un chiffre moyen de chaque année.
14:38 Donc c'est quoi ? C'est toujours le management par la peur ?
14:42 La stratégie de la peur ?
14:44 - Oui, alors à mon avis, moi je ne suis pas du domaine,
14:47 mais c'est vrai que l'impression que j'ai en tant que citoyenne,
14:49 c'est que le management par la peur, c'est un moyen bien pratique
14:52 de ne pas répondre à des questions de société qui se posent.
14:54 Et actuellement, Dieu sait que la France
14:56 est secouée par beaucoup de choses.
14:58 C'est peut-être aussi un moyen de mettre encore un petit peu
15:00 sous le tapis tous les dossiers Covid,
15:02 parce que Dieu sait qu'on a des dossiers,
15:04 vous parliez de la Chambre des représentants,
15:06 il y a beaucoup de choses à redire sur le Covid,
15:08 donc on n'y serait pas encore autorisé
15:10 s'il y a vraiment une nouvelle menace.
15:12 Et je pense que tout ça participe de la même chose,
15:16 c'est-à-dire que pour gouverner,
15:18 on va faire de l'ingénierie sociale et éviter de regarder les choses en face.
15:21 - Donc vous, avec les 300, vous allez suivre tout ça ?
15:23 - Évidemment.
15:24 - Et actuellement, s'il y a appel ou procès,
15:26 vous allez continuer ?
15:28 - On continuera jusqu'au bout et on lâchera rien.
15:30 On lâchera rien jusqu'à ce que la lumière soit faite sur tous les aspects.
15:34 Et comme je disais, encore il y a quelques jours,
15:36 avec les confrères, ce qui nous a le plus choqué
15:38 ces trois dernières années, c'est qu'on n'a même plus le droit de se tromper.
15:41 Et ça, c'est vraiment un problème.
15:43 - Oui, ça c'est vrai.
15:45 Et la science, d'abord le droit à l'erreur,
15:47 et je dirais le premier chapitre de la science,
15:50 tous les scientifiques vous le disent.
15:52 Merci Maude Marian, et on vous suit en tout cas,
15:54 et on suivra avec vous les développements de tout cela.
15:57 - Merci André Marcot.
15:58 - Et la dixième vague, on verra bien.