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Avec Vincent Jeanbrun, député LR du Val-de-Marne et porte-parole du groupe Droite Républicaine à l'Assemblée nationale

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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-05-16##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Maxime Liedot.
00:088h35, bonjour Vincent Jeanbrun.
00:09Bonjour.
00:10Vous êtes député à l'ère du Val-de-Marne, porte-parole du groupe droite républicaine à l'Assemblée nationale et soutien de Laurent Wauquiez.
00:16Pourquoi soutenir l'homme qui, lorsqu'il a été déjà président des Républicains entre 2017 et 2019, n'a pas réussi à faire quelque chose de ce parti ?
00:25Les temps étaient très différents et je crois d'ailleurs que beaucoup lui reprochent d'avoir pris une sorte de pause médiatique nationale pendant un temps.
00:33Ça a été pour lui un moment de transformation.
00:36D'abord parce qu'il a eu l'occasion de se recentrer sur sa région Auvergne-Rhône-Alpes, où il en a fait un laboratoire et un exemple de ce que fait la droite quand elle est au pouvoir,
00:46avec le fait de ne pas toucher aux impôts, de faire des économies, d'être intransigeant sur la sécurité, sur la lutte contre les dérives islamistes.
00:55Ça lui a fait du bien et moi je l'avais connu à l'époque, je l'ai redécouvert d'une certaine manière sur les bancs de l'Assemblée nationale,
01:02où il a eu, il faut le dire, le courage de se jeter dans la bataille électorale quand tout le monde nous expliquait que les législatives allaient être un massacre.
01:10Lui, il quitte une position confortable de président de région pour revenir dans la bataille politique nationale.
01:16Et j'ai vu un homme qui avait effectivement appris de tout son parcours, de toutes ses erreurs peut-être aussi, parce qu'il en a fait, il le reconnaît,
01:25et qu'il avait trouvé de la force dans cette étape-là.
01:29Donc déjà, il faut dire que le Laurent Wauquiez d'aujourd'hui, il est plus fort de ses cicatrices aussi peut-être qu'à l'époque.
01:38Et ce qui est plus sincère.
01:39Et puis, certainement, moi je ne voulais jamais faire ce projet-là.
01:41Certainement ?
01:42Oui, il n'y a pas de doute, parce qu'il est congruent, parce qu'au fond, si vous l'écoutez attentivement, il dit aujourd'hui ce qu'il disait déjà il y a une dizaine d'années.
01:51La lutte contre l'assistanat, les enjeux de sécurité, la dérive de la gauche qui était de moins en moins fréquentable jusqu'à devenir la LFI.
01:58Ce n'est pas nouveau en fait, c'est des choses qu'il a toujours défendues, qui lui ont été reprochées à l'époque, peut-être parce qu'il avait un petit peu raison avant tout le monde.
02:04Après moi, j'ai vu un président de groupe à l'Assemblée nationale qui a réussi à redonner de la cohérence à des profils différents.
02:12Donc maintenant, la droite républicaine est rassemblée, elle est unie et elle porte une voix qui est entendue.
02:18Et ça, c'est grâce à Laurent Wauquiez.
02:20Et puis, je l'ai vu aussi, puisqu'on parle quand même d'une élection interne à un parti politique, se lancer dans cette mission de la refondation.
02:26Il y a quelques mois de cela, le parti politique lui avait confié une mission de dire lance la refondation.
02:31Immédiatement, il se remis au travail, il a commencé à sillonner la France, redonner la parole aux militants, voir quelle était la feuille de route pour transformer notre famille politique et lui permettre de sortir de l'ornière.
02:41Je l'ai vu au travail et là aussi, il y avait une vraie sincérité dans cet engagement.
02:45Donc, assez naturellement, dans cette élection interne, on a deux très bons candidats et c'est une chance pour nous.
02:50J'ai choisi de soutenir celui qui était le plus déterminé.
02:54D'ailleurs, il l'a prouvé à travers tous ses déplacements.
02:56Une campagne à la Chirac, dit-il.
02:57À la Chirac, écoutez, on l'a reçu dans le Val-de-Marne il y a 48 heures.
03:01Il est le dernier à éteindre la lumière, il parle avec le dernier militant.
03:06Il a une capacité à être au cœur de ce que c'est qu'un mouvement politique assez fascinante.
03:12Et puis derrière, objectivement, il porte une vraie vision, un vrai projet pour la France, avec la capacité à le mettre en œuvre.
03:19Pour moi, c'est très important.
03:21Et quand vous parliez du courage de le renvoquer, ce qu'il n'aurait pas à nous ?
03:23Je t'amène juste sur ce point, c'est qu'il est libre.
03:26Et c'est toute la différence.
03:27C'est-à-dire que vous pouvez avoir tous les chapeaux à plumes de notre famille politique qui viendraient vous voir en disant
03:30j'ai le projet parfait pour la France.
03:33S'ils n'ont pas la liberté de le mettre en œuvre et la liberté de le défendre, alors ça ne marchera pas.
03:37Et lui ne doit rien, ni à M. Bayrou, ni à M. Macron.
03:41Donc pour vous, Bruno Rotaillot n'est pas libre ?
03:44C'est factuel.
03:46C'est-à-dire que Bruno Rotaillot, qui fait un très bon travail au ministère de l'Intérieur,
03:49et il a tout notre soutien au niveau du groupe, est tenu par la solidarité gouvernementale.
03:54Et d'ailleurs, on l'a vu, et ce n'est pas du tout un reproche que je lui fais, c'est naturel.
03:58Je veux dire, c'est quand on est ministre, on respecte l'équipe dans laquelle on est.
04:02Mais quand vous avez Richard Ferrand, qui est nommé à la tête du Conseil constitutionnel par M. Macron,
04:08les ministres n'ont pas le droit de s'exprimer.
04:10Mais quand vous avez le ministre de l'Économie qui commence à nous expliquer
04:13qu'il va taxer les retraités en baissant leur abattement,
04:17donc augmenter leurs impôts concrètement,
04:20les autres ministres ne commentent pas.
04:21Supprimer l'abattement de 10% d'abattement fiscal pour les retraités et les frais professionnels.
04:25Est-ce qu'on imagine demain que le président de notre formation politique
04:29sera tenu dans son expression,
04:31et donc de fait tiendra toute l'expression de notre famille politique,
04:35à la solidarité gouvernementale ?
04:37Je pense que c'est un boulet au pied le cas échéant.
04:41Et donc il faut absolument que notre président de parti soit un homme libre
04:44et qu'il soutienne les ministres dans le gouvernement
04:47pour qu'ils aient des résultats et des actions.
04:48Quelle est la différence entre le fait de se battre contre un ministre
04:53qui veut supprimer par exemple cet abattement de 10% sur les retraités
04:57et le fait d'avoir soutenu le gouvernement Barnier
04:59qui augmentait les impôts de 30 milliards sur un budget ?
05:01Alors sincèrement la situation est très différente d'abord parce que
05:05Michel Barnier s'est lancé dans la constitution d'un budget en 15 jours.
05:11Donc il y avait une urgence vitale, on était en fin d'année.
05:14Là on n'est pas du tout dans la même logique.
05:15Et d'ailleurs on l'avait dit à l'époque,
05:16la priorité des priorités était de dès le début janvier 25
05:22préparer le budget pour 2026
05:24parce qu'il fallait prendre un certain nombre de mesures
05:27qui permettraient de générer des économies.
05:30Dès l'été dernier, on a proposé avec le groupe La Droite Républicaine
05:33autour de Laurent Wauquiez des solutions pour faire des économies
05:35et pour ne pas avoir à toucher au pouvoir d'achat de ceux qui travaillent
05:38et de ceux qui ont travaillé toute leur vie.
05:40C'est un vrai combat pour nous
05:41et c'est un positionnement idéologique qu'on défend avec vigueur
05:44et qui je crois est entendu aujourd'hui.
05:46Et cette liberté de ton de Laurent Wauquiez,
05:48c'est ce qui fait qu'on fait reculer le gouvernement sur ce type d'arbitrage.
05:52Laurent Wauquiez a été voir le Premier ministre et lui a dit
05:55si vous augmentez les impôts, si vous ne faites pas d'économie,
05:59nous ne voterons pas votre budget.
06:00On est encore dans la phase de dialogue et de travail
06:04mais la ligne rouge est très claire.
06:09Parce qu'on est responsable, nous avons dit avec nos collègues,
06:12pas de censure, il faut empêcher la LFI d'arriver au pouvoir dans ce pays
06:15donc on est responsable de ce point de vue-là.
06:18Mais responsable, ça ne veut pas dire qu'on renie nos convictions
06:20et on a notre soutien sur les textes au cas par cas.
06:24Est-ce que vous, vous ne vous êtes jamais dilué dans le macronisme ?
06:27Avec Laurent Wauquiez, quand vous avez passé des accords avec Yael Brown-Pivet
06:30pour avoir des postes importants en commission,
06:32quand vous travaillez de fait avec les groupes de Gabriel Attal,
06:36certains députés d'Édouard Philippe,
06:38est-ce que de fait dans votre action au quotidien,
06:40vous n'êtes pas en lien avec le macronisme en permanence ?
06:43Il y a une différence entre discuter au cas par cas,
06:46position par position,
06:47que ce soit l'élection de la présidente de l'Assemblée nationale
06:50ou texte par texte,
06:51avec des formations politiques qui ont la légitimité du peuple français.
06:54Ils sont arrivés à l'Assemblée nationale
06:55parce que les Français leur ont fait confiance.
06:58C'est notre rôle de parlementaire.
07:00Quand on est parlementaire, on discute, on parlemente.
07:03Et puis, c'est autre chose que de diluer ses convictions
07:07en disant, moi je pense ça, j'ai toujours dit ça,
07:10mais quand arrive le moment de le mettre en oeuvre,
07:12finalement je mets un mouchoir dessus.
07:13Ça, ce n'est pas acceptable.
07:14Et pourtant, Laurent Wauquiez a voulu intégrer le gouvernement.
07:16C'est pour ça que je vous dis finalement,
07:18c'est juste qu'il n'a pas voulu intégrer le gouvernement, Laurent Wauquiez.
07:21On ne parle pas du tout de la même chose.
07:22On parlait d'un Premier ministre de notre famille politique,
07:25Michel Barnier, puisque vous faites référence à ça.
07:27Ah non, même François Baguereau, on ne parle pas de François.
07:29On sait qu'il y a eu sous François Baguereau.
07:31Donc tout le monde est au courant sur vous.
07:33Je vous confirme que ce n'est pas le sujet.
07:35Et qu'en l'occurrence, et vous parliez de conviction,
07:37quand Michel Barnier dit,
07:39est-ce que ça t'intéresserait, Laurent Wauquiez,
07:41Laurent, de venir au ministère de l'économie ?
07:45Que dit Laurent Wauquiez ?
07:46Il dit, c'est pour faire quoi ?
07:48Ce n'est pas est-ce que je prends le poste ou pas,
07:50c'est pour y faire quoi ?
07:52Et quand on lui dit, vu le contexte,
07:53il risque d'y avoir des augmentations d'impôts,
07:55il dit, moi je suis désolé,
07:57ce n'est pas mes convictions, donc je ne fais pas ça.
07:59Le congrès ce week-end,
08:00avec une idée dans la tête de Laurent Wauquiez,
08:02le candidat que vous soutenez, Vincent Jeanbrun,
08:04l'idée de faire un grand rassemblement quand même,
08:06de la droite, une droite puissante, une droite forte,
08:09de Sarah Knafow à Gérald Darmanin.
08:11C'est ça l'idée de Laurent Wauquiez ?
08:12L'idée de Laurent Wauquiez, c'est de fédérer
08:14celles et ceux qui défendent les valeurs de la droite,
08:18que ce soit sur l'ordre républicain,
08:20la sécurité, la protection de nos frontières,
08:22ou que ce soit sur la revalorisation du travail.
08:25Et de fait, il y a d'abord un rassemblement de citoyens.
08:28Et on voit bien qu'on a aujourd'hui des personnalités,
08:32comme Gérald Darmanin,
08:33et jusqu'à Sarah Knafow,
08:34qui portent des discours forts
08:36sur l'économie, sur la sécurité,
08:38sur l'ordre républicain.
08:39Et donc, il va falloir, à un moment donné, fédérer.
08:42Encore une fois, on fédère sur la base de valeurs communes.
08:44Pas d'un petit accord d'appareil.
08:45Pour tous ceux qui nous écoutent,
08:47essayez de nous expliquer.
08:48Quelle est la différence entre être Bruno Retailleau,
08:50essayer d'aller défendre des positions
08:52en tant que ministre de l'Intérieur,
08:53et par exemple, être Laurent Wauquiez,
08:55et faire Gérald Darmanin,
08:57qui a été l'incarnation du macronisme pendant six ans ?
09:00Est-ce que ce n'est pas contradictoire de vouloir incarner la nouvelle droite,
09:02et d'aller chercher celui qui a occupé les postes régaliens,
09:05comme Gérald Darmanin,
09:06avec tous les premiers ministres successifs,
09:08et le président Emmanuel Macron en tête ?
09:10Est-ce que ce n'est pas contradictoire, fondamentalement ?
09:12Ce n'est pas contradictoire, c'est nécessaire d'être capable de fédérer.
09:16Expliquez-moi alors, sincèrement,
09:18parce que je pense que c'est important précisément la différence
09:20entre Bruno Retailleau, qui est au gouvernement actuellement,
09:23et vous, visiblement, vous jugez sévèrement cette position,
09:26et vous n'êtes pas d'accord avec cette idée d'incarner les idées dans un gouvernement,
09:32et Gérald Darmanin, que vous appelez à rassembler Laurent Wauquiez.
09:34Oui, précisément sur ça, parce que moi je suis heureux
09:37qu'on ait des ministres de droite dans ce gouvernement,
09:39et au-delà de Bruno Retailleau,
09:41Annie Gennevard fait un travail extraordinaire à l'agriculture,
09:44Yannick Noder à la santé,
09:45je pourrais en citer d'autres, Philippe Taboreau au transport,
09:48on a des ministres qui font la démonstration,
09:51qu'ils ont des convictions,
09:52et qui se mettent au travail,
09:53et qu'ils ont la compétence pour le faire.
09:54Mais, vous l'avez bien vu,
09:56on n'est pas dans un gouvernement classique,
09:58il n'y a pas de majorité,
09:59il n'y a presque pas de cohérence même
10:00dans les visions du pays,
10:03au sein de ce gouvernement.
10:03Donc, on a besoin d'aider les ministres,
10:05qui sont les nôtres à l'intérieur du gouvernement,
10:07à emporter des arbitrages.
10:09C'est quand même important que nos ministres
10:12aient une famille politique libre de sa parole,
10:15pour pouvoir appuyer leur démarche.
10:17Et alors, de l'autre côté du secteur ?
10:19Je ne reproche certainement pas à nos ministres
10:21d'être au travail, au contraire.
10:23Mais pour les aider face au Premier ministre,
10:27qui est quand même un peu particulier dans sa vision du pays,
10:30on n'a pas l'impression qu'on ait des arbitrages.
10:32On a un point important qui évoque Laurent Wauquiez régulièrement.
10:35On a quand même un Premier ministre qui nous a dit,
10:37oui, oui, sur les flux migratoires,
10:39la protection de nos frontières,
10:40j'ai compris, il va falloir vraiment faire quelque chose.
10:43Donc, en réunion le mardi matin,
10:45vous savez que le président de groupe du Socle commun
10:46voit le Premier ministre,
10:47il lui dit, donc, sur le calendrier, concrètement,
10:51quand est-ce qu'il y a un texte de loi
10:52sur la protection de nos frontières ?
10:54Concrètement, dans le calendrier,
10:55quand est-ce qu'on agit ?
10:57Là, si on n'a pas un président de groupe
11:01et demain un président de parti
11:02qui appuie pour que ça arrive,
11:05le risque, c'est que nos ministres
11:06n'aient pas la capacité de l'imposer.
11:08Donc, il faut qu'on ait ces deux jambes,
11:10des ministres au travail
11:11et une famille politique libre de sa parole
11:14pour faire pression et gagner les arbitrages.
11:16Si Bruno Rotaillot, ce week-end,
11:18passe devant votre candidat
11:19et remporte l'élection
11:20pour prendre la tête des Républicains,
11:22est-ce que, selon vous,
11:22il doit quitter le gouvernement ?
11:24Ce n'est pas à moi d'en juger.
11:26Je me pose la question,
11:28très sincèrement,
11:29j'imagine qu'il se la pose aussi,
11:31comment défendre une famille politique
11:34en toute liberté de ton
11:35et être tenu par la solidarité gouvernementale ?
11:39En vrai, il a tenu des propos très forts
11:42et c'est sa liberté de ton, Bruno Rotaillot.
11:44Sur l'Algérie, par exemple.
11:46Et puis, il a été, entre guillemets,
11:48rappelé à l'ordre par le Premier ministre
11:50et par le Président de la République
11:51qui ont dit
11:52« Ça, ce n'est pas des sujets d'intérieur,
11:55c'est des sujets de politique internationale,
11:56chacun dans son rôle. »
11:58Fin de l'histoire.
11:59Ce n'est pas acceptable.
12:01Demain, il est président de notre famille politique.
12:03Il est évident qu'il doit avoir sa liberté de ton.
12:05Donc, ce n'est pas à moi de j'en juger
12:06et vraiment, je suis heureux
12:09qu'on ait deux très bons candidats dans cette élection.
12:12Mais cette question de la liberté de ton,
12:13la capacité...
12:14Est-ce que vous n'êtes pas en train de devenir macroniste,
12:16Jean-Jean Brun ?
12:16Parce que vous savez que vous parlez exactement
12:18comme les députés macronistes
12:19qui souhaitent à Bruno Rotaillot
12:22une OQTG,
12:23une obligation de quitter le gouvernement.
12:25Vous rejoignez sur ça ?
12:26Mais non, je ne rejoins absolument pas sur ça.
12:30En l'occurrence,
12:31vous citez une députée macroniste
12:33qui n'était pas très contente
12:35parce que Bruno Rotaillot
12:36a tenu certains propos.
12:38A tenu certains propos.
12:38Mais non, ce n'est pas du tout le sujet.
12:41Moi, j'aimerais que ma famille politique,
12:43qui est la famille politique héritière du gaullisme,
12:45qui a une certaine idée de la France,
12:47une certaine idée de la République,
12:48se redresse, se relève
12:49et soit à nouveau là
12:52pour faire en sorte que notre pays avance.
12:56Je pense qu'il faut une liberté de ton pour ça.
12:57A tous les militants
12:59qui vont voter,
13:00notamment ce week-end,
13:01est-ce que vous pouvez assurer ce matin
13:03que cela se passera sans encombre ?
13:05Pas de grande guerre des chefs à la fin ?
13:07Pas de vote truqué ?
13:07Pas de chien qui vote ?
13:09Sur les modalités pratiques,
13:11je suis très serein.
13:12Pas de doublas ?
13:13Il n'y aura pas de doublas,
13:14il n'y aura pas ce genre de choses.
13:14On a été vraiment extrêmement exigeants
13:17sur toute la procédure.
13:20Je suis très serein du point de vue technique.
13:23Et après, vous savez,
13:25quel que soit le résultat du scrutin,
13:26il va falloir se rassembler,
13:28il va falloir se mettre au travail
13:29et aller de l'avant.
13:31Donc évidemment,
13:32on a tous intérêt
13:33à ce que ça se passe du mieux possible.
13:36Et comme je le disais,
13:36on a des candidats de grande qualité
13:38qui savent l'intérêt de se rassembler.
13:40Des candidats de grande qualité
13:41qui vont quand même devoir réfléchir
13:42à l'avenir du pays.
13:44Il y aura une élection.
13:45Est-ce que votre candidat,
13:46Laurent Wauquiez,
13:46peu importe le...
13:48Enfin, s'il perd,
13:49acceptera de renoncer
13:52à sa candidature
13:53à l'élection présidentielle en 2027 ?
13:55Alors d'abord,
13:55il va gagner
13:56parce que ce qui compte
13:57dans une élection de militants,
13:58c'est d'aller voir les militants
13:59et de sillonner le pays
14:00comme il l'a fait.
14:02Et au-delà de ça,
14:03l'élection qui est tranchée dimanche
14:04n'est absolument pas celle
14:06de la candidature à la présidence.
14:07Donc vous n'excusez pas
14:08le fait que si,
14:09par malheur selon vous,
14:10Bruno Rotaillot gagne
14:13et que Laurent Wauquiez échoue,
14:15il est quand même la possibilité
14:16de se présenter en 2027 ?
14:18Mais quel que soit le résultat de dimanche,
14:21Laurent comme Bruno
14:21peuvent avoir l'ambition
14:23de se présenter
14:24à l'élection présidentielle ?
14:25Et donc oui,
14:26Laurent Wauquiez
14:26peut tout à fait continuer
14:28à porter une vision
14:29pour la France.
14:31En 2027 ?
14:32Tout à fait,
14:33on a totalement décorrélé
14:34l'élection à la présidence du parti
14:36et l'élection à la présidentielle.
14:38Et c'est pour ça d'ailleurs,
14:39je crois vraiment
14:39à la formule du duo
14:41plutôt que le duel.
14:42Je crois qu'on peut additionner
14:43les forces
14:44d'un président de parti,
14:45Laurent Wauquiez,
14:46libre dans sa parole,
14:47deux ministres
14:48qui sont au travail
14:49comme Bruno Rotaillot.
14:50Et puis,
14:51on s'engagera
14:51dans un processus
14:52de désignation
14:53par les adhérents
14:54de notre candidat à la présidence.
14:55Est-ce que c'est pas ça
14:56qui flingue la droite ?
14:57Vincent Jean Brun,
14:57pardon,
14:58mais vous voyez
14:59qu'il y a quand même
14:59une volonté d'élire
15:00un chef à la tête du parti.
15:02On sait qu'en tête,
15:03il y a un espace
15:04pour 2027.
15:04Et pour vous,
15:04la démocratie,
15:05ça flingue un parti politique ?
15:06C'est pas une question de démocratie,
15:07c'est une question de...
15:08C'est quand même.
15:08Non,
15:09il ne faut surtout pas
15:09revenir à la guerre des chefs
15:10et pourtant,
15:11on sent que là,
15:11il y a une volonté de...
15:12Bon,
15:13il y en a peut-être un
15:13qui va prendre le parti,
15:14l'autre qui va aller tout seul
15:15en 2027.
15:15C'est pas rétablir
15:17insidieusement
15:17cette guerre des chefs
15:18qu'on redoute tant à droite.
15:19Moi,
15:19je ne redoute pas en tout cas
15:20de donner la parole
15:21à nos adhérents.
15:22disait un ancien président
15:23de la République,
15:23celui qui a la tête
15:24part pour 2027.
15:25Là,
15:25vous avez raison,
15:25le chef,
15:26il doit cheffer
15:26et cheffer à temps plein.
15:28Et donc,
15:28c'est quand même
15:28un vrai sujet.
15:29Il faut que,
15:30vu l'état
15:30de notre famille politique,
15:31il va falloir quelqu'un
15:32qui s'y consacre
15:33tous les jours
15:34et à 100%.
15:35Mais au-delà de ça,
15:36la démocratie interne
15:38comme la démocratie
15:39à l'échelle de la République
15:40n'a jamais fait peur.
15:42Nos adhérents
15:43ont le droit de trancher
15:43pour savoir
15:44lequel sera le meilleur
15:45ou la meilleure d'ailleurs
15:46candidate pour 2027.
15:48Il faut être capable
15:49d'avoir ce débat sereinement
15:50dans la période
15:51qui nous sépare de 2027.
15:52On dit toujours
15:52qu'on apprend nos erreurs.
15:53Est-ce que,
15:54durant cette campagne,
15:55notamment dans le camp
15:55de Laurent Wauquiez,
15:56puisque vous le soutenez,
15:57Vincent Jean-Bras,
15:58il n'y a pas eu
15:58des excès,
15:59des erreurs,
15:59Saint-Pierre-et-Miquelon,
16:01le RSA,
16:01le cancer de la Cistana,
16:02il y a déjà 10 ans
16:04signé Laurent Wauquiez.
16:05Vous voyez qu'il y a une cohérence
16:06dans le discours de Laurent Wauquiez.
16:06Oui, mais peut-être
16:06que si ça ne marchait pas
16:07il y a 10 ans,
16:08peut-être qu'il ne faut pas
16:09le reproposer maintenant.
16:09Est-ce qu'on n'a pas été
16:10dans un mélange d'excès
16:11et de vieilles rengaines
16:12qui n'avaient pas trouvé un public ?
16:13Ce n'est pas du tout
16:14ce que je ressens sur le terrain.
16:15On ne peut pas,
16:17à longueur d'émission
16:18sur vos plateaux,
16:19dire
16:20« Oh là là,
16:20le pays est très en colère,
16:23nos concitoyens rejettent
16:24l'inefficacité de la politique,
16:26l'inection des politiques. »
16:27Et quand vous avez
16:28un homme politique...
16:28Ce n'est pas une bonne idée,
16:29vous mettez à droite
16:30de Marine Le Pen,
16:31c'est compliqué.
16:31Oui, mais ça prouve
16:32bien son incohérence.
16:33En l'occurrence,
16:35on a un problème,
16:36on a des OQTF
16:37qu'on n'arrive plus
16:37à renvoyer.
16:38On a des OQTF
16:39ultra dangereux
16:40qui assassinent
16:41et violent
16:42sur notre territoire.
16:43Et la seule réponse
16:46de notre pays,
16:46c'est de dire
16:47« On ne peut rien faire. »
16:49Alors il y a des choses
16:49qui seraient nécessaires
16:50de faire.
16:51D'ailleurs,
16:52la droite l'a dit
16:52très clairement
16:53par la voix aussi bien
16:54de Bruno Retailleau
16:55que de Laurent Wauquiez.
16:56Il y a des lois
16:57qu'il faudrait changer
16:58pour pouvoir vraiment
16:59être efficace.
17:01Sauf qu'on voit bien,
17:02on n'est pas en capacité
17:03aujourd'hui,
17:03puisqu'il n'y a pas de majorité,
17:04à faire changer la loi.
17:06Donc Laurent Wauquiez
17:07a proposé des solutions
17:08qui ne demandaient pas
17:09de changer la loi
17:10pour avoir un effet dissuasif
17:12le plus rapide possible.
17:13Donc évidemment,
17:14ça interpelle.
17:15Mais encore heureux,
17:16sinon on renonce à tout
17:18si on n'est plus capable
17:19de faire bouger
17:20un petit peu les lignes.
17:21Et pourquoi Saint-Pierre-et-Miquelon ?
17:23Certes, c'est loin,
17:23mais surtout,
17:24c'est hors de l'espace Schengen.
17:25Donc à partir de là,
17:27les OQTF dangereux,
17:28j'insiste,
17:28dangereux,
17:29qui seraient basés
17:30sur des terres,
17:31on ne va pas mettre ça
17:32au milieu du village
17:33de Saint-Pierre-et-Miquelon,
17:34vous avez aujourd'hui
17:34des terres inhabitées
17:35à Saint-Pierre-et-Miquelon.
17:37On peut y construire un centre
17:38et à partir de là,
17:39les OQTF
17:41ne pourraient pas
17:43aller se balader librement
17:44et surtout pas revenir en Europe.
17:46Ce qui change,
17:47un point très important
17:47et c'est un peu technique
17:48mais il faut que les auditeurs
17:49le comprennent,
17:50aujourd'hui,
17:51qu'est-ce qui fait
17:52qu'on ne peut pas
17:52les renvoyer chez eux ?
17:53C'est parce que si l'OQTF
17:54n'est pas d'accord,
17:55on ne le renvoie pas
17:56si le pays n'est pas d'accord non plus.
17:58Alors que là,
17:58s'il était d'accord,
17:59l'OQTF,
18:00le pays ne peut pas le refuser.
18:03Et l'ambition,
18:04c'est d'être dissuasif,
18:05pas autre chose.
18:05La France du travail importante
18:07pour la droite.
18:09Plusieurs propositions
18:10sont venues sur la table
18:11cette semaine
18:11entre notamment
18:12les différentes prises de parole
18:14du Président de la République
18:15avec cette idée
18:16est-ce que pour que les gens
18:17puissent mieux gagner leur vie,
18:20il faut aller
18:20vers une TVA sociale ?
18:22Et pourquoi dans ce pays
18:24on est obsédé par l'impôt ?
18:25L'impôt, l'impôt, l'impôt.
18:26La priorité,
18:27c'est de remettre les gens
18:28au travail
18:29et peut-être que justement
18:30la première étape,
18:31c'est de faire en sorte
18:32que l'assistanat
18:33ne paye pas plus
18:33que le travail et le salaire.
18:36On a fait une proposition
18:37avec la droite républicaine
18:39autour de Laurent Wauquiez
18:40qui consiste à dire
18:41on cumule toutes les aides
18:43sauf celles qui concernent
18:45l'handicap
18:45et on les plafonne
18:47à 70% du SMIC
18:48pour que toujours
18:50dans notre pays
18:52le travail paye plus
18:54que l'assistanat.
18:55Première chose.
18:56Deuxièmement,
18:57poser la question
18:57au DURSA à vie
18:58et faire en sorte
19:00qu'au bout de deux ans
19:01les personnes qui sont aptes
19:02au travail
19:03puissent retourner
19:04vers l'emploi.
19:05Pas en leur disant
19:06on vous laisse galérer deux ans
19:07et puis après derrière
19:07il ne se passe plus rien.
19:08En leur disant
19:09on va tout faire
19:10pendant ces deux ans
19:11pour vous remettre en emploi.
19:13On a 500 000 emplois
19:14non pourvus dans ce pays
19:15et vous avez une grande partie
19:16des RSA
19:17qui ont moins de 35 ans.
19:18À un moment donné
19:19on doit pouvoir
19:20les remettre au travail.
19:21Je termine juste sur un point
19:22si on avait le même taux d'emploi
19:23que l'Allemagne
19:24nos comptes sociaux
19:25seraient équilibrés.
19:25On n'aurait pas de déficit.
19:27Donc à un moment donné
19:27c'est un défi considérable
19:29effectivement.
19:29Autre défi important
19:30pour la France
19:30on l'a vu cette semaine
19:31on en a beaucoup parlé ici
19:32sur Sud Radio
19:33les pompiers caillassés
19:34les pompiers blessés
19:35les pompiers attaqués
19:37ces scènes hallucinantes
19:37de rap à partir du moment
19:39on en parlait ce matin encore
19:40vous avez un peu
19:40de crypto-monnaie
19:41cette sensation
19:42que la France
19:43est devenue finalement
19:44un immense bataillon
19:47à ciel ouvert
19:47avec une agression
19:48absolument colossale
19:50est-ce que
19:51c'est aussi vers ça
19:52qu'il faut aller ?
19:53C'est-à-dire pour l'insécurité
19:53prendre la chose à bras-le-corps
19:55que Laurent Wauquiez
19:55pourrait peut-être
19:56beaucoup mieux faire
19:57que Bruno Rotaillot
19:57dans les années à venir ?
19:59En tout cas
19:59on ne peut pas se satisfaire
20:01d'un ministre de la Justice
20:02Gérald Darmanin
20:03qui à juste titre
20:04dit
20:05il n'y a plus de safe place
20:06en plan France
20:07il n'y a plus d'endroit
20:09où on est en sécurité
20:10Gérald Darmanin
20:11que vous appelez
20:12accessoirement quand même
20:13à Laurent Wauquiez
20:14l'appel à le rejoindre
20:15mais qui était ministre
20:16de l'intérieur
20:16pendant les six dernières années ?
20:18Oui mais sous quel gouvernement ?
20:19Pour une fois
20:20avec les pieds et points liés
20:21et une politique gouvernementale
20:23qui ne lui a pas donné moyens
20:23mais indépendamment de ça
20:24on a connu
20:26à l'été 2023
20:27des émeutes complètement folles
20:28où les symboles
20:29de la République
20:30ont été attaqués
20:30on a des pompiers
20:32qui sont attaqués
20:32parce qu'ils portent l'uniforme
20:34et qu'ils symbolisent
20:34la République
20:35d'ailleurs je suis très heureux
20:36qu'avec mes collègues députés
20:37hier on est symboliquement
20:38créé une médaille spécifique
20:40pour reconnaître
20:41leurs valeurs
20:42et leurs bravours
20:42ça a été adopté
20:43à l'unanimité hier
20:44on est dans un endroit
20:45où il y a de l'ultra-violence
20:46le narcotrafic
20:47gangrène tout et partout
20:48et bien évidemment
20:50qu'il va falloir
20:50et ce sera au cœur
20:51à mon sens
20:52de l'élection présidentielle
20:53de 2027
20:53déclarer le vrai combat
20:56et vaincre
20:58pour une fois pour toutes
20:59le narcotrafic
21:00ça a été possible en Italie
21:01ils ont eu
21:02cette gangrène de la mafia
21:03ils ont eu
21:03cette gangrène du narcotrafic
21:04ils ont pris des mesures
21:06extrêmement fortes
21:07et ils ont réussi
21:08à gagner la partie
21:09d'origine italienne
21:10j'ai beaucoup étudié ça
21:11on a la capacité de faire
21:12pour certains représentants
21:14dont Laurent Wauquiez
21:14disait-il encore hier soir
21:15il y a des choses
21:16qu'elle fait
21:17qui sont bluffantes
21:18parce qu'elle redonne
21:19à la politique
21:19sa capacité
21:20à avoir des résultats
21:21et ça doit être ça
21:22notre obsession
21:23parce que sinon
21:23les français
21:24au bout d'un moment
21:24ils vont juste
21:26nous tourner le dos
21:27et couper les liens
21:30avec la politique
21:30est-ce qu'on peut dénoncer
21:32on va dire
21:32certaines choses
21:33qui gênent beaucoup
21:34de nos compatriotes
21:35je pense notamment
21:35à l'immigration
21:36ou d'autres choses
21:37parce que SOS Racine
21:38je ne sais pas si vous avez vu
21:39accuse Rotaillot
21:40et certaines chaînes
21:41d'entretenir
21:42un certain climat
21:43en France
21:43d'islamophobie
21:44est-ce qu'on peut encore
21:45parler de certains sujets
21:46sans tomber
21:47dans ce genre d'accusation ?
21:49à un moment donné
21:50il faut qu'on arrête
21:50d'être otage
21:51de cette pensée
21:52de gauche
21:54parce qu'on peut
21:55leur retourner le compliment
21:56vous avez vu
21:56ce qui s'est passé
21:57à Rieux-la-Pape
21:58il y a eu un commissariat
22:00attaqué
22:00et qu'est-ce qu'on voit ?
22:02mais en raison
22:03accuse un député LFI
22:04justement
22:04d'alimenter cette haine
22:06mais moi je l'ai vécu
22:07je suis député aujourd'hui
22:09j'ai battu
22:09madame Rachel Kéké
22:10qui était députée LFI
22:12qu'est-ce qu'elle disait ?
22:14elle disait
22:14la police tue nos enfants
22:15elle m'a même dit un jour
22:17que ce serait bien
22:18que la police tue mes enfants
22:19pour que je me rende compte
22:20à quel point ça faisait mal
22:20les violences policières
22:21à un moment donné
22:22ce discours de haine
22:24anti-police
22:25anti-république
22:26il finit aussi
22:26par avoir des conséquences
22:27donc bien sûr
22:28qu'il ne faut surtout pas
22:29se laisser intimider
22:30sur ces sujets-là
22:31il faut qu'on mette
22:32les pieds dans le plat
22:32il faut qu'on dise les choses
22:33et les dire vraiment
22:34un dernier mot
22:35pour un ancien président
22:35de la république
22:36qui a retrouvé
22:36la liberté
22:37du moins à sa cheville
22:38plus de bracelet électronique
22:39pour l'ancien président
22:40de la république
22:41Nicolas Sarkozy
22:41vous avez un mot pour lui
22:43une pensée pour lui ?
22:45je sais que c'est un homme
22:46de courage
22:47et ses ennuis judiciaires
22:49ne sont pas terminés
22:49je sais qu'il va batailler
22:51avec beaucoup d'énergie
22:51beaucoup de conviction
22:53donc on le souhaite
22:54de mon courage
22:54il y a une adversaire
22:57qui a aussi des ennuis judiciaires
22:58elle s'appelle Marine Le Pen
22:59Eric Ciotti propose
23:00de supprimer
23:01l'exécution provisoire
23:02des peines d'inligibilité
23:03est-ce que vous la voteriez
23:05cette loi ?
23:06je distingue deux choses
23:07la réflexion globale
23:08de comment on applique
23:10les peines dans notre pays
23:11et ça je veux bien
23:12avoir un débat
23:12mais je ne suis pas
23:13pour des propositions
23:14de loi sur mesure
23:15pour des cas individuels
23:16donc vous ne la voterez pas ?
23:17je ne la voterai pas
23:18merci beaucoup
23:18Vincent Jambrun
23:19d'avoir été avec nous
23:20soutien de Laurent Wauquiez
23:21porte-parole du groupe
23:22Droite Républicaine
23:23à l'Assemblée Nationale
23:24et député LR du Val-de-Marne
23:26merci d'avoir été avec nous
23:27sur Sud Radio
23:27il est 8h57
23:28dans un instant
23:29La Vérité en France
23:30La Vérité en Face
23:31avec Patrick Rouget
23:32merci John
23:33pour la réalisation
23:34cette semaine
23:34c'était le camarade
23:35Jamel lundi dernier
23:36évidemment le camarade
23:37Manu pour l'accueil
23:39des auditeurs
23:39l'équipe
23:40Maxime Troulot
23:41Benjamin Glaze
23:42Laurie Leclerc
23:42que vous retrouvez
23:43dès lundi
23:44avec Jean-Jacques Bourdin
23:45et Laura
23:45merci beaucoup
23:46pour les réseaux sociaux
23:47et bien sûr
23:48puisque pour la partie politique
23:49elle est en face de moi
23:50Juliette pour les invités
23:51et les interviews
23:52dans un instant
23:53vous restez sur Sud Radio
23:54Patrick Roger arrive
23:55très bonne journée
23:55Sous-titrage Société Radio

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