Le Président de la Fédération Française de hockey, Henri-Claude Lambert , était l'invité de Patricke Chêne dans l'émission "Paroles de Président" sur la chaine Sport en France.
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00:00Bonjour à tous, merci d'être fidèles à Sport en France et à l'émission Président.
00:24Vous connaissez le principe, il s'agit de faire mieux connaissance avec ceux qui dirigent le sport français et les fédérations diverses et variées.
00:32Aujourd'hui avec nous, Henri-Claude Lambert, bonjour, soyez bienvenue.
00:36Vous êtes président de la Fédération française de hockey, alors vous êtes vous un nouveau président, puisque vous avez été élu le 1er décembre 2024.
00:43Isabelle Join, qui était présidente jusque-là, ne s'est pas présentée.
00:46Alors j'ai lu, je ne sais pas si vous pouvez l'expliquer, la liste adverse n'avait pas été validée, elle avait été invalidée pour Cambridge.
00:52Oui, la liste adverse a été invalidée. En fait, pour présenter une liste aux élections, il faut avoir un certain nombre de critères,
01:00comme le fait que tous les membres de la liste soient effectivement licenciés.
01:03Et à la vérification de la liste de concurrentes, eh bien, une des candidates sur la liste n'avait pas sa licence valide.
01:10Donc la liste a été invalidée par la Fédération française et le CNESF ensuite.
01:14Donc, on s'est retrouvés à être seuls.
01:18Vous auriez gagné quand même ?
01:19Seuls, pardon ?
01:20Vous auriez gagné quand même ?
01:21Évidemment, bien sûr que nous avions gagné, parce qu'on avait un programme magnifique, ça ne vous aura pas échappé.
01:26Cap développement, on va en parler beaucoup, mais il y avait un véritable enjeu sur le développement du hockey en France.
01:32Et nous sommes prêts à relever le défi.
01:33Vous avez l'air en tout cas.
01:35Alors, on va revenir un peu en arrière.
01:36C'est vrai que les Jeux olympiques, pour vous, n'ont pas été une formidable réussite.
01:40On a des sports qui ont eu un vrai levier grâce à ces Jeux.
01:43Alors, on va essayer de comprendre pourquoi.
01:45Des résultats assez compliqués.
01:46Donc, avec l'équipe des hommes qui a été dernière de sa poule, avec quatre défaites, un nul.
01:52Et puis l'équipe féminine, dernière de sa poule également, avec cinq défaites.
01:56Alors, on ne va pas tenter d'analyser tout ça, mais est-ce que c'est parce que l'équipe de France n'a pas le niveau ?
02:01Est-ce que c'est parce que la préparation a été compliquée ?
02:05Ou est-ce que ça reflétait tout simplement le niveau de l'équipe de France, des équipes de France ?
02:09Alors, ça va sûrement vous surprendre, effectivement.
02:12La version qui consiste à se focaliser, effectivement, sur les résultats,
02:15qui est un enjeu pour les Jeux olympiques, est effectivement une grille d'analyse.
02:20J'avais vécu de l'intérieur une bonne partie de cette préparation de nos athlètes français.
02:24Et je peux vous dire qu'ils étaient extrêmement prêts physiquement.
02:28Plus de 120 jours de préparation dans les meilleurs endroits de France.
02:31C'est-à-dire les crêpes, avec des gens de très grande qualité.
02:33Donc, l'équipe de France était probablement au rendez-vous.
02:36Il a manqué probablement un peu de culture.
02:39Et peut-être que l'enjeu a dû terrasser certains.
02:42On aurait dû sûrement le préparer un peu mieux avant.
02:44C'est facile à dire après.
02:46Maintenant, je voudrais retenir plusieurs choses.
02:49La première, c'est qu'à deux buts de prêt,
02:52on n'aurait pas la même discussion que vous et moi aujourd'hui.
02:55Donc, ce deux buts de prêt, en fait, c'est ça sur quoi il faut qu'on travaille aujourd'hui.
02:59C'est-à-dire, ah, on a failli, on a failli, on a failli.
03:02C'est un peu histoire du hockey.
03:03Donc, maintenant, on va faillir dans l'autre sens.
03:05Donc, je préfère qu'on dise, on a failli perdre, mais on a gagné comme toujours.
03:10Ce qu'un peu disent les Allemands.
03:12Et ce que les Hollandais peuvent dire aussi en finale,
03:14les Hollandais qui sont aux Jeux Olympiques.
03:17Si on parle de faits maintenant, l'Espagne arrive en demi-finale.
03:21Elle joue pour la troisième place.
03:23On fait match nul avec l'Espagne.
03:25en ayant dominé le match, une bonne partie.
03:27On est à deux doigts de battre l'Angleterre, d'un petit but encore.
03:31Et l'Angleterre termine également à une très, très bonne place.
03:36Et contre la Hollande, eh bien, on perd 4-0.
03:39Et j'imagine que vous aurez la question, mais dans notre nouveau staff,
03:42aujourd'hui, on a un Hollandais qui est un des meilleurs attaquants du monde.
03:44Il peut y venir, oui.
03:44Et ce Hollandais a expliqué aux joueurs dans le premier rassemblement
03:48que ce 4-0, il était très proche d'un de deux.
03:50Donc aujourd'hui, l'enjeu, c'est de réussir à faire
03:52qu'on puisse reproduire ces moments de grâce
03:55que l'équipe de France a vraiment et a eu pendant les Jeux Olympiques.
03:58Et pour les filles, alors les filles ont fait des Jeux extraordinaires.
04:01Vous savez, on s'est battus.
04:03Mais vous êtes formidables, parce que vous êtes en train de m'expliquer
04:06que ces Jeux sont formidables, alors qu'elles ont 5 défaites sur 5 matchs.
04:08Alors écoutez, on ne perd jamais, où on gagne, où on apprend.
04:12Ce n'est pas de moi, bien sûr.
04:14On a beaucoup appris.
04:15On aurait aimé être au rendez-vous.
04:17Je vous dis, à deux buts près, on n'aurait pas du tout la même chose.
04:20Et très drôle, quand on a commencé à discuter avec de potentiels entraîneurs,
04:26tous, tous, et des gens sérieux, comme ceux du calibre que vous avez sûrement noté,
04:31ils nous ont tous dit, mais en fait, la France aurait largement,
04:34grâce à son niveau, mérité d'être un peu plus loin.
04:36Donc, on a beaucoup de regrets.
04:39On a finalement assez peu de remords.
04:41Et on a surtout un plan pour que les choses ne l'adviennent pas.
04:45Et chez les filles, ça a été formidable.
04:47Et puis, dernière chose, on a réussi ces Jeux.
04:49400 000 spectateurs, un engouement incroyable.
04:52Des spectateurs qui nous demandaient plein de choses.
04:54Et j'ai une bonne nouvelle aussi sur l'impact des Jeux.
04:58Aujourd'hui, au jour où je vous parle, on a déjà un petit peu plus de licenciés
05:01que toute l'année dernière.
05:02Donc, tout ce qui arrive maintenant jusqu'à la fin de la saison, on sera du plus.
05:05On sera peut-être à 7, 8 %.
05:07Alors, on a un effet, évidemment.
05:09Ce n'est pas l'effet Léon, bien sûr, ou l'effet Charles Hawkes ou Benvington, probablement.
05:15Mais on a quand même un effet qui est donné par ces Jeux-là.
05:18En tout cas, bravo pour votre enthousiasme et votre côté positif.
05:21Vous avez un héritage quand même.
05:22C'est quand même le site Yves-Dumanoir qui a été entièrement refait grâce aux Jeux.
05:26Écoutez, j'en arrive à l'instant.
05:28Le site Yves-Dumanoir a été refait grâce au concours de la région Île-de-France,
05:31et bien sûr, et du département 92.
05:34Donc, de mes bureaux aujourd'hui dans la tribune…
05:36Vous êtes installé là-bas, la fédération.
05:37Exactement.
05:38De nos bureaux, en fait, on aperçoit deux magnifiques terrains de hockey.
05:41On a une tribune qui ne demande qu'à recevoir des événements internationaux importants.
05:46Et d'ailleurs, j'ai une bonne nouvelle.
05:47On aura en juillet 2026 le championnat d'Europe féminin U21 qui va se dérouler là.
05:53Et c'est un des leviers pour faire croître le hockey en France.
05:57Alors, cap développement, vous en avez parlé tout à l'heure.
05:59Parce que finalement, vous avez eu la chance.
06:01Vous arrivez sur un terrain un petit peu en friche, on va dire.
06:04Même si, pour quelques buts de différence, vous auriez pu avoir de meilleurs résultats.
06:08Maintenant, il faut développer.
06:10Moins de 17 000 licenciés, c'est le dernier chiffre que j'ai,
06:13contre par exemple 60 000 en Belgique.
06:15Ça donne quand même une relation de toute la…
06:18Ça donne une idée de tout le terrain qui est devant vous et que vous pouvez gagner.
06:21Alors, Frédéric Soyez, qui était le coach des Bleus lors des JO,
06:24a été remercié après les Jeux en octobre.
06:27Et remplacé donc par une star du hockey masculin mondial.
06:31Donc, vous allez m'en parler.
06:33Vous avez fait votre marché.
06:34Comment ça s'est passé ?
06:35Racontez-moi tout ça.
06:36Eh bien, écoutez, on a…
06:38Juste après avoir décidé de changer le staff pour l'équipe de France,
06:42pour essayer de…
06:43Parce qu'en reprenant les mêmes choses,
06:45on a généralement les mêmes effets.
06:46Donc, il fallait changer.
06:47Donc, on a fait un appel à la candidature.
06:49Et on a vu ce qui arrivait comme candidature.
06:52Donc, on a reçu plein de candidatures du monde entier.
06:54Quelques-unes un peu fantaisistes.
06:56Et puis, 5 ou 6 candidatures, 5.
06:58Réellement de très, très bons niveaux.
07:00Dont le staff actuel,
07:02John John Domain,
07:03qui est arrivé avec un projet.
07:05Parce qu'on leur demande…
07:06On n'allait pas les recruter sur leur CV,
07:08mais sur leur projet.
07:09Bien sûr.
07:09Et le projet de l'équipe de France,
07:10ça sous-entendait.
07:11Comprendre ce qui se passe,
07:12comprendre les problématiques,
07:14regarder les matchs,
07:15voir la philosophie.
07:16Et John John Domain est arrivé…
07:17Alors, on va quand même préciser,
07:18meilleur joueur du monde en 2017,
07:20enfin, grande, grande…
07:21Champion olympique,
07:22champion du monde.
07:22Et il est belge.
07:24Et il a connu l'époque
07:25où la Belgique était comme la France,
07:28dans le 14e, 15e mondial.
07:30Où, quand on tombait contre la Belgique,
07:31tout le monde se disait,
07:32« Ouf, chouette, c'est 3 points. »
07:34Et donc, il a vu la progression
07:36de l'équipe belge
07:36de 12 500 licenciés,
07:39comme nous aujourd'hui,
07:39à 60 000.
07:40Il n'a pas fait tout seul, évidemment.
07:42J'étais avec Marc Coudron,
07:43qui était l'homme emblématique
07:45de la fédération belge,
07:46qui a réussi à faire ça.
07:47Et c'est un mélange de résultats,
07:49formation, développement, club.
07:52C'est un tout qui a réussi
07:53à faire croître cette fédération
07:54qui, aujourd'hui,
07:55ne fait plus rire personne
07:56quand on les rencontre.
07:57Il vous faut combien d'années,
07:59à votre avis,
08:00pour essayer de monter
08:02une marche assez significative
08:04pour qu'on parle du hockey
08:04différemment en France ?
08:06Alors, vous l'avez dit,
08:0816 700 licenciés aujourd'hui,
08:10c'est probablement trop peu.
08:12Bien que l'implantation géographique
08:13du hockey,
08:14beaucoup en Ile-de-France
08:15et beaucoup dans le Nord,
08:16montre qu'on est capable
08:17d'avoir un effet volume
08:18au sein des régions.
08:19Donc, vous avez compris,
08:20il nous faut nous développer
08:21dans différentes régions.
08:23On est présent à Toulouse,
08:24on est présent à Bordeaux,
08:25plutôt autour des grandes métropoles.
08:27À Nice, à Lyon,
08:28de plus en plus dans le centre,
08:29en Bretagne, à Nantes, etc.
08:32Donc, aujourd'hui,
08:33on a double problématique,
08:34recrutement de nouveaux hockeyeurs
08:35et puis,
08:37consolidation des clubs existants
08:38pour réussir à leur permettre
08:40d'accueillir plus de monde.
08:41Et ça, c'est la formation.
08:43La formation des professionnels
08:44pour encadrer et pour former.
08:46Alors, vous avez recruté,
08:48donc, John John,
08:49j'ai mis à ce prénom,
08:50Domaine,
08:51et il n'est pas tout seul,
08:52puisqu'il y a Mathias Dirkens
08:53et le Néerlandais
08:55Jaron Hetzberger,
08:56considéré comme le meilleur
08:58attaquant du monde,
08:59qui va être, évidemment,
09:00l'entraîneur des attaquants.
09:01Donc, vous allez venir
09:02la barrasser, vous, quand même.
09:03Financièrement,
09:04comment vous avez fait, d'ailleurs,
09:04pour arriver à tirer
09:06tous ces gens
09:07de très, très haut niveau ?
09:08Alors, on n'est pas dispendieux,
09:09la formation de hockey,
09:10on ne peut pas se le permettre.
09:12Déjà, pour commencer,
09:13je remercie l'ANS
09:13qui supporte le haut niveau français.
09:15Et, d'un autre côté,
09:17on montre de bons résultats.
09:20L'ANS, précisé ?
09:21L'Agence nationale du sport,
09:23qui est donc au ministère des Sports,
09:24celle qui finance
09:25tous les hauts niveaux.
09:26Donc, pourquoi est-ce qu'ils nous font confiance ?
09:29Parce qu'effectivement,
09:30le bilan chiffré des lots olympiques
09:32consisterait à dire,
09:33vous n'avez pas réussi,
09:34donc maintenant, on diminue.
09:35En fait, ils continuent
09:36de nous faire confiance
09:36parce que nos filières de haut niveau,
09:38dirigées, entre autres,
09:39aujourd'hui,
09:40par Mathias Dirkens,
09:41ces filières de haut niveau,
09:42en fait, elles ont donné
09:43deux podiums mondiaux
09:45pour nos U21 garçons
09:46en quatre ans.
09:48Donc, ça veut dire que les filières,
09:49à partir de U16, U18, etc.,
09:51elles fonctionnent correctement.
09:52Donc, au niveau statistique,
09:54logiquement,
09:55quand on est dans cette situation-là,
09:57comme l'Argentine avant Rio,
09:58comme l'Allemagne souvent,
09:59il y a des chances
10:00qu'on fasse quelque chose de grand
10:01dans les quatre, cinq ans à venir.
10:03Et les quatre, cinq ans à venir,
10:04c'est pour nous
10:05la Coupe du Monde en 2026.
10:07Et puis, c'est bien sûr
10:07Los Angeles derrière.
10:09Donc, tout le monde le sait, ça,
10:10y compris une jeune jeune.
10:11Donc, c'est un challenge pour lui.
10:14C'est un jeune entraîneur,
10:16même s'il a 37 ans
10:17et qu'il a tout gagné.
10:19C'est un peu comme quand Zidane
10:20a décidé de devenir entraîneur.
10:21Vous voyez, le switch
10:22a été extrêmement rapide.
10:23Donc, John John
10:24est dans cette configuration-là.
10:25On lui a demandé
10:26de préparer un staff.
10:27À côté de lui,
10:27on a mis Ramon Sala,
10:29quatre fois les Jeux Olympiques,
10:30espagnol, entraîneur
10:31dans les meilleurs clubs d'Europe
10:33qui étaient déjà
10:33dans le staff précédent.
10:34Donc, on n'a pas tout changé non plus.
10:36Et puis, on a adjoint
10:37Irune Herzberger,
10:38comme vous l'avez nommé,
10:3937 ans,
10:40qui est aussi joueur.
10:41Et pour ces deux entraîneurs maintenant,
10:45c'est aussi un challenge.
10:46Vous voyez ?
10:47Il faut les naturaliser,
10:48les mettre sur le terrain aussi.
10:49À 37 ans, quand même,
10:50ils peuvent encore.
10:51Non, alors non.
10:53Non, non, non, non.
10:54Alors, Irune Herzberger
10:55a encore marqué deux buts
10:56la semaine dernière.
10:57C'est monstrueux.
10:58Il est monstrueux.
10:59Mais ils vont donner,
11:01vous avez compris,
11:01cette culture
11:02à notre équipe de France
11:03qui aujourd'hui mérite
11:04de ne plus faillir de perdre,
11:06mais de faillir
11:08de ne pas avoir gagné.
11:09Vous voyez ?
11:09Et la chose est là.
11:10Donc, c'est un mélange intéressant
11:12qui ne coûte pas plus cher
11:14que ce que ça coûtait avant
11:14parce qu'ils doivent aussi
11:16faire leur preuve
11:16en tant qu'entraîneur.
11:18Quand on sera champion du monde,
11:19je suppose qu'ils reviendront
11:20avec une note un peu plus salée.
11:22Bon, j'imagine
11:22qu'ils vont m'entendre
11:23en tant que...
11:24Donc, voilà.
11:25Mais pour l'instant,
11:25on est en train de construire
11:26cette équipe de France
11:27sur des bases solides.
11:29Et vous savez,
11:30si le challenge était
11:31aussi déceptif,
11:33il ne serait jamais venu non plus.
11:34Et puis, dernière chose,
11:35je dois le dire ici,
11:38John John m'a dit
11:39vous n'imaginez pas la chance
11:40que vous avez
11:41d'être français,
11:42d'être en France
11:42et de travailler en France.
11:44Et nous,
11:44pour avoir un café gratuit,
11:45il fallait qu'on attende
11:46d'être champion du monde
11:47et vous avez des crêpes
11:48avec des installations formidables,
11:50des centres
11:51et l'État français
11:51s'implique vraiment à l'intérieur.
11:53Vous avez une chance incroyable.
11:54Alors, je le dis ici
11:55parce qu'on se plaint beaucoup
11:56en France,
11:56on a tort.
11:58On a tort.
11:59Je suis d'accord.
12:00Deux événements importants
12:01pour les amoureux
12:02du hockey sur le gazon.
12:03La finale élite
12:03du championnat de France,
12:04ce sera le 1er juin
12:05à Marc Embaroy.
12:06Tout à fait.
12:08En délai haut de France.
12:09Et puis,
12:10l'île capitale du hockey
12:11en juillet
12:12avec la Coupe d'Europe U18,
12:14garçons et filles.
12:15Exactement.
12:16Je vous remercie
12:16de nous avoir rendu visite.
12:18Vous devriez faire
12:18de la communication de crise,
12:19vous aussi,
12:20parce que garder un optimisme
12:22fait pareil
12:22et telle énergie,
12:23c'est formidable.
12:24Pierre Doriot réalisait
12:25cette émission.
12:26Clément Rietter était au son.
12:28Sandrine David,
12:29au maquillage,
12:30évidemment.
12:30Et Julien Perronnet
12:31m'a très précieusement,
12:33je ne sais pas si ça se dit,
12:34aidé à préparer
12:35cette émission.
12:36Je vous remercie beaucoup.
12:37Bon vent,
12:38Henri-Claude Lambert
12:39pour remonter
12:41cette fédération.
12:42Vous revenez nous voir
12:43très vite
12:43avec des très beaux résultats.
12:44Absolument.
12:45Merci et à très bientôt
12:46pour une nouvelle édition
12:48de Président.
12:49Sous-titrage Société Radio-Canada
12:54Sous-titrage Société Radio-Canada
12:55Sous-titrage Société Radio-Canada
12:56Sous-titrage Société Radio-Canada
12:57Sous-titrage Société Radio-Canada
12:58Sous-titrage Société Radio-Canada
13:00Sous-titrage Société Radio-Canada
13:01Sous-titrage Société Radio-Canada