- A la BCE et à la Banque de France, on reconnait une perte de 7,7 milliards. De même, la Deutsche Bank (privée) ainsi que la Banque fédérale d'Allemagne comme la Banque centrale de Hollande ont reconnu avoir perdu des milliards, participant ainsi à la déroute des pertes de la BCE.
- Ursula von der Leyen a demandé un financement de 800 milliards € pour soutenir les Ukrainiens... Son plan "REARM Europe" n’est ni plus ni moins que la préparation financière à la guerre avec la Russie. Pourtant, les citoyens européens, eux, s’en moquent totalement, ne se sentant pas en danger puisque l’Ukraine ne concerne personne hormis quelques généraux de l’OTAN, et le va-t-en-guerre Macron. En réalité, cela ne ravit qu’une seule personne, Zelensky, un homme politique si corrompu qu’il avait déjà réalisé une très jolie apparition dans le scandale des Panama Papers, un détail qui avait échappé à la CIA ! Cela n’empêche pas Alain Minc d’annoncer qu’il préconise un emprunt forcé pour faire la guerre en Ukraine. Mais à qui faire la guerre ? A la Russie ? Verra-t-on les cosaques au Champ de Mars ?
- Les achats d'or des banques centrales continuent. La Banque centrale de Chine achète du métal jaune en toute discrétion à Londres. Money Metals a révélé que "les exportations directes d'or sont restées remarquablement soutenues en novembre, atteignant les 50 tonnes". Etant donné que la Banque populaire de Chine a secrètement acheté environ 600 tonnes d'or en 2024 pour une valeur de 50 milliards $, elle semble confiante sur l'évolution du prix de l'or en dollars, à la hausse. Traduction : la Banque du Peuple Chinois se débarrasse de ses dollars dont elle ne veut plus et, surtout, veut pourrir la vie de la Fed. La Chine et la Russie s’orientent clairement vers un standard or l’once d’or a dépassé les 3 468 $.
- Donald Trump a décidé de siffler la fin de la récréation de l'esclavage moderne, et de l’ordre néo-libéral : c'est à dire pour des produits conçus aux Etats-Unis mais fabriqué en Chine, au Vietnam, au Bengladesh ou en Turquie.
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : "L’Europe, paix et démocratie… sauf quand ça dérange".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.
- Ursula von der Leyen a demandé un financement de 800 milliards € pour soutenir les Ukrainiens... Son plan "REARM Europe" n’est ni plus ni moins que la préparation financière à la guerre avec la Russie. Pourtant, les citoyens européens, eux, s’en moquent totalement, ne se sentant pas en danger puisque l’Ukraine ne concerne personne hormis quelques généraux de l’OTAN, et le va-t-en-guerre Macron. En réalité, cela ne ravit qu’une seule personne, Zelensky, un homme politique si corrompu qu’il avait déjà réalisé une très jolie apparition dans le scandale des Panama Papers, un détail qui avait échappé à la CIA ! Cela n’empêche pas Alain Minc d’annoncer qu’il préconise un emprunt forcé pour faire la guerre en Ukraine. Mais à qui faire la guerre ? A la Russie ? Verra-t-on les cosaques au Champ de Mars ?
- Les achats d'or des banques centrales continuent. La Banque centrale de Chine achète du métal jaune en toute discrétion à Londres. Money Metals a révélé que "les exportations directes d'or sont restées remarquablement soutenues en novembre, atteignant les 50 tonnes". Etant donné que la Banque populaire de Chine a secrètement acheté environ 600 tonnes d'or en 2024 pour une valeur de 50 milliards $, elle semble confiante sur l'évolution du prix de l'or en dollars, à la hausse. Traduction : la Banque du Peuple Chinois se débarrasse de ses dollars dont elle ne veut plus et, surtout, veut pourrir la vie de la Fed. La Chine et la Russie s’orientent clairement vers un standard or l’once d’or a dépassé les 3 468 $.
- Donald Trump a décidé de siffler la fin de la récréation de l'esclavage moderne, et de l’ordre néo-libéral : c'est à dire pour des produits conçus aux Etats-Unis mais fabriqué en Chine, au Vietnam, au Bengladesh ou en Turquie.
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : "L’Europe, paix et démocratie… sauf quand ça dérange".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00:00— Bonjour à tous. Bienvenue sur le plateau de politique-économie. Aujourd'hui, la revue de presse économique internationale avec, devinez qui, Pierre Jovanavik.
00:00:28— Bonjour, Olivier. — Bonjour, mon cher Pierre. — Bonjour à tous. Alors nous avons évidemment du biscuit. Avec vous, il y en a toujours. Mais là... — Ah ben là, de toute façon... — Il est fourré. — Attendez, mais il faut suivre l'argent, les circuits financiers. — Voilà. — Et les circuits financiers, en fait, vous donnent le futur. — C'est bien vu, ça. C'est intéressant. C'est intéressant. — C'est pas compliqué. Ça n'a jamais été compliqué. — Oui. En route pour le futur avec un circuit financier.
00:00:56— Alors... — Et là, on le voit. Là, on va y arriver. — On va commencer quand même avec un personnage qui... — Ben justement. Ben justement. Les circuits financiers donnent le futur.
00:01:09qui a inspiré M. Macron, qui paraît-il, là, en partie formé. Il s'agit d'Alain Minc, qui, maintenant, nous annonce, eh bien, la saisie de l'épargne française.
00:01:22— Voilà. Alors, c'est très important. Absolument. C'est Alain Minc. Vous savez, Alain Minc, c'est celui qui, en 2008, disait
00:01:28« Oh, il y a une petite crise aux États-Unis, mais c'est une crise honnête, mais ça n'affectera pas. Nous, on ne sera même pas touchés en France. »
00:01:35Oui, t'as raison. C'est le type le plus nul en économie qu'on n'ait jamais eu. Il faut quand même le souligner.
00:01:43— C'est le plus nul, vous êtes-il. — Oh, si, si, on cherche. Si, je pense que... Oui, oui, oui. Et alors, justement, Alain Minc, donc, est un homme
00:01:50qui... C'est important d'écouter précieusement les paroles, car elles sont le reflet de ce que veut l'État profond américain.
00:01:59Récisons bien. CIA démocrate, hein. Qui contrôle la France. Avantage, depuis la victoire de Trump, il ne se cache plus.
00:02:06C'est ça qui est marrant. Témoins, c'est dernière déclaration qui commence par... Alors, petit un.
00:02:12Un emprunt de guerre forcée auprès des Français. Ce qu'on peut appeler un braquage avec le revolver sur la tempe.
00:02:18C'est un dope, littéralement. — Oui. Absolument.
00:02:21Non, mais j'aime beaucoup Alain Minc, qui est millionnaire, mais qui veut braquer l'argent des Français.
00:02:26Et des retraités, surtout. Ensuite, deux. Épargne forcée ou quatre jours de congés supprimés.
00:02:33Il faut impacter les Français, a-t-il dit. Voilà. Et tout ça, bien entendu, si vous voulez, pour faire la guerre à l'Ukraine.
00:02:41Enfin, à l'Ukraine. À la Russie, pardon. — C'est même pas pour établir les équilibres budgétaires. Non.
00:02:48— Même pas. — C'est pour faire la guerre en Ukraine. Contre la Russie.
00:02:52— Et tout ça pour sauver la France face à la menace que représente Poutine. Voilà.
00:02:58Alors, stop. Il nous a donné une information sans la donner. C'est-à-dire, parce qu'il a dit qu'il nous faut prendre 5 ans, etc.
00:03:09Donc, si les Français refusent, voilà, de prêter leur épargne pendant 5 ans, parce que c'est la durée du prêt qu'il veut nous faire faire,
00:03:15eh bien, M. Minc va leur prendre, veut nous prendre 4 jours fériés, dont certains sont au hasard des fêtes catholiques.
00:03:24Bon. C'est important de préciser que M. Minc, me semble-t-il, est de la communauté des Lumières.
00:03:30— Voilà. Des Lumières.
00:03:31— Donc, je comprends qu'ils veuillent supprimer les fêtes catholiques. C'est...
00:03:36— Alors qu'on pourrait supprimer... — Comme d'hab, je dirais.
00:03:39— On pourrait supprimer le 1er mai. — Oui, par exemple.
00:03:41— Le 8 mai. Alors, vous savez quand même, ça, c'est quand même un gros paradoxe, c'est que ceux qui célèbrent le 1er mai
00:03:48oublient que c'est le maréchal Pétain qui a voulu que ce fût un jour férié.
00:03:52— Exactement.
00:03:54— C'est tout à fait extraordinaire.
00:03:55— Tout à fait. Alors, justement, donc, l'information qu'il nous donne sans la donner, mais il s'est trahi.
00:04:00— Oui. — 2025 plus 5 ans, ça donne 2030. L'année qui colle exactement au vœu et surtout au timing de Davos.
00:04:09Le problème, c'est que Davos, là, il a coulé. Klaus Schwab et ses insectes, là, il a bouffé son chapeau, lui aussi.
00:04:15— Alors, vous pensez cela ? Vous pensez que, oui, Davos, c'est...
00:04:19— Oui, là, ils sont mal. On y reviendra tout à l'heure avec le nouveau patron.
00:04:22Et alors, moi, j'ai lu, là, par exemple, le Média 442, ils ont écrit « En tant qu'homme d'affaires,
00:04:30il a été condamné à 6 millions d'amendes pour des manœuvres frauduleuses,
00:04:35ayant fait perdre 800 millions d'euros à Carlo de Benedetti, qu'il conseillait ».
00:04:39Alors, c'est vrai, parce que moi, j'avais interviewé Carlo de Benedetti il y a longtemps.
00:04:43Mais c'est vrai que Minck avait joué un rôle... Enfin, il est dans tous les coups pourri.
00:04:49Donc... — 6 millions d'allemandes, quand même.
00:04:51— Oui, c'est ce que dit le Média 442. Donc, je n'ai pas vérifié,
00:04:53mais je me souviens qu'il y a eu, effectivement, un sacré bince entre les deux.
00:04:57— Vous n'auriez pas payé une amende de 6 millions ?
00:04:59— Euh... Manifestement, il les avait.
00:05:03— Oui, c'est ce que vous...
00:05:04— Mais je n'ai pas vérifié l'info, mais je pense qu'elle doit être exacte.
00:05:07Alors, doit-on lire les ouvrages de M. Minck ?
00:05:10Parce qu'il continue à publier des livres les uns après les autres, évidemment.
00:05:14De celui qui a été condamné à 15 000 euros d'amende pour plagiat.
00:05:20Voilà. Et je crois qu'en fait, il a été condamné aussi à 100 000 euros
00:05:24parce que c'est lui qui détient le record des condamnations pour plagiat.
00:05:28Voilà. Ça, c'est Alain Minck.
00:05:29C'est-à-dire qu'on prend chez les autres, et puis on s'attribue...
00:05:32On prend les idées des autres et on les cite même pas.
00:05:35— Il veut faire donc un emprunt forcé pour financer la guerre d'Ukraine.
00:05:39Et donc, le chantage de M. Alain Minck est amusant.
00:05:43Soit vous lui prêtez votre épargne, soit vous travaillez pour lui 4 jours de plus.
00:05:47Voilà. Et pour ma part, avec 40 ans d'expérience, et vous aussi,
00:05:51avec 70 ans d'expérience dans le domaine économique...
00:05:54— Mais non, 170 ans, voyons !
00:05:56— Marine Monroe, vous étiez son amour à l'époque, arrêtez...
00:05:58— Vous l'avez déjà dit !
00:05:59— Oui, vous êtes modeste, hein. Voilà. En fait, c'était le compagnon de Marine Monroe,
00:06:05mais il n'a jamais osé en parler. Voilà. Donc si Alain Minck est sorti du bois,
00:06:12aussi brusquement et clairement, c'est surtout parce que le Deep State américain,
00:06:16donc le Deep State qui est contrôlé par Obama depuis 2008,
00:06:20est en mode panique totale à cause de Trump.
00:06:23Et du coup, il ne respecte plus les habituels niveaux de filtrage.
00:06:28Voilà. C'est très intéressant.
00:06:31C'est-à-dire, Minck, c'est le représentant.
00:06:33Minck travaille pour les Américains, de la même façon que Attali travaille pour les Américains,
00:06:37et surtout son frère Bernard Attali travaille pour les Américains.
00:06:40Bernard Attali est le responsable, entre autres, de la destruction d'Air France,
00:06:43qui a été continu par tous les autres.
00:06:46Aujourd'hui, Air France est une compagnie banale qui a perdu tout son statut.
00:06:50— J'ai quelque chose. Puisque vous disiez tout à l'heure que j'étais le compagnon de Marine Monroe,
00:06:55mais pour la petite histoire, je vais quand même vous informer
00:06:57que mon épouse est une ancienne hôtesse de l'air d'Air France.
00:07:00— Oui, mais je le savais. Je le savais.
00:07:02— Déjeuner.
00:07:04— Elle sera ravie d'apprendre que vous l'avez trompée avec Marine Monroe.
00:07:06— Oh ! Ville. Méchant futur.
00:07:11— Les photos sur la plage de Malibu, c'était nous.
00:07:16Bref. Non, mais soyez pas modestes.
00:07:20Donc, mine de rien, Alain Minck veut déclencher une révolution,
00:07:23puisque, selon lui, si vous avez payé 4 000 euros d'impôt en 2025,
00:07:27vous devrez prêter 2 000 à l'État, qui le remboursera en 2030,
00:07:31avec un taux minable de 3 %, avec la vraie inflation à 15 % par an.
00:07:35— Alors, il faudra y revenir, là.
00:07:36— C'est l'indice niqué, littéralement, par l'État français et par M. Minck.
00:07:42M. Minck, mais je comprends pas pourquoi il est encore invité sur les plateaux,
00:07:46mais c'est invraisemblable.
00:07:47Ce type... Enfin bon, passons.
00:07:50J'en parle dans mon...
00:07:52— Dans votre revue de presse.
00:07:54— Voilà. Donc ça, c'est la revue de presse.
00:07:56Alors, pardon, ceux qui veulent la retrouver, c'est le 17 mars, donc quotidien.com.
00:08:01Alors, allez-y, là, on a refait tout le site.
00:08:03Vous allez voir, c'est splendide.
00:08:05— C'est très bien. C'est très, très bien. C'est très bien.
00:08:08— Merci à vous.
00:08:09— Non. Alors, pour revenir, donc, à ce phénomène de M. Minck,
00:08:14ça traduit quand même, comme vous dites, le mode panique.
00:08:17— Oui.
00:08:17— Aussi bien.
00:08:18— À cause de Trump ?
00:08:19— Bien sûr. Parce que Trump donne un formidable pied dans la fourmilière de l'État profond.
00:08:25Mais plus que ça, beaucoup de gens... C'est l'article que je viens de publier, là, dans Politique magazine.
00:08:31Beaucoup de gens nous disent « Ah oui, mais libre-échange protectionniste, c'est un problème économique ».
00:08:35C'est pas un problème économique.
00:08:37C'est un problème géopolitique.
00:08:41Ça traduit la remise en cause de l'ordre néolibéral qui s'est mis en place depuis les années 80.
00:08:48Finalement. Pourquoi ? Parce que l'Occident, aussi bien les États-Unis que l'Europe,
00:08:53sont en graves difficultés financières et que nous assistons à la montée des BRICS.
00:08:57— Non, mais attends. Permettez-moi juste de revenir sur un point.
00:09:01Parce que c'est là-dessus que Trump, si on avait un président qui pouvait faire la même chose que Trump...
00:09:07Trump a dit... Je rappelle juste une chose. J'en ai déjà parlé une fois lors d'un Bistro Liberté.
00:09:13Mais le libéralisme, en fait, c'est un mot qui déguise l'esclavage moderne.
00:09:17Voilà.
00:09:18C'est-à-dire que vous payez des ouvriers au Vietnam, au Cambodge, au Dieu seul sait où, à 200 euros par mois
00:09:24pour fabriquer des cheveux sur Nike, Adidas et que sais-je encore.
00:09:29C'est de l'esclavage pur.
00:09:31C'est ce qui a déclenché, je rappelle, la crise de 2007, entre autres.
00:09:37C'est les délocalisations.
00:09:39Parce que toutes les... Il y a eu toute une... Le ministre des Goldman Sachs qui sont devenus ministres.
00:09:44Ils ont dit... Ah ben, on va signer un accord avec le Mexique, machin.
00:09:48Du coup, les Américains, les industriels américains, ils ont dit...
00:09:51Oh ben tiens, là, on paye l'ouvrier, on le paye 2000 dollars par mois.
00:09:55Au Mexique, on le paye 400.
00:09:57Ils ont tous déménagé leur usine.
00:09:59Résultat des courses, vous avez un million d'ouvriers qui, du jour au lendemain,
00:10:02se sont retrouvés sans travail alors qu'ils avaient des emprunts sur le dos pour leur maison.
00:10:08Et qu'est-ce que ça a fait ?
00:10:09Ça a déclenché la crise des subprimes.
00:10:10Et ça a commencé... Ça, c'est le thème de mon prochain livre.
00:10:14Mais c'est très important de comprendre ça.
00:10:17J'en ai déjà parlé.
00:10:19C'est vital.
00:10:20Avec un mouvement générable.
00:10:20Et ce sont des truands.
00:10:21Ces gens sont des truands.
00:10:23C'est pour ça que les riches sont...
00:10:24En l'espace de 20 ans, les riches sont devenus encore plus riches.
00:10:28Et bien entendu, les classes moyennes ont disparu.
00:10:31Tout le monde est descendu d'un cran.
00:10:33Tout le monde. Chaque année, tout le monde descend d'un cran.
00:10:35En Europe et en France, comme aux États-Unis, avec une baisse des salaires manifeste.
00:10:42On voit bien que le pouvoir d'achat, qui est la revendication politique dominante,
00:10:48traduit bien cette faiblesse des rémunérations qui caractérise la mondialisation.
00:10:53Justement, on va montrer un graphique.
00:10:56On a les salaires de toute l'Europe.
00:11:00Alors c'est très intéressant.
00:11:02On va le montrer.
00:11:02Alors je ne sais plus ce que j'ai fait du papier, bien entendu, comme d'habitude.
00:11:11Justement, attends, j'en profite pour faire une parenthèse.
00:11:17Il y a notre lecteur, parce qu'on dit que tout le monde descend d'un cran.
00:11:21D'accord ?
00:11:22Il y a encore dix ans, les meilleures ventes d'automobiles en France,
00:11:26ce n'était pas Dacia.
00:11:29Aujourd'hui, c'est Dacia.
00:11:30Mais attention, il y a encore autre chose.
00:11:33Donc c'est notre lecteur indienais qui a vu dans l'excellent Automobile Magazine,
00:11:38qui n'est pas un magazine économique par définition,
00:11:42c'est vraiment l'auto-essai automobiles,
00:11:45que les Français n'achètent plus que des pneumatiques pas chères.
00:11:48Et ça, c'est un indice tellement fort.
00:11:51Et il nous dit qu'ils tentent de faire passer les Français pour des gueux,
00:11:56car ils sont accros aux pneus bas de gamme.
00:11:59Pauvre Français idiot et stupide,
00:12:02puisque les pneus chers sont bien entendu meilleurs.
00:12:07Oui, mais, dit-il, les Français n'ont plus les moyens d'acheter des pneus chers.
00:12:14C'est ça qu'il faut voir.
00:12:16Dans pneus, il y a pneuma, c'est-à-dire le souffle.
00:12:21Celui qui permet justement de gonfler un pneu,
00:12:24que ce soit un ballon ou un Goodyear, un Firestone,
00:12:27Michelin, Dunlop, Bridgestone, Toyo, etc.
00:12:31Voilà, ou le Bibendum de Michelin.
00:12:33On va voir le tableau de l'Annonciation.
00:12:36Vous n'avez jamais vu l'Archange Gabriel en Bibendum ?
00:12:39Voilà, on va le voir derrière nous.
00:12:42C'est intéressant.
00:12:43Mais c'est quand même absolument incroyable
00:12:46que Michelin, par exemple, perd du terrain
00:12:50parce que les Français cherchent des solutions pour réduire leur budget.
00:12:54Et les pneus dits budget ont vu leur part de marché
00:12:57doublé en 10 ans pour atteindre 20% en 2024.
00:13:01À l'inverse, les parts des marques premium
00:13:04a chuté de 63%.
00:13:06Maintenant, ils sont à 50% en 2024.
00:13:09Et Michelin vient de liquider ses usines de Cholet.
00:13:13Oui, voilà.
00:13:14Et cela a échappé à beaucoup de monde.
00:13:16Mais le plus grand fabricant de pneus en Chine,
00:13:17c'est justement ces Zhongzi Robè, 4,5 milliards.
00:13:21Oui, quand même.
00:13:22Distribué dans 10 000 garages dans 120 pays.
00:13:25Ça calme.
00:13:25Connu pour ses sous-marques comme Westlake, Chao Young, Ayrson.
00:13:29Voilà.
00:13:30Donc, littéralement, je veux dire…
00:13:35J'ai toujours dit, la vente des pneus, c'est mon deuxième indicateur.
00:13:39C'est l'indice.
00:13:39L'indice par excellence.
00:13:41Exactement, parce que les gens, l'économie qui va bien, les gens se déplacent,
00:13:44le commerce, tout le monde vend, on achète, on achète, etc.
00:13:46Et là, on ne vend plus de pneus, parce que les gens se déplacent moins,
00:13:50parce qu'il y a moins de commerce, etc.
00:13:51Je ne sais pas si vous avez vu aussi…
00:13:53Ça, c'est le papier du 3 mars.
00:13:55Les petites voitures moyennes qui servent pour la classe moyenne.
00:14:00Oui.
00:14:01Ces petites voitures moyennes subissent des réglementations européennes
00:14:06sur les normes, sécurité, etc., etc.
00:14:09Si bien que ce sont des équipements électroniques qui coûtent très, très cher
00:14:12et qui enchérissent le prix de la voiture,
00:14:15si bien que les fabricants annoncent qu'ils ne vont plus fabriquer
00:14:18de petites voitures bon marché.
00:14:21Voilà.
00:14:21Ils ne peuvent pas, puis ils vont laisser la porte ouverte aux chinois,
00:14:24parce qu'ils arrivent à faire des voitures extrêmement pas chères.
00:14:28Moi, je dis à nos lecteurs, à nos spectateurs,
00:14:31surveillez une marque qui s'appelle BYD.
00:14:33Oui, BYD.
00:14:34Parce qu'ils sortent des modèles absolument invraisemblables.
00:14:37Ils font une publicité incroyable.
00:14:39Et l'Europe a détruit totalement l'industrie européenne de l'automobile.
00:14:43Par sa réglementation.
00:14:44Par sa réglementation.
00:14:45La surenchère.
00:14:46Non, mais par l'obligation d'acheter des voitures électriques.
00:14:48Attends, justement, pendant que…
00:14:50Tiens, je fais une parenthèse.
00:14:52Faisons une parenthèse.
00:14:52On ouvre encore un tiroir.
00:14:54Oui, oui, oui.
00:14:55Alors, regardez bien ce qui se passe en Angleterre.
00:14:59Alors, non mais c'est énorme.
00:15:01Tous ceux qui ont acheté des voitures électriques.
00:15:02Alors, les propriétaires de…
00:15:05Alors, en fait, il y a de plus en plus de taxes et d'impôts sur les possesseurs de voitures électriques.
00:15:11Les propriétaires paieront collectivement 22 millions de livres sterling de plus par mois
00:15:16pour utiliser leur voiture en raison de la combinaison de deux facteurs.
00:15:19Introduction de la taxe automobile spéciale véhicule électrique.
00:15:22Et la hausse du plafond tarifaire de l'énergie décidée, blablabla.
00:15:27Bref.
00:15:28Donc, en fait, ils sont en train de rajouter tout un tas de taxes.
00:15:31Et ce qui fait que là où les gens pouvaient faire des économies, effectivement, avec une voiture électrique,
00:15:35c'est fini, c'est terminé.
00:15:37Ils n'en font plus.
00:15:37Et plus il y a de voitures électriques en circulation, et plus les taxes augmentent.
00:15:43Et ainsi de suite.
00:15:43Et là-dessus, les Anglais sont en avance sur nous.
00:15:48Oui, on ne peut pas dire.
00:15:49Non mais c'est tout…
00:15:50Par exemple, tiens, je vous donne…
00:15:52Selon les nouvelles règles fiscales du gouvernement conservateur, blablabla, anglais,
00:15:57et désormais appliquées par les travaillistes,
00:15:58les voitures électriques ne sont plus exonérées de la taxe VOD.
00:16:02Alors, en plus de payer une taxe showroom de 10 euros à l'achat,
00:16:06ainsi qu'un tarif annuel de 200 livres,
00:16:09les véhicules électriques, dont le prix dépasse 40 000 livres,
00:16:12sont également soumis à une surtaxe pour des voitures onéreuses.
00:16:15Donc là, ils se prennent 5 taxes, 6 taxes sur la figure.
00:16:20Et sans parler des taxes de déplacement.
00:16:22Oui, bien sûr.
00:16:24Pour revenir en France.
00:16:26C'est les mecs qui se sont achetés des voitures électriques,
00:16:28ils se sont retrouvés coincés.
00:16:29Je me suis amusé à regarder, Pierre,
00:16:32à recenser les voitures électriques dans mon village.
00:16:35Oui.
00:16:35Au fin fond de la France.
00:16:37Oui.
00:16:38Mais il n'y en a pas.
00:16:39Il n'y en a pas ?
00:16:40Ben oui, mais il n'y en a pas.
00:16:41Il n'y en a pas ?
00:16:41Non, mais de toute façon, tous les gens qui ont des…
00:16:43Bon, si vous habitez un pavillon
00:16:46et que vous pouvez installer un chargeur,
00:16:49ok, très bien.
00:16:50Mais les gens en ville laissent tomber.
00:16:52Et puis de toute façon,
00:16:53tous ceux qui ont des voitures électriques,
00:16:54ils ont l'angoisse de la distance et du trajet.
00:16:56Ah oui, ça c'est un vrai problème.
00:16:58C'est typique.
00:16:59Un vrai problème.
00:17:00Voilà.
00:17:00Alors…
00:17:01On referme le tiroir électrique.
00:17:02On referme le tiroir.
00:17:03Et j'aimerais qu'on ouvre un gros tiroir.
00:17:06C'est même un tiroir caisse.
00:17:07Oui, oui, c'est bien vu.
00:17:09C'est un tiroir caisse.
00:17:11C'est quoi ?
00:17:12C'est la Banque Centrale Européenne ?
00:17:13C'est lequel vous voulez ?
00:17:13Voilà, c'est ça, exactement.
00:17:15Voilà.
00:17:15Alors, la Banque Centrale Européenne.
00:17:18L'Union des banques suisses.
00:17:20L'Union des banques suisses menace faute de liquidités,
00:17:23les liquidités qui sont remises par les banques commerciales auprès de…
00:17:26Oui.
00:17:26De se délocaliser.
00:17:28C'est quand même incroyable.
00:17:29C'est-à-dire que le gouvernement fédéral demande à UBS,
00:17:35qui, je vous rappelle, que deux banques mortes qui ont fusionné
00:17:38ne font pas une banque en plein de santé.
00:17:41Voilà.
00:17:41Et comme les Suisses veulent remonter leur niveau de réserve, etc.,
00:17:47et comme ils ne l'ont pas, évidemment,
00:17:48donc ils ont menacé le gouvernement suisse de quitter l'Elvessie
00:17:54pour aller, je ne sais plus où, à Dubaï, non ?
00:17:56Oui, quelqu'un.
00:17:57Ou à Némira, quelconque, ou à Londres, enfin bon, peu importe.
00:18:01Donc les Suisses, j'allais dire, quittent le navire.
00:18:04Oui, c'est ça.
00:18:06La Suisse, c'est une puissance maritime ?
00:18:08Absolument, sur le lac de Genève, bien entendu.
00:18:11Non, je vais vous dire, ils ont pris l'Elvessie pour des lanternes.
00:18:15Bien joué.
00:18:16Pardon.
00:18:16Pas mal.
00:18:17Celle-là…
00:18:18J'ai pas pu résister.
00:18:19Oui, absolument.
00:18:20Je demande pardon aux téléspectateurs.
00:18:22Elle est jolie, elle est jolie.
00:18:23Revenons aux banques.
00:18:25Revenons aux banques, parce que c'est un vrai problème.
00:18:27Bon.
00:18:28Non, mais tiens, justement, on parle de la Banque de France.
00:18:31La Banque de France, c'est la Banque de France.
00:18:33Monsieur, le gouverneur de la Banque de France,
00:18:35là, il y a grosso modo trois semaines,
00:18:37il arrive à la télé et il nous dit, il faut, on a besoin de 300 milliards.
00:18:42En fait, il veut les donner à l'Ukraine.
00:18:44C'est toujours la même chose.
00:18:46Parce que c'est toujours, exactement, c'est toujours la même chose.
00:18:48On va voir des photos derrière nous.
00:18:50Et là, parallèlement, la Banque de France reconnaît une perte de 7,7 milliards.
00:18:56C'est génial.
00:18:57Une banque centrale qui perd 7,7…
00:19:01Et encore, dites-vous…
00:19:02Il manque un 7.
00:19:03Ça aurait pu faire un joli 7-7-7.
00:19:04Et encore, dites-vous, je crois, qu'elle avait des provisions qu'elle a utilisées pour compenser une partie de sa dette, mais ça n'a pas suffi, n'est-ce pas ?
00:19:12C'est bien cela.
00:19:13Oui, mais le professeur Chevalier dit de toute façon qu'ils sont en train de truander leur…
00:19:17Ils ont maquillé leur bilan comme une mobilette volée, comme un scooter volé, pardon.
00:19:22– Mobilette, vous êtes dans les années 60.
00:19:24– Voilà, voilà, voilà.
00:19:25Tiens, il y a Jacqueline Mouraud.
00:19:26Alors, moi j'aime beaucoup Jacqueline Mouraud parce que c'est Madame Algorithme Facebook.
00:19:30C'est elle qui a déclenché le mouvement des Gilets jaunes avec son fameux message et qui a obligé, par la suite, qui est devenu viral, c'est-à-dire millions de vues,
00:19:39et qui a obligé Facebook à changer son algorithme pour que plus jamais un message soit viral à ce niveau-là.
00:19:45Et donc Jacqueline Mouraud, elle a réagi aux déclarations de M. Villeroy de Gallaud qui affirme la semaine passée que nous ne pourrons plus tout payer.
00:19:54Bon, lui, il est payé 32 000 euros par mois, mais bon, ça c'est autre chose.
00:19:57Et qu'il n'est pas du tout concerné par les difficultés des Français qui ont de plus en plus de mal à finir le mois,
00:20:02sachant que même les cadres sont désormais touchés.
00:20:05Ben oui.
00:20:06Et autre chose, le bilan de la BCE, parce que la perjouette est beaucoup...
00:20:11Elles ont été sauvées par l'augmentation massive du cours de l'or.
00:20:15Moi, tous les spectateurs qui nous ont suivis, qui suivent notre presse depuis toutes ces années,
00:20:19qui ont acheté de l'or, là j'étais en dédicace, ils m'ont tous remercié.
00:20:25– Oui. – Vraiment.
00:20:26– Ils étaient super contents.
00:20:28– Nous allons parler de l'or tout à l'heure, mais...
00:20:31– Mais à nouveau, je dis, c'est pas l'or qui monte, c'est le pouvoir d'achat du billet de banque qui descend.
00:20:36– Et particulièrement du dollar qui baisse.
00:20:38– Également. Donc ça, ça date du 24 mars, donc c'est l'annonciation par définition.
00:20:45Et alors, figurez-vous qu'à la même période, la Deutsche Bank, la Bundesbank, pardon.
00:20:49– Bundesbank, c'est-à-dire la banque centrale allemande, elle, elle a reconnu avoir perdu 21 milliards.
00:20:57Quasiment 22.
00:20:58– C'est quand même énorme, ça. Considérable. Alors, à quoi peut-on attribuer cette perte ?
00:21:04– Voilà, on va voir le... Non mais c'est un... C'est un score... C'est un score complètement dingue.
00:21:11Et le gouverneur allemand, Joachim Nagel, dit « Les pertes seront encore plus importantes cette année ».
00:21:16– Bon, ça va ? – Bon, ça va. Oh, on a eu peur.
00:21:20– Oui, mais... Ah, j'ai eu peur.
00:21:22– Cette année, on a perdu 21 milliards. Oh, l'année prochaine, ça va être pire. Ça sera 200.
00:21:29– Oui. – Et ces mecs-là sont des gouverneurs de banque centrale.
00:21:33– Et alors, est-ce que... – Ils n'ont plus d'or. Ils n'ont plus d'or.
00:21:35– Oui, c'est ça. – C'est ça, leur problème. Parce que la banque centrale de Turquie, par exemple.
00:21:38– Oui. – Vous savez que je fais souvent des reportages en Turquie, parce que c'est un vrai laboratoire pour nous.
00:21:43– Ah oui. – Et c'est ça qui est extraordinaire. Et aujourd'hui, la banque centrale de Turquie,
00:21:47elle a remporté la mise avec la hausse de... – De l'or.
00:21:50– Parce qu'ils n'ont cessé d'acheter des lingots pour renforcer leur monnaie.
00:21:54Et aujourd'hui, leur valeur en lingot d'or est plus importante que leur devise.
00:21:59– Ah oui. Oui, c'est... – Voilà. Et donc...
00:22:02– Alors, pour revenir à Bundesbank, c'est aussi parce que les banques allemandes
00:22:06ne sont pas en situation très favorable non plus.
00:22:08– Bah, Deutsche Bank, elle... – Voilà.
00:22:10– Sur quotidien.com, à droite, sur la colonne de droite, j'ai mis les chiffres à jour.
00:22:15Je les ai mis à jour avant 2025. Et vous allez voir leur cours de 2007
00:22:20et leur cours de 2025. Cours de l'action, bien entendu.
00:22:24– Oui, oui, bien sûr.
00:22:24– Et vous allez voir que beaucoup d'entre elles n'ont jamais, n'ont pas réussi à remonter.
00:22:30– Non. – Elles sont certaines, elles sont à 10%, voire à 20% maximum de ce qu'elles étaient en 2007.
00:22:34– Et alors, dans ces conditions, est-ce qu'elles vont pouvoir baisser les taux ?
00:22:38Est-ce que la BCE va pouvoir baisser les taux ?
00:22:39– Bah, elle est obligée. C'est une catastrophe. C'est une catastrophe.
00:22:43C'est pour ça que tout à l'heure, on disait que nous, ce qu'on dit ici, en fait,
00:22:47tout ce qu'on dit ici se passe dans six mois, grosso modo. C'est l'idée.
00:22:51– Et donc…
00:22:52– Seriez-vous prophète en votre pays, mon cher ?
00:22:54– Voilà. Et donc, l'article que je viens de vous lire,
00:22:58eh bien, c'est notre ami, le professeur Chevalier, et donc il a parcouru le bilan, donc publié officiellement,
00:23:10il est arrivé à la conclusion que…
00:23:11– J'ai maquillé.
00:23:12– Oui, c'est comme un arbre de Noël, vous savez, avec toutes les guirlandes qui…
00:23:17– Oui, oui, c'est sûr.
00:23:18– Voilà. La BCE a perdu, allez, 20 milliards d'euros la semaine dernière,
00:23:22donc pas… et son capital n'est plus que de 64 milliards, et la Banque de France, et ainsi de suite.
00:23:29Donc ça, c'est du 10 mars, et vous allez voir qu'il explique qu'en fait,
00:23:34tous ces gens perdent des milliards à cause de toute leur planche à billets,
00:23:39de toute leur mascarade, qui durent depuis 2007.
00:23:42– Je rappelle, on remonte toujours à 2007-2008, voilà.
00:23:47– On n'a pas éliminé les causes de la crise de 2007-2008.
00:23:51– Non, non, non, non, justement, elle est toujours là, elle est sous-jacente,
00:23:54c'est comme Tchernobyl, c'est comme Tchernobyl, c'est toujours là.
00:23:58Et puis on a les fumées, qui continuent, c'est pas comme les radiations se sont arrêtées
00:24:03à nos frontières, comme dirait Mink, voilà.
00:24:06– Et donc, Chevalier nous rappelle que la Fed, elle aussi, elle a perdu 250 milliards de dollars.
00:24:14Bon, cela dit, ça ne va pas changer grand-chose pour nos spectateurs,
00:24:18mais je peux vous dire qu'au terme de l'inflation, si, ça va changer.
00:24:22– Bien sûr.
00:24:22– Parce que tout ça, en fait, ça crée l'inflation, tout simplement.
00:24:26Ça veut dire qu'il n'y aura…
00:24:27Aujourd'hui, ils nous disent que l'inflation, c'est 3…
00:24:29Attends, moi je fais des courses comme tout le monde, attends, mais quel foutage de…
00:24:32– C'est très net, dans l'alimentaire, c'est très très net.
00:24:35– C'est effrayant, effrayant, effrayant.
00:24:36– Remonter des prix dans l'alimentaire, c'est très très net.
00:24:39– Incroyable.
00:24:39– Très net.
00:24:40– Voilà, donc…
00:24:42– Pour en venir ?
00:24:43– À l'Ukraine ?
00:24:44– À l'Ukraine.
00:24:45– Enfin, pas à l'Ukraine.
00:24:45– Et aux banques ?
00:24:46– Non, aux retraites, aux comptes bancaires de nos spectateurs, regardez.
00:24:54Ça, c'est ce qui est vraiment sorti de ce que j'appelle la vue du 14 juillet.
00:24:58– Voilà, banque Ukraine.
00:25:00Banque Ukraine, alors, les banques veulent financer le plan européen,
00:25:05réarme Europe.
00:25:07Bon, 800 milliards.
00:25:09– Mais ça, c'est les Allemands qui veulent…
00:25:10– Oui, les Allemands vont…
00:25:11Enfin, c'est Madame von der Leyen, c'est quand même l'Union Européenne.
00:25:15– Non mais attends, attends, on a mieux que ça, regardez.
00:25:18– On a mieux que ça ?
00:25:19– On a mieux que ça, tiens, j'arrache le papier, regardez, tac.
00:25:22Ça, ça date du 10 mars, regardez.
00:25:25Le crédit mutuel.
00:25:26– Oui, oui, j'ai vu ça, oui.
00:25:27– Il y a plein de nos spectateurs qui ont leur compte au crédit mutuel.
00:25:30– Le crédit mutuel qui vous raconte que la banque est possédée par ses clients.
00:25:34– C'est ça, elle est possédée au sens démoniaque, au sens l'exorciste.
00:25:42– Non mais l'initiative, mais vous avez vu comment ça fait ?
00:25:45– C'est en lévitation, oui, en train de cracher.
00:25:46– Vous avez vu ?
00:25:47– C'est la power, holy water.
00:25:55– C'est la power of Christ that compares you.
00:25:58– Comment ça s'appelle le directeur des crédits mutuels ?
00:26:00– Oui, justement.
00:26:01– Il s'appelle Daniel Baal.
00:26:02– Oui, exactement.
00:26:04Tu ne peux pas inventer un truc pareil.
00:26:05– Incroyable, Baal, avec deux singes.
00:26:07– Avec deux, exactement.
00:26:09C'est comme à Chypre, avant l'explosion du système bancaire chypriote,
00:26:13le gouverneur de la Banque centrale s'appelait M. Panikos.
00:26:17– Non, c'est pratique.
00:26:17– Je ne peux pas inventer.
00:26:18– Ça ne s'invente pas.
00:26:19– Le gouverneur de la Banque de France, pendant la crise bancaire,
00:26:24il s'appelait M. Noyer.
00:26:26– Oui, en effet.
00:26:27– Oui, bien sûr.
00:26:27– Oui, tout à fait.
00:26:28Enfin bon, bref.
00:26:29Le crédit mutuel…
00:26:32– Va se battre en Ukraine, avec les assurances-vies.
00:26:35– Oui, parce que Mme Wanderlein a demandé un financement
00:26:37de 800 milliards d'euros pour soutenir les nazis ukrainiens.
00:26:41À 200 milliards, on a échappé au trilliard.
00:26:44Voilà, rien que ça.
00:26:45Mais Bruxelles a compris que là, ça risquerait de braquer les citoyens,
00:26:48d'autant qu'il faut en convaincre 500 millions.
00:26:50Son plan intitulé « Réarme Europe » n'est ni plus ni moins
00:26:54que la préparation financière de la guerre à la guerre avec la Russie.
00:26:58– Attendez.
00:26:59– Et attends, attends.
00:26:59Et voilà, c'est là où ça devient intéressant.
00:27:04C'est l'un de nos lecteurs qui nous a envoyé cette coupure de presse.
00:27:07Et c'est paru dans la presse régionale,
00:27:10dans lequel le président du Crédit Mutuel,
00:27:12alors ça c'est pour le montage, c'est du 10 mars,
00:27:15c'est au 10 mars, le Crédit Mutuel va se battre en Ukraine.
00:27:18Voilà, il y a la photo.
00:27:21Il dit qu'il va prendre les assurances-vies des clients
00:27:25et le mettre à disposition des besoins de Mme Wanderlein
00:27:32pour faire la guerre à la Russie.
00:27:33– Mais excuse-moi, mais pour une assurance-ville,
00:27:36là, c'est une assurance-guerre, quoi.
00:27:38– Ah oui, oui, une assurance-mort.
00:27:40– Parce qu'on va se prendre…
00:27:42– Non mais c'est des fous, ils sont fous.
00:27:45M. Ball, vous êtes complètement cinglé.
00:27:48Vous êtes fous, alliés, vous êtes des vendus.
00:27:52– Est-ce qu'une déclaration…
00:27:52– Aux nazis, c'est des nazis.
00:27:54– Ça y est, nous avons la sainte colère.
00:27:55– Non mais excuse-moi, mais c'est…
00:27:58– Je me pose quand même la question,
00:27:59est-ce qu'ils ont vraiment les moyens
00:28:01de s'emparer des assurances-vies ?
00:28:04– Attends, je veux dire, attends.
00:28:07– C'est 2 milliards.
00:28:08– Oui, vous êtes PDG de la Pichon National Bank, d'accord ?
00:28:13Et vous avez 20 milliards en assurance-vie
00:28:18parce que tous les mois, les gens cotisent.
00:28:20Et vous pouvez très bien dire,
00:28:22je prête ces 20 milliards à Mme van der Leyen.
00:28:26Est-ce que vos clients vont le voir ? Non.
00:28:28– Oui, mais à condition qu'il y ait quand même
00:28:29un retour en termes d'intérêt, en termes de…
00:28:31– Oui, à 3% avec une inflation à 15,
00:28:34ça fait un taux négatif à 12.
00:28:36C'est indice niqué, on revient toujours
00:28:39au même indice, le fameux indice japonais.
00:28:43– Alors vous faites une comparaison,
00:28:44c'est le docteur Folamour.
00:28:46– Mais oui, mais c'est ça, mais ils sont malades.
00:28:48On est dans le docteur Folamour.
00:28:50Et surtout Mme van der Leyen,
00:28:52c'est Fonderdango, c'est…
00:28:54Ferruc, Mme von Ferruc.
00:28:56Ferruc en allemand, ça veut dire fou.
00:28:58J'ai fait allemand en première langue.
00:28:59– Ah, c'est bien, c'est sûr.
00:29:00– Oui, vous savez, on attend le verbe à la fin,
00:29:04vous savez, quand la phrase fait un kilomètre.
00:29:05– En latin, c'est la même chose.
00:29:06– C'est ça.
00:29:08Bref, et donc, France Info nous dit,
00:29:14parmi les pistes pour augmenter le budget
00:29:16de la défense européenne, l'idée de…
00:29:18J'adore l'idée, ça c'est…
00:29:19Ils testent, hein.
00:29:20L'idée de puiser dans l'épargne des Français.
00:29:23Mes chers spectateurs,
00:29:25votre épargne va partir chez les bandéristes ukrainiens.
00:29:28C'est pas beau ça ?
00:29:29– Votre argent m'intéresse.
00:29:31– Oui, oui, mais c'est…
00:29:32Tu sais, avec le brassard, hein.
00:29:35– Oui, oui, j'en vois, oui.
00:29:36– Voilà.
00:29:37Non, mais c'est incroyable.
00:29:38Alors, vous avez saisi l'ironie et surtout le cynisme de ces gens.
00:29:41Prendre l'argent des assurances-vie pour financer la mort des Russes.
00:29:44– Déjà, c'est-à-dire…
00:29:45– Oui, sans compter que, quand même,
00:29:47il me semble que nous sommes dans un contexte…
00:29:49– Oui, puis il pourrait répliquer.
00:29:50– Oui, puis nous sommes dans un contexte où, théoriquement,
00:29:52on va vers une signature de la paix.
00:29:53– Ben, absolument.
00:29:54On aura vraiment tout vu.
00:29:55– Qui veut faire la guerre, alors ?
00:29:56– Voilà, dans cette revue de même niveau que ce cannibale américain…
00:30:00Tiens, écoute, non, parce que ça, c'est drôle, je fais une parenthèse,
00:30:03mais c'est du même niveau.
00:30:04Il y a ce cannibale américain, c'est un serial killer.
00:30:07Donc, il était en prison.
00:30:09Il était en prison.
00:30:10– Oui.
00:30:10– Et le cannibale s'est mis en grève de la faim.
00:30:13– Ah !
00:30:14– Parce que…
00:30:16– Parce que les gardiens lui ont saisi sa PlayStation.
00:30:19– Ah !
00:30:20– Bon, pardon, je referme la parenthèse.
00:30:24– Je referme la parenthèse.
00:30:24– Non, mais c'est la même chose.
00:30:26– Oui.
00:30:26– C'est des serial killers.
00:30:28Bruxelles est devenu un serial killer.
00:30:30Et un serial voleur.
00:30:31Parce qu'ils veulent voler l'épargne des Français.
00:30:35L'assurance-vie des Français.
00:30:36– Oui, oui.
00:30:37– Et M. Ball, tout de suite, au premier rang,
00:30:39M. Ball, oui, tout de suite, je soutiens,
00:30:42je vais donner l'argent de mes clients.
00:30:44Enfoiré.
00:30:45– Alors…
00:30:45– Voilà, qu'il nous fasse en français, tiens.
00:30:46– Mise en cause du crédit mutuel.
00:30:50– Alors, attends.
00:30:50– Mais aussi, la Société Générale, c'est pas mal non plus.
00:30:55Vous avez des choses à nous dire sur la Société Générale.
00:30:56– Ah, mais tout à fait.
00:30:57Mais juste une chose, parce que je dis à nos lecteurs,
00:31:01transformez votre épargne en pièces d'or, en lingots d'or,
00:31:06en pièces d'argent même.
00:31:07– Oui.
00:31:07– Oui, mais l'argent…
00:31:08– Parce que là, ils ne pourront pas se servir.
00:31:10– Oui.
00:31:11– Ils ne pourront pas envoyer votre épargne en Ukraine.
00:31:14– Évidemment, ça.
00:31:16– C'est ça l'idée.
00:31:17– Oui.
00:31:18Mais attention, pas leur papier.
00:31:20– Tiens, justement, Laurent Ozon est revenu là-dessus.
00:31:23Surtout pas.
00:31:24Laurent Ozon, qu'on salue.
00:31:26– Oui.
00:31:26– Ils ne veulent pas spécialement faire la guerre.
00:31:31Ils font traîner le massacre pour mettre la main sur l'épargne de la population française.
00:31:37– Voilà la réalité.
00:31:38– Oui.
00:31:39– Voilà.
00:31:39C'est la technique du voleur chinois.
00:31:41Voilà.
00:31:42Sauf que là, c'est un voleur ukrainien…
00:31:44– Déplacement progressif.
00:31:46– C'est ça.
00:31:47– Élan de l'objet à dérober.
00:31:50– Voilà.
00:31:50Et alors là, regardez.
00:31:52Et ça, c'est la preuve de tout ce qu'on vient vous dire.
00:31:54– L'Ukrainie.
00:31:54– Je vous lis.
00:31:55– Allez-y, lisez, lisez, mon cher.
00:31:57– Lisons.
00:31:58– Lisons.
00:31:59– Lisons.
00:31:59– Alors, par exemple, en Belgique, on a vu ça.
00:32:03– Oh, c'est extraordinaire.
00:32:04– Vous l'avez vu ?
00:32:05– Ah oui, c'est incroyable, incroyable.
00:32:07Allez-y, allez-y, Pierre.
00:32:08– Alors, on a la photo.
00:32:09Alors, ça date du, pour le montage, au 17 mars.
00:32:12Les vatanguères belges veulent le stock d'or de la banque centrale belge.
00:32:18Les 227 tonnes ayant une valeur d'environ 20 milliards d'euros.
00:32:21Donc, selon le journal L'Eco, vendre une partie de ce trésor serait l'une des pistes.
00:32:27– L'une des pistes.
00:32:28Toujours, c'est l'une des pistes.
00:32:30– Oui, bien sûr.
00:32:31– On teste, on teste.
00:32:33L'une des pistes du gouvernement fédéral pour trouver les 17 milliards d'euros nécessaires
00:32:38pour financer l'augmentation des moyens pour la défense.
00:32:42Et alors là, j'espère que les monarques belges, je pense notamment à Laurent de Belgique,
00:32:48j'espère qu'ils vont monter au créneau pour empêcher ce vol global de la…
00:32:52Non, mais c'est incroyable, quoi.
00:32:54Voilà, il y a une photo, c'est saisi hors Belgique, voilà.
00:32:56C'est donc du 17 au 21 mars.
00:33:01Alors tiens, écoute, parce qu'il y a un truc qui m'a échappé pour mon livre 666,
00:33:07sur l'histoire de Voldor.
00:33:09Par le passé, l'État belge avait déjà vendu l'or au début des années 90,
00:33:15à l'époque de Jean-Luc Daen, pour réduire l'endettement et faciliter l'entrée de l'euro.
00:33:21Et en 2005, devinez sur qui ? Un enfoiré de première, lui.
00:33:26Guy Verhofstadt.
00:33:27Pour combler le déficit.
00:33:30Oui, bien sûr.
00:33:31En même temps que Sarkozy et l'anglais, le premier ministre anglais, je sais, Blair, je crois.
00:33:37Et nous sommes toujours en déficit.
00:33:38En fait, ils ont vendu l'or du peuple sans l'en informer.
00:33:43Oui, bien sûr.
00:33:43Ce sont des voleurs.
00:33:44Et ils sont toujours en déficit.
00:33:46Oui, exactement, ça n'a rien changé.
00:33:47Ils sont même pires en déficit.
00:33:49Oui.
00:33:50Parce que quand Sarkozy a vendu l'or des Français, c'était pour sauver le déficit.
00:33:54À quoi ça a servi ?
00:33:55Non, rien.
00:33:57Alors, il y a une banque belge qui est intéressante.
00:33:58C'est la banque Belfius, là.
00:34:00Belfius.
00:34:01Ah bah tiens, donne ma faute.
00:34:02Attends, je vais enlever ça parce qu'il reste encore des trucs.
00:34:05Ce sont des lecteurs belges qui vous ont envoyé cet article incroyable.
00:34:08Oui.
00:34:08De leur agence de presse qui a révélé que le gouvernement du plat pays a demandé à la banque Belfius
00:34:12la quasi-totalité des bénéfices de Belfius pour financer la défense.
00:34:17Et donc, la même chose en France.
00:34:19Ils vont demander les bénéfices de la BNP, de Crédit Agricole.
00:34:22C'est énorme.
00:34:22C'est énorme.
00:34:23Oui, mais en plus, comme leur bilan est bidonné, donc quand il va falloir sortir l'argent, ils vont…
00:34:30Donc, un gouvernement souhaite que Belfius verse au total près d'un milliard d'euros de dividendes de l'État
00:34:34pour renforcer les budgets de la défense.
00:34:37Oui, tout ça pour qu'on parte en Ukraine, chez les nazis.
00:34:40Oui.
00:34:40Chez les bandéristes.
00:34:41Oui.
00:34:41Non mais c'est dingue.
00:34:43Alors, attends, il y en a encore un autre.
00:34:45Attends.
00:34:47La taxe…
00:34:48Alors, en Angleterre, à force de donner des milliards chaque mois aux bandéristes ukrainiens depuis trois ans,
00:34:57Londres a trouvé la solution pour les récupérer, sachant que la situation anglaise est dans la même situation que la France.
00:35:02Donc, la décision a été prise.
00:35:05Écoutez bien, mon cher Olivier.
00:35:06On écoute, on s'accroche.
00:35:08Accrochez-vous.
00:35:09Taxez les retraités, soit 700 000 personnes, dont les retraites sont déjà faibles.
00:35:15Et ce sont les retraites les plus faibles par rapport à nous, quoi.
00:35:18Notre lecteur Philippe nous dit, retraités désormais imposables sur une pension déjà misérable.
00:35:24L'État gratte le fond de la corbeille.
00:35:26C'est la faillite déguisée.
00:35:28Et la presse anglaise, bien entendu, est vent debout.
00:35:31Près de trois quarts de millions de retraités supplémentaires pourraient être contraints de payer l'impôt sur le…
00:35:37Voilà.
00:35:37Alors qu'ils ne gagnent rien.
00:35:39Alors qu'ils ne gagnent rien.
00:35:40Ça, c'est du 30 mars.
00:35:43Voilà.
00:35:44Donc, voilà.
00:35:45Ils sont en train de faire les fonds de tiroirs, tout ça, pour…
00:35:49Voilà.
00:35:50Et je l'ai donné, ça ?
00:35:52Oui.
00:35:52Ah ben tiens, non, non, non.
00:35:53Regardez.
00:35:54Ah.
00:35:55Du 14 avril.
00:35:57Les Français qui se contentent de BFM ou de France 2, pour être informés, sont vraiment à la ramasse.
00:36:02Du jamais vu depuis 20 ans pour un mois de février, puisque les épargnants ont déposé 6 milliards d'euros de plus
00:36:08qui n'en ont retiré sur leur contrat d'assurance-vie, selon les données publiées.
00:36:12Bref.
00:36:13– Ça veut dire quoi, ça ?
00:36:15– Ça veut dire que…
00:36:17– C'est une épargne de précaution.
00:36:18– Oui, c'est une épargne de…
00:36:19– Exacto.
00:36:19– Les gens ont peur.
00:36:20– Exactement.
00:36:21– Les gens ont peur.
00:36:21– Mais si c'est pourquoi on en pique à la fin…
00:36:23– C'est que des bruits de guerre, c'est que des bruits de bottes.
00:36:25– Oui.
00:36:25– Donc quand il y a le bruit de bottes repris par tous les médias, et Macron lui-même.
00:36:29– Oui.
00:36:29– Tiens, j'ai un article.
00:36:31Lisez bien, parce que ça, le mec est à l'Élysée, ils ont pété un plomb sur cet article.
00:36:35C'est comme Pierre Laval…
00:36:37– Comparaison.
00:36:39– Emmanuel Macron collabore avec les nazis.
00:36:42Parce que, voilà, il y a de ça.
00:36:46Ça date du 10 mars.
00:36:48– Et il nous menace d'une invasion.
00:36:51– C'est honteux.
00:36:52– Alors j'ai fait un article qui s'appelle « Les Cossacks aux Champs-Elysées ».
00:36:55– Oui ?
00:36:55– Non, les Cossacks aux Champs-de-Mars, pardon.
00:36:58– Aux Champs-de-Mars, oui, bistro, bistro.
00:36:59– Oui, on l'avait dit la dernière fois.
00:37:02Mais est-ce que, enfin franchement, ce va-t'en-guerre, c'est sa dernière carte, en fait.
00:37:09– Mais non, mais, vous savez, il a un côté quand même un peu efféminé, quoi.
00:37:15Enfin, bon, passons.
00:37:16Mais jouer au gros bras au général Michael Jackson, pas le chanteur.
00:37:25On va voir la photo derrière.
00:37:26– Il montre ses muscles.
00:37:27– Voilà, le Sir Michael Jackson, ou Rolf Steiner, la guerre du Biafranc, ou Massu, ou Bijar.
00:37:37Voilà, c'était un de mes premiers interviews, tiens, Bijar, en tant que journaliste.
00:37:42Oui, je l'ai rencontré.
00:37:43Étonnant, étonnant personnage.
00:37:44– Oui, ne m'attarde pas.
00:37:45– Ça, c'est des mecs bourrus, je veux dire, comme Tozin.
00:37:48Didier Tozin était toujours là, avec le menton.
00:37:50– Tous ces généraux, je veux dire, bon, c'est des mecs qui ont rampé dans la boue,
00:37:56je veux dire, ils se sont entraînés, ils ont vraiment fait la guerre.
00:38:00Voilà.
00:38:01Mais Macron, il n'a jamais fait la guerre.
00:38:03– Il n'a jamais fait ça.
00:38:04– Il n'a pas fait son séance militaire.
00:38:05– Non.
00:38:05– Bon, on ne va pas revenir là-dessus.
00:38:08– Alors, Pierre.
00:38:08– Juste, juste, regardez, ça c'était le 3 mars, le député européen allemand
00:38:15Friedrich Merz, CDU, a déclaré, un peu comme Sandrine Rousseau en France,
00:38:20que 4 milliards d'euros dorment sur les comptes des Allemands,
00:38:25écoutez bien, chers spectateurs, écoutez bien,
00:38:28et qu'il suffit de prendre 10% en condition de trouver les bons outils.
00:38:32Je n'invente rien.
00:38:33– Les bons outils.
00:38:34– Les bons outils.
00:38:36Pour voler.
00:38:36– C'est quoi un outil ?
00:38:37– Ben, c'est pour voler, c'est les textes législatifs
00:38:41qui permettent à l'État de puiser sur votre compte bancaire.
00:38:44Mais ils vont venir en France, c'est ce qu'ils veulent.
00:38:48– Non, les bons outils, moi je pensais que c'était.
00:38:48– Ça, c'est le 3 mars.
00:38:50Voilà, quotidien.com, allez-y.
00:38:52Vous avez Archive, donc vous cliquez sur Mademars et vous allez le retrouver.
00:38:56– Alors, je voudrais que vous nous parliez quand même de la Société Générale,
00:38:59que vous aimez tant, parce qu'elle a été rejointe par M. Collère,
00:39:05secrétaire général de l'Élysée.
00:39:08Qu'est-ce qu'il est allé faire dans cette galère ?
00:39:10– Ben, je pense que l'Élysée, je pense que M. Macron…
00:39:15Parce que, n'oubliez pas, Emmanuel Macron est quand même un banquier.
00:39:19– Oui.
00:39:20– D'accord ?
00:39:20– Donc, c'est normal qu'il suive la rue de presse, machin, etc.
00:39:25On est dans son domaine.
00:39:26C'est un banquier.
00:39:28Je veux dire, il serait cordonnier, ou entraîneur de natation,
00:39:32un maître nageur, il regarderait des informations de piscine.
00:39:36Voilà.
00:39:36Mais on est dans son domaine.
00:39:38C'est la banque.
00:39:39– Et il se trouve que la position de M. Collère
00:39:44n'était plus tenable pour X raisons,
00:39:47puisqu'il y a des juges, machin, etc.
00:39:48– En fil d'intérêt, oui.
00:39:49– Et donc, il est vital de l'exfiltrer
00:39:52et de lui donner un poste digne de son nom, à M. Collère,
00:39:56et en l'occurrence, à la Société Générale.
00:39:59Sauf qu'à la Société Générale, il y a déjà M.…
00:40:03– Comment il s'appelle déjà ?
00:40:04– Oui, il est.
00:40:04– C'est un polonais.
00:40:05– Oui.
00:40:05– Croupa, M. Croupa, et que M. Croupa
00:40:10ne va pas se laisser faire, par définition.
00:40:13Donc là, il y aura un combat des chefs
00:40:14au sommet de la Société Générale,
00:40:16et M. Croupa vient de se féliciter,
00:40:19il s'est auto-félicité,
00:40:20il a dit, moi aussi, je vais me faire auto-féliciter, regardez.
00:40:23– Voilà.
00:40:23– Ah, mais c'est comme ça qu'on fait.
00:40:24– Voilà, c'est ça.
00:40:25– Ah, très bien.
00:40:26– Voilà, ça, c'est auto-félicitation.
00:40:28– D'accord.
00:40:28– Il a dit, il a explosé les bénéfices
00:40:32de la Société Générale.
00:40:32– Ah, donc, ils ont publié, là, récemment.
00:40:36– Sauf qu'ils ont oublié, ils ont tout vendu.
00:40:38– Mais c'est ça.
00:40:39– Ils ont tout vendu.
00:40:40– Tout, tout.
00:40:41– Et le mec, mais quelle hypocrisie, mais quel mensonge.
00:40:44– Tous les bijoux de famille.
00:40:44– Tous les bijoux de famille.
00:40:45Ils ont tout vendu.
00:40:46– Et pendant ce temps-là, vous avez vu l'info, là,
00:40:48de leur stagiaire, parce qu'en plus,
00:40:49ils ont des gens qui ne payent pas.
00:40:51– Ils prennent des alternants.
00:40:52– Oui, des alternants, je l'altère.
00:40:55– Qui ont piqué dans la caisse 65 000 euros.
00:40:57– Vous l'avez ?
00:40:58– Oui, je l'ai.
00:40:59– Je l'ai aussi. Allez-y.
00:41:02Un jeune étudiant en deuxième année de master à école de commerce
00:41:05en poste dans l'agence Boulevard-Rochmane.
00:41:06– École de commerce, c'est école de vol, oui.
00:41:09– Avez accès au compte client.
00:41:11Et a détourné des complices, avec des complices,
00:41:14près de 65 000 euros.
00:41:15Et alors, ils se sont achetés des sacs Hermès.
00:41:17– C'est vraiment des blaireaux, en plus, les mecs, je te jure.
00:41:19– C'est quand même incroyable.
00:41:20– C'est quand même incroyable.
00:41:21– Le plus fou, oui, que lors de la perquisition,
00:41:24les policiers ont découvert qu'avec cet argent,
00:41:27ils n'ont fait qu'acheter des sacs à main.
00:41:30– Des sacs à main.
00:41:32– T'es la même.
00:41:33– Attends, mais attends.
00:41:34Société Générale, comment vous pouvez donner le contrôle
00:41:36des comptes clients à des alternants, à des stagiaires ?
00:41:39Mais vous êtes dingue !
00:41:41– Oui.
00:41:41– Mais en fait, c'est pour ne pas les payer,
00:41:43parce qu'ils font des économies de salaire.
00:41:44C'est aussi simple que ça.
00:41:45– Évidemment, évidemment.
00:41:45– Voilà.
00:41:46Et ça, c'est les économies à deux balles de M. Croupa.
00:41:49– Voilà.
00:41:50– Société Générale, quittez cette banque.
00:41:51Voilà.
00:41:52C'est une banque de naze.
00:41:53– Oui, oui.
00:41:54Alors, sur les banques, est-ce qu'on a encore…
00:41:55Ah, bon, la banque postale aussi, que vous aimez bien.
00:41:58La banque postale facture les comptes inactifs.
00:42:01– Attends, oui, attends, mais le crédit agricole,
00:42:03attends, on a juste avant eux, le crédit agricole,
00:42:07attends, maintenant, il facture 6 euros.
00:42:09– Oui, les DAB.
00:42:10– Vous l'avez, l'info ?
00:42:11– Oui, retrait de 6 euros pour les DAB, dans les DAB.
00:42:15– Là, c'est au bonheur des DAB.
00:42:17– Oui, c'est plus le bonheur des DAB.
00:42:19– 6 euros, c'est…
00:42:20Et tu prends 50 euros, tu prends…
00:42:23Non, mais attends, tu te prends 6 euros, tu te prends…
00:42:25– 6 euros, oui.
00:42:26– Invraisemblable, quelle bande de voleurs.
00:42:29Et ils sont en train de supprimer…
00:42:30Attends, j'avais une info.
00:42:32Ah oui, tiens, la banque postale.
00:42:34– Oui, la banque postale, bon.
00:42:35– Alors, ça, c'est notre notatrice, Anne-Sophie, qu'on salue.
00:42:39Elle a reçu ce message de son application banque postale.
00:42:42– Oui, j'ai vu.
00:42:43– Voilà, c'est-à-dire qu'en fait, la banque postale contrôle ce qu'elle a acheté.
00:42:49Elle doit se justifier.
00:42:51Donc, ce n'est pas une banque, c'est un test de patience en 10 actes.
00:42:57Tu déposes 200 balles, ils veulent ton arbre généalogique, ton ADN, ton acte, ton fric.
00:43:03Ils partent en retraite anticipée, bloquée comme un vieux fax.
00:43:05Pendant que toi, tu attends sans info, sans accès, comme un mail sans inbox.
00:43:10Voilà, la banque postale, c'est la plus pourrie des banques.
00:43:15Voilà, ce n'est même pas une banque, c'est une banque d'État, je rappelle.
00:43:17– Oui.
00:43:17– Voilà.
00:43:18Et alors, attends, il y a quelque chose d'autre.
00:43:20La banque postale facture…
00:43:21Alors, maintenant, c'est encore mieux.
00:43:23La banque postale facture les comptes inactifs 15 euros.
00:43:26– Oui.
00:43:26– Mais pourquoi ?
00:43:28Parce que si, par exemple, des gens sont hospitalisés, des vieux, machin, etc.
00:43:32Inactifs, ça leur donne des gens, ils peuvent braquer le compte carrément.
00:43:36Voilà.
00:43:37– Bon.
00:43:38– Et, alors, attends, j'avais un autre truc sur la banque postale,
00:43:42mais je ne sais plus ce que…
00:43:43Je ne sais plus, j'en ai connu.
00:43:44Oui, c'est pas grave.
00:43:45– Alors, voulez-vous que nous passions à une autre rubrique,
00:43:50qui est l'or, quand même ?
00:43:51Parce que, je sais qu'on en a déjà beaucoup parlé,
00:43:55mais ça continue.
00:43:56On en a dépassé les 3500.
00:43:59– Moi, je remercie tous les lecteurs, tous nos spectateurs qui nous ont suivis.
00:44:03Et je dis simplement la chose suivante.
00:44:06D'abord, suivez tous les lundis, quotidien.com, déjà, la rue de presse.
00:44:09– Oui.
00:44:10– Parce que, si tous les gouverneurs de banque centrale,
00:44:14j'ai déjà dit mille fois,
00:44:16ils ne sont pas plus idiots que nous,
00:44:18ils sont même plus intelligents que nous,
00:44:20c'est Bac plus 20.
00:44:21– Ah bon ?
00:44:21– Ça existe ?
00:44:22– Ils ont à leur disposition…
00:44:24– Oui, ça existe, ça existe absolument.
00:44:28– Ils ont à leur disposition les services secrets,
00:44:32ils ont à leur disposition les ministères.
00:44:34– Les data.
00:44:35– Voilà, ils ont…
00:44:36– L'info.
00:44:36– L'info, voilà.
00:44:37– Et si toutes les banques centrales achètent, dans le monde,
00:44:42achètent de l'or en permanence, tous les mois, tous les mois,
00:44:45c'est qu'il y a une raison.
00:44:46En fait, il y a un retour au standard or,
00:44:48donc je vous dis, vous faites ce que vous voulez,
00:44:50il y a un retour au standard argent,
00:44:53mettez-vous dans le starting buck.
00:44:55– Voilà.
00:44:55– Et ils ne pourront pas vous le saisir.
00:44:57Et surtout, n'achetez pas, comme à la Banque Rothschild, des ETF.
00:45:00– Non, c'est en papier.
00:45:00– Justement, attends, j'ai un truc, la Banque Rothschild,
00:45:02alors franchement, moi qui avais une haute opinion de la Banque Rothschild,
00:45:06là c'est râpé.
00:45:07– Bon, alors racontez-nous ça.
00:45:08– Oui, j'ai vu, mais je l'ai là.
00:45:10– De notre lecteur Vincent, je me permets de vous envoyer un fil.
00:45:13– Ah oui, j'ai là.
00:45:13– Voilà, il m'a envoyé un fil.
00:45:14– Alors, avec un placement qui a été effectué auprès du CIC.
00:45:17Donc on salue le CIC.
00:45:20Lequel a confié l'argent au groupe Rothschild.
00:45:23– Qui lui-même ?
00:45:24– Qui lui-même, la page de la placée, c'est…
00:45:26– AG2R.
00:45:27– La Mondiale, qui sont des bandes de branquignoles.
00:45:30Plus nul qu'AG2R, il y a la Banque Postale, quoi.
00:45:33– Ah, d'accord, d'accord.
00:45:36Et alors, son frère, c'est un placement qui avait été réalisé par son frère.
00:45:40– Exactement.
00:45:41– Et alors, c'est malheureux.
00:45:42– Il a une vraie enquête policière.
00:45:43– Oui, oui.
00:45:44Il est mort, le malheureux.
00:45:45– Oui.
00:45:46– Et pour récupérer les fonds ?
00:45:48– Il est mort, il est décédé en août 2024.
00:45:51Et depuis cette date, c'est un véritable…
00:45:53C'est une galère pour récupérer le placement
00:45:55afin de nous aider à payer les droits de succession.
00:45:57Voilà.
00:45:57Non mais, en plus, moi, j'ai regardé les trucs, quoi.
00:46:01Des mémoires, AG2R, la Mondiale, c'est l'arnaqueur, le voleur
00:46:06qui n'avait pas voulu payer pour un papy de 90 ans
00:46:09qui avait cotisé pendant 30 ans pour son invalidité.
00:46:14Si jamais un jour, il ne pouvait plus marcher.
00:46:15– Oui, ce qu'on appelle l'assurance dépendance.
00:46:16– Je l'avais donnée dans une revue de presse avec Dieudonné, justement.
00:46:19– Oui, c'est l'assurance dépendance.
00:46:20– C'est ça, exactement.
00:46:22Quant à la banque Rothschild France,
00:46:23que ce sont devenus de tels feignants
00:46:26qu'ils ne se donnent même plus la peine
00:46:28d'avoir leur propre fonds.
00:46:31– Oui, bien sûr.
00:46:32– Déjà, la banque Rothschild, de mémoire,
00:46:34mais je crois que c'est dans mon prochain livre,
00:46:36je crois qu'ils sont tellement feignants
00:46:39qu'ils ont pris l'argent de leurs clients,
00:46:41ils l'ont donné à Madoff pour le gérer.
00:46:43– Ça reste à vérifier, mais je crois que de mémoire, c'est ça.
00:46:47– Certainement pas dans la totalité, mais une partie.
00:46:49– Non, une partie.
00:46:50– Non, non, une partie, je ne sais plus
00:46:52qu'ils ont dû mettre 2 ou 20 millions, je ne sais plus.
00:46:55Voilà.
00:46:55Alors, donc ici, on a le cas typique
00:46:57où le CIC prend sa commission,
00:47:00suivi par la Rothschild, qui prend sa commission,
00:47:03puis par la AG2R, qui prend sa commission.
00:47:07Après quoi, il ne reste plus rien aux crétins de clients,
00:47:10sauf des miettes.
00:47:11Voilà, chers spectateurs, comment ils placent votre argent.
00:47:14C'est pour ça que je vous dis, ne leur faites pas confiance.
00:47:17Or, argent.
00:47:19C'est tout, c'est aussi simple que ça.
00:47:22Regardez le rouble.
00:47:24– Alors, justement, le rouble.
00:47:25Parlons-en du rouble.
00:47:26– Parlons-en.
00:47:27– Monsieur le maire nous a dit,
00:47:29nous allons mettre à genoux l'économie russe.
00:47:33– Je vais mettre…
00:47:34– Et que se passe-t-il ?
00:47:37– C'est là, c'est là, je l'ai.
00:47:40– Le rouble est en pleine ascension.
00:47:42C'est quand même incroyable, ça.
00:47:44Alors, comment…
00:47:45– Le cours du rouble a pris 38%.
00:47:47C'est-à-dire que la…
00:47:50Attends, mais c'est énorme.
00:47:53– Alors, on va essayer de trouver les…
00:47:55– En fait, le rouble a fait mieux que le lingot d'or.
00:47:57– Voilà.
00:47:57– Que le cours de l'or, pardon.
00:47:58– Alors, vous savez pourquoi ?
00:47:59– Non, mais c'est dingue.
00:48:00– Oui, mais pourquoi ?
00:48:02– Mais vous allez nous le dire.
00:48:03– Je vais vous le dire.
00:48:04– Dites-le.
00:48:04– À mon avis, la première chose, c'est que beaucoup de gens,
00:48:09beaucoup de pays, pas la France et pas l'Europe, surtout pas,
00:48:12achètent des matières premières, des produits énergétiques à la Russie.
00:48:17– Oui, oui, oui.
00:48:18– Et maintenant, ils le payent, ils le payent en rouble.
00:48:22Ils le payent en rouble.
00:48:23Le rouble devient une monnaie d'échange international.
00:48:27Ce qui fait, évidemment, monter la demande de rouble
00:48:29pour pouvoir acheter les matières premières.
00:48:34– Non, mais attends, surtout…
00:48:34Non, mais surtout que Mme Netan, j'arrive jamais à prononcer son nom.
00:48:39Je trouve que c'est une bancaire, c'est la plus grande
00:48:41de tous les gouverneurs de Banque Centrale que je suis depuis toutes ces années.
00:48:45Mme Nabulio Vovokovar, qu'elle me pardonne,
00:48:49c'est la plus grande.
00:48:50– Directrice de la banque de Russie.
00:48:52– La gouverneuse.
00:48:52– La gouverneuse.
00:48:53– Non.
00:48:54– La gouvernante.
00:48:56– La gouvernante.
00:48:56– Non, mais ça ne se dit pas la gouverneuse.
00:48:57– La gouverneure, allez.
00:48:59– Oui, la gouverneure.
00:49:00– La gouverneure de la Banque Centrale de Russie,
00:49:05elle a…
00:49:06Mais c'est incroyable ce qu'elle a fait.
00:49:09– Oui.
00:49:09– Mais elle a sauvé la Russie.
00:49:11– Ah oui.
00:49:12– Non, mais c'est incroyable.
00:49:13Je veux dire, le rouble a pris…
00:49:14Je me souviens que le rouble était tombé après la guerre.
00:49:17Vous vous souvenez ?
00:49:17– Oui, oui, oui.
00:49:18– On pouvait acheter un rouble pour un euro,
00:49:21on se retrouvait avec je ne sais pas combien de centaines
00:49:23ou de milliers de roubles.
00:49:25Voilà.
00:49:25– C'est quand même intéressant ce phénomène d'appréciation.
00:49:29– Le rouble a fait plus que l'or en un an.
00:49:33– Oui, c'est très intéressant.
00:49:35– Très intéressant.
00:49:35– Et ça dit tout.
00:49:36Et ça dit tout.
00:49:37– Oui, oui, oui.
00:49:37– Ça dit beaucoup de choses.
00:49:38– N'oubliez pas, c'est ce qu'on disait au début de l'émission,
00:49:41la finance vous donne le futur.
00:49:44– Oui.
00:49:44– Voilà.
00:49:45– Oui.
00:49:45– Et ça, ça vous donne…
00:49:47– La valeur des réserves d'or de la Russie a bondi, écoutez bien, 72%,
00:49:51soit 96 milliards de dollars depuis le début de l'année 2022.
00:49:54– Il n'y a pas que la demande en rouble, il y a aussi le stock d'or russe.
00:49:59– Oui, bien sûr, parce qu'elle n'a cessé d'acheter des lingots d'or,
00:50:04comme la Banque centrale de Turquie.
00:50:06– Et comme la Chine.
00:50:06– Et comme la Chine.
00:50:07– Et elle, elle le fait en cachette.
00:50:08– Cette chose incroyable, c'est que la Chine a acheté massivement de l'or
00:50:12et elle découvre un gisement d'or sur son territoire.
00:50:16– Tiens, en fait, techniquement, Bruno Le Maire, M. Bruno Le Maire,
00:50:20vous avez été le plus mauvais ministre de l'économie que la France ait jamais eu.
00:50:26– Voilà, c'est aussi simple que ça.
00:50:29Et il y a un autre lecteur, M. Josan, il nous dit
00:50:31« Les réserves d'or dépassent les réserves de devises de la Banque centrale turque ».
00:50:35– Oui, bien évidemment.
00:50:36– Oui.
00:50:36– Voilà.
00:50:38Donc, non mais c'est quand même invraisemblable.
00:50:42– Et alors attends, Bruno Le Maire, parce que c'est la raison que je ne l'entends pas.
00:50:46– Oui.
00:50:46– Attends, il nous a fait ses déclarations, écoutez bien.
00:50:50« Je propose d'unifier une partie de la dette publique européenne
00:50:53pour faire de l'euro une monnaie de référence mondiale ».
00:50:56– Mais vous voyez, il est complètement à la ramasse.
00:51:00Attends, parce que vous pensez que vraiment que les Hollandais
00:51:02vont vouloir payer pour le déficit de la France ?
00:51:06– Bien sûr.
00:51:06– Vous pensez vraiment que les Slovènes ou même les Polésiens ?
00:51:10– Ou même les Allemands.
00:51:11– Enfin, même les Allemands.
00:51:12Attends, les Allemands, ils ont toujours lignette.
00:51:14Rappelez-vous, là, Wolfgang, celui qui est en…
00:51:17– Oui, l'ancien, le ministre handicapé, là.
00:51:20– Ça, ça date du 28 au 30 avril.
00:51:23Voilà les dernières idées de M. Bruno Le Maire.
00:51:26Mais il faut le mettre en prison.
00:51:27Bruno Le Maire, c'est pas possible.
00:51:29Il faut qu'il se taisent.
00:51:30Il faut l'internet.
00:51:31Il faut appeler le GIPN.
00:51:33D'ailleurs, je salue le groupement d'intervention de la police nationale,
00:51:36qui m'a rendu une petite visite.
00:51:39– Oui.
00:51:39– C'est amusant.
00:51:41– Bon, ils ont été très sages.
00:51:42Ils n'ont rien touché.
00:51:43– Oui.
00:51:43– Voilà, voilà.
00:51:45Mais ils ont été abusés.
00:51:46Ils ont été abusés par un cabinet…
00:51:50– Scandale.
00:51:51– Voilà.
00:51:51– Scandale.
00:51:52– C'est…
00:51:53– On en reviendra.
00:51:54– C'est une honte.
00:51:55– On reviendra là-dessus.
00:51:56– C'est une honte.
00:51:56– Non, mais vous vous rendez compte que le gouvernement, maintenant,
00:52:00utilise la police à des fins d'intimidation des journalistes et des écrivains.
00:52:09– C'est une honte.
00:52:09– C'est quand même incroyable, quoi.
00:52:11– Je veux dire, ils ont débarqué au Jardin des Livres,
00:52:13aux éditions Jardin des Livres.
00:52:14– C'est incroyable.
00:52:15– Surtout parce que le livre, le prochain livre 2008, là, ça…
00:52:19– Ça va…
00:52:20– Ah, bah oui.
00:52:21– Ça va décoiffer.
00:52:22– Ça va…
00:52:22– Bah oui, en plus, on est dans le domaine de Macron, c'est la banque.
00:52:25– Oui.
00:52:26– Enfin, nous, on est déjà décoiffés.
00:52:29Donc, je salue le GIPN et je les remercie.
00:52:34Ils ont laissé tout, ils n'ont rien touché.
00:52:38– Donc, tout à l'heure, je vous ai…
00:52:40– C'est passé inaperçu, mais j'ai rappelé que la Chine,
00:52:44qui achetait massivement de l'or, vient de découvrir un gisement d'or sur son territoire.
00:52:48– Oui, oui, ils font régulièrement des annonces.
00:52:51– Mais c'est quand même intéressant, ça, non ?
00:52:52– Oui, c'est intéressant, mais…
00:52:53– Parce que le stock d'or va encore augmenter, le RMB va se valoriser.
00:52:56– Oui, mais leur véritable stock d'or ne sont… ils ne les donnent pas.
00:53:01– Oui.
00:53:02– Voilà. Et tiens, puisqu'on a juste… Encore, regardez, Société Générale.
00:53:07– Ah.
00:53:07– Voilà pourquoi il faut quitter la Société Générale. Écoutez bien.
00:53:10Parce que ça, j'ai vu les dégâts que ça causait, notamment la Fortis à l'époque.
00:53:14Société Générale et la BPCE, donc ces deux banques, à priori, qui ne se connaissent pas,
00:53:20vont sabrer leur service informatique.
00:53:22– Oui.
00:53:24– Gabriel Nedelec, donc c'est un journaliste des échos, vraiment, il est doué le garçon.
00:53:31Il a expliqué la semaine passée que la Société Générale, pour réaliser des économies colossales d'échelle,
00:53:36s'apprête à sabrer son département informatique, pourtant le plus stratégique au sein d'une banque,
00:53:43aujourd'hui, et surtout le plus sensible d'une banque, dans une démarche…
00:53:47Écoutez bien, là, la nova langue de la société, de M. Krupa.
00:53:50– Dans une démarche d'efficacité accrue, c'est-à-dire, pour être encore plus efficace,
00:53:55on détruit le service informatique.
00:53:57– Oui, c'est authentique, je me le dis toujours.
00:53:59– Regardez, ça date du 17 mars.
00:54:02– Dans une démarche d'efficacité accrue, Société Générale prévoit de tailler dans ses dépenses informatiques
00:54:06qui représentent autour de 10% des revenus du secteur bancaire.
00:54:09– Oui.
00:54:11– Non mais…
00:54:12Voilà.
00:54:14Et après, qui s'étonne qu'il y ait des doubles prélèvements et que les trucs soient en panne ?
00:54:19– La caisse d'épargne, hier, est en panne.
00:54:21– Nous approchons de la fin de cet entretien qui n'est pas,
00:54:25qui est loin d'avoir épuisé votre revue de presse.
00:54:29– Bah si, Revolut, on a oublié Revolut.
00:54:31– Alors, Revolut, alors Banque Lituanienne, qui est partout, partout.
00:54:35– Non mais attends, Revolut, alors si vous voyez des trucs sur YouTube Revolut,
00:54:38ils les ont tous achetés. Ce sont des influenceurs, ce sont des influenceurs.
00:54:42– Oui, oui, oui.
00:54:42– Ils sont payés pour ça. Ils sont payés pour vous vendre de la…
00:54:46Bip, hein ?
00:54:47– Je reste tout à fait convenable, n'est-ce pas ?
00:54:50– Oui.
00:54:50– Voilà.
00:54:53La banque Lituanienne,
00:54:54– Oui.
00:54:55– Revolut, est sortie, dans ma revue de presse, plusieurs fois,
00:55:00dans le cadre de divers scandales et non des moindres.
00:55:03Par exemple, le piratage de tous ses clients en 2022.
00:55:06Toutes vos données sont parties,
00:55:09en particulier par Samani,
00:55:10de demander des justificatifs pour les dépenses.
00:55:13Là, on a une photo.
00:55:14Donc, pour le montage, c'est le 10 mars.
00:55:17Et c'est à tous ceux qui ont ouvert un compte sur Revolut.
00:55:19Voilà.
00:55:20Donc, à chaque fois que vous faites une dépense avec votre carte Revolut,
00:55:22ils vous demandent pourquoi vous avez dépensé ça.
00:55:24– Excusez-moi, totalement…
00:55:26– Non mais…
00:55:27Et attends, mais ce n'est pas fini.
00:55:28Et notre lecteur Philippe nous dit,
00:55:30« Le compte de mon fils, c'est à zéro depuis qu'il avait réussi à être en… »
00:55:36Attends, c'est de quoi le truc ?
00:55:38Et voilà.
00:55:39Donc, la communication entre les banques,
00:55:41alors, tu leur envoies un mail,
00:55:43on a la réponse 48 heures plus tard, voire 3 jours plus tard.
00:55:46– Oui.
00:55:46– Bonjour les échanges de mail.
00:55:48Ça peut prendre 3 ans.
00:55:50C'est un peu l'idée.
00:55:51Mais, voilà, c'est ça qu'il dit.
00:55:53Sachez qu'en cas de faillite de la Revolut,
00:55:55et je n'ai aucune confiance dans la Revolut,
00:55:57surtout dans ses placements, machin, etc.,
00:55:59la protection n'est pas de 100 000 euros,
00:56:02comme en…
00:56:02– Oui, la règle européenne.
00:56:03– C'est pas grand chose en Europe 1.
00:56:04– Oui, oui.
00:56:04– Mais seulement 22 000.
00:56:06– Ouf !
00:56:07Voilà.
00:56:07C'est-à-dire qu'ils seront la même enseigne
00:56:09que les clients de la banque EG,
00:56:12– Oui.
00:56:13– en Irlande, Islande, Islande, en Islande.
00:56:16– L'Islande, oui.
00:56:16– Voilà, qui ont été rasés de près.
00:56:18– Oui.
00:56:18– Qui ont été tendus.
00:56:18– Tendus.
00:56:20– Comme un autre.
00:56:21Non mais c'est annonciateur, c'est marrant, c'est dans le nom.
00:56:24– Sauf qu'en Islande, le gouvernement a réagi fortement.
00:56:26– Oui, oui, oui, c'est un genre en Europe qui a…
00:56:29– Oui, oui, oui.
00:56:30– Alors, qu'est-ce que nous avons…
00:56:32– Sachez juste que Revolut paie des influenceurs pour les vendre
00:56:35et que ceux-ci fabriquent des vidéos bidons du genre
00:56:39« Voici mon avis après 4 ans d'usage,
00:56:42je compare N26 à Revolut ou Nickel vs N26. »
00:56:48C'est un peu comme si on comparait 4, 5 différents modèles
00:56:52de poubelles à roulettes entre elles.
00:56:54C'est un peu l'idée, voilà.
00:56:56Donc, cher lecteur, je vous en supplie,
00:56:58n'allez pas dans ces banques pourries.
00:57:00Je veux dire, au pire des cas,
00:57:01allez dans une banque en ligne qui appartient à…
00:57:04Si vous êtes vraiment…
00:57:05Allez à la BNP ou Crédit Agricole ou même la Soggen,
00:57:10je crois qu'elle a une banque en ligne.
00:57:12Enfin, évitez la Soggen.
00:57:15Boursorama qui demande des comptes aussi, Boursorama.
00:57:18Les clients de Boursorama, ils ne sont pas contents.
00:57:19Et là, d'ailleurs, Pierre, on voit que le cash, l'argent liquide,
00:57:24est une liberté parce que l'usage ne vous en sera jamais demandé.
00:57:29Oui.
00:57:30Non mais, c'est incroyable.
00:57:32Et alors, pendant qu'on nous parle d'influenceurs,
00:57:35moi j'ai une info marrante parce qu'il y a la tricherie des médias français.
00:57:39Vous savez qu'il y a un truc qui s'appelle Médiamétrie ?
00:57:41Alors, il donne les scores, bon.
00:57:45Alors, donc, par exemple, il donne le score BFM TV,
00:57:50il y aurait 320 000 personnes devant.
00:57:52Ça, c'est un article qui date du 30 mars.
00:57:58BFM, pardon.
00:58:00LCI, 194 000 spectateurs, grosso modo.
00:58:03Mais en fait, la réalité, c'est qu'en fait, il faut…
00:58:05Moi, je l'ai vu, Médiamétrie,
00:58:08parce que Médiamétrie faisait la même chose à un moment donné
00:58:10pour les sites Internet.
00:58:11Exact.
00:58:11Mais je voyais qu'à un moment donné, que tout était…
00:58:14Enfin, ça ne collait pas, quoi.
00:58:17Bref, il faut diviser par deux,
00:58:18ce qui fait que LCI n'a que 97 000,
00:58:22France Info, 31 000,
00:58:23et que nous, nos revues de presse, on fait infiniment plus.
00:58:26Et nous, nos spectateurs viennent nous voir.
00:58:28Le minimum.
00:58:28Voilà.
00:58:29Alors que eux, c'est des écrans allumés dans les bars tabac et ainsi de suite.
00:58:33C'est le mensonge.
00:58:35Mais bon, on n'est pas surpris.
00:58:38Oui.
00:58:39Et toujours avec les banques,
00:58:43juste pour vous dire que la caisse d'épargne
00:58:45va fermer encore plus d'agences.
00:58:47D'agences, oui.
00:58:49Nous, on l'a annoncé ici.
00:58:50Vous avez tous été prévenus.
00:58:52Alors que les banques turques ouvrent des agences
00:58:54et installent des tabac à chaque coin de rue,
00:58:56en France, on ferme les agences.
00:58:59Et pourquoi ils les ferment ?
00:59:00Parce qu'en fait, les Français n'ont plus d'argent.
00:59:02Mais oui.
00:59:03Simplement.
00:59:04C'est pour ça qu'ils ferment.
00:59:05C'est la vraie raison.
00:59:06Parce qu'en Turquie, ils ont les mêmes logiciels qu'en France.
00:59:10Je parle des logiciels bancaires, etc.
00:59:13Pourquoi ?
00:59:14Parce qu'en Turquie, l'argent circule à toute vitesse.
00:59:18Les Turcs s'enrichissent malgré l'inflation qui a quand même sérieusement baissé.
00:59:22Mais ils gagnent vraiment beaucoup d'argent.
00:59:25Et grâce à quoi ?
00:59:27Les banques, toutes les agences sont pleines.
00:59:30En France, les Français se sont appauvris en l'espace de 17 ans depuis 2008.
00:59:34Et résultat des courses, ils ferment les agences.
00:59:36La même chose pour les Anglais.
00:59:38Alors, nous arrivons sur...
00:59:39Par exemple, BNP et Santander...
00:59:42Ah oui.
00:59:43Pardon.
00:59:44Santander.
00:59:44BNP, 500 agences, ils vont fermer.
00:59:47Oui.
00:59:48Voilà.
00:59:49Oui.
00:59:51Santander, combien ils ferment, eux ?
00:59:52Ils vous diront que...
00:59:54Service de presse a annoncé un tiers de ces agences sont fermées d'ici 2030.
00:59:59Ce qui veut dire qu'en fait, d'ici deux ans, ça sera plié, quoi.
01:00:03Voilà.
01:00:04Oui, mais ils vous diront que c'est grâce au numérique.
01:00:06Voilà.
01:00:06Et ça, c'est date du 24 mars, on a une capture écran.
01:00:09Parallèlement à la BNP, la banque espagnole Santander a décidé de fermer 95 agences de plus.
01:00:15Je veux dire, bientôt, il n'y aura pas d'agence.
01:00:17Je vous le dis, tout sera sur le téléphone.
01:00:19Il n'y aura plus qu'une seule agence, une grosse agence.
01:00:21Paris-Lyon, Marseille, Basta, Lille, éventuellement, et c'est tout.
01:00:25Souvenez-vous, dans les années 70, on déplorait que les boulangeries ferment et soient remplacées par des agences bancaires.
01:00:31Oui, absolument, absolument.
01:00:32Mais c'était les cas en 2000 aussi, en l'an 2000.
01:00:35Rappelez-vous, c'était le cas.
01:00:36Et maintenant, c'est le contraire.
01:00:37Et maintenant, c'est le contraire.
01:00:38Mais en fait, parce que les Français, ça, au Vries, c'est aussi simple que ça.
01:00:42C'est ça, à voir, avant, c'était des voitures, des Renault 25, des machins, enfin, je ne sais plus quel était le modèle de luxe.
01:00:49La Dacia, elle a rêvé.
01:00:50La Dacia, c'était pour les pauvres.
01:00:52Rappelez-vous.
01:00:53Bien sûr, bien sûr.
01:00:54Bon, ils se sont améliorés en qualité.
01:00:55Il faut le reconnaître.
01:00:56Il n'y a pas photo.
01:00:57Mais maintenant, Dacia, le numéro un en France.
01:01:00Absolument.
01:01:00Alors que moi, je me souviens d'une conférence de presse du PDG de Renault.
01:01:04Oui, oui.
01:01:06J'y étais.
01:01:07C'était 40 secondes ?
01:01:07Il y avait Charles Gauthier aussi, à l'époque, qui était le journaliste automobile.
01:01:12Et il disait que jamais les voitures Dacia ne seront vendues en France.
01:01:19Authentique, vous êtes sûr ?
01:01:21On dirait une promesse politique.
01:01:22C'est une promesse politique.
01:01:23C'est une promesse politique.
01:01:25Alors, est-ce que nous avons...
01:01:28Nous n'avons pas éclusé l'abondance de votre vue de presse.
01:01:31Je renvoie nos téléspectateurs.
01:01:33Natto West, pareil.
01:01:34Quotidien.com
01:01:35Quotidien.com
01:01:35Voilà, regardez, il y a un...
01:01:37Et puis, il les annonce.
01:01:38La page archive, vous allez tout retrouver.
01:01:40De vos signatures.
01:01:40Moi par moi.
01:01:41Oui, on va voir, je vais avoir le plaisir de retrouver tous nos lecteurs,
01:01:44parce que là, j'ai un programme extrêmement chargé.
01:01:47Donc, j'espère vous retrouver à Angers.
01:01:51Et oui, on sera ensemble.
01:01:51On sera ensemble, ça y est, c'est bon, c'est fait.
01:01:53À Saumur, j'ai demandé à mon éditeur de prendre contact avec le Centre Cultura,
01:01:58qui s'en occupe, et nous serons ensemble pour signer.
01:02:00Alors, voilà, donc ça sera...
01:02:03On l'a fait il y a 7 ans, je crois, 7-8 ans.
01:02:04Quatre ans.
01:02:05Non, non, non, non, pas possible.
01:02:06Quatre ans, c'était la Covid.
01:02:07C'était à la veille du Covid.
01:02:09Ah d'accord.
01:02:09Donc, cinq ans.
01:02:10Voilà.
01:02:11Cinq ans.
01:02:11Alors, je vais donner...
01:02:12Ça va être sympa.
01:02:14Si vous me permettez, Pierre, je vais donner une toute petite information...
01:02:17Allez-y.
01:02:17...qui n'est pas dans votre revue de presse, mais qui est très inquiétante.
01:02:20Oui.
01:02:20Pour notre pays, pour la première fois depuis les années 30,
01:02:26vous voyez que ça fait quand même bientôt un siècle.
01:02:29Le taux de natalité est de 9,2 pour 1 000 habitants.
01:02:37C'est rapporté aux habitants.
01:02:38Oui.
01:02:39Et le taux de mortalité est de 9,4 pour 1 000.
01:02:45Autrement dit, pour la première fois,
01:02:48la mortalité est passée au-dessus de la natalité
01:02:51pour la première fois depuis 90 ans, plus de 90 ans.
01:02:55C'est la récine quand même très inquiétante.
01:02:58Très inquiétante.
01:02:58Les Français...
01:02:59Bill Gates, Davos ont gagné.
01:03:01Ils ont gagné leur truc.
01:03:02Ils ont empoisonné la totalité de la population, je vous rappelle.
01:03:07Attendez, on ne va pas en revenir dessus,
01:03:09mais tu vois, puisqu'on parle de Bill Gates...
01:03:11Ah oui, ah oui.
01:03:12Formidable, formidable.
01:03:13Non, mais ils ont obtenu ce qu'ils voulaient.
01:03:16Ils ont obtenu...
01:03:17Mais oui, mais...
01:03:17Des effets secondaires, mais c'est...
01:03:20Attends, on peut en faire une émission à...
01:03:22À lui, tout seul.
01:03:23À elle toute seule.
01:03:25Mais alors, vous nous signalez aussi
01:03:26qu'il vient d'inventer du beurre sans lait.
01:03:29Ça, c'est extraordinaire, ça.
01:03:31Non, mais il est fou.
01:03:31Il est complètement fou à lier.
01:03:34C'est quand même incroyable.
01:03:36Après l'eau filtrée venant directement des toilettes en Afrique,
01:03:39après la fausse viande qui donne une haleine de choual,
01:03:42après les moustiques génétiquement modifiés,
01:03:46après les vaccins criminels,
01:03:48voici la dernière lubie de M. Bill Gates.
01:03:52Quel enfoiré, celui-là.
01:03:53Le beurre sans lait.
01:03:53Il a investi dans une start-up qui s'appelle Saveur.
01:03:57Il faut oser, hein, Saveur.
01:03:58La compagnie italienne,
01:04:00qui affirme être capable de fabriquer du beurre,
01:04:03des glaces et bien sûr du lait,
01:04:05mais sans le lait de vache.
01:04:06Alors, donc, parce qu'on a une image, c'est du 3 mars.
01:04:13Alors, je lis ce que dit Bill Gates.
01:04:16Pour créer les recettes sans animaux de demain,
01:04:19nous imaginons et nous voulons dès aujourd'hui,
01:04:21on commence avec une source de carbone,
01:04:23comme le dioxyde de carbone,
01:04:25et utilisons un peu de chaleur et d'hydrogène
01:04:27pour former des chaînes qui sont ensuite mélangées à l'oxygène,
01:04:30de l'air pour produire les graisses et huiles
01:04:32dont nous connaissons et mons et savourons avec gourmandise.
01:04:34Moi, ça me rappelle un dessin de Sébastien Dieu
01:04:37où on voit un chimiste fou avec ses deux fioles
01:04:39qui verse des trucs plus à lui exposer la figure.
01:04:43– Il me semble que la margarine, c'était…
01:04:47La margarine, c'est fait avec quoi déjà ?
01:04:48Il n'y a pas de lait dans la margarine ?
01:04:50– Non, non, mais ce sont des graisses végétales.
01:04:52– C'est des graisses végétales, c'est ça.
01:04:53– Ça reste…
01:04:54– Alors, on peut rappeler, plusieurs lecteurs me l'ont dit,
01:04:57M. Bill Gates, le beurre, ça s'appelle margarine.
01:05:01On en a fait les frais.
01:05:02Donc, grands-parents ont connu ça pendant la guerre.
01:05:04– C'est pire encore.
01:05:05– Avec la Routibaga, comment c'est ?
01:05:07– Non, Routabaga.
01:05:08– Routabaga.
01:05:09– Routabaga.
01:05:09– C'est incroyable, Routabaga.
01:05:11C'est resté dans la psyché des Français, ça.
01:05:13– Oui.
01:05:14C'est un gros navet, en fait.
01:05:16– Oui, c'est un navet, oui.
01:05:18– Et alors, il y a les topis d'un mot.
01:05:20– On décerne le prix Routabaga promis à Bill Gates.
01:05:27Fou furieux, mais complètement cinglé.
01:05:29– Alors, juste une chose, puisqu'on a parlé des médias.
01:05:34On a découvert, justement, anciennement, que Bruxelles,
01:05:37donc l'Union européenne, a payé tous les journalistes,
01:05:39les chaînes de télé, etc., pour dire le plus grand bien
01:05:42de l'Union européenne avant les élections.
01:05:44– Oui, ça, on l'avait dit.
01:05:45– Ça, Nagel Farage me l'avait dit.
01:05:47– On l'avait dit.
01:05:47– Alors, Nigel Farage, d'ailleurs, qui vient de réaliser des scores
01:05:52tout à fait intéressants.
01:05:53– Oui, tout à fait, mais moi, je lui ai dit qu'il allait,
01:05:57comment dire, qu'il allait devenir le futur Premier ministre anglais.
01:06:03Je lui ai dit ça lors d'un déjeuner ou un dîner à Bruxelles,
01:06:06justement, quand il était encore en poste là-bas.
01:06:09– Eh bien, figurez-vous que je l'avais reçu, moi-même,
01:06:12dans une interview sur Radio Courtoisie, il y a 25 ans.
01:06:16– Ah oui ? – Oui.
01:06:17– Ah, génial.
01:06:18– Oui.
01:06:18– Il faut retrouver cette interview, parce que c'est historique.
01:06:21Justement, le premier à avoir fait un papier
01:06:24quand il avait fait son fameux discours à Herman Fentrapouille,
01:06:28je l'appelle Fentrapouille, où il avait traité de serpillère humide.
01:06:33– Oui, de serpillère humide.
01:06:33– You are, you are, you are a...
01:06:35– Wet rag.
01:06:37– Ah, right, you are a wet rag.
01:06:39– You have the charisma of a damp rag
01:06:41and the appearance of a low-grade bank clerk.
01:06:44– And the question that I want to ask,
01:06:46the question that I want to ask,
01:06:48that we're all going to ask, is
01:06:50who are you ?
01:06:51I'd never heard of you.
01:06:53– Frag.
01:06:54– No, who are you ?
01:06:55Nobody knows you.
01:06:57Never ever heard of you.
01:06:59– Never vote for you.
01:07:02– You are the look of a little bank clerk
01:07:05and the...
01:07:06– You are a wet rag.
01:07:09– Voilà, allez sur le...
01:07:11sur Je m'invite...
01:07:12sur Ketien.com.
01:07:13– Ce pauvre Van Ramboy,
01:07:14qui était comte,
01:07:15Van Ramboy,
01:07:16comte belge,
01:07:19était...
01:07:19vous savez plus où se mettre,
01:07:20on voit l'image.
01:07:21– Attends, mais c'était un truandage,
01:07:22parce qu'on voyait bien qu'il avait raison,
01:07:24Naguel Farage.
01:07:25– C'était important.
01:07:25– C'était le premier acte de résistance.
01:07:28Allez sur Quotidien.com,
01:07:29vous avez l'onglet reportage
01:07:30et vous allez retrouver le reportage
01:07:33sur Naguel Farage,
01:07:35le premier,
01:07:35parce que j'avais traduit son discours
01:07:36et ça a fait le tour du web,
01:07:38francophone.
01:07:39Ça a été extraordinaire.
01:07:40– Sauf qu'à la suite de cette intervention,
01:07:42il a eu 3 000 euros d'amende.
01:07:44– Oui, c'est pas cher pour une terpille humide,
01:07:47c'est un peu cher.
01:07:47– C'est pas cher.
01:07:47– C'est pas cher pour...
01:07:49parce que le monde entier l'a vu,
01:07:52mais...
01:07:53donc il a ridiculisé.
01:07:54et Hermann von Freppuil était mort.
01:07:57Ce jour-là, son mandat était cuit.
01:07:59– Oui.
01:08:00– Eh bien voilà, une conclusion.
01:08:03– Alors juste, je dis au...
01:08:05– Pour la route.
01:08:05– Voilà, à nos lecteurs,
01:08:08à nos spectateurs,
01:08:08parce qu'ils me disent
01:08:09« Oui, mais M. Jovenavik,
01:08:10je peux faire de l'épargne,
01:08:11mais je ne peux pas acheter de l'or. »
01:08:12Je comprends très bien
01:08:13parce que le cours de l'or, là,
01:08:14s'est explosé.
01:08:15Écoutez, acheter des pièces d'argent,
01:08:18c'est pas compliqué.
01:08:19Je veux dire, en 2007...
01:08:20– C'est même un bon calcul ?
01:08:21– Oui, c'était à 6-7 euros.
01:08:23– C'était à 6-7 euros,
01:08:24la pièce de 50 francs Hercule.
01:08:25Elle était à 6...
01:08:26Aujourd'hui, elle est à 30, 35 ou 40,
01:08:28je ne sais plus.
01:08:28– Mais l'argent reste...
01:08:30– C'est long terme.
01:08:31Acheter ça, c'est à long terme.
01:08:3250 francs Hercule.
01:08:33Allez sur quotidien.com,
01:08:34vous avez toutes les infos.
01:08:35– Il reste bon marché.
01:08:36– Mais bien sûr, l'argent...
01:08:37– Attends, je crois que ça a battu
01:08:39même le record.
01:08:39Je crois qu'il y a un écart
01:08:40de je ne sais plus combien,
01:08:42140 ou je ne sais plus combien.
01:08:43– En général, l'écart,
01:08:44depuis plusieurs siècles même.
01:08:46– Normalement, l'écart,
01:08:46c'est 14 points.
01:08:47– Voilà, 1,14.
01:08:48– 1,14.
01:08:48– 1,14.
01:08:49Et là, l'écart est beaucoup plus fort,
01:08:51donc il faut acheter de l'argent.
01:08:52– Je crois que c'est 80.
01:08:53– Oui, il faut acheter de l'argent.
01:08:54– Voilà, donc il faut acheter
01:08:54des pièces d'argent.
01:08:55Voilà, vous êtes tranquille.
01:08:57Voilà, et comment il s'appelle ?
01:09:00Von der Leyen et M. Alain Minck,
01:09:03qu'on salue, M. le plagiaire,
01:09:06il ne pourra pas venir vous le chercher.
01:09:09Voilà.
01:09:09– Voilà.
01:09:11– Rendez-vous à nos dédicaces
01:09:12et à Saumur, justement.
01:09:14– Vous prenez la liste.
01:09:14– Oui, c'est seulement en septembre,
01:09:16je crois.
01:09:17Mais après l'été,
01:09:19mais voyez sur quotidien.com
01:09:21la liste des signatures de Pierre Jovanovic.
01:09:23– Voilà, et on retrouvera Olivier à Saumur,
01:09:26donc ça va être, vraiment, ça va être sympa.
01:09:29– On avait eu déjà un très, très bon accueil.
01:09:31– Ah, mais on a été couverts de cadeaux.
01:09:34– Ah oui, oui, les gens étaient…
01:09:35– De bonbons, de chocolat,
01:09:37de petites bouteilles, c'était sympa.
01:09:41– Eh bien, à très bientôt, Pierre.
01:09:43– Merci à vous tous, merci pour votre fidélité.
01:09:45– Appuyez sur la cloche, parce qu'il paraît que c'est important,
01:09:49abonnez-vous, machin.
01:09:50Et puis rendez-vous sur notre filtre coûteur
01:09:52et tous les lundis sur quotidien.com.
01:09:54– Merci à vous tous, merci Olivier.
01:09:56– Merci Pierre, à bientôt.
01:09:57– Bonjour et bienvenue aussi à notre rendez-vous hebdomadaire
01:10:22de décryptage de l'actualité économique et géopolitique en mode affranchi.
01:10:29Je salue tous les abonnés de TV Liberté pour cet épisode que je vais intituler
01:10:34« L'Europe, c'est la paix et la démocratie ».
01:10:40Oui, mais enfin une démocratie quand même bien étrange,
01:10:45où lors du scrutin de validation du mandat de chancelier de Friedrich Merz le 6 mai dernier,
01:11:01eh bien le nouveau chancelier n'a pas réussi à obtenir la majorité.
01:11:08Il lui a manqué, allez c'est vrai, une poignée de votes.
01:11:14Certains de ses supporters étaient peut-être à la buvette.
01:11:19Donc lorsque le chancelier ne peut pas être élu dès le premier tour,
01:11:25un second a lieu dans les 14 jours suivants.
01:11:31Ça peut donc être au bout de 7 jours, au bout de 14.
01:11:35Eh bien non, là, cette fois-ci, ça a eu lieu au bout de 3 heures.
01:11:39Eh oui, parce que désormais en Europe, quand le vote ne convient pas, on fait revoter.
01:11:46Et si décidément ce vote est contraire aux attentes des Européens,
01:11:52eh bien on le fait tout simplement annuler.
01:11:56Alors en Roumanie, le premier tour de la présidentielle vient de nouveau contrarier, contrecarrer les plans de Bruxelles.
01:12:09Après avoir fait annuler le premier tour de la façon la plus assumée qui soit,
01:12:15eh bien l'Europe a immédiatement introduit un recours contre ce nouveau premier tour
01:12:23qui ne donne pas la majorité aux candidats voulus sponsoriser, aider, peut-être financer.
01:12:32En tout cas, c'est une certitude.
01:12:35Le ministère de la Justice roumain a été instrumentalisé pour faire annuler ce second premier tour.
01:12:46Voilà ce qu'est aujourd'hui la démocratie européenne.
01:12:50Mais l'Europe, heureusement, c'est également la paix.
01:12:53Alors, l'aéroport Ben Gurion de Tel Aviv a été bombardé et il s'en est suivi une opération de représailles israéliennes
01:13:07où le port de Sanaa, la capitale yéménite, a été anéanti.
01:13:14L'aéroport a été anéanti, autrement dit, je ne sais pas si on peut parler d'une riposte proportionnelle.
01:13:26Enfin, en tout cas, ça n'a soulevé aucune objection de la part des Européens.
01:13:33Et puis, le 7 mai, voilà que l'Inde et le Pakistan entrent en conflit.
01:13:42Les agences de presse européennes ont mis énormément de temps à rendre compte des incidents, entre guillemets,
01:13:55alors qu'il s'agit de bombardements, de tirs de missiles.
01:14:00Les deux camps prétendent avoir abattu les avions du camp opposé.
01:14:06Autrement dit, les Pakistanais auraient détruit des Rafales, les Indiens auraient détruit des avions chinois,
01:14:16voire des anciens modèles d'avions américains.
01:14:23En fait, on ne sait pas vraiment quelle est la réalité des dégâts causés aux uns et aux autres.
01:14:29Mais en tout cas, l'Europe, elle, elle n'appelle pas au calme, ni ne propose de solution, ni une médiation.
01:14:41Non, l'Europe était complètement muette, alors que ce sont quand même deux puissances nucléaires qui s'affrontent
01:14:50et qui ont les moyens de s'anéantir réciproquement.
01:14:54C'est d'ailleurs ce qu'avait dit le ministre de la Défense pakistanais.
01:14:59Si les Indiens nous attaquent, nous riposterons.
01:15:03Mais en fait, l'humanité cessera d'exister, car sans le Pakistan, l'humanité ne doit plus exister.
01:15:11Eh bien, on attend toujours là aussi une réponse européenne.
01:15:18Et puis, bien sûr, pour le conflit ukrainien, l'Europe continue de soutenir Zelensky.
01:15:26Bon, c'est vrai qu'on ne peut pas changer de discours et de position parce que la guerre semble perdue.
01:15:33Alors, on essaie de faire croire que l'Ukraine peut gagner toute seule, sans les Américains.
01:15:39Alors, ça va être compliqué parce que sans le matériel et sans le renseignement américain difficile d'organiser une défense solide et efficace,
01:15:52mais manifestement, l'Europe a bel et bien l'intention que le conflit se poursuive.
01:15:58Et le premier à le souhaiter, eh bien, c'est le très anti-russe chancelier Friedrich Merz,
01:16:07dont on se demande d'ailleurs si l'absence de majorité au premier tour n'était pas liée au doute que son élection fait peser,
01:16:19ou plutôt le risque que cela fait peser sur la paix en Europe.
01:16:24Nous avons conçu à votre attention un rapport spécial que vous obtiendrez gratuitement en cliquant dans le lien en description de cette vidéo.
01:16:36Un rapport spécial qui analyse toutes les conséquences économiques, financières et patrimoniales.
01:16:44Et bien sûr, ce rapport vous offre également des mesures, des initiatives à mettre en place très rapidement
01:16:54pour protéger votre épargne, celle de vos proches.
01:17:00Tout ça donc dans un rapport gratuit que vous obtenez en cliquant en bas de cette vidéo.
01:17:07Sous-titrage Société Radio-Canada