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Transcription
00:00Il n'y aura pas de semaine noire, nous dit-on, dans les transports en commun.
00:04Oui, Paul Melun.
00:06Voilà, vous pourrez partir dans votre campagne.
00:07Ça va, ça va, je peux prendre le train tranquillement.
00:09Vous pouvez prendre le train tranquillement, bien que, bien que.
00:12Comptez tout de même sur des perturbations dès demain en Ile-de-France,
00:15en particulier sur le RERB et plusieurs lignes de Transilien.
00:19Circulation normale, nous dit-on, sur les TGV de lundi à jeudi.
00:23Écoutez ce double commentaire, d'abord celui de Julien Trocaz,
00:26qui est secrétaire fédéral Sudrail,
00:28et la réponse de Michel Kidor, qui est vice-président de la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports.
00:34Parce qu'on le répète, nos revendications, elles ne vont pas s'évaporer,
00:38même si le conflit passe et que la direction n'a pas négocié.
00:40Et on n'a eu aucune avancée, aucun engagement concret.
00:44On a juste des intentions, on a juste des groupes de travail,
00:47et pas de vrais engagements qui permettent d'éviter un conflit.
00:51C'est une stratégie du pourrissement.
00:52Pour des motifs qui, à notre avis, ne justifient pas une grève,
00:55il s'agit d'une modification d'un logiciel d'emploi du temps à une prime de 100 euros.
01:00Est-ce qu'on arrête le pays ?
01:01Est-ce qu'on empêche des centaines de milliers de voyageurs à se déplacer pour ce motif ?
01:06Il y a un manifestement abus du droit.
01:10Pour des motifs catégoriels et relativement minimes,
01:12on va bloquer une partie du pays.
01:14Et ça, encore une fois, je pense que les gens ne le comprennent pas,
01:18et on sent que ce n'est pas une grève qui va être très populaire.

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