Avec Françoise Degois, Eric Revel et Jean-François Achilli
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##DITES_LE_FRANCHEMENT-2025-04-14##
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NewsTranscription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04On en parle avec vous Benjamin Glaze, on en parle Donald Trump a trouvé une nouvelle idée pour tenter d'annexer le Groenland.
00:10Écoutez bien.
00:11Le président américain envisage maintenant, ni plus ni moins, d'offrir un chèque annuel de 10 000 dollars à chaque habitant groenlandais
00:17pour les convaincre de la bénédiction d'épouser la patrie de l'oncle Sam.
00:21L'information a été révélée par le New York Times.
00:23L'exécutif aura envisagé cette solution au Conseil de Sécurité Nationale pour la financer.
00:27L'idée, évidemment, c'était de remplacer les 600 millions de dollars de subventions envoyées chaque année au Danemark
00:32par ce chèque de 10 000 dollars accordé à chaque habitant groenlandais.
00:35Voilà, c'est une solution.
00:36C'était dans les tuyaux quand même.
00:38J'ai l'impression qu'on en parle depuis un 2.
00:4010 000 dollars par an pendant combien de temps ?
00:42C'est ça le vrai sujet ?
00:43On a la précision.
00:44Il achète, c'est assez maigre.
00:48Le monde est à acheter.
00:49Il y a 60 000 habitants à peu près, c'est assez maigre.
00:52Entre les Russes et les Américains, le business est en train de reprendre.
00:56Personne n'en parle, mais je peux vous le dire.
00:58Le business est en train de reprendre entre les Russes et les Américains.
01:01Après, vous savez, mon intime conviction, c'est que le business a de la limite.
01:07Et moi, je fais partie des gens qui pensent que c'est toujours la politique qui reprend ses droits à la fin des fins.
01:12Je pense qu'à un moment donné, c'est la politique qui reprend ses droits.
01:15Et on voit bien la limite du business.
01:16Regardez Musk, qui est obligé de refluer.
01:19Regardez, ça reflue parce qu'à un moment donné, c'est la décision politique.
01:23Techniquement, ce ne sont pas les habitants du Groenland qui décident.
01:26C'est la couronne du Danemark.
01:27Non, parce qu'ils sont autonomes.
01:29Ils peuvent prendre une décision.
01:31Non, mais puisque je souris, je rigole un peu ce matin.
01:35Jean-Jacques, quand j'entends Trump parler du Groenland,
01:37j'ai l'impression qu'il parle plutôt de Groenland.
01:39C'est-à-dire que j'ai l'impression qu'il nous fait des blagues.
01:42Non, mais on a du mal à croire à ce qu'il annonce.
01:44Oui, mais il annonce.
01:46Oui, non, mais il annonce.
01:47Mais vous imaginez, donner à 10 000 dollars par an,
01:50comme si on achetait une nouvelle voiture.
01:53Oui, c'est comme ça que ça se passe.
01:56Oui, ça se passe comme ça.
01:56Dans l'esprit de Trump, c'est comme ça.
01:58Dans l'esprit de Trump.
01:59Deal, Groenlandais.
02:00Mais c'est pour ça d'ailleurs qu'il se heurte, je pense, à la vieille Europe,
02:03parce que la vieille Europe, c'est véritablement...
02:04Ah ben non, on n'est pas nos clés.
02:06Non, mais certains se heurtent quand même,
02:08parce que c'est le cœur de la politique.
02:10Dites-vous bien, que ce soit chez M. Poutine ou chez M. Trump,
02:13qui a un mépris profond pour la vieille Europe.
02:15Mais la vérité, c'est qu'on s'en fout de leur mépris.
02:17La réalité, c'est que c'est le plus grand marché homogène du monde.
02:20C'est les vieilles démocraties.
02:22Mais non, mais moi, je m'en fous.
02:25On s'en fout un petit peu, en fait, de leur mépris,
02:26parce que la réalité, c'est que la forteresse, elle résiste encore quand même.
02:29Bon, et puis vous avez autre chose, tiens.
02:31Oui, on revient en France.
02:32Laurent Baffi.
02:33Laurent Baffi qui présente ses excuses.
02:36Vous vous souvenez, il a formé un duo pendant des années à l'antenne
02:38avec Thierry Ardisson.
02:40Laurent Baffi, à l'époque, c'était le sniper de la télévision française.
02:44Il n'épargnait pas ses invités avec, on va dire, des vannes souvent graveuses.
02:49Et ce week-end, sur France 2, il a fait part de ses regrets
02:52dans l'émission qu'à l'époque présentée par Léa Salamé.
02:54En l'audiur, je voyais une compilée de vannes
02:56qu'on faisait avec des petites chanteuses,
02:57ce qu'on appelait des proies faibles.
02:58Il y a des fois où...
02:59Vous appeliez ça des proies faibles ?
03:01Oui, oui, du gras à un mot.
03:02Les chanteuses avec Thierry, on n'était pas tendres.
03:05Et il y a des choses qui me font honte.
03:06Oui, c'est Lara Fabian qui a dit dans une interview
03:10elle a dit, quand j'allais chez Ardisson,
03:11ils faisaient un beau numéro de duétiste,
03:13Ardisson et Baffi.
03:14Elle avait raison, on avait un numéro de duétiste
03:16et on n'était pas très fins, parfois.
03:18Et puis c'était une autre époque, on se permettait des choses...
03:21Notamment avec les femmes ?
03:22Exactement, oui.
03:23Et aujourd'hui, ça ne passe plus, vous le regrettez ?
03:25Non, je trouve ça logique, c'est une suite logique
03:27et je trouve ça plutôt salutaire, je trouve ça bien.
03:30Voilà, c'était le reflet d'une époque où on n'était plus sexistes et machistes.
03:35C'est bien, il y a ravi.
03:36Mais non, il y a ravi.
03:37C'est nul ce qu'il fait.
03:39Et maintenant, il faut...
03:40On voit, c'est nul.
03:41Il faut s'arrêter oublier.
03:42On est politiquement correct.
03:43Évidemment, voilà.
03:44Parce qu'il n'existe plus.
03:45Les mal-alpha, calmez-vous deux minutes.
03:48Non, non, non.
03:48Non, non, non, non.
03:48Non, non, non, non, non.
03:49Non, non, non, non, non, non, non.
03:51Ça suffit, ça suffit.
03:51Ça ne suffit pas, moi, je pense que...
03:52Ça suffit, c'est géniflexion en permanence.
03:54Est-ce que je peux terminer ?
03:55Devant l'hôtel de la bien-pensance.
03:57C'est pas l'hôtel de la bien-pensance.
03:57C'était une autre époque, il a tout dit.
04:09Mais si, c'est ça le sujet.
04:10Et je peux terminer.
04:11Et même Bafib, il n'a plus de même pas.
04:13S'il veut continuer à travailler, il est obligé de vous aider.
04:15Est-ce qu'on peut terminer, là ?
04:15N'a pas un dominant des comptes en train de l'ouvrir.
04:19Évidemment, c'est une autre époque.
04:21De la même manière qu'on pourrait plus faire Bernard Pivot
04:24avec Bukowski complètement bourré,
04:26en train de fumer sur le plateau d'après-midi.
04:28Et bien, tant mieux.
04:29Et moi, j'ai envie.
04:31Ça ne me va pas regretter.
04:31Je suis d'accord de ne pas avoir à regretter.
04:33Je suis d'accord avec vous.
04:34Mais tant mieux qu'on ne puisse plus faire ça.
04:36Les mains aux fesses des filles en direct
04:39tant mieux.
04:40Mais vraiment, vive la nouvelle génération là-dessus.
04:43Et puis, messieurs, vous vous adapterez.
04:44Mais est-ce qu'il présente des excuses
04:47ou est-ce qu'il reconnaît que ce fut une autre époque ?
04:51Il est obligé de faire ça.
04:53Il ne travaillera plus sur le service public.
04:55Non, mais c'est bien.
04:56Je ne suis pas sûr que ça.
04:57C'est vrai.
04:59Globalement, en s'extrayant du cas du seul Laurent Bafi,
05:02c'est plutôt bien que les choses évoluent.
05:04Un homme qui ne sait pas mal que les choses évoluent.
05:06C'est bien.
05:06Mais ce méa culpa...
05:09Ah non, je suis d'accord sur le méa culpa,
05:11mais ce n'est pas trop ce qu'a fait ma fille.
05:13Bah si, si, si.
05:14On est d'accord qu'on ne pourrait plus maintenant
05:16avoir des mecs qui mettent des mains en fesses aux filles,
05:19et du coup, c'est qui se bourre la gueule,
05:21et gaffe pour des défilations.
05:22De la même façon, vous ne pourriez plus avoir droit de réponse
05:25où ça picole, ça fume.
05:27C'était génial.
05:28En direct, son plateau.
05:29Ok, c'était génial.
05:31Polak, c'était exceptionnel.
05:33J'aurais rêvé dans ma vie professionnelle
05:35de faire une émission comme celle de Polak.
05:38Eh bien, nous faisons ici fumant en studio,
05:40Jean-Jacques, je vous propose...
05:41Oui, alors là, je vais vous dire,
05:42ça va durer deux jours, hein.
05:43Picolant...
05:44Ça va durer deux jours, hein.
05:45Bon, merci.
05:46Bon, merci, 8h30.
05:488h30, nous sommes avec Philippe Juvin.
05:50Tiens, professeur de médecine,
05:51ne veut pas nous dire qu'il faut fumer, hein.
05:53Philippe Juvin, dans un instant,
05:55député, professeur
05:56et chef des services des urgences
05:59de Georges Pompidou.
06:00Il est 8h30.
06:02Laurie Leclerc,
06:03le rappel des titres de l'actualité.