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Avec Mathieu Descout, Co-fondateur d'EMETAM / Nathalie Couzigou-Suhas, Notaire à Paris et chargée d'enseignement à l'Ecole nationale de la magistrature / Laurent Permasse, directeur éco-transition chez SOFINCO.
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##PARLONS_IMMO-2025-04-05##

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News
Transcription
00:00Basile, votre application de recherche immobilière présente
00:04Sud Radio, parlons IMO, Sylvain Lévy-Valency
00:08Toujours dans la bonne humeur, comme chaque samedi sur Sud Radio jusqu'à 10 heures,
00:11on parle de votre logement avec le fondateur de Radio IMO, Sylvain Lévy-Valency, bonjour !
00:16Bonjour Jean-Marie et bonjour à tous !
00:18Bonjour à tous, beau au programme aujourd'hui !
00:20Au programme, on va parler peut-être d'une alternative à la crise du logement, Jean-Marie,
00:24voir comment on peut transformer des bureaux en logements.
00:27Il y a une masse incroyable de mètres carrés à transformer, on verra,
00:30avec un grand spécialiste qu'on va recevoir tout à l'heure sur le plateau,
00:34il s'appelle Mathieu Descoux, il est le patron des Métam.
00:36On va aussi parler des questions que nous ont posées nos auditeurs
00:39sur le répondeur de Sud Radio 0826-300-300 avec Bérénice Deville-Floriot, bonjour !
00:44Bonjour Jean-Marie, on va parler de la condition suspensive pour un prêt immobilier.
00:49Très important ! Grégoire Darico va nous parler du chantier du siècle, bonjour à vous !
00:54Bonjour Jean-Marie, bonjour à tous !
00:55Au programme de la semaine, le photovoltaïque, Jean-Marie, l'État l'a décidé,
00:58les aides seront moins importantes et le rachat de l'électricité par EDF sera moins intéressant,
01:02mais on verra avec Laurent Permas pourquoi ce n'est pas une mauvaise nouvelle.
01:05Et puis on fera le tour de France, des biens coups de cœur, on ira à Chartres,
01:08et puis en fait, pas en France, mais au Japon.
01:10Au Japon, pourquoi pas ? Mais la Beauce, c'est beau aussi, sachez-le !
01:12Quoi qu'il en soit, on commence par des infos de la semaine à retenir
01:14avec Bérénice Deville-Floriot et Sylvain Lévy-Valency.
01:18On va commencer le programme des news cette semaine, qu'est-ce qui nous attend ?
01:21On a pas mal d'infos quand même.
01:23Au programme, qui sont ces Français multipropriétaires ?
01:26Peut-on perdre un terrain hérité de sa mamie ?
01:29Et attention, encore trop de personnes se font arnaquer avec des panneaux solaires jamais installés,
01:34par exemple, je vous parle de la technique des malfaiteurs.
01:37On commence avec le profil des Français qu'on appelle les multipropriétaires.
01:42Oui, qui sont-ils ? Quels sont leurs secrets ?
01:45Rentiers ou épargnants ?
01:48Jean-Marie, dites-nous tout.
01:50L'INSEE vient de publier une étude à l'étauver cette semaine.
01:5327,6 millions de Français sont propriétaires,
01:56seuls ou en commun, de 29,2 millions de logements.
02:00Donc forcément, il y a des multipropriétaires.
02:02Il y a 10 millions de Français qui possèdent au moins deux logements.
02:05C'est ce qu'on appelle des multipropriétaires.
02:07Mais attention au cliché, la majorité d'entre eux, 6 sur 10, n'en ont que deux.
02:11Donc leur résidence principale, leur logement,
02:14et un petit appartement à côté, à louer, ou une petite maison à la mer.
02:18En gros, les gros investisseurs, c'est une minorité.
02:22Seulement 3% des multipropriétaires possèdent les fameux 10 logements ou plus.
02:27Vous savez, ceux qu'on voit avec des cigares, etc.
02:30Ils ne sont que 3%, et ce sont eux, bien sûr, qui tirent le plus leur épingle du jeu.
02:34Leur niveau de vie médian dépasse les 41 000 euros par an,
02:37contre 28 900 pour ceux qui n'en ont que deux.
02:40Vous êtes en train de nous dire que les multipropriétaires, c'est des riches, en quelque sorte ?
02:43Si on prend les normes des revenus médians, effectivement, on peut les qualifier comme telles.
02:49Mais c'est qui exactement ces multipropriétaires ?
02:52En règle générale, d'après l'INSEE, l'accession à la propriété se fait au fil du temps.
02:56Donc c'est plutôt des gens autour de 60 ans.
02:58C'est à cet âge-là qu'on cumule le plus.
03:00Près d'un tiers des 55-65 ans sont multipropriétaires.
03:03Et autre chiffre intéressant, les femmes représentent 49% des multipropriétaires,
03:08mais seulement 40% de ceux qui détiennent 10 logements ou plus.
03:12Donc il y a un peu plus d'hommes.
03:14Et côté géographie, plus on descend dans le sud, plus la multipropriété augmente.
03:19A Paris, en Corse, en Haute-Savoie,
03:21plus de 8 logements sur 10 sont détenus par au moins un multipropriétaire.
03:25Alors c'est lié à l'épargne ?
03:27On se constitue comment ?
03:28Tout à fait.
03:29C'est de l'endettement qui arrive ?
03:30C'est plutôt de l'épargne accumulée au fil du temps.
03:32Alors on va parler aussi, c'est vrai c'est incroyable, un héritage oublié ?
03:37Oui, c'est une info qu'on ne vous donne pas souvent, mais elle peut vous coûter très cher.
03:40Si personne ne réclame un terrain hérité pendant 30 ans,
03:43sachez qu'il devient propriété de la commune.
03:46C'est ce qui est arrivé récemment.
03:48Une femme est décédée, une vieille dame, en 1986.
03:52Elle possédait 3 terrains.
03:54En 2016, personne ne s'est manifesté,
03:56donc la commune les a récupérés au titre de bien 100 mètres.
04:01Et les descendants se sont manifestés.
04:04Ils se réveillent en 2020, 4 ans après.
04:06Trop tard.
04:07Et même si l'un d'entre eux a payé la taxe foncière,
04:10ça n'a pas suffi à prouver la succession.
04:13La cour de cassation a statué.
04:15Donc si vous avez un terrain de famille quelque part,
04:17ne le laissez pas traîner, ne laissez pas traîner la succession.
04:20Au bout de 30 ans, il revient dans le domaine public.
04:22Bien 100 mètres, ce n'est pas avec un E, mais c'est un A.
04:26Un bien 100 mètres, sans maîtrise, vous avez raison.
04:29Ce n'est pas 100 mètres carrés.
04:30C'est mis plein les poches.
04:32On est d'accord.
04:33On va terminer avec les arnaques au panneau solaire,
04:36qui sont encore malheureusement,
04:38on en parle souvent avec Laurent Permas, trop nombreuses.
04:40Et là, c'est l'UFC Que Choisir qui a alerté cette semaine,
04:43qui dénonce les pratiques abusives du démarchage à domicile
04:46avec un chiffre choc.
04:47Près de 1000 litiges depuis 2018,
04:5020 millions d'euros de préjudice estimé,
04:52et une moyenne de 20 000 euros par dossier.
04:54Et ça, c'est que pour les litiges traités par les associations UFC Que Choisir.
04:58Justement, Bérénice, c'est quoi ces techniques de malfaiteurs ?
05:00C'est redoutable, mais simple.
05:02On sonne chez vous.
05:03Quelqu'un se fait passer pour un opérateur public, souvent.
05:06On vous parle de primes, de rénovation en euros.
05:09Et hop, vous signez un contrat dans la journée.
05:11Parfois même un crédit pour des travaux qui ne seront jamais faits.
05:14Récemment, il y a un particulier qui a dépensé 60 000 euros
05:17pour des panneaux solaires qui n'ont jamais été installés.
05:19Et ça arrive tous les jours, alerte l'UFC,
05:22notamment chez les personnes âgées.
05:23Il faut retenir une chose.
05:25Si jamais on vous demande de signer tout de suite,
05:27fuyez, faites-les partir chez vous.
05:29Déjà, n'ouvrez pas la porte à ces inconnus.
05:31Et puis, il faut savoir que l'UFC demande maintenant
05:33l'interdiction totale du démarchage à domicile dans ce secteur.
05:37Donc, pour tous les conseils, écoutez Laurent Pervas
05:39chez nous chaque samedi.
05:41Et heureusement qu'il est là.
05:42Il ne sonnera pas chez vous.
05:46Merci à vous, Bérénice de Villeflorio.
05:48Allez rester avec nous, Sylvain Lévy-Valency.
05:49Une solution à la crise du logement ?
05:51Oui, c'est vraiment, vraiment.
05:52Il y a plusieurs millions, dizaines de millions de mètres carrés
05:54qu'on peut réadapter pour en faire du logement.
05:56C'est les bureaux vides.
05:57Mais je vous vois vous transformer en porte-parole du droit au logement,
06:00mon cher Sylvain Lévy-Valency, qui l'eût cru.
06:02Vous allez nous raconter ça dans un instant avec votre invité.
06:04A tout de suite.
06:13Avec Sylvain Lévy-Valency et son invité.
06:15Oui, merci Jean-Marie.
06:17Bonjour Mathieu Descoux.
06:18Bonjour à tous.
06:19Merci d'être avec nous.
06:20Il y a quelques mois, vous vous associez avec la société Emmerich
06:24pour lancer une toute nouvelle entreprise qui s'appelle Emmetam
06:28avec une idée en tête, travailler la transformation de bureaux en logements.
06:32Alors, transformer les bureaux en logements est souvent présenté comme une solution,
06:36une bonne alternative, une très bonne alternative à la crise du logement.
06:39Ça a été démontré.
06:41Pourquoi, en quelques mots ?
06:42Pourquoi ? Parce que le foncier est rare.
06:45Parce qu'il y a une crise majeure dans le bureau et une pénurie de logements.
06:49Si on reprend quelques chiffres, pour ne pas nouer vos auditeurs dans les chiffres,
06:53mais rien qu'en Ile-de-France, c'est 5,6 millions de mètres carrés de bureaux
06:57qui sont vides, avec une perspective que ces mètres carrés aillent jusqu'à 10 millions.
07:02Et à côté de ça, vous avez une pénurie très forte du logement.
07:07On a, et je ne sais pas si vos auditeurs se rendent compte,
07:11mais il faut remonter à 1954 pour comparer les chiffres des permis de construire
07:17qui ont été acceptés pour créer du logement.
07:21Les permis de construire, c'est le logement de demain.
07:24Donc vous avez une suroffre de bureaux, une pénurie de logements.
07:28Vous rajoutez à ça tout ce qui est loisannes, qui empêche l'étalement du territoire.
07:32Donc loisannes, c'est zéro.
07:33Zéro artificialisation nette.
07:35C'est-à-dire qu'on ne peut plus construire un élément et s'étaler malgré la démographie de notre pays.
07:40Exactement. Il faut faire la ville sur la ville.
07:43Les bureaux n'ont plus de preneurs,
07:45donc les bureaux deviennent une source de foncier nécessaire pour le redéveloppement.
07:50Alors, on voit que c'est une très bonne alternative.
07:52C'est vrai, on l'a vu, nous, chez Radio-Imo, également, sur des opérations très concrètes.
07:57On avait reçu ici, sur le plateau, Blaise Heurteux, la place de l'immobilier,
08:03qui avait estimé d'ailleurs la détention en volume de mètre carré à 173 millions de mètres carrés
08:07et qui avait fait une estimation France, donc tout territoire compondu.
08:12On est sur des chiffres absolument vertigineux.
08:15Franchement, la première chose qu'on se dit, on se dit mais voilà la solution.
08:18Le bâti est déjà bâti.
08:20On a des immeubles obsolètes, c'est-à-dire qui n'ont plus du tout de destination,
08:23qui ne sont plus louables dans toutes les villes de France.
08:25Pourquoi c'est si long à mettre en place ?
08:28C'est long parce qu'il y a plusieurs leviers à ça.
08:33Il y a le levier économique, l'acceptation politique qui est souvent difficile.
08:38Un immeuble de bureau, le maire, quand on le transforme en autre chose,
08:42un immeuble de bureau, c'est l'attractivité de sa commune.
08:44Donc le voir disparaître et transformer, ça peut être un problème.
08:48Le maire peut s'opposer au fait de transformer l'immeuble qui est vide,
08:51qui ne sera pas loué parce qu'il n'est plus adapté, à des logements.
08:54Il peut s'y opposer ?
08:55Il peut s'y opposer, il est maître de ses permis de construction,
09:00il est maître de son PLU avec le territoire,
09:03mais de plus en plus, il est lui le guichet unique des gens qui demandent des logements.
09:07Donc petit à petit, l'acceptation politique est en train de se mettre en place.
09:11Après, vous avez le volet économique.
09:14Les propriétaires actuels des bureaux ne se laissent pas faire.
09:18Ils considèrent que même si ces bureaux n'ont pas beaucoup de valeur,
09:21les expertises de ces dits bureaux constituent un manque à gagner, une perte.
09:27Il faut accepter de réaliser une perte.
09:29Même si c'est vide ?
09:30Même si c'est vide.
09:31Même si c'est insuffisamment loué ?
09:32Exactement.
09:33Aujourd'hui, il y a une décorrélation des valeurs d'expertise
09:37entre le bureau vide qui existe et la vraie valeur marchande pour cette transformation.
09:42La rentabilité est un sujet important.
09:45L'un de vos collègues, confrères, nous a dit que le problème, c'est qu'à la sortie,
09:51ça coûte plus cher que si on construisait ex nihilo.
09:54C'est-à-dire qu'à partir de rien, à partir d'un terrain,
09:56si on construit, ça coûte moins cher que si on réadapte ou on rénove.
10:01C'est vrai ?
10:02Oui, c'est vrai, mais je pense qu'il y a un débat sémantique
10:04sur qu'est-ce qu'est de la transformation de bureau en logement.
10:07Il ne faut pas voir le bureau comme tel.
10:09Il faut le voir comme de la charge foncière et une capacité constructible.
10:12Évidemment, quand on peut le faire, certains bureaux se prêtent à de la transformation en l'état.
10:18Les tailles, les épaisseurs de bâtiments font qu'on peut avoir un usage en logement très évident.
10:25D'autres ont été conçus pour être des bureaux.
10:28On ne concevait pas la réversibilité à cette époque-là.
10:31Les bureaux sont très larges, donc il y a une perte de surface évidente
10:36et le coût de la transformation est entre 15 et 20% plus cher que de la démolition reconstruction.
10:42Donc, aujourd'hui, on n'est pas du tout à l'échelle encore ?
10:45Aujourd'hui, on n'est pas encore à l'échelle, mais tout dépend de la valeur d'entrée,
10:50à combien on achète ces bureaux.
10:51Mathieu Descoux, qu'est-ce qui ferait que justement on puisse gommer le fait que ça coûte plus cher ?
10:55Est-ce que si on massifie, c'est-à-dire qu'il y a un mouvement de fonds de récupération ?
11:01Moi, je les vois, ces immeubles qui sont vides, ça fait mal au cœur.
11:04Quand on sait que les Français sont mal logés, est-ce qu'on peut arriver à cela ou pas ?
11:08Ou est-ce que c'est un peu pieux ?
11:09On va arriver à ça, parce que cette polarisation du bureau,
11:13c'est-à-dire ces bureaux qui ne trouvent pas de preneurs,
11:15donc qui seront vides indéfiniment et donc qui coûtent cher,
11:19vont être vendus à un bon prix, première condition.
11:22Les maires n'acceptent pas de voir des bureaux vides avec des panneaux à allouer,
11:27on a un problème d'attractivité, donc ils vont autoriser cette transformation.
11:31Et le législateur a mis à notre disposition notamment un très bon article
11:37qui s'appelle l'article L252.6, qui en fait regroupe les lois Allure et Élan,
11:43et qui permet de démolir et reconstruire dans le volume existant des bâtiments,
11:47au-delà du plan local d'urbanisme, donc de travailler dans le volume de l'existant,
11:52avec une surconstructibilité de 30%.
11:55Alors justement, c'est bien ce qu'a prévu effectivement dans le texte
11:59la ministre du Logement, Valérie Léthard, qui a placé cette transformation d'ailleurs,
12:02vous le savez, dans son plan d'action pour encourager ces types d'opérations,
12:06notamment avec la loi Dobie qui accélère énormément.
12:10Donc c'est exonération de la taxe sur les bureaux pour les propriétaires
12:13qui déposent un permis de construire en vue de cette reconversion.
12:16Donc là, quand on a un bâtiment un peu vide, ça a quand même du sens.
12:20La création d'une taxe d'aménagement spécifique que pourront percevoir les élus locaux,
12:24donc du coup vous leur proposez d'avoir une charge fiscale qui leur permet d'avoir un relais.
12:29Bonus de constructibilité que les élus locaux peuvent offrir,
12:32qui peuvent aller jusqu'à 30% de la production de bureaux en logement sur un site.
12:36Assouplissement des règles d'urbanisme.
12:38Création d'un permis de construire à destination multiple.
12:40Ça a été le cas pour les JO par exemple.
12:42Tout ça s'est acté.
12:44Tout ça s'est acté et tout ça va dans le très bon sens de l'objectif
12:48qui est justement la massification de ces transformations.
12:51On aide l'élu à accepter.
12:55On l'aide avec des recettes fiscales qui permettent de financer les équipements.
12:59On aide, on gomme ce surcoût par ce fameux L252.6
13:03et donc ces 30% de constructibilité en plus.
13:06Et finalement, tout le monde s'y retrouve
13:10et donc on va aller vers cette démocratisation de ce qui est aujourd'hui une niche.
13:14Alors, vous les connaissez, 2,5 millions de foyers aujourd'hui sont en attente de logement.
13:18Ils vivent dans des situations extrêmement compliquées.
13:20On peut même dire de grandes précarités.
13:22Il y a 4,5 millions de foyers qui sont dans des situations, j'allais dire relatives précarités
13:27de logement, notamment l'insuffisance de l'espace pour les enfants ou de chambres.
13:32On a un vrai sujet et vous aviez tout à l'heure dit
13:36qu'on est les mêmes autorisations du rémédice que dans les années 50, c'est vrai.
13:39Sauf qu'il y a 25 millions d'habitants supplémentaires et qu'il faudra bien les loger.
13:43Est-ce que justement compte tenu de ces perspectives,
13:46vous venez de créer METAM avec un acteur majeur qui s'appelle Emmerich.
13:49Est-ce qu'aujourd'hui on peut dire que METAM part sur une lancée, on va dire,
13:54plutôt positive et constructive ? Vous avez déjà des opérations en cours ?
13:57Oui, alors nous on existe depuis 6 mois.
13:59On a déjà signé 3 opérations.
14:02On va fabriquer pour plus de 400 logements sur ces opérations.
14:06Déjà ? Ah oui, c'est étonnant.
14:07Donc ça marche évidemment, il faut le temps des autorisations administratives.
14:10En Ile-de-France ?
14:11En Ile-de-France et sur la Côte d'Azur.
14:14Puisque là où ça marche, la transformation de bureau en logement dans les zones tendues,
14:18là où ce besoin de logement est nécessaire.
14:21Alors justement, question, quand on parlait du prix de sortie,
14:26on parlait de ce qu'on appelle quand vous financez le logement,
14:29est-ce que justement vous adaptez éventuellement le logement sur du LLI,
14:34vous savez le logement à loyer intermédiaire,
14:37est-ce que vous utilisez tous ces dispositifs pour permettre aux personnes de mieux se loger ?
14:41Bien sûr, quand on conçoit un projet de logement,
14:45il doit être adapté aux besoins, et ça va du logement social et des classiques
14:50au logement intermédiaire qui est aujourd'hui un vrai relais
14:54et a été très accepté par les villes et correspond à un vrai besoin de la population,
14:58au logement libre, en prenant en compte le marché actuel,
15:02donc on n'est pas dans la surenchère de futures offres,
15:06et voilà à peu près, et aussi en passant par le logement étudiant,
15:10parce qu'il ne faut pas oublier tout ce qui est logement géré,
15:12est-ce que les étudiants aussi souffrent du mal logement dans les zones tendues ?
15:15A suivre, METAM, merci Mathieu Descoux, je rappelle que vous en êtes le président,
15:19avec beaucoup d'hylampres, pour trouver d'ailleurs METAM sur internet,
15:23si vous voulez avoir plus d'informations, merci à vous.
15:26Merci à vous, et bravo surtout, c'est une sacrée panoplie d'offres de services.
15:30Merci à vous aussi, Valérie Valancier, restez avec nous,
15:33on se retrouve dans un instant, le répondeur de Sud Radio avec une question qui porte sur...
15:36La condition suspensive d'absomption du prêt.
15:39On en parle dans un instant.
15:41Basile, votre application de recherche immobilière présente...
15:45Sud Radio, parlons immo, Sylvain Lévy-Valancier.
15:49On parle de votre logement sur Sud Radio jusqu'à 10h,
15:52et on répond aux questions que vous nous avez posées au 0826 300 300.
15:55Avec la Massif, économiser en changeant d'assurance de prêt immobilier,
15:59condition sur Massif.fr, la Massif présente...
16:02Sud Radio, parlons immo, ça vous concerne.
16:05Beaucoup de questions en effet sur le répondeur de Sud Radio cette semaine,
16:08Bérénice Deville-Floriot.
16:10Et oui, Aurélie de Besançon dans le Doubs nous a posé une question.
16:14Elle nous a demandé, quand on achète un bien,
16:16on entend souvent parler de la condition suspensive de prêt immobilier.
16:20Concrètement, qu'est-ce que ça veut dire ?
16:22Parce qu'elle compte acheter.
16:24Et si jamais on n'obtient pas le prêt,
16:26que se passe-t-il ? Est-ce qu'on perd tout ?
16:28Est-ce que la vente tombe à l'eau ?
16:30Pour y répondre, on accueille notre experte,
16:32Nathalie Cousigou-Suas, qui est notaire,
16:35et donc qui connaît bien les conditions suspensives de prêt.
16:38Bonjour maître.
16:39Bonjour à tous, bonjour Bérénice et Sylvain.
16:42Ravie de vous recevoir.
16:44Alors justement, c'est vrai que la condition suspensive de prêt,
16:48vous la voyez très régulièrement.
16:50Comment ça se passe ?
16:51Il faut signer un compromis de vente, c'est ça ?
16:53Bien sûr. Ce qu'il faut comprendre,
16:55c'est que lorsqu'on signe une promesse de vente,
16:57l'acheteur, le bénéficiaire de la promesse,
17:00va verser généralement 5%,
17:02ce qu'on appelle le prix de l'immobilisation.
17:045% du prix.
17:06Du prix du bien.
17:07Donc il immobilise le bien, donc il verse 5%.
17:10Mais la réalisation de la vente, elle est conclue
17:13sous la condition que l'acheteur obtienne son prêt.
17:16C'est-à-dire que si Aurélie ne prenait pas son prêt,
17:19elle serait dégagée de tout engagement,
17:22elle ne perdrait rien.
17:24D'accord.
17:25Donc si par exemple sur un bien à 200.000,
17:27pour qu'on s'illustre bien, 5% c'est 10.000 euros,
17:30donc il y a 10.000 euros qui sont immobilisés chez vous,
17:33chez le notaire.
17:34Exactement.
17:35Sur la case des dépôts et consignations.
17:38Et le sort de ces 10.000 euros, quel est-il ?
17:41Soit Aurélie obtient son prêt, tout va bien.
17:43Ces 10.000 euros vont venir en déduction
17:45de ce qu'elle va devoir verser le jour de la réalisation de la vente.
17:48Du coup, ce n'est qu'une avance qu'Aurélie aura faite.
17:51En revanche, si Aurélie n'obtient pas son prêt
17:54dans les délais requis qu'on lui a donnés,
17:56dans ce cas-là, on lui restitue ces 10.000 euros
17:59et tout le monde aura perdu le temps
18:01qu'Aurélie n'obtienne pas son prêt.
18:04Et souvent les vendeurs ne sont pas contents.
18:06Le droit la protège.
18:08Les vendeurs, dans ces cas-là, ne sont pas très contents.
18:10Est-ce qu'on peut faire sans cette condition suspensive ?
18:13Alors bien sûr qu'on peut faire sans,
18:15mais c'est très dangereux, bien sûr.
18:17Et puis si en plus l'acquéreur arrive à démontrer
18:20qu'on lui a forcé la main,
18:21elle pourra toujours la faire prévaloir.
18:23Donc il faut vraiment,
18:24ce que je conseille à nos clients acheteurs,
18:27c'est d'aller le faire avant d'aller voir son banquier
18:30pour voir quelles sont les capacités d'emprunt.
18:32Il n'aura pas une offre de prêt.
18:33Il le fera qu'au vu d'une promesse.
18:35Mais d'aller voir son banquier
18:37pour voir ses capacités d'emprunt,
18:39et ensuite s'engager avec une promesse
18:41qui comprend ses conditions d'obtention de prêt.
18:44D'accord. Et juste en termes de délai,
18:46en général, l'acquéreur a combien de temps
18:49pour obtenir un prêt ?
18:51Alors, la loi, elle donne un délai minimum
18:54de 30 jours.
18:55Mais souvent, les notaires étant gens prudents,
18:58donnent environ 2 mois, 45 à 60 jours
19:01parce que les banques en ce moment
19:02ont beaucoup de dossiers,
19:03et du coup, ça prend beaucoup plus que 30 jours.
19:06Mais du coup, il faut que,
19:07quand on est bénéficiaire comme ça
19:09d'une promesse de vente
19:10avec une condition suspensible,
19:12il faut bien indiquer le montant dont on a besoin,
19:15le taux auquel on compte pouvoir acquérir,
19:20le délai, et vraiment faire tout très vite
19:23parce que vraiment,
19:24le délai de 2 mois, ça semble très long,
19:26mais en fait, c'est très court
19:27pour obtenir son prêt.
19:28Et si vous ne l'obtenez pas, ce prêt,
19:30eh bien, votre vendeur, il va pouvoir dire
19:32« Prouvez-moi que vous avez fait les délais dans les temps. »
19:35Donc, généralement, on vous oblige à prouver
19:37que vous avez déposé vos dossiers
19:39dans les 10 jours de la signature de la promesse.
19:42Eh bien, merci beaucoup, maître.
19:43Et je rappelle qu'une promesse de vente
19:45se signe chez le notaire
19:46parce qu'on avait eu aussi des questions là-dessus.
19:48Merci beaucoup, maître.
19:49Merci. Bonjour à tous. Au revoir.
20:01Et vous aussi, vous laissez vos messages
20:04au 0826 300 300.
20:06On y répond avec nos spécialistes
20:07tout de suite, le chantier du siècle.
20:20Avec Grégoire Tarrico.
20:21Bonjour, Laurent Permas.
20:22Bonjour, Grégoire.
20:23Merci beaucoup de nous accompagner.
20:24Laurent, cette semaine, on va parler
20:25de la baisse des aides pour le solaire.
20:27Une baisse qui a été confirmée.
20:29Alors, on parle d'une prime à l'installation
20:31qui a été divisée par deux,
20:32d'un tarif rachat divisé par trois.
20:35En fait, on voit passer beaucoup d'infos,
20:37mais ce n'est pas tant que ça une mauvaise nouvelle.
20:39J'aimerais qu'on en parle en détail avec vous.
20:41On va essayer de l'éclaircir, en effet,
20:43et rentrer dans le détail.
20:44Alors, le solaire, c'est une histoire d'amour
20:46pour les Français.
20:47Vous avez notamment, pour l'énergie renouvelable,
20:50plus d'un million d'installations en 2024,
20:53plus 13 % par rapport à 2023.
20:55Donc, on voit qu'il y a un engouement fort.
20:57Et, en effet, le 28 mars 2025,
21:00un décret est sorti, le S21,
21:03pour être plus technique, c'est le fameux coupable.
21:05Et donc, il va modifier, en effet, la prime
21:07versée un an après l'installation
21:09de panneaux solaires pour les Français.
21:11Et puis, il modifie aussi le prix
21:13de rachat de la surproduction
21:15par ODF, c'est votre fameuse revente.
21:17Donc, c'est une évolution réglementaire,
21:19mais on va voir un peu plus en détail.
21:21Exactement. Rentrons dans les détails
21:22de ces changements, Laurent, s'il vous plaît.
21:23Alors, c'est une baisse de la prime d'installation.
21:25En fait, elle a été divisée par deux.
21:27Elle passe de 80 euros
21:29par kilowatt crête.
21:31C'est l'unité de mesure, en fait,
21:33photovoltaïque. On pourra y revenir.
21:35Et donc, la baisse du tarif de rachat par ODF,
21:37elle est divisée par trois. Elle passe de
21:3912 centimes d'euros
21:41par kilowatt crête à 4 centimes.
21:43Et ces deux baisses
21:45concernent notamment les installations
21:47de moins de 100 kilowatts crête.
21:49Et puis, pour les projets
21:51de taille plus grande, ça c'est plutôt une bonne nouvelle,
21:53le tarif à la revente est stabilisé.
21:55Sa hausse dépendra un petit peu
21:57de l'évolution, notamment de la
21:59future loi de finances.
22:01Vous nous annoncez une baisse des aides. Est-ce qu'elle sera
22:03compensée ? C'est ça la bonne
22:05nouvelle, en fait, oui.
22:07Elle sera compensée par une diminution de la TVA.
22:09Elle passe de 20% à 5,5%,
22:11notamment à partir
22:13du 1er octobre.
22:15Pour les ménages qui avaient demandé leur accordement
22:17avant le 27 mars, avant ce décret,
22:19les anciennes conditions
22:21seront appliquées. Attention,
22:23par contre, c'est pas le devis qui fait foi,
22:25c'est le raccordement, c'est la demande
22:27du raccordement.
22:29Et puis, bien évidemment, les panneaux
22:31photovoltaïques bénéficient d'aides,
22:33notamment hybrides. On y reviendra
22:35là aussi, c'est des systèmes solaires
22:37combinés, c'est-à-dire que c'est à la fois
22:39l'utilisation de l'énergie
22:41du soleil, mais aussi
22:43le chauffage, c'est de pouvoir produire
22:45en fait l'eau chaude,
22:47qui consomme énormément d'électricité.
22:49Alors Laurent, j'entends tout ce que vous nous dites,
22:51mais quand même, on est en période de crise,
22:53qu'est-ce qui motive cette décision de l'État ?
22:55En fait, c'est
22:57tout simplement l'auto-consommation.
22:59C'est-à-dire que l'État a voulu justement
23:01valoriser les énergies
23:03rénovables, et notamment le photovoltaïque,
23:05au travers de l'auto-consommation,
23:07et moins mettre les Français dans cette
23:09stratégie de faire un peu d'argent et de revendre.
23:11Et on va voir en fait que l'impact est très
23:13important, puisque lorsqu'on parle d'auto-consommation,
23:15avec le photovoltaïque hybride,
23:17qui intègre aussi le chauffage,
23:19vous pouvez aller jusqu'à
23:2170% de votre
23:23production d'électricité,
23:25et si on rajoute des batteries,
23:27c'est 100%. Donc on voit un impact quand même
23:29très fort de prise en charge
23:31et de diminution de la facture d'électricité.
23:33C'est très important pour notre facture
23:35notamment, donc au final, c'est une bonne décision.
23:37Au final, c'est une bonne
23:39décision. L'État souhaite
23:41subventionner, encourager l'auto-consommation,
23:43l'impact de TVA de 5,5
23:45est très fort. On passe notamment
23:47sur un chantier moyen entre
23:4914 000 et 16 000 euros de photovoltaïque.
23:51On va passer d'une facture
23:53de TVA à 3 000 euros,
23:55à 800 euros, c'est un peu plus de 2 000 euros
23:57d'économie. Donc on voit que
23:59le fameux point d'amortissement
24:01pour pouvoir bénéficier
24:03d'une facture
24:05qui est moindre, si on utilise en plus
24:07le photovoltaïque hybride,
24:09et les batteries, on est quand même dans un impact
24:11très fort. Et n'oublions pas qu'il y a des aides
24:13de MaPrimeRénov' pour le photovoltaïque
24:15hybride. Vous avez aussi le
24:17PréAutoZéro. Et bien évidemment,
24:19rapprochez-vous de FranceRénov'.
24:21L'éco-pré.
24:23L'éco-pré, merci beaucoup pour cet éclairage.
24:25Sans mauvais jeu de mots. Laurent Permas
24:27et Gary Ward.
24:29Sud Radio, parlons
24:31éco-rénovation. Avec Sofinko.
24:33Lancez vos travaux d'éco-rénovation
24:35pour baisser votre consommation d'énergie.
24:37Bon, mais tout de suite, on prend notre voiture
24:39hybride et on fait le tour de France. Coup de cœur.
24:41Et oui, je vous propose
24:43qu'on aille visiter Chartres, mon cher Jean-Marie.
24:45Oui, on va dans la préfecture
24:47d'Eure-et-Loire. Je vous ai trouvé une charmante maison
24:49de plein pied, une maison de 90m2
24:51idéale pour une famille puisqu'elle comprend
24:534 chambres. Elle est très bien entretenue, notre maison
24:55en bon état. Elle se compose d'une
24:57véranda, d'une entrée, d'un double
24:59salon séjour, d'une cuisine indépendante,
25:01de 4 chambres et d'une salle d'eau
25:03récemment rénovée. A l'extérieur,
25:05vous aimez bien ce terme, salle d'eau,
25:07Jean-Marie, je le sais. Je sais que vous êtes quelqu'un
25:09de pudique. A l'extérieur,
25:11une cour. A l'avant, un agréable
25:13jardin à l'arrière. Le tout sur une parcelle
25:15de 575m2.
25:17Et en plus de tout cela, une cave et un garage.
25:19Bref, une maison qui en plus nous présente
25:21un diagnostic de performance énergétique
25:23de D. Une belle opportunité au tarif
25:25de 179.900€ par
25:27l'agence La Forêt. Et on peut le
25:29financer avec un taux de 3,5%.
25:31Il vous en coûtera
25:33environ 760€
25:35par mois pour 35.000€.
25:37Si je vous dis, mon cher
25:39Jean-Marie, le pays du soleil, le vent, vous me répondez
25:41le Japon. Bien sûr, direction
25:43le Japon. Alors, je vous avais parlé des maisons
25:45imprimées. Je vous avais parlé de l'éolienne recyclée
25:47en logement. Je vous avais parlé des
25:49paille-ourtes, un concept que Jean-Marie avait
25:51adoré. Laissez-moi vous parler cette
25:53semaine de Tiny House, lancé par
25:55IKEA au Japon. Une Tiny House
25:57à 1€ pour répondre à la crise du logement
25:59qui s'est finalement tout à fait
26:01une mini-maison. Alors, ce sont des
26:03maisons de 10m2 dans lesquelles
26:05chaque recoin est exploité avec
26:07soin. Chaque meuble est pensé pour
26:09optimiser la vie quotidienne
26:11en milieu urbain, mon cher Jean-Marie. Vous avez fait le tour du monde
26:13pour retrouver des chambres de bain, c'est ça ? Tout à fait.
26:15Parce que c'est le même sur place. Bien aménagées.
26:17Bien aménagées. Alors, parce qu'elles sont déjà
26:19sur un étage, vous avez au rez-de-chaussée une cuisine
26:21ingénieusement agencée,
26:23un coin salon modulable et
26:25une salle de bain fonctionnelle. À l'étage,
26:27une chambre en mezzanine. Tout est fonctionnel.
26:29Tout est transformable. Attendez, attendez.
26:3110m2, mais sur deux étages. Oui, en duplex.
26:33C'est un duplex. Tout est transformable
26:35en fonction de vos besoins pendant votre journée.
26:37Un tel concept qui existe déjà d'ailleurs,
26:39mais encore une ingénieuse manière de résoudre
26:41les nombreuses problématiques.
26:43Je bois l'incrédulité.
26:45D'abord, j'ai beaucoup de respect
26:47pour le génie japonais en matière d'architecture.
26:49Ce sont des rectangles avec un empattement au sol très faible
26:51sur absolument un étage.
26:53Avec un étage ?
26:55D'accord, où est-ce que vous logez la douche, les toilettes,
26:57le lit, tous les salons ?
26:59C'est bien fait, il y en a même en France pour les femmes victimes
27:01de violences conjugales.
27:03L'avantage, c'est que vous pouvez la transporter
27:05et la déplacer sans aucun problème,
27:07sans autorisation. Pour la mettre dans une autre pièce
27:09de votre vraie maison.
27:11Ça s'appelle un déménagement.
27:13Merci à tous les 4
27:15d'être intervenus ce matin
27:17sur Sud Radio. On vous retrouve
27:19mardi prochain à midi
27:21sur Radio Imo
27:23où cette émission sera rediffusée.
27:25D'ici là, Sud Radio Parlons Imo
27:27est à réécouter en podcast sur Sud Radio.
27:29Également, le 9 avril à 19h
27:31avec notre amie Cécile Dominibus
27:33dans les vraies voix de 19h à 20h
27:35au Musée d'Art Contemporain à Bordeaux.
27:37Le 9 avril, c'est-à-dire ?
27:39Le mardi prochain.
27:41On va y arriver !
27:43On verra s'il a pris le bon billet de train
27:45ou s'il s'est trompé. En tout cas, vous l'entendrez
27:47à 19h sur Sud Radio, mercredi prochain
27:49avec Cécile Dominibus
27:51qu'on embrasse très fort, évidemment.
27:53Allez, bonne journée à vous et puis à très bientôt
27:55sur Sud Radio.
27:59Sylvain Lévy-Valancy.
28:01Avec Basile, votre application de recherche immobilière.

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