En direct du Salon de la Franchise à Paris, Porte de Versailles. Émission spécial franchise.
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##LA_VIE_EN_MIEUX-2025-03-16##
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00:00On a retrouvé Catherine Bully, tout simplement.
00:02On est toujours avec vous. Comment ça va ? On est en direct.
00:05En direct, toujours, de la Porte de Versailles à Paris, Franchise Expo Paris.
00:09On parle toujours de ces services en franchise, franchisés, franchiseurs.
00:13À votre service, en fait, du premier au troisième âge.
00:15Absolument. Si vous êtes non loin de la Porte de Versailles, venez nous voir.
00:19Et selon une enquête menée par Opinion One, mon cher Jean-Marie,
00:22est-ce que vous faites partie des deux salariés sur trois qui ont envie de se réorienter professionnellement ?
00:28Je ne peux pas dire ça parce que, honnêtement, j'ai ma DRH en face et mon patron en face.
00:31Donc, ce n'est pas le moment. Mais je vous le dirai à l'oreille plus tard.
00:34D'accord. Et bien, figurez-vous que plus de 30 % des actifs aimeraient devenir leur propre patron.
00:39Et si vous souhaitez, si vous êtes dans cette tendance, n'hésitez pas à venir voir tous ces franchiseurs.
00:46Et notamment dans les services, un secteur qui est en pleine expansion, top 1 des secteurs de franchise.
00:52Les services en particulier regroupent de nombreuses activités.
00:55Nous, on va parler de quoi, Jean-Marie ?
00:57On va parler de la petite enfance, toujours avec vous.
00:59Absolument. On va parler de micro-crèches, de garde à domicile, de cours de langue.
01:03Et en deuxième partie, nous pensons aussi à nos aînés.
01:06Nous parlerons de l'aide à domicile, des services de repas et des entreprises.
01:11Une entreprise à laquelle vous ne pensez peut-être pas pour nos seniors.
01:14C.S. Figurez-vous. Eux aussi, ils viendront nous en parler.
01:18Restez avec nous, on est sur Sud Radio tout de suite.
01:23Allez, tout de suite, c'est parti.
01:24On est ravis en tout cas de vous accompagner, ma chère Catherine Bulli,
01:27avec vos invités qu'on commence à accueillir.
01:29Anne-Laure Noubissi, fondatrice, directrice générale de la Cabane d'Achille et Camille.
01:34Bienvenue sur Sud Radio.
01:35Merci, bonjour.
01:36On est ravis de vous accueillir.
01:37On est aussi avec Claire Lannau, fondatrice et directrice générale de la franchise Babichou Service.
01:42Bienvenue également.
01:43Bonjour, merci.
01:44Et Elisabeth Berges-Smith, franchisée.
01:47C'était important d'avoir une franchisée avec Catherine Bulli.
01:49Les petits, bilingues, amiens, bovés et Saint-Quentin.
01:53Bienvenue à vous trois.
01:54Vous êtes entre les mains expertes de Catherine Bulli.
01:56C'est ça, expertes.
01:57Alors, Anne-Laure et Claire, dans un premier temps, je voudrais vous poser une question.
02:01Quand on est particulier, quel est l'intérêt d'aller voir une franchise ?
02:04Est-ce que ça apporte une garantie particulière ?
02:08Oui, bien sûr.
02:09Effectivement, je pense que c'est une garantie de qualité, bien sûr, dans un premier temps,
02:15parce qu'il y a un concept qui a été éprouvé.
02:19Voilà, parlez bien près dans le micro.
02:20En plus, il y a plusieurs milliers de visiteurs au Salon Franchi Expo Paris.
02:24Parlez fort, ils vous entendront tous grâce à cette radio.
02:26Une garantie, effectivement, de qualité, puisque le concept a été éprouvé et a
02:30donc été testé à maintes reprises.
02:32Et puis, une garantie de contrôle, puisque le franchiseur est là également pour accompagner
02:38ces franchisés et pour leur permettre de continuer à évoluer dans un cadre réglementaire
02:43contrôlé.
02:44Claire, un mot à dire sur la garantie ?
02:46En fait, la franchise, ça offre la garantie pour le client, pour le consommateur de trouver
02:51le même niveau de service partout en France et dans la garde d'enfants, c'est hyper
02:57important.
02:58Nous, on a des clients qui ont déménagé et qui sont toujours clients d'un bout à
03:02l'autre de la France.
03:03Qui ont gardé le contact.
03:04Alors, Elisabeth Berger-Smith, vous vous êtes franchisée les petits bilingues, vous êtes
03:08au contact direct avec les personnes, est-ce que vous sentez que ça les rassure ?
03:14Je pense que ça les rassure.
03:17C'est vrai que les petits bilingues, nous avons des familles qui arrivent d'autres
03:20régions ou sinon, par exemple, leur sœur qui a mis les enfants à Grenoble, ils viennent
03:26chez moi à Amiens parce qu'ils ont entendu parler des petits bilingues.
03:30En gros, ça veut dire quoi ? En gros, on ne veut pas de mauvaise surprise et ça tombe
03:33bien avec la franchise, on n'en a jamais.
03:34C'est ça qu'on veut quand on est client et qu'on veut qu'on s'occupe de nos petites
03:37têtes blondes ?
03:38Je pense, oui.
03:39En fait, on a un manuel opératoire, si je peux me permettre, et donc de toute façon
03:43les franchisés, ils sont suivis à tous les points du process, que ce soit pour la sélection,
03:48le recrutement des intervenants ou des baby-sitters chez Baby Show Service, et à tout moment
03:53ils savent quelles actions ils doivent mener en termes de contrôle, en termes de sécurité,
03:59en termes de suivi.
04:00Alors Elisabeth, vous au départ, vous aviez la franchise Amiens ?
04:04C'est ça.
04:05D'accord.
04:06Qu'est-ce que ça vous apporte la franchise ? Qu'est-ce que ça vous a apporté ? Parce
04:09que vous avez maintenant à la tête de trois franchises.
04:12Oui, c'est ça, oui.
04:15Je pense que si je parle du début, en 2008, quand j'avais envie de faire quelque chose,
04:22changer de métier, on va dire, quand j'ai découvert les petits bilingues, ça m'a
04:26permis de démarrer très rapidement.
04:28Le fait de faire partie d'un groupe aussi, échanger, m'appuyer sur, je pense, comme
04:34vous avez dit, une expertise de la franchise, c'était un grand plus.
04:38Puis comme une sorte de synergie.
04:41Ensemble, on est plus fort, je pense.
04:44Alors quand on parle de la petite enfance, on pense bien évidemment à la sécurité.
04:48Je pense que c'est la première chose que les parents vous demandent, bien évidemment,
04:51c'est la sécurité.
04:52Quel est le cahier des charges pour vous, par exemple, Anne-Laure, sur la cabane d'Achille
04:57et Camille ?
04:58Alors le cahier des charges est important et vaste, bien sûr, parce que, vous l'avez
05:02dit, au niveau de la sécurité, pour nous, notre public, qui sont les enfants de moins
05:07de 3 ans, on ne peut pas se permettre un seul faux pas.
05:10En termes de sécurité, je dirais qu'on va garantir, nous, la sécurité, bien sûr,
05:14physique des enfants, clairement.
05:16La base.
05:17Qu'ils soient accueillis dans de bonnes conditions, mais aussi leur sécurité affective, émotionnelle.
05:21Donc on va travailler vraiment sur deux niveaux de qualité, c'est-à-dire plutôt un niveau
05:26de qualité qui va se référer aux standards, aux protocoles, etc.
05:30Quelque chose de, finalement, assez rigide, mais indispensable.
05:34Et puis, par ailleurs, un niveau de sécurité et de qualité qui va être plutôt dans l'affectif,
05:41dans l'émotionnel et dans le bien-être et l'individualisation de l'accueil de chaque enfant.
05:45Les valeurs sur lesquelles vous avez construit votre franchise, la cabane, quelles sont-elles ?
05:50Oui, elles sont nombreuses, mais la principale, bien sûr, c'est très simple.
05:56C'est la bienveillance, la gentillesse, la proximité, l'accessibilité.
06:01Donc on va vraiment faire en sorte d'accueillir chaque enfant et sa famille de manière tout à fait
06:06individualisée et ensuite de leur proposer, parce que, à l'enfant, bien sûr, mais à ses parents,
06:12un parcours d'accueil qui soit le plus confortable possible.
06:15Et notamment, nous, ça va passer aussi par des aspects très logistiques,
06:19notamment l'amplitude horaire.
06:20Oui, ça, on va en parler aussi.
06:22Alors, dans la création d'une franchise, il y a un désir d'entrepreneuriat.
06:25Claire Lannot, vous dirigez Baby Shoe Service.
06:28Pourquoi vous avez voulu relier ce désir d'entrepreneuriat à la franchise, justement ?
06:33Alors, au tout début, c'était une aventure personnelle.
06:36Créer une société de garde d'enfants, c'était pour répondre à ma propre problématique de mère de famille,
06:40travaillant, etc.
06:41Donc, en fait, j'en ai fait mon métier.
06:43C'est un peu le storytelling.
06:44Et après, j'ai découvert la franchise, qui est mon deuxième métier.
06:47Je ne savais pas qu'on pouvait faire de la franchise dans la garde d'enfants à domicile.
06:51Et au final, ça a très bien fonctionné.
06:54Les besoins se sont révélés être les mêmes partout en France.
06:58Et finalement, la franchise, ça permet de partager sa passion.
07:01Ça permet d'entraîner d'autres personnes avec soi.
07:04Et je pense que c'est ça aussi que les franchisés recherchent.
07:07Vous étiez parmi les premiers à développer ça en franchise, en France ?
07:10Je crois que oui.
07:12Il y a quelques confrères maintenant.
07:15Et puis, ça continue à se développer.
07:17On a toujours des jeunes entrepreneurs qui viennent nous rejoindre avec la même passion.
07:20Et c'est ça qu'on cherche.
07:21C'est aussi leur transmettre la nôtre.
07:23Alors, on va parler un petit peu de vos activités respectives.
07:26La Cabane d'Achille et Camille, c'est 80 micro-crèches.
07:29Près de 1200 enfants.
07:32Qu'est-ce qui vous distingue ? Quelle est votre force aujourd'hui ?
07:35Alors, notre force, elle réside dans plusieurs éléments.
07:38On en a parlé tout à l'heure. Je vais rebondir tout de suite dessus.
07:41Bien sûr, sur l'amplitude horaire.
07:44On conçoit l'accompagnement et la parentalité.
07:475h30, 22h30.
07:51En fait, dans l'accompagnement et la parentalité, il y a plusieurs besoins.
07:55Alors, il y a le besoin, bien sûr, de conseils, de disponibilité.
07:58Mais il y a aussi un besoin qui est très logistique, en fait.
08:01Et très pragmatique au quotidien.
08:04Alors, ça peut être, bien sûr, de manière régulière.
08:06Avec des parents qui exercent un métier en horaire atypique.
08:09Mais c'est aussi du ponctuel.
08:11J'ai une réunion un peu plus tard.
08:13Comment je peux faire ?
08:14Ou mon conjoint, ma conjointe est en déplacement.
08:16Et moi, je dois commencer plus tôt.
08:18Mais ça peut être systématique ?
08:20On vous appelle et on a ce service immédiatement ?
08:23Oui, alors, bien sûr, il faut nous prévenir un petit peu à l'avance.
08:26Mais on accueille des enfants de manière régulière.
08:29Oui, bien sûr, sur ces horaires atypiques au sein du réseau.
08:31Alors, il y a aussi un autre service que je trouve assez formidable.
08:35C'est le multisensoriel Snoozelearn.
08:37Est-ce que vous pouvez nous en parler ?
08:39Oui, tout à fait, avec plaisir.
08:40Alors, Snoozelearn, c'est un pilier de notre projet pédagogique.
08:42C'est une approche très particulière qu'on a développée, en fait,
08:45dès le démarrage du concept.
08:47Alors, Snoozelearn, pour faire très simple,
08:49c'est effectivement une approche sensorielle
08:51qui nous permet d'accueillir les enfants dans une pièce dédiée
08:55et dans laquelle on va leur proposer un environnement sensoriel très particulier,
09:01hyposensoriel même, on va dire.
09:03Hyposensoriel, ça veut dire quoi ? Qu'on sent rien ?
09:05Ça veut dire que, justement, on va réduire le nombre de stimulations.
09:08Parce que les enfants, même si nous, on est en petite collectivité,
09:11ils sont accueillis quand même en collectivité.
09:13Donc, il y a beaucoup de stimulations, il y a une luminosité forte,
09:16il y a du mouvement, il y a du bruit, etc.
09:18Vous les mettez dans un cocon, en fait.
09:19Et donc là, on va aller dans un cocon, mais avec eux.
09:22C'est-à-dire qu'en plus de bénéficier d'un endroit calme, apaisant, etc.,
09:26ils vont bénéficier d'une pleine disponibilité de l'adulte qui va les prendre en charge.
09:31Et ça, c'est très, très important, bien sûr, pour les enfants,
09:33pour leur sécurisation, notamment affective.
09:35Bien sûr. Alors, Claire Lanneau, avec Baby Shoe Service,
09:38vous assurez la garde à domicile.
09:40Différents types de gardes, est-ce que vous pouvez nous en parler un petit peu ?
09:43Voilà. Alors, Baby Shoe Service intervient pour l'enfant de 0 à 12 ans.
09:46Donc, on peut garder des enfants en retour de maternité
09:48avec des personnels spécialisés et diplômés.
09:51Les petits-enfants, auxiliaires de périculture ou autres.
09:54Et on va jusqu'à, finalement, l'entrée en collège.
09:57Donc, toutes les étapes, à toutes les étapes de la vie de l'enfant,
10:00on accompagne les parents, que ce soit pour des gardes régulières,
10:03que les parents puissent rentrer sereinement du travail,
10:07avec une baby-sitter qui se sera occupée du goûter, du dîner,
10:12parfois, et aussi du suivi des devoirs.
10:15Même ça ?
10:16Oui. Comme ça, les parents rentrent et peuvent se consacrer pleinement à leur enfant.
10:21Donc, ça, c'est vraiment important.
10:23On fait aussi, depuis quelques années, de l'événementiel,
10:27c'est-à-dire que pendant les mariages,
10:29qui s'occupe des enfants correctement pour les mariages.
10:31Donc, Baby Shoe fait ça aussi.
10:33Il y a toujours un cousin. En général, il y a un cousin, c'est le plus jeune.
10:35Il se cultive la nursery, mais bon, c'est bricolé.
10:38Il peut se faire vite déborder, le coup.
10:40Et surtout, quand il peut y avoir, et là, on revient sur la sécurité,
10:43une pièce d'eau, un truc qui fait un peu flipper les parents.
10:47Là, nous, on a vraiment des gens diplômés
10:49et qui vont vraiment offrir un parcours complet d'activité
10:52pendant toute la période du mariage.
10:54On parle de la sécurité, justement.
10:56Vous avez beaucoup de franchisés.
10:57Comment vous faites pour contrôler cette sécurité à distance ?
11:01Alors, déjà, il faut savoir que nous, on a un agrément.
11:04Cet agrément, il nous est donné par l'État, mais pas comme ça.
11:06Il y a tout un dossier qui est monté,
11:08qui va nous permettre de mettre en avant
11:10toutes les contrôles qu'on va mettre en œuvre.
11:13Tous les intervenants sont reçus au moins une heure en entretien
11:16en agence de proximité.
11:18On est loin de l'intermédiation qui paraît géniale comme ça
11:21sur les plateformes, mais en vrai, où on a zéro contrôle.
11:25Donc nous, tout le monde a fourni fichier judiciaire,
11:30enfin contrôle antécédent judiciaire.
11:32On s'assure que ce sont des personnes qui ne sont pas inscrites au FGIS,
11:35fichier d'attraction sexuelle.
11:38Et ce sont des gens qui ont vraiment des expériences vérifiées,
11:41des fiches de paye.
11:43On a regardé ce qu'ils avaient fait et on est sûr qu'on peut les emmener
11:46auprès de nos gardes à domicile.
11:48En deux mots, Elisabeth, c'est à partir de quel âge les petits bilingues ?
11:51Alors, les petits bilingues, c'est à partir d'un an.
11:54Les tout-petits, ils viennent avec un adulte,
11:57normalement des parents.
11:59Et puis après, ça va jusqu'à l'âge d'adulte.
12:02On a des retraités aussi.
12:04Différentes formations, différents groupes.
12:07Tout à fait.
12:08Et je pense que les petits bilingues,
12:10peut-être ce qui nous différencie un petit peu,
12:13c'est nos ateliers en immersion,
12:15qui peuvent durer soit trois heures, soit toute la journée.
12:18Je crois qu'on va devoir rendre l'antenne, Jean-Marie.
12:21Oui, on va rester, on est loin.
12:23Une petite pensée aussi à notre bilingue préférée,
12:25c'est Anthony Aldrit, il était capitaine hier soir.
12:27Il nous a fait gagner, désolé, le tournoi destination.
12:30On l'a vécu sur Sud Radio.
12:33Non, mais on est sur Sud Radio, la radio du rugby.
12:35Il faut quand même le rappeler, c'était un grand moment.
12:37Merci, chers amis, d'être venus sur Sud Radio.
12:40On reste ensemble, parce qu'on va donner le mode d'emploi,
12:43après la pub, pour justement devenir franchiseur.
12:45Comment devenir franchiseur ?
12:47On en parle dans un instant, en direct,
12:49de la porte de Versailles à Paris, avec Catherine Bulli.
12:51Mieux dans ma vie, bien sûr.
12:58Sud Radio, la vie en mieux, Catherine Bulli avec vous.
13:00Ravie d'être avec vous, ma chère Catherine.
13:01Moi aussi.
13:02Jusqu'à 13h, on parle toujours de ces franchises
13:04qui sont au service du premier âge.
13:06De la petite enfance.
13:07En particulier, la petite enfance, toujours.
13:09On est toujours avec nos trois invités.
13:10Anne-Laure Nobisi, pour la cabane d'Achille et Camille.
13:13Claire Lanneau, pour Babichou Service.
13:15Et Elisabeth Berger-Smith, pour les petits bilingues,
13:17à Amiens, à Beauvais et à Saint-Quentin.
13:19Absolument.
13:20Et alors, moi, je me pose une question.
13:21Si parmi toutes les personnes qui sont ici,
13:23il y en a quelques-unes qui veulent se lancer dans la franchise,
13:26moi, je voudrais savoir, comment fait-on ?
13:28Quel est le mode d'emploi ?
13:29Quel budget ?
13:30Comment monte-t-on un dossier ?
13:31Qu'est-ce qu'il faut faire ?
13:32Les premières démarches ?
13:35Eh bien, moi, je pense que déjà, il faut faire une visite
13:38sur les stands.
13:39Il faut regarder, parler avec les gens.
13:41Il faut voir avec qui on se sent en affinité.
13:43Il ne faut pas aller dans la franchise uniquement
13:46parce que vous avez entendu quelqu'un en parler
13:49qui n'est pas vous.
13:50Donc, il faut que vous, vous soyez en accord avec vos valeurs,
13:52que vous parliez avec les gens, les franchisez,
13:54que vous alliez un petit peu au-delà des tableaux de chiffres
13:57vérifiques, que vous appeliez d'autres franchisés,
14:00que vous fassiez un peu un vie-ma-vie avant de vous lancer.
14:05Anne-Laure ?
14:06Je pense aussi qu'il y a un point très, très important
14:08et sur lequel j'insiste beaucoup.
14:10C'est-à-dire que souvent, on vient sur le salon
14:12pour chercher un franchiseur qui va nous aider
14:14à ouvrir une structure, quelle qu'elle soit,
14:16y compris, là, on parle des services,
14:18mais ça peut être dans la restauration
14:20ou tout autre secteur.
14:21Bien sûr, l'ouverture est importante.
14:23Vous l'avez dit tout à l'heure,
14:25c'est un accélérateur de croissance
14:27et ça permet d'ouvrir vite,
14:29bien sûr, et plus de facilité.
14:31Mais un contrat de franchise, c'est en moyenne
14:335, 7, voire 9 ans.
14:35Qu'est-ce qu'on fait après ?
14:37Je pense que c'est vraiment la question à se poser.
14:39Oui, effectivement, il y a l'ouverture,
14:41mais quelles sont nos affinités pour la suite ?
14:43Et ça, c'est très, très important.
14:45Quel est le projet ?
14:46Et comment je vais avoir envie de m'inscrire
14:48dans ce réseau pour de nombreuses années ?
14:50Donc, il faut avoir une vision.
14:51Une vision vraiment à long terme.
14:53Est-ce qu'on peut dire qu'il y a beaucoup de candidats
14:55et peu d'élus ?
14:56Ou est-ce que finalement, on trouve assez facilement
14:58un franchiseur si on est vraiment motivé ?
15:01Oui, bien sûr.
15:02Si on cherche et qu'on a envie
15:04de se lancer dans la franchise,
15:05alors là, c'est vraiment l'endroit parfait.
15:07Et au-delà du salon, bien sûr,
15:09ensuite, tous les franchiseurs continuent
15:11à être disponibles pour rencontrer
15:13des candidats et leur présenter
15:15leur concept, bien sûr.
15:16Et entre le moment où je candidate
15:18et le moment où j'ouvre ma franchise,
15:20il se passe combien de temps ?
15:22Alors, à la Cabane d'Achille et Camille,
15:24on va dire que ça va prendre moins d'un an.
15:27Puisque vous allez avoir finalement...
15:31Alors, tout va dépendre du moment
15:32où, en fait, on va trouver le local.
15:34C'est vrai que nous, on a des contraintes
15:35bâtimentaires qui sont assez fortes.
15:37C'est ça le plus difficile ?
15:38Ce n'est pas le plus difficile,
15:39mais ça peut être parfois un petit peu long.
15:42Parce que même quand on a trouvé,
15:43ce sont des délais incompressibles
15:46de signature de bail, etc.
15:48Mais c'est vraiment ce qui va conditionner
15:50une fois que le local est trouvé.
15:51Nous, en six mois, l'ouverture peut se faire.
15:53C'est peut-être un peu plus rapide pour Claire ?
15:55Oui, il y a beaucoup moins de contraintes,
15:57je pense, mais ce n'est pas le même métier.
15:59Nous, on a juste besoin d'une agence
16:01de 25-35 mètres carrés.
16:03Et nous, en fait, un délai moyen,
16:05ça va être autour de six mois.
16:06Donc, ça veut dire que concrètement,
16:07quelqu'un qui vient nous voir aujourd'hui
16:09sur le salon, qui vient sur le stand Babichou,
16:11il peut être prêt pour la rentrée scolaire.
16:13Et donc, ça, c'est super important.
16:15C'est incroyable.
16:16Il peut, voilà, sur sa zone,
16:17déjà apporter des solutions aux parents
16:18pour la garde d'enfants à domicile.
16:19Comment ça s'est passé pour vous, Elisabeth ?
16:21Combien de temps entre le moment
16:22où vous avez eu envie
16:23et le moment où vous avez eu
16:24votre première franchise à la mienne ?
16:26Alors, j'ai découvert les Petits Bilingues
16:28au mois de décembre
16:29et j'ai ouvert au mois d'août.
16:31Donc, moins d'un an.
16:33Oui, rapide.
16:34Oui, tout le monde m'a dit
16:35que ce n'était pas possible,
16:36mais quand on veut, voilà.
16:38Et vous avez fait comment
16:39pour aller plus vite que les autres ?
16:41Je pense que je n'ai pas lâché.
16:43Et puis, j'avais aussi du soutien,
16:45soutien de la franchise.
16:48Et puis, voilà.
16:49Et qui décide, alors ?
16:51Le directeur de la franchise,
16:53le fondateur,
16:54le seul décisionnaire
16:55sur le choix d'un franchisé ?
16:57Je pense que, pour moi,
16:59la franchise, c'est une rencontre.
17:00Donc, ce n'est pas du tout
17:02comme un recrutement
17:03avec un manager qui va décider
17:05si je prends monsieur, madame ou un tel.
17:07C'est vraiment une rencontre.
17:08Il faut que chacun trouve un équilibre
17:10dans ce qu'il va trouver,
17:12dans ce que va lui apporter la franchise
17:14et le temps qu'il va gagner.
17:16En fait, on dit souvent
17:17que la franchise, c'est un accélérateur.
17:19Ça permet d'économiser du temps,
17:21donc de l'argent dans l'investissement,
17:22parce que c'est un gage de succès plus rapide.
17:24D'accord.
17:25Et alors, il y a une question
17:26que je suis sûre que tout le monde se pose.
17:28Comment ça se passe financièrement parlant,
17:30quand vous avez votre franchise ?
17:31Qu'est-ce qu'on reverse à la marque ?
17:35Comment gagne-t-on son argent ?
17:37Je peux répondre,
17:38en tout cas sur Baby Show Service.
17:39On gagne de l'argent
17:41en tant que franchiseur
17:42et en tant que franchisé, les deux.
17:44Le franchiseur,
17:45si il est bon franchiseur,
17:46il doit avoir un business model qui marche.
17:49Ce n'est pas honteux de dire
17:50qu'il va gagner de l'argent,
17:51parce qu'il a beaucoup investi.
17:53Bien sûr.
17:54On ne gagne pas de l'argent au premier franchisé.
17:56On gagne de l'argent sur la société de franchise
17:58au cinquième, sixième, parfois,
18:00parce qu'on a mis beaucoup d'argent
18:01en investissement de communication,
18:03en consulting.
18:05Si on est bon, on s'est fait aider.
18:07C'est un autre métier.
18:08Moi, j'ai mon métier de base,
18:09c'est un grand enfant à domicile.
18:10La franchise, c'est devenu un second métier.
18:12Et on gagne de l'argent en tant que franchisé
18:14quand on applique le concept.
18:16On doit avoir un taux de marge brute
18:19et un taux de rentabilité
18:21qui est celui proposé par l'enseigne.
18:23Et ça permet de gagner sa vie
18:25dès qu'on a atteint le seuil de rentabilité,
18:27et qu'on s'est fixé
18:28à tel ou tel objectif de rémunération.
18:30C'est très personnel, finalement.
18:31Bien sûr.
18:32Alors, Elisabeth,
18:33vous, est-ce que vous diriez,
18:34en tant que franchisé,
18:35qu'il y a des pièges à éviter
18:36quand on monte sa franchise ?
18:38Les pièges,
18:39je ne sais pas.
18:40Comme pour moi, c'est bien passé.
18:41C'est difficile à dire.
18:44Je pense, déjà,
18:45pour choisir,
18:46comme a dit madame,
18:48il faut sentir quelque chose.
18:49Pour moi, c'est un coup de cœur,
18:50déjà, pour le concept,
18:52mais aussi une relation de confiance
18:54avec les franchiseurs.
18:55Et je pense que tout ça ensemble,
18:58ça ne peut que marcher.
19:00D'accord.
19:01Combien de salariés, maintenant,
19:02pour les petits bilingues ?
19:04Pour les petits bilingues ?
19:0517.
19:06D'accord.
19:07Et que des profs anglo-saxons ?
19:09Il y a aussi des personnes
19:10qui font du admin.
19:13Pour répondre au téléphone et tout ça.
19:15Oui.
19:16Il y a des Français.
19:17Il y a des Français aussi.
19:18On aime bien les Français.
19:19Il n'y a pas de problème.
19:20On espère.
19:21C'était le point de départ.
19:22La preuve, vous ne seriez pas là.
19:23Exactement.
19:24À toutes les trois,
19:25avant qu'on se quitte,
19:26quel conseil vous donneriez
19:28à ceux qui nous écoutent,
19:29pour leur donner envie
19:30de rejoindre l'aventure ?
19:32C'est vraiment de se renseigner
19:34au maximum,
19:35c'est-à-dire de ne pas vouloir
19:36non plus foncer tête baissée.
19:38Prenez le temps de contacter,
19:39même si vous avez un coup de cœur,
19:41dans le secteur d'activité
19:42que vous visez.
19:43Je pense que c'est important
19:44d'aller rencontrer plusieurs acteurs,
19:45de comparer,
19:46d'être vraiment sûr de soi
19:47quand on fonce.
19:48Une fois que vous êtes sûr,
19:49lancez-vous.
19:50Oui.
19:51Je dirais tout simplement,
19:52allez-y, foncez, lancez-vous.
19:54Effectivement, surtout si vous
19:56vous adressez à des franchises
19:57qui ont déjà fait leur preuve,
19:59vous aurez encore des questions.
20:01Vous aurez encore 30% de questions.
20:03Vous n'aurez pas réponse
20:04à toutes vos questions.
20:05Mais si vous en connaissez déjà
20:0670% de réponses à vos questions,
20:07ça vaut le coup.
20:08C'est pas mal.
20:09Ça suffit pour foncer.
20:10Quand on vous voit toutes les trois,
20:11vous avez l'air d'être très heureuse
20:12dans ce que vous faites.
20:13Donc ça, ça donne envie.
20:14Exactement, ça s'appelle
20:15la vie en mieux.
20:16Tout simplement.
20:17Avec Catherine Bulli,
20:18spéciale franchise.
20:19Restez avec nous, ma chère.
20:20On remercie quand même
20:21nos trois invités,
20:22Anne-Laure Nobisi
20:23pour La Cabane d'Achille et Camille,
20:25Claire Lanneau pour Babichou Service
20:27et Elisabeth Bergé-Smith
20:29pour Les Petits Bilingues,
20:30plutôt dans le nord de la France.
20:32Allez, restez avec nous.
20:33On a parlé du premier âge,
20:34maintenant on va parler
20:35de ces franchiseurs et franchisés
20:36qui s'occupent aussi
20:37de nos aînés.
20:38Du troisième âge
20:39des bébés aux aînés.
20:40C'est sur Sud Radio,
20:41dans un instant.
20:42La vie en mieux
20:43de 7 à 77 ans
20:44et même plus.
20:45Pourquoi pas ?
20:46On est avec Catherine Bulli.
20:47J'espère bien.
20:48Bonjour.
20:49En direct de la Porte de Versailles
20:50à Paris au salon
20:51Franchise Expo Paris.
20:52On a parlé du premier âge,
20:53on va parler du troisième âge.
20:54Tous ces franchiseurs,
20:55ces franchisés
20:56qui prennent soin
20:57de nos aînés
20:58dans cette deuxième partie.
20:59Absolument.
21:00Et nous sommes avec
21:01Oudah Karaouli,
21:02directrice déléguée
21:03des Bienveillants.
21:04Bonjour, Oudah.
21:05Merci d'être avec nous.
21:06Merci à vous.
21:07Parlez-nous un petit peu
21:08du concept de la franchise
21:09Les Bienveillants.
21:10Vous avez beaucoup
21:11de services à leur proposer.
21:12Oui.
21:13Les Bienveillants,
21:14c'est une scène
21:15qui est spécialisée
21:16dans l'accompagnement
21:17à domicile
21:18des personnes en situation
21:19de dépendance.
21:20Et notre notion
21:21de la dépendance
21:22est vraiment très large.
21:23On parle du grand âge
21:24et on parle également
21:25du handicap.
21:26On accompagne les adultes
21:27en situation de handicap
21:28et les enfants
21:29en situation de handicap.
21:30C'est un public
21:31des fois oublié.
21:32Mais nous avons nourri
21:33ce savoir-faire
21:34depuis plus de 30 ans
21:35et nous proposons
21:36depuis plus récemment
21:37que ça
21:38notre concept
21:39en franchise.
21:40C'est une belle aventure.
21:41On a aussi
21:42notre autre invitée,
21:43Corinne Dupla,
21:44qui est avec nous,
21:45directrice générale
21:46des Menus Services.
21:47Bienvenue sur Sud Radio.
21:48Merci.
21:49Bonjour.
21:50Bonjour.
21:51Corinne, parlez-nous
21:52un petit peu
21:53des Menus Services.
21:54Les Menus Services,
21:55nous sommes un réseau
21:56de 130 agences.
21:57Nous sommes spécialistes
21:58et leaders en France
21:59du portage de repas
22:00au domicile
22:01de personnes âgées.
22:02Ça veut dire
22:03qu'on livre tous les jours
22:04des personnes âgées
22:05moyennes d'âge
22:0686 ans
22:07qui ne peuvent plus
22:08ou qui ne veulent plus
22:09cuisiner chez elles
22:10et qui sont souvent
22:11isolées
22:12et fragilisées
22:13bien entendu.
22:14Et j'ai cru comprendre
22:15que ce sont souvent
22:16des femmes.
22:17Eh oui, en majorité
22:18parce que vous savez bien
22:19les hommes
22:20nous survivent
22:21difficilement.
22:22Regardez,
22:23j'en mariais tout seul
22:24avec deux placeaux de femmes.
22:25100% féminin.
22:26Je suis bien entouré.
22:27On verra à la fin
22:28de l'émission.
22:29Exactement.
22:30Alors Ouda Karaouli,
22:31vous avez combien
22:32de franchisés aujourd'hui ?
22:33Alors aujourd'hui,
22:34on a six agences
22:35dans quatre franchises.
22:36Et quel est le profil
22:37de ces franchisés ?
22:38On a la chance
22:39d'avoir des profils
22:40de franchisés
22:41venant d'univers
22:42professionnels
22:43très différents.
22:44C'était principalement
22:45des cadres dans
22:46des entreprises
22:47sur différentes fonctions
22:48marketing,
22:49commercial,
22:50financière.
22:51Le point commun
22:52entre ces différents
22:53franchisés,
22:54c'est qu'ils ont été
22:55de près ou de loin
22:56confrontés à
22:57soit un rôle
22:58d'aidant familial,
22:59soit en contact
23:00avec des acteurs
23:01de service à la personne.
23:02Ils ont eu en fait
23:03tous cette révélation
23:04ou cette mission
23:05chez eux
23:06de vouloir contribuer
23:07à faire les choses
23:08différemment.
23:09Alors,
23:10dans les bantailles
23:11de services
23:12que vous proposez,
23:13il y a quoi ?
23:14On fait tout
23:15pour maintenir
23:16le seigneur
23:17le plus longtemps
23:18possible chez lui.
23:19On est d'accord ?
23:20Donc,
23:21qu'est-ce qu'il y a ?
23:22Ça veut dire
23:23les courses ?
23:24Ça veut dire
23:25l'accompagnement
23:26chez le médecin ?
23:27Tout ça,
23:28en fait,
23:29nos intervenants
23:30ce sont des assistantes
23:31de vie ou auxiliaires
23:32qui répondent vraiment
23:33à la situation,
23:34besoin et souhait
23:35de la personne.
23:36Pour des personnes
23:37qui sont encore autonomes,
23:38ça peut être principalement
23:39de la compagnie,
23:40une présence rassurante,
23:41une présence lors des sorties
23:42pour éviter les chutes,
23:43etc.
23:44Pour des personnes
23:45qui sont un petit peu
23:46plus dépendantes,
23:47ça peut aller
23:48jusqu'à la présence
23:49à hauteur de 24 heures
23:50sur 24
23:51pour, en effet,
23:52permettre de rester
23:53au domicile.
23:54Vos franchisés
23:55n'ont donc pas besoin
23:56d'avoir une compétence
23:57médicale ?
23:58Pas du tout.
23:59Pas du tout.
24:00Et au contraire,
24:01nous ne fermons pas
24:02uniquement à des profils
24:03qui viennent du secteur.
24:04Nous cherchons principalement
24:05une base de valeur commune
24:06et une envie
24:07de bien faire les choses
24:08et nous considérons
24:09que c'est notre rôle
24:10à nous,
24:11de franchiseurs,
24:12de transmettre
24:13ce savoir-faire.
24:14Et du coup,
24:15ça vous donne quoi
24:16comme profil
24:17qui arrive
24:18et qui frappe
24:19à votre porte ?
24:20On peut avoir
24:21des personnes
24:22plutôt de 45 ans,
24:23alors principalement
24:24des femmes,
24:25encore.
24:26Toujours.
24:27Principalement
24:28des femmes,
24:2945,
24:3050 ans.
24:31Deuxième partie
24:32de carrière
24:33avec des personnes
24:34qui souhaitent
24:35avoir, bien sûr,
24:36se lancer,
24:37construire leurs propres
24:38projets.
24:39Et c'est quoi leur expérience
24:40alors ?
24:41C'est qu'elles ont eu
24:42quelqu'un dans leur famille
24:43qui était dépendant
24:44et donc elles veulent
24:45transmettre ça ?
24:46Absolument.
24:47En fait,
24:48c'est une personne
24:49qui a été aidant familial
24:50de sa mère,
24:51son père
24:52et qui souhaite
24:53contribuer à ça
24:54et rendre la vie
24:55d'autres aidants
24:56plus facile.
24:57On sait à quel point
24:58les personnes d'un certain âge
24:59se sentent en sécurité.
25:00C'est pas facile
25:01pour quelqu'un
25:02de l'extérieur
25:03de rentrer dans l'intimité
25:04d'une personne
25:05d'un certain âge
25:06et elles le craignent
25:07la plupart du temps.
25:08Donc,
25:09est-ce que vous les sensibilisez
25:10à ça ?
25:11Est-ce que vous avez
25:12une relation avec eux
25:13sur ce sujet ?
25:14Oui.
25:15En fait,
25:16dès le début des échanges,
25:17quand on a quelqu'un
25:18qui s'adresse à nous
25:19avec un besoin,
25:20on va proposer
25:21systématiquement
25:22une visite à domicile
25:23pour rencontrer
25:24la personne aidée
25:25et déjà commencer
25:26à créer un lien de confiance.
25:27Par la suite,
25:28l'intervenante
25:29qui va assurer
25:30l'accompagnement
25:31va bien sûr
25:32regarder le savoir-faire
25:33mais également
25:34le savoir-être
25:35pour pouvoir créer
25:36vraiment ce match parfait
25:37entre la personne aidée
25:38et l'intervenante.
25:39Là,
25:40vous avez rejoint
25:41le groupe WeCare.
25:42Oui.
25:43Qu'est-ce que ça vous apporte
25:44de rejoindre
25:45un groupe
25:46qui finalement
25:47est le leader français
25:48du service à la personne ?
25:49Alors,
25:50c'est un gage de fiabilité,
25:51solidité
25:52et de savoir-faire également.
25:53C'est,
25:54comme vous l'avez dit,
25:55le groupe leader aujourd'hui
25:56avec un réseau
25:57d'autres marques
25:58qui ont fondu
25:59de plus de 700 agences.
26:00Donc,
26:01c'est un savoir-faire énorme
26:02et c'est beaucoup de solidité.
26:03Donc,
26:04pour les franchisés
26:05qui nous rejoignent,
26:06ils vont peut-être
26:07rejoindre un franchiseur
26:08avec une expérience
26:10plutôt récente,
26:12mais par contre,
26:13ils vont aussi
26:14rejoindre le groupe WeCare
26:15avec toute la solidité
26:16et la fiabilité
26:17qu'il y a derrière.
26:18Alors,
26:19Corinne Duplan,
26:20directrice générale
26:21des menus-services,
26:22donc,
26:23vos repas s'adressent
26:24à toutes les personnes
26:25d'un certain âge,
26:27Alors,
26:28ce sont des repas
26:29qui tiennent compte
26:30de spécificités
26:31liées à l'âge.
26:32Donc,
26:33on peut avoir des personnes
26:34qui ont besoin de régimes
26:35hypocaloriques,
26:36diabétiques,
26:37sans sel,
26:38mixés,
26:39on s'adapte.
26:40À la carte.
26:41À la carte,
26:42comme à la brasserie,
26:43j'aime bien dire,
26:44on tient compte des aversions.
26:45J'aime pas les carottes,
26:46on proposera jamais de carottes.
26:47Donc,
26:48c'est vraiment pour que,
26:49on lutte beaucoup
26:50contre la dénutrition
26:51parce que c'est quand même
26:52un gros souci avec l'âge
26:53et l'isolement.
26:54Donc,
26:55on appelle nos convives
26:56l'envie de manger
26:57et de bien manger
26:58tous les jours.
26:59Voilà,
27:00c'est vraiment garder
27:01ce plaisir de manger
27:02et puis avec
27:03des spécificités locales,
27:04des recettes traditionnelles
27:05qu'on aime bien encore
27:06de cette génération,
27:07la blanquette,
27:08par exemple.
27:09Vous voyez,
27:10des choses comme ça.
27:11Nous aussi,
27:12vous savez.
27:13Oui,
27:14j'étais sûre
27:15que vous alliez dire ça.
27:16C'est le plat le plus populaire.
27:17Mais oui,
27:18carrément.
27:19La préférée de mon mari.
27:20Non,
27:21il paraît que c'est le couscous.
27:22Ça change tous les ans,
27:23figurez-vous.
27:24Il faut changer
27:25des menus à thème,
27:26justement,
27:27pour changer.
27:28Il faut varier.
27:29Et gagner la vie.
27:30C'est ça.
27:31Et des recettes
27:32qui ne se retrouvent pas
27:33d'une semaine sur l'autre.
27:34De manière à ce qu'il n'y ait pas
27:35l'effet de lassitude.
27:36Combien d'agences,
27:37enfin de points
27:38ministériels ?
27:39On a 130 agences aujourd'hui
27:40pour un peu plus
27:41de 80 franchisés.
27:42Ça veut dire
27:43qu'on a des franchisés
27:44qui sont multi-agences
27:45très anciens.
27:46On a le réseau
27:47à 22 ans cette année
27:48et notre plus ancien
27:49franchisé
27:50a 21 ans avec nous.
27:51Il a 5 agences.
27:52Quel est son profil ?
27:53Son profil,
27:54c'est...
27:55Alors,
27:56j'allais vous dire
27:57je ne sais pas.
27:58C'est bien à moi
27:59de répondre je ne sais pas.
28:00Je ne l'ai pas recruté
28:01il y a 20 ans.
28:02Mon associé l'avait recruté.
28:03Mais les profils,
28:04pour répondre à ce que vous disiez,
28:05j'ai beaucoup recruté
28:06au démarrage
28:07du réseau
28:08des cinquantenaires.
28:09Beaucoup.
28:10Et puis,
28:11je pense que c'était...
28:12C'est vraiment
28:13la deuxième partie.
28:14La réorientation.
28:15C'est un cas cadrat.
28:16Et maintenant,
28:17aujourd'hui,
28:18ils sont dans la cession
28:19de leur entreprise
28:20et depuis quelques années,
28:21on voit une tendance
28:22tout à l'inverse.
28:23On recrute des trentenaires
28:24et même
28:25des moins de 25 ans
28:26énormément aujourd'hui.
28:27Notre plus jeune franchisé
28:28du réseau a rajoint
28:29il n'y a même pas trois ans.
28:30Il a aujourd'hui
28:31cinq agences.
28:32C'est un sérieux entrepreneur.
28:33Parce que je trouve
28:34que ça a du sens.
28:35Que ce soit
28:36la petite enfance
28:37ou que ce soit
28:38les seniors
28:39dont on parle maintenant,
28:40à un moment donné
28:41dans sa vie,
28:42on peut être
28:43en quête de sens.
28:44C'est ça.
28:45Donner du sens à sa vie.
28:46D'avoir le sentiment
28:47de pouvoir faire quelque chose
28:48pour les autres.
28:49C'est le mot
28:50qu'on nous donne toujours.
28:51Quand on vient chez nous,
28:52dans les services à la personne
28:53de sens large
28:54et pour s'occuper
28:55de personnes âgées
28:56en particulier,
28:57moi j'aime bien
28:58entendre un mot.
28:59Le sens.
29:00C'est souvent
29:01des gens
29:02qui sont salariés
29:03forcément à 99%
29:04et qui disent
29:05il n'y a pas de sens
29:06dans ce que je fais
29:07et là je recherche
29:08quelque chose
29:09qui ait du sens.
29:10C'est super important.
29:11Qu'est-ce qu'il faut
29:12comme compétence
29:13à vous franchiser ?
29:14Qu'est-ce qu'il leur faut
29:15comme compétence ?
29:16Alors déjà,
29:17il faut être nous.
29:18C'est super important.
29:19Implanter sur son territoire.
29:20On y est né
29:21ou alors
29:22on y a travaillé
29:23depuis toujours
29:24parce qu'on va
29:25développer et entretenir
29:26un réseau de prescripteurs
29:27et puis,
29:28j'aime bien dire
29:29comme tout entrepreneur,
29:30qu'on soit en franchise ou pas,
29:32il faut faire du commercial,
29:33il faut développer son business,
29:34il faut le gérer
29:35et puis il faut
29:36manager son personnel
29:37avec plus ou moins
29:38de personnel
29:39suivant les activités
29:40et le sens du service.
29:41Et de l'empathie.
29:42Un personne âgée
29:4385 ans,
29:44il faut écouter,
29:45il faut entendre.
29:46Un peu tendresse
29:47de l'écoute,
29:48de l'empathie
29:49C'est ça.
29:50Si je veux monter
29:51ma franchise menu service,
29:52quel est le montant ?
29:53Parce qu'en fait,
29:54il vous faut une cuisine,
29:55il vous faut des livrettes.
29:56Alors, il ne faut pas une cuisine
29:57parce que nous,
29:58franchiseurs,
29:59on est centrale d'achat,
30:00on livre les repas
30:01dans les agences
30:02tous les jours.
30:03Il faut une agence
30:04de 80 mètres carrés en moyenne
30:05avec une chambre froide
30:06et après,
30:07on va avoir petit à petit
30:08avec la montée en charge
30:09des véhicules,
30:10petits véhicules frigorifiques.
30:11Donc,
30:12suivant après...
30:13Vous arrivez à les faire rouler
30:14dans toutes les métropoles
30:15aujourd'hui
30:16parce que ça devient compliqué.
30:17Ah oui,
30:18l'écologie,
30:19les véhicules électriques,
30:20les triporteurs.
30:21Dans l'hypercentre,
30:22maintenant,
30:23on a les triporteurs.
30:24Ça, c'est super,
30:25c'est bien pour les marches,
30:26c'est bien pour l'écologie.
30:27Et puis,
30:28nos livreurs et livreuses
30:29aiment bien aussi,
30:30ça leur fait faire
30:31un peu d'exercice.
30:32Donc oui,
30:33on s'adapte aussi,
30:34on a un gros enjeu écologique
30:35forcément.
30:36Nous,
30:37dans la livraison
30:38et puis tout,
30:39les packagings,
30:40les repas,
30:41le bio,
30:42vous voyez un petit peu.
30:43Alors justement,
30:44il y a du bio,
30:45il y a un cahier des charges
30:46strict.
30:47Alors un cahier des charges
30:48strict,
30:49c'est le franchiseur
30:50qui le donne
30:51puisque c'est lui
30:52qui fournit les repas.
30:53Après,
30:54le bio,
30:55on me pose souvent
30:56la question aujourd'hui.
30:57Moi,
30:58je suis très sensibilisée
30:59au bio depuis pas mal
31:00d'années.
31:01Mon papa,
31:02j'adore parler de lui
31:03qu'à 84 ans,
31:04il me dit,
31:05bah ouais,
31:06moi j'ai jamais mangé bio,
31:07je me porte très bien,
31:08je suis en pleine santé.
31:09C'est pas le bio
31:10aujourd'hui sur cette génération.
31:11Bon,
31:12on fait des desserts bio,
31:13les yaourts bio,
31:14la pomme bio,
31:15mais surtout,
31:16dans les générations à venir,
31:17bien sûr,
31:18on va sur d'autres choses,
31:19d'autres habitudes alimentaires
31:21et puis d'autres exigences,
31:23j'allais dire.
31:24J'allais dire,
31:25pour les bienveillants,
31:26j'imagine que vous avez,
31:27Ouda,
31:28de très belles histoires
31:29qui doivent se construire
31:30parce que les personnes
31:31qui sont au contact
31:32des personnes
31:33pendant un mois,
31:34six mois,
31:35un an,
31:36voire peut-être plus,
31:37j'imagine que de temps en temps,
31:38vous devez avoir,
31:39vous êtes face
31:40à de très belles histoires.
31:41Oh oui,
31:42de belles rencontres.
31:43Vous en avez une en tête,
31:44par exemple ?
31:45Non.
31:46Alors,
31:47j'en ai plusieurs.
31:48En fait,
31:49j'en ai plusieurs.
31:50De très bonnes rencontres
31:51aussi bien nous,
31:52au niveau des agences,
31:53quand on va faire
31:54les visites à domicile,
31:55on a la chance
31:56d'avoir des leçons de vie
31:57des fois
31:58et les intervenantes aussi,
31:59le lien qui se crée
32:00avec les familles.
32:01J'ai juste
32:02une histoire
32:03qui me vient
32:04spontanément
32:05parce qu'en fait,
32:06j'avais fait l'exercice
32:07juste pour vous raconter
32:08vraiment une petite histoire
32:09après l'épisode COVID
32:10où tout le monde
32:11était un peu démoralisé,
32:12etc.
32:13J'ai fait
32:14une demande
32:15à tous les clients
32:16et toutes les auxiliaires de vie
32:17en leur disant
32:18après cet épisode
32:19un peu triste,
32:20racontons-nous
32:21de belles histoires
32:22que vous avez vécues ensemble.
32:23Bien vu !
32:24Oui,
32:25et du coup,
32:26j'ai l'épouse
32:27de l'un de nos
32:28plus anciens clients
32:29qui nous a raconté
32:30l'histoire
32:31du mariage
32:32de leur fille
32:33où le thème,
32:34c'était avoir
32:35une touche
32:36d'orange
32:37sur soi.
32:38Et donc,
32:39l'auxiliaire de vie
32:40nous a raconté
32:41l'histoire
32:42du mariage
32:43d'une auxiliaire
32:44de vie
32:45qui est d'origine
32:46africaine
32:47et qui est venue
32:48avec une robe
32:49orange
32:50étonnante,
32:51etc.
32:52Et du coup,
32:53elle a volé
32:54un petit peu
32:55la vedette
32:56et c'était la star
32:57de la soirée.
32:58Comme quoi,
32:59on rentre dans la famille.
33:00C'est un peu ça
33:01l'histoire des bienveillants.
33:02Et en fait,
33:03c'est l'histoire
33:04de tous ceux
33:05qui prennent soin
33:06du troisième âge
33:07tout simplement
33:08de nos années.
33:09On va continuer
33:10à en parler
33:11en franchise
33:12expo Paris.
33:13On se retrouve
33:14dans quelques minutes.
33:15Restez avec nous.
33:16On est pile au milieu.
33:17Vous ne pouvez pas nous rater.
33:18C'est le studio
33:19Franchise Expo Live.
33:20Venez nous voir.
33:21On vous donne la parole.
33:22Au milieu du hall.
33:23Vous allez voir,
33:24c'est sympa.
33:25On est toujours en direct
33:26de Franchise Expo Paris.
33:27Porte de Versailles.
33:28Vous ne pouvez pas nous rater.
33:29Le parc des expositions.
33:30Vous entrez dans
33:31Franchise Expo.
33:32On est pile au milieu
33:33sur le studio
33:34Franchise Expo Live.
33:35On vous donne même la parole
33:36avec Catherine Bully.
33:37On parle du
33:38troisième âge.
33:39C'est franchiseurs.
33:40C'est franchisés,
33:41on est toujours
33:42à la soin de nos aînés.
33:43On est toujours avec
33:44nos invités,
33:45Ouda Karaouli,
33:46qui est directrice
33:47déléguée des Bienveillants.
33:48On est toujours
33:49avec Corine Duplat,
33:50directrice générale
33:51des menus services.
33:52Vous nous avez donné
33:53faim en plus.
33:54C'est normal.
33:55Et puis on accueille
33:56Débora Binisti,
33:57directrice du développement
33:582.s.
33:59Bienvenue sur Sud Radio.
34:00Bonjour à tous.
34:01Merci à toutes les trois
34:02d'être avec nous.
34:03Alors moi,
34:04j'ai encore une petite
34:05question pour Ouda
34:06et pour Corine.
34:0721 millions,
34:08c'est le nombre
34:09de personnes âgées.
34:10À l'aube des 2030.
34:11Donc j'aimerais savoir,
34:12est-ce que,
34:13qu'est-ce que vous pensez
34:14faire pour le développement
34:15de vos structures
34:16respectives ?
34:17Parce que 21 millions
34:18de personnes,
34:19c'est énorme.
34:20Est-ce qu'il va falloir
34:21vous adapter à un marché
34:22qui est quand même
34:23en permanente expansion ?
34:24Encore mieux,
34:25j'ai deux chiffres
34:26qui sont assez parlants.
34:27Dans les 20 ans à venir,
34:28la population
34:29des 60 ans
34:30va doubler
34:31et celle
34:32des 80 ans
34:33quadrupler.
34:34Donc nous,
34:35on est sur le 3e.
34:36Vous disiez
34:37qu'il y a une
34:38augmentation
34:39et sur le 3e,
34:40vous disiez
34:414e âge.
34:42Ça veut dire que,
34:43vous savez,
34:44le marché,
34:45nous on est déjà
34:46sur un marché
34:47en hypercroissance
34:48depuis 20 ans
34:49parce que ça ne fait
34:50que s'accélérer.
34:51Après,
34:52s'adapter à ça,
34:53c'est pas compliqué.
34:54On met les ressources
34:55nécessaires.
34:56La franchise
34:57c'est fait pour ça.
34:58Ça veut dire que
34:59des ressources,
35:00il faut aller chercher
35:01des financements.
35:02Donc en permanence,
35:03nous par exemple,
35:04construire des cuisines
35:05dédiées sur le territoire
35:06de manière à aller nourrir
35:07tous nos convives.
35:08Donc ça,
35:09on sait s'adapter.
35:10Ensuite,
35:11il y a un enjeu national
35:12quand même.
35:13Il va falloir que
35:14nos grands seigneurs
35:15puissent payer
35:16les services.
35:17Ça,
35:18c'est toujours un grand sujet.
35:19Donc,
35:20on a des aides,
35:21on a l'APA,
35:22on attend depuis longtemps
35:23un plan grand âge.
35:24Donc,
35:25c'est une cause nationale
35:26et elle n'est pas seulement
35:27sur les épaules
35:28des franchiseurs.
35:29En plus,
35:30vous n'êtes pas
35:31uniquement à domicile.
35:32Vous livrez aussi
35:33dans des institutions,
35:34dans des établissements
35:35et dans des entreprises.
35:36Donc,
35:38Non,
35:39nous,
35:40que le domicile.
35:41On est service à la personne,
35:42ça veut dire que le domicile.
35:43Les institutions,
35:445 ans,
35:45même si on peut livrer
35:46dans des résidences
35:47pour personnes âgées
35:48parce que c'est un domicile privé
35:49mais on ne va pas...
35:50Alors,
35:51l'EPA,
35:52la plupart du temps,
35:53fabrique ses repas,
35:54sert ses convives.
35:55Donc,
35:56non,
35:57on n'est vraiment
35:58que sur le domicile.
35:59Et c'est vrai que
36:00vous disiez,
36:01il y a un enjeu national
36:02pour aller aider au quotidien,
36:03apporter des repas.
36:04C'est une cause
36:05qui va nous demander
36:06à tous
36:07beaucoup de travail
36:08et beaucoup d'investissement.
36:09Pour vous,
36:10Mouda,
36:11faire face à ce marché
36:12croissant.
36:13Oui,
36:14alors,
36:15comme l'a dit Corine,
36:16en fait,
36:17la franchise,
36:18elle permet aussi
36:19de multiplier la présence
36:20sur le territoire
36:21et je pense que nous,
36:22en tant que professionnels,
36:23ça va nous demander aussi
36:24un travail d'évolution
36:25de notre proposition
36:26et de notre offre.
36:27Les personnes âgées
36:28d'aujourd'hui
36:29et de demain
36:30ne sont pas les personnes âgées
36:31d'hier.
36:32Ils ont des exigences
36:33et des demandes
36:34différentes.
36:35Ils se positionnent réellement
36:36comme un client
36:37et c'est très bien
36:38et c'est tant mieux.
36:39Ils sont exigeants.
36:40Exactement.
36:41Et donc nous,
36:42en tant que prestataire de service,
36:43en tant qu'apporteur de solution,
36:44nous devons être au rendez-vous
36:45et donc nous devons également
36:46faire évoluer notre proposition
36:49pour être à ce niveau d'exigence.
36:51Alors,
36:52quand on parle des personnes
36:53d'un certain âge,
36:54quand on parle des seniors,
36:55on parle du besoin
36:56de lien social,
36:57on parle du besoin d'autonomie,
36:58du pouvoir d'être mobile.
37:01Et là,
37:02c'est tout à fait
37:04je dirais assez amusant,
37:05c'est qu'on a avec nous
37:07une société qui est Point S,
37:09représentée par Débora Binisti.
37:11Alors moi,
37:12je n'avais pas pensé à Point S
37:13pour les personnes d'un certain âge
37:15et pourtant,
37:16dans le développement,
37:17vous avez pensé à nos seniors.
37:18Aussi bien dans le développement
37:19qu'il faut savoir que Point S
37:21est né en 1971.
37:23Donc on a des seniors chez nous.
37:25Un paquet.
37:26On a les seniors,
37:27on a donc des papys,
37:28des papas
37:29et des enfants aujourd'hui
37:30qui représentent le réseau.
37:31Vos collègues.
37:32C'est un réseau
37:33qui est fait de 100% d'indépendants.
37:35Nous n'avons aucune succursale.
37:37Et aujourd'hui,
37:38pour aider nos seniors,
37:39eh bien on continue
37:40notre développement
37:41aussi bien avec eux
37:42parce qu'un senior
37:43qui est en retraite
37:44et qui est encore en pleine forme,
37:45il peut bien évidemment investir
37:47et donner toute son expérience
37:48et son savoir-faire
37:50en étant aidé,
37:51bien évidemment,
37:52très souvent par des chefs d'atelier
37:53qui sont un peu plus jeunes.
37:55Et ça nous permet
37:56de continuer
37:57donc à développer notre maillage.
37:58Aujourd'hui,
37:59on a presque 700 points de vente
38:01mais on souhaite encore se développer
38:03parce que nous sommes
38:04le commerçant de proximité
38:05pour aider aussi
38:06ces seniors
38:07qui ont des voitures,
38:08de ne pas aller
38:09trop trop loin
38:10pour pouvoir
38:11entretenir leurs voitures,
38:13pour pouvoir réparer.
38:14Voilà, c'est ça.
38:15Alors point S,
38:16c'est dépannage,
38:17c'est réparation,
38:18évidemment.
38:19C'est les pneus, c'est tout.
38:20Absolument.
38:21Quel est le profil
38:22de vos franchisés aujourd'hui ?
38:23Est-ce que ce sont
38:24d'anciens garagistes ?
38:25On a un peu de tout.
38:26On a des profils
38:27très hétéroclites
38:28chez Point S.
38:29J'aime le dire
38:30parce qu'effectivement,
38:31on va avoir aussi bien
38:32des personnes
38:33qui viennent du monde
38:34de l'automobile
38:35que des investisseurs
38:36qui ont une certaine appétence
38:37ou qui sont intéressés.
38:38Et nous,
38:39on est là
38:40effectivement
38:41pour les accompagner
38:42à se développer
38:43et à émerger
38:44dans cette nouvelle activité.
38:45Il y a des femmes
38:46chez Point S ?
38:47Il y a des femmes
38:48franchisées chez Point S ?
38:49Alors dans le monde
38:50de l'automobile,
38:51il y a peu de femmes.
38:52Trop peu.
38:53Mais nous,
38:54on a cette chance
38:55déjà au comité de direction
38:56d'avoir des femmes
38:57chez Point S
38:58et je salue
38:59les femmes.
39:00Et très souvent,
39:01quand on a un homme,
39:02il y a une femme
39:03qui est avec.
39:04Et d'ailleurs,
39:05je le précise,
39:06vous êtes sur Sud Radio,
39:07c'est aussi la radio de l'auto.
39:08On a deux émissions hebdomadaires
39:09sur l'automobile.
39:10A chaque fois,
39:11elles sont paritaires
39:12parce qu'on a
39:13Jean-Luc Moreau
39:14et Laurence Perrault
39:15le samedi.
39:16On parle auto
39:17et on a aussi
39:18Cécile Domenibus
39:19et Philippe David
39:20le jeudi soir
39:21dans les Vrais Voix.
39:22Et pour une franchise
39:23comme Point S,
39:24financièrement,
39:25il faut compter combien ?
39:26Alors ça va dépendre
39:27parce qu'on a plusieurs concepts.
39:28C'est l'automobile
39:29que l'on a le plus
39:30chez nous.
39:31Donc,
39:32on a des droits d'entrée.
39:33Après,
39:34il y a une formation,
39:35etc.
39:36Donc,
39:37il faut compter
39:38à peu près 30 000 euros
39:39pour avoir un package
39:40et pouvoir rentrer chez nous.
39:41Et après,
39:42il y a toute une question
39:43d'investissement
39:44parce qu'il y a des locaux.
39:45Mais ça,
39:46on est là pour épauler
39:47nos adhérents.
39:48Vous avez un service
39:49développement
39:50qui est fait de responsable
39:51de développement
39:52qui sont avec moi
39:53là aujourd'hui
39:54et qui sont vraiment là
39:55pour accompagner
39:56les personnes de A à Z
39:57qui nous surveillent.
39:58Ils nous regardent.
39:59Ils sont juste devant nous.
40:00Ils sont en plateforme.
40:01Plein d'enthousiasme.
40:02C'est un fan club.
40:03Vous avez vu,
40:04c'est hyper agréable.
40:05Mais en tous les cas,
40:06simplement pour vous dire
40:07qu'on va être là
40:08pour s'adapter
40:09et en fonction des concepts.
40:10Vous avez des concepts
40:11dans le monde de l'automobile
40:12mais on parle de mobilité
40:13et on parle de senior.
40:14On sort aussi
40:15d'autres concepts
40:16comme le concept
40:17écomobilité,
40:18des mobilités douces
40:19avec des vélos électriques
40:20parce que quelques fois
40:21prendre la voiture,
40:22ça devient plus compliqué
40:23mais c'est bon pour la santé
40:24donc d'avoir des vélos électriques,
40:26de pouvoir avoir
40:27des trottinettes
40:28pour que nos seniors
40:29puissent continuer
40:30à se déplacer.
40:31Vous êtes présente
40:32à l'international.
40:33Oui.
40:34Vos projets
40:35sur les 5 ans ?
40:36On a toujours
40:37de beaux projets.
40:38On ouvre près
40:39d'un centre par jour
40:40dans le monde
40:41de G.S.
40:42Un centre par jour ?
40:43C'est l'année dernière
40:44370 centres
40:45en une année
40:46et on est
40:47à plus de 6500
40:48points de vente
40:49dans 51 pays différents
40:50et on a un objectif
40:51à 2030
40:52d'être à 10 000
40:53points de vente
40:54dans le monde
40:55et 1000 points de vente
40:56en France
40:57pour rester toujours
40:58à proximité
40:59des clients.
41:00Je vois nos deux autres
41:01invités qui vous écoutent
41:02qui sont complètement
41:03intimidés.
41:04C'est 13ans.s
41:05jusqu'en Chine
41:06figurez-vous.
41:07Exactement.
41:08Oui.
41:09C'est incroyable.
41:10Formidable.
41:11Comme quoi vous voyez
41:12ce que vous pouvez conquérir
41:13avec un réseau de franchisés.
41:14Ça c'est impressionnant.
41:15Catherine.
41:16Et vous
41:17Uda et Claire
41:18vos projets sur 5 ans ?
41:19Corinne.
41:20Corinne, pardon.
41:21Nos projets
41:22c'est toujours les mêmes
41:23on fait entre
41:2415 et 20%
41:25de croissance
41:26avec des ouvertures
41:27qui sont de l'ordre
41:28d'une dizaine d'ouvertures
41:29et surtout un gros enjeu
41:30aujourd'hui
41:31je vous le disais tout à l'heure
41:32on a recruté
41:33pas mal de seniors
41:34ils partent en retraite
41:35ils changent de vie aussi
41:36donc c'est de garder
41:37et nous c'est vraiment
41:38un challenge
41:39et on arrive
41:40à le tenir
41:41de garder
41:42toutes nos agences
41:43qu'elles soient pérennes
41:44on n'en a jamais
41:45fermé jusqu'à présent
41:46donc il faut
41:47trouver après
41:48le repreneur
41:49qu'il soit un franchisé
41:50ou un autre
41:51ou un autre
41:52franchisé
41:53ou un nouveau franchisé
41:54donc c'est ça
41:55la solidité d'un réseau
41:56c'est ça aussi
41:57c'est pas seulement
41:58de recruter
41:59c'est de garder
42:00ces franchisés
42:01de les fidéliser
42:02Deborah, vous avez
42:03des histoires de famille
42:04dans vos franchisés ?
42:05On en a beaucoup
42:06et on sort même
42:07une certaine académie
42:08sur cette année
42:09parce qu'on est là
42:10pour être toujours
42:11dans la transmission
42:12c'est une histoire
42:13de famille
42:14comme je vous l'ai dit
42:15au départ
42:16c'est un réseau
42:17fait de 100% indépendant
42:18on est en mode coopératif
42:19chez Point S
42:20c'est aussi ce qui fait
42:21qu'on s'adapte
42:22et on évolue
42:23avec nos adhérents
42:24et donc on a
42:25aujourd'hui
42:26des papys
42:27qui viennent
42:28avec leurs petits enfants
42:29dans nos marketplaces
42:30pour leur apprendre
42:31le métier
42:32oui c'est fabuleux
42:33et c'est hyper agréable
42:34de voir ça
42:35parce que ce sont
42:36les nouvelles générations
42:37qui continuent
42:38et qui perdurent
42:39chez Point S
42:40la transmission
42:41en quelque sorte
42:42dans le monde
42:43de la franchise
42:44vous savez quoi ?
42:45Ouda Karaouli
42:46on vous souhaite
42:47le même développement
42:48que le géant Point S
42:49juste franchisé
42:50je vous le rappelle
42:51vous êtes directrice générale
42:52des bienveillants
42:53merci également
42:54à Corinne Dupla
42:55merci
42:56d'être venue nous donner
42:57fin d'ailleurs
42:58directrice générale
42:59des menus services
43:00et donc
43:01Débora Binisti
43:02exactement
43:03c'est l'heure
43:04directrice du développement
43:05de Point S
43:06cette émission
43:07vous la retrouvez
43:08en podcast
43:09sur sudradio.fr
43:10Catherine Bulli
43:11merci à vous
43:12merci à vous
43:13mon cher Jean-Marie
43:14toujours
43:15écoutez j'espère
43:16toujours
43:17question d'éducation
43:18évidemment
43:19voilà
43:20toujours à midi
43:21merci beaucoup
43:22chers amis
43:23la suite de vos programmes
43:24aujourd'hui
43:25c'est excellent
43:26vous retrouverez Judith Bélair
43:27à partir de 19h
43:28avec ses invités
43:29elle sera notamment
43:30en compagnie de Tristan
43:31petit regard
43:32metteur en scène
43:33il vient avec sa nouvelle pièce
43:34Le Prix
43:35et vous retrouverez
43:36les autres programmes
43:37bien entendu
43:38à suivre
43:39In Vino
43:40Sud Radio
43:41avec Anna Marti
43:42vous verrez
43:43c'est aussi une histoire
43:44de famille Levin
43:45même si c'est en toute modération
43:46bien sûr
43:47c'est juste après
43:48à bientôt