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##L_INVITE_DU_JOUR-2025-02-17##

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Transcription
00:00Le 10h midi, Sud Radio Média, Patrick Roger, Gilles Anzmann.
00:05— Bah oui, on fait coucou au passage à Valérie Expert, qui revient demain, bien sûr, Christine Bouilloux,
00:12aussi qui l'a remplacée avec Talent, on la salue. — Ah oui, je crois que j'ai testé tout le monde, moi.
00:17— Vous avez testé tout le monde, même Jean-Marie Mordray. Et vous me testez aujourd'hui.
00:20— Je vous teste aujourd'hui. — Eh bah écoutez, je suis prêt. Je suis prêt, évidemment, avec vous.
00:26Alors on va parler dans un instant des droits du foot, notamment. — Ah oui, on peut demander.
00:31On a Bruno Fraioli, qui est là. Vous êtes réélecteur en chef de sportbusiness.club.
00:37— Oui. Et on sera aussi avec Michel Moulin, qui anime le But football club chaque jeudi soir sur Sud Radio,
00:44qui est un ancien président et qui, depuis un petit bout de temps, est en croisade contre ce qui se passe
00:49entre la Ligue et les opérateurs pour essayer de commercialiser le football, la Ligue, notamment.
00:55— Si Dazone s'en va, ça veut dire qu'on ne pourra plus voir les matchs de foot, vous pensez ?
01:00— Est-ce qu'on a peur de l'écran noir ? Est-ce qu'on a peur de l'écran noir ? C'est ça, la question ?
01:03— Oui. — Alors je pense qu'il y aura quand même une solution. Il y a une solution.
01:06On n'est pas dans la même situation que Média Pro, il y a 2 ans. Là, c'est simplement Dazone qui tape du poing sur la table.
01:14Enfin simplement, Dazone tape du poing sur la table pour dire « Écoutez, moi, je mets quand même quelques millions
01:21pour diffuser les matchs de Ligue 1. Vous nous aviez proposé, amené, promis certaines choses.
01:30Et ce n'est pas là ». Ce n'est pas là pour valoriser ce championnat de Ligue 1. Et donc les audiences ne sont pas là.
01:37Et j'arrive pas à rentabiliser. — Oui. Alors il y a beaucoup de choses derrière. On va voir tout ça derrière,
01:42parce qu'il y a d'un côté de la « piraterie », si je puis dire, sur les réseaux. Bien sûr, sur les réseaux.
01:48Puis ils avaient lancé un abonnement quand même très très cher. Les gens en auront le bol des abonnements,
01:52parce qu'il y en a partout, en fait, aujourd'hui. — Ah, des plateformes partout aussi, oui.
01:55— Des plateformes partout. Non, mais les abonnements du téléphone, etc. Donc tout ça, évidemment,
01:59alors que pouvoir d'achat, il y a quand même un gros problème. Allez, le zapping avant ça.
02:03— Allez, le zapping.
02:05Sud Radio Média. L'instant zapping. — C'est un moment fort que les supporters de foot ont vécu hier.
02:13Le but de Nabil Bentalab, à peine rentré sur le terrain, il a libéré l'île face à Rennes.
02:19Alors il faut savoir que le 18 juin 2024, Nabil Bentalab était victime d'un arrêt cardiaque.
02:25Et désormais, il a un défibrillateur qui est relié à son cœur. Il joue avec un défibrillateur.
02:33Alors hier, c'était son premier match depuis son accident. Et l'émotion du buteur était forte,
02:38puisque quelques minutes après être rentré sur le terrain, il a mis un pute.
02:42On l'écoute interviewer, justement, au micro de Dazan.
02:45— C'est un moment assez particulier pour moi. Je passe du tout au rien. Je passe de la tribune
02:48à regarder les copains sans savoir si je vais faire partie de cette aventure.
02:52Du jour au lendemain, je m'entraîne du jeudi et du vendredi. Bon, maintenant,
02:55parce que j'ai potentiellement la capacité d'être dans le groupe. À la dernière minute,
03:00je sais pas si je vais rentrer. On me dit de rentrer. Mais sur le corner, j'avais un peu...
03:04— Tu l'avais senti ? — Ouais, je sentais que j'allais marquer.
03:07— Qu'est-ce que tu te dis, là, à ce moment, quand tu entres ?
03:09— Je me dis qu'il faut que j'aide l'équipe. Là, ça fait 0-0.
03:12Le coach m'a fait rentrer un peu plus haut sur le terrain. Et là, par contre, je l'ai visualisé.
03:18C'est la première fois que ça m'arrive. — C'est ton premier but avec Lille ?
03:21— Ouais, c'est mon premier but avec Lille. Je l'ai fait la saison passée. J'ai pas marqué.
03:25— Voilà des moments forts durant le championnat. C'est des moments comme ça qu'il faut pour qu'on s'abonne.
03:30Et Nabil Bentaleb, hein, je dis Bentaleb. — Oui, Bentaleb, oui, bien sûr,
03:34qui avait été victime d'une attaque cardiaque. — Ce sont des histoires, des émotions,
03:38ainsi que recherchent les fans, les supporters. Il y a évidemment la performance sportive,
03:42la performance sportive du club. Mais derrière, effectivement, il y a toutes ces histoires,
03:46ces belles histoires. — Oui, parce que lui, il faut rappeler, il faut préciser,
03:50on n'est pas dans une émission de sport, là. — Non, non.
03:52— J'ai le glanzement. Mais quand même, c'est une histoire humaine, ça, cette histoire,
03:56parce que lui, il a été victime de cette attaque, en fait, cardiaque. Il a failli mourir.
03:59Il a été sauvé grâce à un défibrillateur. On lui avait dit qu'il ne pourrait probablement
04:04plus jouer, en fait, au football. Et quelques mois après, il est là, il rentre,
04:08quelques minutes, et il marque un but de façon... — Formidable.
04:12— Oui, formidable. C'est vrai. Enfin pas formidable pour les supporters rennais, mais bon...
04:15— C'est une autre émotion qui s'est emparée de notre premier ministre, François Bayrou,
04:21comme sonnée à l'écoute de l'Association des victimes de Bétharame. C'était samedi.
04:25Les caméras du 20h de France 2 étaient sur place.
04:28Comment trouver les mots justes ? François Bayrou arrive ce matin à la mairie de Pau
04:32pour rencontrer les victimes. L'ambiance est lourde. À l'extérieur, certains réclament sa démission.
04:36En 1996, que savait celui qui était alors ministre de l'Éducation nationale de ce qui se passait
04:41à Notre-Dame de Bétharame ? Les violences, les sévices sexuels commis pendant des années
04:46dans cet établissement catholique sur au moins une centaine d'élèves. Ce sont quelques-uns
04:50d'entre eux qui sont face à lui aujourd'hui. La rencontre va durer plus de 3 heures.
04:54À la sortie, l'émotion est très vive.
04:57Monsieur le Premier ministre, entendez comment ça fait mal à chacun de nous
05:03de nous retrouver ici pour dénoncer l'OMERTA. Entendez ces crises indélébiles
05:08qui resteront à jamais gravées au fond de nos trites.
05:12Vous avez eu cette image, Patrick, du ministre tétanisé à côté de ce discours.
05:20Oui, puis lui-même, il avait été interpellé à l'Assemblée nationale
05:23puisqu'on lui posait la question. Vous étiez au courant, vous n'avez pas arrêté les choses.
05:28Lui dit sur sa bonne foi, écoutez, je savais évidemment qu'il se passait des choses,
05:34mais quand je suis ministre de l'Éducation, moi-même, j'ai eu des enfants là-bas,
05:37je n'étais pas au courant précisément de tout ce qui se passait.
05:41On a eu un témoignage ce matin assez fort et très émouvant sur ceux de radio
05:45avec Jean-Jacques Bourdin à 7h10 d'un ancien élève qui voulait aller à Bétharame.
05:50Il le disait lui-même avant, parce que Bétharame, c'était une véritable institution,
05:54après on est d'accord ou pas d'accord, mais dans le sud-ouest, comme beaucoup d'écoles catholiques,
05:59sauf que quand il y est allé et qu'il a vu les méthodes, on lui tapait dessus, etc.
06:03C'était très dur, sans parler du harcèlement sexuel qu'il y a eu sur certains.
06:10Maintenant, ce qu'ils ont du mal à entendre les victimes, c'est qu'on leur dise « il y a prescription ».
06:18Et quand on a été victime, se dire « il y a prescription », c'est très difficile à entendre.
06:22Je ne sais pas ce que vous en pensez, Bruno Fraioli, sur cette histoire.
06:26– Je suis là-dessus maintenant, alors on est un peu en dehors du sport.
06:28– Bien sûr, bien sûr.
06:30– Je n'ai pas forcément d'avis à donner.
06:31– Bruno, vous avez des enfants ou pas ?
06:33– Oui, tout à fait, oui.
06:35– Ils ont quel âge, sans indiscrétion ?
06:36– Ils ont l'âge d'avoir des enfants, je suis grand-père même.
06:41– Et vous, vous avez des enfants, Patrick, mais ils ne sont pas jeunes, vos enfants ?
06:43– Non.
06:44– Pourquoi ?
06:46– Parce que depuis qu'il y a eu l'émotion, évidemment, sur cette affaire de Louise,
06:58il y a eu une conséquence, c'est l'envolée des ventes des marqueurs électroniques.
07:01Vous avez ces petits marqueurs qu'on met dans les sacs de ses enfants pour suivre en temps réel où ils sont.
07:07Alors si ça rassure les parents, évidemment, ça inquiète les jeunes qui n'ont pas envie d'être fliqués
07:13ou de que leurs parents sachent où ils sont à tout moment.
07:16Reportage sur France 2.
07:17– La journée, il garde un oeil sur votre enfant.
07:20Un capteur discret autour du cou ou à l'intérieur d'une montre.
07:24Il permet de suivre à tout moment les déplacements sous une application de votre téléphone.
07:29De plus en plus de parents songent à s'équiper.
07:31Jérôme Debris n'a pas hésité à mettre un capteur comme celui-ci dans le sac de son fils de 14 ans
07:36et dans la voiture lorsque sa fille de 17 ans l'utilise.
07:39– Je trouve que c'est rassurant d'avoir quelque chose qui le géolocalise quelque part
07:43et savoir s'il est au bon endroit au bon moment et à l'endroit surtout où on lui dit d'être.
07:47– Il peut la suivre en direct comme ici, ce qui n'est pas sans agacer la jeune fille.
07:52– Je comprends que mes parents puissent mettre une puce GPS dans ma voiture
07:56et me géolocaliser grâce au téléphone, mais je trouve ça un petit peu oppressant
08:01parce que je vais avoir 18 ans et j'aimerais bien être un petit peu plus libre.
08:07– Moi ça va, je l'ai mis à mes clés et à ma valise.
08:10– Non mais c'est un vrai sujet évidemment aujourd'hui pour les parents.
08:14Alors il y a ces petites puces, ces petits appareils que je connais bien
08:17qu'à la base en fait on mettait aussi dans les bagages pour surveiller les bagages
08:23ou bien sûr quand les bagages partent et qu'on prend à l'avion.
08:26Il y a aussi la géolocalisation sur les téléphones portables qui fonctionne aussi,
08:31il faut que le téléphone soit allumé.
08:35C'est une société de contrôle en quelque sorte, nous en sommes là.
08:39Bruno Fragioli.
08:40– Il y a aussi tous les systèmes pour repérer les athlètes, les sportifs sur les stades
08:46qui permettent de savoir combien de kilomètres ils ont couru pendant un match.
08:49C'est le même système.
08:50– C'est le même système, ça c'est incroyable,
08:52oui bien sûr ils ont ça dans les chaussettes en fait.
08:54– Ils ont ça, non, dans le dos, on verra, il y a une petite bosse sur le maillot.
09:01– Oui, des capteurs pour savoir combien de kilomètres ils ont parcours.
09:04– Non, on s'éloigne de ça, mais c'est la technologie qui est à notre service,
09:09normalement, bon après on arrive.
09:12– Oui, oui, absolument.
09:13– S'ILIA envahit notre univers partout, c'est le plus,
09:17vous savez l'argument plus de dire, il y a de l'IA maintenant,
09:20c'est l'argument massue, l'IA est mise à toutes les sauces
09:23et aujourd'hui certains l'utilisent pour vraiment, pour pas grand-chose.
09:27Quotidien, c'est moquer des reportages qu'il y a eu durant le sommet
09:31sur des gens qui l'utilisent l'IA mais pour presque rien.
09:34– Marc est à fond sur l'IA.
09:36– L'IA s'invite aussi dans certains téléphones, comme dans celui de Marc,
09:40il l'a depuis une semaine et il n'arrête pas de lui poser des questions.
09:44– C'est quand déjà le concert où je vais avec Benjamin ?
09:46– Ben, appelle Benjamin plutôt qu'un data center basé dans l'Iowa.
09:50– J'utilise ChatGPT essentiellement pour savoir les couleurs qui vont ensemble.
09:53– Alors cette personne utilise ChatGPT pour s'habiller en couleurs.
09:57– Et quand vient l'heure du dîner, en cas de panne d'inspiration,
10:00son téléphone lui souffle même des idées.
10:03– Je me suis rendu compte que je cuisinais plus
10:06et aussi je découvrais plus de plats à faire.
10:08– Donc on va faire un arrêt sur image sur le frigo,
10:11on voit des poivrons, des champignons, des pâtes, des légumes dans le bac,
10:15des oeufs, des oeufs frais, des cornichons, du fromage blanc
10:17et voici ce qu'il fait grâce à l'intelligence artificielle, une quiche !
10:23Merci l'IA, non mais Marc, avec tout ce qu'il a dans le frigo,
10:25il fait une quiche pourrie avec une pâte déjà prête.
10:28– Eh oui, l'IA, toutes les sauces.
10:31Vendredi c'était la Saint-Valentin.
10:32– On se moque, on se moque là, mais bon, ça sert quand même aussi dans d'autres domaines.
10:36– Mais bien sûr, mais c'est quotidien, c'est de l'humour.
10:39Vendredi c'était la Saint-Valentin, vous avez offert des fleurs,
10:43vous étiez au restaurant avec votre valentine.
10:46Mais il y avait également la 40ème cérémonie des Victoires de la Musique,
10:49vous savez que je finis toujours mon zapping avec de la musique,
10:51qui a vu triompher Santin, Zao de Sagazan, Gims et le jeune Pierre Garnier
10:56qui est reparti avec deux trophées.
10:57– J'aimerais garder le meilleur de ce qu'on était
11:03et je sais qu'ailleurs t'iras chercher
11:06– Vous voyez, ça marche, l'Astaraquin, depuis qu'il appelle Astaraque.
11:10Quel succès incroyable.
11:12– C'est le véritable tremplin en fait aujourd'hui.
11:14– Absolument.
11:15– Allez, nous poursuivons dans Paris 24 qui a été récompensé également.
11:18– Oui aussi, Paris 2024, en musique.
11:21– C'est vrai, en musique, les cérémonies.
11:24De la cérémonie, c'est ça.
11:25– Toutes les cérémonies, les quatre.
11:27– L'accordéoniste a été récompensé, non ?
11:30Toujours pas, moi je me bats en fait pour qu'il soit récompensé.
11:32– Il est séché depuis.
11:33– Non mais c'est vrai, parce qu'il était sur le pont, il est formidable.
11:37Il interprète de la musique classique à l'accordéon.
11:41Il a remis au goût du jour l'accordéon qui était un peu dépassé,
11:45style Valéry Giscard d'Estaing.
11:47– Oui, c'est vrai, à l'accordéon.
11:48– Dans un instant, est-ce qu'il y aura un écran noir pour le football demain ?
11:53On n'y comprend plus rien avec Dazone en haut.
11:56Si vous ne connaissez pas Dazone,
11:57parce que tout le monde ne connaît pas Dazone, bien sûr,
12:00on va tout vous dire dans un instant.
12:02Le 10h midi, Sud Radio Média, Patrick Roger, Gilles Gansman.
12:09Sud Radio Média, les invités du jour.
12:14– Les invités du jour, mon cher Gilles Gansman.
12:16– Oui, les invités du jour, nous avons Bruno Fraioli,
12:19journaliste média et rédacteur en chef du site sportbusiness.club.
12:24Et on a au téléphone Michel Moulin qu'on retrouve sur Sud Radio
12:27tous les jeudis dans les vraies voix du foot à 20h.
12:30Les vraies voix du foot, c'est aussi le mardi et le mercredi.
12:32– Le but football club.
12:33– Le but football club. Bonjour M. Moulin.
12:36– Bonjour M. Danes.
12:37– Merci d'être avec nous.
12:39Alors, venons-en avec vous Bruno Fraioli.
12:43Déjà, il y a un problème, il y a un litige aujourd'hui
12:47entre Dazone, qui est le diffuseur de la Ligue 1,
12:51et la Ligue de football.
12:53Quel est ce litige ?
12:54– Le litige, c'est tout simplement que Dazone,
12:58qui est une plateforme britannique de diffusion de programmes sportifs,
13:03Dazone, ça s'écrit D-A-Z-N, ça se prononce Dazone,
13:07la zone en anglais, ça a été créé en 2015
13:10et ils ont, depuis inonder la planète, acheté des droits un peu partout dans le monde.
13:14Et donc, ils arrivent en France très récemment,
13:16ils sont arrivés il y a à peine une grosse année,
13:21ils sont arrivés, ils ont déjà acheté quelques droits
13:23et là, c'était vraiment le gros morceau, la Ligue 1.
13:26Et ils payent 400 millions d'euros par an
13:33pour acquérir une grosse partie des droits de la Ligue 1
13:37et finalement, ils se rendent compte que le produit qu'ils diffusent,
13:41qu'ils ont, ne correspond pas forcément aux promesses qu'ils ont eues
13:45pour différentes raisons.
13:46– C'est quoi les promesses qu'ils ont eues ?
13:48C'était quoi les promesses qu'ils ont eues ?
13:50– C'était filmé, entre autres, dans les vestiaires des clubs
13:53et tous les clubs ont refusé.
13:54– Alors, il y a ça, mais est-ce que vraiment on va regarder,
13:58on va s'abonner à Dazone ou Amazon ou Canal+,
14:01pour avoir les interviews d'après-match,
14:03on va regarder le match avant tout ?
14:06– Mais les interviews, ils les ont d'après-match d'ailleurs.
14:09– Ils les ont, oui, d'ailleurs.
14:10Je pense que c'est surtout, il râlait sur, pas la complicité,
14:15mais en tous les cas, le travail que pouvaient faire les clubs
14:19pour mettre en avant leur offre.
14:22A priori, ils critiquent le fait que certains clubs
14:25n'ont pas mis l'offre Dazone en avant sur les sites internet
14:28pour les abonnements par exemple.
14:30– Ah oui, d'accord.
14:31– Bon, et donc c'est en cela qu'ils disent,
14:33on arrête, on suspend le règlement, c'est ça ?
14:37– Alors, ils n'ont pas suspendu,
14:40puisqu'ils ont mis de côté les 35 millions
14:42qui peuvent être dégelés sur un fonds de séquestre,
14:4735 millions qui était l'échéance qu'ils devaient payer
14:49là au mois de février, je crois,
14:52et ils demandent à la Ligue de bouger.
14:55Je pense qu'ils sont rentables à partir d'un million et demi,
14:59d'après ce que j'ai lu, je ne suis pas un expert.
15:00– Un million et demi d'abonnés, ouais.
15:02– Et aujourd'hui, ils sont autour de 500 000,
15:04donc ils sont assez loin,
15:06mais ça vient de commencer quand même en septembre aussi.
15:09– Oui, mais il faut dire aussi qu'ils avaient un abonnement
15:12qui était très élevé au début,
15:14ils sont partis à combien ?
15:15Une trentaine d'euros, c'est ça ?
15:17– C'était à 39 euros.
15:19– 39 euros, donc beaucoup de gens ne sont pas abonnés,
15:23alors ils ont fait des opérations promotion,
15:25il y avait des soldes tous les jours, quasiment,
15:28pour descendre aujourd'hui à 10 euros,
15:30donc ça ne sera plus pour eux rentable.
15:32– Oui, c'est ça, une dizaine d'euros, j'ai une dizaine de chiffres.
15:34– Oui, bien sûr.
15:35– C'est le problème, justement,
15:37et c'est le problème aussi de la France,
15:38est-ce que la France est un pays de téléspectateurs
15:43qui peuvent mettre des dizaines d'euros par mois
15:45pour acheter une chaîne pour regarder les matchs de football ?
15:51C'est sans doute le cas en Angleterre,
15:53c'est peut-être le cas également en Italie, en Allemagne,
15:57qui sont tous des pays qui dépassent le milliard d'euros de recettes
16:02en droits de télé domestiques, l'Espagne aussi,
16:05et la France, on est un petit peu au milieu,
16:07et c'est beaucoup plus difficile.
16:09– Oui, à part que Dazo n'arrive pas sur quelque chose
16:14sans être aperçu que le précédent,
16:17il y avait déjà eu un précédent avec les Espagnols,
16:20et que ça avait été une catastrophe,
16:23donc ils auraient dû aussi réfléchir en voyant l'exemple de Médiapro
16:26qui était arrivé avec des tarifs très élevés aussi,
16:29que ça n'allait pas fonctionner avec les Français,
16:31donc ils auraient pu regarder, je ne sais pas ce qu'en pense Michel Moulin.
16:35– Michel Moulin, quel est votre regard, votre position sur cette histoire ?
16:39– Moi mon regard, il est beaucoup plus footballistique comme je dis,
16:44c'est que… ah, j'ai un retour là !
16:47– Oui, oui, c'est normal.
16:48– Non, non, il est plus footballistique,
16:51c'est le niveau du football français qui est très faible,
16:54et aujourd'hui, pourquoi les gens ne s'abonnent pas,
16:57c'est parce qu'ils n'ont pas envie de s'abonner,
16:59c'est que le spectacle n'est pas au rendez-vous, et de très loin,
17:03et tout ça parce qu'on a des présidents aussi bien,
17:05vous les voyez, comme ils sont très amateurs sur ce droit télé,
17:08parce que Médiapro, ils ont été très très amateurs,
17:12ils ont été attirés plus par le gain que par savoir
17:16que Médiapro n'avait pas les épaules pour me donner ce milliard,
17:21mais aujourd'hui le spectacle, moi j'ai encore regardé hier,
17:24vous savez que je suis un passionné,
17:25moi je me suis abonné parce que je suis très très très passionné,
17:29mais le spectacle n'est pas au rendez-vous,
17:30c'est des matchs insipides, il y a des matchs, il y en a un ou deux,
17:34il y a beaucoup d'équipes qui ne sont pas au niveau,
17:37des investissements que le football français aurait pu faire,
17:40parce que vous savez qu'il y a eu des droits commerciaux à un milliard et demi,
17:44il y a quand même certains droits télé,
17:46mais on a des équipes qui n'ont pas,
17:48quand vous parlez des Anglais, des Allemands, des Italiens, des Espagnols,
17:52il y a du spectacle, les gens vont…
17:53– Oui, attendez Michel Moulin,
17:55moi je mets un petit bémol, pour les grosses équipes effectivement,
18:01anglaises, italiennes et allemandes, il y a du spectacle,
18:04mais les autres ne sont pas forcément beaucoup mieux,
18:07je regarde de temps en temps les matchs,
18:09je suis un peu désolé de vous le dire,
18:11Marseille ce week-end, il y avait du spectacle, c'était assez passionnant,
18:16Paris-Saint-Germain, Brest a mis en difficulté les autres,
18:19il ne faut pas mettre ça que sur le dos du spectacle proposé.
18:25– Je vais revenir sur ce que vous dites,
18:28déjà Saint-Marseille il était sur Beyin Esports,
18:31il n'était pas sur MFA,
18:33donc vous voyez déjà vous avez fait un faux problème,
18:36il y a déjà le meilleur match qui est donné par Beyin,
18:39donc on est sur la zone,
18:41mais quand vous voyez des clubs,
18:44et là je ne peux pas être d'accord avec vous,
18:45quand vous voyez des clubs,
18:47même Anglais dans les derniers bas-fonds,
18:49il suit ce week-end a fait un super match,
18:54quand vous regardez Le Havre, quand vous regardez Angers,
18:56enfin Angers c'est pas mal son match,
18:58quand vous voyez Saint-Etienne, quand vous voyez Montpellier,
19:02quand vous regardez, c'est inimaginable le niveau,
19:05inimaginable, le système donner le ballon derrière,
19:10bon Brest c'est pas mal,
19:11mais regardez Nice, c'est troisième de notre championnat,
19:14je vais vous donner un contre-exemple par rapport à ce que vous avez dit,
19:17Nice c'est troisième de notre championnat,
19:19elle n'a pas gagné un match de coupe d'Europe UFA,
19:22pas un, ils ont fini 35ème,
19:25et ils sont troisième,
19:26et il y a Dante qui a 41 ans, qui c'est fabuleux,
19:29qui continue à jouer,
19:30moi je vous dis aujourd'hui,
19:32je suis un fin connaisseur de football vous le savez,
19:35le résultat,
19:36bon et après sur les droits à télé aujourd'hui,
19:39si vous voulez parler des droits à télé,
19:40là il y a un amateurisme de nos dirigeants,
19:44le problème c'est que c'est les mêmes protagonistes que la première fois,
19:48moi je peux le dire parce que sur le disport,
19:51sur Mediapro le lendemain de l'offre d'un milliard,
19:54j'ai écrit que ça ne pouvait pas être bon,
19:56j'avais mis peur sur le football français,
19:59j'ai monté une interview,
20:01je m'étais renseigné que Mediapro,
20:03les chinois n'avaient pas l'argent,
20:04c'était un dépôt de bilan,
20:06je m'étais renseigné qu'ils n'avaient pas pris de garantie bancaire,
20:10et en plus c'est que Didier Quillaud,
20:13le DG de l'époque,
20:15avait déjà pris ses 500 000 euros rapidement,
20:18et qu'il n'a jamais remboursé,
20:21là c'est les mêmes protagonistes aujourd'hui,
20:23c'est les mêmes dirigeants,
20:25ce n'est pas Quillaud mais c'est Labrune,
20:26mais ce n'est pas,
20:27mais Labrune était dedans,
20:29ils étaient dedans,
20:29les Aulas,
20:31tous ces gens sont autour de ce football,
20:34aujourd'hui la solution,
20:35pour la solution,
20:36parce qu'il y en a une,
20:38il faut que tous ces gens démissionnent,
20:40c'est-à-dire les Caillaux,
20:41les Nicolet,
20:42les Labrunes,
20:43tous ces gens sont des gens...
20:45– Oui mais alors s'ils démissionnent,
20:46qu'est-ce qu'il peut se passer derrière ?
20:47– Il faut prendre des dirigeants,
20:49il y en a qui sont des dirigeants qui sont professionnels,
20:52– Il faut juste préciser qu'il a été réélu par les clubs,
20:54c'est les clubs eux-mêmes qui l'ont réélu.
20:56– Oui mais la plupart c'est parce qu'ils sont mauvais,
20:58qu'ils sont avec lui,
20:58c'est-à-dire entre mauvais et sans d'âne,
21:01il y en a quelques-uns qui tiennent la route,
21:03il y a des gens comme Pierre Ferracci,
21:05il y a des gens comme Jean-Pierre Rivère
21:07qui ont été chefs d'entreprise,
21:08qui savent parler,
21:09il y a quand même sans oublier Karl Olive
21:12qui est dans le conseil de la ligue,
21:13qui a travaillé à Canal,
21:15la seule solution c'est que ces gens aillent voir Canal Plus,
21:19des nouvelles personnes,
21:20pas les Labrunes,
21:21tous ces gens-là qui n'ont jamais eu d'entreprise,
21:24donc qui ne savent pas communiquer avec des chefs d'entreprise.
21:26– Ben Nicolas il a eu une entreprise,
21:28bon attendez...
21:29– Son père, son père,
21:31et c'est son frère qui tient l'ordre,
21:33Nicolas il ne tient plus que le foot.
21:34– Alors Bruno Fragioli...
21:35– Je vous dis, excusez-moi pour être court,
21:39mais la solution,
21:40parce qu'il faut toujours critiquer,
21:42mais donner une solution,
21:43c'est des gens comme Jean-Pierre Rivère,
21:45c'est des gens comme Pierre Ferracci,
21:47c'est des gens comme Karl Olive qui est dans le conseil,
21:49qu'ils aillent voir en s'excusant Canal Plus,
21:52en leur disant vraiment,
21:53on s'est vu trop beau,
21:54excusez-nous d'avoir été...
21:56Comment on peut faire pour revenir avec vous ?
21:58C'est la seule solution, il n'y en a pas d'autre.
22:00– Mais je ne sais pas si Canal a envie de revenir dans le jeu.
22:02– Ça ne reviendra pas.
22:02– Bruno Fragioli...
22:04– Canal peut revenir dans le jeu d'après les échos que j'ai,
22:07avec des gens normaux en face d'eux,
22:10pas des gens qui se prennent pour...
22:11– Non mais voilà, qui se prennent pour des cadors.
22:13– Je ne suis pas et qui sont loin d'être des cadors.
22:17– Je suis effectivement ce que dit Michel Moulin,
22:20je pense que Canal n'est pas encore hors-jeu
22:22et que s'il y a une porte qui s'ouvre,
22:25les dirigeants de Canal iront discuter
22:27avec la ligue de football professionnelle.
22:29– Pour reprendre le foot quoi.
22:30– Maintenant Michel Moulin avec toute son antériorité de foot,
22:36de football, de dirigeant de club de football,
22:40à sa vision, ma vision elle est aussi marketing,
22:44et il y a un problème de marque,
22:45mais on se rejoint je pense avec ce que vient de dire Michel Moulin,
22:49maintenant je ne serais pas aussi rationnel de virer tout le monde.
22:54On est sur un univers où on a effectivement des chefs d'entreprise
23:00qui sont patrons de clubs,
23:02parce que je pense qu'il y a aussi un gros problème avec les clubs,
23:05qui prennent des décisions rationnelles quand ils sont patrons d'entreprise,
23:08et une fois qu'on est dans le football, il y a des décisions irrationnelles,
23:11on se demande pourquoi,
23:13il y a quand même eu 1,5 milliard payé par CVC pour avoir le fonds d'investissement
23:21pour rentrer dans la société, la filiale commerciale de la ligue de football,
23:27et qui demande 13% à vie de tous les droits de télé,
23:32c'est-à-dire que là sur les 500 millions,
23:34il y a 65 millions qui vont directement à CVC,
23:38et CVC s'ils partent aussi quand même sur ce format-là,
23:41ils ont plus de 20 ans pour rentrer dans leurs frais,
23:44donc à mon avis ils râlent aussi,
23:45et d'après l'article de l'équipe ce matin,
23:49justement il y aurait eu une réunion en juillet,
23:52où CVC a vraiment tapé sur les doigts à Vincent Labrune, le président de la LSE.
23:56Mais là on est en cours de saison,
23:57qu'est-ce qui peut se passer en cours de saison ?
23:59Dazone va aller jusqu'au bout quand même non ?
24:01Dazone va aller jusqu'au bout évidemment.
24:02Ils vont payer ?
24:03Oui, oui, oui, là c'est un coup de colère on va dire,
24:06c'est un coup de colère,
24:08mais il y a des choses à faire évidemment,
24:09le foot français n'est pas attractif,
24:11combien vaut le foot français ?
24:13Oui c'est ça la vraie question,
24:14est-ce que la ligue n'a pas su réévaluer le sport ?
24:16Forcément, Vincent Labrune qui est un homme de communication,
24:20que je connais quand même depuis très longtemps aussi,
24:22puisqu'il a travaillé à l'époque avec Jean-Luc Delarrue,
24:26Vincent Labrune avait parlé encore de cette barre du milliard
24:28qui affole tout le monde,
24:29mais le foot français ne vaut pas aujourd'hui,
24:32et il avait fait rêver les présidents de clubs qui l'ont suivi.
24:36C'est ça Michel Moulin, bien sûr.
24:37Oui, les présidents de clubs l'ont suivi,
24:40et ils dépensaient des fois des sous qu'ils n'avaient pas.
24:42Oui, oui.
24:43Ça vaut combien le championnat ?
24:46Pour une télévision, ça vaut combien le championnat français ?
24:48Il doit valoir là ce que ça vaut aujourd'hui,
24:50entre 500 et 600 millions d'euros.
24:52Oui c'est ça.
24:53Pas plus ?
24:54Non, pas plus.
24:55Ça se voit, ça se voit depuis…
24:56Non mais je suis assez d'accord là par rapport à ça, c'est vrai que…
24:59Depuis 2005, ça tourne autour d'entre 600,
25:02c'est monté à 700 à l'époque de Médiapro,
25:05on a vu ce que ça donnait,
25:06pour aujourd'hui redescendre à 500 millions.
25:08Oui, il y a des gens qui nous écoutent qui se disent
25:10mais les sommes colossales quand même dans le football quoi.
25:14C'est vrai, parce que c'est des joueurs, etc, tout ça.
25:17Pour voir ce spectacle, c'est ça, c'est ça.
25:21Mais qu'est-ce qu'on en fait justement ?
25:23Et en plus, Dazone hier soir,
25:25parce que j'ai regardé jusqu'au bout,
25:26parce que j'aimais bien voir tous les buts après,
25:29il fait une émission après le match,
25:32bien entendu, qui est très amateur aussi,
25:34parce que même Dazone, peut-être pour économiser aussi,
25:37il y avait une présentatrice journaliste,
25:40une nouvelle, elle a fait de ce…
25:42mais elle s'est trompée dix fois sur les résultats,
25:45sur les choses à dire, sur les mots, enfin…
25:50Et je trouve ça, c'est dramatique, pour moi c'est dramatique.
25:54Donc vous dites que l'une des solutions,
25:55c'est de nouveau de discuter paisiblement,
25:59tranquillement avec Canal+.
26:01Mais Canal+, il y a une donne…
26:03Gilles, vos informations sur Canal+.
26:05Il y a une donne qui a changé,
26:06c'est qu'aujourd'hui Canal+, est coté en bourse.
26:08Donc ils n'ont plus l'utilisation de leurs finances
26:10comme ils pouvaient le faire avant,
26:12car ça agit sur le cours de bourse.
26:14Donc aujourd'hui, ils font très attention à leur investissement,
26:17à ce qu'ils font, pour respecter ce cours de bourse
26:20qui est un peu en baisse par rapport à la valeur de départ.
26:23Donc il faut faire attention,
26:24parce que Canal+, n'est pas forcément
26:27une solution aussi facile qu'avant.
26:29Et puis l'un des autres problèmes par rapport à ça,
26:32c'est évidemment tous les sites pirates qui se sont…
26:35Ah oui, on n'a pas parlé de l'IPTV.
26:37Parce que l'IPTV…
26:38C'est une blé totale.
26:39Ben oui, oui.
26:40Et comment, qu'est-ce qu'on peut faire ?
26:41Comment revenir dans un modèle payant
26:43alors que les gens sont désormais habitués
26:44à voir les choses gratuites ?
26:45Je pense d'abord que…
26:46Non, ils payent sur l'IPTV, mais beaucoup moins cher.
26:49Ce problème de piratage,
26:50on doit le voir également dans les autres pays,
26:52mais apparemment, ce n'est pas aussi problématique.
26:55Alors, quelle est la solution ?
26:56Peut-être aussi qu'on a eu 8-10 useurs différents
27:00sur les dernières années en France,
27:01donc on est un peu perdus.
27:02C'est vrai.
27:03On a des matchs d'un côté, de l'autre,
27:05sur d'autres plateformes.
27:06Sur Dazone, sur Dazone.
27:07Ben oui, ce que disait Michel.
27:09Le meilleur match, c'était sur Bing,
27:11alors qu'on s'abonne pour Dazone.
27:12Donc si vous ne l'avez pas…
27:13On en revient à Canal+,
27:15qui est aujourd'hui la seule solution de plateforme,
27:17mais l'AFP ne veut pas être pieds et mains liés
27:20avec Canal+.
27:21Merci en tout cas à tous les deux.
27:23On va suivre ça.
27:26Merci Michel Moulin.
27:27On rappelle, mardi, mercredi et jeudi soir,
27:3020h, 21h,
27:31les vraies voix du foot,
27:32et Michel Moulin et toute sa bande.
27:36C'est vraiment du parlons vrais.
27:37Moi, je vous conseille d'écouter
27:39Michel Moulin avec Lionel Rosso et toute l'équipe.
27:42Le but, Football Club,
27:43et aller voir les informations du but Football Club.
27:46Merci Bruno Frioli d'être venu.
27:49Dans un instant, Gilles Gansman.
27:50On va parler des lauriers de la cérémonie,
27:53des lauriers de l'audiovisuel.
27:54Oui, c'est les récompenses de l'audiovisuel.
27:56Voilà, qui va être présentée,
27:58une grande soirée qui va être diffusée sur TV5 le 28 février,
28:01et qui va être présentée par quelqu'un
28:02qu'on connaît bien ici,
28:03qui est Judith Bélair.
28:04Ah ben, on en est fiers.

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