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À la conférence de Munich sur la sécurité, l'absence européenne se fait sentir face à l'influence américaine. Pendant ce temps, l'Ukraine refuse de participer aux pourparlers, tandis qu'Emmanuel Macron souligne le rôle crucial de l'Europe dans la quête de paix.

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Transcription
00:00Effectivement, ce sont surtout eux que l'on entend principalement parler au-delà de ce barrage, de ce cordon sanitaire
00:07où est en train de se dérouler cette conférence de Munich sur la sécurité.
00:11Le principal émissaire, le porte-voix, c'est J.D. Evans, le vice-président des Etats-Unis
00:19qui porte la voix de Donald Trump lors de cette conférence.
00:24Et effectivement, on n'entend pas beaucoup parler ni de l'Ukraine, ni des alliés européens,
00:28notamment avec ce fameux coup de fil échangé entre Donald Trump et Vladimir Poutine,
00:34un message fort qui exclut d'une certaine manière l'Ukraine et les Européens de ces négociations pour un nouveau plan de paix.
00:43Mais rétropédalage petit à petit lors de cette conférence de presse,
00:48notamment J.D. Evans qui répond à la presse lors d'une interview pendant cette conférence.
00:53Le vice-président a bien confirmé que les alliés européens devaient être associés à toute négociation de paix sur l'Ukraine.
01:03Il devrait rencontrer en fin d'après-midi également Volodymyr Zelensky pour lui donner des gages
01:09et montrer que l'Ukraine sera partie à part entière des négociations pour un plan de paix.
01:16Mais on le voit bien, ce sont surtout les déclarations du président des Etats-Unis, Donald Trump,
01:21qui bousculent complètement les négociations sur cette scène internationale
01:26où juste derrière moi, effectivement, le plan de négociation de paix pour l'Ukraine est actuellement en cours.

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