• il y a 13 heures

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00:00Je ne refuse jamais une mission que me propose Cyril Hanouna, donc on verra.
00:03D'ailleurs Alexis Colère, petite parenthèse, il paraît qu'il va quitter l'Elysée.
00:05Oui, il paraît que, alors ça c'est une belle anecdote.
00:08Vous savez quand vous êtes depuis longtemps dans les arcades du pouvoir, vous devez faire un signalement à la haute autorité
00:14de la transparence de la vie publique pour demander si vous pouvez aller dans tel ou tel poste et s'il n'y a pas de conflit d'intérêt.
00:19Et donc on a appris qu'en fait Alexis Colère a appelé la haute autorité et la haute autorité a rappelé l'Elysée
00:24mais n'est pas tombé sur Alexis Colère et donc l'information s'est diffusée dans l'Elysée
00:28alors qu'Alexis Colère voulait garder secret son départ, son potentiel départ
00:32parce qu'il n'est pas content visiblement de la nomination de François Béraud à Matignon
00:36et c'est comme ça que ça a fuité, c'est parce que la haute autorité a rappelé et a fait circuler l'information.
00:40Avec une difficulté pour lui, comme c'est le couteau suisse d'Emmanuel Macron depuis 2017,
00:44il s'est occupé d'énormément de dossiers et il s'est déporté sur peu de dossiers
00:49et donc ça peut poser des questions pour son atterrissage sur notre activité au nom du conflit d'intérêt.
00:54Il n'y avait que trois personnes qui étaient là depuis le départ, il n'y en a plus que deux,
00:59c'est-à-dire que le conseiller sport qui était là depuis 2017 est parti,
01:02donc il reste Bruno Rogy-Petit et Alexis Colère, donc si Alexis Colère part,
01:06il n'y aura plus qu'une personne dans l'équipe d'Emmanuel Macron qui est là depuis 2017.
01:10C'est suffisant pour une personne qu'on connaît tous les deux.
01:13Et vous pensez que le Président le savait pour Alexis Colère ?
01:16J'en sais rien, je ne suis pas suffisamment intime pour savoir s'il l'avait caché au Président.
01:22Je vais en parler de petites secondes, entre parenthèses, avant qu'il ne parte,
01:25comme ça qu'on fasse un petit peu son pédigré.
01:28On le fait sur le coup de départ ?
01:29Oui exactement, qu'on raconte un petit peu Alexis Colère,
01:32c'est quand même sur dix décisions, il y en a onze de mauvaises.
01:36Donc le chef de l'État, je pense que c'est plutôt...
01:40Moi si j'étais Emmanuel Macron, je fais une énorme fête, j'espère qu'il va m'inviter,
01:44je peux vous dire que là c'est cotillon et tout y quantit.
01:46D'ailleurs, Alexis Colère, croyez-moi, je ne suis pas sûr qu'il soit complètement...
01:54Voilà, qu'il soit...
01:56Je ne sais pas, à mon avis il est sur plusieurs dossiers, il aime bien l'audiovisuel aussi.
02:00Je pense qu'il y a quand même le dossier sur l'ARCOM qui a dû arriver sur son bureau quand même.
02:05Vous pensez qu'il a un rôle dans le nouveau nouvellement de C8 ?
02:10Non, pas un rôle, mais à minima, il a eu le dossier sur son bureau.
02:15Il est au courant de ça en tout cas, c'est évident.
02:17Croyez vraiment que Roc'Olivier Mestre, qui fait le tour des médias actuellement,
02:20qui est dans Le Monde Aujourd'hui, Télérama hier et France Inter hier également...
02:25Toujours pas C8.
02:27On voit que c'est le même style de médias.
02:30Ça penche d'un côté.
02:32Ce n'est pas que ça penche.
02:34Est-ce que vous voulez que j'invite Roc'Olivier Mestre à venir sur C8 ?
02:36Là c'est courbé. Non mais on ne veut pas le voir.
02:38Merci, on s'en fout.
02:40Il est sympa.
02:41Oui oui, il est sympa.
02:42Les mecs, arrêtons de dire qu'il est sympa.
02:44On va arrêter d'être hypocrite.
02:46Nous on aime les mecs droits.
02:48Un mec qui va sur Le Monde, Télérama et France Inter,
02:51il y a un problème, il fait sa promo,
02:53on va arrêter de mentir aux auditeurs d'Europe 1.
02:55Il faut aller partout.
02:56On comprend beaucoup de choses.
02:57On comprend beaucoup de choses, exactement.
02:58Tout s'éclaire.
02:59C'est le petit milieu.
03:00C'est tout.
03:01Il faut arrêter.
03:02Roc'Olivier Mestre, il faut arrêter deux minutes.
03:03J'attends de savoir où il va être.
03:04Mais bon, Roc'Olivier Mestre...
03:05Quelqu'un qui fait fermer une chaîne et qui met 400 personnes au chômage.
03:08Mais il s'en fout, lui il va faire des photos pour Télérama.
03:10Et tant de chances du service public aussi.
03:12Beaucoup de chaînes du service public ont été remontées.
03:14Les dix premières, il y en a six du service public.
03:16C'est quand même lui qui a fait la numérotation.
03:18Parce que le nouveau, il n'a rien à voir là-dedans.
03:20C'est pas lui qui l'a faite, c'est Roc'Olivier Mestre qui a fait la numérotation actuelle
03:23des chaînes de la TNT.
03:25Vous voyez bien que le service public a six chaînes dans les dix premières.
03:28C'est un signal.
03:30Il est peut-être sympa au tennis,
03:33mais dans la vie, vous savez, on peut être sympa et incompétent.
03:37On a quatre grands groupes.
03:38Il y en a deux qui sont favorisés.
03:39C'est très clairement le service public et TF1 avec SCI qui est catapulté
03:43et qui gagne dix numéros quasiment.
03:45Vous étiez en train de dire, Cyril, que c'était peut-être une décision politique
03:48et qu'il a été un exécutant.
03:49Non, moi je ne peux pas croire.
03:51Un instant, excusez-moi.
03:52Je ne vois pas Roc'Olivier Mestre,
03:54connaissant un petit peu le profil du monsieur,
03:57je ne vois pas Roc'Olivier Mestre se dire tout seul,
04:00je vais enlever C8.
04:02Bon, Énergie 12, c'est autre chose.
04:03Énergie 12, il n'y a pas un énorme enjeu.
04:05Ils ont enlevé...
04:06Non mais c'est vrai, c'est la peau ou les peaux.
04:07Ils avaient trois clips et deux gars qui chantaient.
04:12Non mais c'est vrai.
04:13Énergie 12, les chaînes n'existaient pas, les pauvres.
04:15Et à la limite, ça a été des victimes collatérales.
04:18Mais je ne vois pas Roc'Olivier Mestre tout seul dire
04:21je vais enlever C8 sans prévenir au moins le secrétaire général de l'Elysée.
04:26Franchement, si c'est ça, vraiment...
04:29Je suis désolé, ça a juste passé dans l'autre sens.
04:31C'est le secrétaire général de l'Elysée qui a dû le prévenir
04:33qu'il allait devoir supprimer C8.
04:35Vous pensez ça ?
04:36Non, je pense pas.
04:37Vous avez vu, je suis plus sympa que vous.
04:39Je suis plus sympa que vous.
04:40C'est bien connu, président Lima.
04:41Philippe, on rappelle quand même que le président de l'ARCOM
04:44est nommé par le président de la République.
04:47Donc vous, vous allez plus loin.
04:49Moi, je pense que c'est très clair.
04:51Connaissant, encore une fois, Roc'Olivier, comment il fonctionne,
04:54je pense qu'il a dû recevoir un ordre et qu'il l'a exécuté.
04:56Ah bon, c'est d'accord.
04:57Dans ce cas-là, il faut aller plus loin alors.
04:59C'est le pire alors.
05:00Comme l'ARCOM, pour moi, c'est un organisme indépendant,
05:04c'est qu'ils avaient pris la décision et qu'ils en informent ceux qui les ont nommés.
05:08Moi, je pense d'abord qu'ils ont supprimé ENERGY12
05:10pour justement faire un petit peu illusion du genre.
05:13Non, vous voyez, il n'y a pas que C8, il y a aussi ENERGY12.
05:15Donc, ça fait un petit peu de mousse et tout ça.
05:17Donc, on a pu faire un sort de package.
05:18Oui, ENERGY12 et C8, c'est la première chose.
05:20Et moi, je pense que ça n'est pas une décision forcément.
05:23Enfin, ce n'est pas une décision.
05:24C'est-à-dire que moi, je ne suis pas d'accord avec vous.
05:26Je ne pense pas que ce soit au départ, Philippe,
05:28que ce soit Alexis Collet ou le président.
05:31Elle, après elle, c'est le monde des bisounours.
05:33Vous allez apprendre à la connaître.
05:34Attendez, on va se retrouver dans un instant.
05:36Moi, je ne dis pas qui je crois, mais voilà.
05:39Elle, c'est le monde des bisounours.
05:40Ils n'ont rien fait pour freiner.
05:41Gauthier Lebré.
05:42C'est un lien même.
05:43Moi, je ne suis pas aussi loin que Philippe Karsentier.
05:44Moi aussi, je suis comme moi.
05:45Parce que dans ce cas-là, sinon, on remonte jusqu'à Emmanuel Macron.
05:47Très clair.
05:48C'est très clair, mais attendez.
05:50Dans ce cas-là, oui.
05:52On va en parler dans un instant, Philippe.
05:54Je vais vous dire la vérité.
05:56Je joue les bisounours, mais mon cœur est quand même chez Karsentier.
06:00Europe 1, 16h18.
06:02On marche sur la tête.
06:04Cyril Hanouna.
06:0616h13.
06:07On est en direct sur Europe 1.
06:09Qu'est-ce qu'il se passe, Gauthier Lebré ?
06:10Vous m'apprenez ce qu'est la hiérarchie.
06:13Gauthier Lebré, on est d'accord.
06:15Parce qu'il y a Philippe Karsentier qui était avec nous,
06:17qui disait, dans politique, tout part du haut.
06:20On ne va pas se mentir.
06:22Un peu partout.
06:24Comme à la maison.
06:25Ici, ça part du bas, peut-être.
06:27Le ruissellement vient plutôt du haut.
06:28Franchement, Gauthier, il faut arrêter de nous prendre pour des cons.
06:32Vous croyez franchement, ici, aujourd'hui,
06:35qu'un jour, Emmanuel Macron s'est réveillé
06:37et il a dit, moi, je veux éteindre ces huit.
06:39Pas un jour.
06:40Pas un jour, une nuit, comme il ne dort pas beaucoup.
06:42Moi, je ne crois pas.
06:43Vous avez sans doute raison, mais je n'y crois pas.
06:45Elle a le vaccin anti-Macron.
06:50C'est même pas Macron, en fait.
06:53C'est Macron, mais c'était Chirac, c'était Sarkozy.
06:55Moi, j'ai vu Sarkozy, à l'époque de Sarkozy,
06:57intervenir sur des décisions que vous n'imaginez même pas.
06:59Des choses...
07:01On peut tout penser.
07:03Il y a beaucoup de process autour de lui, etc.
07:05Et il y a des fois où on sait qu'il y a des gens qui sont intervenus pour lui.
07:08Mais là, on sait que parfois...
07:10Moi, je l'ai vu dans la mairie.
07:11Moi, à la mairie, j'ai vu le maire de Neuilly intervenir sur des dossiers
07:14qui étaient incroyables.
07:15Moi, j'étais adjoint au Nouvelle Technologie.
07:16C'était quand même lui qui choisissait la couleur du bandeau
07:19sur le site, sur la 42e page.
07:21Éteindre ces huit, pourquoi ?
07:23Parce que c'est la liberté d'expression ?
07:24Parce qu'on dit des choses pas maîtrises ?
07:26Non, parce que Bolloré...
07:28Non, je vais aller très loin.
07:30Je vais aller très loin.
07:31En fait, Bolloré, lui, ce qu'il veut, c'est intimider CNews.
07:34Et pour intimider CNews...
07:36Macron.
07:37Pardon, il veut intimider Bolloré.
07:39Macron veut intimider Bolloré et CNews.
07:42Et il dit, voilà, si vous continuez à être dissidents,
07:44on va dire, par rapport à ce que nous, on dit dans le pouvoir,
07:46on va vous faire très mal.
07:48Et donc, on commence par éteindre ces huit.
07:50Et ça, pour moi, c'est très clair.
07:51C'est une théorie que beaucoup reprennent.
07:53Et peut-être qu'il voulait donner une fréquence à des gens proches de lui.
07:56Voilà.
07:57Mais si.
07:58Enfin, il en a déjà toutes les fréquences.
07:59Il a tout le service public.
08:00Non, non, non.
08:01Le public n'est pas pro-Macron.
08:02Comment ? Le service public n'est pas pro-Macron ?
08:04Pas spécialement.
08:05Ils sont plus islamo-gauchistes que pro-Macron.
08:07Le service public n'est pas pro-Macron.
08:09Pourquoi Macron n'est pas islamo-gauchiste ?
08:10Non, quand même pas.
08:11Ils sont plus à gauche que Macron.
08:12Oui, oui, oui.
08:13Non, non, non.
08:14En haut de la pyramide, c'est pro-Macron.
08:17Et forcément, il y a des journalistes qui font ce qu'ils veulent.
08:20Le 20h de France 2 Anne-Sophie Lapix, ce n'est pas pro-Macron.
08:22Oui, mais Anne-Sophie Lapix, oui.
08:23Mais bon, après, les mecs...
08:25L'interview qu'elle avait faite de Michel Barnier, j'avais l'impression que c'était une militante de la France insoumise.
08:28Oui, oui, c'est sûr.
08:29Non, mais on a toujours l'impression que c'est une militante de la France insoumise.
08:31De toute façon, on aura la vérité des prix envoyée en ligne éditoriale de ceux qui arrivent.
08:34Non, non, mais la ligne éditoriale de ceux qui arrivent, on ne va même pas la voir.
08:36Les chaînes vont faire 0,2.
08:37Vous le savez très bien, les mecs.
08:38Je voulais rectifier...
08:39Il n'y a même pas de débat, mais c'est vrai.
08:40Les mecs, vous croyez quoi ? Je n'ai rien contre eux.
08:42Mais les mecs, je vous les donne les scores.
08:43Moi, je suis quand même un spécialiste de la télé.
08:450,2, ça fait pas beaucoup.
08:46Ils vont faire 0,2.
08:47Ça fait combien de personnes ?
08:48Vous êtes fous, quoi.
08:49Vous savez, je crois qu'ils sont en 18 et 19.
08:51Je pense que leur numéro va être supérieur à leur nombre de téléspectateurs.
08:57Et Public Sénat, c'est 8, ça tombe bien.
08:58Bah oui, 8.
09:01Je voulais quand même faire une rectification.
09:03Vous savez que là, ça va être le club de philo avec Raphaël Entoven.
09:06Mais vous croyez quoi ?
09:09Franchement, quand tu rentres à 19h, t'as envie de voir Raphaël Entoven qui va te citer Ecole et Jécole.
09:13Merci.
09:15Je voulais quand même faire une rectification parce que j'ai commis un impair tout à l'heure.
09:18J'ai dit, si Alexis Colère part, il ne restera qu'un soutien depuis 7 ans à Emmanuel Macron.
09:23C'est faux.
09:24Il y aura Bruno Roger Petit, mais il restera encore Géraldine Maillet.
09:28Donc, en fait, ils sont deux.
09:29Et Brigitte Macron.
09:31Voilà pourquoi j'aime le talon.
09:32Les chéries, attention, il est 16h16 sur Europe 1.
09:34Je vais demander au Chréniqueur de ne pas jouer.
09:35Merci, parce qu'il me fatigue.
09:38Enfin, par Gauthier, mais personne ne doit jouer.
09:40J'ai eu une nouvelle exceptionnelle pour l'émission On marche sur la tête.
09:44Vous nous appelez au 01 80 20 39 21.
09:4601 80 20 39 21, vous nous appelez.
09:50Si vous trouvez la nouvelle que j'ai eue pour On marche sur la tête,
09:53vous passez, comme je l'ai dit, une journée, hébergement, voyage,
09:57bien sûr, hébergement chez le Chréniqueur de votre choix
10:00ou l'animateur de votre choix.
10:01Sachez que ce n'est pas très grand chez moi.
10:04On se serrera.
10:05C'est Olivier Dardigolle qui a le plus de mètres carrés, pour info.
10:07Exactement.
10:08Ce sont toujours les communistes qui sont les plus lous.
10:10Il a une gacha.
10:11Exactement.
10:13Alors, je vous le dis.
10:15Donc, voilà.
10:16Donc, 01 80 20 39 21.
10:18Vous nous appelez et vous gagnez ce magnifique cadeau.
10:21Tiens, il y a Baptiste qui est avec nous.
10:22Parce qu'en fait, on ne devait pas du tout parler de ça,
10:23mais quand on parle du président de l'ARCOM,
10:25il y a des gens qui nous appellent même pour réagir là-dessus.
10:27Donc, on dit la théorie quand même de Philippe.
10:31Lui, il pense que ça vient de tout en haut.
10:33Moi, j'ai dit, je pense qu'à minima, ils appellent l'Élysée.
10:37Et je pense qu'ils n'appellent même pas le président,
10:38ils appellent Alexis Colère.
10:39Ils lui disent, voilà, on a décidé de supprimer le C8.
10:42Qu'est-ce que vous en pensez ?
10:43Voilà.
10:44Je pense.
10:45Et donc, il dit, bon, ben, voilà.
10:46Oui, ben, allez-y.
10:47Voilà.
10:48Ou allez-y, ou bien non, c'est une connerie.
10:49Parce qu'en vrai, en tout cas, il y a une chose qui est sûre,
10:52c'est que si, en haut de la pyramide,
10:54ils avaient dit, non, non, mais les mecs, qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
10:57On ne pourrait pas du tout...
10:59On sauve des emplois, déjà, pour commencer.
11:00On ne pourrait pas faire ça.
11:01On sauve des emplois, on ne peut pas se permettre aujourd'hui
11:02de mettre des mecs au chômage, etc.
11:04Donc, ça, vous oubliez.
11:05Vous allez faire le jeu de la France insoumise,
11:06moi, j'aurais mis cet argument aussi.
11:07Exactement.
11:08Vous allez faire le jeu de la France insoumise.
11:09Vous allez faire le jeu de la France insoumise.
11:10Exactement.
11:11Non, mais je suis complètement d'accord avec vous, Gauthier Lebré.
11:13Ah oui.
11:14De double peine aussi.
11:22Donc, voilà.
11:23Mais, ça, c'est à minima.
11:25Et, Philippe Carcenti, lui, n'est pas à minima.
11:28Pour lui, ça vient.
11:29C'est descendu d'en haut vers le bas.
11:31Mais, encore une fois, c'est de l'expérience politique,
11:34mais c'est surtout connaissant un petit peu le personnel dont on parle.
11:37Macron et Rocco Livrimestre
11:40n'auraient jamais pris la décision
11:43de fermer une chaîne comme ça,
11:45sans un ordre supérieur.
11:46Et l'ordre, vous savez, pour être très clair,
11:48Président Hanouna,
11:49l'ordre ne vient pas forcément en disant
11:51« Il faut fermer C8 ».
11:53C'est dire « C8, pourquoi ils sont encore sur la TNT ? »
11:56C'est vrai.
11:57C'est comme ça.
11:58Franchement, on peut s'en passer.
12:00Vous avez vu le changement de règlement dans l'ARCOM ?
12:02Non.
12:03J'ai appris ça il y a 48 heures.
12:05Maintenant, vous pouvez insulter qui vous voulez,
12:07vous n'êtes pas sanctionnés financièrement.
12:08Non.
12:09Ben, si.
12:10Charlie Vanhoenacker, deux insultes contre Elon Musk.
12:12Il est fort.
12:13Non, mais j'en peux plus.
12:14Moi, c'est un festival.
12:15T'es trop fort, là.
12:16Ça fait 20 minutes, c'est trop fort.
12:18Excusez-moi.
12:19On peut y aller, là.
12:20Vous avez une adresse, il faut vous voir plus souvent.
12:22Non, mais il faut quand même...
12:24C'est la jurée de présence, Charlie Vanhoenacker.
12:26Dépêche Agence France Presse, ça va tomber dans les heures qui viennent, à mon avis.
12:29On peut insulter qui on veut sur le service public,
12:31notamment en direct ou en différé,
12:33de gros connards de fascistes,
12:35et on n'est pas sanctionnés.
12:36Et le repéter deux jours après.
12:38Est-ce que c'est rétroactif ?
12:40Est-ce qu'on pourrait avoir un remboursement d'amende versée ?
12:42Non, mais c'est vrai.
12:43Non, mais si le règlement change, peut-être que c'est rétroactif
12:45et que c'est les gens qui vont être remboursés.
12:47Non, mais c'est le problème que j'ai, moi.
12:49C'est qu'avant, à la limite, ils se cachaient un peu,
12:51toutes ces bandes-là.
12:52Maintenant, ils ne se cachent même plus.
12:54C'est un truc de fou.
12:56C'est incroyable, franchement.
12:58Ils ne se cachent même plus.
12:59Olivier Dartigold.
13:00Sur ?
13:01Non, sur votre mère.
13:02Sur quoi ?
13:03Il est sur le canard.
13:05Il regarde s'il est dense,
13:07s'il a été dénoncé ou pas.
13:08Il y a un éléphant dans la salle, mais il ne le voit pas.
13:10Il regarde le canard enchaîné, l'autre.
13:12Mais oui, il regarde sa dacha.
13:14On peut faire plusieurs choses à la fois.
13:15Non, on vient de voir que non.
13:17Je suis d'accord.
13:18En tout cas, sur un point, ça s'est décidé en haut.
13:21Ça rebondit à des étages inférieurs dans l'ARCOM.
13:24C'est la première fois que vous êtes favorable au ruissellement.
13:26Je suis très satisfait.
13:28Il faut pousser sur le plan économique, maintenant.
13:30Hors sujet.
13:31Ce n'était pas la question.
13:32Non, mais c'est vrai.
13:33Qu'est-ce qu'il raconte, lui ?
13:34Vous voulez que je vous dise ?
13:35Oui, Fabien.
13:36Dites-nous.
13:37Moi, je suis persuadé que ça vient d'en haut.
13:40Pourquoi ?
13:41Parce que quand 2,5 millions de personnes
13:43sont concernées avec l'arrêt d'une chaîne,
13:45c'est le public.
13:46Ce sont des Français qui votent.
13:48Je ne vois pas...
13:49Si ça venait d'en bas et pas d'en haut,
13:52je pense que le Président serait probablement intervenu
13:55pour peut-être...
13:56Comme avait fait Mitterrand...
13:57Mais il ne l'a pas fait.
13:58Non, mais comme avait fait Mitterrand en 1984
14:00quand on avait demandé l'arrêt d'antennes d'énergie à l'époque,
14:03la radio.
14:04Mitterrand était intervenu par l'interveneur de Dalida
14:07parce qu'ils avaient les émetteurs qui étaient saisis à l'époque.
14:10Et Mitterrand a dit, on le laisse, on maintient cette radio.
14:13A l'époque, c'était 1 million de jeunes qui écoutaient Energie.
14:15En 1984.
14:16C'est vrai.
14:17Et donc, je pense qu'il aurait fait un geste
14:19d'une élégance incroyable
14:21et surtout, immensément populaire
14:23pour les Français qui votent.
14:25Et c'est 2,5 millions de personnes, je le rappelle.
14:27Si je peux me permettre...
14:29C'est entre 5 et 6 millions.
14:30Président, si je peux me permettre de rajouter quelque chose,
14:32il y avait une procédure d'appel.
14:34Donc, ils auraient pu se rattraper en procédure d'appel
14:36sans se rendre compte,
14:38on est en train de virer 400 personnes,
14:40on est en train de décevoir 2 millions ou 5 millions de personnes.
14:43Et faire une grâce présidentielle.
14:45Non, non, non.
14:46Il n'y avait pas besoin de grâce présidentielle.
14:48Il y a une procédure d'appel.
14:49Et on sait comment fonctionnent les gens.
14:51C'est qu'aux Etats-Unis.
14:53Il y avait une procédure d'appel au Conseil d'Etat
14:55et c'était un coup de fil.
14:57Au pire des cas, j'ai vu la décision de l'ARCOM.
14:59Bon, ils ne nous ont même pas consultés.
15:01A la limite, si on y croit.
15:03Ils ne nous ont pas consultés.
15:04Les mecs, vous me retoquez ça.
15:06Mais ils n'ont pas attaqué le Capitole.
15:07Alors, on va t'une dire, puisqu'on dit toujours tout à cette antenne.
15:09Est-ce que vous pensez, par exemple, que M. Bolloré a vu M. Macron ?
15:12Pas du tout.
15:13Est-ce que vous pensez que M. Bolloré, dans ces cas-là, il s'est battu aussi ?
15:15Non, mais il ne va pas appeler M. Macron.
15:19Non, pas du tout.
15:20Il joue le jeu. M. Bolloré, c'est l'ARCOM.
15:22Faut que ça soit dans la presse de gauche le lendemain.
15:23Bien sûr, vous êtes fous.
15:24Jamais de l'avis.
15:25En tant que chef d'entreprise ?
15:26Jamais de l'avis, Géraldine Maillet.
15:28Je crois que c'est Gauthier qui connaît la réponse.
15:31Avec la presse de gauche, avec tous les gens qui auraient fuité l'information,
15:36il est impossible de prendre ce genre de rendez-vous.
15:38Ou alors, il faut faire un rendez-vous en scooter, caché, avec un casque.
15:42Dans ces cas-là, tu ne vas pas voir le Président.
15:44Tu vas voir Julie Gaillet.
15:45Il ne sert à rien.
15:46Il y a mieux, quand même.
15:47Très sympa, Julie Gaillet.
15:49En scooter, on peut aller plus loin.
15:52C'est une belle femme.
15:54Elle est magnifique.
15:55Il n'y a eu que des très très belles femmes.
15:57Je suis sur Mélania Hollande.
15:58Je préfère Mélania, oui, c'est sûr.
16:00Mais il n'y a eu que des très belles femmes.
16:01Ségolène est magnifique.
16:02Valérie est très très belle.
16:03Valérie est très belle aussi.
16:04Que des belles femmes.
16:05Que des femmes très charismatiques et très belles.
16:07Je vous le dis.
16:08En tout cas, c'était sympa ce petit aparté.
16:11Tiens, on va prendre Baptiste 1.
16:13Baptiste 1 en ligne.
16:14Baptiste 1 de Mayenne.
16:16Bonjour, Cyril.
16:17Merci d'être avec nous.
16:18Merci d'être là, sur Europe 1.
16:20Comment ça va depuis la semaine dernière ?
16:22Très bien, on est bien.
16:23On est contents.
16:24On est bien.
16:25Et c'est vrai que c'est pas mal.
16:27Philippe Kersanti, j'aime bien parce qu'il envoie du bruit.
16:31Il met les pieds dans le plat.
16:32J'aime bien.
16:33J'aime bien.
16:34J'aime beaucoup.
16:35Vous voulez réagir ?
16:36En fait, c'est du grand n'importe quoi à l'Arkom.
16:38Le président de l'Arkom ne se cache même plus de la mort du service public.
16:43Quelle belle émission que fait Gauthier Lebrun en ce moment.
16:47Par rapport à ce qu'il a dit sur la pseudo humoriste.
16:53Charline Vanhoenacker ?
16:54Sur France Inter.
16:55Le pire, c'est qu'il est quelques minutes avant sur France Inter
17:00et personne ne dit rien.
17:03C'est du grand n'importe quoi.
17:05C'est vrai qu'ils étaient le même jour sur France Inter.
17:07Charline Vanhoenacker, il aurait pu la sanctionner en direct.
17:10Exactement.
17:11Et lui envoyer un chèque.
17:13Je vous jure que c'est fou.
17:16Il y a vraiment deux poids, deux mesures.
17:19J'explique.
17:21L'année dernière, en décembre, je suis allé pour le Téléthon.
17:23On dit normalement à toutes les émissions de ne pas avoir de marque.
17:27On est d'accord ?
17:28Oui, bien sûr.
17:29Toi-même, vous-même, par rapport aux émissions,
17:33tu m'as dit qu'il n'y avait pas de marque, etc.
17:35C'est ce que j'ai fait.
17:36Cette année, j'ai mis un tee-shirt coq sportif.
17:39J'étais derrière la table, là où il y a tous les intervenants du Téléthon.
17:43On me voyait à la caméra avec le tee-shirt, le coq sportif.
17:49Les petits logos, mais on le voit quand même.
17:51Personne, pendant les deux émissions, samedi et vendredi et samedi,
17:56personne ne m'a rien dit de remettre mon pull ou on m'a mis un scratch.
18:01C'est vraiment un point qui a vraiment deux poids, deux mesures.
18:06Envers toi et envers le service public.
18:20Quand je dis exceptionnel, c'est franchement, je suis très heureux de ce qui va se passer.
18:26Et je le dis aux auditeurs, ce sera lundi prochain.
18:29Premier indice, ce sera lundi prochain.
18:31Je vous le dis.
18:32On est avec Géraldine Maillet, on est avec Gauthier Legault,
18:35on est avec Olivier Dardigolle, on est avec bien entendu Fabien Lequeuvre
18:38qui arrivera aux alentours de 17h, 17h30.
18:40Et on est avec Philippe Carcenti, merci Philippe, homme d'affaires
18:44et porte-parole du comité Trump France.
18:46Et on l'aime beaucoup dans l'émission, Philippe.
18:48Il amène un truc.
18:49Il amène un truc.
18:50Autant il y en a qui retirent un truc autour de lui.
18:52Amène quelque chose.
18:53Non mais c'est fou.
18:54Une fraîcheur.
18:55Une fraîcheur hollywoodienne.
18:56C'est vrai qu'il a une fraîcheur hollywoodienne.
18:58C'est un chewing-gum.
18:59C'est vrai que même physiquement, il a un côté américain.
19:02C'est vrai ce que dit Géraldine.
19:03Ce n'est pas un mec que tu croises en France.
19:05C'est un mec que tu le croises dans le Massachusetts.
19:07Il est sur un golf.
19:09Au bord de son pique-nique.
19:10Exactement.
19:11Europe1.fr, allez le voir.
19:12Philippe qui est très sympa, on est très heureux d'être avec lui.
19:14Il y a pas mal de gens.
19:15Parce qu'en fait, on devait parler de Donald Trump.
19:17Et on a réagi parce qu'il y a le président de l'Artemis qui a encore fait une interview ce matin dans Le Monde.
19:21Hier c'était Télérama et France Inter.
19:23Aujourd'hui c'est Le Monde.
19:24Demain c'est Libération ou L'Humanité.
19:26L'Humanité sera pour la fin de la semaine.
19:28Et c'est à vous.
19:29Et je pense la tribune du dimanche.
19:31Dimanche.
19:32Faut pas oublier Mediapart.
19:34Non mais ça il le fera après.
19:36Je vous le dis.
19:37C'est sûr.
19:38Je vois le plan de Com.
19:39Le plan de Com, je le vois.
19:40Et il va faire 28 minutes sur Arte.
19:42Je pense qu'il va le faire après.
19:44Et qu'il n'oublie pas que c'est...
19:46C'est vous.
19:47En partie.
19:48On voit un petit peu le cheminement.
19:52Le curseur.
19:53D'ailleurs il y avait un débat aujourd'hui à l'Assemblée Nationale sur l'Art Com avec le nouveau patron de l'Art Com.
19:57Et Aymeric Caron a posé une question en demandant quand est-ce qu'il allait supprimer ses news.
20:02C'est pareil.
20:03On voit que Aymeric Caron, encore une fois, a le goût de la liberté d'expression.
20:08C'est énorme.
20:09Bartolomé Lenoir, le député d'Eric Ciotti qu'on a déjà reçu ici, lui a répondu en le traitant de censeur, ce qu'il est.
20:15Et donc c'est toujours intéressant de voir l'enchaînement des faits.
20:19C'est-à-dire que ceux qui veulent quitter Twitter parce qu'ils n'arrivent pas à le faire supprimer.
20:23J'ai vu que même Nagui avait quitté Twitter.
20:25Ah bon ?
20:26Ça n'a pas fait des ébullitions.
20:28On sera bientôt tranquille.
20:34Après Sandrine Rousseau.
20:35Après Le Monde.
20:36Après Libération.
20:37Ça va être triste.
20:38Moi je pense vraiment que ça va être au contraire.
20:40Ça va être l'endroit où il faut être.
20:41Je vais te dire, c'est comme si t'enlèves tous les wok de la soirée.
20:44Ils vont manquer.
20:45Ah non, ils ne manqueront pas.
20:47Vous ne voulez pas qu'on se mélange ?
20:48Non, pas du tout.
20:49Avec les wok, on n'a pas du tout envie de se mélanger, je peux vous dire.
20:52C'est bon.
20:53On a envie de se mélanger à une salade, mais pas avec une salade de wok.
20:56Merci.
21:00Il y a tous les wok qui parlent de X, c'est exceptionnel.
21:02Franchement, je vais envoyer une boîte de chocolat à Elon Musk.
21:05C'est sûr et certain.
21:06Je peux vous dire, ça part cet après-midi.
21:07Il nous a débarrassés de tous les boulets.
21:09Merci en tout cas.
21:10Philippe Carcenti, homme d'affaires et porte-parole du comité Tron France.
21:14Alors, on va discuter avec vous dans deux secondes.
21:17Juste, on a une personne qui voudrait réagir sur l'Arkom.
21:19C'est David.
21:20Bonjour David.
21:22Bonjour Cyril.
21:23Bonjour à toute l'équipe.
21:24Merci David de Vannes.
21:26Vous êtes d'accord avec Philippe Carcenti sur ce qu'il a dit sur l'Arkom ?
21:29Non, mais moi ce n'est pas ça.
21:31C'est que je tombe des nues.
21:32Comment quelqu'un…
21:33En plus, c'est dingue.
21:34Je vous l'ai déjà vous appris pour ça.
21:35Je vous l'ai appris pour ça il y a plusieurs jours.
21:36Comment pouvez-vous penser une seconde…
21:40Je pense à la Wauquiste en chef Géraldine Maillet.
21:42Merci.
21:43J'aime bien.
21:44J'aime bien par ailleurs.
21:47Comment pouvez-vous penser une seconde que Emmanuel Macron n'y soit strictement pour rien ?
21:53Ça voudrait dire que là, par exemple, aujourd'hui, il n'a toujours pas entendu parler que C8 va s'arrêter.
21:58Il n'est pas au courant.
21:59Non, mais je suis sûr.
22:00Exactement.
22:01Il n'y a pas une typhaine qui vient dans votre émission, sans dire que vous êtes pour Macron,
22:05parce qu'il ne faut quand même pas déconner, vous ne roulez pas pour quelqu'un en particulier,
22:08mais vous avez toujours été très correct avec lui.
22:10Vous avez défendu en premier lieu Gabriel Attal quand il y est arrivé.
22:15Vous avez plutôt une position qui est assez mesurée, contrairement aux apparences,
22:22sur les intentions du gouvernement depuis deux ou trois mois.
22:24C'est vrai.
22:25Vous l'avez interviewé en direct, souvenez-vous, il y a très longtemps.
22:29Bien sûr.
22:31Je pense que quelque part, vous vous sentez sans doute trahi par lui.
22:35Ce n'est pas faux.
22:38Oui, parce qu'il vous fait un sourire par devant et derrière, il appuie sur le bouton.
22:43Là, on est bien d'accord que Macron, il fait comme Trump.
22:45Il prend son téléphone, il appelle, il dit qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
22:48Vous voulez arrêter C8 ?
22:49Bien sûr.
22:50Je pourrais dire qu'avec un Donald Trump, ça ne serait pas arrivé.
22:53Jamais.
22:55Jamais de la vie, Philippe.
22:57D'abord, il y a des contre-pouvoirs aux Etats-Unis,
22:59mais il y a une chose aussi incroyable.
23:01J'ai essayé de réfléchir dans ma petite tête et de me dire,
23:03est-ce qu'on a déjà un souvenir d'une chaîne comme ça qui a été éliminée ?
23:07Non, ça n'existe pas.
23:08Depuis la création du CSA.
23:09En démocratie, vous voulez dire ?
23:10Oui, mais ça n'existe pas.
23:13On parle d'une histoire de plus de 40 ans depuis que le CSA existe.
23:17Ça fait 40 ans.
23:18En 40 ans, on a éliminé...
23:20Quand il y a eu une forme d'autoritarisme en Pologne,
23:22et qu'il y a des chaînes qui ont fermé,
23:24il y a eu des levées de boucliers dans les pays d'Europe centrale
23:28pour dire que c'est horrible ce qui se passe actuellement en Pologne, etc.
23:32Là, je n'ai pas vu les mêmes faire une levée de boucliers sur C8.
23:35Quand j'ai des gens qui me disent,
23:38et des gens proches du pouvoir qui me disent,
23:41« Ah non, non, non, le Président ne s'occupe pas du tout de ça. »
23:45Il y a vraiment une séparation des pouvoirs.
23:47Il y tient énormément.
23:48Je peux te dire qu'il n'était même pas au courant de l'arrêt de C8.
23:51Mais les mecs, il faut arrêter de me prendre pour un con.
23:53Non, non.
23:54Vous n'étiez pas au courant, bien entendu.
23:55Et Cyril, quand vous serez Président, vous ne le ferez pas, ça ?
23:57Ah non, ça, je ne le ferai pas. Vous voyez ou pas ?
23:59Non mais c'est vrai, ça, je ne le ferai pas.
24:00Alors moi, je peux vous dire qu'il était au courant.
24:01Je ne le ferai pas.
24:02Parce que j'ai croisé un soir totalement par hasard.
24:06C'était la première fois que je l'ai rencontré, Madame Macron.
24:08Vous allez nous raconter ça dans un instant.
24:10Ça, ça m'a l'air sympa, ça.
24:11Oui, c'est bien, ça.
24:12Attention, Géraldine Maillet sort du bois.
24:14Géraldine Maillet, elle était tapée dans l'ombre.
24:17Et là, elle sort du bois.
24:19La Géraldine Maillet.
24:21Vous allez aller au Parc des Princes ce soir ?
24:23Non, je ne suis pas invitée.
24:24Depuis qu'il n'y a plus qu'Ian Mbappé, vous n'aimez plus le PSG ?
24:26Non, mais j'adore le PSG.
24:27C'est mon club absolu.
24:29Je veux absolument qu'il gagne.
24:30Vous voyez, je vous dis, Géraldine.
24:31C'est fou comment on peut aimer quelqu'un comme ça
24:33et que la réciproque ne soit pas vraie.
24:35C'est encore plus excitant.
24:37On va se retrouver dans un instant sur Europe 1.
24:39Calmez-vous quand même, Géraldine.
24:41Avec Yannick, avec Baptiste,
24:43qui sont avec nous sur Europe 1.
24:45Et bien sûr, tous les chroniqueurs.
24:46On revient là dans une minute.
24:47C'est un tic-tac.
24:48Europe 1, 16h18.
24:50On marche sur la tête.
24:51Cyril Hanouna.
24:52On marche sur la tête sur Europe 1, 16h40.
24:54On est en direct.
24:55Merci d'être là.
24:56Et c'est vrai qu'on n'était pas partis sur ce sujet.
24:59Mais force est de constater qu'il y a énormément de gens
25:02qui réagissent au 01.80.20.39.41
25:04sur le sujet du président de l'ARCOM
25:05qui était sur Télérama hier, France Inter.
25:08Juste après les insultes de Charline Vanhoenacker,
25:11il est parti sur France Inter.
25:12Mais bon, tranquille, il ne les a pas relevées.
25:14Et aujourd'hui, il était dans Le Monde.
25:16Demain, Libération, je pense.
25:17Vendredi, L'Humanité.
25:19Et ce week-end, La Tribune du dimanche.
25:22Comme ça, il aura son plan de com' qui sera parfait.
25:25Il a coché toutes les cases.
25:27Alors...
25:29Oui, Gauthier Lebré.
25:30Non, mais vous avez tout dit.
25:31Ah non, il y avait Géraldine Maillet.
25:32Géraldine, elle a un scoop.
25:33Non, Géraldine Maillet.
25:34Parce qu'on avait dit...
25:35Il y a un instant, j'ai dit...
25:37Les gens qui me disent...
25:39Et parfois des gens...
25:40Qui me disent...
25:41Non, mais Emmanuel Macron n'était pas du tout au courant
25:43de la fermeture de ses vies.
25:44En tout cas, il n'a même pas été mis au courant.
25:48Ou jouer un rôle.
25:49Franchement, ils me prennent pour un jambon.
25:51On ne va pas se raconter l'histoire.
25:52Géraldine Maillet.
25:53Alors, je ne vous prends pas pour un jambon.
25:54Il vous dit toujours que je parle de gens que je ne connais pas.
25:56Et là, vous avez raison.
25:57Je ne peux pas vous enlever ça.
25:58Et donc, j'ai rencontré l'autre soir,
26:00totalement par hasard,
26:01Mme Macron, que je ne connaissais pas.
26:03Je n'avais jamais croisé.
26:04Et c'était une sorte de soirée.
26:05Il y avait beaucoup de monde.
26:07Et donc, je l'ai vue de loin, comme ça.
26:09Et ça m'a évidemment étonnée.
26:11Elle s'est dirigée vers moi.
26:12Donc, c'était plutôt intimidant.
26:13Et je me suis dit à quel moment elle va se diriger vers moi.
26:15D'abord, est-ce qu'elle ne me connaît pas ?
26:17Et là, elle m'a tout de suite dit
26:18« Bonjour Géraldine ».
26:19Donc, je me suis dit qu'elle me connaissait
26:21parce qu'évidemment, elle regardait TPMP.
26:23Elle regardait les prestations de sa fille, Tiffany Ozière.
26:25Et on en a parlé ensemble, d'ailleurs.
26:27Elle trouvait que sa fille était plutôt à l'aise.
26:29Qu'elle aimait cet exercice-là.
26:31Que ça lui plaisait de parler, justement,
26:33d'éléments de droit à la télé.
26:37Que souvent, d'ailleurs, sa fille lui demandait
26:39« Qu'est-ce que t'en penses ? »
26:40« Je vais aborder ce sujet comme ceci, comme cela. »
26:42Qu'elle aimait bien.
26:43Et ensuite, elle m'a dit
26:44« Mais ça va, vous ? Ne soyez pas inquiète. »
26:47Alors, j'étais très étonnée
26:49qu'elle s'inquiète pour moi.
26:51Ou en tout cas, elle s'inquiète de la situation.
26:53Je lui ai dit « Ah bon, vous croyez ? »
26:54Je lui ai dit « Quand même, c'est chaud. »
26:55On se retrouve tous sur le tapis.
26:57À partir de fin février,
26:59ça fait quand même plus de 450 personnes.
27:01Et elle m'a dit « Oui, oui, j'imagine.
27:03C'est très dur, mais avec beaucoup de discrétion.
27:05Beaucoup de pudeur.
27:06Et en même temps, vous regardant dans les yeux.
27:08Elle ne vous évitait pas. »
27:09C'est-à-dire que moi, elle me parlait
27:10sans regarder autour de ce qui se passait.
27:11Si on la regardait en train de parler, tout ça.
27:13Elle m'a dit « Non, mais ne vous inquiétez pas.
27:15Cyril, il va trouver.
27:17Il va trouver.
27:18Forcément, il va trouver des solutions.
27:19Il y aura des solutions.
27:20Il est fort.
27:21Il va trouver des solutions. »
27:22Oui, oui, oui.
27:23Non, mais moi, je l'adore.
27:26Elle le sait que je l'adore.
27:28Forcément, si elle est au courant,
27:29son mari est au courant.
27:30Évidemment, vous avez raison là-dessus.
27:32Après, pour tout vous dire,
27:34j'ai croisé, je pense, Brigitte un petit peu avant vous.
27:38Vous, certainement.
27:39Vous croisez les gens.
27:40Moi, je ne les croise pas.
27:41Donc, elle a dû se dire « Cyril… »
27:43Après, Brigitte Macron,
27:45je pense qu'elle n'a rien à voir là-dedans.
27:46Je pense qu'elle, et même elle,
27:48était très étonnée de cette décision.
27:50Elle voulait savoir pourquoi.
27:52Mais après, en tout cas, à minima,
27:55ne me dites pas qu'Alexis Colère n'était pas au courant.
27:57Non, mais en aucun cas,
27:59le Président, vu la dimension
28:01de cette actualité C8
28:03au cours des derniers mois,
28:04à aucun moment,
28:06il n'est pas directement concerné.
28:08Puisque c'est une question
28:10qui a eu un écho très très important.
28:12Donc, bien évidemment qu'il est dans…
28:14Ou alors, si ça n'est pas le cas,
28:16ce serait même plutôt très préoccupant.
28:18Donc, que M. Bolloré ne le sollicite pas,
28:20mais que lui ne sollicite pas M. Bolloré,
28:22vous pensez que c'est impossible ?
28:24Quand ça se joue comme ça, entre grands patrons,
28:26entre milliardaires…
28:27Si il y a un problème, par exemple,
28:29avec LVMH, par exemple,
28:30jamais M. Macron ne va appeler M. Arnault.
28:32Moi, je pense qu'on a des grandes décisions comme ça.
28:34Ah non, mais qu'ils ne soient pas les mêmes relations,
28:36certainement.
28:37Et là, ce n'est pas les mêmes enjeux.
28:38Et puis, ce n'est pas la télévision.
28:39Là, on n'est pas dans les médias.
28:40Ça n'a rien à voir.
28:41Je pense vraiment qu'ils sont comparables.
28:43Vous savez juste comment.
28:44Non, mais s'il a joué un rôle…
28:46Je suis en train de me dire un truc.
28:48S'il a joué un rôle, de près ou de loin,
28:50dans la non-reconduction de C8,
28:52et qu'ensuite, sa belle-fille se retrouve dans l'émission
28:54sur la chaîne dans laquelle il a joué un rôle…
28:56Ça, c'est la liberté.
28:58C'est ce qu'ils ont quand même.
29:00C'est la liberté.
29:02Autant il contrôle les boutons de la chaîne,
29:04il n'est pas obligé de contrôler toute sa famille.
29:06Bien sûr.
29:07Chacun fait ce qu'il veut.
29:08On a tous des enfants.
29:09Encore plus si on a des beaux enfants.
29:11En plus, elle, elle a envie de faire sa promo,
29:13elle a envie d'exister.
29:14Et ça s'est toujours très bien passé avec Brigitte,
29:15Macron, avec elle.
29:16Et puis avec elle, ça se passe très bien.
29:17Elle est excellente en plus.
29:18Elle est excellente.
29:19Très pédagogique.
29:20Elle est super.
29:21C'est une vraie révélation télé.
29:22Franchement, elle est incroyable.
29:24Vraiment.
29:25Donc, voilà.
29:26Ça n'a rien à voir.
29:27Moi, j'aimerais qu'un jour,
29:28un journaliste, tu poses la question.
29:29Moi, Thomas, mon fils est chroniqueur chez Quotidien.
29:33Excusez-moi.
29:34Excusez-moi.
29:35Non, il n'y a pas de place.
29:37Excusez-moi.
29:38Déjà, vous connaissez un petit peu mon fils.
29:40Est-ce que vous le voyez vraiment,
29:41chroniqueur chez Quotidien ?
29:42Non.
29:43Vous connaissez mon fils.
29:44On connaît le père aussi.
29:45Oui.
29:46Ça va durer 30 secondes.
29:47Il va insulter tout le monde au bout de 30 secondes.
29:49Votre fille, chroniqueuse chez Quotidien.
29:51Ou c'est à vous ?
29:52Non.
29:53Moi, avec grand plaisir.
29:54Avec grand plaisir.
29:55Avec grand plaisir.
29:56Je ne dis rien.
29:57Donc, en fait, vous laissez faire.
29:58Forcément, chacun sa liberté, son trajet, sa vie.
30:00Bien sûr.
30:01C'est beau, hein ?
30:02Qui croit à ça ?
30:03Qui croit à ça ?
30:04S'élève le bras.
30:05Possiblement personne.
30:06Qui croit ?
30:07Moi, je pense.
30:08Qui croit ?
30:09Moi, je pense.
30:10Je fais un musc.
30:11Bianca, chroniqueuse demain dans Quotidien.
30:14Qu'est-ce qu'il y a ?
30:15S'il vous plaît.
30:16Votre fille, chroniqueuse demain dans une émission de télé.
30:18C'est à vous, Quotidien ?
30:19Moi, j'y crois.
30:20Bien sûr, j'y crois, moi aussi.
30:21Moi aussi, je pense.
30:22Moi aussi, j'y crois.
30:24En tout cas, ce serait une contre-proposition.
30:26T'as été payé pour faire cette déclaration ou pas ?
30:28Je lui ai glissé un petit billet en dessous.
30:31En tout cas, je rêverais qu'un jour, un journaliste, il pose la question
30:34et qu'il réponde vraiment.
30:35Et véritablement, peut-être Macron, quand il sera plus au pouvoir,
30:38dans pas très longtemps du coup,
30:39il nous dira jamais.
30:40Il sort.
30:41Non, tout sort.
30:42C'est pas lui, ça sortira pas de chez lui.
30:43Ça sortira pas de chez lui.
30:44Et bien, on finira par savoir.
30:45Peut-être.
30:46Alors, peut-être.
30:47Moi, j'ai un bon espoir.
30:48Rocollier, prenant sa retraite le mois prochain,
30:49s'il ne va pas pantoufler quelque part dans un endroit...
30:52Non, mais il va pantoufler, là.
30:54Il va aller pantoufler.
30:55Il va aller où, alors ?
30:57Mais partout.
30:58Il va aller chez TF1, peut-être ?
31:00Mais non, il va pantoufler.
31:01Mais peu importe.
31:02Non, parce que l'autorité de la transparence
31:06l'empêchera d'aller dans un groupe de médias.
31:08Non, mais les hommes politiques, au bout d'un moment, ils passent à table,
31:10ils vont raconter, ils vont dire.
31:12Et je pense qu'à distance du pouvoir,
31:14il dira exactement, il aura les tenants et les aboutissants
31:17de comment ça s'est passé.
31:18J'espère qu'il y aura cette vérité-là,
31:20qu'en attendant, ça fera 450 personnes sur le tapis.
31:22Oui, attendez, il y a David qui est là.
31:24Oui, Cyril, moi, je voudrais savoir,
31:26là, je vais vous mettre un peu dans le caca,
31:28à 16h47 sur Europe 1.
31:30Comment vous l'interprétez,
31:34un petit peu, ce lâchage de Macron à votre endroit ?
31:38Comment vous l'interprétez ?
31:39Comment vous le vivez ?
31:40Alors, moi, à lâchage,
31:41moi, je n'ai jamais été très proche de lui.
31:43Enfin, je n'ai pas été, on s'est vus,
31:45on a fait une émission ensemble.
31:47C'était entre les deux tours,
31:49on a fait une interview ensemble,
31:51comme vous l'aviez dit, David.
31:52Mais bon, je ne l'avais pas tous les jours au téléphone.
31:54Donc, voilà, on n'était pas non plus, voilà.
31:56Sinon, je pense qu'il m'aurait appelé,
31:58si on avait été très proches,
31:59il m'aurait dit, voilà, c'est 8,
32:01ça va être compliqué, etc.
32:03Mais pourquoi il ne le fait pas, quoi ?
32:05Pourquoi il a votre numéro ?
32:06Oui, il a mon numéro.
32:08Il ne le fait pas, donc ce n'est quand même pas clair.
32:11Et vous qui aimez bien dire,
32:12ce n'est pas que c'est votre ami,
32:13mais quand vous dites, moi, j'aime bien,
32:15voilà, je ne lâche pas les gens,
32:16j'ai du courage et tout.
32:18Moi, je trouve qu'il n'est pas très clair,
32:20sur ce coup-là, avec vous.
32:21Excusez-moi.
32:22Alors, je suis un petit peu d'accord avec vous,
32:23sur un point.
32:24Comme on se connaît,
32:25il aurait pu m'envoyer un petit message,
32:26me dire, voilà, vous venez m'appeler,
32:28me dire, voilà, j'ai rien à voir là-dedans,
32:30même moi, ça me dérange.
32:32Mais non, là, qui s'excuse, s'accuse.
32:34Me dire, je n'ai rien à voir là-dedans,
32:36c'est illégal de dire ça.
32:37Mais même, au contraire,
32:38même dire, je l'ai à voir là-dedans,
32:40je te préviens, Cyril,
32:41là, ça va trop loin,
32:42on arrête C8.
32:43Eh bien, je suis sûr que vous l'auriez respecté pour autant,
32:46en disant qu'au moins, il est clair.
32:47Il a raison, David.
32:48David a raison, c'est vrai.
32:49C'est vrai.
32:50Non, mais c'est vrai, il a raison.
32:51Il n'est pas obligé de tortiller du cul
32:53en disant, oh, j'ai rien à voir là-dedans, machin.
32:55Il n'a qu'à dire, voilà,
32:56je te le dis clairement, Cyril,
32:57là, ça ne va pas.
32:58Nous, on n'est pas contents
32:59parce que ceux-ci, ceux-là.
33:00Oui.
33:01Ou il y a des raisons d'État
33:03Oui, mais en fait, il ne peut pas le faire
33:05parce que l'ARCOM est censé être un organisme indépendant.
33:09Voilà.
33:10Mais ce n'est pas vrai,
33:11c'est un jeu de dupes.
33:13Oui, mais c'est une comédie,
33:14tout le monde fait semblant.
33:15C'est vrai, mais tout le monde fait semblant.
33:17Donc, s'il m'appelle...
33:18Et vous, vous n'aimez pas, Cyril,
33:19quand on fait semblant.
33:20Ah ben non, moi, je déteste ça.
33:21Moi, vous savez quoi ?
33:22Moi, je préfère un mec, voilà.
33:23Moi, le président en 2027,
33:25c'est ou bien il dit, voilà,
33:27moi, la télé, je la lâche,
33:28il n'y a pas d'ARCOM.
33:29Enfin, je vais faire un autre truc,
33:30je vais faire un autre truc,
33:31j'enlève l'ARCOM en 2027
33:32et je vais faire un autre truc,
33:33je vais peut-être me mettre
33:34au ministère de l'audiovisuel,
33:35je ne sais pas où...
33:36Au moins, c'est les médias.
33:37Trump, quand il a viré les quatre mecs,
33:39il n'a pas dit,
33:40« Ah, quoi ? »
33:41Ben bien sûr, exactement.
33:42« Oh là là, je suis déçu. »
33:43Ou bien...
33:44« Ça aurait été moi,
33:45ça n'aurait pas été comme ça. »
33:46Ben exactement, David.
33:47Il les a appelés, il a dit,
33:48« Vous quatre, vous dégagez. »
33:49« Voilà. »
33:50Moi, j'aurais fait pareil.
33:51Je vous dis la vérité,
34:00donc oui, je vous le dis tout de suite,
34:01oui, c'est vrai.
34:02J'ai un petit œil quand même
34:03sur ce qui se passe dans les médias.
34:06Je le dis, je préfère le dire,
34:07je préfère le dire franchement.
34:08Juste un truc,
34:09vous avez remarqué que Cyril
34:10rentre dans le personnage,
34:11c'est président Anouna maintenant.
34:13Non, maintenant,
34:14ça donne mon avis.
34:15C'est Monsieur le Président,
34:16c'est le futur,
34:17tout le monde le sait.
34:18Merci, David.
34:19Mais vous ne dites pas non,
34:20c'est ça qui me...
34:21Non, mais attends,
34:22je vais peut-être être
34:23le président de l'ARCOM.
34:24Attends, juste,
34:25je tiens à rajouter une chose,
34:26hier, j'oubliais...
34:27N'oubliez quand même pas
34:28que Zelinsky,
34:29qui était quand même un humoriste,
34:30est devenu président.
34:31Exactement.
34:32Réfléchissez.
34:33Non, mais moi, je suis...
34:34On a un directeur de campagne.
34:35On n'a pas le choix des ministres.
34:36On a un directeur de campagne.
34:37J'ai un directeur de campagne
34:38et j'ai Fabien Leclerc,
34:39un directeur à la campagne.

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