Le service des urgences de l'Hôpital privé des Pays de Savoie (HPPS) situé à Annemasse en Haute-Savoie a été le théâtre d'une agression de son personnel le mercredi 8 janvier au soir, où deux hommes ont blessé sept soignants.
## Une violence traumatisante pour les soignants
À Annemasse, les soignants sont profondément marqués par la violence qu'ils ont subie. Les agresseurs, un patient et son frère mécontent par le temps d'attente, ont causé des blessures chez sept membres du personnel. Alexandre De Oliveria, infirmier responsable des urgences, décrit une expérience terrifiante, se retrouvant à terre en raison des coups reçus. Le directeur de l'hôpital souligne que bien que les urgences puissent être mouvementées, un tel niveau de violence est sans précédent.
## Augmentation alarmante des agressions
Les statistiques sont inquiétantes : en 2023, 1 581 agressions ont été enregistrées dans les hôpitaux, représentant une hausse de 65% par rapport à 2020, qui avait déjà vu 955 agresseurs. Ce chiffre pourrait même être beaucoup plus élevé, car de nombreuses violences restent non signalées par le personnel. Les cas d'agressions vont des insultes aux violences physiques, avec des conséquences juridiques sérieuses pour les agresseurs, qui risquent jusqu'à cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende.
## Une violence traumatisante pour les soignants
À Annemasse, les soignants sont profondément marqués par la violence qu'ils ont subie. Les agresseurs, un patient et son frère mécontent par le temps d'attente, ont causé des blessures chez sept membres du personnel. Alexandre De Oliveria, infirmier responsable des urgences, décrit une expérience terrifiante, se retrouvant à terre en raison des coups reçus. Le directeur de l'hôpital souligne que bien que les urgences puissent être mouvementées, un tel niveau de violence est sans précédent.
## Augmentation alarmante des agressions
Les statistiques sont inquiétantes : en 2023, 1 581 agressions ont été enregistrées dans les hôpitaux, représentant une hausse de 65% par rapport à 2020, qui avait déjà vu 955 agresseurs. Ce chiffre pourrait même être beaucoup plus élevé, car de nombreuses violences restent non signalées par le personnel. Les cas d'agressions vont des insultes aux violences physiques, avec des conséquences juridiques sérieuses pour les agresseurs, qui risquent jusqu'à cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende.
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00:00Le service d'urgence de l'hôpital privé des Pays-de-Savoie HPPS situé à Arras-en-Noue.
00:05Haute-Savoie était le théâtre d'une agression de son personnel le mercredi 8 janvier au soir,
00:10où deux hommes ont blessé sept soignants.
00:12À Arras, les soignants sont profondément marqués par la violence qu'ils ont subi.
00:16Les agresseurs, un patient et son frère mécontents par le temps d'attente,
00:20ont causé des blessures chez sept membres du personnel.
00:23Alexandre de Oliveria, infirmier responsable des urgences, décrit une expérience terrifiante.
00:29Se retrouvant à terre en raison des coups reçus,
00:31le directeur de l'hôpital souligne que bien que les urgences puissent être mouvementées,
00:35un tel niveau de violence est sans précédent.
00:38Les statistiques sont inquiétantes.
00:40En 2000, 1 581 agressions ont été enregistrées dans les hôpitaux.
00:45Représentant une hausse de 65% par rapport à 2020 qui avait déjà but 955 agresseurs,
00:51ce chiffre pourrait même être beaucoup plus élevé.
00:54Car de nombreuses violences restent non signalées par le personnel.
00:57Les cas d'agression vont des insultes aux violences physiques,
01:00avec des conséquences juridiques sérieuses pour les agresseurs,
01:04qui risquent jusqu'à 5 ans de prison et 75 000 euros d'amende.
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