• il y a 3 mois
Difficultés à recruter, déserts médicaux, engouement pour l’intérim plutôt que les postes pérennes… Les métiers hospitaliers continuent leur traversée du désert. Pour en sortir, la FHF et Indeed se sont associés afin de rendre son attractivité à l’hôpital. Est-ce que cela marche ?

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Transcription
00:00Générique
00:12Le cercle érage pour débattre et pour parler de la situation à l'hôpital.
00:16Tension sur les recrutements au sein de l'hôpital public.
00:20On en parle depuis presque 3 ans maintenant et ça dure avec une fuite des infirmières qui quittent.
00:26Des médecins sont repassés en intérim, on en parlera car le système a été arrêté depuis 1 an.
00:32Comment faire pour redonner envie aux infirmières et à tous ceux qui veulent aller travailler à l'hôpital
00:38de reprendre le chemin de l'hôpital pour y trouver et mettre du sens à leur vie.
00:42C'est un très beau métier, il faut le rappeler.
00:45On en parle avec vous, Juliette Beaufour, directrice commerciale du secteur public
00:49chez Indeed France qui vient régulièrement sur notre plateau.
00:52On va revenir avec vous et avec Rodolphe Soulier qui est notre deuxième invité responsable
00:56à la Fédération hospitalière française sur ce partenariat, mettre de la technologie
01:03et une réflexion autour du recrutement pour accélérer les recrutements.
01:08Est-ce que je résume bien l'idée qui est née entre vous et qui est sortie de terre
01:12puisque en mai dernier vous avez lancé une initiative en ce genre, c'est ça l'idée ?
01:17L'idée peut-être c'était effectivement de donner de l'ampleur parce que le sujet est d'ampleur
01:23et donc l'enjeu c'est de faire en sorte qu'on utilise toutes les capacités
01:27pour faire connaître les métiers hospitaliers et pour faire connaître l'offre d'emploi hospitalière.
01:32Il y a beaucoup d'enjeux sur cette dimension-là.
01:35Il y a des enjeux qui sont de l'ordre de la connaissance des multiples métiers, c'est un premier sujet.
01:39Ensuite il y a la capacité à toucher tous ceux qui cherchent une nouvelle aventure professionnelle
01:44qu'ils soient jeunes ou moins jeunes.
01:46Effectivement les plateformes comme Indeed servent aussi à ce type d'approche.
01:50Juliette, on connaît Indeed faire se rencontrer l'offre et la demande
01:54et là l'enjeu pour les hôpitaux c'est justement d'attirer.
01:59Donc faire se rencontrer des postes vacants et parfois des salariés qui ne savent pas où aller
02:04et peut-être trouver le poste qui leur convient. L'objectif c'est ça ?
02:07Oui l'objectif c'est tout à fait ça. Chez Indeed notre objectif c'est d'aider les gens à trouver un travail.
02:11On est la première plateforme de recrutement et de matching dans le monde et en France.
02:15On compte l'audience la plus large en termes de chercheurs d'emploi actifs.
02:19On a près de 7 millions de chercheurs d'emploi actifs en visite unique chaque mois
02:23et à l'occasion du partenariat qu'on a pu mener avec l'AFHF,
02:26qu'on a reconduit pour la deuxième édition cette année à l'occasion du salon Cent Expo,
02:30on a permis aux adhérents établissements publics hospitaliers
02:34de rencontrer des centaines de candidats directement sur le salon
02:37en profitant de solutions concrètes pour les aider à mieux recruter aussi dans la durée.
02:43Mais je me tourne vers vous. On a fait l'émission et des émissions régulières sur la crise hospitalière.
02:48Vous qui observez ce sujet, qui en êtes un expert, la cause c'est quoi ?
02:52Puisqu'on a vu des augmentations de salaires puisqu'il y a eu un Grenelle,
02:55une augmentation de salaire conséquente et pourtant ça ne suffit pas.
02:59Qu'est-ce qui se passe ? C'est un problème d'organisation ?
03:01C'est un problème de revalorisation ? De donner un peu plus d'autonomie peut-être au personnel soignant ?
03:08Il y a forcément plusieurs aspects comme toujours dans les sujets d'attractivité.
03:12Le premier élément peut-être à partager puisqu'il est très récent dans une enquête que l'AFHF a menée cet été,
03:18c'est qu'on a quand même des signaux encourageants pour l'année 2023 sur la reprise des recrutements.
03:23A l'hôpital ?
03:24A l'hôpital et dans le secteur médico-social même si c'est un peu plus marqué à l'hôpital.
03:30Les établissements ont notamment un peu mieux recruté en sortie d'école,
03:33ça c'est un point qui est important puisque notamment chez les soignants,
03:37une grosse partie du recrutement aujourd'hui se fait immédiatement une fois qu'on est diplômé.
03:41Ce qui témoigne vraisemblablement de deux choses.
03:44La première c'est que le renforcement des efforts faits par les établissements produit ses effets.
03:50Marque employeur, attractivité ?
03:51Marque employeur, attractivité, démarche d'aller vers dont celle qu'on a identifiée juste avant avec Indeed
03:57mais également journée porte ouverte, action en direction des lycées,
04:01tous ces éléments-là rentrent en ligne de compte.
04:04Vraisemblablement que les effets du Ségur, de la santé jouent aussi.
04:07J'ai évoqué.
04:08Vous l'avez évoqué, il y a eu un rééquilibrage sur la partie rémunération.
04:12Et puis peut-être, et ça c'est peut-être des choses qui sont plus profondes,
04:15mais vous le disiez en introduction, ces métiers, les valeurs qu'ils portent,
04:19sont des métiers qui entrent en résonance aussi avec peut-être des aspirations sociétales aujourd'hui.
04:24Et autant on a des professionnels nouveaux qui veulent s'y engager,
04:27peut-être aussi que l'on observe, on a un petit frémissement sur cet aspect-là,
04:30des professionnels qui reviennent aussi dans l'environnement hospitalier
04:34après une période un peu particulière qui était celle du Covid
04:36où peut-être on s'était interrogé sur la suite des événements.
04:39Juste d'un mot, j'évoquais tout à l'heure la fin de l'intérim
04:41qui avait été un sujet de contournement pour gagner plus.
04:44On le sait, on partait en intérim, on faisait des missions courtes mais mieux rémunérées.
04:48Ça a été supprimé et je lis dans Le Monde qu'une autre formule juridique de contournement
04:53permet de faire à peu près la même chose et de contourner le contrat,
04:56c'est-à-dire qu'on n'y arrive pas.
04:59Pour donner un point en effet sur l'intérim, on sait qu'aujourd'hui c'est des solutions
05:03qui ont été prises de la part...
05:05Très plébiscité.
05:06Très plébiscité à la fois pour certains candidats parce qu'ils s'y retrouvent financièrement,
05:09donc ça soulève la problématique liée à la rémunération,
05:12mais aussi de la part de certains établissements parce que c'est une solution court terme.
05:16Donc c'est une solution court terme pour pallier un certain nombre de postes à pourvoir
05:20en nombre important, mais qui pour autant sont très coûteuses et qui fragilisent
05:24aussi la structure des établissements sur le plan des effectifs, de la cohésion,
05:28de l'engagement des personnes qui sont là.
05:30Donc on sait qu'avoir une stratégie claire de recrutement,
05:34ça nécessite de pouvoir avoir des objectifs hyper définis,
05:39qu'est-ce qu'on veut obtenir sur les délais de recrutement, sur le turnover,
05:42sur la réputation, sur le volume des candidats qu'on reçoit, sur la qualité.
05:45Ça nécessite aussi d'avoir des moyens en face qui peuvent être des moyens financiers
05:49et donc qui représentent un coût.
05:50On sait que le déficit des enquêtes publiques n'est plus à démontrer et est sans précédent,
05:54mais c'est nécessaire.
05:55On arrive au budget là, on entend déjà des déficits abyssaux
05:58sur lesquels il va falloir trouver des solutions,
06:00mais quand même sur cet enjeu de recrutement, c'est le salaire que vous n'avez pas répondu.
06:06Est-ce qu'il faut de nouveau refaire un Grenelle 2 ?
06:08Parce que les personnels hospitaliers vous disent, même lorsqu'ils viennent postuler,
06:13c'est trop juste encore.
06:16Vraisemblablement que les apports du Ségur ont permis ce rééquilibrage-là
06:21et aujourd'hui ce n'est plus forcément le premier sujet.
06:24Bien sûr, la question de la rémunération rentre toujours dans le top 3 des motivations du futur recruté,
06:29mais les enjeux sont probablement plutôt de l'ordre de l'organisationnel
06:34et de l'ordre de la répartition de la contrainte,
06:39ou ce qu'on pourrait appeler l'exigence du service public.
06:41Si vous évoquiez l'intérim, alors petite précision, l'intérim n'a pas été interdit, il a été encadré.
06:46Encadré.
06:47De manière importante et de manière un peu différente.
06:49Tellement encadré qu'on le contourne.
06:50Alors de manière un peu différente entre l'intérim médical qui lui a été cadré sur les zones horaires
06:55et l'intérim paramédical qui lui a été rendu interdit aux jeunes diplômés,
07:00pour une période donnée, mais il est toujours possible.
07:03Ce que les gens recherchent dans l'intérim, vous avez...
07:06C'est le motif 2 pour faire un peu le...
07:08Alors le motif 2, voilà, c'est pour les médecins.
07:10Ça ne concerne que les médecins.
07:11Je le précise.
07:12C'est important parce que, pour le coup, c'est des raisons un peu différentes.
07:14Des médecins qui vont plutôt passer par le motif 2 pour gagner plus.
07:17Alors on pourrait en parler longtemps pour le coup, parce que c'est un sujet assez technique,
07:20mais vous avez raison, cette question de l'intérim, elle peut être en tout cas révélatrice de quelque chose.
07:25Elle est révélatrice, certes, du sujet de la rémunération, mais surtout du fait d'échapper aux contraintes.
07:30C'est ça.
07:31Parce que quand on est en intérim, on ne fait pas de garde, on ne fait pas d'astreinte,
07:35on travaille quand on souhaite travailler.
07:37C'est bien le cadre de vie, l'organisation de l'hôpital, qui est très contraignant,
07:41365 jours sur 365, jour et nuit, pour accueillir les malades.
07:45C'est un signal fort, finalement, d'attractivité.
07:47Ça me semble clair, oui.
07:49Juliette, les personnes qui se sont présentées, parce qu'elles ont été très nombreuses,
07:52il y avait 1000 recrutements en mai dernier à faire dans votre rencontre,
07:55faire en sorte que les candidats puissent venir s'exprimer, présenter leur profil,
07:58et savoir si ça matchait.
08:00Est-ce qu'on avait des reconversions ?
08:01Parce qu'on parle beaucoup d'infirmières ou de personnels soignants qui quittent l'école
08:04et qui vont rentrer dans l'hôpital,
08:06mais j'ai le sentiment qu'il y a des deuxièmes parties de carrière
08:08où on se dit, tiens, après tout, j'irai bien à l'hôpital.
08:11Est-ce que ça progresse, ça ?
08:13La reconversion fait toujours partie d'une portion des candidats qui se présentent à des postes,
08:20et donc ça, c'est tout l'enjeu de la part des employeurs,
08:22c'est de pouvoir considérer aussi ces candidats-là,
08:24qui peuvent, sur le papier, ne pas forcément avoir ou l'expérience,
08:27ou l'intégralité des diplômes requis,
08:29et donc après se pose la formation.
08:30Mais des compétences.
08:31Mais pour autant, des compétences.
08:33Ce qu'on a proposé dans ce cadre-là, c'était aussi de pouvoir proposer aux employeurs
08:37de rencontrer les candidats avant même d'avoir une présélection sur le CV,
08:40de leur permettre de se servir d'une technologie qui automatise une partie du process de recrutement,
08:46donc dont fait partie la présélection sur certains critères,
08:49mais aussi l'organisation des entretiens, les rappels, etc.,
08:52et de se concentrer réellement sur la rencontre avec la personne.
08:56Aujourd'hui, on sait que le CV, c'est un critère de sélection dans beaucoup de cas,
09:00et le premier critère dans la majorité des cas.
09:02Or, on gagne un temps important lorsqu'on rencontre d'abord la personne,
09:06et on sait que la rencontre, généralement, nous permet d'élargir son vivier de candidats.
09:10On a un certain nombre d'employeurs qui ont recruté des candidats dans ce cadre-là,
09:14qui nous disent, je ne l'aurais pas vu si je l'avais sélectionné sur CV,
09:20et pour autant, je l'ai recruté dans mes actifs.
09:22Je ne l'aurais même pas pris en entretien.
09:23Donc aujourd'hui, c'est partout dans la conversation.
09:25On élargit le champ des possibles.
09:27Il faut essayer de trouver de nouvelles méthodes pour élargir le vivier potentiel,
09:30et donc de se dire, peut-être que l'entretien, peut-être que le CV est un critère de sélection,
09:35mais qui peut arriver après, ou alors, en tout cas, de manière plus automatisée.
09:39Comme ça peut se faire dans d'autres secteurs, où, effectivement,
09:41on va recruter sur la compétence et les soft skills, ou la motivation, et pas sur le CV.
09:45Juste, Rodolphe, on en est où ? Parce que le bilan, vous l'avez tiré.
09:48J'imagine que vous avez fait un bilan de ce qui s'est passé en mai dernier sur cette rencontre.
09:52Au final, combien de personnes ont été embauchées sur les 1 000 postes qu'il y avait à pourvoir ?
09:58Alors, j'allais dire, la réponse, elle est presque, nous, dans le suivi qu'on en a, au-delà des 1 000 postes, en tant que tel.
10:04Oui, parce qu'on cherche plus de 1 000 postes.
10:06Bien sûr. Les 1 000 postes étaient, ce qui est déjà pas mal, mais étaient dans le cadre de cet événement-là.
10:12D'ailleurs, au total, on a combien de postes à pourvoir dans l'hôpital public, aujourd'hui ?
10:15Alors, aujourd'hui, à l'issue de l'enquête qu'on a faite cet été, c'est-à-dire à l'issue de l'année 2023,
10:19on considère qu'il y a encore à peu près 3 % des postes infirmiers vacants.
10:243 % ?
10:253 %. Alors, il faut le rapprocher au nombre de postes d'infirmiers qu'on a, et on a un peu moins de postes vacants au niveau aide-soignants.
10:34On doit être à peu près à 2,4.
10:36En nombre, ça fait quoi ? 3 % du volume ?
10:38Il faut le rapprocher à peu près sur la partie aide-soignante.
10:41Alors, avec une précision importante, c'est que le nombre d'infirmiers est plus important dans les hôpitaux,
10:47et le nombre d'aide-soignants est plus important proportionnellement dans les établissements médico-sociaux.
10:52Bien sûr.
10:53On est les deux premières cohortes hospitalières au global, et les infirmiers, on est au-delà de 250 000 personnes.
11:01Donc, l'ordre de grandeur est à peu près celui-là, et les aide-soignants, c'est un peu plus de 220 000.
11:06Donc, le nombre de postes vacants, il faut le rapporter à ces éléments-là.
11:10Oui, c'est encore plus impressionnant quand vous donnez le chiffre numériquement.
11:13Or, pourcentage, 250 000, 220 000 ou 210 000, presque plus de 400 000 collaborateurs à pourvoir dans le secteur.
11:21Enfin, ce n'est pas les postes à pourvoir, c'est l'ensemble des postes qui existent.
11:24D'accord. Combien de postes ? D'accord. Donc, ça fait quoi ? Ça fait 40 000 postes ? 20 000 postes ?
11:28Non, ça fait un peu moins que ça, globalement.
11:30On fait le calcul ? On sort la calculette ?
11:32J'ai quelques chiffres là-dessus. Je regardais justement sur le mois d'août dernier ce qui se passait sur les postes en infirmiers typiquement.
11:39Sur la France entière, on avait 22 000 emplois sur Indeed d'infirmiers.
11:47En fait, la concurrence, elle est à ce niveau-là.
11:49Parce qu'en fait, quand on regarde les candidats, le vivier de candidats potentiels, il existe.
11:52On avait en face 162 000 candidats qui consultaient ces offres.
11:56La différence, c'est le ratio. C'est qu'en fait, le problème, c'est la visibilité et c'est de s'assurer d'être considéré de la part de ces candidats-là.
12:02Avant de nous quitter, Cent Expo 2024, c'était en mai dernier.
12:05Est-ce que vous dites, vous, FHF, parce qu'Indeed, j'imagine, souhaite poursuivre l'aventure.
12:10Est-ce que vous dites, on continue cette aventure en mettant l'IA génératif pour déblayer le lourd et ensuite, on fait vraiment des entretiens ?
12:17Est-ce que vous dites, on y va, on continue ?
12:19Alors, Cent Expo, c'est une aventure qui est ancienne.
12:24Donc, il y aura un Cent Expo 2025.
12:26Sur cette rencontre Indeed.
12:28Il y a l'aventure avec Indeed.
12:30Elle s'inscrivait dans ce qu'on appelle le village des métiers.
12:32C'est ça.
12:33On valeure ces approches-là.
12:34Évidemment, on est toujours dans la logique de le développer.
12:37Et donc, toujours dans la logique d'y accueillir tous les partenaires de bonne volonté.
12:41Juliette Beaufort, un mot de conclusion.
12:43Ce secteur hospitalier, c'est quoi ?
12:45C'est un focus particulier que vous faites chez Indeed.
12:48Parce qu'on voit qu'il y a une très forte tension.
12:50Et que si on ne pourvoit pas ces postes, c'est la qualité des soins qui est évidemment...
12:56Oui, on a toute notre attention, évidemment, portée aussi sur ce secteur.
13:00On accompagne l'ensemble des employeurs privés comme public.
13:02On a une équipe dédiée au secteur public.
13:03On accompagne les trois versions de la fonction publique.
13:05Pour autant, dans le cadre des partenariats qu'on peut nouer,
13:08on s'intéresse évidemment de près au soutien de la fonction publique hospitalière.
13:12Donc oui, ce sont des choses qu'on fait.
13:14Et puis, surtout qu'on sait qu'on a des solutions efficaces
13:17qu'on peut mettre à disposition de ces établissements.
13:19On le voit à travers les chiffres que nous avancent également les employeurs qu'on accompagne.
13:23Et donc, c'est quelque chose qu'on veut pouvoir reproduire à plus grande échelle.
13:26On se retrouve en mai prochain peut-être pour Cent Expo,
13:29pour voir où vous en êtes.
13:31On sait qu'il y a un effort, effectivement, de fait.
13:33Et que les salariés, tout doucement, commencent à se tourner.
13:35Lentement, certes, mais se tournent vers le secteur hospitalier.
13:38Merci de nous avoir rendu visite.
13:40Merci à vous, Juliette Beaufour, directrice commerciale secteur public chez Indeed.
13:44Et merci à Rodolphe Soulier, responsable Paul RH,
13:46au sein de la FHF, la Fédération Hospitalière Française.
13:50Merci à vous.
13:52On termine avec une petite touche sucrée.
13:55À travers un livre, le livre Smart Job, Manager toxique, mode d'emploi,
13:59écrit par Adeline Perez, et elle n'a pas sa langue dans la poche.

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