• il y a 8 mois
Avec Dora Moutot et Marguerite Stern, co-auteures de "Transmania. Enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre" publié aux éditions Magnus.

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Transcription
00:00Appair, la marque de vêtements qui respecte votre identité, en vente exclusive sur appair-mod.com, présente
00:08Sud Radio Bercoff, dans tous ses états, le face à face.
00:1413h03 sur Sud Radio, l'heure pour nous de vous présenter ce face à face.
00:17Aujourd'hui André Bercoff, vous recevez pas un, mais deux invités, Dora Mouto et Marguerite Stern,
00:22qui sont co-autrices de cette nouvelle enquête, Transmania, enquête sur les dérives de l'idéologie transgère.
00:28Deux éditions en magnus, bonjour à toutes les deux.
00:31Alors c'est intéressant parce que ça me rappelle une phrase de Prévert qui disait
00:37il y a des gens qui dansent pour entrer en trans, il y a des gens qui entrent en trans sans danser,
00:44ce phénomène s'appelle la transcendance.
00:46Vous, il y a des gens qui entrent en trans pour se donner du genre, et vous avez baptisé ça le transgenre.
00:53Transmania, très intéressant, moins rigolote que la Starmania, mais quelque part beaucoup plus instructive.
01:01On en parle tout de suite.
01:04Et on parle de quoi ? Et alors là je vous ai réservé un morceau de choix qui dure très rapide.
01:10C'était il y a quelques années dans l'émission Arrêt sur image de Daniel Schneiderman.
01:15Il recevait un groupe, je ne dirais pas plus un groupe.
01:20Écoutez, vraiment c'est culte, et ça vaut son pesant.
01:24Vous n'êtes pas un homme ?
01:26Ah non, je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un homme, mais je ne suis pas un homme.
01:30Votre apparence ?
01:31Ah bon, il ne faut pas confondre identité de genre et expression de genre, sinon on va déjà mal partir.
01:36Alors expliquez-moi.
01:37Je suis non binaire, donc ni masculin ni féminin, et je refais ce qu'on a genre comme un homme.
01:41Comment vous définissez-vous ?
01:42Comme non binaire.
01:43Comme non binaire.
01:44Oui.
01:45D'accord, mais ni masculin ni féminin.
01:46C'est ça.
01:47Ça ne résout pas le problème des femmes sur le plateau.
01:49Ça ne résout pas le problème des femmes sur le plateau, mais ne dites pas qu'il y a 4 hommes sur le plateau.
01:52J'en ai et ce n'est pas très agréable.
01:54Non, non, non, mais je suis désolé si je vous ai offensé.
01:57On voit aussi que le plateau est très blanc.
01:59Aussi.
02:00Notre collectif Stop Open Washing, d'ailleurs, est méné par...
02:05Il va nous dire qu'il n'est pas blanc.
02:07Bah non.
02:08C'est-à-dire ?
02:09Bah non, je suis à moitié libanais.
02:11D'accord, mais...
02:13Non, mais c'est intéressant qu'on interroge tous nos propres stéréotypes autour de la table,
02:17parce que sans même avoir posé la question, vous supposez que je suis un homme.
02:20Seulement par mon apparence, vous estimez que je suis blanc.
02:23Donc, en fait, je pense que, justement, c'est très intéressant.
02:25La frontière de nos propres stéréotypes.
02:27Eh ben voilà, c'est ce qu'on va faire pendant une heure avec Doramouto et Marco Hitzter.
02:32Nous allons interroger nos propres stéréotypes.
02:35On va surtout interroger et décrypter le délire qui amène à ça.
02:39C'est quand même intéressant.
02:41C'est intéressant et puis ce n'est pas anecdotique tout ça.
02:45Loin de là.
02:46Alors, on va parler, d'abord, ça fait quand même quelques années,
02:52Marco Hitzter et Doramouto.
02:54Vous l'expliquez d'ailleurs au début de votre livre.
02:57Comment vous vous êtes intéressé à ça ?
02:59Alors, juste pour rappeler que vous aviez écrit le mal baisé.
03:03Mal, M-A-L-E, c'est ça.
03:05Et vous, vous étiez au mouvement Femen, Marco Hitzter.
03:09Et puis, ce qui est intéressant, c'est qu'à un moment donné,
03:12vous vous êtes un tout petit peu...
03:14Vous avez rencontré, disons, comme le Titanic rencontre l'iceberg.
03:18Mais vous, vous n'avez pas...
03:19L'iceberg, intéressant.
03:21Mais vous, vous n'avez pas coulé.
03:22C'est ce phénomène transgenre.
03:25Alors, comment ça s'est passé ?
03:27Pour nous deux, ça a commencé en 2019-2020.
03:30Moi, ça faisait un moment que j'avais quitté Femen.
03:32Déjà, je venais de créer le mouvement des collages contre les féminicides.
03:35Donc, un mouvement de collage de rue.
03:37Voilà.
03:38Centré vraiment juste sur cette question-là.
03:39Sur le féminicide, oui.
03:40Les féminicides, les violences conjugales.
03:41Je croyais à ce moment-là que les féministes pouvaient se rassembler
03:45autour d'une grande cause qui me semblait vitale.
03:48Malgré certains désaccords sur d'autres sujets.
03:51Et en fait, j'ai vu mon mouvement être complètement accaparé
03:54par des personnes que je nomme aujourd'hui transgenristes.
03:57Des personnes qui font la promotion de l'idéologie transgenre.
04:00Et donc, qui ont commencé à utiliser mon esthétique
04:03pour coller des choses comme
04:05« une femme trans est une femme ».
04:07Et donc, moi, j'ai commencé à m'exprimer en 2020 sur le sujet
04:11parce que j'ai constaté que l'idéologie transgenre
04:14qui dit que les hommes peuvent devenir des femmes
04:17et vice-versa, que finalement le sexe est une construction sociale
04:20comme nous l'explique aujourd'hui le planning familial dans son lexique trans.
04:24Oui, l'homme peut tomber enceinte.
04:26Voilà, la figure de l'homme enceinte.
04:28Tout ceci commençait à prendre beaucoup trop de place dans le féminisme
04:31jusqu'à effacer certaines questions
04:34comme les violences conjugales, l'inceste.
04:37Voilà, donc j'ai commencé à m'exprimer là-dessus.
04:40Dora, simultanément ?
04:42Alors, moi, j'avais un compte Instagram
04:45qui s'appelle Tajoui,
04:47qui était un compte suivi par un demi-million de femmes
04:50sur la sexualité féminine.
04:51Donc, quand on parle de sexualité féminine,
04:53on parle forcément d'organes qui sont propres aux femelles humaines,
04:57c'est-à-dire utérus, clitoris, voilà.
05:00Je parlais d'orgasmes féminins, de fausses couches, de règles,
05:03enfin bref, de tout ce qui touche particulièrement aux femmes.
05:08Et on est venu m'expliquer, en fait,
05:11des transgenristes sont venus m'expliquer
05:13que j'étais transphobe
05:15parce que je n'incluais pas les pénis de femmes dans mon discours
05:18et qu'il fallait absolument que j'arrête de parler de femmes
05:21mais qu'il fallait que je parle de personnes menstruées
05:23quand je parlais des femmes qui avaient leurs règles.
05:25C'est quoi un pénis de femme ?
05:27Un pénis de femme, en fait, c'est...
05:29C'est un homme qui transitionne pour devenir une femme.
05:32Aujourd'hui, quand il est transgenre,
05:34il peut garder ses...
05:36Ses attributs masculins.
05:37Exactement.
05:38Mais il est femme, donc c'est femme avec un pénis.
05:40Il est femme à l'état civil,
05:41c'est-à-dire qu'il peut faire changer ses papiers.
05:43C'est une femme, administrativement parlant,
05:46mais il reste un mâle dans son slip.
05:50Et donc, on est venu me dire qu'il fallait que je sois inclusive
05:53et que je parle aussi...
05:54Enfin, si je parlais de clitoris,
05:56si je voulais être quelqu'un, une véritable féministe,
05:58il fallait aussi parler de pénis de femme.
06:00Et en fait, j'ai refusé.
06:01Au tout début, j'ai cru que c'était une blague, honnêtement.
06:03J'ai trouvé ça hilarant.
06:05Donc, je me suis un peu moquée.
06:06Enfin, voilà, j'ai trouvé ça drôle, quoi.
06:08Et c'est pas du tout passé.
06:10Et on m'a créé une réputation de transphobe.
06:12Et on s'est mis à me traiter de TERF.
06:14Je savais même pas ce que voulait dire ce mot.
06:16Ça veut dire Trans Exclusionary Radical Feminist.
06:19C'est la façon dont les transgenristes nous nomment.
06:22Parce qu'on est tout simplement des femmes
06:24qui pensons qu'être une femme,
06:26c'est être une femelle adulte humaine.
06:28C'est-à-dire, être une femme, c'est une réalité biologique
06:31et non pas un ressenti.
06:32Et à partir de là, je me suis plongée dans ce sujet
06:35parce que ça m'a paru déjà très intéressant et curieux.
06:38Que se passe-t-il ?
06:40Et alors, que se passe-t-il ?
06:42Dieu sait s'il se passe des choses.
06:44D'ailleurs, juste par rapport à ça,
06:46votre livre est tout à fait passionnant
06:50parce que vous prenez tous les niveaux.
06:52C'est-à-dire le niveau du vocabulaire,
06:54le niveau des enfants, ce qui se passe.
06:57Parce que pour moi, franchement,
06:59en lisant votre livre, je vais vous dire,
07:01moi je suis presque, j'étais plus un qui que vous.
07:04Je crois qu'il y a un mouvement, vraiment,
07:06parce que je crois qu'il y a un mouvement totalitaire.
07:08Je ne dirais pas fasciste parce que ce mot valise
07:10est employé n'importe comment, n'importe quoi,
07:12mais c'est un mouvement totalitaire.
07:14Et ils ont des comportements fascistes.
07:16C'est clair.
07:17Je veux dire, quand ils essayent,
07:19c'est prosélite, c'est on touche les gosses,
07:22on va parler de tout ça.
07:24Les médecins, vous parlez de toutes ces expériences,
07:27que ce soit la chirurgie, etc.
07:29Les opérations chirurgicales, les traitements hormonaux,
07:32les bloqueurs de puberté, etc.
07:34Ce qui est incroyable,
07:36et je voudrais, comment ça se fait que tout ça,
07:38qu'on va détailler, mais comment ça se fait
07:40que ça s'est répandu aussi vite ?
07:42En tout cas, quelques années, c'est rien.
07:44C'est un clin d'œil.
07:45Et on a l'impression que c'est installé,
07:47même si ça touche encore une minorité, répétons-le,
07:49vous l'avez dit vous-même, mais quand même.
07:52Il y a plusieurs raisons pour lesquelles
07:54ça s'est installé vite.
07:56On peut parler du phénomène de contagion sociale
07:59au sein de la population des adolescentes,
08:01c'est-à-dire, le phénomène transgenre
08:04se répand comme une forme de mode,
08:06et les adolescentes, les jeunes filles,
08:08qui sont actuellement vraiment le public cible
08:10des transgenres, ce sont principalement
08:13elles qui transitionnent.
08:15A l'habitée salpétrière, dans l'unité hospitalière
08:17qui accueille les moins de 20 ans qui veulent transitionner,
08:19on est à 68% de jeunes filles.
08:21Donc voilà, il y a un phénomène de contagion sociale
08:23très très important, mais c'est surtout
08:25le fait que, comme vous venez de le dire,
08:28il y a des méthodes totalitaires,
08:30et puis il y a beaucoup d'argent.
08:32Sur l'argent, je laisserai la parole à Dora,
08:34qui a vraiment mené l'enquête sur ce sujet-là
08:36dans le livre.
08:38Mais sur les méthodes totalitaires,
08:40oui, j'aimerais y revenir.
08:42Vous en avez cité quelques-unes,
08:44il y a le prosélytisme, le prosélytisme à l'école,
08:46il y a aussi des méthodes, clairement,
08:48qui tiennent de la terreur.
08:50C'est-à-dire qu'aujourd'hui, quand vous allez en manifestation
08:52féministe, quand des lesbiennes, par exemple,
08:54vont en manifestation féministe avec des pancartes
08:56qui disent que les lesbiennes n'aiment pas les pénis,
08:58elles sont systématiquement frappées.
09:00Frappées, physiquement ?
09:02C'est arrivé en France, on en donne des exemples
09:04très concrets, sourcés dans le livre.
09:06C'est arrivé plein de fois à Outre-Atlantique aussi.
09:08Il y a des phénomènes de censure aussi.
09:10C'est-à-dire que nous, on est régulièrement
09:12censurés sur les réseaux sociaux.
09:14Depuis qu'Elon Musk est sur Twitter, ça va un peu mieux.
09:16Moi, il m'est arrivé de tweeter, par exemple,
09:18les femmes sont des femelles homo sapiens.
09:20Ça a été censuré par Twitter.
09:22Très grave, quand même.
09:24On a aussi, tout simplement,
09:26actuellement, notre livre sort en librairie.
09:28Il y a beaucoup de librairies qui ne veulent pas
09:30commander le livre, parce qu'elles ont peur des représailles.
09:32Quand on se rend à la FNAC,
09:34on voit que notre livre est caché
09:36derrière des piles, alors qu'il vient juste de sortir.
09:38On ne sait pas vraiment pourquoi.
09:40Et puis, il y a quand même,
09:42dans le transgenreisme, toute une esthétique de la violence.
09:44Oui, mais qu'est-ce qui fait que ça ?
09:46Je donne la parole à Vidal Adora,
09:48et on va parler.
09:50Qu'est-ce qui fait que ça s'est répandu très vite ?
09:52C'est une mode ?
09:54Ah oui, on va être différents
09:56des parents, etc.
09:58C'est un vieux phénomène, mais je veux dire,
10:00on se dit, aujourd'hui,
10:02on est queer comme on était Zazou dans les années 40.
10:04Enfin, c'est quoi ?
10:06C'est un peu ça, si vous voulez, dans les cours d'école.
10:08Quand vous faites votre
10:10coming out, c'est-à-dire que
10:12vous vous révélez
10:14trans,
10:16vous êtes automatiquement
10:18célébré. Et il y a un espèce de phénomène
10:20de love-bombing.
10:22Le love-bombing, c'est un terme anglais, désolé,
10:24mais c'est quand, vous savez, une communauté injecte
10:26tout d'un coup, beaucoup de mots d'amour
10:28entre guillemets, envers quelqu'un.
10:30Et puis, du coup, en fait,
10:32c'est une forme de manipulation.
10:34Je le bombarde d'amour jusqu'à mourir.
10:36Il y a une forme de fascination,
10:38c'est-à-dire qu'avec TikTok, il y a ces avant-après
10:40qui marchent très bien avec la chirurgie esthétique.
10:42Et donc, il y a ce truc du genre,
10:44en fait, avant, j'étais
10:46cette pauvre fille qui n'était pas du tout
10:48populaire, qui n'intéressait pas
10:50les garçons, etc. Et tout d'un coup,
10:52je deviens ce jeune homme magnifique
10:54parce que souvent, les transitions, par exemple,
10:56de femme à homme sont relativement
10:58bien réussies. Et tout d'un coup, elles deviennent
11:00l'homme de rêve pour tout un tas de jeunes filles.
11:02Donc, tout d'un coup,
11:04il y a un phénomène...
11:06Elles deviennent le Ken de Barbie.
11:08Elles deviennent l'homme rêvé.
11:10Et elles sont très, très
11:12célébrées et vice-versa. Il y a des
11:14hommes qui étaient des mecs
11:16qui n'étaient pas particulièrement intéressants
11:18ni visuellement, ni intellectuellement,
11:20ni quoi que ce soit, qui, quand ils transitionnent,
11:22tout d'un coup,
11:24deviennent esthétiquement intéressants à regarder.
11:26C'est avant-après.
11:28Il y a plein de jeunes qui s'en servent
11:30tout simplement pour recevoir de l'amour.
11:32Parce qu'effectivement, quand tu reçois des milliers
11:34de commentaires qui te valident,
11:36c'est ça qu'ils vont chercher, la validation,
11:38la reconnaissance. Il suffit d'être dans une
11:40famille où vous n'êtes peut-être pas
11:42très bien aimé par votre
11:44parent. Enfin, je n'en sais rien de ce qui se passe
11:46vraiment au sein des familles.
11:48C'est ça qui joue. On va en parler
11:50tout de suite après une petite pause.
11:52On reparle de tout ça.
11:54C'est vrai que c'est un phénomène
11:56qui me frappe parce qu'il ne faut jamais
11:58oublier que les grands fascistes
12:00sont arrivés au départ par des minorités.
12:02Je le répète.
12:04Dora Mouto et Marguerite Sterne qui sont nos invités
12:06jusqu'à 14h à tout de suite
12:08sur Sud Radio.
12:10Sud Radio, votre attention est notre
12:12plus belle récompense.
12:14Une grande famille sur Sud Radio.
12:16Je suis très fier d'en faire partie.
12:18Sud Radio, parlons vrai.
12:22Ici Sud Radio.
12:26Les Français parlent au français.
12:30Je n'aime pas la blanquette de veau.
12:32Je n'aime pas la blanquette de veau.
12:38Et un livre que je vous recommande
12:40vraiment que je vous recommande.
12:42Dora Mouto et Marguerite Sterne.
12:44Transmania. L'enquête sur les dérives
12:46de l'idéologie transgenre.
12:48Et cette idéologie évidemment
12:50comme toute idéologie
12:52peut verser dans le totalitarisme.
12:54Et je vais vous dire où ça commence.
12:56Juste encore une anecdote.
12:58C'était la dernière séance
13:00d'ouverture du Congrès américain.
13:02Il y a quelques mois.
13:04Donc il y a toujours un représentant
13:06qui fait la prière.
13:08Et là, cette année,
13:10j'y croyais pas mais on a l'enregistrement.
13:12Donc il fait sa prière et il finit
13:14« Amen » et il dit « Ah woman »
13:16Évidemment.
13:18Il ne peut pas dire « Amen »
13:20Il faut que je dise « Woman » sinon on va me traiter
13:22de machiste.
13:24Donc on revient à ça.
13:26C'est quand même hallucinant.
13:28C'est très frappé.
13:30Dans tout ce dont vous parlez,
13:32à tous les étages,
13:34notamment c'est bien votre personnage Robert
13:36qui est devenu Catherine
13:38qui adore le sissiporn
13:40et compagnie et compagnie.
13:42Mais au fond, est-ce que c'est
13:44Marguerite Stern ?
13:46C'est un peu la même démarche,
13:48le fil rouge.
13:50On est là, on fait ça
13:52et puis c'est l'état idéal,
13:54le transformisme, le transhumanisme,
13:56le changer de genre, etc.
13:58Donc c'est ça qu'on va faire.
14:00Est-ce que ça ne veut pas dire
14:02quelque chose de fondamental ?
14:04La négation absolue de la biologie.
14:06Ça veut dire
14:08que les gens sont
14:10de plus en plus déconnectés
14:12de leur propre corporealité
14:14et que finalement le réel
14:16n'a plus tant d'importance
14:18qu'on accepte de vivre
14:20dans un monde fictionnel conscrit
14:22de toutes pièces. Et nous justement
14:24on n'est pas d'accord avec ça.
14:26On pense qu'il y a certaines choses qui sont vraies,
14:28certaines choses qui sont fausses.
14:30Non seulement vous pensez,
14:32mais il y a une réalité, le réel ça existe.
14:34Oui, sauf que l'étrange genreisme
14:36ne croit pas à ça.
14:38Il pense que tout n'est que croyance
14:40et qu'il y a tout simplement
14:42un nouveau régime de vérité
14:44à imposer.
14:46Donc ils ont repris des concepts de Foucault
14:48et donc ce nouveau régime de vérité
14:50qui est qu'une femme peut avoir un pénis
14:52est tout aussi valable
14:54que le régime de vérité
14:56autour de la biologie. C'est comme ça qu'ils voient les choses.
14:58Non mais attendez,
15:00je veux bien qu'ils soient...
15:02Mais il y a des réalités biologiques,
15:04ils ne veulent plus les voir, parce que c'est ça le problème.
15:06Et le XX et le XXJ
15:08des genres, excusez-moi,
15:10on peut dire ce qu'on veut d'un côté ou de l'autre,
15:12moi ça ne me gêne pas
15:14que chacun veut être ce qu'il veut.
15:16Mais il y a quand même...
15:18Ils ne croient plus donc
15:20dans la science biologique,
15:22la réalité,
15:24tout ça, ça n'existe plus.
15:26Non, parce que ce qui compte pour eux,
15:28c'est finalement l'esprit sur le corps.
15:30C'est-à-dire que si leur esprit
15:32est soi-disant féminin ou masculin,
15:34alors le corps doit suivre et pour ça
15:36on a des techniques en endocrino,
15:38on a des techniques en chirurgie.
15:40On peut tout changer maintenant et donc tout va bien.
15:42Oui, voilà, et donc
15:44vous parliez de transhumanisme.
15:46Il y a Martin Rotblat
15:48un personnage très important
15:50dans le transgenreisme qui a écrit un livre
15:52dans les années 90 qui s'appelle
15:54From Transgender to Transhuman
15:56où en fait il décrit
15:58exactement ce qui va se passer et il explique
16:00que pour lui, finalement,
16:02ce qui est important c'est ce qu'il appelle
16:04the freedom of form, donc la liberté
16:06de forme et que dans le futur
16:08n'importe qui pourra choisir sa forme
16:10à tel point que finalement on pourra aussi
16:12se transférer notre esprit
16:14dans un ordinateur, c'est la finalité.
16:16Parce que si aujourd'hui
16:18un homme, une femme peut avoir
16:20un pénis et vice versa,
16:22finalement la corporeité
16:24c'est modulable, on en fait ce qu'on veut
16:26et puis lui il parle
16:28du persona creatus, donc
16:30finalement la personne
16:32transgenre c'est la personne qui se crée de toute
16:34pièce elle-même et ce serait une bonne chose,
16:36ce serait le premier pas vers
16:38le transhumanisme, ce serait finalement
16:40la première route
16:42acceptable qu'on fait accepter au public
16:44et puis peu à peu, peu à peu, on va aller plus loin
16:46là-dedans.
16:48Donc on commence par, je rappelle, lesbienne
16:50c'est une personne non-homme
16:52attirée par une personne non-homme
16:54c'est
16:56une personne à menstruation
16:58bien sûr, Anne, voilà
17:00et je rappelle,
17:02vous en parlez dans le livre,
17:04qu'effectivement
17:06il ne faut plus dire, il faut dire
17:08trou du devant, c'est ça Marguerite ?
17:10Oui c'est ça en fait, il y a une offensive aujourd'hui
17:12au niveau du langage
17:14c'est à dire que, et ça va même
17:16jusque dans des textes gouvernementaux
17:18jusqu'en des textes médicaux
17:20par exemple dans un livret médical
17:22dédié,
17:24qui s'adresse à des sages femmes
17:26dans un hôpital de ce sexe au Royaume-Uni
17:28on leur demande de parler
17:30au lieu de parler du vagin, il faut parler de
17:32trou du devant, d'ouverture génitale
17:34il ne faut plus parler de...
17:36Il ne faut plus dire vagin, il faut dire trou du devant
17:38Il ne faut plus parler de lait maternel
17:40Il faut parler de lait, de personnes allaitantes
17:42On a aussi le gouvernement français
17:44qui est dans un rapport
17:46dédié aux droits
17:48au respect des personnes trans
17:50et nous on est tout à fait favorable évidemment à respecter
17:52les droits des personnes trans
17:54mais on remarque que le gouvernement français nous parle quand même de sexe
17:56assigné à la naissance
17:58comme si le sexe était
18:00arbitrairement
18:02décidé alors que
18:04on l'explique dans notre livre, malheureusement
18:06il faut déployer face à tout ça
18:08une armada
18:10d'arguments
18:12parce que plus personne n'est capable de distinguer
18:14ce qu'est un homme d'une femme
18:16mais on explique en quoi le sexe n'est aucunement
18:18assigné à la naissance
18:20c'est une réalité biologique de la même façon
18:22que quand vous êtes né
18:24à telle heure, vous ne pouvez pas changer
18:26l'heure de votre naissance
18:28il faut accepter les limites matérielles de la réalité
18:30Heureusement
18:32beaucoup de personnes
18:34encore font de la différence homme-femme
18:36vous en parlez dans votre livre
18:38J.K. Rowling, la créatrice
18:40de Harry Potter
18:42qui a eu l'outrecuidance de dire qu'un homme est un homme
18:44et une femme une femme
18:46c'est fait évidemment traîner dans la boue
18:48au point qu'on lui interdit d'assister aux cérémonies du 20 ans d'Harry Potter
18:50mais je voudrais revenir
18:52à
18:54parce que tout ça, toute cette campagne
18:56demande des moyens
18:58il y a du business derrière ça
19:00c'est quoi l'argent, c'est quoi les moyens ?
19:02bien sûr, selon LGBT Funders
19:04qui est un groupe
19:06de philandropes
19:08LGBT Funders
19:10LGBT Funders
19:12ce sont des gens
19:14qui financent la mouvance LGBT
19:16selon eux, il y a eu
19:1836 millions qui ont été injectés
19:20en 2021 pour défendre
19:22les revendications transgenres
19:24donc il y a 36 millions qui ont été injectés
19:26pour faire en sorte que la notion
19:28d'identité de genre rentre dans les lois
19:30et rentre dans la culture
19:32donc en fait ces 36 millions
19:34quand ils sont injectés, ils sont injectés par un certain
19:36nombre de personnes richissimes
19:38qui ont décidé de défendre
19:40ces principes-là
19:42c'est-à-dire qu'on a
19:44il y a surtout deux personnes
19:46qui sont très connues pour investir là-dedans
19:48il y a John Stryker qui est en fait
19:50le petit-fils du créateur du lit d'hôpital
19:52donc en fait
19:54il a une énorme entreprise qui crée du matériel
19:56médical
19:58et il a décidé de créer une fondation
20:00qui s'appelle l'Arcus Fondation
20:02et dans cette fondation
20:04il injecte chaque année plus de 30 millions
20:06de dollars pour défendre les causes
20:08LGBT et l'identité de genre est vraiment
20:10un des piliers de son
20:12ONG. Avec cette ONG-là
20:14il va financer
20:16énormément d'assauts LGBT
20:18et en fait c'est très bien réparti
20:20c'est-à-dire qu'il va y avoir une assaut qui va s'occuper
20:22vraiment de la législation
20:24il y a une autre assaut qui va s'occuper
20:26par exemple l'assaut GLAAD s'occupe
20:28de faire entrer le vocabulaire transgenre
20:30dans les médias
20:32ils vont aller expliquer
20:34aux journalistes comment il faut parler
20:36c'est-à-dire que quand il y a
20:38monsieur Jenner qui devient Kathleen Jenner
20:40donc ce grand sportif
20:42GLAAD s'occupe de contacter tous les journalistes
20:44aux Etats-Unis en leur expliquant
20:46comment il faut en parler
20:48ils expliquent qu'on ne dit plus transsexuel
20:50à partir de maintenant on dit transgenre
20:52ils expliquent qu'il ne faut pas demander les opérations
20:54que monsieur a fait
20:56et les journalistes suivent
20:58oui c'est fait avec la société de presse
21:00c'est comme
21:02l'AFP
21:04c'est la même force de frappe
21:06donc quand il y a une sorte d'instance
21:08journalistique qui impose
21:10et donc il y a aussi
21:12un autre
21:14financier
21:16qui est donc monsieur Pritzker
21:18qui lui a transitionné
21:20et qui est un héritier de la famille Hayat
21:22et donc il y a plus de 20
21:24personnes philanthropes qui financent
21:26les hôtels Hayat
21:28il y a l'ancienne femme de Jeff Bezos qui finance
21:30il y a les héritiers de Disney
21:32il y a le petit-fils de Warren Buffet
21:34enfin on n'est pas
21:36sur une petite minorité
21:38non pas du tout
21:40dans la crème du capitalisme
21:42les gens les plus riches du monde
21:44qui investissent massivement
21:46dans cette idéologie
21:48donc il faut arrêter de nous faire croire que ça part du bas
21:50non ça part du haut
21:52justement du bas et du haut
21:54parce qu'il y a toujours la racaille d'en bas
21:56et on oublie la racaille d'en haut aussi
21:58après cette petite pause
22:00on repart avec Marguerite Stern
22:02et avec Dora Mouto
22:04et puis avec vous si vous voulez témoigner ou réagir
22:06posez toutes vos questions 0826 300 300
22:080826 300 300
22:10on revient dans un instant tout de suite
22:22Ici Sud Radio
22:26Les français parlent au français
22:28Les carottes sont cuites
22:30Les carottes sont cuites
22:32Les carottes sont cuites
22:34Sud Radio Bercov dans tous ses états
22:36La transition oui
22:38la transition ça demande aussi quand même
22:40un certain nombre d'opérations
22:42qu'elles soient je dirais psychologiques
22:44mais d'opérations physiques
22:46de traitement aux hormones
22:48de médicaments ingérés
22:50de loqueurs, de puberté etc
22:52etc
22:54Marguerite Stern au fond s'est créée
22:56avec cela et pourquoi pas
22:58j'ai pas un jugement moral là dessus
23:00mais une véritable industrie médicale
23:02et justement
23:04à partir de quand
23:06c'est à dire le libre arbitre
23:08à partir de quand moi enfant
23:10ou adulte ou adolescent
23:12je peux décider je me sens pas bien
23:14dans mon corps et j'ai envie de
23:16de transitionner comme on dit
23:18Pour parler juste de la France
23:20en France vous pouvez
23:22il y a plusieurs étapes dans la transition
23:24qui sont des standards édictés
23:26par une organisation internationale
23:28qui s'appelle la WPAS
23:30et donc la France suit ces standards là
23:32Donc dans une transition
23:34il y a 4 étapes, premièrement la transition sociale
23:36donc vous présentez au monde
23:38une identité différente que vous avez choisie
23:40vous changez pourquoi pas d'identité
23:42à l'état civil
23:44de genre, enfin voilà
23:46pour les enfants il y a les bloqueurs de puberté
23:48puis ensuite il y a les hormones croisées
23:50donc testostérone qu'on va administrer aux femmes
23:52oestrogène qu'on va administrer aux hommes
23:54et puis enfin l'étape finale
23:56l'opération dite de réassignation sexuelle
23:58on procède tout simplement à l'ablation
24:00des parties génitales
24:02pour reconstituer un simulacre du sexe opposé
24:04alors en France
24:06les enfants n'ont pas accès
24:08pour l'instant aux opérations dites de réassignation sexuelle
24:10les seules chirurgies
24:12qui sont effectuées sur des mineurs actuellement
24:14sont les mammectomies
24:16donc on coupe les seins à des jeunes filles à partir de l'âge de 16 ans
24:18et donc ceci est pratiqué
24:20dans nos hôpitaux français
24:22à titre indicatif
24:24c'est pratiqué
24:26c'est pratiqué
24:28à titre indicatif, à l'hôpital de la Salle Pétrière
24:30entre 2012 et 2022
24:3230 jeunes femmes de plus de 16 ans
24:34ont été
24:36on leur a coupé les seins
24:38et on n'a pas les chiffres des autres hôpitaux
24:40c'est à dire que
24:42seule la Pitié Salle Pétrière
24:44a rendu publiques ces données
24:46sauf qu'il y a en France entre 10 et 20
24:48unités hospitalières qui font transitionner
24:50les moins de 20 ans, on n'a pas les autres chiffres
24:52et pour les hommes qui
24:54transitionnent on n'a pas de chiffres ?
24:56on a très peu de chiffres
24:58sur les transitions
25:00par contre moi ce dont je voudrais parler
25:02c'est la question des mineurs
25:04qui sont actuellement mis sous bloqueurs de puberté
25:06parce que c'est quelque chose de très grave
25:08et puis c'est quelque chose d'actualité
25:10je vais le rappeler
25:12donc en fait les bloqueurs de puberté
25:14ce sont des substances
25:16qui ont été utilisées
25:18à partir des années 90
25:20pour bloquer la puberté des enfants
25:22qui avaient un problème hormonal, qui souffraient d'une puberté
25:24précoce, parce que ça peut
25:26engendrer des problèmes
25:28à l'âge adulte, une très petite taille
25:30notamment, voilà
25:32et donc ces bloqueurs de puberté normalement
25:34ne doivent être administrés pas plus de
25:362 ans, il faut très très soigneusement
25:38étudier le rapport bénéfice risque
25:40parce que ce sont des médicaments très
25:42invasifs, qui sont par ailleurs aussi
25:44utilisés pour castrer chimiquement
25:46les délinquants sexuels, pour traiter
25:48le cancer de la prostate, voilà
25:50et donc aujourd'hui
25:52on donne ça à des enfants
25:54dit trans, entre guillemets, pour bloquer
25:56leur puberté, à partir de quand ?
25:58on peut le donner ? à partir du stade 2
26:00de l'échelle de Tanner, donc c'est l'échelle qui
26:02permet médicalement de...
26:04à partir de 12 ans
26:06à peu près, donc sur une durée de 6 ans
26:08en fait, donc on dépasse totalement
26:12on peut l'administrer les bloqueurs pendant 6 ans
26:14c'est ça ? dans le cadre d'une transition
26:16de genre, alors que ces médicaments ont été
26:18homologués cliniquement
26:20pour être administrés pas plus de
26:222 ans, et donc ce qu'il faut bien comprendre
26:24c'est que ces médicaments
26:26bloquent les hormones responsables
26:28de la puberté, et que les hormones responsables
26:30de la puberté ont donc
26:32normalement pour effet de
26:34participer à la formation
26:36des caractères sexuels primaires et secondaires
26:38mais elles ont aussi un effet sur le squelette
26:40sur la maturation du cerveau
26:42voilà, et donc
26:44les enfants qui prennent ces médicaments aujourd'hui
26:46se retrouvent
26:48un peu, comment dire
26:50empêchés dans leurs capacités cognitives
26:52c'est à dire qu'ils ont des capacités
26:54d'abstraction après l'âge adulte très très
26:56faible, et puis avec
26:58de l'ostéoporose à 15 ans, par exemple
27:00on a le témoignage d'une réalisatrice
27:02suédoise qui a suivi un petit
27:04qui s'appelle Léo, qui a pris des bloqueurs de puberté
27:06pendant plusieurs années, et qui aujourd'hui
27:08ne peut pas tenir debout plus de 30 minutes
27:10parce qu'il a pris ces substances-là
27:12et donc, nous on s'est posé la question
27:14dans notre livre aussi, mais en fait
27:16comment des médecins peuvent faire ça
27:18alors qu'on sait que cliniquement
27:20ils ne l'ont pas
27:22été étudiés pour en fait
27:24c'est une utilisation de ces médicaments
27:26hors autorisation ni sur le marché
27:28les médecins jouent un peu au petit filmiste
27:30en fait, et c'est la même chose
27:32pour les autres hormones
27:34attendez
27:36Marguerite Stern
27:38ils sont mineurs
27:40qui donne l'autorisation, il faut l'autorisation parentale
27:42il faut l'autorisation des parents
27:44des deux parents ou d'un seul parent suffit ?
27:46peut-être que c'est les deux, je ne sais pas
27:48mais il faut l'autorisation, c'est ça
27:50donc il y a des parents qui
27:52pour un enfant de 12 ans, ce qu'il manifeste
27:54accepte, il dit oui oui
27:56le problème c'est qu'aujourd'hui, nous on pense
27:58que les parents ne sont pas suffisamment
28:00en fait, ils n'entendent qu'un seul discours
28:02qui est le discours des médecins transaffirmatifs
28:04qui sont parfois
28:06capables dans certains hôpitaux
28:08de dire aux parents, mais écoutez
28:10c'est la seule solution
28:12sinon votre enfant va se suicider
28:14on sait qu'à la clinique du genre Tavistock
28:16donc au Royaume-Uni
28:18qui a fait transitionner des milliers d'enfants
28:20qui est aujourd'hui fermée parce qu'il y a eu
28:22des dérives très très graves
28:24certains soignants ont témoigné anonymement du fait que
28:26c'était le discours qu'on tenait aux parents
28:28on disait sinon votre enfant va se suicider
28:30il faut le faire
28:32donc les parents sont un peu perdus
28:34nous on pense, et puis on a eu aussi dans notre livre
28:36le témoignage d'une maman
28:38qui
28:40a fait suivre sa fille
28:42à l'hôpital du Vinatier à Lyon
28:44donc un hôpital spécialisé dans la santé mentale
28:46et qui doit se battre
28:48contre vent et marée depuis maintenant plusieurs années
28:50pour que cet hôpital ne fasse pas
28:52transitionner sa fille
28:54la petite Capucine
28:56qui a été victime d'inceste
28:58qui a aussi un diagnostic
29:00de trouble du spectre autistique
29:02et qui donc se dit trans
29:04mais en fait les médecins n'ont pas
29:06pris la peine d'étudier
29:08son traumatisme
29:10pourquoi se dit-elle trans
29:12il y a eu une insistance
29:14pour lui couper les seins
29:16pour lui donner des hormones et donc aujourd'hui
29:18cette mère doit se battre pour que des médecins
29:20ne coupent pas les seins de sa fille
29:22c'est assez hallucinant
29:24et justement
29:26Doramouto
29:28en fait
29:30ce qu'il y a
29:32c'est qu'il y a quelque chose
29:34qui nous paraît comme ça
29:36de l'extérieur
29:38c'est que je ne sais pas
29:40s'il y a complicité ou pas
29:42mais le manque de contrôle
29:44de la politique
29:46je parle du politique
29:48au sens large du terme
29:50au sens large du terme
29:52qui décide de quoi
29:54au niveau des autorisations
29:56de ceci de cela
29:58à partir de quand
30:00quelqu'un qui se sent
30:02quand on est adolescent
30:04je me sens plus fille que garçon
30:06on peut totalement comprendre
30:08comment c'est fait que le processus peut être déclenché
30:10je dirais presque aussi facilement
30:12c'est une très très bonne question
30:14et on se la pose encore
30:16comment est-ce que ça peut être
30:18autorisé en réalité
30:20ça semble complètement absurde
30:22mais ce qu'il faut comprendre c'est que
30:24le lobby transgenre a fait un énorme travail
30:26auprès des législateurs
30:28ces gens là sont proches de certains députés
30:30sont proches de certains sénateurs
30:32et font un travail depuis les années 70
30:34pour faire en sorte
30:36depuis 50 ans
30:38et ils font en sorte
30:40d'être entendus
30:42et le problème c'est que ça se passe
30:44au niveau de l'Europe
30:46c'est complètement acquis à la cause transgenre
30:48et donc
30:50quand vous dites
30:52la commission européenne
30:54le conseil de l'Europe est acquis à la cause transgenre
30:56tout à fait
30:58c'est à dire qu'en 2009
31:00ils ont publié un rapport
31:02qui
31:04demandait aux états
31:06d'inclure l'identité de genre
31:08donc c'est droit de l'homme et identité de genre
31:10le rapport s'appelle comme ça, ça a été publié en 2009
31:12donc on assimile l'identité de genre
31:14au droit de l'homme
31:16c'est un droit de l'homme selon l'Europe
31:18c'est un droit de l'homme
31:20donc on a le droit de s'identifier homme ou femme
31:22juste par l'autodétermination
31:24et en 2015 il y a eu un nouveau rapport
31:26qui incitait les états à faire
31:28rentrer cette notion d'identité de genre
31:30comme un véritable droit
31:32et donc ce qui se passe c'est que
31:34même quand en France
31:36parce qu'en France on a quand même pas mal résisté
31:38c'est à dire que le changement s'est passé
31:40dans les années 90
31:4270 à 90 quand il y avait des hommes
31:44qui allaient se faire couper le pénis
31:46au Maroc, en Thaïlande, etc
31:48et bien la France disait
31:50écoutez c'est pas notre problème
31:52c'est pas parce que vous vous faites retirer vos organes
31:54que vous êtes une femme pour autant
31:56mais ces personnes là ont fait remonter
31:58leur cas
32:00à la cour européenne des droits de l'homme
32:02et la cour européenne a accepté
32:04et donc a puni la France
32:06et d'autres états
32:08et donc à partir des années 90
32:10l'Europe impose à la France
32:12le changement d'état civil pour les personnes
32:14qui se font couper le sexe
32:16et peu à peu
32:18comme ça
32:20on crée un utérus, un faux-utérus
32:22oui exactement, donc en fait les lobbyistes
32:24transgenres travaillent très très
32:26au plus près des députés
32:28européens
32:30pour faire changer les lois
32:32intéressant à savoir et rappeler
32:34que l'histoire date, ça fait 50 ans
32:36il faut le rappeler
32:38ça appelle au standard
32:400826-300-300
32:42nous sommes avec Marc qui nous appelle depuis Béziers
32:44bonjour Marc
32:46oui bonjour monsieur Bercoff
32:48bonjour à vos invités
32:50j'avais une question, en fait
32:52on a bien compris que les lobbyistes faisaient
32:54tout ce qu'il fallait pour influencer
32:56les médias sur les discours à tenir et autres
32:58par contre comment on peut
33:00expliquer cette complaisance
33:02aussi poussée des médias envers
33:04cette tendance
33:06à mon avis finissent de discréditer
33:08les médias et donnent libre cours
33:10à tous les complotistes de la terre
33:12le jour où ils seront un peu plus critiques
33:14et un peu moins complaisants avec ce genre de choses
33:16peut-être que ça changerait un peu la donne
33:18alors complaisance des médias
33:20quand même, des médias
33:22oui bien sûr
33:24mais il y a un travail
33:26qui est fait et malheureusement
33:28ben
33:30je pense que dans les écoles
33:32de journalisme on n'apprend pas forcément
33:34aux jeunes journalistes à avoir un regard
33:36critique en fait, à être capable
33:38véritablement d'analyse et puis on demande tellement
33:40aux journalistes de produire très très rapidement
33:42des papiers et puis
33:44il y a une sorte de pression qui se crée parce que quand même
33:46le monde queer est plutôt
33:48cool, c'est branché, c'est chouette
33:50et finalement il n'y a pas tellement de journalistes
33:52qui se mouillent et malheureusement
33:54moi c'est ce que me dit tout le temps ma grand-mère, elle me dit tout le temps
33:56mais Dorath, c'est pas possible que t'aies
33:58écrit ce livre
34:00ça devrait être au JT de TF1
34:02comment se fait-il que depuis 10 ans on ne le dise pas
34:04enfin tu dois forcément raconter n'importe quoi
34:06vu qu'au JT de TF1 on m'a pas dit
34:08ben oui écoute
34:10j'adore la grand-mère de Dorath
34:12mais c'est vrai que nous aussi
34:14on se posait la question, comment se fait-il
34:16je veux dire, il y a quand même pas mal de scandales
34:18il y a eu le scandale Tavistock effectivement
34:20autour des bloqueurs de puberté
34:22en Angleterre, il y a eu beaucoup de scandales
34:24qui ne sont pas couverts par la presse
34:26alors maintenant évidemment il y a le Figaro
34:28et certains autres médias plutôt à droite
34:30qui commencent à couvrir le sujet mais ils ont mis du temps
34:32et la gauche
34:34fait une omerta
34:36totale sur ce sujet
34:38je crois que ça va au-delà de regarder ce qui se passait
34:40pour le Covid, ça va au-delà de la droite
34:42et de la gauche mais c'est un autre problème
34:44mais moi il y a une chose que
34:46je ne sais pas
34:48je ne peux pas dire que j'ai lu tous les chapitres
34:50de votre livre, est-ce que vous parlez
34:52des gens, je ne sais plus comment ça s'appelle
34:54qui ont envie de devenir animaux, animal
34:56non
34:58on ne m'en touche pas moi mais on aurait pu
35:00je vous raconte ça juste pour parler de
35:02vous savez qu'il y a eu
35:04on a vérifié aux Etats-Unis
35:06il y a eu une femme dont le gosse se sentait chat
35:08je suis un chat
35:10ça va plus loin
35:12elle l'amène chez le vétérinaire
35:14parce qu'il était malade pour faire soigner
35:16le vétérinaire lui dit oui
35:18on a vérifié
35:20il dit mais madame moi je suis vétérinaire
35:22et alors il se prend pour un chat donc vous devez le soigner
35:24et elle a fait un procès au vétérinaire
35:26évidemment elle a perdu
35:28mais pour vous dire à quel point
35:30c'est là moi ce qui me préoccupe le plus
35:32c'est le problème de psychiatrie j'ai envie de vous dire
35:34on est dans des maladies psychiatriques graves
35:36où en fait il faut aider les gens
35:38parce que là il y a un petit souci
35:40une partie de la population
35:42perd littéralement la tête
35:44et on les valide, c'est ça le problème
35:46on les valide
35:48on va en parler tout de suite après cette petite pause
35:50avec les auditeurs de Sud Radio
35:52et puis on va parler du politique
35:54il y a des choses très intéressantes à dire là dessus
35:56quand je dis du politique, pourquoi le politique
35:58partout, partout, spécialement en France
36:00laisse faire
36:02et vous continuerez d'avoir la parole 0826 300 300
36:04on revient tout de suite sur Sud Radio
36:06Sud Radio
36:08parlons vrai
36:10parlons vrai
36:12ici Sud Radio
36:16les français parlent au français
36:20je n'aime pas la blanquette de veau
36:22je n'aime pas la blanquette de veau
36:24Sud Radio
36:26Bercov dans tous ses états
36:28et oui et nous pensons à
36:30à
36:32Justin Trudeau, vous savez
36:34ce premier
36:36ministre canadien que le monde entier
36:38le rend vie
36:40il a lancé le premier
36:42plan d'action fédéral
36:44de ELGBTQI
36:46plus du
36:48Canada, bâtir notre avenir
36:50avec fierté
36:52alors je vous signale que ça donne
36:5475 millions de dollars
36:56pour les organismes communautaires
36:58d'ELGBTQI plus
37:00qui défend et servent
37:02leur communauté
37:04et voilà il y a tout là-dedans effectivement
37:06que ce soit
37:08les gens qui font la transition ou pas
37:10tout ça est inclus
37:12mais je voulais savoir au fond, qu'est-ce que ça coûte
37:14une transition, aujourd'hui je veux me faire
37:16je veux transitionner
37:18ça coûte quoi ?
37:20ça coûte plus cher quand on est un homme
37:22qui veut devenir une femme
37:24donc nous on a calculé que pour faire
37:26tout ce qu'il faut, c'est-à-dire prendre des hormones
37:28à vie, plus
37:30faire un certain nombre de chirurgies
37:32chirurgie génitale, chirurgie
37:34faciale, épilation
37:36intégrale
37:38ça c'est pour un homme qui veut dire femme
37:40faire par exemple
37:42l'opération des cordes vocales, pomme d'Adam
37:44plus avoir quelqu'un qui vous aide
37:46à rééduquer votre voix parce que c'est pas forcément
37:48évident
37:50on est à plus de 100 000 euros
37:52et ça c'est vraiment la fourchette hyper basse
37:54avec des prix dans le public
37:56et ça c'est pris en charge par la sécurité sociale
37:58intégralement
38:00intégralement, c'est-à-dire
38:02si je veux transitionner les 100 000 euros me sont intégralement
38:04remboursés par la sécurité sociale aujourd'hui
38:06légalement sous le bond de la loi
38:08c'est-à-dire que vous rentrez dans un système
38:10où vous avez une ALD
38:12donc c'est une affection longue durée
38:14une ALD 31
38:16c'est là que se situe
38:18le paradoxe trans
38:20à la fois on nous dit que c'est dépsychiatrisé
38:22donc ce n'est pas une maladie le transsexualisme
38:24bon voilà vous avez une dysphorie
38:26de genre mais c'est pas un problème psychiatrique
38:28non plus c'est juste un état humain
38:30bon voilà
38:32mais en même temps vous êtes remboursés intégralement
38:34comme si vous aviez une maladie extrêmement
38:36grave
38:38ça c'est pour un homme
38:40100 000 euros
38:42une femme ça coûte moins cher
38:44on a calculé à peu près 40 000 euros
38:46pour une transition complète
38:48une femme voulant devenir
38:50homme
38:52donc voilà
38:54nous on estime que
38:56si ce n'est pas
38:58une maladie, une véritable maladie
39:00psychiatrique ou hormonale
39:02pourquoi être remboursé par la sécu
39:04intégralement en plus
39:06si c'est un choix de vie très bien
39:08mais il y a beaucoup de femmes qui se font des chirurgies esthétiques
39:10parce qu'elles sont pas contentes de leur allure
39:12et bien on ne les rembourse pas
39:14moi j'estime quand même que c'est pas très cool parce que les femmes doivent se faire
39:16sans arrêt épiler pour être acceptées
39:18dans la société mais par contre
39:20l'épilation intégrale on le paye de notre poche
39:22alors par contre pour les messieurs qui deviennent femmes c'est remboursé
39:24intégralement
39:26c'est un peu délirant quand même
39:28en tout cas écoutez ça, ça en dit long
39:30sur où en est la société aujourd'hui
39:32je crois que nous avons des auditeurs
39:34on a Michel qui nous appelle depuis Dax dans les Landes
39:36bonjour Michel
39:38Oui bonjour M.Darkov, bonjour à vos invités
39:40et encore merci pour vos émissions
39:42mais vous m'avez un petit peu
39:44coupé l'herbe sous le pied parce que je voulais
39:46intervenir par rapport au remboursement
39:48de la sécurité sociale
39:50je trouve que c'est complètement aberrant
39:52c'était une question
39:54justement mais maintenant j'en ai la certitude
39:56puisque vous voyez c'est entièrement remboursé
39:58et puis d'autres personnes qui pourraient se refaire
40:00la bantition ou comme ça
40:02qui sont plus importants
40:04et qui ne sont pas remboursés à 100%
40:06et ce qu'il faut savoir en plus
40:08ni les lunettes, ni les yeux, ni la vue
40:10et ce qu'il faut savoir en plus
40:12c'est à dire que les hormones croisées
40:14qu'on donne aux personnes qui veulent transitionner
40:16ce sont des hormones qui sont données
40:18hors AMM, c'est à dire hors de mise
40:20hors mise sur le marché, c'est à dire que
40:22quand on donne ces médicaments là normalement
40:24à des gens, par exemple ça va être pour la ménopause
40:26ça va être pour tout un tas de problèmes
40:28et ces médicaments
40:30les labos les ont sortis pour
40:32ces problèmes là de santé spécifique
40:34et donc normalement
40:36quand un médicament est hors AMM
40:38quand un médecin le prescrit
40:40il ne doit pas être remboursé
40:42c'est à dire que
40:44c'est remboursé
40:46mais en plus de ça en fait
40:48on crée des risques de santé
40:50graves pour les personnes, c'est à dire que quand on
40:52administre de la testostérone à une femme
40:54cliniquement, ce que dit Dora, c'est hors AMM
40:56ce que ça veut dire c'est que cliniquement
40:58les injections de testostérone
41:00n'ont été étudiées que sur des hommes
41:02or, un corps de femme et un corps d'homme
41:04ça n'est pas la même chose
41:06entre deux individus de même sexe, il y a 0,1%
41:08de différence du génome
41:10alors qu'entre deux individus
41:12de sexe différent, enfin hommes et femmes
41:14il y a 1,5% de différence
41:16donc les corps des femmes et les corps des hommes
41:18sont très différents
41:20et donc on fait courir des risques très graves
41:22pour la santé
41:24là on voit vos transphobies
41:26qui dit que le corps des femmes est différent de celui des hommes
41:28non, on ne peut plus dire ça
41:30non, non, c'est condamnable
41:32on a Patricia qui nous appelle justement
41:34bonjour Patricia de Montpellier
41:36oui, bonjour
41:38monsieur Bercoff et merci pour
41:40cette émission et ces deux merveilleux
41:42écrivains, on a besoin
41:44d'entendre ça, moi je me rappelle
41:46au moment du combat de la manif
41:48pour tous, je parle franc
41:50on s'est retrouvé avec
41:52une bombe à déflagration
41:54qui continue aujourd'hui
41:56par rapport avec le Jeanne d'Or
41:58parce que véritablement c'est ça
42:00sur lequel on s'est retrouvé
42:02c'est une arme qui a
42:04permis de surfer
42:06et qui a permis de faire rentrer la nouvelle famille
42:08avec un
42:10F différent
42:12et moi je me suis replongée
42:14à faire des conférences sur
42:16des nouveaux propos sur
42:18aujourd'hui les parents, la parentalité
42:20hommes, femmes, ça n'existe plus
42:22etc. et on s'est rendu compte que
42:24c'était véritablement
42:26de toute façon une arme de lutte
42:28contre la famille traditionnelle
42:30et que du coup le multi-partenarisme
42:32la sexualité
42:34vit autrement
42:36enfin il ne faut pas
42:38ménager Patricia
42:40mais en tous les cas c'est vrai que
42:42l'idéologie du genre elle crée
42:44des problèmes dans certaines familles, elle détruit
42:46certaines familles, premièrement
42:48parce que quand vous vous retrouvez
42:50avec une ado à la maison
42:52qui vous dit qu'elle fait son coming out
42:54vous vous demandez ce qu'il se passe
42:56quand il y a une ado
42:58qui va mal, c'est une
43:00déflagration pour toute la famille surtout quand le corps médical
43:02ne prend pas bien ça en charge
43:04et puis aussi on se demande de ce qui se passe
43:06psychologiquement pour les enfants
43:08dont le papa dit
43:10maintenant tu vas m'appeler maman
43:12et puis on en parle aussi dans notre livre du phénomène des trans widows
43:14ce sont ces femmes donc littéralement
43:16veuves de trans
43:18qui témoignent sur internet du fait que
43:20après 40 ans de mariage
43:22leur mari leur dit
43:24finalement en fait je m'appelle plus Robert
43:26tu vas m'appeler Catherine
43:28et puis on est désormais en couple lesbienne
43:30donc ça crée aussi pour ces femmes là
43:32un certain traumatisme qui n'est pas reconnu
43:34et donc c'est vrai que dans ce sens là ça fait exploser
43:36certaines familles, oui.
43:38Ça veut dire qu'on est, et vraiment il faut le voir, dans un moment
43:40vraiment pré-totalitaire
43:42il faut faire très attention à ça
43:44t'es encore heureusement une minorité
43:46mais il faut être lucide, se battre
43:48ce bouquin nous aide à le faire
43:50et je dirais que je pense
43:52qu'un monde où on soit tous des créatures
43:54de laboratoire
43:56pour des expériences plus ou moins
43:58glauques, ne paraît pas vraiment
44:00un monde dans lequel nous aurions
44:02vraiment envie de vivre.
44:04Transmania, enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre
44:06c'est écrit par Doran Mouteau et Marc Christian
44:08c'est disponible en librairie et aux éditions
44:10Magnus, merci à toutes les deux d'avoir été avec nous
44:12merci André Bercoff d'avoir animé l'émission
44:14on se retrouve demain sur Sud Radio, tout de suite c'est Brigitte Ley
44:16Sud Radio Bercoff
44:18dans tous ses états
44:20midi 14h
44:22André Bercoff

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