• il y a 8 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 Là on va revenir sur l'affaire Bataillon, l'affaire Quentin Bataillon,
00:03 le président de la commission d'enquête sur la TNT.
00:06 Il est venu dans TPMP, le pauvre...
00:08 Après ça c'était un déferlement.
00:10 La commission d'enquête, je le rappelle, était terminée, les auditions étaient terminées.
00:14 Donc c'était sa première télé, c'était "Touche pas au poste"
00:16 et ça a fait réagir énormément.
00:18 Autant dans son camp, après il y en a qui le défendent dans son camp,
00:21 il y en a qui le défendent moins, il y en a qui sont neutres à peu près.
00:24 Et puis bien sûr, chez les amis de Gilles Verdez, on demande sa démission.
00:28 Voilà, c'est devenu n'importe quoi.
00:30 Donc les amis de Gilles Verdez sont vents debout.
00:34 Il n'y a que Gilles qui peut les calmer.
00:36 Donc si Gilles peut un peu gérer ses amis, ce serait bien.
00:40 Alors, on va revoir la séquence qui a fait réagir, dans le cas où vous ne l'auriez pas vue,
00:43 puisque la séquence c'est quand il parle de Yann Barthez.
00:48 L'arrogant, comme on l'appelle dans le métier.
00:51 On l'appelle aussi Jeff Panacloc, parce que si vous le savez,
00:53 c'est vrai que Yann Barthez, ça fait des années,
00:55 il a un producteur qui s'appelle Laurent Beaumont.
00:58 Et il a une oreillette, et en fait, il ne peut pas dire un mot sans que Laurent Beaumont lui dise dans l'oreille.
01:02 Donc c'est pour ça que tout le monde l'appelle Jeff Panacloc.
01:04 Donc dans le milieu, même quand vous le voyez dans la rue,
01:06 moi quand je le vois, je dis "Oh, il y a Jeff Panacloc".
01:08 C'est comme ça, tout le monde l'appelle Jeff Panacloc parce qu'on sait que c'est une marionnette.
01:13 Donc voilà. Et donc ça ne lui a pas plu.
01:16 Voilà, tout ça.
01:17 Ça ne lui a pas plu que quand un matériau, on dise qu'il est arrogant.
01:20 Alors je vous le dis, c'est vrai qu'il est arrogant en plus.
01:22 C'est-à-dire qu'ils ont une tête comme ça, ils ont un melon comme ça,
01:24 ils ont une pastèque incroyable, ils croient qu'ils ont toujours raison, ils se la racontent.
01:28 Je vous l'avais raconté, à chaque fois qu'ils voient des collaborateurs à nous,
01:33 "C'est incroyable, touche pas à mon poste, pourquoi ils ont fait ci, pourquoi ils ont fait ça ?"
01:37 C'est vrai que nous, on ne se mêle pas trop de leurs affaires.
01:39 Et c'est vrai qu'ils nous mettent des tacles à chaque fois dans leurs émissions.
01:42 D'ailleurs, Yann Barthez, dès le début dans la commission, au lieu de parler de lui,
01:45 il a parlé de nous, il a dit "Nous, on n'a pas fait ci, nous, on n'a pas fait ça, nous, on n'a pas fait ça".
01:48 Vous savez, comme le rapporteur en classe qui vient dire à la maîtresse
01:53 "Moi, je n'ai pas fait ça, eux, ils l'ont fait".
01:55 Vous voyez un petit peu la mentalité.
01:57 Donc voilà, depuis, l'autre, Panacloc, il est en dépression,
02:00 ses cheveux dans le vent, on dirait un artichaut sur la tête.
02:04 Il en rassera total, il a le seum total parce que quand un matériau est venu,
02:09 il est écœuré parce qu'il a raté complètement son audition à la commission.
02:12 Donc depuis, il est en bas de total, le gars, voilà, il est…
02:15 En plus, ça va, il a pris 25 ans en deux semaines, sans déconner,
02:20 le gars, il est passé de Jeff Panacloc au père Fauras.
02:23 Donc voilà, il n'est pas bien.
02:25 Et donc, ce qu'il a un petit peu titillé, c'est ce qu'a dit le président de la commission.
02:31 Parce qu'il a dit qu'il était arrogant.
02:33 Voilà, donc derrière, ils ne sont pas bien, voilà,
02:36 ils ont arrêté de manger leur quinoa, là, ils ne sont pas bien.
02:39 Même le quinoa ne passe plus, regardez ce qu'il avait dit quand un matin.
02:43 – Je crois que c'est la première fois que je me suis énervé, entre guillemets,
02:45 vous avez vu que je suis un garçon plutôt calme,
02:47 énervé sur les auditionnés parce qu'en fait, vraiment,
02:49 il y a une attitude assez arrogante, dès le début.
02:53 Il refusait de répondre à nos questions, tout simplement.
02:55 Donc je posais une question, il regardait les gens du RN,
02:57 tant mieux qu'il regarde les gens du RN, mais c'est eux qui répondaient à autre chose.
03:00 Donc à un moment, ce n'était quand même pas vraiment l'exercice,
03:02 donc on leur l'a rappelé de manière polie.
03:04 – Alors c'est vrai que tout le monde l'avait trouvé méprisant,
03:06 Yann Martès, même avec les députés, etc.
03:08 Il savait que même les députés, apparemment, qui l'aimaient bien,
03:11 avaient dit qu'il avait été méprisant, voilà, il se l'a raconté.
03:14 – Oui, on a les mêmes infos.
03:15 – Exactement, il a raté son audition.
03:18 – Et depuis, il est fébrile.
03:21 – L'ensemble des députés, très majoritairement,
03:24 entre eux, ont jugé qu'il n'avait pas été bon et fébrile.
03:27 – Donc, Quentin Bataillon, il était ce matin sur France Info,
03:31 parce que ça fait "t'en es pas possible", tout le monde a repris,
03:34 après, voilà, ce n'est pas non plus l'affaire du siècle.
03:36 Mais eux, ils en ont fait l'affaire du siècle,
03:38 parce qu'ils se sont dit "comme on a raté notre audition,
03:40 peut-être que c'est le moyen de trouver autre chose
03:42 et de faire, ce qu'on dit, un contre-feu".
03:45 C'est comme ça qu'on dit ?
03:47 – Oui, absolument.
03:48 – C'est comme ça qu'on dit ?
03:48 – Oui, bien sûr.
03:49 – Merci, ben, si on le dit alors.
03:50 Alors, Quentin Bataillon, il a assumé sa présence dans notre émission.
03:53 – Moi, je trouve qu'il est gentil de s'excuser,
03:54 l'arrogance de Yann Barthez à la commission, encore une fois,
03:56 il n'a pas dit qu'il était arrogant dans la vie ou dans l'émission,
03:58 il est à la commission, ce n'est pas un jugement, c'est un constat.
04:01 Il a dit "je ne suis pas content d'être là",
04:02 il s'est habillé d'une manière complètement différente de d'habitude,
04:05 par provocation, on le sait, il y a eu énormément de tensions, de frictions,
04:07 il a dit ça dans le cadre de l'audition et puis on lui a posé la question,
04:10 il faut quand même dire la vérité, il ne l'a pas dit spontanément,
04:12 donc je le trouve très gentil de s'excuser, franchement,
04:14 il a été très correct dans l'émission.
04:15 – Et derrière, regardez ce qu'a fait Aurélien Saint-Aoul,
04:19 il a écrit un courrier à Quentin Bataillon, bien sûr,
04:22 pour faire du buzz, encore une fois, sur les réseaux sociaux,
04:25 alors regardez le courrier, sans déconner,
04:26 t'avais l'impression que c'était Robespierre, le gars,
04:28 non mais c'est une rigolade, mais franchement, Robespierre sans le talon,
04:31 regardez, alors on peut voir ce qu'il a fait, c'est incroyable,
04:35 il l'appelle, genre, oui, je lui demande de réunir le bureau
04:38 de la commission d'enquête afin de statuer sur son propre sort,
04:41 non mais lui, il est fou, la mort, il est fou,
04:44 il a pété un cap total, sans déconner, il est fou, non mais les mecs…
04:49 – C'est délirant, comme ils ont tout raté,
04:52 ils essaient de se raccrocher en branche,
04:55 mais quand votre tour est passé, votre tour est passé,
04:58 donc là, ils essayent de faire de la propagande,
05:00 de fragiliser le président qui en a fini avec son rôle.
05:02 – Voilà, bon alors après, on va passer chez les marionnettes,
05:05 alors allez, c'est parti, donc Clève Panacloc et ses amis,
05:07 il y a Jean-Michel Apathie aussi, lui, c'est le bébé de show,
05:11 vous vous rappelez le bébé de show, les vieux, comme ça,
05:13 lui, on ne comprend plus ce qu'il fait, il ne comprend plus rien,
05:17 plus ce qu'il dit, même lui, il ne sait même pas ce qu'il dit,
05:19 il y a des mots qui sortent, il ne les contrôle même pas,
05:20 le mot est déjà parti, il remet encore son dentier,
05:23 c'est un truc de fou, il a fait un dédicto pendant trois plombes
05:26 pour ne parler que de ça, plus de six minutes, Jean-Michel Apathie,
05:31 alors il a démarré en étant un peu jaloux de notre relation avec Quentin Bataillon,
05:35 apparemment, il est jaloux de lui aussi,
05:37 on aurait bien été copains avec des mecs,
05:38 moi, je ne suis pas copain avec Quentin Bataillon,
05:40 je ne suis jamais sorti avec lui,
05:42 je n'ai jamais été prendre un Orangina avec Quentin Bataillon,
05:44 ni un Réiclès, ni un Cacolac, donc voilà, je te le dis,
05:47 Jean-Michel Apathie, si tu veux, on ira prendre un verre ensemble,
05:50 mais si je te demande de prendre un verre,
05:51 tu ne vas pas me faire comme Yann Barthez,
05:52 tu ne vas pas aller au commissariat, parce que c'est bon,
05:54 il commence à en avoir assez d'avoir des mains courantes,
05:56 c'est vrai qu'il a le seum, il est jaloux,
06:00 Jean-Michel, ne t'inquiète pas, tu venais ici, toi aussi,
06:03 il était tout content de venir,
06:04 non mais c'est vrai, il me lustrait les glauis,
06:06 il venait ici, il me lustrait les glauis, sans déconner,
06:10 j'étais obligé de lui donner une peau de chamois,
06:11 non mais c'est vrai, là, monsieur, il était BMP,
06:16 il me lustrait les glauis comme jamais,
06:18 je sortais ici, j'étais en BX Leader,
06:21 métallisé, non mais sans déconner, les gars, oui.
06:24 - Pour illustrer son propos,
06:27 il vous reproche d'être bien élevé avec votre invité.
06:28 - Bien sûr.
06:29 - C'est bizarre, on ne va pas recevoir un invité en disant
06:31 écoutez, je ne suis vraiment pas du tout content que je sois ici.
06:33 - C'est ça, je te le dis, c'est incroyable.
06:36 - Le président de l'Arkham, ça ne les gêne pas.
06:38 - Non, ça ne les gêne pas.
06:39 Le président de l'Arkham qui va chez eux, ça ne les gêne pas.
06:40 - La neutralité, l'impartialité.
06:42 - Alors il nous a reproché aussi d'avoir offert un cadeau
06:43 à Quentin Mataillon.
06:44 - On dirait qu'il lui a offert une Porsche tout option.
06:47 - C'était un truc pour rire.
06:48 - C'est mal me connaître, Jean-Michel Zapata.
06:49 - On rigolait.
06:50 - Jean-Michel Zapata, je vous le dis, c'est mal me connaître
06:51 parce que je vais vous dire, à nous, ils n'offrent pas un cadeau.
06:52 Je suis une barre de fer, tu vois, je te le dis.
06:53 - C'est une vague.
06:54 - Alors il n'est pas bien, vous voyez, ils ont le seum,
06:55 on ne va pas s'en tirer.
06:56 Depuis trois jours, ils ne sont pas bien, là, tous, là.
06:57 Regardez, ils sont tous, ils blanquent un des cachets d'aspirine.
06:58 Regardez, regardez, faites des UV comme moi, comme Montiel, les gars.
07:00 - Ce qui est énorme, c'est qu'il n'a même pas remarqué qu'on se foutait de leur gueule.
07:01 Il n'a pas compris la vanne, puisqu'il y avait un député qui avait dit la semaine
07:02 d'avant qu'il leur offrait des cadeaux.
07:03 - C'est un apnée.
07:04 - Et en plus, moi, je l'offre en direct et puis, bon, le cadeau, ça va, c'est pas non
07:05 plus...
07:06 C'était une vanne, oui.
07:07 - Bien sûr.
07:08 - Mais pour eux, c'est terrible.
07:09 - Oui, c'est terrible.
07:10 - C'est la commission de la guerre.
07:11 - Vous savez, ils ne sont pas bien, ils ne sont pas bien.
07:12 - C'est une vanne.
07:13 - C'est une vanne.
07:14 - C'est la commission de la guerre, voire du quinquennat.
07:30 C'est celle où ils sont auditionnés, où vous êtes auditionnés et le président vient
07:35 sur le plateau, sur votre plateau, t'en touches pas à mon poste.
07:38 Pour eux, c'est un camouflet incroyable.
07:40 C'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas le supporter.
07:42 - C'est un camouflet.
07:43 - Ils font toutes les parades, toutes les astuces pour le décrédibiliser, pour lui
07:47 faire payer le fait d'être venu.
07:49 Voilà, c'est de la pure vengeance.
07:50 - Alors, regardez, il sous-entend ensuite qu'il faut que Quentin Bataillon parte ou soit
07:53 viré, mais qu'il ne peut pas...
07:55 Parce qu'il est, je cite, "inamovible".
07:57 - Oui, le président des commissions, on ne peut pas les destituer dans le règlement.
08:01 - Voilà, bon, ben les mecs, comme on dit, vous avez dans le cul du loup.
08:04 Donc, il y a Yann Barthez, donc Jeff Panacloc.
08:06 Regardez, on est en train de lui dicter dans l'oreille sa conclusion.
08:10 Donc, on lui dit dans l'oreille Yann Barthez, Jeff Panacloc, là, et on lui dit qu'il ne
08:14 voulait pas évoquer cette affaire, alors que c'était précisément ce qu'il était
08:17 en train de faire depuis 10 minutes.
08:18 Mais on lui dit, ouais, dit que tu n'as pas évoqué l'affaire.
08:20 Après, comme, bon, problème, c'est que, voilà, quand vous avez quelqu'un dans l'oreille,
08:23 vous dites que c'est comme ça.
08:24 Lui, le problème, c'est que, voilà, je vous dis, dès qu'il arrive, il fait "bonjour",
08:27 voilà.
08:28 Non, mais sans déconner, je vous le dis, il arrive à la station-service, je voudrais
08:31 quoi ? Ben, c'est de l'essence, à la station-service.
08:33 Il a une commission qu'il aurait pu apporter.
08:36 Alors, quand il était là-bas, il a dit "je ne suis pas content de rester ici et je n'ai
08:39 rien à faire ici".
08:40 Donc, il est quand même énorme.
08:41 Mais bon, c'est comme il est dans son oreille.
08:42 C'est Jeff Panacloc, il ne sait pas ce qu'il dit.
08:44 Non, mais je vais vous dire, ce n'est même pas lui qui se coiffe, vous le voyez bien.
08:46 Voilà.
08:47 Avant de rentrer en plateau, il y a la...
08:49 Voilà, il le remet et puis ils lui disent "vas-y, Jeff, allez, à toi".
08:52 Non, mais sans déconner.
08:53 Ben oui, je vous le dis, le pauvre.
08:54 Croyez que moi, franchement, moi, il me fait de la peine.
08:56 C'est vrai, ça me fait de la peine.
08:57 C'est compliqué d'être comme ça, toujours avec des gens dans l'oreille, de ne pas prendre...
09:01 Voilà, je vais vous dire, même quand il est en voiture, il y a le mec qui dit "il faut
09:04 que tu doubles".
09:05 "Ah, maintenant ? D'accord, bon".
09:06 Non, mais voilà.
09:07 Donc, il en parlait depuis 10 minutes et il dit qu'il n'en parlait pas.
09:09 Mais il est en plein désarroi.
09:10 Non, mais là, il y a quelque chose.
09:11 Oui, oui.
09:12 Et puis là, il est fatigué.
09:13 Il est fatigué, il est perdu.
09:14 C'est une séquence, comme on dit...
09:15 Là, là, il faut qu'il aille au séchage.
09:16 Une séquence de quelques jours qui est terrible pour eux.
09:17 Il n'est pas bien.
09:18 Il n'est pas bien.
09:19 Il n'est pas bien.
09:20 Il aurait mieux fait de ne pas revenir dessus en permanence, parce qu'à chaque fois, il
09:23 retombe d'un pas.
09:24 Mais là, ils sont encore revenus.
09:25 Géraldine, qu'est-ce que tu en penses, toi, de Jeff Panaclocq ?
09:29 Je ne connais pas, je n'ai jamais croyé...
09:32 Non, mais de cette séquence, des sommeurs.
09:33 En fait, je trouve que c'est un peu pathétique.
09:36 C'est-à-dire que je trouve qu'à partir du moment où ils ont peut-être perdu la main,
09:39 clairement, sur cette commission, je pense qu'ils auraient dû ne plus en parler, en fait.
09:43 Alors que là, ils reviennent dessus et ça fait effectivement un peu aiguillé.
09:46 Il y a un peu d'amertume et du coup, ça fait un peu ranc, ça fait un peu règlement de compte.
09:50 Et au fond, je pense que les téléspectateurs s'en foutent un peu de ça, je trouve, moi.
09:55 Non, la commission, elle a grave intéressé.
09:57 Je vous le dis.
09:58 Les gens sont passionnés pour cette commission.
10:01 Ils ont été pris au propre piège, je pense, parce que vous avez été annoncé avant pour
10:05 la commission.
10:06 Je pense qu'ils se réjouissaient du fait que vous alliez vous faire auditionner.
10:08 Je pense qu'ils pensaient que vous alliez vous faire défoncer, que l'émission allait
10:10 en prendre un coup.
10:11 Voilà.
10:12 Au final, c'est eux qui ont fait une audition catastrophique.
10:13 Les PMP cartonnent, n'a jamais autant cartonné depuis l'audition et eux en sortent grand perdant.
10:18 C'est ça.
10:19 Et là, ils nagent dans un océan de somme.
10:21 Ils sont en summer, là.
10:23 Ils sont en summer body.
10:25 [Musique]

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