• il y a 9 mois
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-03-27##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:07 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:12 Bonjour à tous, ravi de vous accompagner jusqu'à 17h dans votre émission à votre écoute.
00:27 Alors si je vous dis aujourd'hui ce qui m'arrive c'est toujours à cause des autres,
00:32 ce n'est pas de ma faute, je suis malheureux, suis-je une victime ? C'est notre sujet du jour.
00:38 Ce sujet vous parle, eh bien n'hésitez pas à venir témoigner à l'antenne,
00:43 je suis à votre écoute, mais aussi pour toutes vos questions concernant votre devenir.
00:47 On vous attend au standard, Aude vous attend particulièrement au 0826 300 300.
00:53 Vous pouvez aussi nous contacter depuis notre adresse email à votre écoute @sudradio.fr.
00:59 Nous sommes en direct live sur Youtube et bien sûr depuis notre site internet Sud Radio.
01:05 Et à la réalisation de l'émission c'est Marie au standard, Aude et Zach.
01:09 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane
01:14 Et oui, il ne faut pas se leurrer, nous avons tous à un moment donné joué le rôle de victime
01:20 pour atteindre un objectif. Alors se transformer en victimisation et surtout le faire par habitude,
01:29 eh bien ça peut donner une stratégie qui va être plutôt passive et plutôt aussi un piège dans
01:36 l'avenir. La victimisation est le fait de se poser comme victime d'un acte dans le but de
01:42 suiciter un sentiment de pitié ou de culpabilité. C'est un sentiment excessif et exagéré d'être
01:49 aussi une victime. Et cette victimisation se définit par le fait de subir une atteinte
01:56 matérielle, corporelle ou psychique ainsi que d'en être conscient. La victimisation est un trait
02:02 psychologique qui affecte les relations personnelles et c'est aussi contre-productif parce qu'il arrive
02:09 un moment où les autres ne vous écoutent plus et la position du victime, on pense que la personne
02:16 est incapable de résoudre ses problèmes ou de faire face à son agresseur. On commence l'émission
02:22 avec Lola. Bonjour Lola. Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio. Merci beaucoup et merci
02:30 à vous de me recevoir et merci à toute votre équipe et à tous les travails que vous effectuez
02:37 ensemble. Merci beaucoup et on vous embrasse tous, d'ailleurs toute l'équipe s'embrasse. Lola,
02:44 vous vous appelez des Pyrénées Atlantiques. C'est ça. Je voulais parler du sujet du jour,
02:53 sur la victimisation. Est-ce que vous avez connu ou est-ce que vous-même, à un moment donné,
02:58 vous êtes retrouvée dans cette situation-là ? Alors, me concernant, j'ai sans doute vécu ça,
03:06 mais j'ai du mal à me souvenir. Par contre, je fréquente une amie qui se pose très régulièrement
03:14 victime, c'est-à-dire qu'elle a toujours un manque d'argent, pas d'argent, les autres n'ont plus
03:22 qu'elle, pas d'amis, très seule. Voilà, c'est très fréquemment comme ça, alors que c'est une
03:30 personne qui manque pas d'argent, qui a quand même des amis, mais le fait de se porter toujours
03:36 en victime, effectivement, me fait prendre pas mal de recul avec elle. Et voilà, c'est un témoignage.
03:46 C'est vrai que souvent, l'origine de ce genre de situation dans laquelle on peut se trouver en
03:52 étant victime, c'est souvent lié à l'environnement familial qu'on a pu vivre durant notre enfance,
03:59 et quand il y a eu des parents défaillants, je ne sais pas si ça a été le cas pour votre amie,
04:06 mais ça peut faire apparaître plus tard un sentiment de culpabilité, de honte et surtout
04:11 d'estime de soi. Peut-être que dans sa famille, elle a eu des fragilités qui l'ont amené justement
04:18 à se retrouver dans cette situation-là, non ? Je pense que oui, parce qu'elle vient d'une famille
04:24 nombreuse de dix enfants et je pense que c'était la plus jeune, ou en tout cas l'avant-dernière,
04:32 et qu'elle a été élevée effectivement plutôt par du personnel que par sa propre maman. Donc
04:39 ça peut venir effectivement de ça. Mais on peut en sortir, il y a des moyens, il y a des possibilités
04:45 d'en sortir, et c'est justement de prendre acte et de se rendre compte à un moment donné de la
04:52 situation dans laquelle nous nous trouvons, et peut-être de faire un travail avec un miroir
04:59 pour entendre son histoire, raconter son histoire, et ça peut être une thérapie qui peut éventuellement
05:06 aider l'individu à sortir de ce personnage-là et à essayer de réparer pour aller vers quelque
05:12 chose de plus positif. Exactement. Et oui, Lola, vous vous êtes inquiète pour votre fille ?
05:20 Alors je suis inquiète, oui. Est-ce qu'elle-même joue la victime ou est-ce qu'elle a véritablement
05:30 des problèmes, votre fille ? Racontez-nous ce qui s'est passé. Alors elle a véritablement des
05:35 problèmes, très sérieux, et j'ai du mal à dire si elle se positionne en victime parce que c'est
05:43 vraiment très sérieux. Elle souffre depuis 13 années d'anxiété généralisée, d'angoisse,
05:51 de phobie, de déréalisation qui peuvent l'amener à la dépression. Donc elle a vu des quantités de
05:59 thérapeutes, des médecins qui ont du mal à comprendre vraiment d'où ça vient et ce qu'elle
06:05 a vraiment. Et aujourd'hui elle est en contact, depuis hier, avec une personne qui accompagne des
06:17 personnes qui ont la même problématique que ma fille et qui a vécu la même chose. Donc elle se
06:22 sent complètement comprise pour la première fois en 13 ans. Et évidemment elle est prête à tout,
06:29 puisqu'elle a quand même vécu des hospitalisations, c'est allé très loin. Et ma question serait de
06:37 savoir si cet accompagnement va être enfin le bon, est-ce qu'elle va s'en sortir un jour et être
06:43 heureuse. Elle a 31 ans, depuis ses 18 ans c'est long, pour pouvoir mener une vie normale et non
06:51 pas en retrait ou avec des difficultés chaque jour. D'accord. Aujourd'hui cette prise en charge,
06:58 c'est une prise en charge médicale ? Elle a les deux. Et d'un point de vue sentimental,
07:06 comment ça se passe pour elle ? Pas très bien justement, parce que comme elle n'est pas bien,
07:12 toutes les relations qu'elle a essayé d'avoir se terminent. Parce qu'elle se raccroche comme
07:22 à une branche, comme avec nous, de peur de sombrer. Oui, alors de ce qui semble apparaître,
07:30 pour elle, effectivement elle est dans cette fragilité et je ne crois pas qu'elle se positionne
07:37 en victime, ça c'est sûr. Il y a des troubles qui sont profonds et là c'est de l'ordre d'une aide
07:43 psychologique et d'une aide médicale sur lequel elle pourra aussi, peut-être pas se reposer,
07:50 mais se faire aider en tous les cas. Et puis aussi d'aller vers un accompagnement qui l'amène
07:56 à gagner de la confiance en elle et peut-être à sortir de certaines phobies dans lesquelles
08:02 elle se trouve aujourd'hui. Mais ce qui semble apparaître, c'est le côté émotionnel et affectif.
08:08 Et je crois que, alors peut-être qu'elle ne vous a pas tout dit, mais je crois que par rapport à son
08:13 vécu et notamment peut-être à son jeune âge, durant les années où elle était étudiante ou
08:21 autre, il y a eu chez elle un trouble émotionnel, affectif qui l'a marqué, qui l'a déstabilisé. Et
08:29 c'est comme si elle s'était construite un petit peu avec ce genre de modèle ou de fonctionnement.
08:35 Et depuis elle en est restée là. Et elle a laissé vivre et laisser nourrir des troubles, des peurs,
08:41 des plaintes, des phobies. Et sûrement elle a vécu à nouveau, je ne dirais pas des échecs,
08:47 mais à nouveau des expériences avec des schémas qui se sont répétés et qui l'ont amené à être
08:53 aujourd'hui dans une impasse. Et puis professionnellement, on ne l'a peut-être pas
08:57 assez valorisé. C'est-à-dire que votre fille, je ne veux pas faire cette thérapie, mais votre fille,
09:04 elle a cette envie de reconnaissance et ce besoin peut-être de reconnaissance et cette envie de se
09:15 sentir utile. Et elle s'est mis une pression énorme sur le plan professionnel. Et elle n'a peut-être
09:21 pas eu jusqu'à présent la reconnaissance qu'elle aurait voulu avoir. Et donc il y a un doute et
09:26 peut-être qu'elle aurait besoin d'une réorientation sur le plan professionnel. Donc ça, ce sont des
09:32 aspects un peu générales, ce que je vais vous dire. Mais je pense que chez elle, il y a une
09:39 amélioration qui s'annonce et qui va pouvoir apporter une certaine forme de satisfaction.
09:45 Mais dans un premier temps, c'est effectivement le côté médical, l'accompagnement qui pourra
09:50 l'aider et l'amener vers quelque chose de mieux. Et ensuite, elle, cette confiance en elle, peut-être
09:59 d'une réorientation professionnelle qui va lui permettre de gagner de la confiance. Et ça,
10:06 les choses vont se mettre en place et vont se positionner au fil du temps. Il faut laisser
10:11 un peu encore le temps se mettre en place, mais vraiment, dans une période d'un an, il y a du
10:16 mieux, il y a de l'amélioration parce que votre fille veut sortir de cet enfermement dans lequel
10:21 elle est aujourd'hui. C'est clair, c'est clair. Tout ce que vous dites, c'est ça. Et elle est
10:27 accompagnée pour une réorientation. Justement, par rapport à une fille brillante en plus,
10:33 qui a fait des études malgré son mal-être. Mais effectivement, oui, elles ne se sont pas
10:38 reconnues comme elles aimeraient à cause de ce handicap. C'est tout à fait ça. Elle est très
10:45 combative. Et aujourd'hui, est-ce que l'accompagnement qu'elle vient de trouver
10:50 sera le bon? Ou est-ce que ce sera le bon? Je pense, je pense, je le ressens comme ça. Il y a
10:56 une amélioration. Mais je vous invite à nous rappeler d'ici deux mois pour voir un petit
11:02 peu comment va votre fille et son évolution. D'accord? D'accord. Merci beaucoup Alexandre.
11:07 Merci à vous Lola pour mes soins de vous. Merci beaucoup. Au revoir. Et nous, on se retrouve dans
11:13 quelques minutes avec Fabienne. Alors Fabienne travaille dans un laboratoire depuis quelques
11:18 temps. Elle a été déçue. Elle estime qu'elle a été bernée. Son intuition lui dit de partir de
11:24 cette société. À ce jour, une société la sollicite pour un poste. Alors va-t-elle être
11:29 prise? La suite, c'est dans quelques minutes, quelques minutes, le temps d'une pause. Sud
11:35 Radio, votre attention est notre plus belle récompense. Merci pour la qualité des émissions
11:41 que vous proposez, la qualité de vos intervenants et des témoignages. Sud Radio, parlons vrai. Sud
11:46 Radio à votre écoute. 16h17, Alexandre Delovane. Et de retour sur Sud Radio. Merci d'être à l'écoute
11:54 de cette émission au programme La Victimisation. Alors venez en parler à l'antenne. Je suis à votre
11:59 écoute au 0 826 300 300, mais aussi pour poser toutes vos questions sur votre devenir ou sur
12:06 toute autre chose qui peut vous préoccuper. Vous pouvez aussi réagir sur le groupe à votre écoute
12:11 sur Facebook. Et à présent, c'est le moment du Saviez-vous? Le Saviez-vous? Les personnes qui
12:17 deviennent victimes ont souvent une faible estime de soi. Ils ne font pas confiance à leur potentiel.
12:23 Ils croient qu'ils ne sont pas capables de surmonter les obstacles de la vie et de gagner
12:28 l'admiration des autres par leurs propres efforts. Et si à présent on écoutait notre prochain
12:35 auditeur, ça va être peut-être Jean-Baptiste, parce qu'on a perdu Fabienne, à moins que Jean-Baptiste.
12:41 Alors, ce n'est pas très grave. On va parler de l'estime de soi. Je vais reprendre un commentaire
12:48 qui a été sur le groupe à votre écoute sur Facebook, notamment sur l'estime de soi de Martine,
12:55 qui nous dit "L'estime de soi, c'est se faire confiance, connaître ses limites et ses priorités
13:00 en se respectant et en respectant l'autre". Et à présent, je crois que Jean-Baptiste est là.
13:07 Bonjour Jean-Baptiste. Oui, bonjour Alex. Bienvenue sur Sud Radio. Oui, bienvenue. Alors,
13:15 on devait avoir Fabienne. Fabienne, il y a eu un petit souci de connexion et donc c'est vous,
13:19 Jean-Baptiste, qui prend le relais. Vous n'avez pas du tout la même histoire que Fabienne,
13:24 bien évidemment. Jean-Baptiste, est-ce que vous-même, vous avez connu dans un entourage
13:31 des personnes qui se victimisaient ou est-ce que vous, vous-même, parfois, ça vous est arrivé
13:36 d'être dans cette situation-là ? Non, sans plus. Je n'ai pas trop de problèmes de ce côté-là,
13:42 ni je connais trop de personnes qui se victimisent de plus que ça. C'est vrai que de ce côté-là,
13:49 si vraiment les gens se victimisent un petit peu trop, je suis là pour les rassurer,
13:54 parce que je suis plutôt protecteur. D'accord. Jean-Baptiste, vous nous avez appelé pour votre
14:05 avenir sentimental. Vous avez quand même eu un parcours difficile, Jean-Baptiste. Je crois
14:10 que vous êtes veuf, c'est ça ? C'est ça, oui. Je suis veuf depuis six mois, un peu plus de six
14:17 mois. C'est le 26 septembre dernier. Vous avez quel âge ? J'ai 56 ans. J'aurai 57 ans au mois de
14:25 juillet, le 7 juillet. D'accord. Et votre épouse, vous avez quel âge quand elle est partie ? Elle
14:32 avait 55 ans. Donc vous êtes toujours dans cette période de deuil, puisque ça fait quelques mois,
14:40 c'est difficile pour vous. Est-ce que vous étiez prêt ? Est-ce que vous avez aujourd'hui, malgré
14:46 tout, je crois qu'on n'accepte jamais un départ, mais est-ce que vous l'intégrer, si ce sont les
14:53 bons mots que je pourrais dire pour vous ? Maintenant, oui, je n'ai pas le choix, parce qu'elle est
14:59 partie, elle ne reviendra plus. Il faut que je me fasse une raison et il faut que j'aille de là-bas,
15:02 et que je partage des bons moments avec une future personne, si elle se présente. Le seul souci,
15:12 c'est que je n'ai personne, ni des amis, ni aucune rencontre à l'horizon. Je crois que j'ai fait
15:18 quand même des recherches au niveau de sites de rencontres, ou même une agence matrimoniale.
15:23 J'ai rencontré deux personnes, mais ça s'est loué un petit peu à l'échec. Je pense qu'il y a un
15:28 petit peu entre le Médoc et les grandes villes, c'est pas rare. D'accord. Alors, aujourd'hui,
15:37 est-ce que vous-même, vous avez pris des initiatives pour essayer de changer votre
15:42 vie et de vous reconstruire ? Pas plus que ça. Je gère la maison, je gère toutes mes activités
15:52 que j'ai à côté, je continue à les faire. Je fais du jardinage, je fais de l'agriculture,
15:58 j'ai aussi une partie de l'île que je continue à exploiter. Bien sûr. En plus du travail
16:04 professionnel. D'accord. Et après, je m'accorde quelques sorties. Je vais à des karaokés,
16:12 je vais à des soirées dansantes. Bien sûr, j'essaie de voir de manière à rencontrer
16:19 des personnes. D'accord. Alors, votre question aujourd'hui, c'est de savoir si vous allez
16:23 pouvoir rencontrer une femme et vous reconstruire ? Ou est-ce que je vais rester seul le reste de mes
16:30 jours ? Je ne sais pas. Je vous pose la question. Non, il ne faut pas être dans cette notion de
16:35 penser et de cristalliser une pensée négative. Je ne vous sens pas du tout être seul. Même si
16:42 je sais que l'avenir le dira, évidemment. Mais aujourd'hui, déjà, vous avez traversé une longue
16:50 vie sentimentale. Vous avez été en couple pendant longtemps. La vie en a décidé autrement pour vous,
16:57 sinon vous serez encore avec votre épouse aujourd'hui. Et je sens que vous allez faire
17:02 une rencontre. Il faut vous laisser un petit peu de temps par rapport à cette possibilité de
17:07 rencontre. Mais vous allez rencontrer une personne qui va être sensible, non pas forcément à ce qui
17:13 vous est arrivé, mais sensible à votre personne, à votre personnalité. Et c'est à partir de là où
17:19 là, les choses vont pouvoir se rapprocher. Pour moi, c'est une rencontre de sensibilité. C'est
17:25 une rencontre de personne à personne qui va vous permettre, à un moment donné, peut-être au travers
17:31 de votre histoire, peut-être au travers de son histoire, vous rapprocher tous les deux et avancer
17:36 sur quelque chose ou sur un climat de confiance, sur une envie de se construire. Ce sera une personne
17:43 qui sera seule aussi et qui aura peut-être souffert pour d'autres conditions et d'autres événements.
17:49 Mais vous verrez que cette possibilité de rencontre. Donc ne désespérez pas, restez dans
17:57 cette notion de confiance, de curiosité aussi et d'activité comme vous êtes en train de mettre
18:04 en oeuvre. Et dans une période d'à peu près d'un an, un an et demi, là vous êtes dans une belle
18:09 réalisation sentimentale. Ça peut même arriver peut-être un peu avant. D'accord. Elle n'a rien
18:15 à faire. À partir d'aujourd'hui ? Oui, oui, à partir de demain. D'accord, merci. Prenez soin de vous
18:24 Jean-Baptiste. Je vous remercie beaucoup. Merci. Et à présent c'est à vous pour poser toutes vos
18:31 questions, qu'elles soient d'ordre sentimentale, professionnelle ou bien sûr d'autres sujets,
18:36 n'hésitez pas à appeler Aude au standard 0 826 300 300. On se retrouve dans un instant avec Fabienne.
18:43 On a retrouvé Fabienne, donc elle est là et on va pouvoir bien lui répondre. Enfin je vais lui
18:48 répondre et écouter son témoignage aussi qui est une d'ordre professionnel. A tout de suite.
18:54 Sud Radio à votre écoute Alexandre Delovane. Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane.
19:04 De retour sur Sud Radio, il est 16h30. Bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent pour cette deuxième
19:10 partie d'émission. Je suis à votre écoute au 0 826 300 300. Vous pouvez nous suivre en direct depuis
19:17 notre site sudradio.fr, bien sûr sur le live YouTube et surtout n'hésitez pas à télécharger
19:23 notre application Sud Radio. Et à présent si vous voulez témoigner sur le sujet de demain ou tout
19:30 simplement réagir aussi, vous pouvez le faire parce que le sujet sera sur la bio énergétique.
19:36 Vous avez déjà eu affaire à ce genre de méthode qui agit autant sur le corps que sur le psychisme ?
19:43 Et bien venez en parler à l'antenne. Mais aussi pour poser toutes vos questions concernant votre
19:49 devenir ou tout simplement aussi vous confier. Vous pouvez le faire, c'est ce qu'on fait tous
19:54 les jours. Un seul numéro 0 826 300 300 mais vous pouvez éventuellement poster votre demande depuis
20:01 notre adresse email à votreécoute@sudradio.fr. Et avant de retrouver Fabienne, notre prochaine
20:09 auditrice, je reviens sur notre sujet du jour sur la victimisation. Une personne qui se victimise
20:15 agit de la manière suivante. Elle veut attirer l'attention, elle cherche à éveiller la pitié des
20:22 autres, elle n'assume pas ses responsabilités et elle accuse les autres de ses malheurs avec
20:30 une incapacité de voir les situations objectivement. Elle se plaint constamment, c'est son activité
20:36 préférée car c'est la meilleure dynamique pour se justifier en tant que victime. Alors je dis que
20:43 je dis pas que tout le monde fait ça mais parfois on a des moments de la vie où parce qu'on a besoin
20:49 d'attirer plus d'attention vers nous et on peut se retrouver dans ce cas de figure mais attention
20:54 que ça ne devienne pas une habitude ou que ça ne devienne pas de manière quotidienne. A présent
21:00 j'accueille Fabienne. Bonjour Fabienne. Bonjour Alexandre. Ah vous voilà Fabienne, on a eu peur.
21:08 Moi aussi j'ai eu très peur. Bienvenue sur Sud Radio. Je suis très très heureuse, très émue.
21:16 Alors déjà j'ai installé toute l'équipe et puis tous les auditeurs et voilà je suis très heureuse
21:23 de vous parler Alexandre. Ecoutez, je sais que toute l'équipe se joint à moi pour vous envoyer
21:29 un nuage de bisous Fabienne. En plus il y en a beaucoup en ce moment des nuages donc vous allez
21:37 avoir beaucoup de bisous. Non mais je vous écoute tellement dans ma voiture que voilà je suis très
21:43 heureuse de vous avoir pour une problématique qui me tient à coeur. Justement, est-ce que vous,
21:50 la victimisation ça vous parle dans votre quotidien ou votre entourage ou vous-même ? Tout à fait,
21:58 quand le sujet m'a été posé, j'ai beaucoup réfléchi et les premiers flashs que j'ai pu avoir
22:09 par rapport à ce mot bien sûr c'était sur mon lieu de travail. On a des métiers très stressants,
22:16 pour nos auditeurs, moi je suis commerciale dans le médical, on travaille dans des laboratoires
22:21 où on a des chiffres à faire, on a énormément de pression, on travaille en équipe et on a les
22:29 dirigeants qui nous imposent bien sûr une politique commerciale qu'on suit et il suffit d'être plus
22:38 ou moins faible ou fébrile, on peut avoir une certaine pression qui fait qu'on a tout le temps
22:44 l'impression de mal faire et à force d'appuyer sur ce point de faiblesse, on perd un peu tout
22:53 contrôle. Je ne sais pas si vous me suivez Alexandre ? Je vous suis très bien et surtout
22:57 je vous entends parce que vous suivez, j'ai du mal à vous voir là mais quoi que je peux percevoir,
23:02 je plaisante. J'entends très bien ce que vous dites mais alors je suis d'accord et pas d'accord.
23:07 Voilà. Parce que je comprends que le métier en tant que commercial, quel que soit,
23:13 le secteur d'activité est un métier stressant, est un métier où tous les matins il faut se
23:18 lever avec des objectifs à atteindre et parfois c'est difficile parce que vous avez des dirigeants
23:26 qui ne sont pas gourmands mais qui mettent un peu la barotte. Mais tout dépend du management.
23:32 Et c'est là où on sort de cette histoire de victimisation. C'est à dire que si aujourd'hui
23:38 vous souffrez de cette victimisation, je ne suis pas en train de montrer le doigt sur votre
23:42 entreprise, je ne me permettrai pas, mais si vous en souffrez peut-être qu'il y a une fragilité
23:47 ou une absence de bon management autour de ça parce que vous normalement vous devriez pas avoir
23:53 ce sentiment de victimisation. Alors moi je suis entièrement d'accord avec vous. Et le management
24:03 en entreprise, eh bien ce n'est pas évident. C'est pas évident, c'est beaucoup malheureusement
24:08 d'entreprises souffrent d'un mauvais management ou qui n'est pas adapté à la structure de
24:14 l'entreprise. Et donc je pense que c'est un peu votre cas aujourd'hui. C'est pour ça que vous
24:18 êtes déçue de cette entreprise là. Alors pour parler de mon cas, j'ai une expérience douloureuse
24:30 il y a un an, incompréhensible pour moi. Cela étant dit, je rebondis de suite dans une société
24:39 dans laquelle je me suis entièrement investie. On m'a promis des choses, les choses n'ont pas été
24:47 vraiment tenues, les engagements n'ont pas été tenus. À ce jour on est venu vers moi, à Alexandre
24:56 pour un poste. Donc pour être claire, j'ai déjà passé deux entretiens. C'est une société qui a
25:04 vraiment pignon sur rue. L'équipe est vraiment solide avec une très belle image. Toujours dans
25:10 le même secteur ? Toujours dans le même secteur, effectivement. Et mon souci est le suivant. Je
25:18 ne suis pas toute jeune. Regarde j'ai 56 ans, les choix que je fais ce sont des choix de vie à mon
25:25 âge. Je suis réfléchie parce que je suis célibataire, je suis seule, mon travail pour moi c'est tout. Et
25:35 je me dis ce virage, est-ce que je le prends ou pas ? J'en ai très envie, je suis mon instinct,
25:42 je suis très timide. Donc l'équipe qui est en place, elle est vraiment séduisante, les gens
25:48 sont vraiment bien. Comme vous, vous essayez de nous séduire en vous disant que vous n'êtes pas
25:52 très jeune, que vous êtes célibataire. Ce n'est pas de la victimisation mais vous êtes en train de
26:00 nous séduire Fabienne. Je suis vraiment dans une réflexion de parcours. Est-ce que cette société
26:10 est faite pour moi ? Je vous réponds tout de suite. Oui, elle est pour vous. Elle est pour vous parce
26:18 que de ce que je ressens jusqu'à présent, vous avez accepté beaucoup de choses et je ne veux pas
26:23 dénigrer votre entreprise bien entendu. Mais aujourd'hui, effectivement, j'ai un peu étudié
26:29 votre situation, vous êtes arrivé à la fin de quelque chose et je ne crois pas que vous ayez
26:34 la valorisation que vous attendez ou que vous souhaitez par rapport à l'entreprise dans laquelle
26:40 vous êtes aujourd'hui. Donc il ne faut pas créer une énergie de colère, il ne faut pas créer une
26:45 énergie de haine ou de sous-estimation ou en tous les cas de perte de confiance en vous. Mais il faut
26:53 ouvrir le regard à autre chose. Et justement, la vie peut-être a bien entendu ce que vous avez
27:02 comme intention. Peut-être aussi parce que votre comportement et votre attitude au quotidien a été
27:10 remarquable et la vie vous a amené à avoir une opportunité et une proposition. Et elle n'est pas
27:16 là par hasard, parce que de toute façon, moi je ne crois pas au hasard, mais elle est là pour justement
27:20 vous amener à rebondir et à pouvoir prendre un autre envol. Et donc pour moi, c'est oui. Je pense
27:28 que vous allez avoir une réponse et je crois que vous allez avoir une réponse très rapidement. Donc
27:33 à mon avis, d'ici 15 jours, 3 semaines, vous avez une réponse. Et déjà là, je vais vous
27:40 inviter à nous rappeler pour nous donner la bonne nouvelle. Et ensuite, ce job ou en tous les cas ce
27:48 poste, il va être très bien, mais pour moi, vous aurez une autre évolution à l'avenir. C'est-à-dire
27:53 qu'au sein de cette structure, peut-être que ça vous amènera à avoir d'autres possibilités,
27:58 comme s'il y avait d'autres métiers qui pouvaient se mettre en place à l'avenir,
28:02 où cette structure évoluait vers quelque chose de nouveau. Et pour vous, ça vous permettra d'évoluer
28:07 autrement et différemment. Alors ne vous emballez pas, parce que là, ce sont juste des belles
28:12 paroles, mais je ne suis pas le décisionnaire de votre destin et tout ça. Donc attendez d'avoir
28:18 la réponse, attendez d'être dans cette notion de rationalité, mais restez confiante et soyez
28:25 en phase avec vos valeurs comme vous l'êtes aujourd'hui. D'accord, très bien. Je ne peux pas
28:31 dire mieux Fabienne. Non, non, mais je dirais que mon meilleur allié Alexandre, je ne sais pas si
28:37 vous pouvez le comprendre. C'est moi, pardon, excusez-moi. Non, mais j'ai fait confiance aussi à mon
28:43 instinct. Exactement. Et j'ai eu une bonne intuition, si je peux me permettre. Donc le parcours dans
28:49 notre milieu, on passe par des entretiens. Donc on n'en a pas un, on en a généralement trois, quatre.
28:55 Donc j'avais besoin d'une écoute. Oui, mais quand vous êtes déjà à la phase 3, c'est que
29:02 c'est pas mal. Généralement, c'est qu'on est en train de bien valider votre candidature.
29:07 Ok, en tout cas, je vous remercie. Merci Fabienne. Et je vous rappellerai Alexandre et merci à vous demander.
29:14 Je vous souhaite une belle journée. Et vous avez une voix solaire et on vous embrasse très fort.
29:20 Merci, j'embrasse toute l'équipe. Au revoir. Et avant de retrouver notre prochaine auditrice Sabine, je vais vous
29:29 donner les conseils pour sortir du cercle vicieux de la victimisation. Soyez objectif, faites une
29:36 analyse objective de la réalité qui vous entoure. Isolez chaque situation pour établir les
29:41 responsabilités. Arrêtez toutes les plaintes. Vous remarquerez que votre souffrance n'est pas aussi
29:47 grande que vous l'imaginez. Prenez les critiques comme quelque chose de constructif. Le dialogue
29:53 favorise de nouveaux points de vue. Et excusez-vous quand il s'agit de votre responsabilité. Si vous
30:00 arrivez à identifier tous ces aspects-là, eh bien ça va vous permettre de sortir justement de tout ça.
30:05 La parole est à Sabine. Bonjour Sabine. Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio. Merci beaucoup.
30:13 Alors Sabine, vous avez 47 ans. Oui. Et vous vous appelez de la Saint-Sandy. Tout à fait. Exactement.
30:21 Vous êtes en reconversion professionnelle. Oui. On peut savoir ? L'accompagnement, l'accompagnement
30:31 thérapeutique. Très bien. Voilà. Parfait. Et est-ce que vous, vous avez eu affaire à des personnes qui
30:39 ont été dans cette notion de victimisation ou vous-même ? Est-ce qu'à un moment donné, ça vous est
30:45 arrivé ? Oui, je pense que ça arrive un petit peu à tout le monde. Ma mère était beaucoup comme ça,
30:55 dans l'hystérie. Donc ça fait partie du tableau clinique. Oui. Elle avait toujours des ennemis.
31:06 Mais on apprend, je pense que quand on est face à une personne comme ça, on apprend à justement
31:14 être dans le contrôle, à observer comment la personne agit envers soi et justement à éviter,
31:21 nous, de tomber dans ces travers-là, non ? Exactement. Exactement. On essaye de faire
31:27 la honnête. Exactement. Sabine, vous nous appelez pour votre sœur. Oui. Oui. Racontez-nous. Alors,
31:36 elle a eu une histoire d'amour quand elle était d'âge jeune. Il me semble qu'ils avaient tous les
31:44 deux dans les 18 ans, un peu moins, un peu plus, je ne sais plus. Et c'était un cousin éloigné. Et
31:54 voilà, ça s'est terminé, je ne sais plus trop, peut-être un an plus tard, parce qu'il avait
32:01 rencontré quelqu'un d'autre qui lui ressemblait beaucoup d'ailleurs. Et puis, il y avait la
32:06 distance. Ils n'étaient pas du tout à côté l'un de l'autre. Et au décès de ma mère, il y a un an
32:12 et demi, en fait, on était très peu nombreux parce que la famille de ma mère proche, ils sont plutôt
32:19 âgés, ils ne pouvaient pas se déplacer. Et lui, il a fait la surprise de venir. Donc, ça faisait
32:26 très longtemps qu'on ne l'avait pas vue. Et puis, ils ont gardé contact. Ils se sont appelés un
32:33 petit peu, quelques SMS. Et puis, ça aurait avivé les sentiments de ma sœur, qui se pose du coup
32:43 plein de questions parce qu'il y a eu des conversations, on va dire, un peu ambiguës,
32:52 peut-être des sujets un peu ambiguës, mais pas très francs non plus. Le sujet n'est pas franchement
32:59 abordé de leur devenir. Elle, avec son mari, s'est plus devenue de l'amitié avec le temps
33:06 que plus qu'autre chose. Et puis, ça se passe en plus pas très bien. Donc, voilà, il n'y a pas
33:15 trop... Il y a des fois où il répond très positivement à ses allusions et d'autres fois
33:21 où c'est très froid. Et puis, Silence Radio, c'est elle qui relance un peu le contact régulièrement.
33:28 Donc, la question, c'est de savoir qu'est-ce qu'il en est de son côté à lui.
33:33 D'accord. Je vais vous poser une question peut-être indiscrète. C'est votre sœur qui vous a demandé
33:38 d'appeler ou c'est vous, tout simplement, vous avez la curiosité de savoir ce qui va se passer
33:42 chez votre sœur ? Les deux. Elle m'a demandé d'appeler parce qu'hier, c'était le sujet des
33:54 âmes sœurs et elle pense qu'elle avait trouvé son âme sœur et qu'elle l'a perdue. Et moi,
34:00 ça fait un mois à peu près que je lui dis "appelle Alexandre, appelle Alexandre".
34:05 Bon, très bien. C'est difficile. C'est difficile à répondre et je pense que oui,
34:12 effectivement, ils ont quelque chose ensemble. Il y a une attraction, il y a une histoire. Mais
34:17 vous savez, parfois, il y a des rencontres comme ça qui sont un peu des amours éternels. C'est-à-dire
34:21 que ce sont des histoires qui ne s'arrêtent jamais, mais qui ne se réalisent pas réellement. Je pense
34:29 que lui, il est marqué et je le sentirai avec beaucoup de plus de retenue que votre sœur. Il
34:35 est marqué peut-être par des principes, par le fait qu'il y a le statut aussi familial, même si
34:42 c'est un cousin éloigné, mais il y a peut-être ça, le regard des autres. Peut-être que lui,
34:46 de son côté, il a encore des engagements, il a des choses qui, pour moi, bloquent et qui freinent
34:53 la possibilité d'une réalisation. Je dirais oui pour votre sœur, mais pas tout de suite. Mais
34:59 vraiment pas tout de suite. Et donc, j'aurais tendance à dire à votre sœur de ne pas focaliser
35:06 sur cette histoire, même si ce qu'elle ressent, et au fond d'elle, il y a une conviction peut-être
35:12 d'une âme sœur, eh bien, ce n'est pas impossible. Il faudrait peut-être plus en discuter, mais ce
35:18 n'est pas impossible. Que cette histoire, à un moment donné, puisse les rejoindre, ce n'est
35:22 pas impossible aussi. Mais dans ma perception, si vous voulez, de l'instant T, du moment présent,
35:27 je ne vois pas pour plusieurs raisons, non pas par rapport à un manque de sentiment ou le fait
35:33 qu'il n'y ait pas d'attachement entre eux, tout simplement c'est qu'il y a des paramètres
35:36 extérieurs qui fragilisent, qui bloquent, et dont lui n'arrivera pas pour l'instant à dépasser le
35:42 cap, ou en tous les cas à franchir le cap. Elle pense que sa mère, en fait, à lui, qui n'était
35:50 pas trop pour leur rapprochement à l'époque, peut-être qu'elle serait encore... - Il faut
35:59 laisser du temps, mais je ne vois pas un déblocage de la situation tout de suite, et ça ne me dit
36:06 pas non non plus dans la totalité. Donc voilà, maintenant peut-être que ça ne répond pas aussi
36:13 favorablement qu'elle souhaiterait pour votre sœur, mais je pense qu'il faut qu'elle prenne du recul
36:19 et elle a peut-être quelque chose d'autre à vivre entre temps, d'accord ? - D'accord, d'accord.
36:23 - Merci Sabine. - Merci à vous, merci beaucoup. - Merci, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
36:29 - D'accord. - On vous embrasse. - Au revoir, merci.
36:32 - Allez, c'est à vous, vous avez besoin de mon ressenti, d'être accompagnée dans votre
36:37 évolution de vie. Je suis à votre écoute 0826 300 300. On se retrouve dans quelques minutes avec
36:44 Pauline, elle a été mariée, puis elle a divorcé, elle a vécu quelques relations sentimentales,
36:48 mais aujourd'hui elle est seule. Elle se demande si elle doit encore croire à un futur sentimental,
36:54 ou si tout simplement elle demande à sa maman de venir vers elle pour peut-être vivre ensemble.
36:59 Ne bougez pas, on en parle juste après une pause. - Sud Radio à votre écoute 16h17,
37:07 Alexandre Delovane. Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane.
37:13 - Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie, avant de retrouver les vraies voix
37:19 présentées par Cécile Dominibus et Philippe David. Alors il vous reste encore quelques minutes pour
37:24 passer à l'antenne et notamment dans l'émission À votre écoute. La parole est à Pauline. Bonjour
37:30 Pauline. - Oui bonjour Alexandre. - Bienvenue sur Sud Radio. - Oui, merci à vous d'être là pour nous
37:36 tous. - Merci, c'est très gentil. Pauline, vous nous appelez par rapport à votre situation
37:44 sentimentale. Vous avez été mariée, puis divorcée, puis vous avez fait quelques rencontres et
37:50 aujourd'hui c'est un peu, pas le vide, mais c'est peut-être ça non ? - Oui voilà, en fait c'est ça.
37:57 Puis disons que j'avance aussi en âge et disons que je me donnais à peu près deux ans pour faire
38:04 peut-être une rencontre et si ce n'est pas le cas, je prendrais des décisions un peu plus rapides
38:11 parce que j'ai ma maman qui a 88 ans, qui est très très bien, qui habite à 120 km de chez
38:17 moi. Il y a mon petit frère qui est à côté de chez elle, mais en fait je pense que je la prendrai
38:24 avec moi. Je me dis que je devrais avancer les choses ou bien j'attends encore un peu, je ne sais pas.
38:31 - Cette décision, si vous devez la prendre, c'est dans combien de temps à peu près ? - En fait,
38:38 j'ai été divorcée deux ans. - Deux ans. Alors, je vais vous répondre, votre question c'est de
38:44 savoir si est-ce que vous envisagez de rapprocher votre maman vers vous ou tout simplement ce n'est
38:50 pas la peine parce que vous allez avoir une réalisation sentimentale d'ici là ? - Oui voilà,
38:56 et je la ferai venir peut-être plus tard, voir ce que ça donne, si j'ai une relation sentimentale,
39:02 voir ce que ça donne et peut-être la faire venir plus tard. - Alors pour moi il y aura les deux,
39:06 il y aura les deux, c'est à dire qu'à la fois je vous sens aller dans ce projet de rapprocher
39:12 votre maman pour d'autres raisons qui ne sont pas uniquement liées à votre solitude ou à
39:18 l'attachement affectif et sentimental, mais aussi peut-être par rapport à sa santé où il y a des
39:25 besoins, il y a des nécessités à ce que votre maman se rapproche de vous et je pense qu'il y aura
39:31 cette possibilité à ce que vous puissiez l'envisager. Et puis sur le plan sentimental,
39:36 je ne vous sens pas rester seul, je vous sens avoir une possibilité, une opportunité de rencontre,
39:40 mais pourquoi il y a les deux ? Parce que la personne que vous allez rencontrer,
39:44 bien ce sera une personne avec qui vous allez peut-être décider de vivre chacun de votre côté,
39:49 parce qu'il aura au-delà de l'attachement, au-delà de cette attraction sentimentale et du sentiment
39:58 que vous aurez ensemble, peut-être tout simplement que lui il aura un mode de vie qui sera différent
40:04 du vôtre et vous n'allez peut-être pas vouloir associer cette vie à deux et rester dans ce
40:12 concept de chacun chez soi. Et c'est de cette manière là que je vous vois pouvoir rencontrer,
40:17 enfin vivre votre histoire sentimentale et tout ceci dans la période des deux ans à venir.
40:23 D'accord et dans l'organisation c'est d'abord ma maman ?
40:29 C'est la maman et ensuite de votre réalisation sentimentale.
40:34 D'accord et dans combien vous dites ?
40:38 Sous la période des deux ans, mais la maman je pense que 2025 ça risque de s'envisager.
40:43 On doit rendre l'antenne Pauline, merci de votre passage. Merci à vous, prenez soin de vous,
40:49 merci à bientôt. Et pour conclure je dirais l'estime de soi et votre perception de votre
40:56 valeur et aussi de l'importance du regard des autres. Allez nous on se retrouve demain,
41:01 on parlera de la bio énergétique. Je vous souhaite une bonne fin de soirée,
41:05 la place est au Vrai Voix. Bonsoir Philippe David.
41:07 Bonsoir Alexandre Delovane, au menu des Vrais Voix, à 17h30 ce soir,
41:12 Gabriel Attal parlera aux 20h de TF1. Il devrait évoquer le sujet du déficit et annoncer une
41:17 nouvelle réforme de l'assurance chômage. Et on vous pose cette question, êtes-vous
41:21 prêts à un effort collectif pour redresser les comptes publics ? Est-ce que vous dites non,
41:25 je ne veux pas payer plus d'impôts parce que j'en paye déjà trop, il faut réduire les dépenses ?
41:29 Ou vous dites non, il va falloir payer plus d'impôts pour pouvoir maintenir le modèle
41:34 ou le système social français ? Dans tous les cas de figure, rappelez-nous au 0 826 300 300.
41:39 Notre expert du jour sera Philippe Lottio, député RN du Var et membre de la commission des finances,
41:43 qui a posé une question au gouvernement sur le déficit pas plus tard qu'hier.
41:46 A 18h35, le coup de projecteur des Vrais Voix, le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris,
41:52 ciblé par des menaces de mort après avoir demandé à une élève de retirer son voile,
41:56 a démissionné ce mardi. Et on va vous poser cette question, l'État abandonne-t-il ses agents face
42:01 aux menaces islamistes ? Vous pensez que oui ou vous pensez que non ? Vous pensez qu'il faut
42:05 vraiment remettre les choses au carré dans ce domaine ? Appelez-nous au 0 826 300 300.
42:10 Notre expert du jour sera Stéphane Amart, psychologue en service de pédiatrie qui a été
42:14 victime de menaces de mort à l'hôpital. Nos trois Vrais Voix du jour, Philippe Biliger,
42:19 François Derugy et Olivier Dartigolle.
42:21 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
42:28 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.
42:34 et de l'éleveur de l'éveil.