• il y a 10 mois
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

Nous suivre sur les réseaux sociaux

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

☀️ Et pour plus de vidéos de À Votre Écoute : https://www.youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDR9HQGL0l8yMnl68jdJGR6W

##A_VOTRE_ECOUTE-2024-02-21##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:12 Bonjour à tous, alors ravi de vous accompagner jusqu'à 17h.
00:24 Aujourd'hui nous allons aborder une thématique, celle du syndrome du sauveur.
00:36 Est-ce que vous-même vous avez été face à une situation ou à une difficulté où vous êtes dans ce syndrome là ?
00:42 Et bien venez témoigner à l'antenne au 0826 300 300, c'est notre sujet du jour.
00:49 Aujourd'hui à la réalisation de l'émission c'est Marie et Maxence et au standard Aude et Zach.
00:56 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane
01:02 Et oui dans sa définition le syndrome du sauveur est un trouble psychologique qui se traduit par le besoin maladif d'aider les autres au détriment de ses propres besoins et de son bonheur par peur d'abandon.
01:16 Et lorsqu'un sauveur ne parvient pas à trouver la reconnaissance qu'il cherche désespérément, il ressent un fort sentiment d'inutilité pouvant conduire à des troubles tels que la dépression, l'isolement, la rancœur, la déception, voire la misotropie.
01:34 Alors pour en parler tout le long de cette émission, je vais poser cette question du jour à nos auditeurs et ma première auditrice c'est Eugénie. Bonjour Eugénie.
01:47 Oui bonjour.
01:49 Bienvenue sur Sud Radio.
01:51 Merci.
01:53 Eugénie vous avez 60 ans, vous êtes d'Albi et vous avez peut-être travaillé ou vous travaillez toujours dans le secteur paramédical ?
02:01 J'ai travaillé oui.
02:03 Alors est-ce que pour vous, vous avez vécu ce syndrome du sauveur ou est-ce que c'est loin de vous tout ça ?
02:13 Non je suis en train de le vivre et je me suis aperçue il n'y a pas longtemps parce que je suis un psychologue et c'est vraiment mon cas.
02:22 Je voulais souhaiter à tout le monde de faire mon métier déjà et puis aussi au niveau de la famille, des amis, puis tout ça m'est retombé dessus.
02:32 Et ça m'est suivi pour une autre cause, une dépression.
02:37 Et c'est vrai que je suis isolée et j'étais très déçue par ma dernière relation amoureuse.
02:45 Donc j'ai arrêté.
02:47 D'accord. Et est-ce que vous avez le sentiment que par rapport à ce que vous avez vécu et notamment concernant cette dernière relation amoureuse,
02:56 il y a eu ce syndrome du sauveur qui s'est ajouté ou en tous les cas qui a été en place par rapport à cette histoire ?
03:05 Donc j'ai essayé de ne pas revivre la même histoire avec mon dernier compagnon.
03:11 Mais il y a d'autres causes qui ont fait que la rupture est quand même arrivée au bout d'un an.
03:17 Mais c'est vrai que souvent je pensais pouvoir faire quelque chose pour notre relation et voilà, à force ça m'a épuisée.
03:26 Bien sûr. Alors aujourd'hui vous êtes seule.
03:32 Je dis ça, oui.
03:34 Vous vivez seule et notamment par rapport à la suite de cette séparation avec cet homme,
03:41 vous avez décidé de faire peut-être un break et de vous laisser ce temps pour rencontrer quelqu'un, c'est bien ça ?
03:47 Donc là je suis dans ma période de deuil, je qualifie ça comme ça.
03:54 Et je me laissais pas mal de temps parce que c'est vrai qu'auparavant avec les autres relations que j'ai eues,
03:59 j'allais très vite dans une autre relation et je n'ai pas trouvé ce que je recherchais à chaque fois.
04:05 Donc là je pense que je suis en train de me poser vraiment, véritablement.
04:10 Et m'occuper de moi.
04:12 C'est très important de le faire et aussi peut-être d'aller vers d'autres nouvelles activités,
04:19 peut-être de trouver d'autres centres d'intérêt aussi dans votre vie, non ?
04:24 Donc oui, je suis une université pour tous qui existe ici sur Albier-Castre, dans la région.
04:34 Donc il y a pas mal de conférences et d'ateliers, donc je fais partie d'un atelier.
04:39 Et puis j'ai décidé d'essayer de bouger un peu mon corps,
04:44 je vais m'inscrire dans un centre de sport,
04:49 mais surtout pour me remettre le corps en activité, mais tout doucement.
04:53 D'accord. Bon, en tous les cas, aujourd'hui vous êtes en phase avec vous-même,
04:58 vous avez envie justement de vous occuper de vous-même et d'aller vers de nouvelles activités.
05:05 Et quelle est votre question Eugénie ?
05:08 Je voulais savoir quel pouvait être mon avenir amoureux ou du moins émotionnel.
05:14 D'accord.
05:16 Par rapport à tout ce que j'ai vécu.
05:18 Alors moi, de ce que je ressens, et bien entendu par rapport à ce que vous venez d'évoquer aussi,
05:23 vous êtes dans cette période peut-être de temps nécessaire à réfléchir sur soi,
05:28 prendre ce temps pour rencontrer la belle personne et surtout la personne qui va vous accompagner dans votre vie.
05:35 Et je sens qu'il y a besoin de temps pour vous et effectivement,
05:41 je ne sens pas forcément une rencontre qui va arriver de manière assez rapide.
05:46 Cette rencontre, elle se met en place, elle se positionne,
05:50 elle va pouvoir vous amener vers quelque chose ou en tous les cas vers des jours meilleurs.
05:55 Mais prenez justement ce temps pour aussi réapprécier ou redécouvrir à d'autres,
06:04 comme on a dit, d'autres activités, mais aussi à d'autres manières d'approche avec l'individu.
06:11 Et sortir un petit peu de toutes ces histoires où vous êtes un peu abandonné à l'autre,
06:17 où vous avez essayé de faire en sorte de faire plaisir et non pas forcément de recevoir vous-même ce même plaisir que vous avez donné.
06:28 Et donc pour moi, oui, effectivement, il y a une possibilité.
06:32 Je vous sens ne pas rester seul, je vous sens pouvoir reconstruire votre vie,
06:37 mais au niveau du temps, au niveau de cette échéance,
06:43 eh bien, elle n'est pas pour tout de suite. Il faut encore patienter un petit peu.
06:46 Et on dirait que vous pouvez être amené à rencontrer quelqu'un où, au niveau géographique,
06:53 il y a peut-être un éloignement géographique. Alors ça peut être, je ne sais pas si vous voyagez un peu,
07:00 vous vous déplacez ou est-ce que vous avez en prévision de faire des petits voyages ?
07:05 Oui, j'ai fait pas mal de petits voyages. J'en ai fait un grand il y a très longtemps, mais c'était pour le travail.
07:12 Mais après, je bouge facilement, je ne suis pas casanière et puis je ne reste pas longtemps au même endroit parce que j'ai besoin de voir du monde.
07:20 D'accord. Alors effectivement, moi je vous sens avoir cette possibilité, cette capacité à pouvoir rencontrer cette personne
07:28 au travers soit d'un déplacement, au travers d'un voyage et à tenir des liens ou des contacts avec cette personne.
07:34 Mais ça ne va pas, je dirais, s'effacer dans le temps. Bien au contraire, ça va vous permettre de pouvoir avancer,
07:42 de pouvoir continuer, de pouvoir aussi resserrer les liens. Et vous verrez que cette personne se rapprochera de vous
07:49 parce que s'il y a un choix à faire, c'est lui qui sera amené à venir vers vous pour s'installer avec vous et non pas le contraire.
07:58 Et ça, sous une période d'à peu près de deux ans. D'accord. Il va falloir patienter encore un petit peu, Jenny.
08:05 Oui, je suis patiente. Mais en attendant, vous avez encore beaucoup de choses à faire.
08:10 Et puis, vous verrez que cette rencontre sera pour vous une rencontre assez surprenante et surtout, vous allez savoir le reconnaître.
08:18 Vous allez savoir à un moment donné faire cette différence entre une personne où il y a juste un lien amical qui s'installe
08:27 et une personne où il y a vraiment un sentiment d'amour. D'accord, Jenny ?
08:30 D'accord. Très bien. Je vous remercie.
08:33 Bien. N'hésitez pas à nous tenir au courant.
08:35 D'accord, très bien. Je vous remercie beaucoup.
08:37 Merci et prenez soin de vous.
08:39 Merci, au revoir.
08:41 Allez, nous on se retrouve dans quelques minutes avec Masha. Elle est dans une guerre émotionnelle avec des rencontres plutôt catastrophiques.
08:49 Sans un véritable aboutissement, va-t-elle parvenir à rencontrer son nouvel amour ?
08:55 Eh bien, la réponse, c'est juste après le temps d'une pause.
08:58 Sud Radio, votre attention est notre plus belle récompense.
09:02 Vous êtes vraiment une radio exceptionnelle et merci à vous de donner la parole aux auditeurs puisqu'on en a vraiment, vraiment, vraiment besoin.
09:09 Sud Radio, parlons vrai.
09:11 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
09:16 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.
09:20 On programme Le Syndrome du Sauveur.
09:23 Alors, êtes-vous dans ce cas de figure ?
09:25 Venez en parler ou poser toutes vos questions concernant votre devenir.
09:29 Je suis à votre écoute au 0826 300 300.
09:33 Vous pouvez aussi réagir sur le groupe A votre écoute sur Facebook.
09:37 Et c'est le moment du Saviez-vous ?
09:40 Le Saviez-vous ? Le syndrome du sauveur est un trouble psychologique qu'on appelle également codépendance.
09:46 Ce trouble incite le sauveur à agir de façon extrême avant de se sentir valorisé et aimé.
09:54 Et si on écoutait Masha ? Bonjour Masha.
09:56 Bonjour.
09:57 Bienvenue sur Sud Radio.
09:59 Merci.
10:00 Masha, j'allais dire Nacha, mais Masha tout simplement.
10:04 Vous avez 54 ans, vous habitez la Dordogne et vous êtes éducatrice spécialisée, c'est bien ça ?
10:10 C'est ça.
10:12 Masha, est-ce que le syndrome du sauveur vous parle ?
10:17 J'ai tendance à dire aujourd'hui de l'imposteur, mais on reste sur le syndrome du sauveur qui est très différent.
10:23 Est-ce que ça vous parle ?
10:24 Oui, ça me parle dans le sens où je me rends compte,
10:29 je me suis rendu compte au fil des années que mes histoires d'amour et aussi parfois les relations d'amitié
10:36 étaient sous-tendues par ce besoin de me sentir indispensable à l'autre.
10:45 Et que du coup ça faussait complètement la relation.
10:48 Merci.
10:49 Voilà.
10:50 Et une espèce de tentative de se garantir l'amour de l'autre.
10:56 Bien sûr.
10:57 Par rapport à tout ça, j'ai eu effectivement des rencontres et des histoires plus ou moins faciles,
11:05 plus ou moins douloureuses, souvent douloureuses quand même au final.
11:08 J'ai fait un gros travail autour de ça pour justement mieux repérer et m'en extraire aussi petit à petit.
11:18 Est-ce que vous attirez quel genre de profil et quel genre de personne ?
11:23 Alors j'ai envie de dire d'une manière générale,
11:28 c'est pas systématiquement à 100% mais d'une manière générale pendant pas mal d'années,
11:32 c'était des personnes où je pouvais avoir un rôle de sauveur très concret,
11:38 financièrement aider par rapport à une situation un petit peu de, par exemple, de détresse morale ou des choses comme ça.
11:46 Donc du coup là c'est très, enfin oui on a tout de suite son utilité, c'est très facilement identifiable,
11:56 il y a des choses à faire et puis après au fil de mon avancement et du travail,
12:04 il y a des situations où c'était un petit peu plus subtil et du coup où j'ai pas repéré tout, forcément tout de suite.
12:12 Oui.
12:13 Et après il y a eu aussi des événements de vie qui ont fait que, j'ai presque envie de dire à mon insu,
12:21 malgré moi je me suis retrouvée encore une fois dans une situation de devoir sauver, de devoir aider, de devoir soutenir, accompagner.
12:34 Et là par contre ça a été très insupportable pour moi et ça a été un des éléments qui ont fait que j'ai stoppé la relation.
12:43 Alors quand vous étiez dans cette volonté de sauver, est-ce que vous-même vous en étiez consciente de ça ?
12:50 Et quelle était généralement votre volonté, je veux pas dire stratégie, mais quelle était votre mission ou votre volonté, sauver quoi et pourquoi et pour qui ?
12:59 Alors au début j'étais pas du tout consciente de ça, évidemment. J'étais pas du tout consciente de ça.
13:07 Petit à petit, effectivement, j'ai pris conscience que j'ai répété aussi des modèles parentaux, notamment ma mère a été dans ce rôle-là toute sa vie.
13:17 Donc je me suis très certainement aussi identifiée à elle, mais c'était aussi, c'est un peu l'amour sous condition quand on est sauveur.
13:26 Et donc moi j'ai aussi grandi dans un climat comme ça, avec des carences affectives importantes et donc si on voulait être aimé, fallait faire quelque chose.
13:35 Bien sûr, mais souvent le syndrome du sauveur est lié au fait qu'enfant, on devient parent de nos parents.
13:44 Voilà, mais tout à fait.
13:46 Et c'est pour ça que ça se construit, et après dans notre vie il y a des schémas qui se répètent.
13:52 Mais est-ce que vous avez eu un sentiment de satisfaction sur certaines, peut-être sur certaines histoires, certaines relations que vous avez eues,
14:01 pas notamment vis-à-vis de l'amour que vous avez reçu, mais de ce que vous avez apporté en termes d'aide, d'accompagnement ?
14:08 Concrètement, oui, j'ai pu apporter de l'aide et du soutien, oui.
14:15 Mais là où ce n'est pas du tout satisfaisant, c'est que ce n'est pas fait, enfin c'est fait toujours avec derrière, plus ou moins consciemment,
14:24 mais le désir d'être aimé en retour, donc ce n'est pas gratuit, quoi.
14:30 Ce n'est pas désintéressé effectivement, même si quand on est dedans et au début on ne se rend pas compte effectivement que derrière on attend un retour.
14:40 Voilà. Mais oui, c'est vrai, bien sûr, j'ai aidé des gens.
14:45 Aujourd'hui, Masha, vous êtes donc en recherche d'une jolie rencontre, d'une belle histoire, ce qui n'est pas encore d'actualité apparemment, et quelle est votre question ?
14:59 Alors du coup, je suis... Alors par rapport à ça, je suis restée après la séparation avec le papa de ma fille, je suis restée par choix,
15:06 et probablement aussi un peu pour me protéger de ce risque-là de retomber dans des relations comme ça, je suis restée seule,
15:13 mais j'en avais aussi besoin de toute façon, donc ça c'est... Voilà.
15:16 Et puis depuis quelques années, depuis je dirais 3-4 ans, je suis dans une démarche d'essayer effectivement de rencontrer quelqu'un,
15:24 mais dans l'idée de vivre quelque chose vraiment dans le partage et la réciprocité.
15:30 J'ai fait quelques rencontres où j'ai rapidement repéré que ça n'allait pas être des situations très égalitaires en termes de place dans le couple,
15:41 et puis donc c'est des relations auxquelles j'ai mis un terme en fait.
15:46 Et dernièrement, c'est très récent, mais j'ai fait la rencontre de quelqu'un pour le coup où, a priori, en tout cas du moins,
15:57 ne serait-ce que par rapport à la situation professionnelle, tout ça, c'était très clair, je n'allais pas être aidante, en tout cas de ce côté-là,
16:07 et où voilà, il y avait des points communs, des affinités...
16:11 - Ah, on ne vous entendait plus très bien, restez proche de votre appareil.
16:17 - D'accord, pardon. Et au motif en fait, donc c'était plutôt bien parti, et au motif de...
16:24 On devait passer notre premier week-end ensemble, et entre-temps, au motif de l'éloignement de nos impératifs respectifs,
16:34 parce que voilà, on a des enfants, tout ça, au final, monsieur a souhaité que ça s'arrête,
16:41 parce que pour lui, ça allait être trop compliqué, il disait que pour lui, l'organisation lui paraissait inexplicable et que ça n'allait pas être viable.
16:50 Et donc ça a été compliqué pour moi, parce que j'avais vraiment le sentiment que là, j'étais face à quelqu'un avec lequel ça aurait pu.
16:57 Mais c'est vrai que je commence à avoir une fatigue émotionnelle.
17:01 - Bien sûr, mais à la fois, vous avez vécu une expérience, de ce que vous venez de dire, où ça aurait pu très bien se faire, donc c'est tout à fait encore possible.
17:12 - C'est le sentiment que j'ai. - Exactement, et je crois que c'est ce qu'il faut retenir.
17:16 C'est-à-dire que, bien sûr, on a tous dans notre vie des épreuves, on a tous des périodes qui sont des périodes plus heureuses que d'autres,
17:23 et puis des périodes où, effectivement, on a le sentiment que tout s'écroule, où ça s'enchaîne et ça se répète,
17:31 mais dans toute situation, il faut en retenir quelque chose, autant positif que négatif, mais permettre aussi d'apporter une certaine forme de satisfaction.
17:42 Et cette satisfaction vis-à-vis de cette histoire, elle n'est bien entendu pas dans le fait que vous allez poursuivre ensemble,
17:51 mais de se dire que, eh bien, mon cœur a eu, là ça encore, cette capacité à vibrer et à faire vibrer aussi un homme, donc il y a quelque chose de possible.
18:01 Et pour répondre à votre question, Macha, pour moi, oui, vous allez rencontrer quelqu'un.
18:06 Je sens que, progressivement, vous avancez. Il y a encore une fragilité chez vous, il y a encore, si vous voulez, cet état émotionnel sur lequel,
18:15 eh bien, il ne faudrait pas grand-chose pour très vite basculer vers de la fébrilité, il y a des choses comme ça,
18:23 mais vous avez besoin, vous, de gagner de la confiance en vous, et puis, ce n'est pas grave si, à nouveau, vous rencontrez encore une personne
18:32 avec qui des choses ne se feront pas ou ne se décideront pas comme elles doivent se décider.
18:37 Mais je suis persuadé que, dans une période d'un an, un an et demi, là, vous êtes dans une réelle réalisation sentimentale
18:44 avec quelqu'un qui sera là pour vous aimer et non pas pour essayer de vous posséder ou, en tous les cas, de faire de vous une chose.
18:53 Et là, vous verrez que vous vivrez une histoire magnifique.
18:56 Oui, c'est vrai que je me reconnais quand vous dites qu'effectivement, il y a toujours une forme de fragilité,
19:05 et c'est vrai que je me rends compte que je suis sur le qui-vive quand même maintenant, quand je parle à quelqu'un, quand je rencontre quelqu'un.
19:12 Du coup, ça fausse un peu, quoi.
19:14 Oui, bien sûr.
19:16 En tous les cas, n'hésitez pas à nous tenir au courant de la suite.
19:22 Et puis, je vous souhaite une bonne continuation et une belle continuité pour vous, d'accord ?
19:29 Merci beaucoup.
19:31 Merci à vous, prenez soin de vous.
19:33 Merci aussi, au revoir.
19:35 Et à présent, c'est à vous de poser toutes vos questions, qu'elles soient sentimentales, professionnelles ou bien sûr d'autres sujets.
19:42 Un seul numéro, le 0826 300 300.
19:45 On se retrouve dans un instant avec notre prochaine auditrice, mais on aura aussi Pénélope.
19:51 Pénélope a ce sentiment de se marier cette année, le jour de son anniversaire en juin.
19:58 Alors, à ce jour, elle est célibataire. Est-ce une prémonition ou seulement un désir profond de se marier ?
20:05 Restez à l'écoute, la réponse est dans quelques minutes.
20:07 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
20:13 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
20:18 Et de retour sur Sud Radio, il est pratiquement 16h30.
20:22 Alors, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent pour cette deuxième partie.
20:25 Vous pouvez aussi nous suivre en direct depuis notre site internet sudradio.fr et sur le live de YouTube.
20:32 Vous pouvez surtout et même télécharger notre application afin de continuer dans cette progression d'audience que nous avons depuis quelques temps.
20:41 Et si à présent, vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de demain, le sujet sera sur l'écoute des esprits.
20:50 Alors, ce sera un sujet plutôt ésotérique, mais si vous avez vécu ou vivez ce genre d'expérience, si un esprit vous parle,
20:57 n'hésitez pas à venir en parler à l'antenne avec ou sans votre esprit.
21:02 Aude vous attend au standard au 0826 300 300.
21:06 Et je reviens sur notre sujet du jour avant d'accueillir notre prochaine auditrice, Céti, concernant l'origine du syndrome du sauveur.
21:18 Alors, vous savez que la plupart du temps, ce syndrome du sauveur prend ses origines dans l'enfance.
21:23 Ce sont des personnes qui, en tant qu'enfants, ont dû avoir un rôle, comme je disais tout à l'heure à Macha,
21:30 qui ont eu un rôle de parents pour leurs propres parents ou peut-être celui aussi d'un membre de la famille,
21:39 avec un sentiment d'impuissance, de culpabilité, de doute ou des responsabilités sur ce qu'ils n'ont pas pu faire auparavant.
21:48 Et aussi, ces personnes qui sont justement victimes du syndrome du sauveur ont aussi un manque ou ont vécu un manque d'attention ou d'affection de leurs parents.
22:00 Et durant cette période, il y a un système de mécanisme et d'offensive qui se met en place
22:07 et ce qui va provoquer plus tard, à l'âge adulte, pour le sauveur, un abus de sa naïveté et aussi d'une certaine forme de méfiance envers lui.
22:18 Et j'accueille à présent Céti. Bonjour Céti !
22:21 Bonjour Alexandre, bonjour l'équipe !
22:24 Merci, bienvenue sur Sud Radio, Céti.
22:28 Est-ce que ça vous parle, le sujet et le syndrome du sauveur ?
22:33 Oui, tout à fait. Je raconte un petit peu mon histoire. Je suis toujours sauveuse.
22:40 J'ai été sauveuse. Je suis bénévole à la Croix-Rouge, je fais les maraudes, je m'occupe des SDF.
22:54 On est une trentaine de SDF qui viennent nous voir dans les locaux. On leur donne à manger, ils savent, etc.
23:04 On l'écoute, on est beaucoup à l'écoute. J'ai reçu beaucoup de gens, beaucoup d'amis chez moi, qui venaient chez moi se plaindre, pleurer.
23:12 C'était Mère Thérésa. Et je me suis aperçue qu'en fait, c'était des profiteurs.
23:20 Donc je cherchais en fait à ce qu'on m'aime. En faisant cela, je cherchais l'affection, la tendresse.
23:28 Et puis, c'était que du profit.
23:33 Là, vous parlez non pas des actions que vous menez à la Croix-Rouge, mais des personnes qui sont autour de vous,
23:40 et qui se sont proclamées être des amis. Et pour en finir, vous avez été un peu abusée. C'est ça dont vous parlez ?
23:49 De ces personnes-là ? Mais pas des gens qui sont dans la rue, des SDF ou des choses comme ça ?
23:53 Non.
23:55 C'est pour justement faire toute cette différence-là.
23:58 On va revenir sur le sujet de vos amis, mais ce qui est intéressant, c'est aussi la participation et tout ce que vous menez au travers de la Croix-Rouge et sur le terrain.
24:11 Depuis combien de temps vous faites ça ?
24:13 Depuis dix ans.
24:15 Depuis dix ans. Et vous l'avez fait, est-ce que ça a été lié à un vécu passé, à un besoin d'apporter quelque chose ?
24:25 Ou est-ce qu'il y a eu d'autres raisons qui vous ont amené à vous retrouver dans cette mission-là de vie ?
24:30 Un besoin déjà, dans un premier temps. Et un besoin par rapport aussi avec les relations que j'ai eues avec certains hommes.
24:40 C'était très très très chaotique et je cherchais encore l'amour, l'amour, l'amour tout le temps, tout le temps.
24:47 Parce que j'ai eu une carence en étant enfant. On n'avait pas d'amour, pas de tendresse, rien du tout.
24:54 Et c'est pour la raison que j'allais avec des hommes.
24:57 D'accord. Et ces hommes-là, eux-mêmes, avaient un... Bon, mis à part le comportement qu'ils avaient avec vous,
25:03 qui n'était pas un comportement judicieux et correct et respectueux, mais est-ce qu'ils avaient une vie correcte ?
25:11 Ou est-ce que c'était un peu endantie ?
25:14 Non, pas du tout correcte. J'étais là à l'écoute. Ils profitaient aussi de moi parce que j'étais très naïve.
25:23 Je pensais que c'était de l'amour et tout. Finalement, je me suis aperçue que ce n'était pas du tout de l'amour, c'était que du profit.
25:31 Sur n'importe quoi, que ce soit l'amour, l'argent, il n'y avait que du profit.
25:37 Pour après, à la fin, me jeter vulgairement.
25:41 Aujourd'hui, vous en êtes sortie ou est-ce que vous avez l'impression que ça vous poursuit encore ?
25:46 Oui, ça va un petit peu mieux.
25:52 Vis-à-vis de vos amis, vous avez eu ce sentiment d'avoir été un peu abusée par le rôle de cette sauveuse que vous êtes.
26:06 Vous avez réussi à faire le tri, vous avez réussi justement à dire les choses ?
26:12 Tout à fait. Peut-être pas à dire les choses, mais à m'éloigner.
26:16 C'est important d'exprimer aussi. Il y a des personnes qui ont des comportements et des attitudes dont ils ne se rendent pas compte.
26:24 Pourquoi ? Parce qu'inconsciemment, on laisse aussi l'accès et l'apport à ce qu'on profite parfois par trop de générosité, trop de gentillesse et trop l'envie d'aider l'autre.
26:36 C'est important de communiquer, d'exprimer les choses, même si ça peut déplaire.
26:44 Aujourd'hui, vous êtes dans une histoire sentimentale, Céti. C'est bien ça ?
26:48 Tout à fait. Ça fait deux ans et demi avec qui je suis avec une personne.
26:54 D'accord. Et comment ça se passe ?
26:57 Alors, ça se passe, il est mystérieux. Je trouve qu'il a une face cachée.
27:06 Quand on parle de quelque chose, il ne répond pas. J'ai beaucoup de doutes. Je n'arrive pas à le comprendre.
27:14 On ne vit pas ensemble, bien sûr. Mais il y a quelque chose qui me perturbe.
27:21 Et vous vous posez des questions sur cet homme ?
27:24 Oui, beaucoup.
27:26 Est-ce que vous envisagez un avenir avec lui ? Ou est-ce que vous avez envie de garder cette relation à distance et chacun reste autonome et indépendant ?
27:40 J'ai envie de faire quelque chose avec lui. Mais il ne veut pas. Il aime bien être seul dans sa maison.
27:49 Je ne sais pas, il aime bien aussi.
27:52 Oui, j'ai le sentiment qu'à travers cette histoire, cet homme peut vous amener à vivre autrement et différemment.
28:00 Et à vous apprendre à aimer différemment aussi.
28:06 C'est-à-dire que pour vous, vous pouvez ressentir que cet homme est égoïste, ou manque parfois de disponibilité, de générosité, de plein de choses.
28:14 Mais à la fois, peut-être que vous avez besoin de prendre exemple pour justement vous protéger, vous, et ne pas vous laisser trop aspirer par les uns et par les autres.
28:26 Et je ne veux pas dire qu'il a raison, puisque je ne permettrais pas d'aller vers une pensée de qui que ce soit.
28:32 Mais en tous les cas, de ce que j'entends, de ce que je reçois comme information, cet homme est amené à être, pas un exemple, mais à vous guider vers le bon chemin.
28:46 Et je ne sens pas cette histoire pour autant négative. Bien au contraire.
28:50 C'est comme s'il doit vous amener à apprendre à vivre autrement et différemment.
28:56 Il y a quelque chose de bon.
28:58 Ah oui ?
28:59 Eh oui.
29:00 Ah, c'est pire.
29:01 Oui, c'est pour ça. Je pense que parfois, l'individu a ses propres exigences et ça ne correspond pas ou ça ne va pas dans l'attente que vous souhaitez.
29:12 Et comme vous êtes une femme entière et vous aimez des choses qui sont complètement intégrées et vécues pleinement, vous vous sentez un petit peu frustré.
29:23 Mais laissez faire les choses. Parce que je ressens que cette histoire, elle peut vous accompagner, elle peut vous amener à être dans un autre mode de vie, mais qui va mieux vous correspondre.
29:33 Ah super. C'est bien important.
29:36 Bon, écoutez, tenez-nous au courant de cette histoire.
29:39 Oui, bien sûr. Merci beaucoup.
29:42 Merci. Prenez soin de vous, Céti.
29:44 Merci beaucoup, vous aussi.
29:46 Et puis bravo pour ce que vous faites. On a besoin de gens comme vous pour aider les personnes qui malheureusement se retrouvent dans la rue. Bravo.
29:53 Merci.
29:55 Avant de retrouver notre prochaine auditrice, Penelope, je vais vous donner les conseils pour se libérer du syndrome du sauveur.
30:02 Alors, dans un premier temps, examinez votre compréhension des mots "aider", le mot "aider" et aussi de cette phrase "prendre soin d'eux".
30:11 Sachez qu'en responsabilisant la personne que vous aidez et faire en sorte qu'elle ne dépende pas de vous, ça va changer toute la formulation et aussi l'engagement dans lequel vous êtes.
30:23 Trouvez aussi les raisons de ce besoin viscéral d'aider.
30:26 Quel événement traumatisant de votre passé vous mène à devoir être dans cette notion d'aide de votre enfance ?
30:34 Qu'est-ce qui vous a poussé à développer un tel besoin compulsif ?
30:38 Faites-vous aider par un professionnel si dans le cas, vous n'arrivez pas à identifier tout ça.
30:43 Établissez des limites pour vos actions, arrêtez de vous sentir concerné quand vous rencontrez une personne dans le besoin. Prenez du recul sur la situation.
30:53 Écoutez aussi ce que la personne vous raconte sans l'interrompre. Donnez-lui des conseils, mais ne faites pas tout à sa place.
31:01 Laissez se responsabiliser cette personne-là. Et si vous suivez ses recommandations, ce sera bénéfique autant au sauveur qu'au sauvé.
31:10 Et la parole est à Pénelope. Bonjour Pénelope.
31:13 Bonjour Alexandre.
31:16 Bienvenue sur Sud Radio.
31:18 Merci. Je fais un petit coucou aussi à vos coéquipiers. Je ne sais pas comment on peut les appeler. Que ce soit aux Dousac, collaborateurs.
31:29 Exactement, aux équipes de Sud Radio qui sont formidables. On est vraiment une équipe avec un bon état d'esprit et une jolie famille.
31:37 C'est vrai, ça se sent.
31:40 Oui. Alors Pénelope, vous êtes de Béziers, vous avez 55 ans, vous êtes assistante de direction.
31:49 Oui.
31:51 Est-ce que vous, vous avez vécu ou est-ce que vous êtes un peu dans ce syndrome du sauveur ou de la sauveuse ?
31:57 Alors peut-être un petit peu déjà par mon métier assistante de direction, voilà c'est quand même parlant.
32:07 Mais bon, en fait c'est une remunération, je ne le fais pas gratuitement et c'est un métier.
32:16 Après dans ma vie, ce que je préfère c'est qu'on ait besoin de faire appel à moi.
32:23 Pas que j'aille directement chercher la moindre occasion pour me rendre indispensable.
32:30 J'ai suffisamment de choses à gérer moi toute seule dans ma vie.
32:35 Mais par contre c'est vrai que si on me demande, voilà je vais avec plaisir, peut-être des fois en dépassant peut-être un petit peu mon rôle.
32:44 Mais si on me demande, je vais aller tout faire pour que le problème puisse se régler.
32:51 D'accord.
32:51 Voilà, ça c'est vrai.
32:53 Vous savez le contrôler et le maîtriser, donc ça c'est très bien.
32:55 Peut-être que c'est comme vous dites, c'est votre métier aussi qui vous a appris justement à mesurer et à arbitrer ce qu'il faut faire et ne pas faire
33:04 et à contrôler tout ça.
33:05 Donc dans ce que vous dites, il y a peut-être aussi une forme de déformation professionnelle, mais plutôt positive.
33:12 Dans le bon sens.
33:14 Effectivement.
33:15 Alors vous, c'est un peu particulier votre témoignage puisque je peux le dire à l'antenne, vous êtes née au mois de juin, on peut dire le jour.
33:23 Oui, bien sûr, ça a son importance.
33:26 22 juin, donc c'était un an et demi.
33:29 Le 22 est fort en termes de symbolique.
33:31 Il est très fort sur le plan vibratoire.
33:34 D'ailleurs, vendredi, on parlera sur la vibration des nombres et vous verrez, on parlera aussi du 22.
33:40 Et donc, vous êtes née le 22 juin et qu'est-ce qui va se passer ce 22 juin ?
33:45 Alors, je suis née le 22 juin, c'était un samedi et cette année, le 22 juin tombe un samedi.
33:52 Et j'ai toujours rêvé de me marier.
33:56 Il se trouve que j'avais demandé au père de mes enfants à l'époque, je l'avais demandé un mariage, mais on n'était pas tous les deux.
34:05 On vivait depuis plus de 17 ans, 18 ans ensemble et on n'avait jamais trouvé que le mariage était essentiel.
34:14 Donc, il m'avait dit, ben non, écoute, on va continuer comme ça.
34:16 On n'a jamais trouvé que c'était essentiel.
34:18 Donc, en gros, il m'a dit, ben non, j'ai pas pris ça comme un vrai nom d'un refus.
34:25 De mariage, mais le mariage ne s'est pas fait.
34:28 Mais j'ai toujours mis en place cette envie de me marier.
34:35 Aujourd'hui, on est divorcée depuis plus de 20 ans et je me dis qu'on n'est pas loin du 22 juin.
34:45 Jour pour jour, on est presque à quatre mois.
34:50 Je n'ai encore personne dans ma vie et pourtant, j'ai l'impression que je vais me marier ce 22 juin 2024.
34:58 - Mais c'est un peu de la folie tout ça.
35:00 - Oui, complètement.
35:02 - Je ne suis pas en train du tout de me moquer de vous, bien au contraire, ne le prenez pas comme ça.
35:07 - Alors, j'ai déjà connu une folie comme ça il n'y a pas très longtemps.
35:11 C'était en 2020 où je disais qu'il fallait absolument que je quitte l'appartement que j'habitais,
35:16 qui était un très bel appartement, mais qui me coûtait beaucoup trop cher
35:20 parce que je vivais maintenant seule et que je n'arrivais plus à assumer.
35:25 Et donc, je faisais mes cartons et quand j'avais mes voisins qui passaient me faire un coucou,
35:30 qui me disaient "Ah, on est content pour toi, tu as trouvé, tu fais tes cartons",
35:33 je disais "Non, non, je n'ai pas trouvé d'appartement,
35:36 mais je sais que je vais déménager bientôt et que je vais en trouver un.
35:40 Donc ça y est, je fais mes cartons, ça va se faire".
35:44 Et donc, on était en début d'année et j'ai trouvé un appartement au mois d'avril.
35:48 - D'accord, parfait.
35:50 - Donc en gros, vous voyez, ça fait 4 mois entre le début d'année.
35:54 - Alors, bien sûr, bien sûr.
35:57 Alors, Pénélope, ce que je vous propose,
36:00 on va faire une petite pause et on va vous reprendre juste après.
36:05 Donc, vous restez à l'antenne et on va voir un petit peu si ce 22 juin,
36:10 vous êtes dans une robe blanche ou pas.
36:14 Surtout, ne bougez pas.
36:16 Nous, on se retrouve dans quelques minutes avec Pénélope.
36:19 On se retrouvera aussi avec Chantal, qui vit à Marseille.
36:22 Aujourd'hui, elle ressent ce besoin d'être au calme et de se mettre au vert.
36:26 Elle a donc mis en vente son appartement pour aller vivre près de l'océan Atlantique.
36:30 Alors, parviendra-t-elle à vendre son appartement et vivre dans le sud-ouest ?
36:35 Eh bien, on vous dira tout ça dans quelques minutes.
36:38 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:44 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:50 - Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,
36:52 avant de retrouver l'Evreux Voix, présentée par Cécile de Minibus et Philippe David.
36:57 Alors, il vous reste encore quelques minutes pour passer à l'antenne 0826 300 300.
37:03 Et à présent, je retrouve Pénélope.
37:05 Bonjour Pénélope.
37:07 - Vous êtes là ? - Oui, rebonjour Alexandre.
37:09 - Oui, rebonjour Pénélope. - Oui, oui, je vous entends très bien.
37:11 - Parfait. Alors Pénélope, je reprends un petit peu ce que nous avons dit auparavant.
37:15 Vous êtes assistante de direction et vous avez jusqu'à présent vécu des histoires.
37:22 Et aujourd'hui, vous êtes persuadée que ce 22 juin, vous allez vous marier. C'est bien ça ?
37:29 - Oui, persuadée. En tout cas, je le sens très fort.
37:33 - Vous le ressentez très fort. - Mais ça me fait aussi un peu peur.
37:36 - Ça vous fait peur. Alors, c'est un sentiment, c'est une perception, c'est un ressenti
37:42 ou c'est juste une volonté de vouloir justement vous marier à cette date-là ? Et pourquoi cette date ?
37:48 - Je le voudrais, oui, c'est une volonté.
37:55 Et en même temps, quelque chose me dit que...
37:57 C'est vrai qu'il y a quelques personnes autour de moi que je fréquente,
38:04 des ex-relations avec qui j'ai gardé de très bonnes relations,
38:12 qui pourraient peut-être dire ça le 22 juin parce qu'ils nous connaissent bien,
38:18 parce que c'est aussi un soir de pleine lune et que c'est la pleine lune du 22 juin.
38:23 Donc pour tout ça, je me dis que pourquoi pas ?
38:27 En fait, c'était un souhait que ma mère aurait aimé réaliser avant qu'elle nous quitte.
38:34 Et je me dis que quoi qu'il en soit dans ma vie, je finirai un jour par exaucer ce vœu.
38:41 Bon, pourquoi pas ce samedi 22 juin 2024.
38:46 - Alors, vous savez, Penélope, j'ai quand même été fouiller un petit peu l'information
38:50 parce que je me dis pourquoi ce 22 juin même si je sais que c'est votre anniversaire.
38:54 Mais sachez que par rapport à votre jour, votre mois et votre année,
38:57 le 22 juin est un samedi.
39:00 Vous êtes née un samedi.
39:01 - Oui, oui.
39:03 - Donc peut-être que tout simplement aussi,
39:06 le fait de...
39:07 Est-ce que vous avez eu connaissance d'être née un samedi ou pas ?
39:12 - Oui, oui, oui, je le savais.
39:14 Oui, oui, c'est pour ça que j'avais toutes les planètes, on va dire, qui s'alignaient.
39:18 - Exactement.
39:19 - C'était un samedi, donc un jour de mariage, en tout cas dans la religion catholique,
39:24 et puis la pleine lune.
39:25 Et donc je me disais, ce serait vraiment merveilleux le soir, la pleine lune.
39:30 - Oui, ce serait magnifique.
39:31 - C'est très romantique comme idée.
39:33 - Exactement.
39:34 Alors moi, je ne suis pas en train de vous dire que ce sera ce 22 juin.
39:36 Je ne veux pas du tout vous contrarier ou en tous les cas vous faire perdre tous vos espoirs.
39:42 Mais en tous les cas, ce que je ressens, c'est qu'effectivement,
39:46 à cette période du 22 juin, il y a cette histoire de pleine lune.
39:50 Donc j'ai un petit peu cherché des informations,
39:52 j'ai travaillé un peu sur votre cas pour voir un petit peu ce qui pouvait se passer.
39:56 Et vous savez que c'est une pleine lune des fraisiers, c'est le moment de la floraison.
40:00 Ça sera une pleine lune en capricorne.
40:03 Donc c'est très favorable à la période de la communication.
40:06 Aussi, comme ce sont des jours, le 22 juin, où on est vraiment des jours à son maximum,
40:12 donc avec le solstice d'été, c'est une période où la passion est là.
40:18 C'est une période où les choses sont bonnes pour cultiver,
40:23 pour aller vers quelque chose d'un renouveau, d'une naissance.
40:26 Et peut-être possible, une période où effectivement,
40:30 sur le plan sentimental, il y a quelque chose qui va se passer pour vous.
40:34 Alors maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que c'est à tout prix ce 22 juin
40:37 que vous allez vous marier.
40:38 Mais peut-être qu'à cette période-là, ça va pouvoir définir un événement,
40:43 une période où les choses vont s'installer sur le long terme
40:47 et vous amener peut-être effectivement sur un mariage.
40:49 Voilà ce que j'ai ressenti et ce que j'ai pu donner comme élément vous concernant.
40:57 D'accord ?
40:58 - Merci, on est entre l'astrologie alors et la voyance.
41:02 - Exactement, et vous serez dans une excellente...
41:04 - Non ?
41:04 - Oui !
41:05 Un peu de tout.
41:08 J'ai cherché pour vous les informations.
41:10 - Oui, je vois. Merci beaucoup.
41:11 - Merci, Penelope.
41:14 Et prenez soin de vous et puis surtout, on se donne rendez-vous ce 22 juin.
41:16 Je vais demander au Standard qui vous rappelle ce 22 juin.
41:22 Enfin, en tous les cas le 21 parce que le 22, ce sera un samedi.
41:25 Donc on se rappelle le 21.
41:26 - Oui, oui.
41:27 - Allez, permettez-moi pour vous encourager.
41:29 - Merci, à bientôt.
41:30 - Je vous embrasse, Penelope.
41:31 Merci.
41:33 Et la parole est à Chantal.
41:34 Bonjour Chantal.
41:37 - Je suis là, bonjour.
41:38 - Alors Chantal, vous êtes de Marseille.
41:41 - Exactement, oui.
41:43 - Oui, et vous avez pour intention d'aller, comme vous dites, au vert.
41:47 C'est-à-dire de vendre votre appartement pour partir vers l'Atlantique.
41:52 Où là, pour vous, c'est un lieu qui vous correspond mieux que dans le lieu où vous êtes actuellement.
41:59 - Oui, il m'envie de changement en même temps, effectivement.
42:02 Et de changement de... pas de rage, on va dire.
42:05 - Bien sûr, bien sûr.
42:06 Vous prévoyez de le faire pour à quelle période ?
42:09 - Dès que ce sera possible.
42:12 Dès que ce sera possible.
42:13 En fait, il faut pouvoir investir dans une maison.
42:16 J'ai besoin de vendre un appartement que j'ai ici.
42:18 Et donc, c'est bien de le vendre auparavant pour pouvoir investir.
42:24 - D'accord.
42:24 - Donc, dès que ce sera possible, je viens de le mettre en vente.
42:28 Et je voulais savoir si ça allait avancer cette affaire plus ou moins de long terme.
42:35 - Eh bien, écoutez, cette affaire va bien avancer parce que j'ai aussi bien regardé votre question et votre situation.
42:43 Et ça va bouger.
42:44 Ça va bouger, mais ça va bouger même plus rapidement que prévu.
42:47 C'est-à-dire que, pour moi, il y a cette possibilité de vente, effectivement, qui va se faire.
42:52 Et on dirait que vous allez tomber sur le charme d'un autre lieu, d'un autre endroit,
42:57 qui, effectivement, s'annonce vers l'Atlantique et vous permettre de vous réinstaller.
43:02 Tout ça sous une période d'un an où les choses vont se mettre en place.
43:05 Donc, vraiment, restez dans cette notion, dans cette dynamique aussi de volonté de changement.
43:12 N'hésitez pas, peut-être déjà, dès à présent, à essayer de prospecter ou en tous les cas de rechercher le bien.
43:20 - Oui, c'est bien commencé.
43:21 - Voilà, exactement. Parce que vous verrez qu'à cet été, eh bien, tout va s'activer, tout va se mettre en place.
43:26 Et ça va vous permettre de retrouver un nouveau nid, un nouvel endroit, un nouveau bonheur pour vous et vous réinstaller dans une nouvelle vie.
43:34 Donc, pour moi, oui, ça va se faire et beaucoup plus rapidement que ce que vous avez prévu, je vous vous rappelle.
43:41 - Dans des conditions qui seront bonnes en même temps.
43:44 - Exactement, exactement.
43:47 - Très bien, écoutez, je suis enchantée.
43:48 - Merci, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
43:51 - Merci beaucoup, en tous les cas. Merci bien.
43:54 - Merci à vous, prenez soin de vous.
43:55 - Merci, chanteuse.
43:56 - Au revoir, merci.
43:57 - Et pour conclure, je dirais, vouloir sauver une personne proche de soi, ce n'est pas de s'abandonner totalement à elle.
44:04 Et nous, on se retrouve demain, on parlera des esprits. Alors, êtes-vous à l'écoute des esprits ?
44:09 Avez-vous déjà vécu cette expérience ? Venez en parler à l'antenne et je vous souhaite une bonne fin de journée.
44:15 Prenez soin de vous et la place est au Vrai Voix. Bonsoir, Philippe David.
44:18 - Bonsoir, Alexandre Delovane.
44:20 Au menu des Vrai Voix, à 17h30, dans le Grand Débat, le Premier ministre a décidé de placer l'agriculture au rang des intérêts fondamentaux de la nation,
44:28 lors de sa conférence de presse de ce matin. Et on vous pose cette question.
44:32 Comme le demande Gabriel Attal, faut-il mettre l'agriculture dans les intérêts fondamentaux de la nation ?
44:37 Vous pensez que oui ? Vous pensez que non ? Vous pensez que ce ne sont que des mots ou pas du tout ?
44:42 Appelez-nous au 0 826 300 300. Notre expert sera Patrick Bénézy, vice-président de la FNSEA.
44:48 A 18h35, la délinquance est en hausse dans les villes moyennes et petites, selon un bilan de la sécurité publique.
44:54 Et on vous pose cette question. Explosion de la délinquance dans les villes moyennes, est-on en sécurité nulle part ?
45:00 On aura Jean-Christophe Couvy, secrétaire national d'Unité SGP, Policefo avec nous.
45:05 Nos trois Vrais Voix du jour, Philippe Bilger, Tom Conan et Joseph Touvenel.
45:09 - Bonne émission.
45:10 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
45:16 Avec idéalvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.

Recommandations