Kévin CARCELEN nous présente ses “trouvailles vintage”
Kévin CARCELEN
Brocanteur - créateur des “Trouvailles VIntage” à Tours
Arkose: la salle d’escalade de blocs en centre-ville de Tours
Jordane LEGLEYE
Moniteur d’escalade de la salle d‘Arkose à Tours
Kévin CARCELEN
Brocanteur - créateur des “Trouvailles VIntage” à Tours
Arkose: la salle d’escalade de blocs en centre-ville de Tours
Jordane LEGLEYE
Moniteur d’escalade de la salle d‘Arkose à Tours
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00:00 [Générique]
00:04 - Soyez les bienvenus dans cette deuxième partie locale géniale toujours avec mes invités.
00:08 Ils sont là, Emeric Rouillac, notre commissaire priseur et son petit tableau juste derrière lui.
00:12 Ça va, Emeric ? - C'est bon.
00:14 - Benjamin Rémerjou est avec nous, fondateur de l'entreprise Opoly et fondateur de ce Nouveau.
00:19 Vous étiez avec nous, on l'a testé il y a quelques instants, c'est formidable.
00:21 Jordan Le Gley est aussi avec nous, moniteur d'escalade au sein de la salle Arcos à Tours.
00:26 On va parler de bloc dans quelques instants, mais pour l'heure, on va aller chiner tous ensemble
00:30 si vous êtes d'accord avec Kevin Carcelin. Rebonsoir à vous, Kevin.
00:33 Vous êtes brocanteur et créateur des trouvailles vintage à Tours.
00:37 Vous nous avez emmené plein de beaux objets derrière. On va en parler dans quelques instants.
00:40 Un mot sur vous, vous avez 35 ans, originaire de Tours.
00:43 Et puis après une carrière dans l'hôtellerie, vous avez tout quitté pour vous lancer dans la brocante.
00:47 - C'est ça, le grand saut. Le grand saut pour la passion.
00:49 - Une série qui vous a aidé la belle période du Covid, qui vous a permis un peu de réfléchir là-dessus.
00:52 - Entre autres. Ça a fait réfléchir un nombre de personnes et ça a été le cas.
00:56 - Vous avez toujours une passion pour tout ce qui était le fait de chiner et tous les objets qui...
01:01 - Depuis toujours, mais pas à ce point-là. Je l'ai développé sur le tard et ça m'a piqué.
01:05 C'est une maladie, maintenant.
01:06 - Alors, vous avez commencé à faire quelques ventes, puis vous avez participé à une émission
01:10 qui s'appelle "Affaire conclue" pour France 2.
01:13 Vous êtes reparti avec 2800 euros en échange, c'est ça, d'une trouvaille de votre maman
01:18 qui était estimée à 1000 euros ?
01:19 - C'est ça. Je crois qu'on a la Chine dans le sang, au final, parce qu'elle avait chiné ça dans les années 90.
01:24 Ça valait quelques francs, à l'époque, et finalement, c'était signé d'un grand nom,
01:28 une artiste qui avait travaillé au Nautomaïque, Picasso.
01:31 - Donc, c'est un joli coup qui vous a permis de faire un peu comme Benjamin pour son enfile couette,
01:35 de créer un peu le buzz sur Internet. Donc, ça vous a motivé à aller un peu plus loin ?
01:38 - C'est ça. Ça a permis de me lancer, d'avoir des premiers abonnés, déjà,
01:42 et puis de concrétiser cette passion du vintage, au final.
01:46 - Janvier 2023, création des Trouvailles Vintage. Alors, c'est pas un magasin propre.
01:51 C'est un entrepôt, déjà, avec des dizaines et des dizaines d'objets,
01:55 même des centaines et des centaines d'objets.
01:57 - Des centaines, des centaines d'objets. On peut venir visiter sur rendez-vous.
02:00 Il suffit de me contacter sur Instagram, par téléphone, et vous pouvez venir voir tout ce que j'aime, au final,
02:05 une sélection de pièces 20e, des années 30 aux années 90, dans tous les styles,
02:11 du grand designer à la table de ferme.
02:15 - Alors, vous êtes super sympa, donc vous avez emmené plein d'objets ici.
02:19 Il y a un petit objet juste à côté de moi. Je sais pas si on va pouvoir le voir à l'entonne.
02:21 Peut-être dans quelques instants. Qu'est-ce que vous nous avez emmené, du coup, juste là ?
02:25 - Alors, là, on a un échantillon 20e. Donc, ici, on a une sellette.
02:28 C'est grand classique, années 70. Sellette chromée, verre fumé.
02:32 On en trouvait partout dans les intérieurs, dans ces années-là.
02:34 Et aujourd'hui, ça revient très, très, très en force.
02:36 Et c'est vraiment une pièce qui est recherchée, qui n'est pas forcément signée.
02:40 Mais ça peut se marier dans tous les intérieurs, anciens, modernes.
02:43 - Vous validez, Emric ? - Écoute, je me suis dit qu'on pourrait même la retourner.
02:46 Elle serait en forme d'escargot ou en forme de traîneau. Ce serait assez amusant.
02:49 - C'est vrai que ça peut être une idée originale. Il y a d'autres objets. Ça vaut combien, ça ?
02:52 - Ça, ça fait 150 euros, à peu près. - 150 euros pour ceux qui sont intéressés.
02:56 On va se lever. On est équipés de micro, donc c'est formidable. On a la télé.
03:00 Plein de petites chaises. Ça aussi, c'est très vintage. Venez là, Kevin. Alors, ça, c'est...
03:03 - Là, on est dans les années 60. - Ouais.
03:05 - C'est une pièce allemande. On dirait que c'est très récent.
03:08 Mais au final, années 60, c'est un composé qui a été assez novateur pour l'époque.
03:13 On connaissait pas encore le plastique comme maintenant.
03:16 Et ça, c'est une sorte de résine. On l'appelle la chaise Z ou la chaise kangourou.
03:20 - Très bien. - Son design très atypique.
03:22 - Il faut qu'on vous voit à la télé. Venez là. Hop, voilà. Hop !
03:24 Ensuite, vous avez un autre petit objet. C'est quoi, ce... ?
03:27 - Alors, ça, c'est vraiment le classique de la brocante à l'ancienne.
03:29 C'est un petit jouet d'enfant qui a été complètement patiné par le temps,
03:33 qui a perdu toutes ses couleurs, ses petits accessoires,
03:37 mais qui reste charmant et qu'on peut poser dans un intérieur en décoration.
03:40 - Il y a écrit "cheval" vers 1930, 55 euros. - Voilà, c'est ça. C'est ça.
03:44 - Voilà, pour ceux qui sont intéressés.
03:46 Il y a une très belle table qui est juste derrière. Je voulais qu'on en parle aussi.
03:48 Alors ça, c'est hyper vintage et très sympathique.
03:50 - C'est un peu plus récent. C'est plutôt des années 90.
03:52 Mais là, on est sur un designer finlandais, Eero Arnaud,
03:58 qui a fait cette table qui s'appelle la table Parabol et qui existe en table à manger aussi,
04:02 en format géant. - OK.
04:03 Donc là, c'est une version plus petite, plus pour le salon, par exemple.
04:06 - Voilà, pour un salon, pour un bout de canapé.
04:08 - Tous ces objets, vous les trouvez où, Kevin ?
04:11 - Je ne peux pas donner tous mes coins à champignons, mais ce n'est pas compliqué.
04:15 - Les fameux coins à champignons, les coins pour les objets.
04:17 - Il faut aller chiner tous les week-ends, toute la semaine me concernant.
04:20 Et on trouve toujours des choses. Maintenant, il faut se lever tôt.
04:23 - Vous avez l'objectif d'aller un peu plus loin, d'aller chiner un peu plus loin aujourd'hui,
04:26 peut-être sur les pays scandinaves, notamment, parce qu'eux,
04:28 ils sont un peu à la pointe en matière de fashion.
04:30 - C'est ça. Ce sont des pièces qui sont très à la mode, souvent de très belle qualité,
04:34 des années 60-70. Tout le monde veut s'en enfiler à la Scandinave.
04:37 Et c'est vrai que, bon, c'est des pays qui font rêver aussi pour le voyage.
04:40 - Deux objets pour terminer. Ce miroir, là aussi, on est dans une tendance très vintage.
04:44 Je crois que c'est les années 70. - Ça, c'est plutôt 70-80.
04:47 C'est inspiré d'un grand nom. C'est une série qui n'est pas l'originale du designer,
04:52 mais qui est de la même époque. Miroir lipstick, pour le format rouge à lèvres.
04:56 Et là, c'est une transformation. - Ça, j'adore.
04:58 - Ça, c'est un meuble assez original. C'est un simple classeur en bois.
05:02 On peut mettre les petites cléettes ici. Et je l'ai transformé. Je l'ai mis sur une chaise à roulettes.
05:08 Et c'est maintenant... C'est mobile. On peut le faire rouler et on peut le modifier.
05:13 - L'idée, c'est de transformer aussi les objets ou vous les gardez quand même relativement bruts à chaque fois ?
05:17 - Ça, c'est rare. C'est juste pour le plaisir. Voilà. Quand j'ai une idée qui me vient en tête.
05:21 - Quand le chimer devient de la roulette. - Et dernier objet que vous vendez, Kevin,
05:24 vous voulez nous en parler de ce bel objet ? - Voilà. Alors 150 €. J'ouvre les enchères ce soir.
05:29 - On les ouvre en direct. - On parle du chevalet.
05:32 - Kevin, si on est intéressé, qu'on veut se procurer les trouvailles vintage, du coup,
05:36 on vous contacte sur les réseaux sociaux. C'est un peu ça, l'idée ?
05:38 - Instagram, les trouvailles vintage. Ou Facebook, pareil, les trouvailles vintage.
05:42 - Arkoz.com pour toutes les informations. Pardon, Arkoz, ce que je voulais dire.
05:46 - Ça, c'est le mieux. - Ça marche.
05:47 - Les-trouvailles.vintage pour ceux qui sont intéressés sur Instagram. Merci beaucoup.
05:51 Arkoz, on va en parler, justement. C'est notre dernière séquence de cette émission.
05:55 On va en parler, évidemment. Ce soir, je voulais parler d'escalade de bloc,
05:59 parce que ça cartonne. Les jeunes, époque, les jeunes en font beaucoup.
06:03 Et je voulais en parler avec vous. Jordan Leglay, vous êtes le moniteur d'escalade
06:06 de cette salle à Tours. Qu'est-ce qu'on y fait ? C'est quoi, l'escalade de bloc ?
06:11 - L'escalade de bloc, c'est de l'escalade sans cordes, à une hauteur limitée en Europe
06:16 à 4,50 m, au-dessus de gros tapis. Ça s'inspire des blocs de Fontainebleau,
06:21 un bloc de grès célèbre dans toute la planète escalade. Voilà.
06:25 - L'idée, c'est de faire de l'escalade, mais sans protection.
06:28 Il n'y a pas de filet de sécurité, il n'y a rien.
06:30 - Il n'y a pas de baudrillé, comme on dit en escalade, de harnais. On n'a pas de cordes.
06:33 On a juste besoin de chaussons. Voilà. Donc, soit on apporte les chiens, soit on vous les loue.
06:38 Et il y a des parcours, des blocs, du plus simple. Alors, il n'y a pas vraiment
06:44 de beaucoup plus simple, parce que tout de suite, il s'agit de prendre de la hauteur.
06:47 Donc, ça peut être compliqué tout de suite. Mais du moins difficile, on va dire,
06:52 à l'extrême abominable. - Et vous êtes des petits malins,
06:55 parce que régulièrement, vous changez évidemment les blocs.
06:58 Donc, ça veut dire qu'il faut toujours revenir, réessayer, et tenter l'aventure.
07:04 - Alors oui. Heureusement, parce que l'escalade, c'est une infinité de mouvements.
07:08 Donc, si on ne proposait qu'une petite gamme de blocs tout le temps, ça ne changerait pas beaucoup.
07:13 La seule chose qu'on ne peut pas changer, c'est les profils, c'est-à-dire l'orientation des murs.
07:16 Les murs, ils sont fixes. Après, on les fait varier avec ce qu'on appelle des gros volumes,
07:22 des grosses pièces géométriques. - C'est ça qui est très difficile.
07:25 C'est là où il y a la complexité supplémentaire, quand il y a des grosses pièces en plus qui sont sur le mur.
07:30 - Alors, ça dépend. Ça peut faciliter. Ça change... En fait, ça change l'orientation,
07:35 l'inclinaison du mur. Puis ça change donc la manière dont on saisit les prises dessus.
07:39 Et voilà. Alors ça, c'est le travail spécifique des ouvreurs.
07:42 C'est un métier à part entière, un métier relativement récent, qui sont des artistes de la prise d'escalade.
07:49 Ils créent des tableaux plusieurs fois par jour. - Vous en avez au sein d'Arcos qui sont spécialistes
07:54 de créer justement ces parcours. - Ah, tout à fait. Oui, oui. C'est une catégorie de...
07:58 - Mais tu en as déjà fait, toi, Aurélien, parce que tu as l'air de très, très bien connaître l'orientation.
08:00 - Alors, j'en ai fait une fois. - Ça s'est passé comment ?
08:02 - Et c'est assez... Ce n'est pas compliqué. Mais du coup, il y a différents parcours.
08:05 C'est ça qui... Ce qu'il faut expliquer, c'est que si on débute, il y a des parcours qui sont beaucoup plus simples.
08:10 Si on n'a aucun niveau... - Et puis il y a des espaces pédagogiques pour apprendre, oui.
08:16 Alors on invite tout le monde à prendre une heure de cours. C'est le même prix qu'une entrée pour démarrer.
08:22 Pour avoir les bonnes bases techniques, mais surtout pour savoir se comporter sur les tapis.
08:26 Il y a un risque, puisque quand on n'a pas de cordes, ça peut tomber un peu partout.
08:28 Donc il faut savoir se placer dans la salle. - Il faut un prérequis, quand même, avant de se lancer.
08:32 - Alors il n'y a pas de prérequis. Il y a un truc qui est rédhibitoire, c'est d'avoir des vraies fragilités
08:37 au niveau des chevilles ou du rachis, puisque en dernière instance, on se réceptionne sur les tapis.
08:42 Donc si on a vraiment les chevilles très fragiles, qu'on sort d'une entorse ou qu'on a une hernie d'escale,
08:48 mieux vaut préférer de l'escalade avec une corde. - Est-ce qu'on apprend à chuter ?
08:52 - Alors on apprend à chuter par la force des choses, parce que la chute fait partie de la discipline.
08:57 C'est comme si vous demandiez à un skater... Est-ce qu'on apprend à chuter ?
09:00 Le skater, il passe son temps à ramasser par terre. Voilà.
09:03 Donc on apprend, et on apprend d'autant mieux qu'on commence avec un moniteur.
09:06 Alors je prêche un peu pour ma paroisse, mais il y a des réflexes,
09:09 il y a des gens qui ont des très bons réflexes corporels.
09:12 Le mauvais réflexe classique, c'est d'aller mettre les mains au sol quand on tombe.
09:16 - On met pas les mains au sol. - Voilà, les judokas...
09:18 - Pour ceux qui ont des enfants qui nous regardent ce soir, est-ce qu'il y a des...
09:21 Voilà, c'est une bonne activité quand on a un enfant pour... Voilà, ce genre d'escalade.
09:26 - C'est une activité... En règle générale, l'escalade... L'escalade, en général,
09:29 c'est une activité qui est très physique, très mentale, puisqu'il faut réfléchir à beaucoup.
09:34 Ça demande beaucoup de concentration, de l'agilité, de la force, de la coordination.
09:38 C'est avant tout un jeu d'équilibre et de coordination.
09:40 Donc ça marche vraiment à tous les âges. On a des grimpeurs de 70, 80 ans.
09:46 Et nous, on commence les cours à 4 ans, qu'on prend pas avant.
09:50 Après, ce qu'on appelle en libre, quand tu viens hors encadrement,
09:53 dans les espaces dédiés pour les enfants, c'est à partir de 3 ans.
09:56 - Ça coûte combien ? Ça, c'est important. J'aime bien poser la question.
09:59 - Alors en ce moment, ça coûte vraiment pas cher, donc il faut pas se...
10:02 Voilà, en ce moment, c'est 8 euros, là, sur tout le mois de février, pour les nouveaux venus.
10:06 Après, il y a les tarifs dans la journée, tu vois, les heures creuses ou les heures pleines.
10:10 - Est-ce qu'il y a une tenue spécifique à prévoir, notamment les chaussons, quand ça se passe ?
10:14 - Alors les chaussons ou les louches, si vous en avez pas, c'est le seul matériel nécessaire.
10:17 Après, moi, il faut une tenue confortable dans laquelle on se sente bien,
10:19 qui craigne pas trop, parce que les murs sont relativement abrasifs,
10:21 donc c'est vite fait de faire des petits accros sur les habits.
10:24 Et moi, je conseille aux gens, aux débutants, de venir avec des...
10:27 Plutôt des tenues qui couvrent les genoux, parce que c'est la partie...
10:31 Au départ, on est un peu mal habile avec son corps, donc on a tendance à toucher les genoux
10:34 et on se fait des petites écorchures sur les genoux.
10:36 Ça peut être bénin, mais ça pique sous la douche.
10:38 - J'ai vu qu'il y avait une zone de bloc en extérieur, aussi.
10:40 Pas en ce moment, peut-être ?
10:41 - Alors, pas en ce moment.
10:43 - Ça va revenir ? - Mais ça va revenir.
10:45 - Ouais, on attend les beaux jours, c'est ça, l'idée ?
10:47 - On attend les beaux jours, c'est ça, l'idée.
10:49 - Moi, j'ai vu un truc qui avait l'air de beaucoup m'intéresser.
10:51 - Il y a un restaurant, aussi, non ? - Oui, ben voilà la cantine.
10:53 - Ah, un restaurant, alors c'est...
10:54 - En fait, Aymeric... J'ai compris la logique de Aymeric.
10:56 Clairement, tu vas emmener la famille là-bas et Aymeric veut rester au resto.
10:59 - C'est un restaurant. - Donc, il faut se mettre en vitrier
11:00 pour regarder ce qui se passe, c'est ça ?
11:01 - La cantine. - Alors, quand t'es au restaurant,
11:03 t'as pas tout à fait vu la salle d'escalade.
11:05 Il faut te décentrer un petit peu. - C'est un petit mal.
11:07 - Mais tu peux boire une bière et aller voir ce qui se passe.
11:09 Ouais, on a un restaurant, un vrai restaurant, avec un vrai chef
11:11 qui fait de la cuisine locale...
11:16 Avec une proposition sans viande, au maximum, aujourd'hui.
11:20 - Ben, pour se faire plaisir au-delà de l'escalade, c'est le bon endroit.
11:25 - Voilà, et puis c'est aussi une salle où on expose des oeuvres.
11:29 - Eh ben, j'en ai une à vous proposer.
11:31 - C'est un lieu où on n'est pas obligé de grimper pour y passer du temps.
11:34 On ne vous demande rien. - C'est un plaisir.
11:37 - Arkoz.com/tour pour toutes les informations.
11:40 Merci beaucoup, Jordan, en tout cas, d'être venu sur notre plateau
11:42 nous parler d'escalade de bloc.
11:44 Merci beaucoup, Benjamin, d'être venu en plateau.
11:46 C'est formidable, cette petite découverte ce soir, ce nouveau produit.
11:49 Nubeo, un banc de méditation ultra-transportable.
11:52 On valide, hein, Emric ? - Moi, je repars avec.
11:55 - Nubeo... Non, c'est 34 euros. Nubeo.com.
11:57 Tu peux faire un échange avec ton tableau, à la rigueur.
11:59 Ça peut peut-être fonctionner. Merci, en tout cas, Emric, d'être venu en plateau.
12:02 Et merci, Kevin Carcelan, d'être venu en plateau.
12:04 Les trouvailles vintage à tour. Il y a un Instagram.
12:07 Les trouvailles vintage, vous le trouverez.
12:09 Merci beaucoup, en tout cas. - Merci.
12:10 - Vous êtes venu avec un chariot que vous avez rempli.
12:13 - Il va falloir le redéménager. - Voilà, on va le redéménager.
12:15 On a un petit quart d'heure, parce qu'à 18h45, c'est le journal.
12:17 Mais dans quelques instants, Émilie Tardif, pour qui veut gailler, des...
12:20 - Rions ! - Rions !
12:21 - Merci, messieurs, en tout cas. Très bonne soirée à vous.
12:23 Dans un instant, les Rions.
12:24 Et à 18h45, n'oubliez pas, le journal avec Lucas Chopin.
12:26 À tout à l'heure.
12:27 - À tout à l'heure.
12:28 - À tout à l'heure.
12:30 Sous-titrage Société Radio-Canada
12:34 1
12:36 [Musique]