Il y avait
Il y avait des étoiles qui tombaient sur le sol,
Et puis des cailloux qui faisaient des ricochets,
Des larmes qui montaient vers le ciel pour demander pardon,
Il y avait des colombes qui caressaient la mer,
Des choses impossibles qui naissaient tous les jours,
Il y avait ton regard qui voulait noyer le mien,
Des silences qui demandaient à lamour de sétendre,
Des sangles qui voulaient toujours nous étrangler,
Quand dautres pas sombres faisaient semblant dexister,
Il y avait des glaives et il y avait du sang qui remontait mes veines,
Les armures ne servaient même plus à me protéger,
Comment recommencer ma vie si elle vaut encore le détour,
Que je commence le tour pour enfin commencer à tourner,
Il y avait des brûlures qui ne faisaient plus mal,
Des horloges qui tournaient à lenvers pour rattraper le temps,
Il y avait des robinets qui laissaient couler ma vie,
Et des mots qui me disaient de rester en ne faisant que passer,
Il y avait des caresses qui faisaient plus mal que des balles,
Et des vagues qui devenaient à la mer ce quelles étaient pour elle,
Lenfer nétait pas une promesse, mais des tresses pour tes cheveux,
Il y avait des histoires que tu me racontais et qui me blessaient,
Jai regardé le ciel, jai demandé pardon au hasard,
Espérant que le hasard me réponde au hasard de linstant,
Mais personne ne ma jamais écouté quand je parlais damour
Jai jeté quelques notes sur une feuille imaginée,
Et cela ma fait encore pleurer quand tu tais mise à chanter.
Jai appris à taimer comme jaimais la vie,
Jai fait quelques souhaits en regardant un près,
Et le hasard ma enfin regardé, et je me suis envolé,
Jai appris que le ciel nétait finalement pas si haut
Laurent Mourot-Faraut
musique sylvestre paris
Il y avait des étoiles qui tombaient sur le sol,
Et puis des cailloux qui faisaient des ricochets,
Des larmes qui montaient vers le ciel pour demander pardon,
Il y avait des colombes qui caressaient la mer,
Des choses impossibles qui naissaient tous les jours,
Il y avait ton regard qui voulait noyer le mien,
Des silences qui demandaient à lamour de sétendre,
Des sangles qui voulaient toujours nous étrangler,
Quand dautres pas sombres faisaient semblant dexister,
Il y avait des glaives et il y avait du sang qui remontait mes veines,
Les armures ne servaient même plus à me protéger,
Comment recommencer ma vie si elle vaut encore le détour,
Que je commence le tour pour enfin commencer à tourner,
Il y avait des brûlures qui ne faisaient plus mal,
Des horloges qui tournaient à lenvers pour rattraper le temps,
Il y avait des robinets qui laissaient couler ma vie,
Et des mots qui me disaient de rester en ne faisant que passer,
Il y avait des caresses qui faisaient plus mal que des balles,
Et des vagues qui devenaient à la mer ce quelles étaient pour elle,
Lenfer nétait pas une promesse, mais des tresses pour tes cheveux,
Il y avait des histoires que tu me racontais et qui me blessaient,
Jai regardé le ciel, jai demandé pardon au hasard,
Espérant que le hasard me réponde au hasard de linstant,
Mais personne ne ma jamais écouté quand je parlais damour
Jai jeté quelques notes sur une feuille imaginée,
Et cela ma fait encore pleurer quand tu tais mise à chanter.
Jai appris à taimer comme jaimais la vie,
Jai fait quelques souhaits en regardant un près,
Et le hasard ma enfin regardé, et je me suis envolé,
Jai appris que le ciel nétait finalement pas si haut
Laurent Mourot-Faraut
musique sylvestre paris
Category
🎵
Musique