Sur la grève Bretonne
Et sur la grève Bretonne,
Je contemple l'horizon,
Pour admirer sa splendeur,
Au ton des rouges vermillon,
Quand se dérobe en douceur,
Le soleil qui m'étonne !
Je dois l'attendre dès l'aube,
Lui confier tout mon amour,
Lui, mon compagnon de mes nuits,
La lune s'efface à mes jours,
Lui confier mon âme dès l'aube,
Et à toi, le soleil qui luit !
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
BARRES DE SEPARATION
Et sur la grève Bretonne,
Je te rends un doux baiser,
Et cela parfois t'étonne
Quand je dessine d'un trait,
La forme d'un cœur tatoué,
A nos initiales gravées.
Et sur la grève Bretonne,
Je range mes souvenirs,
Et cela aussi t'étonne,
Entr' nos plaisirs et nos rires,
La mélodie de mon chant,
Cette berceuse t'accompagnant !
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
BARRES DE SEPARATION
Et sur la grève Bretonne,
Je scrute toujours l'horizon,
Et mon silence qui t'étonne,
De l'amour pour nos saisons,
Et la brise qui nous sourit,
Quand près de toi, d'une envie !
Je semble si adolescente,
Et de ta lumière si tentante,
J'ose te dire mon amour,
Toi, dans la lumière du jour,
Tu irradies en silence,
De toute ton élégance.
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
Je t'aime ô mon amour,
Je t'aimerai chaque jour.
© Patrice Merelle 18-10-2013
Et sur la grève Bretonne,
Je contemple l'horizon,
Pour admirer sa splendeur,
Au ton des rouges vermillon,
Quand se dérobe en douceur,
Le soleil qui m'étonne !
Je dois l'attendre dès l'aube,
Lui confier tout mon amour,
Lui, mon compagnon de mes nuits,
La lune s'efface à mes jours,
Lui confier mon âme dès l'aube,
Et à toi, le soleil qui luit !
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
BARRES DE SEPARATION
Et sur la grève Bretonne,
Je te rends un doux baiser,
Et cela parfois t'étonne
Quand je dessine d'un trait,
La forme d'un cœur tatoué,
A nos initiales gravées.
Et sur la grève Bretonne,
Je range mes souvenirs,
Et cela aussi t'étonne,
Entr' nos plaisirs et nos rires,
La mélodie de mon chant,
Cette berceuse t'accompagnant !
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
BARRES DE SEPARATION
Et sur la grève Bretonne,
Je scrute toujours l'horizon,
Et mon silence qui t'étonne,
De l'amour pour nos saisons,
Et la brise qui nous sourit,
Quand près de toi, d'une envie !
Je semble si adolescente,
Et de ta lumière si tentante,
J'ose te dire mon amour,
Toi, dans la lumière du jour,
Tu irradies en silence,
De toute ton élégance.
BARRES DE SEPARATION
Face au vent, sur les falaises,
Je t'attendrai ô mon amour,
J'imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D'un oui si tu acceptais !
Je t'aime ô mon amour,
Je t'aimerai chaque jour.
© Patrice Merelle 18-10-2013
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Musique