• il y a 8 ans
A l’océan
Des nuages, n’épousent-ils pas du rêve,
Quand l’écume, par les vents, se lève,
Et l’algue vainqueur part à la conquête
D’une plage tranquille, à la grève défaite.
D’une étoile que l’on contemple dans le sextant,
Comme une étoile filante sur Broadway,
D’une étoile a jeté un sort sur l’océan,
Comme une épave qui dérive, abandonnée.
Je t’attends sur l’océan de mes désirs, une île,
Et mon esprit à ton regard captif se voile,
Je suis l’âme vagabonde et tranquille,
Qui se dévoile pour le cœur d’une étoile.
Tu es là, engendrée de la nuit, mon aurore,
C’est peut être les lois d’attractions de l’amour,
Quand tu sors du néant, et que tu fasses éclore,
Un chant ! Ce chant merveilleux dans nos jours.
Embruns sur les grèves, chocs des titans,
Aux courroux des vagues majestueuses
Sur mon récif, sur mon corps, ah l’océan !
Oh, viens ! Emmène-moi, ô bienheureuse.
© Patrice Merelle 01-03-2014
SACEM : 3422984511
Texte Patrice Merelle
Musique : Sylvestre Paris
Peintures numériques : Hubert-Tadéo Félizé
Chant, montage clip : Patriciaigre

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Musique