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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 30/04/2025.

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Sport
Transcription
00:00Pour ce zapping, on va revenir maintenant sur l'événement foot de la semaine, de la soirée en tout cas d'hier.
00:06C'est le Paris Saint-Germain qui s'est imposé à l'émir Aïs Raphaël.
00:09Sur le score d'un but à zéro, ils ont marqué très rapidement les Parisiens dans cette rencontre dès la quatrième minute de jeu.
00:16Avec ce déboulé côté gauche de Gvisha Varadzrelia qui centre pour Ousmane Dembele qui n'avait plus marqué depuis cinq matchs.
00:23Toute compétition confondue, il retrouve le chemin défilé au meilleur des moments.
00:27Ousmane Dembele, un autre joueur qui a marqué les esprits dans ce match, c'est Jean-Louis Di Donnarumma.
00:32Cette parade, regardez, face à Martinelli juste avant la pause pour empêcher l'égalisation.
00:38Il va l'empêcher une nouvelle fois à la 56ème minute de jeu face à Trossard, l'international belge.
00:43Paris s'impose 1-0 sur la pelouse des Gunners.
00:47On va écouter Louis Cédric qui lui reste prudent avant le match retour.
00:52Il me semble que l'objectif principal de ce match-là est atteint.
00:56Je répète qu'on aurait pu faire match nul et cela n'aurait pas été grave.
01:01On aurait aussi pu gagner 2-0.
01:04Le résultat est ce qu'il est.
01:06Maintenant, l'objectif est évidemment de gagner le prochain match contre Arsenal.
01:09Il ne faut absolument pas spéculer parce qu'un but peut arriver sur une action normale.
01:14Et en une seconde, on serait à égalité dans cette double confrontation.
01:18Pour l'instant, ni le match retour, ni la qualification ne sont jouées.
01:23On doit gagner ce match à domicile parce qu'Arsenal peut marquer.
01:26Ils n'ont rien à perdre.
01:27Ils partent éliminés.
01:28Voilà pour Louis-Henriquet.
01:31Alors nous, on vous pose la question.
01:32Évidemment qu'on est un petit peu plus enthousiaste dans la question.
01:34On comprend son calme.
01:36Est-ce que le PSG a un pied en finale ?
01:37Ça ne veut pas dire qu'ils sont qualifiés.
01:39C'est juste ce que ça veut dire.
01:40Un pied en finale, oui, non.
01:41Oui pour Alicia.
01:42Non pour Loïc.
01:43Oui pour Johan.
01:44Trois orteils pour Swan.
01:46Oui, pas plus.
01:47On est dedans, Jérôme.
01:49Et oui pour Raphaël.
01:50On est bien d'accord, Johan.
01:51Vous avez commenté ce match, évidemment, avec votre passion.
01:55Avec Julien Allian, hier, pendant la grande soirée.
01:57Ils ont fait, franchement, 20, 25, 30 premières minutes.
02:02Je n'ai pas d'autres mots qu'extraordinaire.
02:03Franchement, il faut le dire.
02:04En demi-finale, la Coupe d'Europe à l'extérieur, c'est extraordinaire.
02:07Greg, il ne faut vraiment pas sous-estimer ce qu'on a vécu hier.
02:09On est en demi-finale, allée de Ligue des Champions.
02:11On est en Angleterre, à Arsenal, où c'est si compliqué de gagner.
02:14Ça fait des bruits.
02:14On s'est qualifié à Anfield.
02:16On a résisté à Villapark hier.
02:18Encore troisième déplacement en Première Ligue en Angleterre.
02:20Et encore, on est formidable.
02:22Et surtout, on n'a pas reconnu Arsenal.
02:23Mais pourquoi on n'a pas reconnu Arsenal ?
02:25Parce que le Paris Saint-Germain, c'est une équipe où chacun se sacrifie pour les autres.
02:29Où il y a un esprit de corps.
02:29Les réactions comme Arquinhos, dans les 10 premières minutes de jeu, à un moment donné,
02:32il fait un tac.
02:33Il met en cordère.
02:33Il va vers le public.
02:35Il va vers les fans qui sont là.
02:36Les joueurs qui se congratulent entre eux.
02:37Quand on donne à Romain, il fait des arrêts.
02:38Tous les coéquipiers vont vers lui.
02:40Il y a le langage des corps, le langage des âmes, le langage des mots.
02:43C'est une équipe qui s'aime.
02:45C'est impossible de ne pas aimer cette équipe.
02:47C'est ça qui est fou.
02:47On peut parler évidemment du Paris Saint-Germain, Qatar, on aime ou on n'aime pas.
02:50Mais cette équipe, ces joueurs, ces hommes sur le terrain, ce sont des frères d'âme,
02:53ce sont des frères d'armes.
02:54Quand tu vois un Varadzkelias sur le côté, qui passe son temps à faire des replis défensifs
02:58extraordinaires, à jouer en position d'arrière latérale, à aider ses copains.
03:02Il a fait combien de kilomètres hier ?
03:03C'est absolument incroyable.
03:04Quand tu vois ce petit milieu de terrain, ce petit milieu de terrain incroyable,
03:07Joao Neves-Zitinha.
03:08On va voir le conseil de classe après.
03:11Parlez-moi plutôt de la projection.
03:13Parce qu'en fait, je me dis, ils se sentent en confiance.
03:15Il n'y a pas de plafond de verre pour ce Paris Saint-Germain.
03:17Depuis ce jour, encore une fois, contre Manchester City, où on est en énorme difficulté,
03:20on est mené 2-0, et qu'en quelques minutes, on marque 4 buts.
03:23Et depuis ce jour-là, cette équipe...
03:24Mais ils disons sur tous les clubs français.
03:26Non, mais il y a un truc, c'est-à-dire que c'est magnifique à voir, c'est magnifique
03:29à regarder.
03:30J'imagine l'ambiance au Parc des Princes, où ce club résiste à tout depuis plusieurs
03:33semaines, et nous fait rêver.
03:35Mais hier, vous avez raison, mais ce Paris Saint-Germain, on a vécu des émotions
03:37incroyables, les occasions de doué, l'occasion de doué, c'était fantastique.
03:45Chipoté pour 5 minutes, mais c'est incroyablement costaud, parce que c'est...
03:48Johan l'a dit, donc on ne revient pas dessus, ils ont étouffé Arsenal, et d'ailleurs
03:51la presse anglaise, et on le verra tout à l'heure, a été ébahie par ça.
03:54Mais finalement, il y a les deux arrêts de Donnarumma, on a vu le résumé de Raphaël.
03:58Il fait les deux arrêts qui doivent être faits en demi-finale Ligue des Champions,
04:01parce que vous ne jouez quand même pas contre n'importe qui, ça fait partie des
04:034 meilleures équipes de la saison.
04:05Moi, je n'ai pas trouvé qu'ils étaient sous pression, comme à Villaparque ou à Liverpool.
04:07C'était un peu en contrôle, tout en étant en défense, vous voyez ce que je veux dire ?
04:11Oui, c'est très difficile ces moments-là, parce que vous savez que, déjà, il y avait
04:15une bataille de possession au début du match, qui a été remportée brillamment par
04:19Luis Enrique, et là-dessus, on a vu que le PSG était extrêmement à l'aise, dans
04:21un pressing très haut, et moi, ce qui me fait dire finalement qu'ils ont 3 orteils
04:25ou un demi-pied en finale, c'est plus justement l'impression qu'ils ont laissé face à une
04:30équipe qui, je trouve, malgré l'intensité globale du match, qui peut donner l'impression
04:35d'un match extrêmement équilibré, d'un match où Arsenal a lutté à armes égales
04:38avec le PSG, au final, je trouve que Paris a fait un match,
04:41extrêmement mature, extrêmement malin, et au bout du compte, si on enlève les parades
04:46de Donnarumma, la fin de match, il y a plus de regrets à ne pas avoir marqué le but
04:50du break, qui, moi, vient me faire dire que ce n'est pas fini, parce que 1-0, un seul
04:56but d'écart, face à une équipe, on a vu qu'Arsenal vivait et mourait par ses phases
04:59arrêtées, on a vu qu'avec le hors-jeu de Mérino, avec 2-3 phases, que ça pouvait être
05:04dangereux, on sait que c'est un point faible du PSG, et ça, pour le coup, vous n'allez
05:06pas y remédier à l'entraînement d'une semaine.
05:08Je crois qu'ils ne vont même pas chercher et remédier, il l'a dit, j'ai vitignal,
05:11je n'ai pas des joueurs de 1m95, soit faible, admettons.
05:14Ça restera un moment de frissons pour les supporters du PSG sur le match retour, ces
05:18phases-là, ces corners, ces moments-là.
05:19Alors, tout le monde nous dit, avec le retour de Parthès, ça va changer, il va jouer
05:22au milieu de terrain, Rice jouera un petit peu plus haut, peut-être que ce sera Mérino à
05:24la pointe de l'attaque.
05:25Moi, j'avais persuadé que le PSG est capable de faire un grand match retour au Parc des
05:28Princes, simplement, le résultat du match allé, et la force d'Arsenal, on sait que les
05:33phases arrêtées, Yohann parlait de demi-finale de Ligue des Champions, ces matchs-là, ils
05:35peuvent se jouer là-dessus.
05:36On sait que, potentiellement, à 1-0, Arsenal va être capable de marquer un but là-dessus
05:40et ça peut rendre le match plus difficile, ça peut vous faire mal mentalement.
05:43Mais par contre, ce qu'ils ont fait sur ce match-là, ils ont allé le pied gauche,
05:46parce que c'est mon préféré, moi, en finale, parce qu'ils ont montré qu'ils étaient
05:50potentiellement supérieurs à cet adversaire-là.
05:51Même statistiquement, finalement, ils ont un peu plus qu'un pied gauche ou un pied droit
05:55en finale de Ligue des Champions.
05:57Il faudrait se méfier des stats avec le PSG, quand même.
05:5885% des équipes, on se concentre uniquement sur les demi-finales allées de Ligue des
06:03Champions.
06:0385% des équipes qui ont gagné à l'extérieur en demi-finale de Ligue des Champions sont
06:07qualifiées pour la finale.
06:08Donc, c'est que deux cas sur 13 où la tendance s'est inversée.
06:12C'était le Panathinaïcos et l'Ajax qui avaient gagné leur match allé 1-0 et qui,
06:16eh bien, s'étaient fûs remontés.
06:18Mais à ce stade de la compétition, c'est très rare de voir une équipe ayant gagné
06:21le match allé extérieur s'incliner ensuite.
06:23Yohann disait avec beaucoup d'émotion, Jérôme, voilà, que ce PSG-là, il l'aimait,
06:26enfin, cette équipe-là, on ne parlait pas forcément du club, il parlait de cette
06:28équipe-là, de ces joueurs-là.
06:30Je crois que c'est ce qu'on avait déjà évoqué, c'est nouveau pour beaucoup de
06:33supporters d'ailleurs, parce que c'est vrai que c'est compliqué de ne pas aimer un
06:35gamin comme Neves, en fait, vous voyez ce que je veux dire, je vois ce que vous voulez
06:38dire, mais ces démons-là, c'est aussi ces stats-là, les démons.
06:42Raphaël, il joue le petit démon sur votre épaule.
06:44C'est ces matchs que le PSG ne doit pas perdre, bien sûr, Barcelone ou d'autres,
06:47Manchester, tout ce que vous voulez.
06:49Mais ils les chassent tour après tour, ces démons.
06:51Avis de la part qu'ils les ont chassés.
06:56Apparemment, ils ne semblent plus là.
06:58Vous avez raison, moi, j'ai juste mis pas plus qu'un pied en finale, parce qu'effectivement,
07:02il me manque ce but du break.
07:03Bien sûr.
07:04Parce que...
07:05Oui, mais est-ce que vous croyez aux démons ? Pas avec cette équipe-là ?
07:07Non, non, non, non, mais Marquinhos ne deviendra pas Rudiger en l'espace d'une
07:11semaine, et puis, encore heureux.
07:13Oui, mais je parle dans l'entrée.
07:15Ce qui est plutôt une bonne nouvelle.
07:16Oui, mais enfin, je parle, vous voyez ce que je veux dire.
07:18Oui, on a compris.
07:20Mais voilà, tous les doutes, effectivement, qu'on pouvait avoir depuis des semaines,
07:24des mois, moi, je me demandais juste si, par rapport
07:26au mois d'octobre, Paris avait progressé, c'est sûr.
07:29Arsenal va finir Dauphin de Liverpool sur aussi.
07:32Toujours aussi fort.
07:33Mais est-ce qu'ils sont plus forts qu'eux ? Je ne savais pas, moi.
07:35J'ai pu...
07:36Mais la réponse, elle est...
07:37Alors, il se passera ce qui se passera.
07:38Mais aujourd'hui, Paris est meilleur qu'Arsenal.
07:40Hier, c'est...
07:41C'est à peu près unanime.
07:43En fait, c'est un match que, si vous aimez le PSG ou si vous aimez le foot,
07:47que je vous invite à revoir.
07:48Mais oui, exactement.
07:48Parce que quand vous avez...
07:49Moi, je l'ai vu hier, comme tout le monde, dans les conditions de direct,
07:51vous avez une vision du match.
07:52Alors, vous nous raconterez quand vous êtes au stade,
07:54parce que c'est encore différent.
07:55C'est pour ça que je vous ai gardé pour la fin.
07:57Mais à revoir.
07:58Mais bien sûr.
07:58Quand vous savez ce qui va se passer,
08:00vous revoyez la maîtrise, finalement, tactique d'Enrique.
08:03C'est assez intéressant.
08:03Comment on dit ligne par ligne ?
08:04J'aime bien voir...
08:05Mais moi, je prends du gardien à devant.
08:08Je préfère tous les joueurs du PSG.
08:09Mais m'envoie en match.
08:11Alors, Partey n'était pas là.
08:12C'est vrai.
08:12Et c'est vrai que ça compte,
08:13parce que ça a déplacé beaucoup de joueurs
08:15et que Partey en lui-même est un joueur exceptionnel.
08:18Mais, encore une fois,
08:19hier, je ne change pas un joueur d'Arsenal
08:22contre un joueur du PSG.
08:24Pas un.
08:24Et à commencer, évidemment, par Donnarumma,
08:26même si Rayet est un très bon gardien.
08:27Alors, moi, j'aimerais bien avoir votre avis
08:29depuis le stade, Loïc Tanzy.
08:30Parce qu'évidemment,
08:31quand on regarde un match derrière sa télé,
08:32on ne voit pas l'intégralité.
08:34On est sur l'action, par un plan large.
08:37Quand on le commande, comme Johan,
08:38on est pris par l'émotion, bien sûr.
08:40Quand on le regarde derrière,
08:41on sait qu'on va travailler,
08:42on essaie de faire au mieux.
08:43Au stade, c'était comment ?
08:44Nous, on a été très surpris
08:45par le manque d'intensité d'Arsenal.
08:49Il n'y a pas eu le même résultat ?
08:51Moi, j'ai trouvé qu'il y avait
08:52l'intensité devant Manu, au stade.
08:53Non, on a trouvé qu'Arsenal, pour le coup,
08:55mettait pas autant d'intensité qu'Aston Villa,
08:57pas autant d'intensité qu'Iverpool dans le jeu,
09:00prenait trop de temps à relancer,
09:02se laisser prendre du temps
09:03par le pressing parisien
09:04en prenant trop de temps,
09:05en faisant une ou deux touches supplémentaires,
09:06ce qui permettait aux joueurs parisiens
09:08de venir coller très vite.
09:10Et je pense qu'un Arsenal
09:12qui change un tout petit peu ça
09:13au niveau de l'intensité,
09:14c'est très dur de le faire au Parc des Princes.
09:16Parce qu'autant le pressing du PSG
09:19c'est impressionnel le pressing au Parc des Princes.
09:21Parce que là, ce qu'ils ont fait
09:21pour l'instant, ils ne peuvent pas le tenir
09:22pendant une heure et demie.
09:23Mais au Parc des Princes,
09:24on a le sentiment qu'ils ont des réserves.
09:26Ça va être encore plus dur.
09:27Mais ce qui me fait dire que ce n'est pas fini
09:29et que le PSG n'a même pas un pied en finale,
09:32c'est que justement, les démons,
09:33ils sont encore là.
09:34Et Aston Villa, ça l'a prouvé.
09:35Parce qu'il y a 2-0.
09:36Je trouve que c'est l'inverse.
09:37Ah non.
09:38Parce qu'à 3-2, ils auraient explosé.
09:39On a chassé les démons à Villapark.
09:41Parce qu'à Villapark,
09:42Paris était sous l'eau.
09:44Et tu ne prends pas le troisième but
09:45en quelques minutes.
09:47Si tu n'as pas les démons,
09:48A2-1, tu continues,
09:50tu es tranquille, il n'y a pas de problème.
09:50Oui, mais tu as tenu par rapport à tant de...
09:52Moi, je trouve, par rapport à...
09:52Les 20 dernières minutes à Villapark
09:54sont salaires.
09:54Et tu tiens,
09:55tu ne trouves pas de choses
09:56sur la vie extraordinaire.
09:56Tu as 20 minutes.
09:57Les 20 dernières minutes,
09:59vous avez raison,
10:00Jérôme le dit,
10:00les deux peuvent se défendre.
10:01Mais ça explose pendant 20 minutes.
10:03Mais ils arrivent à garder
10:05une quête froide à 3-2.
10:06Les autres en fassent aussi, parfois.
10:11Il y a des matchs
10:17où les autres vont être très bons
10:19par période.
10:20Je suis désolé.
10:21Peut-être que Paris a mis les ingrédients
10:23pour que Villa revienne dans le match.
10:25Je veux bien l'entendre.
10:26Mais Villa était très bon
10:27pendant une demi-heure.
10:28On peut aussi parfois l'admettre.
10:29Jérôme, quand Marquinhos
10:31fait son aile de pigeon
10:32dans la surface de réparation,
10:33c'est un démon.
10:33Il ne le fait pas
10:34si jamais il est en bonne sécurité.
10:35Mais est-ce que vous ne pensez pas
10:36que c'est lié en se disant
10:38qu'on est à 2-0 ?
10:39Qu'est-ce qui peut nous arriver ?
10:40Il y a 5 ans,
10:40quand vous regardez la tête,
10:41est-ce que vous n'avez pas la tête ?
10:42Il a marqué 5-1.
10:43Ce n'est pas à 2-0,
10:44c'est à 2-1 le problème.
10:45C'est à 2-1 où, mentalement,
10:47ils se disent
10:47que ce n'est pas possible.
10:48Quand Greg dit des démons
10:49que tu le chasses cette saison
10:50par un, je suis désolé,
10:51quand tu as neuf occasions
10:53contre Liverpool
10:53que tu perds un zéro,
10:55franchement,
10:55je vais vous dire la vérité.
10:56Même moi,
10:56je n'y croyais pas des masses.
10:57Je me disais,
10:58ça y est.
11:00On avait tellement été
11:00meilleurs qu'eux
11:01que je me disais,
11:02oui, sur le football pur,
11:03on est meilleurs qu'eux.
11:04Mais je me dis,
11:04ça y est, ça recommence.
11:05Un match,
11:06tu l'as gagné 4-0,
11:06tu perds un zéro.
11:07Qu'est-ce que tu vas faire là-bas ?
11:08Eh ben non.
11:09Là-bas,
11:09tu retournes
11:10et tu redondes une leçon.
11:11Oui, bien sûr.
11:11Mais Jérôme,
11:12et en plus,
11:12je trouve que par rapport
11:13à la saison dernière...
11:13Mentalement,
11:14alors oui,
11:15il n'y a pas 25 minutes,
11:16mais mentalement,
11:17globalement,
11:17tu as des gros problèmes.
11:18Johan en 20 ans.
11:19Et par rapport
11:19à la saison dernière,
11:20la demi-finale contre Dortmund,
11:21où franchement,
11:22oui, il y avait 53 000 tirs,
11:23il y avait des poteaux et tout.
11:24Et je trouve que
11:24l'humeur est totalement différente.
11:26Il y a un autre mood,
11:27il y a une autre manière
11:28de voir les choses.
11:28Je trouve que là,
11:29il y a beaucoup plus de confiance
11:30que par rapport à la saison dernière.
11:31Parce que je trouvais que même
11:32avant le match retour
11:33contre Dortmund,
11:33on disait,
11:33oui,
11:34ils vont empiler les buts.
11:34Non,
11:35je trouve que là,
11:36il y a une autre manière
11:37de...
11:37C'est beaucoup plus positif.
11:38Voilà.
11:39Il y a plus de foot.
11:39Et ça joue ensemble.
11:40Il y a plus de foot
11:41et il y avait plus de dinguerie
11:43dans les tribunes.
11:44Il s'est passé
11:45de très très belles choses
11:46dans les tribunes.
11:47C'est une des belles images
11:48de la soirée.
11:49C'est Javier Pastore
11:50au milieu des supporters parisiens
11:52pendant le match.
11:53L'ancien meneur de jeu argentin
11:55au cœur du parkage
11:56visiteur de l'Emirates.
11:58Il a exulté
11:59sur le but d'Ousmane Demelé.
12:01Il a eu droit
12:01à une énorme ovation.
12:02Tu confirmes, Loïc,
12:03à la fin du match,
12:04toute la tribune
12:05scandait son nom.
12:06Lui qui a été
12:07la première recrue phare
12:08de l'ère Qatari.
12:09Cette saison
12:10sous le maillot parisien.
12:11Un joueur toujours aussi
12:12adoré, apprécié
12:13des supporters parisiens.
12:14Il a confié
12:15qu'il aurait aimé jouer
12:16au sein de cette équipe
12:17façonnée par Luis Enrique.
12:19C'est ce qu'il a confié
12:20chez nos confrères.
12:20Dans cette équipe-là,
12:20lui, j'aurais voulu le voir.
12:22C'est une équipe
12:23très costaude
12:25qui joue très compacte.
12:26Tout le monde joue bien
12:27au ballon.
12:28Ça, j'aime beaucoup.
12:28J'ai toujours aimé
12:29être entourée de personnes
12:30qui jouent bien au ballon
12:31parce qu'elles pensent
12:32aux actions auxquelles
12:33tu penses aussi.
12:34Tout est plus facile.
12:35C'est une équipe exceptionnelle.
12:37Je prends beaucoup de plaisir
12:38à aller voir jouer
12:39Pastore, qui a aussi salué
12:40la prestation exceptionnelle
12:41de Donnarumma.
12:42Il a déclaré
12:43et ça rejoint
12:44notre thème du jour
12:44avec un gardien comme ça
12:46on n'est plus qu'à un pas
12:47de la finale.
12:48Il y avait aussi
12:49du beau monde.
12:50Il y avait à la roche aussi
12:51dans le parquage visiteur
12:53d'autres VIP.
12:55Claude Makelele,
12:55Thomas Tuchol,
12:56sélectionneur de l'Angleterre,
12:57Arsène Wenger,
12:58Basile Bolli,
12:59l'humoriste Malik Bentala
13:00qui suit tous les matchs
13:02du Paris Saint-Germain
13:02ou encore
13:03Vincent Labrune
13:04celui qui est considéré
13:06comme le porte-bonheur
13:07de Nasser El-Khalaifi.
13:08Il est considéré
13:09comme le porte-bonheur
13:09de Nasser El-Khalaifi.
13:11Vous le considérez-vous
13:11comme le porte-bonheur ?
13:12Non, non, c'est ce qu'il se dit.
13:13C'est eux ?
13:14Je ne sais pas si ce n'est pas
13:15un chourir ironique quand même.
13:16C'est Antoine Pino qui dit.
13:17C'est Antoine Pino.
13:18C'est Antoine Pino
13:19qui doit vouloir dire ça
13:20à mon avis.
13:21Et encore,
13:21on va rester sur le porte-bonheur.
13:23Le pourquoi du soir
13:24tout à l'heure.
13:25Adrien Corot,
13:26pourquoi le monde entier
13:27voit Paris champion ?
13:28Regardez Régalat
13:28de ce qui vous attend.
13:39Et ils sont tous
13:40dangereux avec l'espace derrière.
13:42C'est la raison
13:43pour laquelle je ne pense
13:44qu'ils auront une chance
13:44dans le second.
13:45À suivre.
13:47Quand on vous dit
13:48que le monde s'est extasié,
13:49vous allez voir.
13:49On aime bien aller se balader
13:50pour vous montrer
13:51que tout ça n'est pas
13:52que franco-français,
13:53même si on sait
13:53que la finale n'est pas là encore.
13:55Le conseil de classe
13:56d'Embélé,
13:56Gvara,
13:57Vitigna,
13:57Donnarumma,
13:57Doué,
13:58on veut en parler,
13:59on va en parler.
14:00Vous restez bien avec nous
14:01dans le déjeuner.

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