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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 14/04/2025.

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Sport
Transcription
00:00Nous sommes de retour sur le plateau de l'équipe de Greg avec le pourquoi qui va arriver sur Ryan Cherki.
00:05Très en forme, encore décisif hier.
00:08Ryan Cherki et Ryan Cheri.
00:10Cherki, c'est un lapsus qui prouve que c'est notre chouchou du moment, qui n'a pas encore choisi sa sélection.
00:15Ça pourrait être la France, soit l'Algérie.
00:17Mais Georges Quirino Chavez va nous dire pourquoi ce soir il veut que ce soit en bleu.
00:21Il a progressé, décisif, fort dans le repli défensif.
00:24On va écouter notamment Régis Dupont qui suit l'OL pour le journal.
00:27Il a beaucoup travaillé là-dessus, finalement sur l'efficacité, sur quand choisir ses moments,
00:33puisque c'est tout le problème dans le football aujourd'hui.
00:35C'est choisir le moment quand on dribble, quand on ne dribble pas, quand on garde le ballon,
00:38quand on le donne, quand on bouge, quand on ne bouge pas.
00:41Tout ça, ça a été fait pendant des mois sous Pierre Sage.
00:44Et ça a continué à être fait avec Paulo Fonseca qui lui demande des choses un peu différentes.
00:48Sans doute encore plus que Pierre Sage de rester parfois loin de l'action pour mieux intervenir un peu plus tard.
00:54Allez, merci beaucoup Régis et Georges.
00:57On vous retrouve pour le pourquoi un petit peu plus tard.
00:59Dans l'émission, on prend la direction de Birmingham.
01:01On nous attend Giovanni Castelli qui était en conférence de presse tout à l'heure avec Ousmane Dembele et Louis-Henriquet.
01:06Bonsoir, Gio.
01:07Toujours dans la salle de presse de Villaparque.
01:11Visiblement, il est sorti du porte-avions également.
01:14A Pekka Weissman, c'est un bel hommage à Valkilmer en tout cas.
01:19Gio, si on devient sérieux quelques secondes, comment vous les avez trouvés en conférence de presse, la star et l'entraîneur du PSG ?
01:28Déjà très en retard, Greg, donc c'est un petit peu agaçant, mais ça c'est pas grave.
01:32Et pour le reste, Ousmane Dembele très détendu.
01:35Il a confié qu'il était un petit peu ennuyé à ne pas jouer ce week-end face à Nantes.
01:39C'est qu'il avait hâte de disputer la rencontre de demain.
01:42Il nous a parlé de son nouveau positionnement, qu'il rendait plus efficace, qu'il était très heureux d'avoir ce rôle-là aussi de leader.
01:48Et pour ce qui est de Louis-Henriquet, pareil, de bonne humeur, décontracté, mais également concentré sur la rencontre de demain.
01:54On sent qu'il redoute cette équipe de Villam et il a confiance dans ses joueurs.
01:58Il a confiance dans le processus qu'il met en place depuis le début de la saison.
02:01Il en a parlé d'ailleurs de ce processus.
02:03Il n'a pas douté, même quand ça n'allait pas en début de saison.
02:05On l'écoute au micro de Jérémy Jalingro.
02:06Je crois que depuis le début, dans le football et en particulier en Champions League,
02:15c'est très difficile de comparer puisque tous les groupes ont été différents les uns des autres
02:19et personne, à aucun moment, n'a eu les mêmes adversaires.
02:22Donc c'était difficile, ces groupes différents.
02:25Nous, on a été les plus malchanceux dans ce tirage-là.
02:28Mais je crois que les chiffres, les statistiques, les faits étaient tout de même positifs.
02:33Et moi, c'est ce que je me chargeais de transmettre à mes joueurs.
02:37Bien sûr qu'en termes de points et en termes de but marqué au départ, ça n'était pas positif.
02:41Mais il y avait autre chose qui se jouait.
02:42C'était le bagage, la construction.
02:45Et ça, c'était très intéressant.
02:46Et je pense que dès le début, nous pouvions être considérés parmi les meilleurs.
02:49Alors, il ne s'agit pas de moi ou de ma façon de penser, mais il s'agit de voir les chiffres,
02:54c'est-à-dire à la fois la possession, les occasions que nous avons créées,
02:58les occasions créées par l'adversaire.
03:00Et toutes ces statistiques-là étaient très bonnes, même si la qualification ne le reflétait pas.
03:05Donc, quand on est revenu à un état de normalité, quand on a récupéré l'efficacité,
03:09là, on a été l'une des meilleures équipes.
03:11Et l'objectif à présent, c'est de continuer de s'améliorer pour arriver au plus haut.
03:16Alors, soit, évidemment, on provoque quand on ne met aucun doute pour la qualif,
03:18même si on met un point d'interrogation, parce qu'on en a vécu des choses,
03:21et avec le PSG en plus.
03:24C'est juste qu'il y a ce processus mis en place, comme il le dit Lou Cédric.
03:28Et c'est vrai que ça ressemble un peu à ça, cette espèce de structure mentale et technique.
03:32Oui, rebonjour, Greg.
03:33Rebonjour, ça.
03:34Merci de m'avoir laissé récupérer.
03:36Vous nous demandiez pour le doute.
03:37Je pense que le PSG les lève semaine après semaine.
03:40Et je crois que par rapport à ce que disait Karine,
03:42notamment sur la qualité de l'adversaire,
03:44Ouna Emmery, il va certainement préparer ce match différemment.
03:47Mais on a vu quand même la galaxie d'écart qu'il y avait entre les deux clubs.
03:50Donc, pour moi, il n'y a pas de doute par rapport à ça.
03:53Et je n'ai vraiment pas de doute.
03:53Vous voulez dire qu'en plus de vouloir jouer bas avec un plan de jeu,
03:55où ils ont joué bas volontairement,
03:56ils ne pouvaient pas jouer plus haut ?
03:58Ils étaient pris.
03:59Déjà, je ne comprenais pas jouer aussi bas en ayant aligné les joueurs qu'il a alignés.
04:03Parce que pour moi, il y avait peut-être différents joueurs.
04:04Mais il sait mieux que moi.
04:05Mais en tout cas, c'est mon avis.
04:07Et oui, ils m'ont globalement déçu sur ce qu'ils étaient capables de proposer.
04:10Et je trouve que Paris a montré qu'ils étaient largement tués.
04:12Et alors là-bas, chez eux, ils peuvent changer leur maîtrice, les joueurs de Birmingham ?
04:16Non, on est obligés de...
04:17Je pense que les journalistes vont aussi, anglais, français,
04:20vont raconter une histoire par rapport au fait que
04:22vous ne pouvez pas rendre un quart de finale de retour de Ligue des Champions inintéressant.
04:25Vous ne pouvez pas ne pas le vendre.
04:27Par contre, moi, je respecte cette idée que les joueurs de Paris
04:29sont capables, sur la première demi-heure,
04:31de faire en sorte qu'il n'y ait plus d'histoire une heure après.
04:33Et je pense que dans leur storytelling à eux,
04:36au-delà de rester invincible en Ligue 1,
04:38être capable de rester cohérents, dominateurs,
04:40et de continuer, finalement, à travailler défensivement
04:44et face à une équipe qui va mettre plus d'intensité.
04:47C'est très important pour leur suite de saison en Ligue des Champions.
04:49On va écouter encore Louis-Henri Képia prend un papote dessus.
04:51Il dit qu'il faut que les joueurs soient prêts à souffrir à Villers-Marcs.
04:55Au fil de toutes les saisons,
05:02les scénarios changent autour de nous.
05:04On a pu aller du pessimisme maximum qu'on a vu ici au début de la saison 2024-2025
05:11jusqu'à un excès de motivation et de joie qu'on est en train de voir en ce moment.
05:16Je pense que la clé dans ces cas-là, c'est la maturité que l'on voit
05:19malgré la jeunesse de mon équipe.
05:21Cette capacité à oublier tout ce qui se passe autour
05:23et à rester absolument centré sur le jeu.
05:25Parce que rien n'est fait, ça n'est pas encore joué.
05:28Ça va être difficile et on s'attend demain à souffrir.
05:31Et donc, si on est prêt à souffrir, c'est qu'on est prêt à remplir l'objectif
05:34qui est la victoire.
05:37Pour Louis-Henri Képia, il parle de souffrir, prêt à souffrir.
05:40C'est vrai que c'est un quart de finale Ligue des Champions, carrément.
05:42On ne peut pas sous-estimer ça.
05:43Vous avez une grande confiance en ce PSG-là pour tenir le résultat ?
05:46Ou se qualifier et aller tenir le résultat ?
05:47Honnêtement, le but de Nuno Mendes à la dernière seconde du match
05:51change totalement la physionomie du match retour.
05:54Et j'aurais peut-être dit la même chose s'il y avait eu 2-1.
05:57Mais franchement, déjà le fait qu'il n'y ait plus de but à l'extérieur
06:00est vraiment intéressant pour le PSG.
06:03Parce qu'à 2-0...
06:04Il y a des buts extérieurs, mais ils ne comptent pas beaucoup de pieds.
06:05Ils ne comptent pas double.
06:06Et le but marqué par cette équipe de Villa, finalement,
06:11n'impacte pas le résultat du Paris Saint-Germain au match allé.
06:13Comme le disait Swan, c'est vrai que cette équipe a dégagé tellement d'assurance
06:16depuis ce match de Liverpool au match allé, malgré la défaite,
06:21qu'aujourd'hui, elle est considérée comme un ogre.
06:22Après, c'est peut-être une lapinissade, mais c'est vrai que le PSG est son propre ennemi
06:27jusqu'à la fin de la saison, dans toutes les compétitions.
06:30En finale de Coupe de France, en Ligue des Champions également,
06:33que ce soit contre le Real ou Arsenal en demi-finale.
06:35Ou, à mon avis, le PSG sera, s'il se qualifie demain, favori aussi de la demi-finale.
06:40Le propre adversaire du PSG, c'est lui-même.
06:43Et c'est pour ça, je pense, que Luce Enrique prépare dans son storytelling,
06:46dans sa manière de raconter le match la veille de la rencontre,
06:49dire « Oui, on est prêt à souffrir parce qu'il prépare ses joueurs à ça. »
06:53En disant « Voilà, sur le 15 minutes, il va y avoir une grosse pression à Prédurie de Villa,
06:56à nous de répondre dans les duels et de les gagner. »
07:00Si le PSG les perd, ces premiers duels-là, lors des 15 premières minutes,
07:03et qu'il y a une incidence sur le score, là, ça peut avoir une autre histoire.
07:07Mais honnêtement, moi, je ne vois pas du tout Villa se qualifier demain.
07:10Karim parle du fait d'avoir deux buts d'avance après le match allé.
07:14Vous en avez l'habitude, notre partenaire Opta nous donne les statistiques
07:17en Ligue des Champions et en Coupe d'Europe en général.
07:19Et regardez, quand les équipes gagnent de deux buts,
07:21au moins, c'est 88% de chances de passer après le match retour.
07:26Et même quand c'est deux buts seulement et que ce n'est pas trois, quatre ou cinq,
07:28ça baisse à peine, c'est 86%.
07:30Attention quand même parce que le PSG a déjà été éliminé trois fois
07:33après avoir gagné le match allé de deux buts d'écart.
07:36Donc, ils l'ont déjà fait. On se souvient notamment du PSG.
07:38Ce n'est pas la même équipe, pas les mêmes joueurs, mais vous avez raison de le rappeler.
07:41Chelsea, 3-1, etc. et Dembaba, tout ça ensemble.
07:43Le Paris Saint-Germain favori demain.
07:45Surtout qu'Aston Villa ne s'est pas totalement rassuré
07:47lors de son match face à Southampton ce week-end,
07:49même s'ils ont gagné 3-0.
07:51Il y a eu deux échecs de Marco Asensio sur pénalty.
07:54C'est quand même à noter.
07:55Des villains qui ont été longtemps indécis
07:56avant que ça ne se décante en deuxième période.
07:59Et pour l'anecdote, il y a eu des buts de Watkins, Malen et Maguyn.
08:02Tous les trois entrés en cours de match,
08:04c'est la première fois que c'est arrivé dans l'histoire de la Première Ligue
08:06que trois joueurs d'une même équipe
08:07est marqués en sortie de banc.
08:09Donc, ça, pour le coup, ça montre la profondeur de banc des Anglais.
08:12Les hommes d'Unai Emery
08:14marchent bien à domicile.
08:15Ça aussi, il faut l'avoir en tête, le coach espagnol
08:17qui croit en l'exploit, en s'appuyant
08:19notamment sur la ferveur de Villaparc.
08:21Demain, on va faire de notre mieux
08:25avec notre expérience, notre idée, nos qualités.
08:29Il faut y croire tout en respectant le PSG
08:31mais aussi exploiter Villaparc
08:34qu'on ressente que c'est notre maison,
08:36que c'est une forteresse.
08:38D'ailleurs, Ousmane Dembélé,
08:39on a parlé aussi de cette ambiance à Villaparc.
08:42On sait que ça va être une très grosse ambiance,
08:45un peu comme Liverpool et Newcastle,
08:47comme vous le dites.
08:48Mais on a tous nos supporters
08:50qui vont venir aussi, je crois,
08:51deux ou trois mille supporters parisiens
08:53qui vont nous encourager.
08:55Et puis, on va faire abstraction
08:58de toute cette ambiance
08:59et rester vraiment focus sur le match.
09:03Les Parisiens qui pourront aussi compter
09:05sur leurs supporters,
09:06ils seront 2200 à faire le déplacement,
09:08dont 900 ultras.
09:10Karine, je vous connais,
09:11je vous vois faire des...
09:13L'ambiance de Villaparc,
09:14elle ne vous impressionne pas plus que ça.
09:16Non mais qu'elle m'impressionne,
09:17moi, ce n'est pas grave,
09:17mais je pense que les joueurs du PSG
09:19vont survivre à ça.
09:20Non mais c'est une belle ambiance
09:21mais je trouve qu'en fait,
09:22à chaque fois, on en fait des caisses.
09:25Par exemple, on nous avait annoncé,
09:27et c'est vrai que parfois,
09:28il y a des soirs incroyables à handfield,
09:31mais il faut que le scénario soit beau aussi
09:32pour qu'il y ait une soirée
09:34absolument incandescente.
09:35Et là, on a l'impression
09:36qu'en fait, c'est Villaparc
09:37qui a raison de cette rencontre.
09:40Non, ce n'est pas le factor X
09:41de la rencontre.
09:42La rencontre, elle est à la main
09:43des Parisiens,
09:44s'ils sont sérieux,
09:45s'ils proposent exactement
09:46ce qu'ils ont proposé
09:47depuis plusieurs mois,
09:48ce qu'ils ont proposé au match allé.
09:49Et la réalité, c'est qu'il y a quand même
09:50un gouffre entre le niveau du PSG
09:53et le niveau d'Aston Villa
09:54sur le match allé.
09:55Je veux dire, il y a eu deux buts d'écart,
09:56mais la réalité,
09:57elle était encore plus importante.
09:59Et ce que nous a proposé
10:01Louis-Henriquet,
10:02ça aurait été pas mal
10:03s'il n'y avait eu qu'un but d'écart,
10:04mais c'était quand même
10:04extrêmement minimaliste.
10:06Et ce n'était pas une équipe
10:08qui était extrêmement sereine
10:10et qui pensait avoir une chance
10:11face au PSG.
10:12Je ne crois pas que demain,
10:13parce que tu es à Villapark,
10:15les joueurs qui sont moyens plus
10:17d'Aston Villa
10:18vont devenir des foudres de guerre
10:19et que tous les joueurs du PSG
10:20qui jouent bien collectivement
10:21vont se déliter.
10:23Ce n'est pas le Real Madrid en face.
10:24Le Real de cette année, peut-être.
10:25Non, mais sauf que dans l'histoire
10:26du Real Madrid,
10:27tu sais très bien
10:28que s'il y a bien un club
10:29qui peut te mettre un rat
10:29dans la tête,
10:30c'est eux.
10:30Bon, ben là, Aston Villa,
10:32bravo à eux.
10:33Mais honnêtement,
10:35je trouve qu'il n'y a pas photo.
10:36Benoît, je vais vous faire parler
10:37après la pause,
10:38mais j'ai besoin d'un gros plan
10:39sur Benoît Trémoulinas.
10:40Benoît Trémoulinas,
10:41est-ce qu'il y a un doute
10:43sur la qualif du Paris Saint-Germain ?
10:44Regardez votre caméra.
10:46Aucun doute.
10:47Allez, dans quelques secondes,
10:48le aucun doute de Benoît Trémoulinas,
10:49je ne peux pas mieux vous vendre.
10:50Je ne peux pas faire plus,
10:51Benoît, pour vous.
10:51L'entraînement du PSG en direct.
10:53Le petit filet d'Antoine Pilon
10:54qui viendra fêter son anniversaire
10:55avec nous.
10:56Et le premier jeu de l'émission,
10:58le jeu de 10.
10:58A tout de suite.

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