F1 2005_Manche 12_Grosser Mobil 1 Preis von Deutschland_F1 à la Une (en français - TF1 - France) [RaceFan96]
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00:00Le meilleur et le pire chez McLaren, Raikkonen en pole position, Montoya, sorti de la piste en calife, partira le dernier sur la grille.
00:13Renault, McLaren, duel pilote à Londres au Raikkonen et duel constructeur.
00:17Pour l'instant, avantage Renault, mais rien n'est joué, analyse des forces en présence.
00:22Michael Schumacher, un mythe, ici en Allemagne, des milliers de fans campent depuis plus d'une semaine pour ne rien manquer du spectacle.
00:29Galerie de portraits souvent haut en couleur, dans F1 à la U.
00:40Bonjour à tous, soyez les bienvenus à Okaname et vous le constatez sans doute, il commence à pleuvoir.
00:45Les conditions météo se sont dégradées très vite puisqu'il faisait un très très joli soleil en début de matinée.
00:51Et c'est vrai qu'on peut penser qu'il va pleuvoir lors de ce Grand Prix pour la première fois de la saison.
00:56Mais pour l'instant, il n'y a aucune consigne qui a été donnée.
01:00Donc pour l'instant, on ne part pas avec les pneus pluies, mais on vous en dira un petit peu plus dans F1 à la une.
01:06Si bien entendu, cette stratégie devait changer.
01:08Ce qui est sûr, c'est que les écuries ont rentré les pneus pluies qui étaient à l'extérieur de leur garage
01:12pour pouvoir changer éventuellement les pneumatiques très rapidement avant de rejoindre la grille de départ.
01:17On est ici, bien entendu, dans le fief de Michael Schumacher.
01:20Tout est consacré au pilote allemand.
01:23Et c'est vrai que c'est une petite surprise de retrouver le pilote allemand en outsider aujourd'hui.
01:28C'est la première fois depuis 1999, vous avez bien entendu, depuis 1999,
01:32que le pilote allemand n'arrive pas sur cette aire en étant leader du championnat du monde.
01:38Les favoris aujourd'hui, ce sont les McLaren et les Renault.
01:41McLaren qui rit avec Raikkonen qui partira en pôle.
01:44Et qui pleure après la sortie de piste en qualification de Juan Pablo Montoya.
01:48Je vous propose tout de suite de revivre les meilleurs moments de la séance de qualification d'hier après-midi avec Jean-Louis Moncet.
01:58Tout le monde en parle et ne parle que de cela depuis Silverstone.
02:02Dans la course au titre mondial des pilotes comme des constructeurs,
02:06chaque point aura son importance et chaque équipe devra donc compter sur ses deux voitures.
02:11Les qualifications du Grand Prix d'Allemagne ont été en ce sens tout à fait significatives
02:14de ce qu'il faut faire et de ce qu'il ne faut pas faire.
02:172005, c'est l'année de Renault et de McLaren-Mercedes et ça tombe bien.
02:21Fisikela, Raikkonen, Alonso et Montoya seront les quatre derniers à s'élancer à la conquête de la pole position.
02:27Fisikela tout d'abord, un temps moyen.
02:30Aurait pu faire mieux, semble dire Flavio Briatore, le patron des bleus.
02:33Derrière Fisikela, voici Raikkonen, c'est l'homme le plus rapide de l'instant présent.
02:38Et malgré cette petite faute qu'il corrige.
02:40Magistralement, il bat Fisikela de plus d'une demi-seconde, c'est la pole position, voilà pour la performance.
02:47Mais il reste la course au titre mondial et là, le leader du classement c'est lui, Alonso.
02:52Troisième temps seulement, pas de quoi pavoiser certes, mais les deux Renault sont installés aux avant-postes de la grille,
02:58qui, ici à Hockenheim, c'est pratique pour la stratégie d'équipe.
03:02McLaren n'a pas dit son dernier mot, dans le jeu de Rondonis, il reste Montoya.
03:06Montoya qui a toutes les cartes en main, puisqu'il est le dernier à démarrer.
03:10Et il attaque le Colombien pour se montrer l'égal de Raikkonen, sans doute pour faire mieux, mais il en fait trop.
03:17Et le voilà condamné, à la dernière ligne de la grille, adieu la stratégie idéale pour Rondonis, tout est à repenser.
03:24Au plus haut de la grille, la McLaren Mercedes de Raikkonen sera seule contre les Renault, et pas seulement telle.
03:30Il y a la Baronda de Button, qui devrait un jour concrétiser ses performances par un grand résultat.
03:36Et il y a la Ferrari de Schumacher, revenue dans le groupe de tête, et on ne s'en plaindra pas.
03:40Car au total, c'est une grille de départ qui promet beaucoup.
03:43Voilà, vous constatez que les techniciens pneumatiques chez Michelin, mais également chez Bridgestone,
03:52sont en train de s'entretenir avec les patrons d'écurie, pour savoir quelle est la stratégie à adopter, pneu pluie ou pneu sec.
03:59On en saura un petit peu plus, en tout cas, pour l'instant, la pluie est très très faible,
04:04ici sur le circuit de Conaille, mais ça peut évoluer très vite,
04:07alors que nous apercevons également Rubens Barrichello, qui partira loin sur la grille.
04:11Il a manqué ses qualifications, il partira en 15ème position.
04:14Nous sommes dans le garage McLaren, juste devant la monoplace de Kimi Raikkonen,
04:19qui partira tout à l'heure en pole position, vous le constatez.
04:21Pour l'instant, le pilote finlandais est encore dans son motorhome,
04:24en train de se relaxer, en train de se concentrer.
04:26Je voudrais que l'on revienne sur le tour idéal, tout simplement,
04:29parce qu'il ne faut pas chercher ailleurs que chez McLaren,
04:32pour trouver les pilotes les plus rapides.
04:34Trois tronçons, comme d'habitude, le premier partiel,
04:36avec le meilleur chrono, signé par Juan Pablo Montoya,
04:39avant, bien entendu, sa malheureuse sortie de piste,
04:41et les deux autres, signés par Kimi Raikkonen.
04:44Tout de suite, nous allons retrouver nos commentateurs.
04:46Jacques Laffitte, Christophe Malbranck, bonjour.
04:48Bonjour Denis.
04:48Bonjour Denis.
04:49Alors c'est vrai, les McLaren sont les plus rapides,
04:51et ce n'est pas la première fois de la saison.
04:53Le problème, c'est qu'il y a toujours un petit grain de sable,
04:55un erreur humaine ou fiabilité,
04:57qui vient gripper ce système très, très performant.
05:01Absolument, Denis Joker, interdit.
05:02Maintenant, tous ont été épuisés sur le début de la saison.
05:05On va suivre, justement, ce tour idéal,
05:07pour, justement, vérifier le potentiel de la McLaren MP80,
05:11qui est terrible, déjà, dans le premier virage, c'est déjà fabuleux.
05:13Oui, formidable, c'est un virage à 230 km heure, très, très important.
05:16Il va commander cette petite ligne droite,
05:18et aussi, il y a un énorme freinage ici.
05:19Ça, c'est le premier partiel, c'est Montoya qui a été le plus rapide.
05:22Absolument, 16, 340, c'est le chrono du Colombien.
05:25Dans ce premier secteur, et c'est vrai qu'un petit grain de sable,
05:28depuis le début de la saison, est venu un peu perturber
05:30la marche en avant des McLaren, au profit de Renault.
05:33Ils ne s'en plaindront pas.
05:34323 km heure, ici, en pointe.
05:36Dans le deuxième secteur, c'est ce virage qui est important.
05:38Oui, absolument, un énorme freinage ici, 330 km heure.
05:41On freine à 130 mètres, c'est très important.
05:44Il faut bien freiner.
05:45Toutes les erreurs dans ce secteur ont été faites là.
05:47Absolument, 34 secondes, 974.
05:50C'est le temps de Raikkonen dans ce deuxième partiel.
05:53Et ça avait donné un petit peu l'eau à la bouche à Montoya,
05:55qui était pratiquement l'égal de son coéquipé dans ce premier secteur.
05:57Du coup, il en a remis un coup, comme on dit dans le jargon.
06:00Et malheureusement pour lui, il est sorti dans le dernier partiel.
06:02Dernier partiel important, c'est le Stadium ici.
06:04Oui, bien sûr, c'est un des passages les plus importants du circuit.
06:07Le plus lent aussi, on a beaucoup d'appui.
06:09Il faut aller très vite.
06:10Raikkonen, penser, pouvoir Montoya, penser pouvoir battre Raikkonen dans ce secteur-là,
06:14dans le 16e, 17e virage.
06:16Il est parti à la faute parce qu'ils ont des virages très très importants pour faire un temps ici.
06:20Et on avait eu une petite correction de Raikkonen pour finalement signer la pole position.
06:23Le tour idéal, Denis, c'est 1 minute 14 secondes, 311 millièmes.
06:27Mais évidemment, une énorme domination de McLaren-Mercédès.
06:31McLaren-Mercédès, Renault, la bataille est lancée pour la fin de saison.
06:35Le sprint final en quelque sorte.
06:37Et vous le disiez tout à l'heure, la fiabilité pour Renault, les meilleures performances,
06:42la voiture la plus rapide aujourd'hui pour McLaren.
06:45Donc on va assister à quelque chose de particulièrement indécis,
06:48même si Renault a l'avantage.
06:4926 points d'avance pour Alonso devant Raikkonen
06:51et 15 points d'avance pour Renault par rapport à McLaren,
06:55sont dauphins au classement des constructeurs.
06:57Mais ce qui est sûr, c'est que l'on va assister à une bagarre très très haletante
07:01entre ces deux écuries.
07:03Et du côté de McLaren, après la bourde de Montoya,
07:06nous n'avons plus le droit à l'erreur.
07:08C'est ce qu'a dit Rondonis, McLaren-Renault,
07:11étude des forces et des faiblesses de ces deux écuries avec Christophe Malbranck.
07:17Un championnat se joue souvent sur les occasions manquées.
07:19Si le dernier tour du Grand Prix d'Europe en est le meilleur exemple,
07:27un constat s'impose, McLaren a grillé tous ses jokers.
07:31A la fiabilité encore imparfaite des flèches d'argent,
07:33que ce soit la transmission, l'hydraulique ou le moteur,
07:36s'ajoutent les erreurs humaines.
07:38Montoya absent de Grand Prix en raison d'une blessure.
07:41Puis une disqualification au Canada à la suite d'un cafouillage de l'équipe.
07:44Et en point d'orgue, la faute du Colombien en qualification hier.
07:47Ça ne change pas d'un autre à l'objectif de l'équipe, la victoire.
07:52Il est ici pour gagner et signer la pôle.
07:54On le soutient dans ce but, pas dans celui de finir deuxième.
07:57J'ai fait une erreur, je la paie.
07:58Je présente mes excuses à toute l'équipe qui a travaillé si dur.
08:01J'ai un poutou gâché.
08:04Il faut le prendre pour ce que c'est, une erreur.
08:08Inutile d'être agressif avec Juan Pablo.
08:10Il s'en veut déjà suffisamment.
08:11Non franchement, je ne vois pas l'intérêt de lui mettre une pression supplémentaire.
08:17Je peux sauver quelques points, mais ça ne m'intéresse pas.
08:19Je veux gagner.
08:21Pendant ce temps, chez Renault, Alonso en grange.
08:23L'R25 est fiable et polyvalente.
08:25L'Espagnol en profite.
08:268 podiums en 11 cours, 5 victoires.
08:28Sa seule erreur, une touchette au Canada.
08:30Avec 26 points de marge au classement pilote et 15 chez les constructeurs,
08:34l'objectif est de gérer cette avance.
08:35McClaren est derrière.
08:37C'est McClaren qui doit prendre des risques, pas nous.
08:40Nous, on doit penser le championnat, chercher d'arriver sur le podium avec des voitures.
08:45On s'occupe surtout de nous.
08:47Même si on se bat contre les McLaren, et croyez-moi, on acceptera toute l'aide de leur part.
08:54Avoir Montoya derrière, c'est vraiment...
08:56On était beaucoup plus relaxés maintenant.
08:59A qui perd gagne, Raikkonen a très souvent perdu.
09:02Surtout à Hockenheim, où il n'a jamais vu le drapeau Adami.
09:07C'est vrai, je n'ai jamais fini ici, sauf dans le mur.
09:12Je ne sais pas ce qui est arrivé à Montoya.
09:14Pas de chance pour lui, mais ça arrive parfois.
09:16Ça arrive parfois.
09:46Devant ses fans, et comme d'habitude, nous allons retrouver Jean-Todd pour sa chronique de F1 La Une.
09:52Et aujourd'hui, Jean-Todd s'est intéressé aux pilotes qui l'ont marqué depuis le début de la saison.
09:56Écoutez-le, il est interrogé par Noël Karl.
10:03Aujourd'hui, on voit en pole position Raikkonen.
10:07On voit en deuxième ligne Alonso, qui est un solid leader au champion du monde des pilotes.
10:13qui n'a pratiquement fait aucune erreur depuis le début de la saison.
10:19C'est, je le répète, impressionnant de voir la maturité, l'expérience, le professionnalisme de ces jeunes garçons.
10:26On n'a pas parlé de Montoya, mais Montoya, en dehors d'aujourd'hui, il a fait une erreur.
10:31Parce qu'il a attaqué sûrement un peu trop, mais enfin, il a fait une course superbe la semaine dernière, il y a 15 jours.
10:37Le physique qu'elle a, il est à 23 millièmes d'Alonso.
10:42Donc, pourquoi ? C'est parce que les voitures sont les meilleures.
10:45C'est assez intéressant de voir ce qui se passe aujourd'hui dans les courses aux Etats-Unis,
10:53mais sans aller aux Etats-Unis, de voir ce qui se passe en GP2,
10:57où il y a trois fils d'anciens champions du monde.
11:01Principalement, je vois Nicolas Rosberg, qui fait un très bon travail et qui a 19 ans.
11:08Voilà, on peut faire confiance en tout cas à Michael Schumacher pour briller ici, à Hockenheim,
11:14où il s'était imposé l'année dernière.
11:17On parlait de Nicolas Rosberg en GP2, il s'est imposé hier,
11:20et on voulait tirer un grand coup de chapeau à Olivier Pla, le pilote français également en GP2,
11:24puisque c'est lui qui s'est imposé ce matin, ici, dans la deuxième course GP2 du week-end.
11:30Et c'est une confirmation, puisqu'il avait gagné pour la première fois de sa carrière dans cette antichambre de la Formule 1,
11:35il n'y a qu'un jour à Silverstone, donc bravo à Olivier Pla et aux Français qui brillent dans cette catégorie,
11:41et c'est peut-être parmi ces pilotes, et notamment peut-être Olivier Pla,
11:45que l'on retrouvera peut-être demain les pilotes français en Formule 1.
11:49C'est tout ce que l'on souhaite, Renaud, c'est bien, mais il nous faut des pilotes français en Formule 1.
11:55Alors, je vous le disais, Hockenheim, c'est vraiment la patrie de Michael Schumacher.
11:59Imaginez le circuit avec tout autour des campings improvisés, des centaines de tentes,
12:04des centaines de camping-cars, et vous allez le voir, des spectateurs hauts en couleur,
12:10alors que là, c'est l'idole de tout un peuple d'un pays que vous voyez sortir, Michael Schumacher.
12:16Les supporters sont en rouge, et ils sont souvent arrivés au début de la semaine
12:20pour avoir les meilleurs emplacements dans ces campings sauvages.
12:23Et vous le savez, on ne résiste pas à la tentation dans F1 Laune de vous montrer tout ce qui se passe
12:27sur la piste, mais également aux abords du circuit.
12:30Et aujourd'hui, dans la Gazette, c'est Caroline Henry qui est allée avec son caméraman Pascal Schipper-Marcelin,
12:40promenée caméra et micro dans ses campings improvisés.
12:43Regardez, c'est assez amusant.
12:47Bienvenue à Hockenheim, la planque des fans les plus déjantés.
12:50Le plus soft, le voici Rainer. Il est là depuis 11 ans. Imperturbable.
12:54Ce n'est pas la meilleure année pour Schumi, mais ce n'est pas une raison pour être absent.
12:59Bien au contraire.
13:03Ici, tout est permis à une seule condition, être en rouge.
13:06Et quand le fan de Michael se lâche, c'est nos limites.
13:10Et il n'y a pas d'âge.
13:15C'est le symbole, c'est la légende.
13:18Je le supporterai jusqu'à sa retraite, même si c'est le dernier de la course.
13:23Aïe, Michael est un peu ronchant aujourd'hui, mais qu'importe, elle sent les moyens de le séduire.
13:33Là, attention, âme sensible, s'abstenir. Nous entrons dans une quatrième dimension incontrôlable.
13:38C'est drôle d'être ici, c'est une grande fête et on cherche à être le plus fou possible.
13:43Ici, une seule devise, être le plus ridicule possible et à ce jeu-là, ils sont imbattables.
13:48Allez, voici notre top 3.
13:52La machine à faire du bruit de Formule 1.
13:55Bien sûr.
13:57Le Schumacher Boys Band en concert très privé.
14:05Ah, et puis voici notre vainqueur, sans commentaire.
14:08Enfin, dernière précision, si vous voulez faire partie du club, attention, l'apprentissage sonore commence très très tôt.
14:20On a entendu une véritable clameur ici à Hockenheim, des dizaines et des dizaines de milliers de supporters de Michael Schumacher.
14:26Lorsque celui-ci est arrivé sur la grille pour se placer en cinquième position, on ira le voir tout à l'heure et on sera vraisemblablement avec Willy Weber, son manager.
14:34Et c'est vrai, Catherine, que Michael Schumacher est ici, le roi, le roi à Hockenheim, mais un roi un petit peu déchu cette année.
14:43Car d'habitude, il arrive en leader et là, sa position, c'est celle d'un outsider.
14:47Effectivement, un peu un outsider, ça ne va pas être facile pour Michael Schumacher ici, devant tous ses fans.
14:54Il est derrière le McLaren de Kimi Räikkönen, le bar et les deux Renault.
15:00Il avait confié lui-même hier en conférence de presse que ça ne va pas être facile pour lui de monter sur le podium, mais il va faire son mieux devant ses fans.
15:09Et on peut lui faire confiance, surtout si la météo continue à se dégrader, car sous la pluie, il est l'un des plus adroits, l'un des plus rapides.
15:16Et ça pourrait jouer en sa faveur.
15:18On va se quitter un court instant, on se retrouve juste après la pub.
15:21Ici, juste à côté de la voiture de Yarno Trulli, qu'on aura la chance d'interroger comme à chaque fois.
15:27Yarno Trulli qui a un peu manqué, c'est vrai, sa séance de qualification, puisqu'il partira en neuvième position.
15:32Il est en cinquième ligne, le pilote italien, particulièrement francophile.
15:37La pub, et ensuite, et fin à la une, continue, à tout de suite.
15:42Je suis bien entendu Michael Schumacher tout au long de ses déplacements avant le départ du Grand Prix.
15:46On se retrouve ici en compagnie de Yarno Trulli.
15:48Je disais que vous vous avez déjà vu en meilleure position au départ.
15:52C'est votre plus mauvaise qualif avec celle du Canada.
15:55Qu'est-ce qui s'est passé, Yarno, hier ?
15:57J'avais un peu marre de partir devant et finir derrière dans la dernière course.
16:00Donc je préfère partir un peu plus derrière dans la grille et essayer de marquer des points aujourd'hui.
16:06On sait que notre voiture n'est pas trop vide.
16:09Dans la dernière course, on a perdu quand même pas mal par rapport à les autres équipes qui sont beaucoup progressées.
16:15Donc la chose qu'on peut essayer, c'est de marquer des points.
16:19Yarno Trulli, un petit mot sur la tactique au niveau des conditions météo.
16:22On a vu quelques gouttes de pluie. Pour l'instant, on part en pneu sec.
16:25Oui, normalement, ça doit être un Grand Prix sec.
16:29Donc on part d'Avenue Zlik.
16:31Un petit mot, c'est ici que vous aviez réalisé un joli podium en 2003.
16:34C'est un circuit qui vous convient ?
16:36Oui, c'est un circuit que j'aime beaucoup.
16:39C'est un circuit assez difficile technique.
16:42On a toujours vu des très belles courses.
16:45Merci beaucoup, Yarno Trulli.
16:47Et puis on espère un nouveau podium.
16:48Le dernier, c'était le 8 mai dernier à Barcelone.
16:51Ça fait un petit moment et on compte sur vous.
16:53Car vous savez que beaucoup de monde vous aime particulièrement en France.
16:57Merci, Yarno Trulli, qui partira en 5e ligne tout à l'heure, 9e chrono.
17:01Et c'est amusant d'entendre un pilote qui nous dit comme ça.
17:04J'en avais marre de partir devant.
17:05Je préfère partir un peu derrière, sans doute avec plus d'essence,
17:08pour remonter et éventuellement essayer d'accrocher un podium.
17:12Nous allons aller maintenant du côté de Takuma Sato,
17:14qui est juste devant en 4e ligne.
17:17Takuma Sato avec Catherine, qui est au côté du pilote japonais.
17:22Takuma, ça n'a pas été une saison très facile pour le BR,
17:28mais vous espérez pouvoir être capable de faire quelque chose d'un peu différent pour votre équipe ?
17:32Oui, c'est absolument vrai.
17:35Ça fait 8 courses que ça va un petit peu mieux.
17:38Je suis content de partir un petit peu mieux.
17:40Je suis un des plus rapides de la qualification d'hier.
17:43Je suis ravi de cela.
17:45C'était un petit peu inconsistant en termes de performance,
17:49mais j'espère qu'on sera bon cet après-midi.
17:51Vous êtes à l'aise dans la voiture ?
17:52Oui, parfaitement.
17:55On est concentré sur les stratégies pour la course avec de longs relais.
18:02Je pense que c'est bon d'être de retour dans le rythme,
18:06parce que c'était très, très bon depuis quelques semaines.
18:10Voilà, on souhaite bonne chance à Takuma Sato,
18:13qui a connu ses vrais des qualifications plus difficiles que son coéquipier de Johnson Button,
18:17que l'on retrouvera tout à l'heure en première ligne,
18:18puisqu'il a réussi le deuxième chrono juste derrière Kimi Raikkonen.
18:22Takuma Sato qui n'est pas rentré une seule fois cette saison dans les points
18:25et qui aimerait vraiment, j'ai envie de dire,
18:27commencer réellement sa saison aujourd'hui.
18:30Nick Hetfeld est en quatrième ligne également,
18:34juste devant Takuma Sato,
18:37avec des Williams qui ont connu des problèmes depuis leur pôle position,
18:42grâce à Nick Hetfeld du Nürburgring,
18:43mais on est en Allemagne,
18:44on peut penser que Nick Hetfeld va une nouvelle fois se transcender,
18:47Nick Hetfeld, aux côtés de Catherine.
18:50Nick, vous avez une voiture un peu différente ici pour Kahnheim,
18:55ça fait une grosse différence ?
18:57Oui, c'est sûr, ça va bien mieux.
19:01J'espère qu'on va avoir un bon premier tour,
19:04un bon départ et ensuite prendre de bons points.
19:07Est-ce que vous avez un peu de pression,
19:08parce que c'est votre bon prix à domicile ?
19:10Ce n'est pas vraiment de la pression,
19:12je sens beaucoup de soutien surtout.
19:15Merci à Nick Hetfeld,
19:16deux fois deuxième cette saison à Monaco
19:18et donc au Nürburgring.
19:21On peut peut-être expliquer ce retour en qualification
19:24à l'évolution de cette voiture,
19:26à l'évolution de la Williams BMW
19:30qui disputera ce Grand Prix également à domicile.
19:34L'évolution, c'est en 3D,
19:35avec les explications comme d'habitude
19:37de notre spécialiste Jean-Louis Mancet.
19:41Malgré de nombreux problèmes,
19:43la Williams continue d'évoluer,
19:44tant bien que mal.
19:46Avec ce radiateur d'une plus forte capacité,
19:48et cette nouvelle cheminée de refroidissement,
19:51le moteur BMW devrait éviter
19:53les surchauffes catastrophiques.
19:56La charge aérodynamique a été accrue,
19:59par tous les moyens.
20:00Ainsi, cette petite ailette a été remplacée
20:02par ce montage pyramidal,
20:04plus efficace qu'esthétique,
20:06et qui multiplie les points d'appui.
20:08A l'avant, à l'instant où Renault a supprimé les mini-réflecteurs,
20:15Williams les a fait apparaître pour régulariser le flux d'air vers l'arrière
20:19et apaiser les turbulences autour du capot du moteur et des pontons.
20:22Mais est-ce mieux pour autant ?
20:24On peut se le demander.
20:25Voilà, on continue à remonter cette grille,
20:30et on reste avec les Williams,
20:32puisqu'en troisième ligne,
20:34nous retrouvons Marc Weber,
20:35souvent mieux que Nick Edfeld en qualification,
20:37mais moins bien en course,
20:38puisque Marc Weber n'a qu'un podium à son actif troisième à Monaco,
20:41et Marc Weber, comme par enchantement,
20:43est aux côtés de Catherine.
20:44Marc, la nouvelle voiture va être un peu mieux.
20:50Oui, c'est un peu mieux ici,
20:52on verra comment va se passer le premier relais en termes de stratégie,
20:55mais c'est vrai qu'on peut un peu carvaler sa position en qualification.
20:57Je pense qu'on a fait un bon tour.
21:00J'espère que ce ne sera pas si dur qu'à Manicor,
21:02mais on revient,
21:05petit à petit, aux avant-postes,
21:06on est encore assez rapide.
21:08Qu'est-ce que vous espérez ?
21:10J'aimerais rentrer dans les six premiers.
21:13Merci.
21:14Voilà Marc Weber qui avait pris la sixième place l'année dernière
21:19et qui, il faut bien le reconnaître,
21:20est un petit peu déçu par cette saison.
21:23On grimpe d'un rang,
21:24on est en cinquième position
21:26aux côtés de la voiture de Michael Schumacher
21:28avec Willy Weber, son manager.
21:30Merci de nous répondre, Willy.
21:35Comment est Michael ici à Hockenheim ?
21:37On aurait préféré quelque chose d'un peu différent,
21:42on aurait préféré qu'il soit un peu mieux placé.
21:44On aurait préféré qu'il soit un peu mieux placé.
21:45Mais on a raté quelques possibilités,
21:52mais je pense qu'il sera bon en course.
21:53Nos pneumatiques fonctionnent bien en course.
22:00J'espère que tout ira bien.
22:03Vous espérez la pluie ici ?
22:08Oui.
22:10Mais pour l'instant, ça n'a pas l'air de fonctionner.
22:13J'espère qu'on aura évidemment beaucoup de pluie
22:17dans les 10-15 prochaines minutes.
22:19Willy, Michael, il n'est pas si puissant,
22:21mais les supporters, les fans sont ici.
22:23Les supporters sont des milliers ici à venir le soutenir.
22:27Oui, c'est vrai.
22:28C'est son grand prix à domicile
22:30et c'est fantastique ici d'être à Hockenheim.
22:34Il y a beaucoup de casquettes rouges autour de nous
22:36et les supporters sont vraiment très spectaculaires ici.
22:39Michael aime beaucoup.
22:41C'est toujours très spécial pour lui de rouler ici.
22:43Thank you very much.
22:44Merci beaucoup, Willy Weber.
22:45Nous étions donc avec le manager de cette équipe Ferrari.
22:50Et avant de rejoindre Catherine en compagnie de Flavio Briatore
22:53qui est juste à côté de Giancarlo Fisichella,
22:56avec vous, Jean-Louis Monset,
22:58j'aimerais savoir quel est aujourd'hui le sentiment de Michael Schumacher.
23:02Il revient à la maison, mais il n'est plus le super favori.
23:05Il a gagné l'année dernière, mais les choses ont changé.
23:08Dans quel état d'esprit est-il ?
23:10Eh bien, écoutez, il a tellement fait dans la course automobile,
23:13Michael Schumacher, que franchement, il revient ici en territoire conquis.
23:16Voyez qu'il n'a pas négligé ses supporters
23:18parce que je vais vous dire son secret.
23:20Il a pris des pneus ultra tendres,
23:22des pneus dont on n'est absolument pas sûr qu'il termine la course
23:24si le temps reste comme ça, si le temps reste un petit peu au chaud.
23:28Et en conséquence, seule la pluie pourra le sauver éventuellement.
23:32Merci beaucoup, Jean-Louis Monset.
23:34On vous retrouve tout à l'heure pour parler transfert.
23:36Mais on fera ça du côté de Janssen Button,
23:38alors que Catherine est du côté de l'équipe Renault.
23:42Et avec Giancarlo, physique est là.
23:44Giancarlo, vous êtes ici sur la deuxième ligne,
23:49au côté de vos occupiers.
23:50Vous allez essayer d'attaquer pour gagner des places.
23:54Attendons, c'est important de prendre un bon départ.
23:56Si c'est possible de doubler Button, ce serait vraiment génial.
24:01Je pense qu'on a une très bonne stratégie
24:03pour arriver au terme de la course sur le podium.
24:06Le temps a l'air d'être un petit peu imprévisible.
24:09Ça doit être un peu difficile.
24:11Vous savez, il y a beaucoup de nuages maintenant.
24:14Mais vous savez, j'ai gagné des courses
24:17avec des conditions très, très pluvieuses.
24:20Donc je me sens très confiant sur le mouillet.
24:22Je ne suis pas inquiet.
24:23Merci à Giancarlo.
24:24Les pilotes qui sont toujours très, très disponibles.
24:27Et nous allons rester chez Renault.
24:29On est en deuxième ligne.
24:29Les deux Renaults groupés.
24:31Giancarlo qui partira donc avec le quatrième temps
24:33et le troisième pour Fernando Alonso.
24:35Le patron de Renault Sport est avec nous.
24:37Patrick Fort, bonjour.
24:38Bonjour.
24:38Alors, c'est vrai que vous êtes groupé,
24:40mais vous n'êtes pas en première ligne.
24:41Vous avez laissé passer et une McLaren et une barre aujourd'hui.
24:45Oui, on savait que le circuit serait un peu plus difficile pour nous ici.
24:48C'est vraiment le circuit des McLaren.
24:51McLaren, bon, on a la chance que Montoya ait raté son tour d'essai.
24:56On n'en a qu'une déjà devant nous.
24:58Maintenant, la course va être longue,
24:59surtout avec les incertitudes climatiques.
25:01Rendez-vous à l'arrivée.
25:02Alors, pour les pilotes, ce sera difficile parce que Raikkonen est vraiment rapide aujourd'hui.
25:06En revanche, pour les constructeurs, c'est vrai qu'avec deux voitures,
25:08normalement, ça devrait plutôt bien se passer par rapport à McLaren,
25:12car, on le rappelle, Juan Pablo Montoya, non seulement il est sorti de la route,
25:15mais en plus, il a changé de moteur, ce qui fait qu'il partira en dernière position.
25:20Oui, c'est vrai.
25:21Et même si on a montré qu'on pouvait remonter de la dernière ligne au podium,
25:24ça ne se fait pas comme à tous les Grands Prix.
25:26Et puis nous, on a quand même une...
25:28En général, on est meilleur en course qu'aux essais, ces dernières courses.
25:31Donc, on va regarder tout ça avec beaucoup d'intérêt.
25:34Plus la pluie qui peut venir, ça nous promène une très belle course.
25:36Mais vous pensez être capable de concurrencer à la régulière
25:39les McLaren qui apparaissent plus rapides quand même que les Renault ?
25:43Oui, oui.
25:44Eh bien voilà, c'est de l'optimisme, ça, avec Patrick Fort,
25:47qui est juste devant la voiture de Fernando Alonso.
25:51Fernando Alonso, deuxième à Silverstone,
25:53qui avait gagné à Manicourt,
25:54qui est en tête du championnat du monde des pilotes.
25:58Et puis, vous le savez, il y a un passionné de Formule 1,
26:01un ancien grand tennisman qui est aux côtés de Catherine.
26:04C'est Boris Becker.
26:05Comme d'habitude, il est là, que ce soit au Norbergring ou à Hockenheim.
26:08Boris, vous êtes ici de nouveau sur la Formule 1.
26:11C'est la deuxième fois que je vous vois sur un Grand Prix.
26:12Quelle est votre passion ? D'où vient-elle pour ce sport ?
26:16Tous les hommes adorent les jouets.
26:19Et les jouets, ce sont en général des voitures.
26:21Moi, j'adore la vitesse, j'adore la compétitivité et j'adore le fait qu'il y ait un petit peu de danger ici.
26:26Est-ce qu'il y a un parallèle possible entre le tennis et la F1 ?
26:30Un petit peu.
26:31Je veux dire que notre sport est un petit peu plus facile,
26:35parce qu'on a beaucoup de choses là.
26:37Mais ici, c'est vraiment très compétitif et c'est plus une lutte homme contre homme.
26:45Vous supportez qui aujourd'hui ?
26:46Ah, je supporte Mercedes, Kimi Raikkonen, depuis très très longtemps.
26:52Ils sont partenaires depuis très longtemps et j'espère vraiment qu'ils vont terminer premier.
26:56Voilà Boris Becker qui est un fan à quel grand joueur de tennis qui n'a absolument pas bougé.
27:02Alors que nous allons rester du côté de chez Renault avant de nous intéresser à la première ligne.
27:06Regardez, la Renault, tout comme la Williams tout à l'heure, a évolué.
27:11L'évolution, les progrès de cette R25 en 3D avec, comme d'habitude, Jean-Louis Mancet.
27:17Dans la récente évolution du moteur Renault, c'est la prise d'air dynamique qui constitue le principal changement.
27:25Cette cloison de séparation en jaune permet de canaliser et surtout d'égaliser la pression de l'air entre les trompettes d'admission avant et arrière.
27:34Auparavant, à haute vitesse et sans cette cloison, la prise d'air distribuait un flux plus important à l'arrière qu'à l'avant.
27:42Cette différence nuisait à l'efficacité des trompettes d'admission et donc à la puissance du moteur.
27:49Dans le domaine aéros, il faut noter que ces deux déflecteurs ont disparu pour que l'arrière de la voiture retrouve un flux d'air maximum.
27:57Voilà, nous sommes maintenant en compagnie de Flavio Briattor.
28:06Flavio, deuxième ligne, j'ai envie de dire, les Renault sont en embuscade derrière Raikkonen et Button aujourd'hui à Hockenheim.
28:13Oui, je pense que c'est une position parfaite pour nous.
28:18Sûrement hier, la McLaren s'était plus vite que nous, on doit reconnaître ça.
28:24Et Raikkonen, il a fait mieux le travail que nous.
28:28Mais aujourd'hui, c'est la course.
28:30On a un temps qu'on ne sait pas vraiment comment on était.
28:35Et on fait le possible.
28:36De toute façon, nous, on doit vraiment penser à faire des points, arriver sur le podium.
28:41On a deux voitures qui peuvent être sur le podium.
28:44Hier, on était très vite.
28:45On doit être calme parce qu'il y a beaucoup de pression sur nous, mais on doit mettre la pression sur les autres.
28:51Et on n'oublie pas que vous avez deux voitures, alors que du côté de McLaren, il n'y en a qu'une seule.
28:55Juan Pablo Montoya partira en dernière position.
28:57Oui, ils partent aussi.
29:00Mais il y a deux teams.
29:02Il y a Renault et McLaren.
29:05Ça veut dire que Montoya, aussi, s'il part dans la grille, il peut arriver dans le point.
29:09Nous, on ne doit pas passer à Montoya.
29:11Nous, on doit penser d'être voisin à Raikkonen, le paracé.
29:17Et après, on regarde qui va terminer sur le podium.
29:19Assez simple quand vous expliquez la stratégie en Formule 1.
29:22Merci beaucoup, Flavio Briato.
29:23Et nous retrouvons Jean-Louis Moncet, car on a dépassé la mi-saison.
29:27Et on commence à parler de transfert de l'année prochaine.
29:30Et c'est peut-être avec celui qui partira en deuxième position, Jenson Button, que tout pourrait se décanter rapidement.
29:36Oui, c'est Jenson Button qui tenait la clé des transferts.
29:39À mon avis, il ne le tient plus.
29:40Il a demandé à Williams de le libérer de son contrat, car il est sous contrat avec Frank Williams.
29:44Il s'est vu opposer une fin de non-recevoir.
29:46Donc il ira soit chez Williams, soit il restera chez Barr.
29:49En tout cas, il n'ira pas chez Ferrari.
29:51Ce n'est pas le choix de Jean Todd.
29:52Et puis en plus, Barrichello, on peut se demander s'il a envie de partir de chez Ferrari.
29:56Vous savez, on lui a proposé ici 7 millions de dollars.
29:58Chez Ferrari, à mon avis, il doit gagner 10 millions de dollars.
30:00Vous pensez bien qu'il y a une vraie différence et qu'il y sera sensible.
30:03Merci beaucoup, Jean-Louis Monset.
30:06Alors on va se rapprocher de la voiture de Kimi Raikkonen, qui n'a jamais terminé ici à Hockenheim,
30:11qui aimerait se rapprocher de Fernando Alonso au classement des pilotes.
30:16Je rappelle qu'il y a 26 points d'écart entre les deux.
30:18Et c'est vrai, Catherine, qui nous a fait très très forte impression tout au long de ce week-end.
30:23Kimi Raikkonen, impériale en qualification.
30:26Oui, les McLaren toujours très rapides, mais les Renault qui sont très fiables.
30:30Donc, le véritable duel entre Kimi Raikkonen et Fernando Alonso, je pense.
30:35Kimi Raikkonen qui partira donc tout à l'heure en pole position.
30:39Tout à l'heure, c'est d'ici quelques instants, avec à ses côtés Jenson Button.
30:43Vous savez que les bars n'ont pas encore réalisé un seul podium,
30:46alors que Jenson Button était monté 10 fois sur le podium la saison dernière.
30:50Donc c'est vraiment une grosse déception pour l'instant.
30:52Et on peut faire confiance à Button si sa voiture est fiable.
30:55Il ne devrait pas être très très loin du podium à l'arrivée.
30:58Sachant également que Michael Schumacher est en embuscade.
31:02Michael Schumacher sur ses terres, avec quelques gouttes de pluie,
31:06motivé comme jamais, qui partira en 5e position.
31:08C'est vraiment l'outsider.
31:10Numéro 1, en tout cas, on va se régaler d'ici quelques instants.
31:13La course en direct et en intégralité.
31:15Vous allez retrouver nos 3 commentateurs.
31:17Christophe Malbranc, Jacques Laffitte, bien entendu, et Jean-Louis Moncet.
31:21Voilà, c'est la fin de F1 à la 1.
31:22On se retrouve pour un nouveau numéro de F1 à la 1 à Budapest, en Hongrie, la semaine prochaine.
31:28Salut à tous.
31:29Salut, à la semaine prochaine.