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Au bout des 2 kilomètres - et des poussières - de lacets, bordés de vertes herbes hautes, se découvre, comme par miracle, le sanctuaire de Notre-Dame du Laus. Noyé dans la nature, à ses pieds de pierres nues. Si loin si proche de l’agitation gapençaise, règne en ce lieu de pèlerinage un calme enveloppant. Comme une délicieuse quiétude oubliée. Qu’un car de paroissiens espagnols vient à peine troubler, ce mardi matin baigné de clarté et de rosée des prés.
Il faut encore marcher pour rejoindre la sainte basilique.Marcher, seul ou à plusieurs, porté par les gazouillis des oiseaux et les parfums de lilas, déjà en fleurs. Marcher, encore, jusqu’au site historique des apparitions mariales du Laus, à Benoîte Rencurel, de 1664 à sa mort en 1718. Marcher en silence ou le verbe bas. "Je viens du Mexique, murmure cette dame aux lunettes noires, dans un Molière digne de l’école des femmes. On avait prévu de venir ici sans savoir que le pape allait nous quitter…"

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Transcription
00:00Je pense que les fidèles ont été touchés parce qu'il y a une relation particulière pour un chrétien entre un baptisé et le pape qui veille sur l'église.
00:24Je pense qu'ils avaient surtout envie de le confier à la prière de la Vierge Marie.
00:30Merci d'avoir regardé cette vidéo !

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