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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de choc du 16/04/2025.

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Sport
Transcription
00:00Allez, on ouvre notre débat PSG.
00:02Les Parisiens se sont qualifiés hier pour les demi-finales de la Ligue des Champions.
00:06Malgré leur défaite, on voit les buts avec toi, Greg.
00:09Oui, parce que les Parisiens se sont passés par toutes les émotions à Villapar,
00:12qu'elles soient positives ou négatives.
00:13Ça a commencé très tôt dès l'envième minute de jeu.
00:15Barco la cherche d'Embélé, c'est repoussé.
00:17Hakimi ouvre le score, donc 1-0 pour les Parisiens.
00:19Sur une contre-attaque d'Embélé, décale Nounomédez.
00:21L'enroulé du gauche, c'est parfait.
00:22Paris mène 2-0, 5-1 en total des deux manches.
00:25Mais McGinn va décaler Tillmans pour la frappe.
00:27C'est dévié par Pacho, ça fait 2-1.
00:29McGinn, on retrouve la frappe superbe lointaine de partout.
00:32Et puis le festival de Marcus Rashford, ce qui élimine Ruiz et Vitinha.
00:35Le centre-retrait pour Conta, ça fait 3-2.
00:37Paris est au bord du chaos, dans la foulée,
00:39puisque la tête de Tillmans s'est bien sortie par Donnarumma.
00:42Défaite 3-2.
00:43Paris a tremblé, mais Paris qualifié pour les demi-finals de la Ligue des Champions.
00:46Alors, Paris bousculé, mais Paris qualifié.
00:48Est-ce la preuve que le PSG a changé, Pierre Bouby ?
00:51Moi, je pense qu'il y a beaucoup d'enseignements à tirer de ce match.
00:54Je crois que c'est un match, il fut quelques temps, il l'aurait perdu.
00:59L'ancien Paris, le vieux PSG avec ses démons.
01:02Je pense que ça aurait beaucoup lâché.
01:05Malgré le fait de s'être fait bouger dans le premier quart d'heure,
01:08ils ont réussi après à mettre un petit peu le pied sur le ballon,
01:10mais ils réussissent quand même à faire deux contres assassins qui sont conclus.
01:16Et puis après, sur la suite du match, ils ont fait le dos rond.
01:20Franchement, ils ont souffert, c'était très compliqué.
01:22Il y a peut-être un petit peu eu de laisser aller.
01:24Mais voilà, des fois, tu fais ce que tu peux parce que l'adversité,
01:28le match, le contexte, les adversaires qui sont en train de se sublimer,
01:31alors qu'Aston Villa, moi, je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait un supplément d'âme à ce point-là.
01:36Et malgré tout, le PSG a lâché dix minutes et a pris deux pions.
01:42Mais ce que j'ai envie de retenir, c'est que dans des grands matchs,
01:45quand le Real fait des matchs où il passe un peu par la petite porte,
01:48où il y a un courtois qui fait un match monumental, on se dit,
01:49putain, ils sont encore passés, j'ai l'impression que ce PSG-là,
01:52maintenant, est un petit peu capable de faire ce genre de choses.
01:55Ce n'est pas devenu le Real Madrid, mais ce que je veux dire,
01:56c'est que dans des moments très compliqués où ils n'arrivent pas à voir le jour,
01:59ils arrivent quand même à essayer de sortir une solidarité, des gestes défensifs.
02:04Je pense à Pacho, je pense à Donnarumma qui fait un match extraordinaire.
02:07Et pour le coup, si jamais ils font une campagne en Ligue des Champions,
02:10on pourra se rappeler de ce match-là en disant, s'ils en sont là,
02:13c'est grâce à Donnarumma aussi sur ce match-là.
02:15Donc, beaucoup d'enseignements à tirer,
02:17et j'aime beaucoup les attitudes qu'il y a eu à la fin du match
02:19en étant un peu dégoûté de perdre.
02:21Voilà, ça j'aime bien.
02:21Malgré la qualif.
02:22Exactement.
02:23Giovanni, t'étais dans le stade, est-ce qu'on s'est dit quand même
02:25à un moment au début de cette deuxième période,
02:27ça y est, ils sont en train de tout gâcher, les vieux démons reviennent ?
02:29Mais pour moi, ça commence bien avant en fait.
02:31C'est après le 2-0, après le but de Nuno Mendes,
02:33il y a des attitudes que j'ai trouvées moi pas du tout en adéquation avec ce PSG-là,
02:38parce que ce PSG-là n'a pas été parfait depuis le début de la saison.
02:42Ils ont eu un hiver compliqué,
02:43mais je trouve qu'ils n'étaient jamais pris à défaut
02:45dans l'engagement et dans l'état d'esprit.
02:47Et là, moi, j'ai vu des gestes qui m'ont déplu.
02:49Alors, ça serait injuste de le cibler lui,
02:50mais Vitinha qui fait des talonnades dans la surface de réparation,
02:54ça ne lui ressemble pas du tout.
02:55Franchement, il s'est noyé comme jamais.
02:57Le milieu de terrain portugais,
02:58il y a des comportements qui étaient vraiment suffisants, complaisants.
03:02Donc en fait, je ne rejoins pas du tout la théorie ou la thèse de Pierre Bouby.
03:06A la limite, à Anfield, là, j'ai vu un PSG qui avait changé
03:09parce qu'il y avait une pression de fou,
03:11ils devaient remonter le score,
03:12ils avaient le couteau entre les dents.
03:14Là, en fait, c'est Paris qui relance Aston Villa
03:16totalement dans la rencontre par suffisance.
03:19Et j'ai adoré...
03:20C'est de la suffisance pour toi, c'est un excès de confiance ?
03:23Totalement, et pour le coup,
03:24hormis Marquinhos qui a un peu fait l'autruche
03:27en disant je veux retenir le positif et tout ça,
03:30moi, j'ai adoré le discours et l'attitude d'Ousmane Dembele
03:32qui avait vraiment la haine après la rencontre,
03:35malgré la qualification,
03:37il était fou de rage parce qu'il sait très bien
03:38que si pendant un quart d'heure,
03:40tu n'as pas un niveau d'exigence à 200%,
03:43tu peux te faire sortir.
03:44Et on oublie que ce PSG,
03:46aussi talentueux soit-il,
03:48en fait, la base de sa force,
03:51ça repose sur le collectif
03:53et de faire tous les efforts ensemble.
03:54Si tu arrêtes de faire ça,
03:55tu peux te faire éteindre pendant un quart d'heure.
03:57Eric, on t'écoute dans quelques instants,
03:58mais juste on parlait d'Ousmane Dembele,
03:59la réaction justement, Greg, tu l'as.
04:01Giovanni, tu as commencé à l'évoquer,
04:03il s'est arrêté chez nos confrères de Canal+,
04:04juste après le coup de sifflet final.
04:06Regardez ce qu'il a déclaré,
04:06il faut être exigeant,
04:07surtout dans ces matchs,
04:07on s'est rendu la tâche difficile.
04:09En deuxième, on s'est relâché,
04:10on s'est vu trop beau.
04:11À 2-1, on a cru qu'on était déjà qualifié,
04:13que c'était fini,
04:13la Ligue des Champions est comme ça,
04:15il va falloir être plus exigeant
04:16pour les demi-finales.
04:17Ce match va nous servir pour la suite,
04:18il y a une sorte de prise de conscience.
04:20Eric, on perd,
04:21mais on sait là où on a fauté.
04:24Oui, il y a un vrai discours de leader,
04:27c'est vrai, pour Dembélé.
04:29Un peu moins dans le comportement,
04:31parce qu'il a quand même les actions
04:33pour te mettre à l'abri.
04:35Alors, il n'y a pas que lui,
04:36mais il a vraiment les actions
04:37pour te mettre à l'abri
04:38et il les rate.
04:40J'ai eu l'impression de retrouver
04:41un peu Dembélé dans le brouillard
04:43et qu'il perdait un peu ses moyens
04:45dans les choix devant le but.
04:47Tu l'expliques aussi,
04:48parce que moi,
04:49je n'ai jamais vu autant courir pour presser.
04:51C'est sûr.
04:52Le manque de visibilité qu'il avait
04:53à certains moments,
04:53c'est aussi...
04:56Tu pointes maintenant du doigt
04:57où on fait les difficultés
04:58qu'il avait avant,
04:59où il faisait énormément de courses
05:00pour dribbler 1, 2, 3 joueurs.
05:02Là, il en fait beaucoup moins.
05:02Il est souvent en jeu
05:03justement pour finales d'action.
05:04Mais là, ce qu'il a fait
05:05pour courir et pour presser,
05:07c'est normal que tu rates des choses.
05:08Surtout, il était tout seul
05:09parce que Louis-Sénriquet,
05:11pendant 60-70 minutes,
05:13il était fou de rage
05:14contre Gwara, Barcola,
05:16puis Désiré Doué.
05:17Parce que justement...
05:18Je dis là aussi, je pense.
05:19Non, mais sur les zones de presse
05:20où d'habitude,
05:21ils sont très très forts
05:22et il y a un super travail.
05:23collectif,
05:24là, Gwara et Barcola
05:25étaient constamment en retard
05:26et du coup,
05:27il y a eu une dépense d'énergie
05:28plus importante pour Dembélé.
05:30Gwara a raté son match.
05:32Tu parlais de Vitinha
05:33qui aussi...
05:34C'est la première fois
05:35que je le vois aussi suffisant
05:37dans le comportement.
05:39J'ai revu le match justement
05:40parce que je me dis
05:40bon, est-ce que c'est moi
05:41qui ai ciblé Vitinha et Gwara ?
05:45Et en fait, non, vraiment.
05:47Vitinha, il est sur 4-5 talonnades
05:50et une aile de pigeon.
05:51Dans un match
05:52où tu es en train
05:53de prendre le feu
05:54et tu te dis
05:54de la simplicité
05:56et derrière,
05:57tu le vois effacé
05:59complètement par Rashford
06:00sur une action
06:01où tu te dis
06:01attends, il se retourne le mec.
06:03On aurait dit
06:03un jeune de 14 ans.
06:06Donc, tu te dis franchement,
06:07il y a un abandon
06:08de ce côté-là
06:09dans l'esprit collectif
06:10du travail.
06:11Alors, ça a duré 15 minutes
06:12plus le but
06:14où il marque
06:15en première mi-temps.
06:16Mais ça a duré 15 minutes.
06:17Mais c'est un vrai naufrage
06:18et ça faisait longtemps
06:19qu'on ne les a pas eus
06:20comme ça.
06:21Eric, tu parles
06:22de ce moment
06:23de flottement du PSG
06:24où ils ont complètement
06:24perdu pied.
06:25Luis Enrique,
06:25en conférence de presse,
06:26en a justement parlé.
06:27Pour lui,
06:28à ce moment-là du match,
06:29le PSG n'était tout simplement
06:30pas à la hauteur de l'événement.
06:31Exactement.
06:32C'est un match
06:36qui a comblé les attentes
06:37que j'ai vraiment aimé
06:39dans l'ensemble.
06:39On a fait un début
06:40de match exceptionnel
06:41mais en fin de première période,
06:43il y a des attitudes,
06:44des actions
06:44qui ne m'ont pas plu
06:45et qui ne sont pas au niveau
06:46de l'exigence
06:47de la Ligue des Champions.
06:48Un but concédé
06:49sur une erreur
06:50un peu enfantine.
06:51En début de seconde période,
06:52on prend deux buts
06:53en trois minutes.
06:54Oui, à partir de là,
06:55ça a été très difficile.
06:56Beaucoup de souffrance.
06:58Ce match va nous faire grandir
06:59mais au vu de la seconde période,
07:00on aurait pu être éliminés.
07:02Partido y a l'aluminatoria.
07:03Quand on est supporter
07:04du PSG comme toi, Eric,
07:05alors dans ce moment
07:06de flottement,
07:07est-ce qu'on a peur
07:07comme avant
07:08ou est-ce qu'on est
07:09plus rassuré
07:10parce qu'on se dit
07:11ce PSG-là quand même,
07:12il a changé,
07:13preuve que le PSG a changé,
07:14c'est ce que disait Pierre
07:15au début du débat.
07:16J'avoue que j'ai été
07:17un peu replongé
07:18dans les souvenirs
07:19de ces naufrages
07:21où ils perdent
07:22un peu pied dans un match.
07:24Là, franchement,
07:24quand tu prends deux buts
07:25en cinq minutes comme ça,
07:26tu te dis
07:26qu'est-ce qui se passe ?
07:28Ce n'était pas du tout
07:28le cas sur cette équipe
07:30qui avait quand même
07:30l'habitude de soit
07:32réagir directement après,
07:33mais il y a quand même
07:35une réaction.
07:36C'est-à-dire que je trouve
07:37qu'ils reprennent
07:38le jeu un peu
07:39et aussi consistance défensive.
07:42Alors, il y a ces deux actions
07:43avec Asensio
07:45et je ne me rappelle plus
07:47la dernière,
07:48c'est sur la frappe de Paco
07:49qui sauve sur la ligne.
07:51Mais ces deux actions
07:51te donnent l'impression
07:52qu'ils ont sombré
07:53pendant toute la deuxième mi-temps,
07:55mais non.
07:56En dehors de ça,
07:56il y a quand même
07:57une reprise un peu
07:58dans le jeu
07:58et il y a surtout
07:59t'as cinq ou six
08:01face-à-face des Parisiens.
08:03Si tu ne marques pas
08:04ces face-à-face,
08:05forcément,
08:05tu gardes l'intensité
08:07et la fébrilité
08:08que tu ressens
08:09par rapport à une équipe
08:10de Villa
08:10qui revient dans le match.
08:12Il y a juste un truc,
08:13il y a une donnée
08:14qui était différente
08:15par rapport au début
08:16de saison des Parisiens,
08:17en tout cas des grandes perfs,
08:18c'est que quand ils font
08:19l'exploit face à City,
08:20ils sont à 0-2,
08:21ils sont au pied du mur
08:22donc ils n'ont plus
08:22à réfléchir,
08:23ils y vont.
08:24C'est pareil à Anfield
08:25où ils lâchent les chevaux
08:26et là,
08:26c'était la première fois
08:27entre guillemets
08:28qu'ils avaient un avantage
08:29de 5-1.
08:30Ils devaient gérer
08:30un petit peu le match
08:32et on s'est rendu compte
08:33et Louis Senriquet
08:34en a parlé en conférence de presse
08:35qui, en fait,
08:36ils ne savaient plus
08:37s'ils devaient continuer
08:38à jouer leur jeu offensif.
08:38C'était quoi,
08:39une inexpérience ?
08:40C'est une gestion émotionnelle
08:43qui est différente
08:44et il a vachement insisté
08:45là-dessus en conf de presse
08:46en disant
08:46il faut que les garçons
08:49se disent les choses.
08:50Évidemment,
08:50il y a eu des comportements
08:51qui n'ont pas été bons
08:52mais c'est aussi
08:52pour cette équipe
08:53qui est très jeune
08:54d'apprendre à gérer
08:55un avantage.
08:56On est très fort
08:57quand on est au pied du mur,
08:58c'est ce qu'il a dit
08:58quand je dis on,
08:59je parle de Louis Senriquet
09:00mais maintenant,
09:01il faut avoir de la gestion émotionnelle
09:02quand on est devant aussi.
09:04En fait,
09:05ces deux buts
09:06en 30 minutes
09:07te donnent tellement
09:09de facilité,
09:12de maîtrise
09:12sur ce match-là
09:13que du coup,
09:14peut-être qu'ils ne s'attendaient pas
09:15forcément à marquer
09:16ces deux buts
09:16aussi facilement
09:17et derrière,
09:18c'est là où ça sombre.
09:20T'abord de la rencontre.
09:22Ils sont favoris après.
09:23Les dix premières minutes,
09:24ils peuvent prendre deux buts,
09:25ils prennent un feu monumental
09:26dans l'intensité.
09:27Tu gagnes 2-0
09:28au bout de 20 minutes
09:30mais tu te dis
09:31en fait,
09:31tes joueurs,
09:32tu te dis
09:32mais en fait,
09:32on est injouable,
09:33on est intouchable.
09:34C'était vrai.
09:35C'est inconscient
09:36mais ça prouve aussi
09:37l'inexpérience de cette équipe
09:38où justement,
09:39tous les scénarios
09:40mis en place
09:41par Louis Senriquet
09:42où il peut se passer ça,
09:43ça,
09:43ils ont toujours su réagir
09:44et su s'adapter
09:45et là,
09:46c'est vrai
09:46que quand tu mènes 5-1
09:47la totalité des deux matchs,
09:49inconsciemment,
09:49tu dis,
09:50on va essayer de faire tourner,
09:51c'est ce qu'on sait faire
09:51et en fait,
09:52ils ont commencé
09:52à faire tourner ultra bas
09:53sans prendre en considération
09:55qu'en fait,
09:55en face,
09:56tu avais 11 taureaux
09:57qui couraient dans tous les sens
09:58et qui voulaient
09:59te dégommer la tête
10:00et cette mesure,
10:03cette prise de mesure
10:04de l'événement,
10:05je suis complètement d'accord
10:06avec toi sur le fait
10:06que c'est l'inexpérience
10:08qui fait ça
10:08et c'est un match
10:09qui va les faire grandir
10:09vraiment.
10:10Ils ont encore un axe
10:11de progression par rapport à ça
10:12donc c'est dire quand même
10:13le potentiel qu'il y a
10:15à l'intérieur de cette équipe.
10:16Moi,
10:17honnêtement,
10:17je suis très positif
10:18par rapport à ce que j'ai vu.
10:20Et on a de quoi être positif aussi
10:21quand on voit la performance
10:23grâce à son expérience
10:24peut-être de Gianluigi Donnarumma.
10:26Greg,
10:26on voulait revenir quand même
10:27sur le gardien parisien
10:29qui a été fantastique hier soir.
10:30Oui,
10:30parce que c'est peut-être
10:31l'un des joueurs du PSG
10:32qui qualifie finalement
10:33son équipe hier
10:34sur cette rencontre.
10:35On va regarder
10:35ce match aller-retour
10:37face à Aston Villa
10:38et aussi face à Liverpool.
10:40On n'a pas le tableau
10:40mais je vais vous le raconter.
10:41On regarde par rapport
10:42à notre équipe.
10:43à l'aller,
10:44il a 4 sur 10.
10:45Oui,
10:45bon 4,
10:45avec les mains,
10:46c'est assez facile.
10:474 sur 10,
10:47on vous rappelle,
10:48il est battu par Ayotte.
10:48C'est quasiment la seule opportunité
10:50de Liverpool
10:51sur cette rencontre.
10:52Au retour,
10:52il est extraordinaire.
10:539 sur 10,
10:54les deux arrêts
10:55dans la séance de tir au but.
10:56Il sort plusieurs arrêts.
10:57Le match aller face à Liverpool,
10:58face à Aston Villa,
11:00pas grand-chose à signaler.
11:015 sur 10 dans les notes l'équipe
11:03et puis ce retour,
11:03donc 8 sur 10
11:04sauve le PSG à chaque fois.
11:05Bref,
11:05en fait,
11:05Donnarumma,
11:06il n'aime peut-être pas forcément
11:07les matchs aller.
11:07Il préfère aller jouer en Angleterre
11:09pour aussi qualifier le PSG.
11:10Non,
11:10ça c'est plus pour la blague.
11:12Pierre,
11:12tu penses qu'il a gagné
11:13un petit peu de crédit
11:13quand même hier Donnarumma ?
11:14Enfin,
11:15on va arrêter de l'embêter
11:16avec ce truc de
11:17on tremble
11:18quand il est dans les cas.
11:18C'est surtout que
11:19s'il continue comme ça
11:20à faire ses matchs
11:21avec des champions,
11:21ils vont l'accueillir
11:22dans le bureau
11:22pour la prolongation.
11:24Là,
11:24il est parfait,
11:26mais je trouve
11:29qu'il progresse aussi
11:29parce que même
11:30les sorties aériennes,
11:31là où il n'excelle pas,
11:32il le fait de plus en plus
11:37à cette qualité.
11:37Oui,
11:37mais ce dont je me plaignais
11:39un petit peu de Donnarumma
11:39et là,
11:40je me disais
11:41qu'il manquait quelque chose,
11:42c'est que par rapport
11:42aux tous les meilleurs
11:43gagnants du monde,
11:44dans toutes les grandes équipes
11:45du monde,
11:45en fait,
11:45à un moment donné
11:46dans la saison,
11:47ils sont décisifs,
11:48ils rapportent des points,
11:49ils rapportent des titres
11:50et c'est là que je trouve
11:52qu'il a franchi un palier
11:53cette année.
11:54Maintenant,
11:55j'espère qu'ils vont continuer
11:57et que lui a vraiment
11:58franchi un palier,
12:00mais honnêtement,
12:00là,
12:01c'est exceptionnel
12:02ce qu'il a fait.
12:03Il a été stratosphérique
12:05qu'il y a,
12:05je ne sais pas si ça s'est vu
12:06sur les caméras,
12:07mais lui,
12:08pour le coup,
12:08sur le comportement,
12:10il a beaucoup parlé
12:10à ses défenseurs,
12:12c'est lui qui a harangué
12:12un maximum.
12:14En fait,
12:14le souci de Donnarumma
12:15et les notes que Greg a évoquées
12:16sont très claires,
12:17c'est-à-dire,
12:17quand il y a un match
12:18où il est ultra sollicité,
12:19quand il est en rythme,
12:20honnêtement,
12:20c'est un des deux,
12:21trois meilleurs gardeurs du monde
12:21parce qu'il a,
12:22sur sa ligne,
12:23il est stratosphérique.
12:24Ce qui est difficile
12:25pour Donnarumma,
12:25c'est quand Paris domine
12:27outrageusement la rencontre
12:28et qu'il a un ou deux arrêts
12:29à faire dans la rencontre,
12:31là, il a du mal
12:31parce qu'il n'est pas chaud.
12:33Donc,
12:33c'est psychologique,
12:34on le sait.
12:35Il faut se chauffer aussi.
12:36Non,
12:37mais moi,
12:38je serais un peu moins confiant
12:39que Pierre
12:40sur l'histoire de la prolongation
12:41parce qu'honnêtement,
12:43le PSG apprécie énormément.
12:45Je n'ai pas dit
12:45que ça allait être fait.
12:46J'ai dit que s'il y a un moment
12:47où il faut aller taper la porte,
12:48là, c'est sûr
12:49que c'est le moment
12:50qu'il faut y aller.
12:50Si tu ne t'appuies pas
12:51sur les performances,
12:51c'est sûr que...
12:52Mais je pense que
12:53d'un point de vue
12:53de projet de jeu
12:56de Louis-Henriq,
12:56etc.,
12:57ils aiment beaucoup
12:58quand même
12:58Lucas Chevalier de Lille.
12:59C'est une bonne idée.
13:00Oui,
13:01c'est une bonne idée.
13:02Après,
13:02il faut avouer quand même
13:03que dans le caractère,
13:05là,
13:05ce qu'il dégage
13:06sur ses derniers matchs,
13:08Liverpool et Villa,
13:10c'est vrai,
13:10tu le dis,
13:10c'est lui qui les maintient
13:11mais il montre aussi
13:13quelque chose de différent.
13:14C'est-à-dire que
13:15sur chaque arrêt,
13:16il est quand même déterminé
13:17sur les arrêts qu'il fait.
13:19En plus,
13:20c'est des arrêts incroyables
13:21parce que c'est vraiment
13:22des arrêts.
13:22Ce n'est pas genre
13:23juste parce qu'il est grand
13:24qu'il arrête le ballon.
13:25C'est vraiment parce qu'il va
13:26la chercher.
13:27L'arrêt au pied d'Ascensio aussi,
13:29ça n'a l'air de rien
13:30mais c'est quand même
13:31très vite.
13:32Moi,
13:32c'est l'arrêt sur Tillman
13:33qui l'a puté.
13:34Quand il pousse
13:35pour aller la chercher,
13:35franchement,
13:36il a incroyables.
13:37Messieurs,
13:37on continue à parler du PSG
13:39en se projetant
13:39sur la demi-finale à venir.
13:41Ce sera face à Arsenal
13:42ou face au Real Madrid.
13:43Exactement.
13:44On va regarder un petit peu
13:44où on en est
13:45dans cette Ligue des Champions.
13:46Donc,
13:46Paris ne sera jamais qualifié
13:47pour les demi-finales.
13:47L'autre futur adversaire,
13:50ce sera soit Arsenal
13:50ou le Real Madrid.
13:51Arsenal l'avait emporté 3-0.
13:52Rappelez-vous,
13:53ce doublé fantastique
13:54de Dick Landreis.
13:55D'ailleurs,
13:55le match retour.
13:56C'est ce soir
13:57pour découvrir
13:57qui sera l'adversaire du PSG.
13:58Une nouvelle remontada,
13:59ce sera le pourquoi
14:00d'Adrien Kouroub.
14:01Un rendez-vous à 19h25
14:02dans l'équipe de Greg.
14:03De l'autre côté,
14:04le Barça a assuré sa place
14:05en demi-finale
14:05face à Dortmund.
14:07Et puis ce soir aussi,
14:08Inter face au Bayern.
14:15Quand tu vois
14:17la prestation de Dortmund
14:18contre Barcelona,
14:19en vrai,
14:19toutes ces équipes
14:20sont là,
14:21pas par hasard.
14:22Moi,
14:23je crois que c'est possible
14:24pour le Real
14:24de faire l'amontada
14:25et de passer,
14:26même s'ils n'ont pas vu
14:27le jour à l'aller.
14:28Ok,
14:28mais qui serait le meilleur
14:29adversaire pour le PSG ?
14:31Pour le PSG ?
14:32Pour moi,
14:32ce serait Madrid.
14:33Moi aussi.
14:34Pourquoi ?
14:35Parce que je pense
14:35que Madrid est une équipe
14:37plus désorganisée
14:39qu'Arsenal.
14:40Et Arsenal,
14:41c'est une équipe
14:41avec des gabarits
14:42très forts
14:43et Paris souffre.
14:44C'est surtout
14:44que tu as promuie
14:44de retourner en Angleterre.
14:45On nous l'a dit,
14:46tu n'as pas envie
14:46d'y aller.
14:47C'est vrai.
14:49Il l'a brûlé,
14:50il ne l'a dit pas.
14:51Mais dans l'idée,
14:52c'est vrai aussi,
14:53c'est-à-dire que Arsenal
14:53est une équipe
14:54qui défend tellement bien
14:56qu'il y aurait peut-être
14:58beaucoup moins de possibilités
14:59pour cette équipe
14:59de Paris.
15:00Et du coup,
15:01pour le coup,
15:03le Real donnerait
15:03un peu plus d'espace.
15:04Il n'y a pas de bon choix.
15:05Non,
15:06il n'y a pas de bon choix,
15:06mais quand même.
15:07C'est dur dans les deux gars.
15:07Dans la proposition
15:08en ce moment de forme,
15:09tu vas passer
15:10avec la réussite,
15:11avec la chance,
15:11avec un supplément d'âme
15:13et puis tu te débrouilles
15:14comme tu peux surtout.
15:15Real Madrid-Arsenal,
15:16on vit ça dans la grande soirée
15:17avec toi ce soir ?
15:18Bien sûr.
15:18Inter-Bayern aussi.
15:19Il ne s'arrête jamais.
15:20Bien sûr.
15:21L'autre rencontre.
15:23À plusieurs là.
15:24Pour savoir
15:24qui sera donc
15:26l'adversaire du PSG.

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