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Sud Radio
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##L_INVITE_DU_JOUR-2025-04-11##

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News
Transcription
00:00Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
00:05Bonjour à toutes et à tous, heureuse de vous retrouver vendredi 11 avril, merci d'être avec nous.
00:11Bonjour Gilles.
00:11Bonjour Valérie.
00:12Bonjour Frédéric Devincel, merci d'être là ce matin.
00:16Vous êtes directeur général des programmes en charge des plateformes et du sport chez M6.
00:22Bonjour.
00:22Avec vous, on va parler de la Kings League qui arrive sur M6+.
00:27Vous allez tout m'expliquer parce que moi je n'y connais pas grand chose.
00:29Ce sera en direct tous les dimanches.
00:31On va parler sport aussi parce que M6 s'est beaucoup investi en rachetant les droits du foot.
00:38Donc on va voir tous ces sujets.
00:39Ça a démarré la semaine dernière, ça a déjà bien cartonné.
00:42C'est vraiment un truc à la mode.
00:45J'en ai un peu parlé dans la rédaction.
00:47À la mode.
00:49Parce qu'on a une rédaction un peu même jeune.
00:51Et puis je viens d'en parler avec également des personnes qui font des émissions foot ici.
00:57Il y a les pour et les contre.
00:58Il y a c'est génial, c'est fantastique, c'est un jeu vidéo.
01:01Et il y en a d'autres, c'est pathétique, c'est pas ça le football.
01:05Et vous, votre position ?
01:06Moi, ma position, c'est simple.
01:07C'est que la Kings League, ce n'est pas du football au sens FIFA ou UEFA ou Ligue 1 du terme.
01:16Je dirais que c'est un peu comme l'analogie...
01:17C'est un peu l'analogie entre le tennis et le paddle.
01:21Personne ne dirait que le paddle, c'est du tennis.
01:23Simplement, il y a plein de joueurs de tennis qui jouent au paddle, il y a des joueurs de paddle qui jouent au tennis.
01:27Ce ne sont pas les mêmes règles.
01:29Les deux sports sont amusants.
01:30Le foot, en fait, de la Kings League, c'est quand même une analogie assez forte avec du football.
01:37C'est quand même un ballon, deux buts, deux équipes.
01:42Et c'est celui qui a mis un but de plus, qui remporte la partie.
01:45Donc, ça ressemble quand même à du foot.
01:47Et ça cartonne en Espagne, au Mexique, en Italie, au Brésil.
01:52Et donc, vous serez M6, vous êtes le diffuseur officiel de cette Kings League.
01:57Kings League France.
01:58Kings League France, voilà.
02:00Et puis, on vous en parlera, vous verrez, les règles sont plutôt rigolotes.
02:05Et juste une question avant de démarrer le zapping.
02:08Est-ce que le sport va arriver en force, encore plus en force sur M6 ?
02:12Il y a une volonté aussi de devenir la chaîne du sport ?
02:16On a déjà devant nous une perspective assez exceptionnelle,
02:20qui est, en 2026, la Coupe du Monde FIFA,
02:23qui donc se déroule au Mexique, Etats-Unis, Canada,
02:27dont on a acquis les droits l'année dernière.
02:29Donc, vous apprenez l'espagnol.
02:31Donc, on a 54 matchs de cette Coupe du Monde,
02:36sur les 104 qu'elle va compter.
02:38Donc, c'est la première fois, tout simplement,
02:40qu'M6 a les droits de la Coupe du Monde.
02:43Donc, voilà, pour nous, c'est évidemment exceptionnel.
02:45On va en faire un événement gigantesque, comme il se doit.
02:49Et donc, ça nous fait déjà une belle perspective devant nous,
02:52parce qu'il doit rester 380 jours ou 390 jours avant le début de cette Coupe du Monde.
02:59Donc, quasiment tous les jours, on travaille dessus.
03:02Tic-tac, tic-tac.
03:03On va passer au zapping de Gilles, à tout de suite.
03:07– Sud Radio Média, l'instant zapping.
03:11– Valérie Frédéric, l'Europe va-t-elle devenir le continent de tout à 1 euro ?
03:15Pour être plus clair, la Chine va-t-elle reporter ses ventes en Europe,
03:19avec la hausse des taxes ?
03:20Mais les Américains, eux aussi, sont-ils prêts, d'un autre côté,
03:24à payer leur iPhone plus cher ?
03:25Donc, tout le monde négocie.
03:27Mais en fait, le commerce mondial est remis en cause.
03:29Et la France, c'est aussi l'industrie du textile.
03:32Et cette industrie du textile s'inquiète et a peur de l'arrivée en France.
03:36Des t-shirts à bas coût, même s'ils sont déjà pas mal présents,
03:40ou du slip pas cher.
03:41Reportage sur France 2.
03:42La Chine s'apprête-t-elle à envoyer ses milliers de conteneurs vers l'Europe ?
03:47À défaut des Etats-Unis.
03:49C'est précisément la crainte de cette entreprise française,
03:51qui confectionne des sous-vêtements en Seine-Saint-Denis,
03:53alors que le patron assure déjà subir une forte concurrence chinoise.
03:57– Là, on a un produit qui est fabriqué en France.
03:59Un pack de 5 slips, vendu 93 euros.
04:02Le lot chinois coûte 20 euros.
04:03Pour la PME, qui a frôlé la faillite l'an dernier,
04:06voir la Chine inonder davantage le marché européen,
04:09pourrait être le coup de grâce.
04:10On a transformé l'entreprise pour être capable de vendre un prix compétitif.
04:14On a divisé les prix par deux,
04:15passé de 40 à en dessous de 20 euros le sous-vêtement,
04:18fabriqué entièrement en France.
04:19Et on arrive à trouver un modèle économique.
04:21Mais si on a des nouveaux concurrents qui arrivent encore moins chers,
04:23encore plus offensifs, à la fin, on n'est pas magicien.
04:26– Alors une chose qui s'envole aussi au niveau des vêtements,
04:31c'est les tenues de la Kings League,
04:33parce qu'ils ont tous leur logo, leur habillage.
04:37Et puis dedans, il y a des Youtubers,
04:38on va expliquer ça à nos auditeurs après avec Michou et autres.
04:41Mais ça, ça commence à bien partir aussi au niveau…
04:44– Oui, en fait, ça a été extrêmement bien pensé comme produit.
04:49C'est un produit marketing extrêmement fort.
04:52En effet, l'impact des Youtubers, des streamers,
04:55fait qu'ils ont des communautés extrêmement fortes.
04:57Si on parle de Squeezie,
04:58c'est quelqu'un qui a 19 millions de followers sur YouTube.
05:01Donc quand vous avez le maillot de votre équipe
05:04et que vous vous adressez à 19 millions de fans,
05:07parce que finalement, c'est ça, les followers sont un peu des fans,
05:10ça vous fait un beau marché devant vous.
05:11– Et quand vous arrivez en réunion,
05:13vous parlez des streamers, de tout ça,
05:15on vous comprend quand même à M6 ou pas ?
05:17– Moi, vous savez, je viens du vieux monde, celui de la télévision,
05:20mais ça fait six ans que j'ai été propulsé dans le nouveau monde,
05:23celui du digital.
05:24Et moi, un de mes jobs, ça a été justement
05:26de tenir la main des deux côtés et faire le lien.
05:29Et puis d'ailleurs, de mettre en place une grammaire commune
05:32pour que les gens se comprennent.
05:33C'est vrai qu'il y a des mots utilisés dans l'univers du digital
05:36qui sont un peu étrangers au monde de la télé.
05:40Mais bon, on finit par se comprendre
05:41et très bien travailler ensemble.
05:42– Parce que c'est ce qu'on se disait avant l'émission,
05:44et on pourra en reparler après,
05:45– Oui, c'est la façon dont la télévision évolue,
05:47la façon dont on la regarde aussi différemment
05:50avec les replays et autres.
05:53Donc les audiences, et on va en reparler aussi,
05:56n'ont plus tout à fait le même sens.
05:58– Les audiences n'ont plus tout à fait le même sens,
06:00mais j'avoue qu'il y a quand même une grande vertu de la télévision,
06:03c'est quand même sa transparence sur la performance.
06:06On compare des choses comparables.
06:08– Oui, c'est ça.
06:08– On parle en part d'audience ou en audience.
06:12L'audience, c'est une audience moyenne d'émission de télévision.
06:14Quand on part sur le digital,
06:16alors là, on mélange des choux et des carottes,
06:18des contacts, des vidéos lancées, des heures vues, etc.
06:24Enfin, c'est trop multiple.
06:25– Il y a peut-être un outil à créer de la part de Médiamétrie
06:28pour France TV, pour M6+, pour TF1+.
06:31– Alors c'est en cours, puisqu'il y a des débats actuellement,
06:34et normalement ça devrait être lancé en 2025,
06:36d'avoir une mesure unique qui va pouvoir permettre
06:39de faire un classement, en fait, tout simplement,
06:40de tous les univers.
06:42On pourra mélanger les performances de YouTube,
06:44celles de la télévision, et donc avoir un classement
06:47assez clair, qui serait un classement qui serait fait
06:50sur une durée moyenne d'écoute,
06:52et donc une part d'audience.
06:53– On continue.
06:54– Alors que le débat sur la fin de vie est revenu
06:58à l'Assemblée nationale, Valérie, cette fois-ci scindé
07:00en deux parties, l'une sur l'aide à mourir,
07:03l'autre sur les soins palliatifs.
07:05Hier, dans cet avou, il recevait Maxime Darielouf,
07:08dont le fils est plongé dans le coma, vous savez,
07:10depuis plus de 20 ans.
07:12Son fils n'a évidemment rédigé aucune volonté,
07:14puisqu'il avait 20 ans quand il a eu un accident en 2005.
07:18Alors son père se bat pour que son fils puisse enfin partir.
07:21il a crié hier son désespoir, c'était un moment très émouvant
07:24sur le plateau de cet avou.
07:27– Nous, nous avons essayé la Belgique, en toute discrétion,
07:31et Benjamin avait été admis en Belgique,
07:34au cyclotron de Liège.
07:36On a vu deux professeurs, les deux professeurs nous ont dit
07:40« il n'y a pas de problème, attendez, on a tout le dossier,
07:43on vous le prend ».
07:45On nous l'a refusé, la direction de l'hôpital nous l'a refusé,
07:48parce qu'il est français, parce qu'il n'a pas,
07:50il n'est pas capable de manifester sa volonté,
07:54et il n'a pas fait de directive anticipée,
07:56je pense comme tout le monde ici.
07:59Et donc, on n'a pas de solution.
08:04– C'est un témoignage assez fort,
08:08et il se bat,
08:11et il n'y a aucun document,
08:12parce que son fils ne peut pas parler,
08:14et donc ne peut pas demander.
08:16– Oui, j'avais entendu le fils de Maria Paco,
08:18au moment où elle est décédée, raconté qu'elle avait un cancer
08:21qui la faisait énormément souffrir,
08:23et qu'elle voulait aller en Belgique.
08:25Mais en fait, il faut avoir, en étant conscient,
08:29anticiper effectivement cette fin de vie,
08:31et avoir rédigé ou entrepris des démarches au préalable.
08:35C'était effectivement assez terrible.
08:38– Et puisque j'ai devant moi le patron des sports d'M6,
08:41cet autre témoignage,
08:42qui lui risque de faire du bruit,
08:44je pense que…
08:46– Patrick, on a parlé ce matin,
08:48Patrick Roger.
08:49– C'est évidemment Sébastien Chabal,
08:51et son témoignage,
08:53il est établi évidemment que des commotions dans le rugby
08:56peuvent entraîner des troubles neurologiques,
08:58mais ça a été vraiment une déflagration
09:01dans l'émission Légende,
09:03diffusée sur Youtube, justement,
09:05et dans laquelle il s'est confié à propos de ces troubles,
09:10à force d'avoir des péaucasmes…
09:13– Des chocs violents, effectivement.
09:15– Des chocs violents,
09:16il explique qu'une partie de sa mémoire est partie.
09:20– Je n'ai aucun souvenir,
09:22mais quand je dis aucun, c'est aucun souvenir,
09:24d'une seule seconde d'un match de rugby que j'ai joué.
09:25Je ne me souviens pas d'une seule des 62 merseillaises
09:28que j'ai vécues,
09:30je ne me souviens de rien,
09:31et des fois j'en parle à la maison,
09:33et je dis à ma femme,
09:34enfin je pense que ce n'est pas moi.
09:35– Mais tu te souviens de bons moments quand même de ta vie ?
09:37La naissance de ta fille, des trucs,
09:39tu vois, des moments marquants ?
09:41– Non.
09:41Je ne me rappelle pas beaucoup,
09:43j'ai deux, trois souvenirs d'enfance,
09:46et encore je ne suis pas sûr que je m'en rappelle.
09:48– Ah oui, aussi on t'a raconté.
09:49– Si on me les a racontés.
09:50– Et les médecins,
09:51tu n'es pas allé voir un neurologue ou un truc ?
09:53– Non, ça ne va pas faire.
09:54La mémoire ne me reviendra pas.
09:56– Alors il faut dire que d'anciens rugbymen,
09:59en particulier les Galois,
10:00Alex Pofam et le talonneur anglais Steve Thompson,
10:03vainqueur de la Coupe du Monde en 2003,
10:05avaient engagé une procédure collective
10:08auprès de la Fédération Internationale World Rugby,
10:12mais ça fait longtemps,
10:14vous vous étiez battu par rapport à la livre ?
10:15– Oui, il y a des choses différentes.
10:17Il y a le rugby qui devient de plus en plus violent
10:19avec des morts,
10:22et on a effectivement Philippe Chauvin,
10:24dont le fils est mort d'un double plaquage,
10:27et qui se bat pour faire reconnaître cela.
10:29On l'avait invité ici.
10:31Et puis sur cette violence au rugby,
10:34c'est assez tragique,
10:36mais il y a dans le rugby,
10:37dans le foot aussi,
10:39on en parle assez peu,
10:40des joueurs qui ont des maladies d'Alzheimer précoces,
10:43enfin des démenses en fait,
10:45c'est plus que de la maladie d'Alzheimer.
10:47Les têtes au football sont des choses absolument dramatiques.
10:50Quand vous en parlez avec les neurologues spécialistes,
10:52en particulier il y en a un à la pitié,
10:55il y a la boxe aussi,
10:57il y a des sports comme ça
10:58qui font des lésions terribles au cerveau.
11:00– Oui, et la tête,
11:03c'est vrai qu'aujourd'hui il y a une prise de conscience
11:05sur les têtes au football.
11:06Autrefois, je pense à un joueur très connu
11:08dans les années 80-90,
11:11c'était Horst Troubesch,
11:12qui était un joueur allemand
11:14qui, je crois, a été pris de démence
11:16parce qu'il ne jouait quasiment que de la tête.
11:19Il était très grand,
11:20il avait tous les vélons sur la tête.
11:21Et ça me renvoie d'ailleurs à un débat
11:23qu'on avait vu chez vous,
11:24ici, chez Sud Radio,
11:26sur le MMA,
11:27où on met en avant le MMA
11:29comme le sport ultra dangereux,
11:30ultra violent, etc.
11:32Mais je crois qu'il y a plus d'accidents
11:34et de morts en rugby
11:35qu'en MMA tous les ans.
11:37Il y a plus de morts en cyclisme
11:38qu'en MMA tous les ans.
11:40Et le MMA a un avantage, par exemple,
11:42par rapport à la boxe,
11:43c'est que les coups sont répartis
11:45sur l'ensemble du corps.
11:46C'est-à-dire qu'on ne se concentre pas
11:47que sur la tête,
11:48comme en boxe anglaise,
11:49ou sur le foie,
11:50mais il y a une répartition des coups.
11:51Et finalement, ça fait de ce sport
11:53qui est tant décrié en France
11:54et que moi, je cherche à défendre au maximum.
11:57Mais c'est intéressant
11:58parce que vous en parlez,
11:59il est un peu moins dangereux.
12:00Et puis, je terminerai juste d'un mot,
12:02c'est qu'il y a ces problèmes
12:03de santé physique dans le sport.
12:05Donc moi, je trouve que c'est extrêmement bien
12:06qu'il y ait des témoignages comme ça,
12:07qu'on les prenne en compte
12:08et qu'on arrive à mieux protéger les sportifs.
12:10Puis il y a la santé mentale,
12:12qui est un sujet très fort du moment,
12:15et notamment dans le sport.
12:17Et d'ailleurs, M6 diffusera très prochainement
12:19un documentaire sur la santé mentale,
12:22dans lequel il y a des témoignages assez forts,
12:25notamment, je crois, de Florent Manodou.
12:27Voilà.
12:28Et donc, je trouve que c'est bien, en fait,
12:30qu'il y ait des voix qui s'élèvent,
12:31des témoignages,
12:32parce que c'est avec la force du témoignage,
12:33comme souvent que le propos, en fait,
12:36arrive à pénétrer la société.
12:37Mais ça a été très long.
12:38Dans le cas de Philippe Chauvin,
12:40il a écrit un livre qui s'appelle
12:40« Rugby, mourir fait partie du jeu ».
12:43C'est un titre très fort.
12:46Et cette prise de conscience,
12:47il a, pendant longtemps, parlé dans le vide.
12:49Et là, on commence à s'en préoccuper.
12:52Alors Frédéric, évidemment,
12:54j'ai choisi un autre son pour vous,
12:56le patron des sports.
12:58Alors, il se passe un autre phénomène
12:59sur les réseaux sociaux,
13:00où les sportifs sont,
13:02alors pas les stars,
13:03mais la plupart des sportifs sont accessibles.
13:05Eh bien, ils sont de plus en plus
13:07victimes de menaces ou de chantage
13:09par des parieurs sportifs
13:10qui leur intiment l'ordre de perdre
13:12ou de gagner.
13:13Écoutez ce sujet choc
13:15du service des sports de TF1.
13:17Ces dernières années,
13:18les paris sur les sports moins médiatisés
13:21ou concernant des joueurs en dehors des top 100
13:23se sont multipliés.
13:25Et parce qu'ils sont accessibles
13:26sur les réseaux sociaux,
13:28ces sportifs sont la cible
13:29de propos très violents
13:30de la part de parieurs
13:32ayant perdu leur remise.
13:33Denis, lui,
13:34s'est habitué aux menaces reçues
13:35sur son compte Instagram.
13:37Tenez la main de l'autre salaud
13:39et faites reculer à la France.
13:40Venez en Tchèque République,
13:42ils vendent des matchs.
13:44Dernièrement,
13:44d'autres formes d'intimidation
13:46sont parvenues à ce joueur
13:47de tennis de table.
13:48Pour le corrompre,
13:50des comptes anonymes lui proposent,
13:51en échange d'une défaite,
13:53de grosses sommes d'argent.
13:54Le plus fou que j'ai eu,
13:55je devais perdre tel ou tel point
13:57pour gagner 5 000 euros.
13:59Et si je perdais un set,
14:01c'était 10 000.
14:03Totalement fou.
14:04Totalement fou.
14:05C'est vraiment...
14:06Sujet incroyable.
14:08Chanteuse, pianiste, comédienne,
14:10Jeanne Chérald,
14:11artiste aux multiples talents,
14:12avec un petit son à la Véronique Sanson,
14:15sort un nouvel album.
14:16Elle a joué hier son titre
14:17dans C'est à vous.
14:19Vous allez la voir en tête
14:20toute la journée.
14:21C'est Jean.
14:21Jean, j'en ai marre
14:25de rêver de vous,
14:26Jean, j'en ai marre
14:28de parler de vous,
14:29Jean, j'en peux plus
14:31de ne penser qu'à vous.
14:36Jean, j'en ai connu
14:37des plus forts que nous.
14:38Ah, ça vous aimez ?
14:40Non ?
14:40Ah, vous n'avez pas
14:40ce genre de musique ?
14:42Si, je ne sais pas.
14:43Benjamin Violet, comme ça, non ?
14:45Bon, d'accord, j'insiste pas.
14:47Si, si, je ne sais pas.
14:48On se retrouve dans un instant
14:49avec Frédéric Devincel,
14:50donc directeur général
14:51des programmes en charge
14:52des plateformes et du sport
14:54chez M6.
14:55A tout de suite.
14:57Le 10h midi,
14:59Sud Radio Média,
15:00Valérie Expert,
15:02Gilles Gansman.
15:04Sud Radio Média,
15:06l'invité du jour.
15:07L'invité du jour,
15:08c'est Frédéric Devincel,
15:09directeur général
15:09des programmes en charge
15:10des plateformes et du sport
15:12chez groupe M6.
15:14La Kings League arrive sur M6,
15:16on dirait,
15:17enfin, elle est déjà arrivée,
15:17ça a commencé dimanche dernier,
15:20tous les dimanches.
15:21La Kings League,
15:22donc, c'est un format
15:23assez innovant.
15:25C'est Gérald Piquet
15:26qui l'a initié.
15:27Il y a d'anciens joueurs de foot
15:29qui participent,
15:31Adil Rami, entre autres.
15:32Et il y a beaucoup d'interactions
15:33avec les spectateurs
15:36dans ce jeu.
15:38Qu'est-ce qui a fait
15:39que M6 s'est positionné
15:41pour acheter les droits
15:42de la Kings League France ?
15:43Ah oui, alors,
15:44c'est, en fait,
15:45j'allais dire une vieille histoire.
15:46Ce n'est pas si vieux que ça,
15:46mais c'est au moins déjà
15:47au moins un an et demi
15:48ou deux ans.
15:49En fait, j'en avais entendu.
15:51C'est vrai que dans le monde
15:52du digital,
15:52c'est très vieux,
15:53deux ans,
15:53mais j'avais entendu parler
15:55de ce lancement en Espagne
15:56parce que dans le groupe M6,
15:58on est proche de RTL TVI
16:00qui est une chaîne espagnole.
16:01Pardon.
16:02Un belge.
16:02À 13 médias, oui.
16:04Qui est une chaîne espagnole.
16:05Et donc, on avait entendu
16:06parler de ce lancement.
16:07J'y suis allé
16:08pour voir à quoi ça ressemblait
16:10et j'ai trouvé ça
16:10absolument super
16:11parce que, en effet,
16:13comme vous le disiez à l'instant,
16:14c'est innovant.
16:15Et donc, nous,
16:16des produits innovants
16:17dans le groupe M6,
16:18on aime bien ça,
16:19on cherche à se démarquer,
16:20à proposer des choses nouvelles.
16:22Et donc, j'y suis allé,
16:24je suis tombé un peu
16:24sous le charme
16:25de cette compétition
16:26et on a diffusé
16:28une première fois
16:29en juin l'année dernière
16:30la Coupe du Monde des Clubs
16:31qui a été plutôt
16:32un beau succès chez nous
16:34et on avait pris des droits
16:35dans l'hypothèse
16:37où ils lanceraient
16:37le championnat en France.
16:38Et ce qui a été fait
16:39puisqu'ils viennent de le lancer
16:40le week-end dernier.
16:42Et donc, on est diffuseur officiel
16:43de cette compétition
16:45qui propose un autre football.
16:48À un moment, d'ailleurs,
16:49où le football en France,
16:50on l'entend un peu partout,
16:51est un peu chahuté.
16:52En mois d'avril,
16:53le PSG,
16:54il a déjà gagné.
16:55Voilà,
16:55le championnat est terminé.
16:58Voilà,
16:58et donc là,
16:59on propose autre chose,
17:00un autre spectacle.
17:01C'est extrêmement divertissant.
17:03Il y a des règles
17:04très innovantes,
17:05très amusantes
17:06qui rebattent les cartes.
17:07Et puis,
17:08surtout,
17:09il y a quelque chose
17:10d'extrêmement fort
17:11et qui est vraiment,
17:12je trouve,
17:13ils ont fait force d'imagination
17:14et c'est vraiment payant.
17:15C'est que les présidents de clubs,
17:18donc les propriétaires des équipes,
17:19sont donc des streamers.
17:20Donc,
17:21ce sont des youtubeurs,
17:22des streamers.
17:23Michou,
17:25Squeezie,
17:26Amine,
17:27Domingo,
17:28Cameto.
17:28Qu'est-ce que c'est Domingo ?
17:29Popcorn, non ?
17:30Ce sont des gens
17:32qui sont extrêmement puissants
17:34dans leur univers,
17:35dans cet univers digital.
17:37Et donc,
17:37Kings League
17:38leur offre une équipe.
17:40D'accord.
17:40Mais ça veut dire concrètement,
17:41il leur offre l'équipe.
17:42C'est-à-dire que si la Kings League
17:43en France,
17:44ça fonctionne très bien
17:44et dans dix ans,
17:45c'est encore là,
17:46Squeezie sera propriétaire
17:48d'une équipe de foot
17:49qui pourra d'ailleurs revendre.
17:52Les joueurs de son équipe
17:53sont eux payés par la Kings League
17:55mais lui,
17:55il gère tout le reste.
17:56C'est-à-dire l'entraîneur,
17:58etc.
18:00Il paye toute la logistique,
18:01le marketing de son équipe,
18:02etc.
18:03Et la force du programme,
18:05c'est que ce président,
18:07Squeezie ou Michou pour son équipe,
18:09c'est eux qui commentent
18:11le match de leur équipe
18:12sur leur chaîne Twitch.
18:14Donc,
18:14c'est comme si
18:15vous regardez les matchs de foot
18:17et que c'était Nasser
18:18qui commentait le PSG
18:19ou Jean-Michel Aulas
18:20à l'époque
18:20qui s'enflammait pour Lyon
18:23qui aurait commenté son équipe.
18:24Donc,
18:25vous imaginez l'intensité
18:26qu'ils y mettent,
18:27la passion qu'ils y mettent.
18:28Donc,
18:28ça fait que c'est un produit
18:29extrêmement différent
18:31et extrêmement fort.
18:32Il y a les règles.
18:33C'est-à-dire que
18:33vous pouvez mettre dehors,
18:36je ne sais plus
18:36si c'est l'entraîneur
18:37à un moment,
18:38vous pouvez sortir des gens,
18:40il y a des cartes.
18:41En fait,
18:41ils ont repris un peu,
18:43ils ont fait,
18:44ça s'apparente presque
18:45à de l'e-sport.
18:46En fait,
18:46ils ont pris des codes
18:47de jeux vidéo
18:47qu'ils ont intégrés
18:49dans un sport physique
18:50normal.
18:52Donc,
18:52il y a des cartes,
18:52en effet,
18:53on tire au début de la partie
18:54des cartes jokers.
18:55Donc,
18:55chaque partie tire une carte,
18:57ils n'ont pas la même.
18:58Il y en a un,
18:58ça peut être,
18:58par exemple,
19:00je peux exclure
19:01le joueur de mon choix
19:02de l'équipe adverse
19:02et au moment où je le veux.
19:04Donc,
19:04ils abattent la carte
19:04quand ils veulent,
19:05ils peuvent exclure le joueur.
19:07L'autre,
19:07ça peut être,
19:08je peux décider
19:09d'avoir un pénalty
19:10quand je le veux
19:11et ça va être mon président
19:11qui va le tirer.
19:12Donc là,
19:13Squeezie,
19:13il descend de sa tribune
19:14ou il commente,
19:15il arrive sur le terrain
19:16et il tire son pénalty.
19:17Bon,
19:17il a intérêt à le marquer.
19:19Donc,
19:20il y a toutes sortes
19:20de règles comme ça
19:21et puis le coup d'envoi,
19:22par exemple,
19:22le ballon,
19:22il est suspendu
19:23en haut du plafond du stade,
19:26il tombe
19:26et c'est le premier
19:27qui l'attrape.
19:28C'est très ludique.
19:29Voilà,
19:30c'est très ludique.
19:30Il y a des écrans partout,
19:32il y a de l'animation,
19:33il y a une vraie modernisation
19:35aussi de l'enceinte aussi.
19:37Il est parti d'une idée
19:39qui, à mon avis,
19:40n'est pas tout à fait vraie
19:42mais il le raconte comme ça.
19:44Gérard Piquet,
19:44il dit
19:45les jeunes aujourd'hui
19:46ne peuvent plus
19:46rester concentrés
19:48pendant 90 minutes
19:49dans un match de foot.
19:50Donc,
19:50il dit
19:51on va faire des mi-temps
19:51de 2 fois 20 minutes,
19:5340 minutes,
19:53on va réussir à les tenir
19:54en haleine
19:56et pour les tenir en haleine,
19:57il faut que
19:58toutes les 4-5 minutes,
20:00il y ait quelque chose
20:01qui se passe.
20:02Donc,
20:02c'est là où il a créé
20:03ses cartes.
20:03Mais sportivement,
20:04ça a un intérêt ?
20:05Alors,
20:06sportivement,
20:06moi,
20:07j'y étais dimanche.
20:08Je suis un footballeur amateur
20:10pour ma part
20:11mais je joue depuis longtemps
20:13et j'avoue
20:14que là,
20:15j'ai vu des joueurs
20:15de très bon niveau.
20:16C'est des gars
20:17qui viennent de championnats
20:18type régional.
20:19Donc,
20:20régional,
20:20c'est avant la nationale,
20:22avant la Ligue 2,
20:23avant la Ligue 1
20:24mais c'est des types
20:25qui jouent très très bien
20:25et donc,
20:26ils sont extrêmement engagés.
20:27Donc,
20:28footballistiquement parlant,
20:29c'est quand même intéressant.
20:30Après,
20:31c'est un plus petit terrain
20:31qu'un terrain de foot
20:32parce que ça se joue
20:33à 7 contre 7
20:35donc c'est plus petit.
20:36Donc,
20:36il n'y a pas
20:36le plaisir
20:38de la balle en profondeur,
20:39la course sur 50 mètres
20:42du type
20:42qui part au but
20:43balle au pied,
20:44ça,
20:44ça n'existe pas.
20:45Mais,
20:46voilà,
20:47c'est quand même intéressant
20:48et puis,
20:49en effet,
20:49non seulement c'est intéressant
20:50mais c'est amusant
20:51à travers toutes ces règles
20:52un peu innovants.
20:52Je vous propose d'écouter
20:53la bande-annonce
20:54de la Kings League
20:55qui est sur M6+.
20:56Événement sur M6+.
20:59Le phénomène Kings League
21:00débarque enfin en France.
21:03On a sorti du lourd.
21:04C'est parti donc
21:04pour ce premier match.
21:05Une compétition de football
21:07à 7
21:07qui va tout révolutionner.
21:09Les meilleurs streamers
21:10et stars du jeu
21:11prennent le contrôle.
21:13Des règles innovantes
21:14qui cassent tous les codes.
21:16Bien plus qu'un championnat,
21:18une expérience unique.
21:20Vivez la Kings League France
21:22en direct le dimanche à 16h
21:23en streaming
21:24sur l'application M6+.
21:25Alors Valérie,
21:26la boumeuse m'a dit
21:28Oh là là,
21:28mais moi dans mon temps,
21:30il y avait des tournois assis.
21:32Il y avait des tournois,
21:32ça existait.
21:34Je me souviens ça.
21:36Il y avait des tournois assis,
21:37ça existait.
21:37Ça existe toujours.
21:38Ça existe toujours.
21:39Donc ça a dû s'inspirer de ça.
21:40Vous êtes le directeur également
21:42du sport,
21:43de tout ce qui est en charge
21:44des sports.
21:45C'est un gros pari pour vous
21:46l'achat qui a été fait
21:48et puis beaucoup d'argent,
21:49beaucoup d'investissement.
21:50Oui, alors la Kings League
21:52c'est un investissement mesuré.
21:53Non, non, je parlais
21:54pour le reste.
21:56Pour le reste,
21:57en général,
21:57quand on investit dans le sport,
21:59c'est vrai que
21:59c'est beaucoup d'argent.
22:01Il faut sortir le chéquier.
22:04Mais malgré tout,
22:06ce qu'on constate,
22:07c'est que le sport
22:08dans l'univers de la télévision
22:10aujourd'hui,
22:10c'est vraiment un des genres
22:12qui résiste le mieux
22:13et dont les audiences
22:15même ne baissent pas,
22:15voire progressent.
22:17on le constate,
22:19le Tour de France,
22:20Roland-Garros,
22:20etc.
22:21Les audiences sont en progression.
22:22Donc, il y a une vraie appétence
22:23pour le sport à la télévision.
22:25Donc, c'est très important
22:26pour les chaînes de télévision,
22:28les grands groupes de télévision
22:29d'avoir du sport dans l'offre.
22:32Il faut du sport,
22:33il faut de l'information.
22:34L'information fonctionne très bien.
22:35Sur M6,
22:36vous savez que le 12-45,
22:37le 19-45
22:38font des scores exceptionnels.
22:40Ils sont quasiment systèmes.
22:42ils sont leaders
22:43sur les moins de 50 ans.
22:45Donc, l'information,
22:46c'est très important.
22:47Pourquoi ?
22:47Parce qu'en fait,
22:48avec le sport
22:49et l'information,
22:51on se distingue
22:52de plateformes
22:53comme Netflix,
22:53par exemple.
22:54Aujourd'hui,
22:54tout le monde vous dit
22:55« Ah oui, moi je regarde Netflix ».
22:56La réalité,
22:56c'est que la télévision
22:57est beaucoup,
22:58beaucoup,
22:58beaucoup plus regardée
23:00que Netflix.
23:01Il y a à peu près
23:027 millions
23:04qui regardent Netflix,
23:057 millions de personnes
23:06qui sont sur Netflix
23:07tous les jours,
23:07à peu près.
23:08Il y a tous les soirs,
23:10je ne parle même pas de la journée,
23:11mais tous les soirs,
23:1121 millions de personnes
23:12qui sont devant la télé.
23:13Vous voyez ?
23:14Donc,
23:14quand on vous dit
23:15dans les dîners en ville
23:16« Je ne regarde plus la télé,
23:18je ne regarde Netflix »,
23:19ça, c'est les dîners en ville
23:20dans le 6e arrondissement
23:22à Paris.
23:22Mais ce que je peux vous dire,
23:23c'est qu'en France,
23:24tous les soirs,
23:2521 millions de personnes
23:25devant la télé.
23:26Et le sport attire
23:27en plus des gens
23:28qui ne regardent pas
23:29la télé habituellement
23:30et qui viennent grâce au sport.
23:31Donc, c'est pour ça
23:32que c'est très important
23:32d'avoir les droits sportifs.
23:33La King Leaks pourrait arriver,
23:35la finale sur W9,
23:36par exemple,
23:36on peut imaginer.
23:37Ah oui, oui, absolument.
23:41Oui, oui, parce que W9
23:44est une chaîne,
23:45pareil,
23:46avec un positionnement
23:46divertissant, innovant.
23:49On diffuse de la télé-réalité.
23:51Donc, avec la King's League,
23:52on est un peu dans cet univers.
23:54Vous allez peut-être
23:55bientôt diffuser du paddle.
23:56Nicolas Taverneau
23:57va prendre les règles
23:59de l'AFP médias.
24:01Donc, ça vous dit quoi ?
24:03Vous avez toujours
24:04des contacts avec lui ou pas ?
24:05Oui, bien sûr.
24:08Écoutez, j'ai lu ça,
24:10en effet, dans la presse.
24:11Ça me dit que...
24:12La Ligue de football professionnel.
24:14Oui, la Ligue de football professionnel.
24:15Il y a un sujet
24:16autour des droits médias
24:18de la Ligue.
24:20Si vous prenez
24:21la liste des gens en France
24:22capables de résoudre
24:24cette crise,
24:25je pense qu'il coche
24:26absolument toutes les cases.
24:28Il connaît
24:28tous les présidents de clubs,
24:30il connaît
24:30tous les diffuseurs.
24:32Même si ça a été
24:33propriétaire de Bordeaux,
24:34on peut le rappeler
24:34à vos auditeurs.
24:35Même si ça a été
24:35propriétaire de Bordeaux.
24:37Voilà.
24:37Donc, je pense que vraiment,
24:40je veux dire,
24:40de la cave au grenier,
24:42il connaît absolument
24:43tous les rouages
24:44et tous les interlocuteurs.
24:45Donc, voilà.
24:46Après, ça reste, je pense,
24:47une mission qui n'est pas facile.
24:48Non.
24:49Mais il a évidemment,
24:51comme tout le monde le sait,
24:52le talent pour réussir ça.
24:54Il va compter
24:54les post-its
24:55et les trombones.
24:57Méfiez-vous,
24:57la Ligue va avoir des économies.
24:59Vous pourriez vous positionner
25:00sur d'autres sports ou pas ?
25:02Ou c'est trop cher ?
25:03Sur le Tour de France,
25:04on va parler dans un instant
25:05de Paris-Roubaix,
25:07sur du tennis.
25:09Alors, le Tour de France,
25:10les droits
25:11sont chez France Télévisions.
25:12Ils ont été renouvelés
25:13récemment.
25:14Voilà.
25:15Mais c'est vrai
25:15qu'on regarde
25:16tous les sports.
25:17On a diffusé en 2023
25:19la Coupe du monde de rugby
25:20avec France Télévisions
25:21et TF1.
25:23C'était la première fois
25:23qu'on diffusait du rugby.
25:24Ça a été un grand succès
25:25chez nous.
25:26Il y a des discussions
25:29sur le temps d'indestination.
25:31On regarde
25:31des dossiers
25:33même autour du basket.
25:35On regarde
25:36toutes sortes d'autres choses.
25:36Mais c'est vrai
25:37qu'on est plus naturellement
25:38dans le groupe M6
25:39sur les grands sports
25:40collectifs, disons.
25:42Et puis, vous avez été
25:42les premiers,
25:43il faut le dire,
25:43parce qu'ici,
25:44c'est un combat important
25:45pour Patrick Roger.
25:46C'est les femmes
25:47dans le sport.
25:48Et c'est vrai
25:49que l'Arcom
25:49fait aussi pas mal
25:51de journées consacrées
25:52aux femmes.
25:53Et vous avez été
25:54les premiers,
25:54W9,
25:55à diffuser
25:55des compétitions
25:56sportives de femmes.
25:57Ça va être les cas
25:58dans les années qui viennent ?
25:59Alors, bien sûr,
26:00on continue
26:01de diffuser
26:01l'équipe de France
26:03féminine.
26:03On a un contrat
26:04qui couvre encore
26:05pour deux ans.
26:06J'espère bien
26:07qu'on pourra
26:07le renouveler.
26:09Là, la compétition
26:10qui arrive
26:10de l'euro féminin,
26:12il sera malheureusement
26:13chez nos amis de TF1.
26:14Il n'est pas
26:14dans le groupe M6.
26:16Mais nous,
26:16on accompagne
26:16l'équipe de France
26:17depuis en effet
26:18très longtemps,
26:19plus de dix ans.
26:21Donc,
26:22c'est une petite fierté,
26:23je dois dire,
26:23d'avoir promu
26:24le sport féminin.
26:25Il a été très en amont.
26:27On a fait beaucoup,
26:28on a fait des documentaires
26:29sur les joueuses.
26:30Moi, je pense
26:31qu'il y a encore
26:32une marge de progression
26:33très forte
26:34sur le sport féminin.
26:35Il leur suffit
26:36d'avoir un trophée,
26:37il faut qu'elles gagnent
26:38quelque chose.
26:39Mais l'euro,
26:39c'est une occasion
26:40de le faire.
26:40Il y aura une Queen's League,
26:41Giza, alors ?
26:42Oui, oui,
26:42ils l'ont fait en Espagne,
26:43la Queen's League,
26:44absolument.
26:45Ils l'ont fait
26:45et donc ça viendra
26:46sûrement en France.
26:47Allez, merci
26:48d'avoir été avec nous
26:49Frédéric Devincel ce matin,
26:50directeur général
26:51des programmes en charge
26:51des plateformes
26:52et du sport
26:52chez groupe M6
26:53et la King's League
26:54donc le dimanche
26:56sur M6+.
26:57Merci d'avoir été
26:59avec nous ce matin
27:00et puis là,
27:00on va parler
27:00de Paris-Roubaix
27:04avec un doc formidable
27:05à ne pas manquer.
27:07Absolument.
27:07A tout de suite.
27:08Le 10h midi
27:11Sud Radio Média
27:12Valérie Expert
27:14Gilles Gansman