Ne manquez pas HardTalk ce mercredi 2 avril 2025 sur Top FM ! Thème de l’émission : Les partis politiques émergents : ambitions et projets Rudy Veeramundar reçoit : * Anil Gayan, fondateur du ML, candidat de Maurice au poste de Président de la Commission de l’Union Africaine * Arnaud Vacher, responsable de communication de En Avant Moris * Jocelyn Chan Low, historien et observateur avisé de la scène politique Rendez-vous ce mercredi 2 avril à 17H30 : * Sur Top FM * Également sur Top TV et la chaîne 10 de Parabole Maurice * Participez à l’émission en appelant au 213 77 77, à partir de 18H15
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00:00:00aujourd'hui, on a Annelie Gayane, fondateur et leader de Vrai ML, ancien ministre et député.
00:00:29On a également Orne Vacher, responsable de communication de En Avant Maurice.
00:00:34On a le Dr Sita Jinnia, du Rassemblement Mauritien, mais aussi président de l'Elle Féminine
00:00:40du Rassemblement Mauritien.
00:00:41On a également au téléphone Jocelyne Chandlar, historien et observateur politique.
00:00:47Le thème aujourd'hui, c'est les parties non-traditionnelles, qui ont des contributions
00:00:52et qui ont de l'ambition.
00:00:53Et justement, là, nous avons un dynamisme après un soixante-zéro dans les élections,
00:00:59et comment les choses ont-elles évolué dans le cadre des élections municipales, voire
00:01:04même au-delà.
00:01:05Donc, nous trois invités aujourd'hui pour discuter de ce thème-là.
00:01:09Donc, Annelie Gayane, je commence avec vous, l'aînée socioplâtre, si vous me permettez.
00:01:17Donc, Annelie Gayane, elle a été témoin après un soixante-zéro en 1982.
00:01:21Elle a été ministre, elle a été députée, elle a également participé au Front de l'Impérialité
00:01:27en 2009, qui s'appelle Front National Mauritien.
00:01:30Elle a aussi été une bonne formateur du mouvement libérataire en 2014, elle a été candidat
00:01:39pour la présidence de l'Union africaine, et aujourd'hui, elle est le leader et fondateur
00:01:45de Vrai ML dans le cadre des élections municipales.
00:01:48Vous permettez-moi une question, Annelie Gayane, pendant tout ce temps-là, au candidat ou
00:01:55dans la politique, qu'est-ce que c'est, Unfinished Business Q&A?
00:01:59– Bon, premièrement, je suis très content de remercier vous-même, Rudy, et Top FM,
00:02:04pour l'invitation qu'ils ont faite, moi et nos bonnes collègues ici, pour venir participer
00:02:09à l'émission, et tout le monde auditeur qui peut écouter nous, tout le monde téléspectateur.
00:02:15Laissez-moi vous dire que le Unfinished Business, le business is never finished, tout le temps
00:02:22il y a des affaires qui arrivent, mais c'est vraiment important dans le cadre actuel, depuis
00:02:29les élections municipales, après dix ans, et depuis les élections générales, qui
00:02:35finit le rapport TEN 60 pour l'alliance du changement.
00:02:38Il est bon qu'il me fasse ressentir que les résultats des élections municipales
00:02:43n'ont pas pour aucun effet sur la vie ou la survie du gouvernement.
00:02:47Le gouvernement, sur la vie, ne dépend pas des résultats des élections municipales,
00:02:53mais il est capable d'amener les autres considérations, qu'il est capable d'amener,
00:02:55qu'il n'a pas duré, vous connaissez les conférences gratuites, il est capable d'amener
00:02:59beaucoup d'affaires, conférences gratuites, mais il n'empêche que ces élections municipales-là,
00:03:05c'est important, parce que c'est après dix ans que les citoyens peuvent avoir l'occasion
00:03:09de choisir leur conseiller, et c'est bon qu'il nous fasse rappeler que les citoyens,
00:03:16les habitants des villes, des municipalités, sont aussi électeurs pour les élections
00:03:22générales.
00:03:23Alors nous faisons quand même le même respect envers ces électeurs-là pour les élections
00:03:30municipales, comme nous le faisons pour les élections générales.
00:03:34Moi, moi-même, j'ai l'impression qu'il y a une grande partie, comme MSM, etc., qui
00:03:39n'a pas participé à ces élections-là, moi je pense que c'est un manque de respect
00:03:43envers l'électorat des villes, et moi, moi, personnellement, je suis persuadé que
00:03:50n'importe quelle échéance électorale, générale, municipale, est importante pour
00:03:56la démocratie.
00:03:57Le peuple, bien qu'il n'y ait pas participé activement dans la vie démocratique du pays,
00:04:03il ne peut qu'à l'occasion, après dix ans, de participer à une élection municipale,
00:04:08et c'est pour ces raisons-là que je pense qu'il est important qu'il nous donne une
00:04:12présence, qu'il fasse une présence pour le respect de la démocratie qui est important
00:04:17dans notre pays.
00:04:18Mais laissez-moi vous dire qu'il y a là-bas une partie non-traditionnelle.
00:04:21Effectivement, en 2014, nous formons le ML, qui fait que nous formons le ML.
00:04:30À ce moment-là aussi, on partit activement dans la politique, mais seulement l'État
00:04:33m'a fait une guette sur ce qui fait passer sur la scène politique.
00:04:36Tiens, d'un côté, les travailleurs, c'est eux-mêmes qui font l'alliance, et dans
00:04:42eux, l'alliance propose un système de gouvernance qui, d'après nous, dans le ML, c'était
00:04:49antidémocratique, et qui fait appel à la dictature.
00:04:52Vous pouvez faire référence aux deuxièmes républiques, là ?
00:04:56Oui, quand le lieutenant général Moulin, le ministre du Travail, c'est-à-dire qu'on
00:04:59vit une présidence pour sept ans, avec tous les pouvoirs de nomination, etc., et Paul
00:05:06Béranger, qui est devenu premier ministre pendant cinq ans.
00:05:09Et nous, nous faisons une forme ML pour combattre ça.
00:05:12Et nous, c'est-à-dire, nous ne passions qu'ici, mais seulement si nous ne déboutons
00:05:19et si nous ne faisons pas le public connaître ce qui peut passer, nous pouvons faillir en
00:05:24nos devoirs de patriotes, et c'est pour ça que nous avons formé le ML pour combattre
00:05:29cette dictature qui s'est menacée pour le pays.
00:05:32Et c'est comme ça que le ML a été formé.
00:05:34Et c'est pour ça que le ML a une ambition, et une ambition qui, malheureusement, aujourd'hui,
00:05:41n'existe plus parce que le leadership du ML actuel finit par trahir la mission qui
00:05:48nous tient en tête pour faire le ML d'un grand parti comme les autres partis.
00:05:55Peut-être que je pourrais élaborer sur la mission, lui-même.
00:05:58La mission, c'était une mission, premièrement, de contrecarrer la possibilité d'une dictature.
00:06:04Deuxièmement, travailler avec tous les autres partis qui comptent sur cette dictature-là
00:06:09pour être capables de donner à la démocratie son vrai valeur.
00:06:15Et c'est moi, je me fais une petite parenthèse.
00:06:18C'est possible aujourd'hui, avec un 70 euros, quand le gouvernement a tous les pouvoirs,
00:06:23d'être capables de réaliser ce qu'il a dû penser en 2014.
00:06:26C'est bien possible.
00:06:28Mais c'est moi, ce n'est pas dans notre manifeste électoral, mais on connaît à
00:06:33Maurice son manifeste électoral, il est capable de sonder.
00:06:36Mais c'est moi, c'est le bon qui nous fait rire.
00:06:38C'est-à-dire que l'histoire, c'est une bonne prophétie à ça.
00:06:41C'est une histoire bizarre.
00:06:43Bizarre à reconnaître qu'en 2014, nous finissons de tenir la tête avec Anirudh Jagannath,
00:06:49le leader du MSM.
00:06:51Et nous finirons pour ta victoire.
00:06:53Le peuple finit de résister.
00:06:55C'est qui qui finit de résister récemment?
00:06:57Non, c'est ça.
00:06:59C'est-à-dire que le peuple a une capacité de synthèse démocratique,
00:07:03qui est capable de nous apprécier.
00:07:06Mais le peuple connaît qu'il va ne plus jamais le faire.
00:07:09Et c'est pour cette raison-là que je pensais que le ML,
00:07:12son mission, c'était de travailler pour la démocratie,
00:07:16pour mettre en place un système que tout le monde est capable d'aspirer à n'importe qui poste.
00:07:22Et tu pourrais dire une méritocratie.
00:07:26Et je me souviens que dans ce campagne électorale, tu peux dire que pour toute nomination,
00:07:31tu pourrais dire un comité de sélection.
00:07:34Mais là, je trouve une nomination que tous les jours on peut faire,
00:07:36mais pas tout le comité de sélection.
00:07:38Donc aujourd'hui, nous sommes là,
00:07:40et nous savons qu'avec nos invités,
00:07:44à la suite de l'élection générale de 2014,
00:07:47il y a eu l'élection municipale.
00:07:49Et là, c'est une victoire de 120-0.
00:07:52Donc, tu as fait le bilan, la mission.
00:07:55Est-ce que pour toi, le temps que tu as fait au gouvernement entre 2014 et 2019,
00:08:01est-ce que tu trouves qu'au niveau de la collectivité locale,
00:08:05tu as fini de remplir ta mission par rapport à ce qui s'est annoncé dans le manifeste?
00:08:10Bon, c'est dommage que je n'ai pas fini de remplir ma mission.
00:08:13Ce n'est pas par la faute des municipalités.
00:08:16Ce n'est pas par la faute du gouvernement central,
00:08:19qui a fini de prendre le contrôle des municipalités.
00:08:23Ce n'est pas pour rien qu'ils ont appelé ça le Local Government Act.
00:08:28C'est le Local Government.
00:08:30Ce n'est pas le Central Government.
00:08:32Ils ont dit, malheureusement, pénal local government,
00:08:35parce que tous les fonds sont sortis depuis le gouvernement central.
00:08:39L'autonomie qui banne la municipalité de Tépi et Lali.
00:08:44Et c'est dommage, parce que les municipalités,
00:08:49c'est la proximité avec les citadins.
00:08:53Ce n'est pas comme le gouvernement central.
00:08:55Et aujourd'hui, nous pénalisons le Local Government, c'est dommage.
00:09:00Et tu peux penser à faire un changement radical du Local Government.
00:09:06Pas fait d'arrivée.
00:09:08Nous n'avons même que 6 mois d'arrivée.
00:09:10D'ailleurs, on peut faire l'élection sous l'ancien régime.
00:09:14Alors, finalement, back to square one.
00:09:18Alors, là, on m'adresse à Orne Vacher.
00:09:21La première question, c'est...
00:09:25Je me trouve en avant Maurice, sur le plateau.
00:09:28Je suis également du Rassemblement mauricien.
00:09:30Donc, quelques mois après cette participation de l'élection générale,
00:09:34que l'alliance du changement, l'élection zéro,
00:09:37Gaillot, Fringant, Perré, viennent avec les hommes pour l'élection municipale.
00:09:43La première question, c'est, qui bannent les gens qui viennent tirer de cette élection générale-là?
00:09:47Quand même, c'est une alliance.
00:09:49Donc, qui bannent les conclusions?
00:09:53Oui, bien évidemment.
00:09:55Avant toute chose, Rudi, merci pour l'invitation.
00:09:58Et je salue, bien évidemment, les internautes et tous les auditeurs de Top FM.
00:10:02Et il est évident qu'ils nous feraient un constat,
00:10:06qu'ils nous concomiteraient à faire.
00:10:09La réalité, elle est toute simple.
00:10:12Tu ne peux jamais éteindre le gouvernement des hauts,
00:10:14il met les hauts.
00:10:15Donc, d'où, bien évidemment, le jeu de certaines alliances pendant les élections générales.
00:10:19Et nous comprenons.
00:10:22Et M. Gaillot ne fait que dire une affaire.
00:10:24C'est qu'aujourd'hui, c'est que le gouvernement bien comprend,
00:10:28comme tout politicien bien comprend,
00:10:30c'est qu'ils nous destineront, on va dire, dans la main des électeurs.
00:10:34Pour les prochaines élections municipales, de toute façon,
00:10:37le résultat va dépendre des citadins.
00:10:39D'où l'intérêt de faire un travail de proximité avec les citadins.
00:10:44Mais pour en revenir aux élections générales,
00:10:47le résultat est là.
00:10:49Donc, nous ne t'y perdons de toute façon un résultat pareil.
00:10:54Non, ce sera zéro.
00:10:56Oui, personnellement, nous ne t'y perdons un résultat pareil,
00:10:59parce que dimanche, il finit plein.
00:11:02Dimanche, il marie plein, pas fini plein, mais marie plein
00:11:04avec ce qui s'est déroulé pendant les dix dernières années.
00:11:07Et le résultat est là.
00:11:09Nous, nous ne faisons pas de l'alliance dans un contexte bien précis.
00:11:14Mais après, le citadin, l'électeur, l'élite,
00:11:18ils finissent par décider qui peut faire et qui ne peut pas faire.
00:11:20Et le résultat est là.
00:11:22Donc, nous gagnons un 60-0.
00:11:24Après, est-ce que c'est bon pour la démocratie ? Non.
00:11:26Parce qu'un 60-0, comme M. Gayane l'a dit,
00:11:28il donne les pleins pouvoirs à un gouvernement.
00:11:30Nous ne pouvons pas savoir ce qui peut se dérouler en ce moment.
00:11:32Nous n'avons pas de vague de nomination.
00:11:34Il y en a qui sont OK, qui sont génuines,
00:11:36mais il y en a qui ne nous permettent pas d'y comprendre.
00:11:39Ce ne sont pas des causes politiques de petits copains,
00:11:42de pleins de choses, mais finalement,
00:11:44nous pouvons faire plus ou moins les mêmes affaires
00:11:46pour lesquelles nous étions opposés.
00:11:48Donc, à un moment donné,
00:11:50quel est le message,
00:11:52quel est le vrai message que nous pouvons repasser ?
00:11:54Mais moi, en ce qui me concerne,
00:11:56moi personnellement, et aussi le président d'Armamoris,
00:11:58c'est que nous pouvons faire le contraire de ce que nous pouvons dire.
00:12:00Mais la conclusion, c'est qu'à l'époque,
00:12:05l'idée, c'était BLD.
00:12:08Il arrive BLD.
00:12:10Asté, nous nous pévinons aujourd'hui
00:12:12on our own, au municipal,
00:12:14parce que, vous me rappelez,
00:12:16c'est qu'Armamoris,
00:12:18nous nous formons en Armamoris en 2019,
00:12:20c'est-à-dire quasiment
00:12:22le lendemain des dernières élections.
00:12:24Et c'est un parti
00:12:26qui nous est formé
00:12:28avec la peau de notre citadin.
00:12:30Vous comprenez ?
00:12:32Et aujourd'hui, le parti d'Armamoris,
00:12:34et ses membres,
00:12:36c'est surtout et avant tout notre citadin
00:12:38de la ville de Beaubas-Saint-Rosile.
00:12:40Donc, nous avons un travail,
00:12:42nous avons une vision,
00:12:44nous vivons une vague de changement.
00:12:46Nous sommes connus, et même reconnus,
00:12:48par rapport à notre transparence,
00:12:50à notre innovation,
00:12:52et à notre profit sur le terrain.
00:12:54Nous n'avons pas de bonne action sur le terrain,
00:12:56que ce soit vis-à-vis des artistes,
00:12:58vis-à-vis des sportifs,
00:13:00et vis-à-vis des entrepreneurs.
00:13:02Voilà.
00:13:04Mais une autre chose intéressante,
00:13:06c'est qu'au bout d'un moment donné,
00:13:08l'équipe est évidente
00:13:10qu'elle pédale vers N60.
00:13:12Et il y a un thème
00:13:14qui est bien dans l'actualité
00:13:16depuis la prédiction,
00:13:18c'est les bandes-sondages.
00:13:20Et les bandes-sondages peuvent s'analyser sans faire.
00:13:22Et si je ne me trompe pas,
00:13:24dans les bandes-sondages,
00:13:26le leader d'Armamoris
00:13:28est en bas d'étage, favorable.
00:13:30Est-ce qu'il se fait
00:13:32prendre compte de ces sondages ?
00:13:34Vous savez, dans le monde politique,
00:13:36et ce n'est pas moi qui vais venir inventer la roue,
00:13:38M. Cayenne connaît ça plus que moi,
00:13:40ainsi que nos collègues à côté,
00:13:42mais vous savez, les sondages,
00:13:44je n'ai rien à faire.
00:13:46Moi, je ne me crois pas trop dans les sondages,
00:13:48je me crois aux réalités du terrain.
00:13:50Après, Pulse Analytics, je sais qu'ils sont arrivés avec Pulse Analytics.
00:13:52Mais quand, justement, il y a ces sondages
00:13:54que tout le monde peut lire sur Facebook,
00:13:56il n'y a rien, à cette époque-là,
00:13:58que tu peux dire ?
00:14:00Vous savez, vous pouvez dire, moi,
00:14:02je suis en bas d'étage, favorable.
00:14:04Patrick Belcourt, au final, il ne faut pas oublier,
00:14:06il est sorti là, avec quand même un joli résultat.
00:14:08Il n'est pas battu, n'importe qui, dans cette élection-là.
00:14:10Il ne faut pas oublier ce qu'il a fait.
00:14:12Il a battu l'IDRML.
00:14:14Il a battu l'IDRML.
00:14:16Donc, M. Cayenne a fallu ressortir.
00:14:18Et ce qui m'a apprécié avec M. Cayenne,
00:14:20c'est qu'il a reconnu, éventuellement,
00:14:22et c'est fort dommage, forcément,
00:14:24qu'ils n'aient pas rempli cette mission, à l'époque.
00:14:26Et le résultat est là.
00:14:28Patrick Belcourt est arrivé avec un travail,
00:14:30avec une vision, avec un programme.
00:14:32Et le résultat est là.
00:14:34Il a battu le leader du ML.
00:14:36Et il était à ça,
00:14:38d'avoir un bien meilleur résultat.
00:14:40Et puis, ça ne se jouait à rien du tout.
00:14:42Et vous comptez ici, comment dire,
00:14:44nous passer dans une logique vague.
00:14:46C'était une vague.
00:14:48C'est-à-dire que voter,
00:14:50peut-être, contre un gouvernement
00:14:52qui est un symbole d'adhésion,
00:14:54peut-être, je pensais que
00:14:56Patrick Belcourt se passait.
00:14:58Tout à fait.
00:15:00Travailler, en effet, dans ce sens-là.
00:15:02Moi, je m'étais convaincu, en tous les cas, personnellement,
00:15:04qu'il y allait passer.
00:15:06Et, encore une fois, Mouretia, il était à ça de passer,
00:15:08ne serait-ce que en tant que best-loser
00:15:10et être, aujourd'hui, au Parlement.
00:15:12Alors, quand on ouvre Parlement,
00:15:14aujourd'hui, avec un 60-0,
00:15:16et en face
00:15:18d'une réelle opposition,
00:15:20d'Eddie Moon, qui, franchement,
00:15:22ne perponde pas grand-chose, en termes d'opposition,
00:15:24c'est ça que je trouve dommage.
00:15:26Donc, forcément, le 60-0, par rapport à la démocratie,
00:15:28c'est niat.
00:15:30Mais, et c'est aujourd'hui,
00:15:32l'occasion qui nous est née, justement,
00:15:34à travers les municipales, de venir prouver le contraire.
00:15:36De venir apporter,
00:15:38ne serait-ce qu'à travers les municipales,
00:15:40une réelle opposition.
00:15:42Une opposition,
00:15:44be it whatever party,
00:15:46mais, je ne suis pas en avant Maurice.
00:15:48En avant Maurice, il y a un programme.
00:15:50Et c'est un programme qu'il a entamé depuis des années.
00:15:52Il a rempli certaines actions.
00:15:54Et c'est, aujourd'hui,
00:15:56l'occasion que le citadin a
00:15:58de venir prouver, aujourd'hui,
00:16:00de nous, justement, sa possibilité
00:16:02de venir avec une réelle opposition
00:16:04au travers des municipales.
00:16:06Parce que, si ce n'est que ça,
00:16:08nous pourrions être, nous, avec un 120-0,
00:16:10comme au 60-0, élection générale,
00:16:12mais c'est là qu'il va arriver.
00:16:14Donc, c'est à Gignac.
00:16:16Donc, le leader
00:16:18du rassemblement Maurice,
00:16:20c'est certainement pas un inconnu.
00:16:22C'est un des rôles, lui aussi, dans le Bouddha.
00:16:24Donc, dans le Bouddha, quitte MSM,
00:16:26pour faire un parcours politique,
00:16:28d'ici un moment donné,
00:16:30dans un regroupement
00:16:32travailliste, PMSD,
00:16:34et, finalement,
00:16:36de faire un rassemblement Maurice,
00:16:38et de faire une alliance avec Bouchibada,
00:16:40les Front Party, et en avant Maurice,
00:16:42et aussi
00:16:44la Mouvelle Hayden.
00:16:46Qui va-t-on tirer de ça ?
00:16:48De la dernière élection générale.
00:16:50Écoutez, nos participations
00:16:52aux dernières élections,
00:16:54c'est quand même, comment dire, un « eye-opener ».
00:16:56Pour tout le monde
00:16:58qui a participé à cette élection-là,
00:17:00sous la bannière de l'Union Réforme,
00:17:02il y a plusieurs partis
00:17:04qui sont là, sur la même plateforme.
00:17:06Et ce qui est intéressant,
00:17:08c'est qu'une grande majorité
00:17:10de ces 20 personnes qui participent
00:17:12dans les élections générales,
00:17:14c'est des gens qui sont nouveaux à la politique.
00:17:16Ça, c'est quelque chose
00:17:18de tenir à souligner.
00:17:20Parce que souvent, des fois, nous trouvons
00:17:22des gens anciens qui sont réunis,
00:17:24ou bien des gens qui ont déjà participé
00:17:26et qui sont réunis. Mais cette fois-ci,
00:17:28une grande majorité, c'est des gens
00:17:30qui sont nouveaux. Souvent, des fois,
00:17:32on nous dit qu'on a besoin
00:17:34d'un jeune dans la politique.
00:17:36Mais nous, c'est qu'on nous dit, oui, la jeunesse, oui,
00:17:38mais c'est aussi un élément nouveau.
00:17:40Des gens qui, peut-être, n'aiment pas
00:17:42faire politique, mais qui ont envie
00:17:44de faire politique, et qu'ils sont, je le devine,
00:17:46dans la politique, je le devine avec
00:17:48une nouvelle perspective, une nouvelle
00:17:50façon de voir les choses.
00:17:52Et pendant la campagne, est-ce que vous avez eu
00:17:54l'impression, de par la situation,
00:17:56un côté, où le Sénat travaille
00:17:58avec la résistance alternative
00:18:00et les Nouveaux Démocrates, et l'autre côté,
00:18:02avec MSM et PMSD et KMEU,
00:18:04qu'ils n'ont pas réussi
00:18:06à passer le message que vous avez envoyé?
00:18:08Sur le terrain,
00:18:10moi, je me suis convaincue,
00:18:12pareil comme tous les autres camarades
00:18:14qui m'ont posé, que sur le terrain,
00:18:16toute la situation est bien portée.
00:18:18Le message est bien traversé.
00:18:20La population
00:18:22a envie d'un changement.
00:18:24Mais, comme on me dit souvent,
00:18:26Peut-être qu'on peut nous rappeler
00:18:28quel est le message principal
00:18:30que je peux véhiculer sur le terrain?
00:18:32Déjà, au niveau
00:18:34de ce changement, au niveau de la Constitution,
00:18:36c'est-à-dire, que deux mandats,
00:18:38déjà,
00:18:40une commission qui peut nommer
00:18:42des personnes dans des positions
00:18:44clés, dépendant
00:18:46de leurs compétences et de leurs expériences.
00:18:48Je ne sais pas comment on peut trouver ça.
00:18:50À tout bout du champ,
00:18:52on peut trouver des nouveaux nominés,
00:18:54on ne sait pas trop comment. Et aussi,
00:18:56on prend la transparence.
00:18:58La transparence dans nos décisions.
00:19:00Parce que, pour nous, nos moteurs, c'était
00:19:02compétence, intégrité et méritocratie.
00:19:04Et ça, c'est le message
00:19:06qu'il faut qu'il fasse passer sur le terrain.
00:19:08La population,
00:19:10pour le changement.
00:19:12Mais souvent, comme tu m'as dit tout à l'heure,
00:19:14le vox populis, c'est le vox déis.
00:19:16C'est-à-dire, quelque part, c'est la population
00:19:18qui décide.
00:19:20Et nous devons respecter notre choix.
00:19:22Parce qu'au moment où tu prends
00:19:24la décision, parce que tout le temps, nous devons
00:19:26être au moment où tu prends la décision,
00:19:28tu as un sentiment de ras-le-bol.
00:19:30Tu as envie de changement.
00:19:32Tu as envie de faire un gouvernement aller.
00:19:34Et tu dois faire ce que tu veux faire.
00:19:36Et pour ne pas balcaniser notre vote,
00:19:38sans montrer ce qu'ils ont fait,
00:19:40c'est qu'ils ont créé une vague.
00:19:42Et quelque part, nous, nous respecter.
00:19:44C'est un choix de la population.
00:19:46Mais nous, toujours là.
00:19:48Nous, toujours présents.
00:19:50Et nous-mêmes, nous connaissons qu'il y a une mission politique.
00:19:52Moi, tout de même,
00:19:54avec Annick Gaillan,
00:19:56tous les trois,
00:19:58nous partageons ce qu'ils nous ont fait.
00:20:00Il y a un plan électoral, une promesse électorale,
00:20:02un manifeste électoral.
00:20:04Et souvent, comme vous m'avez dit,
00:20:06vous nous avez invités aussi,
00:20:08une fois au pouvoir,
00:20:10il paraît que l'alliance qui gagne le pouvoir,
00:20:12elle a des difficultés,
00:20:14ou bien, elle n'est pas respectée.
00:20:16C'est un point fondamental
00:20:18de ce programme qu'ils veulent annoncer.
00:20:20Ou qu'il y a un vétéran
00:20:22qui manque du cabinet,
00:20:24qui manque de l'alliance.
00:20:26Comment arrive cette situation-là ?
00:20:28Ok, à un moment donné,
00:20:30ils ont fait un geste, mais sa promesse,
00:20:32ça ne va pas partir.
00:20:34On peut ressortir que dans ce gouvernement-là,
00:20:36on a le premier ministre,
00:20:38qui n'était pas le premier ministre avant,
00:20:40on a le vice-premier ministre,
00:20:42qui n'était pas le premier ministre avant,
00:20:44ça veut dire qu'il n'est pas capable de venir devant l'électorat,
00:20:46qui ne sait pas qui est là,
00:20:48et qui va faire la promesse qu'il est capable de faire,
00:20:50et qui va tenir la promesse qu'il est capable de tenir.
00:20:52Ce n'est pas n'importe qui,
00:20:54ce n'est pas un nouveau, comme madame peut le dire,
00:20:56c'est un vétéran
00:20:58qui a de l'expérience,
00:21:00qui a déjà assumé les plus hautes fonctions de l'État,
00:21:02et quand il va venir,
00:21:04il va faire une promesse,
00:21:06mais pas une seule promesse,
00:21:08qui fait une croisière, qui frappe l'imagination,
00:21:10pour baisser l'essence,
00:21:12disons, pour 20 roupies.
00:21:14Où est-ce qu'on va aller ?
00:21:16Il y a des gens qui vont voter là,
00:21:18qui vont accepter l'essence,
00:21:20qui vont payer un gros prix,
00:21:22ils vont l'influencer.
00:21:24Est-ce qu'à ce moment-là,
00:21:26ni le docteur Moulam, ni le vice-premier ministre,
00:21:28ne seraient pas au courant que l'économie
00:21:30va-t-il vous permettre une affaire comme ça ?
00:21:32Mais c'est l'irresponsabilité
00:21:34de la part d'un grand dirigeant
00:21:36pour faire une promesse
00:21:38qu'il ne va qu'à tenir.
00:21:40Et l'autre promesse qu'ils ont fait,
00:21:42c'est pour un
00:21:44laccord à Galiga public.
00:21:46Oui, oui.
00:21:48J'en ai tout, Paul Béranger, perdu à Galiga demain.
00:21:50Il perd à Galiga,
00:21:52mais ce n'est pas le but de Galiga.
00:21:54Il n'est pas capable de Galiga,
00:21:56ce n'est pas un problème,
00:21:58mais il n'est pas capable de tenir avec les Torah.
00:22:00C'est pour un
00:22:02Salah Kourla public.
00:22:04Le premier ministre m'a dit, Yves Maurice,
00:22:06qui tient en paix
00:22:08le gouvernement mauricien,
00:22:10il m'a dit que c'est une promesse électorale,
00:22:12et il n'y a pas de sinistre
00:22:14dans Salah Kourla.
00:22:16Nous rendons public, au moins,
00:22:18l'engagement qu'il nous prend avec le peuple.
00:22:20Anne Hédayane,
00:22:22j'ai une parenthèse ici.
00:22:24Tu es ministre des Affaires étrangères
00:22:26et nous aussi, nous rééluquons
00:22:28la cause des diplomates,
00:22:30des missions diplomatiques.
00:22:32Je dirais que c'est tout à fait normal
00:22:34qu'il y ait un accord entre les deux pays.
00:22:36Il y a, dans ce cas-là,
00:22:38une cause qui, par rapport à la méthode publique,
00:22:40ce n'est pas une première.
00:22:42Ce n'est pas une première, mais il nous fait cause
00:22:44d'un ancien premier ministre,
00:22:46de deux anciens premiers ministres
00:22:48qui se sont bien connus et qui se sont fait causer.
00:22:50C'est possible de ne pas avoir
00:22:52un accord comme ça.
00:22:54C'est une cause de confidentialité.
00:22:56Mais qui fait bien une promesse.
00:22:58Qui fait bien une bête électorale.
00:23:00Vous pensez qu'au moment où je peux faire
00:23:02cette promesse-là, je te connais
00:23:04qui n'est pas capable d'avoir cet accord-là?
00:23:06Bien, naturellement.
00:23:08C'est évident
00:23:10que je te connais qui n'est pas capable
00:23:12de faire ça, mais justement, il faut faire l'imagination.
00:23:14Pour rendre public
00:23:16l'accord à Galiga.
00:23:18Effectivement, je ne crois pas qu'il y ait
00:23:20une grande affaire dans cet accord à Galiga.
00:23:22Mais seulement, je ne fais rien.
00:23:24Il y a des affaires chagoses,
00:23:26par exemple.
00:23:30Mais seulement,
00:23:32il est important qu'il
00:23:34nous comprenne que
00:23:36quand on vient devant l'électorat,
00:23:38l'électorat s'ouvre. L'électorat peut
00:23:40écouter lui. Quand un leader politique,
00:23:42surtout l'ancien premier ministre,
00:23:44devient cause avec l'électorat,
00:23:46c'est le peuple-là
00:23:48qui est obligé de sentir
00:23:50qu'il est obligé de faire sa confiance.
00:23:54Mais quand sa confiance est trahie,
00:23:56et c'est pour ça que l'élection municipale
00:23:58est importante. Dans l'élection
00:24:00générale, je ne fais rien
00:24:02si je ne suis pas capable de tenir.
00:24:04Je ne peux pas tenir. Et je ne suis pas capable
00:24:06de tenir.
00:24:10Non, mais là, nous,
00:24:12c'est ça, l'alliance du changement.
00:24:14Les autres, là,
00:24:16comme un premier ministre, il y a une suite.
00:24:18Ça, c'est un langage pour un premier ministre,
00:24:20mais ça, c'est pas ça. Mais là,
00:24:22tu gagnes une promesse de premier ministre pour l'élection
00:24:24municipale?
00:24:26Tu gagnes une promesse pour une alliance de toute qualité
00:24:28par tous les dirigeants
00:24:30pour faire campagne, pour dire, pour faire ça, pour faire ça,
00:24:32pour faire ça? Ah bien, nous faisons bien un exemple.
00:24:34Au gouvernement central,
00:24:36je ne suis pas capable de faire rien
00:24:38pour tenir la promesse qu'ils ont fait
00:24:40et qui fait convaincre l'électorat.
00:24:42Est-ce qu'il,
00:24:44même quand il fait campagne pour faire pour le municipal,
00:24:46et c'est la cause, ça, qui va en partie non traditionnelle
00:24:48et qui a un rôle important pour jouer
00:24:50pour conscientiser sa population
00:24:52que ça, ils ont fait une biennienne
00:24:54une première fois. Il n'y a pas les autres
00:24:56bienniennes une deuxième fois.
00:24:58Permettez-moi
00:25:00de vous poser une question
00:25:02à Enil Gayane, parce qu'il y a
00:25:04un livre qui, ou un ancien collègue,
00:25:06Jean-Claude Lestock, qui l'écrit, Ennemi intime.
00:25:08Nous ne parlons pas de l'occasion.
00:25:10Donc, à la page 26,
00:25:12il fait mention, déjà,
00:25:14à l'époque, quand il n'y avait que
00:25:16le gouvernement 80-dé,
00:25:18il fait un rapport, The State of the Moroccan Economy.
00:25:20Et nous trouvons le terme,
00:25:22il réapparaît, là,
00:25:24récemment, et on le disait juste avant,
00:25:26c'est-à-dire que, pour beaucoup d'experts
00:25:28qui viennent déjà au couple POS,
00:25:30Ministres des Finances et des Provinces,
00:25:32il est assez difficile
00:25:34pour vous dire qu'il n'est pas
00:25:36connu dans quel état
00:25:38l'économie était. Vous pensez vraiment,
00:25:40sur les chiffres qu'ils ont gagnés,
00:25:42enfin, moi, pour répondre à ça,
00:25:44j'ai fait The State of the Economy,
00:25:46vrai, parfois, on ne le connaît pas,
00:25:48mais c'était le devoir
00:25:50de l'ancien gouvernement,
00:25:52soit pour dire que c'est vrai ce qu'il y a
00:25:54dans The State of the Economy,
00:25:56ou bien pour dire que non, ce n'est pas vrai,
00:25:58alors la réalité, c'est ça.
00:26:00L'ancien ministre des Finances,
00:26:02qui a un devoir envers la population,
00:26:04vient dire la vérité.
00:26:06S'ils ont fait erreur,
00:26:08acceptez qu'ils ont fait erreur. Personne ne peut prouver.
00:26:10Ni moi, ni vous, personne ne peut prouver.
00:26:12Mais seulement, l'électorat
00:26:14peut atteindre
00:26:16un degré de vérité de la part de l'ancien gouvernement,
00:26:18parce que ce gouvernement-là,
00:26:20pile au ancien gouvernement,
00:26:22on parle là pour défendre l'ancien gouvernement.
00:26:24Mais on peut dire que c'était un devoir
00:26:26de la part de l'ancien gouvernement
00:26:28pour venir dire exactement
00:26:30de quoi s'agit
00:26:32The State of the Economy.
00:26:34Si c'était vraiment The State of the Economy,
00:26:36c'était aussi. Laisse-moi dire aussi,
00:26:38si c'était The State of the Economy,
00:26:40tellement mauvais.
00:26:42Les gens nous demandent
00:26:44les autres statistiques.
00:26:46Je ne dis pas que c'était mauvais là.
00:26:48Mais seulement, vous avez fait quoi
00:26:50qui n'est pas capable d'avoir
00:26:5220 roupies de l'essence,
00:26:54qui n'est pas capable d'avoir 14 mois,
00:26:56tout le monde.
00:26:58C'est ça, c'est la première chose qu'il faut faire.
00:27:00Je sais que les auditeurs et l'internet
00:27:02écoutent ce débat avec beaucoup de passion.
00:27:04Et je rappelle aux auditeurs
00:27:06qu'ils peuvent aussi participer à l'émission.
00:27:08Vous pouvez téléphoner au 213 77 77
00:27:10pour se poser de bonnes questions.
00:27:12Vous pouvez également nous suivre
00:27:14sur TOP TV sur la chaîne 10
00:27:16de Parabol Morris.
00:27:18Nous poursuivons le débat
00:27:20dans quelques instants.
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00:37:28du plateau, de l'extérieur, au moins je suis capable, j'ai déjà une idée dans
00:37:32quelle situation nous l'économie était. Le parti n'a aucun droit, Vini, et augmente
00:37:38sa valeur, c'est ce qu'ils nous promettent. Le parti Bizet fait surenchère. Le parti
00:37:41Bizet fait surenchère, parce que la valeur du jour, imaginez-nous, combien de monde
00:37:46il y a tant qu'ils ont pu gagner ces 14e mois-là. Et les 14e mois, Vini, un parti
00:37:51de moins, dans la même compagnie, un parti de moins a gagné et les autres partis de
00:37:54moins n'ont pas gagné. On connaît combien ça cause des problèmes, combien ça cause
00:37:58des conflits. Il y a des moments où on dit qu'il y a des solutions qu'on peut apporter
00:38:03au niveau de l'éducation. Le ministre actuel dit qu'il y a des assises de l'éducation.
00:38:08Mais tout le monde peut toujours y aller. Et là, avec ce qu'il nous peut trouver depuis
00:38:12le début de l'année... Si je ne me trompe pas, on a communiqué la semaine dernière
00:38:16qu'il peut annoncer une assise de l'éducation. Il peut annoncer. Il peut, Vini. Mais toujours
00:38:20peut, Vini, même. Et là, depuis le début de l'année, s'il y a tout ça dans le cas
00:38:24de bullying, dans le cas de violences qui peuvent arriver dans l'école. Là, actuellement,
00:38:29récemment, il y a des enfants dans le primaire qui se tiennent dans ce sac, etc. Mais ça
00:38:35montre qu'il y a un laissez-aller. Et là, c'est la volonté politique qui est très
00:38:42très importante. Si on veut dire qu'on doit pouvoir faire quelque chose, et si on ne peut
00:38:48pas le faire, on a besoin d'une transparence. On doit pouvoir, Vini, expliquer à la population
00:38:54parce que la population mauricienne est une population qui comprend. Si nous, Vini, nous
00:38:58explique, Monsieur, c'est certain, je peux comprendre qu'il ne fait pas ce qu'il est
00:39:01capable. Ou bien si il est capable, quand il est capable. Et non pas, Vini, dire qu'il
00:39:06y en a certains qui peuvent dire qu'ils ne sont pas contents, ils sont éternellement
00:39:10insatisfaits. Je ne peux pas croire que c'est ça le langage que la population mauricienne
00:39:14peut entendre.
00:39:15Docteur Julia, on est académique, donc on n'est pas vos professionnels très très remplis.
00:39:21Donc, est-ce que vous ne pensez pas qu'il y a une offre, quelque part, des politiciens,
00:39:26des professionnels, mais il y a aussi des citoyens qui peuvent accepter qu'ils soient
00:39:33capables de prendre cette offre-là. Est-ce qu'il n'y a pas de responsabilité quelque
00:39:37part ?
00:39:38Oui, Vini, dans tout ça, c'est qu'il faut être capable de dire que ce n'est pas toute
00:39:43offre qui est une offre qui est acceptable. Nous ne sommes pas capables de faire tout
00:39:48au niveau finance, au niveau bancaire. Et là, la société mauricienne, dans qui direction
00:39:55elle peut aller, comment elle peut se développer, ça aussi joue un rôle stratégique.
00:39:59Quand nous avons les derniers meetings, les meetings du MSM, nous avons aussi les meetings
00:40:06de l'Alliance du changement, le 1er mai, après aujourd'hui. On peut dire par exemple
00:40:11que Mme Bougain est en congé, on peut dire qu'elle est pour baisser l'essence, etc.
00:40:16Mais nous devons être en ébullition à chaque fois qu'il y a une annonce-là. Est-ce
00:40:22que l'électorat aussi peut encourager la surenchère ?
00:40:24Si vous permettez, docteur, non, on ne peut pas croire que peut-être une partie de l'électorat,
00:40:36les peuples mauriciens, encouragent la surenchère, peut-être bien malgré lui. Tout dépend comment
00:40:41justement les politiciens, les gouvernants peuvent véhiculer le vrai message. Il ne
00:40:46peut pas être qu'on passe un message. Comment voulez-vous que quelqu'un, un citoyen, un
00:40:50électeur, soit responsable, en dehors du fait qu'il doit se responsabiliser lui-même.
00:40:55Il doit avoir un guide, il doit avoir un paramètre. Il ne faut pas venir avec un paramètre, il
00:41:01ne faut pas véhiculer un message comme il le fait vis-à-vis de l'électorat pour qu'il
00:41:07se responsabilise lui-même. Comment vous expliquez qu'aujourd'hui, comme le docteur
00:41:10Citta a dit, comme M. Gagné l'a fait ressortir, quand on prend l'âge de l'âge, le docteur
00:41:15Citta, une cause, la violence, une cause, la drogue. Vous réalisez aujourd'hui qu'il
00:41:21y a des enfants de 13, 14 ans, drogués à ce point-là, si vous ne posez pas la vraie
00:41:29séance, si vous ne posez pas la vraie raison, si vous ne vous responsabilisez pas, si vous
00:41:34ne véhiculez pas le vrai et le bon message, comment voulez-vous qu'il vous donne la responsabilité?
00:41:38Astaire, vous me dîtes. Ce n'est pas 14 ans que vous réglez les problèmes maintenant.
00:41:41Mais bien sûr, ce n'est pas 14 ans que vous réglez les problèmes, la drogue. Nous devons
00:41:44faire un travail, nous devons avoir nos affaires à la racine, nous devons avoir notre route
00:41:48causeuse. Dans toute compagnie privée, aujourd'hui, au secteur public même, nous pouvons avoir
00:41:52notre route causeuse quand il y a un problème. Il ne faut pas, Astaire, nous trouver un problème
00:41:55dans la solution. La solution là, il y en a. Il y a des gens qui inventent les solutions
00:41:59pour rester bonnis. Mais il ne faut pas, Astaire, que quand nous trouvons une solution,
00:42:06nous trouvons un problème, une solution. L'idée, c'est de faire passer le message,
00:42:09amène le Mauricien, les Péplats, comprends, voilà qui nous peut faire, comment nous pouvons
00:42:14faire, et non pas des gens qui viennent et qui disent, oui, nous pouvons faire, nous
00:42:16pouvons faire, nous pouvons faire, après quand on vient nous faire, nous défaire.
00:42:19Tout en se disant, simplement pour me rebondir de ce qu'il y a en Inde, vous connaissez
00:42:23à la fois le packaging d'un produit, qui est très très attrayant, il est en lisier,
00:42:27il est en or, il est en dé. C'est très très attrayant, mais nous avons le temps
00:42:31pour faire un changement de fond, parce que nous, au niveau du rassemblement Mauricien
00:42:36et dans l'Union Mauricienne, tout le temps, nous disons que nous avons envie d'amener
00:42:39un changement en profondeur et nous tous connaissons, les temps arrivent, les changements, comment
00:42:44l'être humain était. La façon facile, il paraît beaucoup plus attractif. Mais quand
00:42:48nous avons le temps pour faire un travail de fond, là, nous allons faire beaucoup d'efforts.
00:42:52Vous savez qu'aujourd'hui, il y a une partie émergente, une partie non traditionnelle, c'est que nous nous écoutons les gens, nous écoutons eux, nous comprenons leurs problèmes, nous comprenons leurs besoins, c'est ça qu'il nous faut faire, ok ?
00:43:04A ce stade, quand nous écoutons eux, nous comprenons leurs besoins, il ne faut pas faire le contraire, juste parce qu'on veut gagner une tickete.
00:43:11Au moment où on est là-haut, il faut arrêter d'une certaine manière, d'une certaine façon, soit disant d'écouter les gens, après nous faire le contraire.
00:43:20Aujourd'hui, et M. Cayenne, c'est moi pour adhérer à ça, quand nous trouvons le gouvernement en place, qu'est-ce qui va arriver ?
00:43:25Tu promets tant d'affaires, mais aujourd'hui, il n'y en a pas, il n'y en a pas à temps de même, il n'y en a pas, il n'y en a pas été, qu'est-ce qui va arriver, qu'est-ce qui ne va pas arriver ?
00:43:32Il n'y a pas 100 jours, là !
00:43:34Un des gros problèmes de la politique amoriste, c'est le rôle de Vendidius, c'est une mainmise sur le parti.
00:43:43Et personne ne peut aller contre l'antagonisme du leader du parti, il ne va pas vouloir une tickete, il ne va pas vouloir un poste de ministre, il ne va pas vouloir ceci.
00:43:50Nous faisons démocratiser les partis, les partis traditionnels.
00:43:54Parce que comment il était aujourd'hui, nous parlons de la catastrophe démocratique.
00:44:00C'est-à-dire qu'un leader qui n'a pas décidé de lui, il peut faire quelqu'un ou défaire quelqu'un.
00:44:04Il a envie de flattiquer quelqu'un, il peut flatter quelqu'un, il a envie de détruire lui, il peut détruire lui.
00:44:08Mais ce n'est pas possible.
00:44:09Il n'est pas possible.
00:44:10Pendant sa dialogue, sa démocratie en interne.
00:44:13Et c'est une des raisons pour lesquelles le M.L. n'a pas réussi à fonctionner.
00:44:17Peut-être qu'ils pourront nous raconter une anecdote qui doit être même, ou doit être même aussi,
00:44:23pour justement donner un exemple un peu plus vivant de comment un leader est puissant et se fait et se défait.
00:44:32Ça, c'est tellement facile.
00:44:34Quand je suis le leader du parti, je peux faire mon bureau politique, c'est-à-dire mon comité central.
00:44:42Personne ne partage la voix pour contredire le leader.
00:44:48Moi, je suis le leader de plusieurs partis.
00:44:51Et moi, je suis le leader de plusieurs conseils de ministres.
00:44:54Et je pense que l'une de mes faiblesses, c'est que je ne peux pas dire ce que je pensais que je devais dire.
00:44:59Et ça ne fait pas des amis, ça fait des ennemis.
00:45:02Et c'est malheureux comme ça, au lien avec nous.
00:45:06Mais j'ai besoin d'une exception pour ça.
00:45:09Lui, il peut permettre, comment dire, même contre lui,
00:45:14il n'est pas en colère, il n'est pas content, mais seulement il peut réfléchir.
00:45:18Et il peut prendre une misère drastique encore à son époque.
00:45:21Pourquoi? C'est le seul leader qu'on connaît qui peut accepter, comment dire, une conversation.
00:45:28Aujourd'hui, c'est une monologue.
00:45:31Si vous n'êtes pas d'accord avec le leader, eh bien, ça va inquiéter la porte ouverte.
00:45:35Et c'est ça qui arrive.
00:45:38Dernier exemple, c'est Franco-Curain.
00:45:41Pour Franco, Franco qui fait des années et des années dans Beaubassin.
00:45:46Il a eu un problème avec mon pensée, la fille du leader du parti, et c'est terminé pour Franco-Curain.
00:45:52Vous finissez avec lui, Franco-Curain?
00:45:55Non, tiens, mais moi pourquoi j'en ai fait?
00:45:57Pour vous expliquer un phénomène. Enfin, pas phénomène, la situation.
00:46:00Andy Moon est de l'opposition pendant quand même beaucoup d'années.
00:46:04Finalement, il a gagné l'élection.
00:46:07Et 1 de 60, il reste des semaines ou trois, et il est retourné dans l'opposition.
00:46:13Dans une pseudo-opposition.
00:46:15Encore une fois, c'est le leader.
00:46:17C'est le système, c'est le système au sein des partis.
00:46:19Il n'est pas capable d'aller dans une réunion pour lui expliquer.
00:46:23Maintenant, il faut t'offrir.
00:46:25Il devient l'ennemi immédiat du parti.
00:46:28Le pire dans tout ça, c'est que c'est les membres du parti qui viennent prôner, qui viennent dire qu'ils sont des membres du parti progressiste.
00:46:33Alors que, je ne peux plus se régresser, qui se paie progressiste?
00:46:37Vous connaissez l'ordi là, M. Rudy?
00:46:39À l'intérieur du parti travailliste, il y a beaucoup de frustration.
00:46:42MMM, il y a beaucoup de frustration.
00:46:44Beaucoup de frustration.
00:46:45Ah, c'était là, là?
00:46:46Ah, c'était là, là, là, là, là.
00:46:47Se fait gagner à 70 euros, qui est frustraté de se faire gagner?
00:46:49Ah, bien, regarde-toi là ce petit gars.
00:46:51Oui, certains sont contents, certains ne le sont pas.
00:46:53Ceux qui ont gagné, bien contents.
00:46:54Ceux qui n'ont pas beaucoup gagné, grand problème.
00:46:56La Constance, elle est là, on peut écouter nos camarades en loupe et dire qu'il est debout en 2023 pour la Légion.
00:47:03Normalement.
00:47:04Normalement, oui.
00:47:05One never knows, hein?
00:47:07Justement, pour ensuite, un peu d'argument aussi additionnel à ce débat.
00:47:12Le néo-téléphone, l'historien et observateur politique, Jocelyne Channault.
00:47:16Jocelyne Channault, bonsoir.
00:47:19Bonsoir, bonsoir tout le monde sur le plateau, bonsoir les éditeurs.
00:47:22Bonsoir Jocelyne.
00:47:24Bonsoir Jocelyne.
00:47:25Donc, nous sommes sur le plateau en Léguayen.
00:47:28Nous sommes...
00:47:31Vachés.
00:47:32Nous sommes vachés, désolé.
00:47:33Ah, pardon.
00:47:34C'est un site junior.
00:47:36Et Jocelyne Channault, nous avons suivi l'évolution politique de Maurice depuis beaucoup d'années.
00:47:42Nous avons également suivi tout ce qui est arrivé depuis l'indépendance jusqu'à aujourd'hui.
00:47:48Et qu'au final, beaucoup de parties émergentes, des parties non-traditionnelles, comme je l'ai dit,
00:47:53AFB, CAM, MMSP, ML, MR, etc.
00:47:59Et ils arrivent jusqu'à aujourd'hui.
00:48:01Le débat aujourd'hui, c'est...
00:48:03Donc, dans beaucoup de gouvernements aussi, il y a des parties non-traditionnelles qui viennent faire partie,
00:48:08comme aujourd'hui Résistance Alternative ou Nouveau Démocrate.
00:48:11Mais est-ce qu'il paraît, comme à MMM à l'époque,
00:48:15ou est-ce qu'il y a une partie non-traditionnelle capable de transformer et de devenir une partie mainstream ?
00:48:42Par exemple, nous trouvons qu'il y a le noyau dur, la bande ranco, une partie qui vient de diminuer.
00:48:50Et aussi, il y a une épopée qui est presque éclatée.
00:48:54C'est-à-dire qu'il s'agit aujourd'hui d'une grande masse d'électeurs flottants
00:48:59qui par exemple s'élirent systématiquement avec une partie.
00:49:03Et c'est pour ça que je veux dire qu'après, quand nous vêtons les derniers sondages,
00:49:09définitivement, c'est-à-dire avant l'élection générale, avant la campagne électorale générale,
00:49:14qu'il y a une désir d'une bonne totalement nouveau campagne électorale,
00:49:19après 60% de l'électeur qui a de sa directoire,
00:49:22pour la cause d'un sondage, par exemple, qui sera créé,
00:49:26mais qui n'est arrivé parce qu'il y a une grande masse flottante
00:49:29qui se défile au niveau de la campagne électorale.
00:49:33Et nous connaissons qu'il n'y a pas eu de campagne électorale la dernière fois.
00:49:36C'est une campagne totalement inédite, avec une mousse classique, etc.
00:49:40qui est le gouvernement actuel d'une bénédiction,
00:49:45une faute de protestation, d'une faute d'opposition,
00:49:49beaucoup plus qu'un vote d'adhésion.
00:49:52C'est différent de leur politique traditionnelle
00:49:56qui n'est pas satisfaite à la demande de l'électorat.
00:50:00Ça, l'électorat, il est en milieu de tous les sondages.
00:50:02Maintenant, c'est une arrivée à cause de mousse classique, etc.
00:50:06Ils veulent une votée électorale pour mettre en service une idéologie.
00:50:10Mais bien sûr, maintenant, nous pouvons retrouver
00:50:13que le gouvernement actuel dit clairement qu'il n'y a pas de vote électoral,
00:50:16qu'il y a seulement de promesses.
00:50:18C'est-à-dire que les sociétés en économie, c'est un instrument,
00:50:20c'est une justification.
00:50:22Il n'y a pas de vote électoral, qu'il n'y a que les promesses électorales qui suffisent.
00:50:25Maintenant, il y a l'opposition qui utilise soin d'émerger.
00:50:30Du boucher à l'immédiat, c'est vrai.
00:50:32Mais c'est qui s'en appréhende à l'opposition-là.
00:50:35Et puis, justement, le MSM est en difficulté.
00:50:38Parce que le MSM, c'est un parti familial,
00:50:41qui s'oppose à l'individuel.
00:50:43C'est pas un parti démocratique, ça.
00:50:45C'est un parti personnel, non démocratique, non politique,
00:50:48qui tourne autour d'un nom, qui aime du monde.
00:50:50Et quand la personne, lui-même, est en difficulté,
00:50:53le parti est paralysé.
00:50:55Et il est coupé.
00:50:57C'est comme un problème judiciaire,
00:50:59que l'on juge.
00:51:01Il y a différentes accusations pour une chose,
00:51:03contre l'idéal du parti.
00:51:05Mais aussi, le moustache luxe,
00:51:07il fait même un dommage terrible
00:51:09à la crédibilité de Pasdé Garnac.
00:51:11Il montrait que ce n'est pas lui qui décidait,
00:51:13c'est la personne qui décidait.
00:51:15Il voulait tirer sa gueule sur la tête.
00:51:18Il voulait bien être utile.
00:51:20Donc le MSM, il pouvait être créé très longtemps dans sa difficulté.
00:51:24Mais que s'en appréhende l'opposition ?
00:51:26Bien sûr, il y en a qui vont dire,
00:51:28il faudrait bien que le gouvernement 60-0,
00:51:30les décapés, l'opposition, les poissons.
00:51:32Il y a des conservateurs,
00:51:34qui disent pas plus ça.
00:51:36Le 60-0, c'est quoi aujourd'hui ?
00:51:38Une de nos postes de travail,
00:51:40c'est en moulant,
00:51:42une majorité claire prend lui-même,
00:51:44qui est même,
00:51:46qui n'est pas obligé, réellement,
00:51:48d'être un allié.
00:51:50Et le MSM, il est dans cette position
00:51:52pendant plus de 20 ans,
00:51:54il a aussi, c'est tant pis,
00:51:56terminé son carrière
00:51:58avec un prénomné de bâtisseur
00:52:00qui a financé
00:52:02de belles stratégies,
00:52:04vraiment personnelles,
00:52:06pour battre au moins, je dirais,
00:52:08l'opposition, pour ça aussi, dans le gouvernement.
00:52:10Mais que s'en a-t-il ?
00:52:12Il y en a une ville de l'opposition,
00:52:14qui s'en a fait un camp de l'opposition.
00:52:16Bien sûr, les conditions sont réunies,
00:52:18non seulement structurellement,
00:52:20parce qu'il y a une adéquation entre la demande
00:52:22et l'opposition,
00:52:24trop dans les bases traditionnelles,
00:52:26ce qui veut dire qu'il y a
00:52:28une possibilité extra-parlementaire.
00:52:30C'est une énorme possibilité,
00:52:32et ce que l'on connaît, dans l'histoire, souvent,
00:52:34les conditions sont réunies, mais il n'y en a rien
00:52:36qui va arriver. Parce que l'histoire,
00:52:38c'est des hommes ayant le partenariat libre.
00:52:40Le partenariat humain, mais là,
00:52:42vous connaissez l'exemple, c'est que
00:52:44l'opposition extra-parlementaire,
00:52:46il est éclaté, il est fragmenté, il n'y a plus qu'il y a.
00:52:48J'aime l'idée émergée
00:52:50qui est capable
00:52:52de rassembler le tout,
00:52:54autour d'un programme,
00:52:56mais là, l'éclat n'est que simple.
00:52:58Sinon, il y a le dispersement.
00:53:00Est-ce qu'il y a, dans le parti
00:53:02émergent non-traditionnel,
00:53:04on trouve aussi la possibilité
00:53:06d'émergence bande-leaders ?
00:53:08Je trouve bien, il y en a certains
00:53:10qui sont déjà émergés dans le même niveau.
00:53:12Il y en a certains, on ne s'est pas réprécipité,
00:53:14ça aussi, c'est une question
00:53:16que j'ai posé il y a du temps.
00:53:18Mais, il y en a, je me dis,
00:53:20il y en a aussi tellement, je trouve aussi bande-leaders.
00:53:22Aussi bande-leaders, il est émergé,
00:53:24quand même, il va l'échir.
00:53:26Il faut l'échir, mais bien sûr,
00:53:28il est émergé dans le même problème,
00:53:30dans la même manière de gérer les gestes parlementaires.
00:53:32Mais,
00:53:34il y a la même possibilité,
00:53:36mais pour cela, il y a le même travail
00:53:38et le même aspect
00:53:40dans le parti extra-parlementaire.
00:53:42Quand vous le trouvez,
00:53:44dans la même région, il y en a,
00:53:46qui sont capables d'émerger,
00:53:48ou bien, à la fois, il y en a des rurales.
00:53:50Et la question qu'il nous faisait poser dans le tailleur,
00:53:52qu'ils fassent dans la même région,
00:53:54il y en a qui sont émergés,
00:53:56et qui l'électorat potentiel des petites parties,
00:53:58je ne crois pas.
00:54:00Parce qu'ils sont déjà à la conquête
00:54:02d'autres électorats.
00:54:04Tout cela, c'est le même travail,
00:54:06les conditions sont là,
00:54:08il faut bien travailler,
00:54:10le parti humain est important,
00:54:12il est capable de concrétiser
00:54:14et il est capable d'émerger.
00:54:16– Dernière question, Jocelyn Chandlar,
00:54:18si vous permettez.
00:54:20Pour finir, l'appel de Moustace Lix,
00:54:22l'appel de M. Moustace,
00:54:24que tout le monde connaît,
00:54:26d'après vos observations
00:54:28ou l'expérience,
00:54:30est-ce que M. Moustace disparaît pour de bon
00:54:32ou est-ce qu'il réapparaît ?
00:54:34– Ecoutez,
00:54:36il nous faut aussi une date,
00:54:38une date dans laquelle
00:54:40les gens
00:54:42qui connaissent M. Moustace Lix,
00:54:44c'est-à-dire les libéraux qui le connaissent,
00:54:46il a été arrêté.
00:54:48Si Moustace Lix n'est pas arrivé
00:54:50il y a un cercle
00:54:52d'arrangements pour une période donnée.
00:54:54Et la période est là.
00:54:56Est-ce qu'il y a l'équipement pour faire ça ?
00:54:58Parce que nous sommes dans l'inconnu là.
00:55:00Si vous pensez,
00:55:02peut-être qu'il n'y avait que 2020.
00:55:04Je ne peux pas connaître.
00:55:06Quand il y en a, il y en a l'autre.
00:55:08Et ça nous fait qu'on dirait
00:55:10qu'il est arrivé,
00:55:12qu'il était là,
00:55:14tout cela c'est dans l'inconnu.
00:55:16– D'accord.
00:55:18M. Chachanar, merci beaucoup pour votre participation.
00:55:20Nous nous retrouvons un jour sur le plateau.
00:55:22Merci beaucoup. Bonne soirée.
00:55:24– Au revoir.
00:55:26– Bonne soirée.
00:55:28Bonne soirée.
00:55:30Bonne soirée.
00:55:32Bonne soirée.
00:55:34Bonne soirée.
00:55:36Bonne soirée.
00:55:38L'import d'être le leader
00:55:40d'un parti émergent.
00:55:42Donc, nous ne pourrions pas dire
00:55:44ce qu'il dit,
00:55:46mais les faits sont là.
00:55:48Aujourd'hui, tous les partis émergents
00:55:50ou non traditionnels,
00:55:52enfin, apprenons-le comme on veut,
00:55:54ils ont un leader qui fait leur preuve.
00:55:56Après, il y a beaucoup de choses
00:55:58qui sont là-bas. Nous ne pourrons pas en donner des détails.
00:56:00Mais c'est un fait.
00:56:02Je crois qu'aujourd'hui,
00:56:04la politique locale
00:56:06bise un renouvellement,
00:56:08il bise un changement.
00:56:10L'indignation
00:56:12des dernières élections générales en a été la preuve.
00:56:14Maintenant, il faut passer de l'indignation
00:56:16à l'action. Et justement,
00:56:18le leader d'aujourd'hui,
00:56:20le parti émergent d'aujourd'hui,
00:56:22à l'image de Patrick Belcourt ou autre,
00:56:24sont justement les leaders de demain.
00:56:26Ce sont justement les gens qui peuvent apporter
00:56:28ce besoin de changement
00:56:30et qui va bien évidemment faire plaisir
00:56:32et satisfaire bien évidemment l'électorat
00:56:34dans le cadre des municipales.
00:56:36Restez branchés, nous retrouverons juste après ceci.
00:57:04La première radio TV
00:57:06de Maurice.
00:57:08Découvrez notre studio,
00:57:10nos animateurs,
00:57:12vos hits musiques préférés
00:57:14en clips et l'info
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00:57:18et crédible.
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00:59:54S'il y a un ministre, il y a un adviser, il y a un portefeuille, c'est normal qu'il y ait un advisement.
01:00:05Mais un vice-premier ministre sans portefeuille, adviser, ce n'est pas une gaspillage des ressources nationales.
01:00:12Il y a un « state of the economy » indien qui a un gros, gros problème.
01:00:18Je ne comprends pas, c'est un défasage total de la bonne gouvernance.
01:00:24Une autre chose que j'ai entendu dire, « state of the economy », c'est une catastrophe, catastrophe ou catastrophe.
01:00:33Mais il y a 7000 gens, le « garden party » a réduit.
01:00:38Le peuple qui peut dire ça, qui peut dire comme ça, l'économie, mais il y a 7000 gens.
01:00:45Comment est-ce possible ça ?
01:00:47On comprend énormément un dysfonctionnement entre ce qu'il peut dire dans le discours et ce qui peut arriver dans la réalité.
01:00:55Et c'est pour ça que dans cette élection municipale, les gens qui veulent voter, ils prennent tout ça en considération.
01:01:04Ils comprennent qu'il n'est pas normal qu'il y ait un discours comme ça.
01:01:11C'est surtout l'arrogance du pouvoir.
01:01:13Je prends un autre exemple.
01:01:15Ilo-Bénissier.
01:01:16Je peux dire que j'ai aussi motivé mes touristes à aller à Ilo-Bénissier pour faire une critique, mais je n'ai pas pu le faire.
01:01:23Mais j'espérais.
01:01:25Et je peux dire ça parce que j'ai lu ça dans un éditorial, un journal hebdomadaire,
01:01:32qui dit qu'Ilo-Bénissier est capable de faire un grand groupe d'hôteliers pour se développer et employer 7000 gens.
01:01:39Ce n'est pas l'information confirmée.
01:01:41Non, j'ai lu ça et j'ai fait une frappe et j'ai espéré que tel n'est pas le cas.
01:01:47Parce qu'Ilo-Bénissier, ça fait nourrir des centaines et des centaines de familles.
01:01:51Mais quand même, il y a un développement assez artisanal, voire même un développement...
01:01:57Pas un développement, un accaparement de l'île de façon assez sauvage et qui met en danger la foule.
01:02:03Non, je ne peux pas dire qu'il faut mettre un peu d'eau.
01:02:06Il faut mettre de l'eau.
01:02:07Moi aussi, j'ai motivé mes touristes à aller pousser et mettre de l'eau.
01:02:09Mais ce n'est pas facile.
01:02:11Ce n'est pas facile, mais il faut le faire dans le dialogue.
01:02:13On n'est pas capable de manger dans la bouche de tout le monde.
01:02:16Et moi, c'est qui m'a payé.
01:02:18Je peux dire ça parce que ça fait une frappe pour moi qu'un journaliste, un hebdomadaire...
01:02:26qui peut me dire, ça tu l'as donné à un groupe hôtelier, tu l'as développé, etc.
01:02:31Ça, ce n'est pas bon.
01:02:32Parce que le tourisme, c'est inclusif.
01:02:35Tout le monde doit avoir un support dans le tourisme.
01:02:39Les grands autres groupes hôteliers, oui, mais les autres aussi.
01:02:42C'est ça qu'on appelle le tourisme inclusif.
01:02:45Et je pensais qu'il était important qu'ils nous guettent le tourisme dans ce contexte-là
01:02:51et qu'ils donnent la chance à tout le monde de ne pas gagner du gâteau du tourisme.
01:02:55Mais c'est bon.
01:02:56L'État, on peut guetter le prix d'amort qui m'a observé dans ce gouvernement.
01:03:00Je trouve que ça, ça peut aller à cause d'un sondage.
01:03:05Pour 40 millions de roupies, l'enquête, 4 mois pour qu'on finisse,
01:03:1045 millions de roupies, à une moyenne de 1 million de dollars,
01:03:13ça compte, c'était l'enquête-là, pour qu'on finisse?
01:03:16Non, si c'est une enquête, c'est pas moi qui ai fait l'enquête.
01:03:18Oui, d'accord, mais Silverbank n'a pas fait l'enquête.
01:03:21Qui fait pas faire l'enquête au Silverbank?
01:03:24Qui fait appeler quelqu'un du World Bank pour guetter qu'il n'y ait pas arrivé dans le Silverbank?
01:03:28Il y en a, comment dire, je peux cacher certaines affaires.
01:03:33Il y a beaucoup d'affaires qui sont arrivées sur l'ancien gouvernement.
01:03:37Il y a beaucoup d'enquêtes qui sont faites.
01:03:39Mais le World Bank n'a pas fait l'enquête à Vietnam.
01:03:43Alors que les preuves sont là.
01:03:45Alors que les preuves sont là, en fait.
01:03:47Les preuves sont là, oui.
01:03:48C'est avant qu'ils nous rubinent nos assurances du tourisme.
01:03:51Mais t'es content qu'il a fait l'enquête au téléphone tapé?
01:03:53Oui.
01:03:54On l'a appelé, après, M. Moustastique tout à l'heure,
01:03:57M. Sassan Tcharnape, Moustastique, tout ça.
01:04:00Et tout le monde s'est obfusqué par la surveillance qu'il avait faite.
01:04:06Oui, bien sûr.
01:04:08Moi, je ne connais pas encore.
01:04:10Je n'écoute pas le discours du Premier ministre qui dit qu'il est inarrêté.
01:04:14Inarrêté, oui.
01:04:15Mais quoi qu'il arrive, l'appareil est là.
01:04:17L'appareil est à côté.
01:04:19Moi, j'ai souhaité qu'ils amènent cet appareil-là au public et qu'ils le détruisent.
01:04:23Pour que le public gagne confiance qu'il n'est plus persévéré par cet appareil-là.
01:04:26Et moi, j'ai fini d'écrire officiellement au commissaire de police.
01:04:30Parce que j'ai, quand je fais l'appel ou quand je reçois l'appel,
01:04:33j'ai tant de petites affaires qui ne sont pas normales.
01:04:37Et ça a pris une semaine.
01:04:39J'ai écrit au commissaire de police officiellement pour demander,
01:04:42c'est par mon téléphone, mon téléphone, que je l'écoute.
01:04:45Et je n'ai pas eu aucune réponse.
01:04:47Bien sûr.
01:04:48Je ne sais pas, je n'ai rien dit.
01:04:50Mais à l'heure actuelle, je n'ai pas eu aucune réponse.
01:04:53Moi, j'ai souhaité qu'ils nous donnent cet appareil-là.
01:04:56Il ne coûte pas 5 milliards, pas 6 milliards.
01:04:58Mais pour la liberté des Mauritiens,
01:05:02pour gagner sa peace of mind,
01:05:04les Mauritiens qui ne filent pas l'écoute,
01:05:07grâce à l'équipement-là.
01:05:09Vous avez fait partie d'un gouvernement dans le passé.
01:05:12Est-ce qu'il y a eu connaissance partie d'un front de trafic jamais?
01:05:15Non, on ne peut pas faire front de trafic avec l'ordre d'un juge.
01:05:19Oui.
01:05:20Mais ça, c'est OK.
01:05:21Ça fait l'enquête.
01:05:22Non, la façon suivante...
01:05:23Par contre, généralisé...
01:05:24Oui.
01:05:25Non, ça va dire non.
01:05:26Moi, je n'ai pas eu connaissance de ça.
01:05:28Moi, je n'ai jamais fait de ministre de l'Intérieur.
01:05:30Premier ministre, je ne sais pas qui est arrivé.
01:05:32Mais cette fois-là, nous avons la preuve irréputable
01:05:35qu'il y a un appareil qui ne coûte que des milliards,
01:05:38qui peut écouter toutes les conversations du monde.
01:05:40Et là, il a fait un moustache fixe.
01:05:43C'est l'occasion en eau pour que ce gouvernement-là
01:05:46puisse dire qu'il n'est pas là pour faire cette affaire-là.
01:05:49Il doit se dire qu'il est là pour faire ça.
01:05:51Il donne la preuve à l'électorat
01:05:55que malgré qu'il coûte beaucoup d'argent,
01:05:58il n'est pas là pour faire ça.
01:06:01Il est là pour détruire.
01:06:03Il est bon qu'il nous détruise pour donner confiance.
01:06:05Pas seulement confiance dans le Mauritien,
01:06:07mais confiance dans tous les investisseurs étrangers.
01:06:10Tout ça, c'est important.
01:06:12Tout ça, c'est entremêlé.
01:06:14Nous ne devons pas faire un amalgame.
01:06:18C'est seulement le Mauritien qui est concerné.
01:06:20Nous devons nous concentrer.
01:06:22C'est le risque qui s'apposait
01:06:24pour les investissements dans nos pays.
01:06:26S'ils pensaient qu'ils n'avaient pas de communication sécuritaire,
01:06:30que l'Internet n'était pas sécuritaire,
01:06:32que les échanges n'étaient pas sécuritaires,
01:06:34il est important qu'ils nous donnent
01:06:36sa démonstration publique
01:06:38qu'ils n'ont plus pu faire ça.
01:06:40Je réponds à vous.
01:06:42Vous disiez, par exemple,
01:06:44que vous étiez avec un député prime ministre
01:06:46qui avait une portefeuille.
01:06:48Je me rappelle qu'avant l'élection,
01:06:50le Royaume de la Radio décidait de coûter moins
01:06:52pour TPM, mais pas forcément avec une portefeuille.
01:06:54Deuxièmement, ça ne veut pas dire
01:06:56qu'il n'y a pas de responsabilité.
01:06:58Quand on nous dit à la presse
01:07:00qu'il y a plusieurs dossiers,
01:07:02qui vous pensez-vous?
01:07:04Il y a plusieurs dossiers.
01:07:06Mais celui qui est responsable des dossiers
01:07:08qui les fait aller.
01:07:10Pour trouver qui ça peut créer,
01:07:12ça même qui amène problème dans le gouvernement.
01:07:14Et ça même qui crée problème
01:07:16dans le gouvernement.
01:07:18Parce qu'il n'y a pas d'adviser qui est là avec TPM
01:07:20pour vous soutenir partout.
01:07:22Il n'y a pas de problème avec les ministres
01:07:24qui sont directement responsables.
01:07:26Monsieur Gayane, vous ne trouvez pas
01:07:28qu'il y a trop de portefeuilles ministériels
01:07:30pour une Toulouse-Maurice?
01:07:32Vous trouvez normal qu'il n'y ait plus que 20 ministres
01:07:34aujourd'hui pour une Toulouse-Maurice
01:07:36pour 1,2 millions d'habitants?
01:07:38Quand nous causons PPS, nous causons advisors,
01:07:40nous causons tout ça.
01:07:42Ça fait beaucoup de casse.
01:07:44Ça fait beaucoup de casse.
01:07:46Vous savez, quand on gagne
01:07:48la responsabilité ministérielle,
01:07:50et si on fait le bien,
01:07:52il y a un prix à payer pour la démocratie,
01:07:54il y a un prix à payer pour la gouvernance.
01:07:56Est-ce que
01:07:5824 ministres, 25 ministres,
01:08:0010 ministres,
01:08:02est-ce qu'il n'y a pas
01:08:04de ministère?
01:08:06Pourquoi pas?
01:08:08Peut-être.
01:08:10Il arrive cette affaire-là.
01:08:12Il y a le nombre de ministres,
01:08:14le nombre de PPS, de ministres,
01:08:16pour qui on gagne le nombre de 35.
01:08:18Pourquoi pas qu'il y ait une majorité
01:08:20à l'Assemblée? C'est-à-dire que le gouvernement
01:08:22prend en péril. C'est une des raisons
01:08:24qu'ils veulent faire ça.
01:08:26D'où l'urgence d'une réforme.
01:08:28Oui, pourquoi pas?
01:08:30Là, je peux dire qu'il n'y a pas
01:08:32de commission sur la Constitution.
01:08:34Non, il y a eu. Dans les six mois,
01:08:36il y a eu des amendements pour proposer.
01:08:38Monsieur, nous pouvons arrêter de faire
01:08:40l'émission d'aujourd'hui.
01:08:42C'est tout.
01:08:44On va faire une émission
01:08:46et c'est un peu un domaine
01:08:48que vous exercez et qui vous convient.
01:08:50Vous nous avez dit récemment
01:08:52qu'il y avait des touristes inbaissés.
01:08:54Vos réactions par rapport à ça?
01:08:56Touristes inbaissés,
01:08:58pour beaucoup de raisons.
01:09:00La première,
01:09:02c'est un fait, c'est une destination
01:09:04aujourd'hui méga chère.
01:09:06L'Istituto est en serre,
01:09:08mais nous destinons une ville
01:09:10à une destination mariciaire.
01:09:12Mais il n'y a pas de touristes inbaissés?
01:09:14Aujourd'hui,
01:09:16il n'y a pas de touristes inbaissés.
01:09:18Il n'y a pas de touristes inbaissés aujourd'hui.
01:09:20Quand on prend le Réunionnais,
01:09:22par exemple, qui a longtemps
01:09:24travaillé dans des gîtes, dans des auberges.
01:09:26Aujourd'hui, le Réunionnais
01:09:28n'a pas les moyens de payer un top-l'hôtel.
01:09:30Et comme il n'y a pas de top-l'hôtel,
01:09:32il n'y a pas un hôtel 4 étoiles, 5 étoiles.
01:09:34Aujourd'hui, il y a un Réunionnais qui travaille
01:09:36dans un hôtel-groupe, qui travaille dans un hôtel-groupe
01:09:38ou même à Naïta.
01:09:40Le problème aujourd'hui, c'est qu'il nous faut
01:09:42régler tout ça-là.
01:09:44Autre raison qui fait qu'il y a des touristes inbaissés
01:09:46aujourd'hui, M. Gaillard l'a mentionné
01:09:48un petit peu plus tôt, un petit peu plus bonne heure,
01:09:50les investisseurs ne peuvent pas venir,
01:09:52parce que tout ce qui peut dérouler dans le pays
01:09:54peut affecter, justement, l'arrivée
01:09:56des investisseurs, peut affecter
01:09:58l'investissement à grande échelle,
01:10:00l'insécurité dans le pays.
01:10:02Quand on regarde ce qui peut arriver
01:10:04aujourd'hui en termes de violence,
01:10:06en termes de vol, les touristes qui viennent
01:10:08aujourd'hui, comme les touristes ont témoigné,
01:10:10sur les plateformes, sur les sites,
01:10:12et même à travers
01:10:14les réseaux sociaux ou sur les radios,
01:10:16qu'on soit une victime d'un vol,
01:10:18d'une agression, limite
01:10:20super violente.
01:10:22Comment voulez-vous que
01:10:24les touristes s'intéressent à Ville-de-Maurice ?
01:10:26On sait, on a l'insécurité,
01:10:28la drogue peut faire tant, tant dans le pays,
01:10:30les touristes préfèrent,
01:10:32et surtout pour le prix qu'ils peuvent payer pour Ville-de-Maurice,
01:10:34ils préfèrent l'Afrique du Sud, ils préfèrent
01:10:36le pays de l'Asie du Sud-Est, qui est aussi
01:10:38intéressant, aussi exotique,
01:10:40équipatiel du tout,
01:10:42ou pour d'autres pays comme la Thaïlande,
01:10:44notamment pour ne citer que ça, ou le Vietnam,
01:10:46plus près de nous, il y a Kuala Lumpur,
01:10:48il y a l'Afrique du Sud,
01:10:50mais ils préfèrent là-bas.
01:10:52Donc c'est normal
01:10:54que les arrivées puissent baisser,
01:10:56mais, autre chose qui fait
01:10:58que les arrivées touristiques vont baisser,
01:11:00qui est le ministère du Tourisme PFA ?
01:11:02Qui est l'instance qu'appelle l'MTPA PFA ?
01:11:04Qui est l'intendé de l'MTPA si ce n'est
01:11:06que plein de scandales,
01:11:08dillapidés, pillages, dépenses,
01:11:10qui est-ce qui s'en amène,
01:11:12piste touriste, non ?
01:11:14Une dépense beaucoup millions,
01:11:16beaucoup millions ou plus beaucoup millions,
01:11:18donc il fait.
01:11:20Nous qu'est-ce que l'État nous l'a, il repose,
01:11:22il nous dit, nous avons un atout de contrôle,
01:11:24il nous commence à construire depuis plus de 5 ans.
01:11:26Ils nous disent qu'il faut refaire appel d'oeufs,
01:11:28beaucoup de casse, pour remettre
01:11:30cet atout de contrôle en place.
01:11:32Dix mois plus tard, le réseau va se dire,
01:11:34qu'est-ce qui fait besoin d'un deuxième ?
01:11:36Nous absolument besoin d'un atout de contrôle,
01:11:38parce que c'est l'atout de contrôle qui nous l'annonce,
01:11:40nous l'avons reposé là.
01:11:42L'État a envisagé l'ensemble du terminal,
01:11:44pour qu'il y ait un nouveau terminal.
01:11:46Vous comprenez ?
01:11:48L'ancien atout de contrôle,
01:11:50l'État a envisagé un petit ancien terminal
01:11:52qui me jumelait avec le nouveau terminal.
01:11:54Nous absolument besoin d'un nouveau atout de contrôle,
01:11:56avec les moyens technologiques d'aujourd'hui.
01:11:58Nous marierons les deux,
01:12:00les deux affaires,
01:12:02les deux affaires digitales.
01:12:04M. Gaillard, vous m'avez d'accord,
01:12:06même Dr. Chiton, vous m'avez d'accord.
01:12:08Nous, notre institution, aujourd'hui,
01:12:10pendant dix ans, nous ne causons pas de digitalisation.
01:12:12Aujourd'hui, nous donnons l'aide
01:12:14de l'intelligence artificielle.
01:12:16Qu'est-ce qui fait que nous ne servons pas ça ?
01:12:18Tout le pays des hauts peut servir ça,
01:12:20comme en Turquie, comme en La Signe,
01:12:22comme en Séoul, je peux servir la technologie.
01:12:24En même temps, nous avons un gouvernement
01:12:26qui en passe depuis dix, quelques mois.
01:12:28Oui, je suis d'accord, mais pendant dix ans,
01:12:30c'est pour ça qu'il y a des recherches
01:12:32un peu plus bonnes.
01:12:34Aujourd'hui, le gouvernement qui est en place
01:12:36dit qu'il ne peut pas faire ça.
01:12:38Il y en a pour cinq ans,
01:12:40mais j'espère que dans cinq ans,
01:12:42il va revenir et nous dire
01:12:44qu'il ne peut pas le faire,
01:12:46parce qu'il y a justement,
01:12:48pendant les dix dernières années,
01:12:50il promet les mêmes affaires,
01:12:52mais il ne peut pas les faire.
01:12:54Aujourd'hui, nous devons aller à l'aide
01:12:56du gouvernement en place pour qu'il comprenne
01:12:58qu'il ne peut pas le faire.
01:13:00Et dans tout ça, le peuple qui peut le faire,
01:13:02c'est le peuple qui peut le faire.
01:13:04Qu'est-ce qu'il y a dans ces pays-là?
01:13:06Pas le ministre, pas l'Égypte,
01:13:08c'est le peuple qui peut le faire,
01:13:10le peuple qui peut le faire.
01:13:12Donc, à mon avis, ça a changé.
01:13:16Quand on écoute ce qu'il y a dans le réel indien
01:13:18et ce qu'il y a dans le marché,
01:13:20est-ce que vous pensez
01:13:22qu'il y a des compétences
01:13:24qui sont sorties
01:13:26d'un point de vue
01:13:28international et émergent
01:13:30par rapport à cette situation?
01:13:32Est-ce qu'il y en a,
01:13:34ces compétences-là?
01:13:36Je pense que la valeur du jour,
01:13:38l'extra-parlementaire, a un rôle
01:13:40très, très important à jouer
01:13:42en termes de compétence,
01:13:44en termes de venir avec de nouvelles idées
01:13:46et en même temps, en termes de défendre
01:13:48la situation qui peut arriver actuellement.
01:13:50Est-ce que souvent, il y a des briefings,
01:13:52des débats sur des situations
01:13:54où Maurice, ou bien Diego Garcia,
01:13:56en intiède, et que je débatte, et que j'ai venu
01:13:58qu'une fois. Oui, absolument, absolument.
01:14:00Au sein du rassemblement mauricien,
01:14:02et là, actuellement, au sein de l'union Maurice aussi,
01:14:04regardez, nous sommes sortis
01:14:06depuis l'élection générale,
01:14:08au niveau du rassemblement mauricien,
01:14:10à aucun moment, nous n'avons pas fait
01:14:12une arrête de nos bonnes rencontres.
01:14:14Il ne faut pas croire le mot découragement,
01:14:16il-même, touche-nous l'esprit.
01:14:18Parce que nous, comme tu dirais,
01:14:20nous tenons à cette résilience-là.
01:14:22Il y a une situation, il arrive quelque chose,
01:14:24mais à aucun moment,
01:14:26nous n'avons pas de conviction,
01:14:28pas qu'il ne bouge du tout, du tout, du tout.
01:14:30Nous sommes là, nous avons une rencontre régulière,
01:14:32nous avons une commission,
01:14:34nous avons un responsable de commission
01:14:36qui peut suivre le sujet,
01:14:38et qui a une bonne rencontre régulièrement
01:14:40pour travailler sur le dossier.
01:14:42Mon réponse à quelqu'un qui vient me dire,
01:14:44est-ce qu'il n'a pas aussi eu le droit de dire non ?
01:14:46Est-ce qu'il a fait une témoigne
01:14:48par rapport à ce qu'il a dit ?
01:14:51Moi, je peux te le dire,
01:14:53au sein du Rassemblement Mauritien,
01:14:55il y a quelqu'un comme un leader,
01:14:57c'est quelqu'un qui est très à l'écoute.
01:14:59Quelqu'un qui est...
01:15:01Moi, je peux te le dire,
01:15:03au sein du Rassemblement Mauritien,
01:15:05c'est quelqu'un qui est ouvert au dialogue,
01:15:07et qui donne à tout un chacun
01:15:09la possibilité de venir présenter
01:15:11cette bonne idée.
01:15:13Comment dire, il n'y a pas une mauvaise idée,
01:15:15ou bien une idée qui est bonne,
01:15:17à outrance, mais nous devons causer,
01:15:19nous devons avoir ce dialogue-là.
01:15:21À aucun moment,
01:15:23si je peux dire, de mon expérience
01:15:25comme membre fondateur,
01:15:27ensemble avec Ndeboda du Rassemblement Mauritien,
01:15:29nous ne devons pas avoir une situation
01:15:31où le leader vient nous dire
01:15:33c'est ça qu'il nous faut faire.
01:15:35Moi, je peux te le dire.
01:15:37C'est quelqu'un qui, là,
01:15:39dans le dialogue, est quelqu'un qui
01:15:41écoutait de nous la possibilité
01:15:43de ce faisant, grandit,
01:15:45gagne plus de convictions,
01:15:47et gagne plus de prestances
01:15:49dans ce qu'il nous peut faire.
01:15:51Intéressant, parce qu'on nous voit
01:15:53choisir à côté ou, quand on se précoce.
01:15:55Je confirme.
01:15:57C'est très bien ça.
01:15:59Oui, parce que je me connais aussi Ndeboda,
01:16:01mais je me précoce pour Patrick Belcourt.
01:16:03Quand nous nous fondons en avant-Maurice,
01:16:05parce que moi aussi, moi-même,
01:16:07parmi mes membres fondateurs,
01:16:09en avant-Maurice, avec Patrick,
01:16:11je me dis à Patrick, clairement,
01:16:13moi, je te connais, je suis électron libre,
01:16:15et après, au bout d'un temps, non,
01:16:17au contraire, c'est ça qui me l'est.
01:16:19Et c'est ça qui fait, aujourd'hui,
01:16:21qui amène, justement, l'émergence
01:16:23de cette partie, qu'on appelle
01:16:25non-traditionnelle ou partie émergente.
01:16:27À un moment donné, il faut nous dire
01:16:29qu'un parti est un parti.
01:16:31Il y a un parti,
01:16:33il peut venir avec une vision,
01:16:35il peut venir avec un programme,
01:16:37il peut venir avec une idée,
01:16:39que ce soit venant des hommes,
01:16:41ou des femmes, ou des jeunes,
01:16:43c'est une compétence.
01:16:45Et on ne peut pas faire valoir cette idée,
01:16:47parce que vous vivez votre quotidien,
01:16:49vous vivez ce problème-là,
01:16:51vous êtes à l'écoute.
01:16:53Nous ne pouvons pas dire
01:16:55qu'il y a un touriste parmi nous.
01:16:57Qu'est-ce que l'authenticité mauricienne,
01:16:59aujourd'hui, est-ce qu'elle est dans notre hôtel,
01:17:01je parle sous la correction de nos deux habités,
01:17:03est-ce qu'elle se retrouve dans notre hôtel,
01:17:05l'authenticité mauricienne,
01:17:07qui fait notre travail,
01:17:09notre bateau de croisière.
01:17:11Il n'y a pas que l'insécurité,
01:17:13il n'y a pas le fait que Maurice est une destination chère.
01:17:15Nous ne pouvons pas prendre soin de la cotéité.
01:17:17Il y a beaucoup de problèmes aujourd'hui,
01:17:19sauf qu'on ne peut pas prendre ce problème-là à la racine,
01:17:21on ne peut pas prendre ce problème-là,
01:17:23et on ne peut pas affronter le problème.
01:17:25À un moment donné, nous devons mettre nos pieds bas,
01:17:27nous affronter le problème, et il y a une solution.
01:17:29Par exemple, il y a une solution, et il y a une solution.
01:17:31Sinon, à un moment donné, comme je l'ai dit un peu plus tôt,
01:17:33il faudrait qu'on passe à l'action.
01:17:35Arrête avec blablabla, tout le monde connaît les problèmes.
01:17:37Par exemple, il y a un exercice
01:17:39de consultation pré-budgétaire,
01:17:41est-ce qu'ils n'ont pas participé ?
01:17:43Je me soumets, par exemple, à une budget mémoire,
01:17:45pour dire, voilà, nous ne pensons qu'à faire ça.
01:17:47Oui, oui, nous le disons.
01:17:49Nous ne faisons pas cause municipale.
01:17:53M. Gaillan, tu le disais un peu plus tôt,
01:17:55nous n'appuyons pas le gouvernement local.
01:17:57Nous espérons qu'il n'y ait qu'une bourgeoisie.
01:17:59Oui, donc ce n'est pas une affaire qui nous a causé l'ambition.
01:18:01Je me soumets ça au gouvernement ?
01:18:03Bien sûr, nous le disons.
01:18:05Non, on ne parle pas d'une plateforme,
01:18:07ou bien d'une signe.
01:18:09Non, non, parce que nous pouvons le mettre loin de plateforme,
01:18:11n'est pas pour chance d'en venir,
01:18:13parce qu'au final, nous vivons avec le gouvernement.
01:18:15Parce que demain, quand les municipalités
01:18:17pourront faire banler, nous pourrons faire appel
01:18:19au central government, je pense,
01:18:21sous la correction, encore une fois, de nos invités.
01:18:23Mais nous n'appuyons pas.
01:18:25D'ailleurs, nous n'avons pas de guerre municipale
01:18:27pendant dix ans, ceux-ci expliquent cela.
01:18:29Mais comme on me dit à vous, à un moment donné,
01:18:31il faut que nous prenions un bras de corps,
01:18:33qui fait un bras de corps ?
01:18:35Parce que les peuples,
01:18:37les électorats,
01:18:39envisagent le vrai changement.
01:18:41Et nous, ça déclique,
01:18:43ça catalyse,
01:18:45ça catalyse,
01:18:47ça catalyse, là, pour justement
01:18:49amener le changement.
01:18:51Parce qu'à un moment donné, les peuples posent la vraie question.
01:18:53Nous avons envie de changer, nous n'avons pas envie de changer.
01:18:55Nous pouvons continuer avec même du monde, même du monde, même du monde.
01:18:57Demain, ça va être du monde dans les pays là, qui vont arriver.
01:18:59Pays là, vous voulez ?
01:19:01Et nous avons justement les compétences
01:19:03aujourd'hui, et ce, à tous les niveaux.
01:19:05Qu'il est informatique, qu'il est tourisme,
01:19:07qu'il est au niveau des affaires étrangères,
01:19:09à tous les niveaux, nous avons les compétences.
01:19:11Nous n'avons pas le tourisme inclusif,
01:19:13nous n'avons pas le développement intégré.
01:19:15Dans le cadre des municipales, nous n'avons pas le développement intégré.
01:19:17Nous avons à même, justement,
01:19:19le citadin, inclus dans toutes nos
01:19:21prises de positions et nos prises
01:19:23de décisions.
01:19:25Nous conclons ce projet
01:19:27pour les municipalités.
01:19:29Alors, pour ça, il nous reste dix minutes.
01:19:31Anel Gayane,
01:19:33bravo à vous de nous avoir placé au TPFM,
01:19:35et de ne pas coûter un ticket d'affaires étrangères.
01:19:37Donc, il y a Chagos,
01:19:39qui est bien dans l'actualité.
01:19:41Il y a aussi
01:19:43un petit candidat, ou un gros candidat,
01:19:45malgré tout,
01:19:47à la présidente de l'Union africaine.
01:19:49Et une dernière question, je l'ai oublié, parce qu'il nous a
01:19:51assez vite, c'est,
01:19:53qu'est-ce qu'il nous gagne avec Chagos là ?
01:19:55Comment pensez-vous qu'il nous investit ?
01:19:57Bon, premier,
01:19:59est-ce qu'on répond à l'autre affaire de l'Union africaine ?
01:20:01On n'est plus candidat à l'Union africaine.
01:20:03D'ailleurs, l'élection est finie,
01:20:05le candidat de Djibouti finit.
01:20:07Mais comme petit candidat,
01:20:09c'était un candidature qui
01:20:11commençait sous l'ancien gouvernement.
01:20:13Mais quand le nouveau gouvernement est venu,
01:20:15il a fini de canceller sa nomination là.
01:20:17Et sans même
01:20:19de manquer
01:20:21une possibilité,
01:20:23de raison qu'il fasse.
01:20:25Il y a l'express qui
01:20:27finit téléphonieux, mais pas finit gagnant.
01:20:29Est-ce que vous pensez qu'il y a un premier ministre
01:20:31qui a envie de causer avec quelqu'un ?
01:20:35Est-ce qu'il est possible, ça ?
01:20:37Si Patifek gagne, envoie un radio,
01:20:39écoute-moi, dit comme ça, le premier ministre a envie de causer avec moi.
01:20:41Mais c'est mort.
01:20:43Fini là, elle me tenait,
01:20:45je pensais que le public, je pensais
01:20:47généralement que le public mauricien pourrait accepter
01:20:49la façon de faire de ce gouvernement là.
01:20:51Parce qu'elle a fait
01:20:53quelque chose de très très important en politique étrangère,
01:20:55c'est la continuité de l'État.
01:20:57Et c'est ça
01:20:59qui finit de violer.
01:21:01Quand on arrête une nomination,
01:21:03c'est sur le plan international.
01:21:05C'est un honneur pour le pays.
01:21:07Et nous, tu peux aller, pour gagner
01:21:09mon pensée, nous t'ayons une grande chance.
01:21:11Mais seulement ce qui est plus grave là,
01:21:13nous, nous appartenons
01:21:15au SADC.
01:21:17Et la tradition veut que quand
01:21:19il y a un candidat du SADC,
01:21:21le pays du SADC supporte
01:21:23ce candidat là. Mais quand on
01:21:25cancelle une nomination,
01:21:27qu'est-ce que le Premier ministre a dit? Il fait support
01:21:29au Kenya.
01:21:31Le Kenya pendant le SADC,
01:21:33ça aussi c'est un entorse à la diplomatie.
01:21:35Je pensais que c'était un manquement
01:21:37pour le Premier ministre, parce qu'il est au courant des subtilités
01:21:39de ce genre d'affaires là.
01:21:41Mais,
01:21:43pour les
01:21:45internautes et pour les auditeurs,
01:21:47je ne suis pas candidat,
01:21:49pas parce qu'il ne m'a pas rempli candidat,
01:21:51parce que mon pensée
01:21:53c'est une pire mesquinerie
01:21:55de la part de ce gouvernement là,
01:21:57pour arrêter sa candidature là.
01:21:59Déjà, moi je suis chagosse.
01:22:01On rappelle quand ce gouvernement là prend le pouvoir,
01:22:03ils disent, je pourrais négocier chagosse,
01:22:05pour casser un grand parquet, pour guetter,
01:22:07pour gagner une casse-piste,
01:22:09pour gagner la souveraineté.
01:22:11Je suis à la condition du bail, avec souveraineté.
01:22:13Voilà.
01:22:15Moi,
01:22:17j'ai fait chagosse depuis des années et des années.
01:22:19Qu'est-ce que tu peux redire ?
01:22:21Je voudrais la souveraineté.
01:22:23Nous finir la souveraineté, c'est la plus grande victoire.
01:22:25Et mon pensée, il nous faisait quand même
01:22:27honnêtement nous-mêmes,
01:22:29et dire que l'ancien gouvernement finit par faire un grand travail
01:22:31pour que le monde entier,
01:22:33et surtout l'Angleterre,
01:22:35reconnaisse la souveraineté de Maurice
01:22:37sur l'archipel de Chagosse.
01:22:39C'est une victoire diplomatique.
01:22:41C'est une victoire diplomatique.
01:22:43OK. C'est un gouvernement qui est venu,
01:22:45il pourrait guéter, etc.
01:22:47Il a envoyé une délégation là-bas pour guéter.
01:22:491,5 centimes.
01:22:511,5 centimes.
01:22:55Assez, vous pouvez prévoir quelque chose,
01:22:57mon corps, pour gagner 90 millions de livres,
01:22:59sterling, etc.
01:23:01On peut dire.
01:23:03Enfin, whatever, n'importe quelle somme qu'il gagnait,
01:23:05mon pensée, cette somme-là,
01:23:07nous avait été un fonds spécial
01:23:09pour le développement des Outer Islands.
01:23:11Nous étions capables,
01:23:13de servir ce fonds-là,
01:23:15avec les Chagossiens,
01:23:17avec les Chagossiens de Maurice
01:23:19et aussi de l'Angleterre,
01:23:21parce que je tenais un droit
01:23:23à ce fonds-là.
01:23:25Ce n'est pas une victoire pour Maurice,
01:23:27il ne faut pas m'espérer qu'il n'y ait pas
01:23:29pour gaspiller ce fonds-là,
01:23:31et nous servir, dans l'intérêt
01:23:33de notre territoire maritime,
01:23:35dans l'intérêt du pays,
01:23:37et qu'il faut mettre un petit comité
01:23:39pour qu'il y ait un groupe
01:23:41qui soit capable d'utiliser l'argent,
01:23:43parce que c'est un argent qui
01:23:45vraiment appartenait aux Chagossiens.
01:23:49En fait, l'idée,
01:23:51ce que j'ai envie de dire aussi,
01:23:53et je me suis posé M. Gaillard,
01:23:55M. Poudakot et même M. Sittard,
01:23:57c'est que le vrai défi, aujourd'hui,
01:23:59c'est de transformer, justement,
01:24:01cette reconnaissance juridique,
01:24:03parce que c'est, outre une victoire diplomatique,
01:24:05une reconnaissance juridique,
01:24:07dans une restitution
01:24:09non-effective.
01:24:11Après, quels sont les moyens à utiliser ?
01:24:13Là, c'est la politique du gouvernement
01:24:15en place, qui est bizarrement en train
01:24:17de volonter faux, justement, par rapport
01:24:19à sa planète d'affaires.
01:24:21Nous, nous, nous, nous habituons
01:24:23qu'on est dans un grand état-océan.
01:24:25D'ailleurs, il peut causer des problèmes,
01:24:27des défis du tourisme.
01:24:29Nous avons au moins 50 îles
01:24:31sur l'archipel de Chagoss qui sont capables
01:24:33de développer pour les besoins touristiques.
01:24:35Touristiques, on va dire très, très basiques,
01:24:37quitte le tourisme périodique.
01:24:39Nous sommes capables de faire des salariés.
01:24:41Vous voulez dire écolos ?
01:24:43Oui, on a une grande possibilité
01:24:45de faire grand Maldives.
01:24:47Ou même les Seychelles.
01:24:49Comme les Seychelles, nous sommes capables.
01:24:51Il y a sa possibilité, sa potentiel.
01:24:53Avec une base militaire qui peut rester,
01:24:55est-ce qu'il est capable de faire un développement
01:24:57touristique, l'archipel ?
01:24:59Non, un développement touristique,
01:25:01il n'est pas, on va dire, antagoniste
01:25:03la base militaire.
01:25:05D'ailleurs, s'il y a un Américain
01:25:07qui peut trouver des affaires qui peuvent arriver,
01:25:09il va pouvoir prendre un drone, il va pouvoir finir
01:25:11ses affaires-là, on ne va pas croiser un risque.
01:25:13On pense que le gouvernement,
01:25:15l'ancien gouvernement et le nouveau gouvernement
01:25:17finissent bien et donnent toutes les garanties
01:25:19de sécurité
01:25:21au gouvernement américain et au gouvernement
01:25:23britannique pour qui, nous ne pouvons plus utiliser
01:25:25les autres îles-là à des fins militaires
01:25:27ou à des fins, comment dire,
01:25:29pour donner à la Chine, c'est-à-dire qu'ils ne vont pas moustir
01:25:31et il y en a ça quelque part dans Salako.
01:25:33Oui, parce qu'il n'y a pas d'enjeu tellement évident.
01:25:35Alors on va penser que
01:25:37le potentiel de développement
01:25:39des autres îles-là, là,
01:25:41est qu'il soit à l'enjeu capable de servir
01:25:43pour ses affaires.
01:25:4518,57, nous faisons une tour de table
01:25:47justement pour conclure. J'ai un projet
01:25:49pour l'action municipale
01:25:51que je peux proposer.
01:25:53Déjà, est-il
01:25:55en termes de nos plans de travail,
01:25:57nous, ce qui nous fait venir, nous permet
01:25:59beaucoup d'emphase, l'eau, la proximité
01:26:01avec les citadins.
01:26:03Déjà, est-il, l'écoute
01:26:05comprend ce problème et se trouve
01:26:07une bonne solution pour ce problème.
01:26:09Nous n'avons pas envie qu'une bonne municipalité
01:26:11soit limitée à un rôle
01:26:13très mineur. Quelque part,
01:26:15comme on dirait, peut diminuer
01:26:17le rôle d'une bonne municipalité
01:26:19seulement à un ramassage de détritus
01:26:21ou bien à un bon nettoyage,
01:26:23à un bon trottoir, etc.
01:26:25Parce qu'une bonne municipalité, il y en a certaines
01:26:27qui existent déjà depuis très très
01:26:29longtemps et qui n'en ont pas
01:26:31beaucoup. Parce que la municipalité,
01:26:33ce n'est pas seulement
01:26:35le ramassage de saleté,
01:26:37etc. Il y a le rôle
01:26:39social, le rôle culturel
01:26:41de la municipalité.
01:26:43Parce que les citadins, les besoins,
01:26:45oui, certes, les besoins pour que l'environnement
01:26:47soit nettoyé,
01:26:49pour que les détritus soient ramassés,
01:26:51mais en même temps, les besoins
01:26:53pour les jeunes,
01:26:55parce que les jeunes, de nos jours, nous les encadrons
01:26:57pour qu'ils ne se battent pas dans certains fléaux
01:26:59et en même temps, la culture,
01:27:01nous appeler à mettre beaucoup
01:27:03d'emphase sur la culture et faire
01:27:05une refonte pour que
01:27:07nous capables et qu'il y ait une municipalité
01:27:09qui jouait ce vrai rôle.
01:27:11D'accord. On n'a pas fait? Moi, je dirais,
01:27:13je ne vais pas répéter ce que le docteur Citta a dit,
01:27:15parce que ça fait aussi partie de nos programmes,
01:27:17donc de proximité
01:27:19et toutes ces bonnes actions qu'il y a là avec.
01:27:21Moi, je dirais qu'il y en a
01:27:2324 candidats,
01:27:2524 candidats,
01:27:27ça veut dire qu'on est présents dans tous les wards,
01:27:29il y en a 6 wards dans Beaubois-Saint-Rosier,
01:27:31on est présents, il y a un programme qui l'a
01:27:33et il me rappelle,
01:27:35qui me tient à rappeler qu'en Amour Maurice,
01:27:37c'est le premier parti à être venu
01:27:39avec un vrai programme municipal
01:27:41qui appelle de l'abandon à l'abondance,
01:27:43qui fait état
01:27:45de tous les problèmes qu'il y a.
01:27:47Au sein d'Amour Maurice, aujourd'hui, il y a des compétences
01:27:49dans tous les domaines. Nous voulons relancer le sport,
01:27:51nous voulons travailler de concert avec nos ONG,
01:27:53avec les problèmes, les fléaux
01:27:55qui peuvent exister.
01:27:57Et nous voulons remettre à jour le jumelage.
01:27:59Quand on prend Beaubois-Saint-Rosier longtemps,
01:28:01parce qu'on n'est pas dans Beaubois-Saint-Rosier,
01:28:03Beaubois-Saint-Rosier, c'était
01:28:05la municipalité numéro 1 dans l'océan Indien.
01:28:07Donc nous voulons, non seulement
01:28:09ramener Beaubois-Saint-Rosier, mais nous voulons ramener toute la municipalité
01:28:11aujourd'hui,
01:28:13afin que
01:28:15nous nous reconnaissons. Nous, nous faisons un travail
01:28:17de fond, nous avons même à l'extérieur,
01:28:19nous avons rencontré les maires des pays européens,
01:28:21nous venons avec un bon programme,
01:28:23et c'est ça qui a fait, qui nous tient au programme
01:28:25de l'abandon à l'abondance. Donc nous venons avec
01:28:27une action concrète, nous venons avec une action
01:28:29véritable, et nous avons
01:28:31déjà commencé depuis déjà 6 ans.
01:28:33Nous voulons l'occasion d'accueillir
01:28:35en avant Maurice sur le plateau pendant la campagne
01:28:37aussi. Alain Gaillard, nous restons une minute.
01:28:39Enfin, une minute, je suis d'accord avec
01:28:41tous ceux qui sont des collègues ici sur le plateau,
01:28:43mais en dessous de ça, il y a
01:28:45un train qui
01:28:47vient guider la lumière,
01:28:49l'état des routes,
01:28:51des chemins dans
01:28:53les municipalités,
01:28:55et aussi la facilité qui est là.
01:28:57Hier matin, on commandait,
01:28:59et madame Petit-Amour,
01:29:01un ensemble a commandé
01:29:03et nous avons fait jouer.
01:29:05Ça s'est affermé samedi dimanche.
01:29:07Ils ont fait jouer le chemin. Il y a un problème.
01:29:09Il y a un gros problème.
01:29:11Il y a un gros problème.
01:29:13C'est pas de gouvernance ou de manque de fonds,
01:29:15mais local government
01:29:17vis-à-vis local government.
01:29:19Quand il y a une mauvaise gouvernance, il y a forcément
01:29:21un problème de fonds, et forcément, c'est
01:29:23nous qui payons les pots cassés, et c'est dommage.
01:29:25On a marché, Dr Junior.
01:29:27Alain Gaillard, merci beaucoup.
01:29:29Merci. On vous reçoit aussi dans l'auditeur
01:29:31et dans l'internet.
01:29:33Merci de nous avoir suivi.
01:29:35L'émission Hard Talk, on se retrouve mercredi prochain.
01:29:37Et si vous passez la table, bon appétit.
01:29:47Sous-titrage Société Radio-Canada