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La situation politique, l’affaire allégué de blanchiment d’argent incluant le traitement accordé a l’ancien Premier ministre lors de sa comparution et le système judiciaire, ce sont la les sujets qui seront abordés lors du HardTalk ce mercredi 19 février 2025. Rendez-vous de 17h30 à 19h00 Pour en débattre Linley Appadoo aura comme invités : Rajen Narsinghen, juriste et Junior Minister aux Affaires étrangères, Khushal Lobine, député et dirigeant des Nouveaux Démocrates Sahil Cheetamun, pilote de ligne à la retraite et observateur politique Faizal Jeerooburkhan, de « Think Mauritius » Le leader du Muvman Liberater, Ivan Collendavelloo interviendra au telephone. Émission à suivre également sur Facebook et nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius, mais aussi sur TopFM Live TV. Également sur la chaîne 10 de Parabole Maurice. Vos appels seront les bienvenus au 2137777 à partir de 18h15.

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00:00:00...jusqu'à 10 000 rupees...
00:00:12Chers auditeurs, bonsoir, et chers internautes qui personnent sur notre plateforme digitale, bonsoir évidemment.
00:00:18Donc, ce soir, nous avons une émission avec quatre invités. Je préfère présenter devant l'invité avant, après il est un petit peu au niveau du thème.
00:00:27À ma gauche, nous avons Rajen Norsigen, qui est un juriste et aussi junior ministre des Affaires étrangères,
00:00:32et Kushal Lobine, député et dirigeant des Nouveaux Démocrates. Bonsoir, messieurs.
00:00:36Bonsoir à tous les auditeurs du TOPFM. Bonsoir à tous les grands fouilles.
00:00:42Tout à fait. Alors, à ma droite, nous avons Saël Tutamon, pilote de ligne à la retraite et observateur politique.
00:00:49Saël, bonsoir. Et aussi Faisal Djourbaoukan de Think Mauritius. Faisal, bonsoir et bienvenue.
00:00:54Et merci d'avoir accepté notre invitation.
00:00:56Bonsoir à tout le monde sur le plateau. Bonsoir à l'Unilever. Bonsoir à tous les auditeurs et auditrices.
00:01:01D'accord. Alors, il nous faut dire aussi que nous prenons un petit peu plus tard les interventions d'Ivan Colendavidou,
00:01:08qui m'a été interrogé un petit peu plus tôt cet après-midi, et aussi l'intervention de Shaquille Mohamed,
00:01:17qui fait quelques jours de cela, lors d'un sujet bien spécifique. Et justement, nous passons à un sujet.
00:01:22Nous l'émissions ce soir. La première partie nous propose, dans les 100 jours du gouvernement,
00:01:27quel bilan faire, qui finit faire exactement, qui prend quoi faire, qui donne le pipeline, comment dire.
00:01:34Et surtout, vous, qui êtes observateurs, nous vous demandez un petit peu votre opinion,
00:01:39et nous vous donnons la chance aux deux parlementaires qui sont là, du gouvernement bien sûr, pour répondre à cette affaire-là.
00:01:46Et en deuxième partie, nous proposons justement l'arrestation de Pravin Jagnath.
00:01:51Je me fais aller bien clair, parce que comme ça, il y a la maladie aussi, pour comprendre qu'il n'est pas pour rentrer dans le détail des cas,
00:01:56mais nous proposons un petit peu, au niveau légal, quoi que ce soit, qui finit faire, est-ce qu'il finit faire dans les règles,
00:02:02est-ce que tout peut marcher bien. Et puis, en troisième partie, Sine Lalletant, bien sûr,
00:02:07nous proposons un petit peu l'actualité politique, et nous proposons un petit peu ce qui se passe,
00:02:13et nous proposons, si possible, l'avenir du MSM face aux charges qui sont inconsolidées.
00:02:18Nous démarrer en premier lieu, donc, nous proposons la question à mes deux invités du côté droit.
00:02:25Ça a été terminé avec Faisal Durbaoukhan. Il fait 100 jours, jour pour jour aujourd'hui,
00:02:29que ce gouvernement-là au pouvoir ne finit déjà que ça, avec Rajen Hossinian, il y a quelques semaines.
00:02:35Qu'est-ce que vous en pensez ? Mais pour vous, nos observateurs politiques, on commence avec vous, Faisal.
00:02:41Dites-nous ce que vous pensez, après 100 jours, de ce gouvernement-là.
00:02:45Après 100 jours, nous trouvons des bonnes choses, et des choses qui sont moins bonnes aussi.
00:02:54Il y a ce que l'on appelle le côté positif, et le côté, pas négatif, mais quand même moins positif.
00:03:04Par exemple, positif, nous trouvons un « feel good factor » dans la population,
00:03:10une sensation de délivrance, après l'élection finie, nous trouvons l'état de l'économie récupéré,
00:03:18un redressement, si vous voulez, un petit peu lent, mais quand même, il est assez positif.
00:03:26Nous trouvons la stabilisation de la roupie, nous trouvons le Parlement qui fonctionne comme il faut,
00:03:32comme un vrai Parlement, c'est pas ce que nous étions habitués dans le passé,
00:03:36avec un climat courtois, bien civilisé, etc.
00:03:40Il y en a toujours quelques-unes.
00:03:42D'accord, mais c'est ça même qui fait un petit peu l'épice.
00:03:49L'épice, si vous voulez.
00:03:50Alors, il y a aussi la police.
00:03:52Elle a moins de répression politique qu'on a pu trouver dans le passé,
00:03:56pas finalement planting, si pas mourir dans la cellule, etc.
00:04:00Nous trouvons que le nouveau FCC, la loi FCC, donne le DPP l'occasion,
00:04:10pour les capables de faire ce travail en toute indépendance,
00:04:12comme il s'est supposé être, comme il s'est bien été,
00:04:16mais le FCC, de toute façon, il n'a pas été,
00:04:19je ne sais pas si c'est correct, mon camarade qui légiste,
00:04:22comme il s'est présenté avant, il s'est fait un petit peu empêcher le DPP de faire ce travail,
00:04:31comme il s'est bien été, d'après la Constitution.
00:04:33Et puis nous trouvons la MBC, un changement au niveau de la MBC,
00:04:37un changement assez visible.
00:04:39Nous trouvons qu'il y a au changement le MTC, le MTC Pevigny,
00:04:45il peut faire un changement aussi, alors, en ce qui concerne les courses,
00:04:48nous espérons que cette année-là, nous pourrions quand même enjoyer un petit peu les courses.
00:04:53Nous trouvons une baisse dans les prix de certaines commodités, pas toutes,
00:04:58certaines choses qui font une baisse, mais nous souhaitons...
00:05:02Mais il y a aussi Faisal, qui nous m'a audité à téléphoner quotidiennement
00:05:06dans une émission de Vémoriste, et un des issues qui se peut dire
00:05:10est que les prix continuent d'augmenter.
00:05:13Nous comprenons qu'il y a certains produits qui ont baissé,
00:05:16mais certainement d'autres continuent d'augmenter.
00:05:19Mais nous parlerons de ça dans un petit moment. Allez-y.
00:05:21Oui, bien sûr, il y a certaines choses qui ont augmenté,
00:05:25il y a certaines choses qui restent instabilisées,
00:05:28mais je crois que ce qui peut augmenter, c'est surtout, comment dirais-je,
00:05:33à l'extérieur, qu'on ne peut pas importer même, mais il reste à vérifier.
00:05:38Mais ça, c'est quelque chose que le gouvernement en place
00:05:41pour absolument vérifier.
00:05:45Alors là, nous avons la MTC, nous avons l'annonce des municipalités,
00:05:50une très bonne chose, d'ailleurs, au bout de 10 ans,
00:05:53il y a bien des gens qui nous trouvent, nous...
00:05:57Comment on appelle ça ? Une chose régionale, nous...
00:06:00Administration régionale.
00:06:01Oui. Nous... Oui.
00:06:03Alors, on a aussi l'annonce de la réintroduction de permis à point,
00:06:07qui est une très bonne chose.
00:06:08Il y a un changement qui est apporté à l'éducation.
00:06:10Ça, je suis bien content, parce que moi aussi, je suis dans l'éducation,
00:06:13et nous trouvons qu'il y a un changement qui peut venir.
00:06:16Par exemple, le Empowerment Programme, c'était un vrai fiasco,
00:06:20il l'a éliminé complètement, avec un assis de l'éducation qui peut venir.
00:06:24Moi, j'espérais ça être intéressant aussi.
00:06:26Finalement, déjà, l'assis des industries, qui est important.
00:06:30Nous avons trouvé le SIM card, avec les données biométriques,
00:06:35il est effacé.
00:06:36Ça, c'est une très bonne chose.
00:06:38Arrestation de ceux qui sont impliqués dans les fraudes massives,
00:06:41comme BOM, comme MIC, tout ça, c'est un bon signe que le gouvernement...
00:06:47Même le couple Jacques Nattes,
00:06:51et le collaborateur Marcel Merveille et M. Goulduri,
00:06:57je crois que tout ça...
00:06:59Ça, c'est des choses positives.
00:07:01C'est des choses positives.
00:07:02Maintenant, je ne vais pas dominer ça, parce qu'il y en a trop,
00:07:05beaucoup de négatifs aussi.
00:07:07Peut-être que nous donnons...
00:07:08Allez-y.
00:07:09Peut-être que tout à l'heure, nous causons partie des négatifs.
00:07:11D'accord.
00:07:13Moi, c'est tout.
00:07:14J'ai été typé par le côté un peu négatif,
00:07:17mais il y a aussi le positif.
00:07:18Baisse de licences, par exemple.
00:07:20Déjà, nous tenons nos camarades Nishal Jayaram,
00:07:23qui fait une grève de l'affaire dans le gouvernement MSM.
00:07:28Mais rien n'a été fait.
00:07:30Si c'est un petit peu baissé,
00:07:31je pense que nous ne pouvons pas lui donner de raisons
00:07:33pour qu'il ne soit pas baissé.
00:07:35Mais là, heureusement, avec ce nouveau gouvernement,
00:07:38nous avons pris le gouvernement, nous l'avons baissé.
00:07:40Une petite baisse.
00:07:41Une petite baisse.
00:07:42C'est tout ce que je te promets.
00:07:44Les 20 rupees par litre,
00:07:47moi, on sait ça pour venir après.
00:07:49Quand même, nous n'héritons des affaires qui,
00:07:52bien sûr, appaillent.
00:07:54Surtout, vous pouvez dire ça,
00:07:56parce que mon comptant, peut-être,
00:07:57suive le cours du pétrole au quotidien.
00:08:00Aujourd'hui et hier, le cours du pétrole est baissé à un niveau
00:08:04qui, depuis longtemps, on n'a pas trouvé.
00:08:06Il est en bas, 70 $,
00:08:08que ce soit le brut ou le brin.
00:08:10Donc, depuis, est-ce que, quelque part,
00:08:13quand on vous dit qu'il y a finalement une baisse de 5 rupees,
00:08:15est-ce qu'il est satisfaisant pour la population des automobilistes?
00:08:19Pour moi, personnellement,
00:08:21je vois ça comme ça,
00:08:22je dirais qu'au moins une baisse de 5 rupees,
00:08:24on a raison de dire que le pétrole qui est baissé en bas
00:08:27est de 70 rupees, 70 $.
00:08:29Mais là, tout à l'heure, moi, je n'ai fait qu'écouter
00:08:31sur les nouvelles,
00:08:32ils m'ont donné une réunion en 1972-76
00:08:35à cause d'un problème de guerre en Ukraine.
00:08:38Alors, ok, baisse de l'essence,
00:08:41peut-être ça pour venir après.
00:08:43Il y a beaucoup de façons de faire une baisse de l'essence.
00:08:46D'abord, on doit faire un TVA,
00:08:48une contribution qu'on doit payer.
00:08:50Il faut payer une contribution,
00:08:52après, on doit taxer l'eau,
00:08:54faire un TVA, une contribution.
00:08:56Ce n'est pas logique.
00:08:57Alors, si déjà, on fait une contribution avec ce TVA,
00:08:59on peut faire une baisse de l'essence par 10 rupees,
00:09:01carrément.
00:09:02Ok.
00:09:03Ça, c'est une affaire.
00:09:04Mais ce qui m'attendait,
00:09:06très souvent, c'est de m'écouter,
00:09:08le matin, entre 7h15 et 7h30,
00:09:11comme un petit enfant à l'école.
00:09:13Moi, comme un petit enfant à l'école.
00:09:15Et, beaucoup de gens me disent comme ça,
00:09:17pour la classe moyenne et plus bas,
00:09:20il n'y a rien de baissé.
00:09:23J'étais un peu soufflé quand j'ai perdu
00:09:25cette provision pour la classe,
00:09:27et j'ai dû tirer, gâter, gâter de prix,
00:09:29après, peut-être, mettre de l'argent,
00:09:31ou sinon, reposer là-bas.
00:09:33Ça, il est encore toujours là.
00:09:35Et, en général, ce qui m'attendait,
00:09:37le radio, c'est qu'il y a un petit peu
00:09:39de trahison de l'apport.
00:09:41Il y a des gens qui peuvent penser que
00:09:43ce gouvernement-là n'a pas assez fait pour eux.
00:09:45Moi, j'ai pensé qu'il pouvait le faire,
00:09:47qu'il pouvait le faire encore.
00:09:49Mais, il nous a donné du temps.
00:09:51Mais, il y a des gens qui ont gagné de l'essence,
00:09:53très, très vite.
00:09:55Alors, il faut un peu de patience,
00:09:57je pense.
00:09:59Autre chose?
00:10:01Autre chose, oui.
00:10:03Là, j'ai vu un côté de ce gouvernement-là,
00:10:05ce sens-là, mais un côté politique.
00:10:07Il y a un cadeau en haut,
00:10:0960 zéros.
00:10:11Moi, j'ai pensé, dis-moi,
00:10:13pas un vote-là, spécifiquement,
00:10:15mais un vote là-bas.
00:10:17Alors, quand il y a un vote là-bas,
00:10:19il n'y a pas de défaut.
00:10:21Très bien. Alors, quand il y a ce cadeau en haut-là,
00:10:23il y a beaucoup d'expectations
00:10:25de l'apport du peuple.
00:10:27On attend.
00:10:29Une expectation, mais j'ai assez de patience,
00:10:31alors il faut renvoyer l'ascenseur.
00:10:35Pour moi, ce gouvernement-là,
00:10:37s'il renvoie l'ascenseur, il garde le peuple
00:10:39happi, il pourrait venir encore dans cinq ans.
00:10:41Mais si le peuple est happi,
00:10:43s'il n'est pas happi, il pourrait
00:10:45voter encore.
00:10:47Et là, il n'a qu'à venir en victime.
00:10:49Voilà.
00:10:51Très bien. Alors, nous restons sur un point positif
00:10:53qu'ils ont fait soulever, on vous demande
00:10:55aux deux députés qu'il y a,
00:10:57le junior ministère Chiatou,
00:10:59qui est aussi le leader
00:11:01des Nouveaux Démocrates,
00:11:03de Fintan, c'est qui ça, vous avez raté,
00:11:05est-ce qu'il vous a résumé
00:11:07un petit peu ce que ce gouvernement
00:11:09a fait pendant les 100 jours?
00:11:13Il y a au moins
00:11:15une position de conflit d'intérêts.
00:11:17Vous annoncez les couleurs.
00:11:19Dans l'exécutif,
00:11:21vous avez fait un bilan,
00:11:23le peuple Maurice
00:11:25et les citoyens
00:11:27comprennent que l'exercice du pouvoir,
00:11:29quand on exerce le pouvoir,
00:11:31il n'est pas capable d'exister.
00:11:33C'est impossible.
00:11:35Pour n'importe quel gouvernement au monde,
00:11:37il n'existe pas.
00:11:39Et moi, quand je trouve le bilan
00:11:41qu'il a fait par M. Di Rouba encore,
00:11:43en grande partie,
00:11:45je crois qu'il a fait un propre
00:11:47assessment du côté positif.
00:11:49Et j'ai envie de prendre
00:11:51deux affaires.
00:11:53J'ai presque fini.
00:11:55J'ai envie de prendre deux affaires
00:11:57pour vous montrer la différence.
00:11:59D'abord, ça vend de la liberté
00:12:01qui soufflait le Maurice.
00:12:03Le vent soufflait.
00:12:05Et aussi, quand on a le Parlement,
00:12:07la façon dont il peut fonctionner,
00:12:09on prend les droits du monde.
00:12:11Il y a une affaire
00:12:13qu'on appelle la démocratie parlementaire.
00:12:15C'est rétabli à 100%
00:12:17aujourd'hui.
00:12:19Il y a le respect qu'il explique
00:12:21que le premier ministre
00:12:23est là pour le leader de l'opposition.
00:12:25Et aussi, le deuxième député
00:12:27qui fait partie de l'opposition,
00:12:29M. Duval.
00:12:31C'est extraordinaire.
00:12:33Et le comportement, le body language
00:12:35du premier ministre,
00:12:37M. David Ramoulin,
00:12:39il peut agir...
00:12:41Après beaucoup de temps,
00:12:43j'ai trouvé un statement qu'il a.
00:12:45Ce n'est pas du monde
00:12:47un leader d'un clan,
00:12:49d'un parti.
00:12:51Il peut agir comme un vrai...
00:12:53C'est un homme d'Etat.
00:12:55Avec beaucoup de sagesse,
00:12:57beaucoup de composure,
00:12:59et calme, il peut faire son travail.
00:13:01Et ça, c'est extraordinaire.
00:13:03Moi qui habite
00:13:05les travaux parlementaires dans le passé,
00:13:07Kouchal qui est dans le Parlement,
00:13:09il trouve qu'il y a une qualité massacrée.
00:13:11Il commence à massacrer
00:13:13la démocratie parlementaire.
00:13:15Ça fait chaud au cœur
00:13:17du Parlement.
00:13:19Il trouve toute sa sérénité.
00:13:21Et Mme la Speaker aussi,
00:13:23j'ai pensé à ce qu'elle pouvait faire.
00:13:25Elle m'a agréablement surpris.
00:13:27Elle est une très bonne avocate.
00:13:29Mais comme Speaker,
00:13:31j'ai été surpris
00:13:33qu'elle pouvait faire très bien.
00:13:35Il n'y a aucune comparaison
00:13:37avec Mme Chirino Miru
00:13:39d'Isifra,
00:13:41avec Mme Anoumandi,
00:13:43et encore pire,
00:13:45en termes relatifs,
00:13:47légèrement mieux que
00:13:49le dernier Speaker.
00:13:51Bon, il y a un camarade, on va lui mentionner ça.
00:13:53On va lui personnaliser le débat.
00:13:55Mais ça, c'était un des meilleurs parlements
00:13:57qu'il nous tienne au niveau de l'Afrique.
00:13:59C'était une régression.
00:14:01Donc ça me montre au niveau de la démocratie parlementaire
00:14:03la liberté qu'il nous donne.
00:14:05Et tout de suite,
00:14:07nous pensons qu'il tient un programme électoral
00:14:09et ce que le Président
00:14:11a annoncé
00:14:13dans ce discours
00:14:15programme.
00:14:17Tout de suite, M. Gavin Glover,
00:14:19comme il l'a dit, il laisse dans le temps
00:14:21les vignes avec un amendement
00:14:23fondamental
00:14:25de FCC.
00:14:27Les vignes, les rétablir
00:14:29le DPP dans ses bourgeois.
00:14:31Il y a Yacou Charles qui s'est démissionné
00:14:33à l'époque parce qu'il m'a systématiquement
00:14:35donné l'attaque
00:14:37sur les pouvoirs du DPP. C'est une obsession
00:14:39de l'ancien régime.
00:14:41Et si le gouvernement actuel
00:14:43s'il y a un système
00:14:45qui a envie de traquer des gens qui font
00:14:47beaucoup de fraudes,
00:14:49possiblement des fraudes,
00:14:51il est capable de laisser le FCC
00:14:53avec tous les pouvoirs
00:14:55dans six mois et un an sans eux.
00:14:57Et moi et M. Gavin Glover
00:14:59nous dirons que ce FCC,
00:15:01comment il était, comment il avait fonctionné, il n'y a encore la qu'une.
00:15:03Et le DPP,
00:15:05le ratonné général
00:15:07et aussi le premier ministre
00:15:09et plusieurs parlementaires, y compris
00:15:11Yacou Charles, y compris moi, nous dirons qu'il y a encore
00:15:13la qu'une qu'il faut corriger.
00:15:15Voilà.
00:15:17Nous pensons qu'il y en a
00:15:19qui va passer à l'acte très vite dans l'espace
00:15:21de trois mois.
00:15:23Et vous trouvez aussi
00:15:25qu'il nous prend, je le mentionne,
00:15:27un baisse-prix de l'essence. Là aussi,
00:15:29il baisse l'essence, peut-être
00:15:31pour certains livrés qui ne passent pas assez,
00:15:33mais il y a un mécanisme indépendant
00:15:35qui, au niveau STC,
00:15:37il y a un mécanisme indépendant,
00:15:39on espérait que ça s'usa pour retrouver
00:15:41l'indépendance et en fonction de la fluctuation
00:15:43de prix, il n'y a pas mal à faire.
00:15:45Et là aussi, par exemple, au quatorzième
00:15:47mois,
00:15:49Mbobza confesse
00:15:51que sa décision-là, suite
00:15:53à une décision
00:15:55irréfléchie, irresponsable
00:15:57de l'ancien
00:15:59régime,
00:16:01l'opposition y trouve un
00:16:03façon, parce qu'il y a
00:16:05un choix pour venir avec une telle promesse.
00:16:07Mais,
00:16:09quand il a ce document
00:16:11qu'il a préparé par le
00:16:13ministère des Finances, choquant!
00:16:15The state of the economy,
00:16:17on trouve l'économie en lambeaux.
00:16:19Mais, heureusement que le gouvernement,
00:16:21le cabinet des ministres,
00:16:23et tous les parlementaires, ils réfléchissent
00:16:25à l'idée, et le premier ministre
00:16:27et le député parlementaire, c'est notre sagesse,
00:16:29je le récits en haut, ça, l'engagement-là.
00:16:31Bien sûr, pour la
00:16:33première fois, il y en a
00:16:35un espèce de ciblage, qui, moi,
00:16:37au niveau personnel, strictement
00:16:39personnel, c'est mon opinion personnelle,
00:16:41moi, je trouve qu'il me risque,
00:16:43il y a pas beaucoup de temps qu'il m'obéisse,
00:16:45bizarre, il y a un certain ciblage. Et pour
00:16:47deux de mes petits travailleurs,
00:16:49qui gagnent un salaire en bas,
00:16:5150 000 rupees
00:16:53à descendre, je ne gagne
00:16:55le quatorzième mois, malheureusement,
00:16:57y compris mon ministre, y compris mon député,
00:16:59je ne gagne le quatorzième mois, tant pis,
00:17:01c'est comme ça, l'économie,
00:17:03et moi, je pensais aussi
00:17:05que, doucement, doucement,
00:17:07il y avait un salaire,
00:17:09dans certaines coopératives étatiques,
00:17:11dans certaines
00:17:13compagnies, qui, pour moi,
00:17:15je ne comprends pas la logique de ça,
00:17:17et les parties possibles gagnent
00:17:19300, 400, 500 000 rupees,
00:17:21et il y a un salaire, pour moi, injustifié,
00:17:23je suis dans l'opposition,
00:17:25et je dis
00:17:27que les parties possibles gagnent le quatorzième mois,
00:17:29je ne comprends pas la logique de ça,
00:17:31c'est une décision équitable,
00:17:33on prend trois exemples,
00:17:35pour vous montrer la différence,
00:17:37il y a la démagogie,
00:17:39il y a la mesure,
00:17:41qui peut faire en permanence
00:17:43dans une campagne électorale,
00:17:45le gouvernement peut assumer sa responsabilité,
00:17:47il y a la mesure qui peut prendre,
00:17:49peut-être qui n'est pas trop populaire,
00:17:51oui, la population a beaucoup d'attentes,
00:17:53beaucoup de travail,
00:17:55la banque de Maurice prend sa décision,
00:17:57malheureusement, ils ne suivent pas les procédures,
00:17:59c'est les politiciens
00:18:01qui, dans la quête
00:18:03de garder le pouvoir, coûte que coûte,
00:18:05ils embêtent ces gens-là,
00:18:07et ne suivent pas les procédures,
00:18:09il y a des gens qui méritent
00:18:11leur travail,
00:18:13mais malheureusement, les procédures
00:18:15n'ont pas été suivies,
00:18:17donc j'espère que le gouvernement,
00:18:19pour tempérer,
00:18:21pour prendre en mesure,
00:18:23et à venir,
00:18:25c'est pour ça qu'on dit
00:18:27qu'ils se concentrent sur l'économie,
00:18:29qu'ils redressent l'économie,
00:18:31mais moi, mon opinion personnelle,
00:18:33redresser l'économie, oui,
00:18:35mais pas dire qu'ils prennent en mesure
00:18:37qu'ils augmentent leur prix,
00:18:39là aussi,
00:18:41il n'y a pas besoin de redresser ça,
00:18:43nous repoussons les 45 sous
00:18:45pendant 10 ans de pouvoir de MSM,
00:18:47ils ont dit à la banque de Maurice
00:18:49qu'il n'y a pas de problème,
00:18:51c'est un grand expert,
00:18:53mais comme un économiste,
00:18:55il connaît ce dossier,
00:18:57il le sait très bien,
00:18:59et Hachna,
00:19:01aussi un bon économiste,
00:19:03et l'autre camarade qu'il nommait
00:19:05comme député-gouverneur,
00:19:07ils ont fait un bon travail,
00:19:09ils vont prendre 6 mois, 1 an, 2 ans
00:19:11pour redresser la rupture mauricienne,
00:19:13combattre l'inflation,
00:19:15l'ennemi n°1 de cette population,
00:19:17c'est l'inflation,
00:19:19voilà un peu,
00:19:21nous passons la parole
00:19:23à Gouchard-Lobbin,
00:19:25Gouchard-Lobbin,
00:19:27où on a une bonne position,
00:19:29parce qu'il y a une backbencher
00:19:31quelque part,
00:19:33et où il trouve les choses un peu plus grandes,
00:19:35alors écoutez-nous nos observateurs,
00:19:37qui vont nous faire des commentaires,
00:19:39et peut-être une réaction par rapport à ça.
00:19:41La réaction, c'est que,
00:19:43comme M. Girouba,
00:19:45avec Faisal,
00:19:47Faisal avec Charles,
00:19:49avec Rajen,
00:19:53donc ce qu'ils ont fait nous dire,
00:19:55c'est ce que la population peut dire.
00:19:57Donc, bien sûr, au point pourquoi pas,
00:19:59dans les quelques mois
00:20:01que le gouvernement au pouvoir
00:20:03aurait fait tout ce qu'il a promis
00:20:05qu'il pouvait faire dans les 5 ans à venir,
00:20:07nous avons ce qu'il appelle
00:20:09« a bridge to the future »,
00:20:11donc c'est un document
00:20:13qui est présenté
00:20:15à la population mauricienne,
00:20:17c'est un projet de société
00:20:19qui nous est fait présenter
00:20:21à la nation,
00:20:23et bien sûr, il y a un groupe fou
00:20:25qui est capable de nous mettre de l'avant
00:20:27presque immédiatement,
00:20:29mais qui n'est pas capable de travailler pour nous.
00:20:31Donc, comme Rajen
00:20:33a dit,
00:20:35et c'est ce que la tournée générale
00:20:37a fait,
00:20:39donc la population,
00:20:41qui a-t-elle gagné pendant les derniers 10 ans?
00:20:43Qui a-t-elle gagné?
00:20:45Frigueur, frigueur.
00:20:47Vous savez, si vous n'avez pas
00:20:49de politique,
00:20:51vous ne pouvez pas gouverner
00:20:53quand vous faites pire.
00:20:55Donc il y a une population qui peut faire pire,
00:20:57qui peut faire pire sur la force policière,
00:20:59qui peut faire pire
00:21:01sur les gens qui le dirigent,
00:21:03qui peut faire pire sur l'institution,
00:21:05mais là, on crée un climat
00:21:07que l'investisseur n'a pas pour venir.
00:21:09On le reconnaît beaucoup
00:21:11dans les grosses sociétés,
00:21:13mais, disons,
00:21:15sur les qui vivent, je ne sais pas
00:21:17ce qu'ils peuvent faire
00:21:19si le MSM revient au pouvoir.
00:21:21Il n'y a pas une décision
00:21:23stratégique pour faire
00:21:25ce qu'il reste à Maurice de faire.
00:21:27On peut déjà avoir connaissance de cause, parce qu'il y a moins d'avocats
00:21:29à faire, donc il n'y a pas
00:21:31une décision stratégique qu'il peut bien faire.
00:21:33Le conseil d'administration
00:21:35peut attendre les résultats
00:21:37de l'élection pour décider ce qu'il peut faire.
00:21:39Donc la libération
00:21:41de Maurice fait une vie à travers
00:21:43une soixante zéro et, sous correction,
00:21:45mon camarade qui est beaucoup plus
00:21:47futé dans l'analyse
00:21:49politique
00:21:51dans le passé, sa troisième
00:21:53soixante zéro, là, c'était
00:21:55une soixante zéro qui saut au-dessus du commun,
00:21:57dépend de l'écart de vote
00:21:59qu'il y a dans plusieurs circonscriptions.
00:22:01Donc, quand on peut
00:22:03aller à l'élection, quand on peut
00:22:05trouver des gens qui sont
00:22:07sortis voter, quand ils saluent,
00:22:09ils tiennent ce plume,
00:22:11le plume, the power of the pen.
00:22:13C'est pas arrivé dans le Maurice jamais, ça.
00:22:15Le pouvoir de sa plume, là.
00:22:17Donc, ça veut dire beaucoup.
00:22:19Ça veut dire que le mauricien a un
00:22:21attachement profond avec la démocratie,
00:22:23avec sa liberté.
00:22:25Donc, on libère le pays.
00:22:27Donc, maintenant, quand on finit de libérer le pays,
00:22:29maintenant, on doit redresser le pays.
00:22:31Comment on redresse ça? On doit
00:22:33redonner confiance à la population
00:22:35dans nos bonnes institutions.
00:22:37Qu'il y ait les judiciaires,
00:22:39qu'il y ait les politiciens législatifs,
00:22:41qu'il y ait le Parlement,
00:22:43qu'il y ait des institutions
00:22:45qui puissent fonctionner,
00:22:47qui puissent faire
00:22:49leur travail correctement, tout ça là,
00:22:51ça inspire confiance. Donc, on instaure
00:22:53la confiance dans la population.
00:22:55Donc, une première étape, on finit de trouver,
00:22:57quand on restaure le pouvoir du DPP
00:22:59dans le système pénal.
00:23:01Donc, quand on gagne, il y a la loi
00:23:03qu'on finit de créer, le Financial Crimes Commission.
00:23:05Donc, Révin, nous prenons une petite pause
00:23:07tout de suite et nous revenons et nous continuons.
00:23:09D'accord.
00:23:35Musique
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00:24:31Lolo Hypermarché, Low Low Prices, Morcellement Saint-André et le Valentina Mall Phoenix.
00:25:01Lolo Hypermarché, Low Low Prices, Morcellement Saint-André et le Valentina Mall Phoenix.
00:25:05Lolo Hypermarché, Low Low Prices, Morcellement Saint-André et le Valentina Mall Phoenix.
00:25:29Le retour dans une émission, juste avant la pause, Kouchal Lobine, si je peux refaire,
00:25:51qui est dans la confiance dans mon institution.
00:25:54Merci Lidlé.
00:25:57Le Parlement, quand Rajen a mentionné ça, Faisal a mentionné ça, au niveau de l'amendement qu'il a amené au Parlement,
00:26:06le Financial Crimes Commission Act.
00:26:08C'est important. Pourquoi pas restaurer la confiance dans le bureau du DPP?
00:26:12Vous savez, c'est un pilier extrêmement important.
00:26:15Le système pénal, c'est à la base, un petit peu, la confiance qu'il y avait pour Mauritien et non dans mon institution.
00:26:23Quand on parle de constitution, par exemple, le pouvoir du DPP, le pouvoir du commissariat de police,
00:26:28tout ça, c'est un composant extrêmement important pour sécuriser l'indépendance du pays,
00:26:33pour pouvoir faire toutes les composantes de la société mauricienne,
00:26:37pour trouver une partie brûlante d'une nouvelle île mauricienne indépendante.
00:26:40Donc, le rôle du DPP est extrêmement important.
00:26:42Donc, quand on trouve l'IPF bafouée pendant des années,
00:26:46on ne peut pas commencer avec le Financial Crimes Commission.
00:26:49Comme on le rappelle, Rajan est un légiste qui n'est pas d'accord avec moi.
00:26:53Depuis 2015, quand le gouvernement MSM prend le pouvoir,
00:26:56la première action qu'il fait, c'est d'attaquer l'autonomie du bureau du DPP.
00:27:01Donc, financièrement, il retient tout.
00:27:04Ce côté finance et administratif, c'est lui qui contrôle.
00:27:07D'ailleurs, il y a une autre chose qui est la cause suprême,
00:27:10c'est que le bureau du DPP a fait un procès contre l'attorney general office concernant le pouvoir qu'il a tiré.
00:27:18Et ce pouvoir-là a été gagné depuis le rapport Mackay.
00:27:22Donc, le rapport Mackay, en 1996, a dit qu'il avait besoin d'une grande réforme du judiciaire,
00:27:26qu'il avait besoin d'empower le bureau du DPP à devenir complètement indépendant.
00:27:32Donc, l'indépendance-là a été attaquée à plusieurs reprises en 2015.
00:27:36Après, il y a eu ce fameux amendement qu'ils ont dû redamener,
00:27:40le Prosecution Commission Bill, qu'ils ont dû redamener à la Constitution.
00:27:45Donc, tout ça-là, il montre où l'ADN du MSM.
00:27:49Le MSM, ce l'ADN, c'était contrôler toutes les institutions.
00:27:53Donc, il n'était pas capable de faire lien avec le bureau du DPP,
00:27:56il s'était fait contourner avec le Financial Crimes Commission Act.
00:28:00Ça, quand on explique ça au sein du Parlement,
00:28:03quand on fait un refus catégorique,
00:28:05malheureusement, au sein du Parlement, les parlementaires, les backbenchers du gouvernement à l'époque,
00:28:10ils n'ont pas joué leur rôle.
00:28:11Les backbenchers, ce n'est pas eux qui sont allés, ou dans le gouvernement,
00:28:16tous ceux qui gouvernent ont fait du bon.
00:28:18Dans un système Westminsterien, il n'y a pas besoin d'un « rubber stamp ».
00:28:22Il faut participer dans le débat, mais il faut avoir une contribution.
00:28:26Il faut « voice out », avoir les pipes, parce qu'on représente les pipes.
00:28:30Donc, là, moi, je suis extrêmement heureux, comme vous le trouvez dans le discours-programme,
00:28:35qu'il y ait un « right to recall ».
00:28:38Un parlementaire, un député, s'il n'est pas capable de faire ce travail.
00:28:41Donc, ça, c'est une grande réforme constitutionnelle qu'il faut faire.
00:28:45Donc, dans les prochains six mois, le gouvernement, pour mettre en place
00:28:49ce qu'il nous appelle une « Constitutional Review Commission »,
00:28:54pour étudier tout ça dans l'aspect amendement de façon à faire l'élection,
00:29:00amendement à nous, la Constitution,
00:29:03et aussi les autres droits qui, maintenant, vivent une primordiale
00:29:08ou mettent dans la Constitution le droit de l'environnement.
00:29:10Donc, ces 100 jours-là, comme le Dr Amgoulam l'a dit,
00:29:13il m'aurait pensé qu'il l'ait dit, c'est 2025, c'est l'année de tous les espoirs.
00:29:19Donc, nous faisons une base solide. Comment on fait ça?
00:29:23On fait un « raideau-blason », tous nos institutions.
00:29:26À partir de là, c'est là où le bilan peut monter.
00:29:28Bien sûr, il y a des « high expectations » de notre gouvernement.
00:29:31Un gouvernement 60-0, il y a des « high expectations ».
00:29:34Un gouvernement qui fait une guerre puisque 67 % de la population
00:29:38fait une publicité au niveau national, dans certaines circonscriptions,
00:29:41c'est là où 75-80 %, c'est des « high expectations ».
00:29:45Nous, conscients de ces « high expectations »,
00:29:48nous devons « live up » à ces « expectations ».
00:29:50Comme vous le savez, moi, tout le temps, je me dis,
00:29:52« Now, » comme en anglais, je dis, « we have to walk the talk ».
00:29:55Donc, il y a beaucoup de travail à faire. Nous finissons comment?
00:29:59Bien sûr.
00:30:11Donc, c'est ça l'état de l'économie de Mauritie.
00:30:13Quand on trouve qu'il faut un chiffre de statistiques mauritiennes,
00:30:17c'est extrêmement grave, quand statistiques mauritiennes,
00:30:20quand on trouve là-bas une manipule d'un chiffre de l'économie.
00:30:24Et je vous le dis, là, on fait une passe en récord,
00:30:26on arrive à 600 milliards d'aides publiques,
00:30:29on a 600 milliards de roupies.
00:30:31Donc, c'est l'état de l'économie, et il y a tout à refaire.
00:30:35Et connaissant le docteur Amgoulam,
00:30:37et connaissant l'équipe économique qui peut aider lui,
00:30:40primordial, c'est la prospérité.
00:30:43Oui, nous avons une économie qui est basée sur la consommation,
00:30:47avec une roupie faible, avec un dollar faux.
00:30:50Donc, si on veut que le pays bouge,
00:30:53si on veut qu'il y ait un prix stabilisé ou réduit un petit peu,
00:30:56il faut une roupie stable, il faut une roupie stabilisée,
00:31:00mais il faut créer de la richesse dans le pays.
00:31:02Si on ne le fait pas, on ne gagne plus.
00:31:04Je vais donner un simple exemple, j'ai un client qui est en vacances,
00:31:07chaque année, il vit en Mauritie, il sort de Luxembourg.
00:31:09Il dit à moi, Kouchal, je suis extrêmement choqué,
00:31:12parce qu'il a fait un mois en Mauritie,
00:31:15c'est qu'il a consommé son argent pendant un mois,
00:31:17mais presque la même chose qu'il m'a payé dans Luxembourg,
00:31:20le coût de la vie.
00:31:22Mais, dans Luxembourg, un chauffeur qui roule bise publique là-bas,
00:31:27il gagne 5000-6000 euros.
00:31:29Un professeur gagne entre 15 000 et 16 000 euros.
00:31:32Donc, pour vous dire, qu'est-ce qu'il y a de disparité là-dedans ?
00:31:35Donc, nous, un pays, le coût de la vie est extrêmement cher.
00:31:38Donc, il n'y a pas une tâche qui, du jour au lendemain,
00:31:41vous pouvez renverser.
00:31:43Il y a toute une base.
00:31:45Dans 30 ans, on ne peut quand même vraiment...
00:31:47Il y a toute une base, vous allez revoir les institutions,
00:31:49vous allez revoir la bureaucratie en Mauritie.
00:31:51Je fais une petite visite.
00:31:53Chaque semaine, nous pouvons y aller.
00:31:55Quand nous pouvons trouver la bureaucratie,
00:31:57nous pouvons bloquer beaucoup d'affaires.
00:31:59Il y a beaucoup de gens qui attendent leur permis.
00:32:02Il y a beaucoup de gens qui ont envie de commencer un petit business,
00:32:04mais tout est bloqué quelque part.
00:32:06Donc, c'est tout à refaire.
00:32:08L'écologie complète de l'administration
00:32:10qui puisse révoir et qui puisse être capable
00:32:12d'instaurer un petit peu plus de rigueur,
00:32:15plus de discipline, plus de compétences
00:32:18et aussi moins de népotisme
00:32:20dans la décision-making des gens
00:32:22qui vous mettent à la tête dans l'institution.
00:32:24Donc, voilà un petit peu, pour moi,
00:32:26ce qui résume ces 100 jours du gouvernement.
00:32:28Donc, il y a beaucoup d'expectations,
00:32:31de hautes expectations.
00:32:33Nous allons rester à ces expectations.
00:32:35Très bien. Je retourne à Faisal,
00:32:37où tu peux dire tout côté positif.
00:32:39Parce que là, nous connaissons un petit peu
00:32:41ce qu'il faut trouver
00:32:43qui n'est pas tellement bizarre.
00:32:45Il y a une grande faiblesse.
00:32:47Il est normal qu'il y ait une grande faiblesse.
00:32:49Je ne crois pas que c'est une affaire qui...
00:32:52Je crois qu'une des grandes faiblesse
00:32:54qui ne frappe pas l'œil, là,
00:32:56c'est la nomination au niveau de l'institution.
00:32:59Et ça, c'est une promesse qu'il faut tenir.
00:33:01Parce qu'il y a écrit, black and white,
00:33:03dans notre programme,
00:33:05qu'il faut mettre un comité,
00:33:07un comité indépendant
00:33:09qui peut assurer que les gens
00:33:11puissent mettre à la tête l'institution
00:33:13pour choisir.
00:33:15Dans cette nomination-là,
00:33:17les temporaires, ça, ou bien les permanents,
00:33:19ça reste à voir.
00:33:21Et dans cette nomination-là,
00:33:23il y a un manque de transparence,
00:33:25un manque de méritocratie.
00:33:27Vous trouvez qu'il n'y a pas
00:33:29une femme fidèle,
00:33:31qui est là de longue date,
00:33:33une pensionnaire.
00:33:35Moi, je crois que c'est un erreur qu'ils ont fait.
00:33:37Ils ont bien pensé qu'ils pouvaient
00:33:39rectifier le tir.
00:33:41Parce qu'ils veulent mettre des jeunes,
00:33:43des jeunes dans l'occasion
00:33:45pour qu'ils soient capables
00:33:47de montrer leurs capacités, leurs compétences.
00:33:49Un autre problème, c'est
00:33:51dans le nominé politique
00:33:53de l'ancien régime.
00:33:55Ils sont encore
00:33:57dirigés à l'appareil de l'État-là.
00:33:59Et je crois
00:34:01que c'est quelque chose
00:34:03de très, très grave.
00:34:05Je ne sais pas comment faire ça.
00:34:07Mais c'est quelque chose
00:34:09que le gouvernement du jour
00:34:11doit considérer.
00:34:15Je ne sais pas comment faire ça.
00:34:17Est-ce qu'il faut dire ça?
00:34:19Est-ce qu'il faut aller à l'école?
00:34:21Je ne sais pas comment faire ça.
00:34:23Mais il faut qu'il y ait des gens
00:34:25qui sont vraiment capables de compter,
00:34:27des gens qui sont compétents,
00:34:29qui ont à cœur le progrès du pays
00:34:31et le progrès de ce gouvernement qu'il a là.
00:34:33Ensuite, il y a
00:34:35des choses qu'il faut dire,
00:34:37qu'il ne faut pas faire.
00:34:39Les tarifs de l'électricité
00:34:41ne sont pas encore troublés.
00:34:43Il y a la baisse des produits alimentaires.
00:34:45Je dirais que la plupart
00:34:47des produits alimentaires restent pareils.
00:34:49Mais il y en a qui montent
00:34:51extrêmement fort.
00:34:53Surtout pour
00:34:55les petits consommateurs.
00:34:57Même si j'achète des légumes.
00:34:59Si j'achète, par exemple, le prix de la banane,
00:35:0110 à 15 rupières une banane,
00:35:03je ne crois pas qu'on puisse avoir
00:35:05une pomme qui va être moins chère que ça.
00:35:07Là, c'est quelque chose
00:35:09qui vient faire les oeufs.
00:35:11Oui, bien sûr.
00:35:13C'est quelque chose que le gouvernement
00:35:15devait attaquer en premier.
00:35:17La baisse des prix des médicaments
00:35:19n'est pas proposée,
00:35:21mais je ne trouve pas grand-chose de ce côté-là.
00:35:23Freedom of Information Act,
00:35:25c'est-à-dire pour la médecine, d'accord.
00:35:27Parce que pour faire un Freedom of Information Act,
00:35:29il faut un peu de temps,
00:35:31comme nos camarades légistes
00:35:33pour le corrigement,
00:35:35il faut un peu de temps pour pouvoir mettre les t-shirts en place.
00:35:37Comme ça, il y a plusieurs autres.
00:35:39Plusieurs autres lois aussi.
00:35:41Il y a le Whistleblower Protection Act,
00:35:43qui est à l'ensemble
00:35:45avec le Freedom of Information Act.
00:35:47Il y a le Financial Responsibility Act.
00:35:49Comment tu appelles ça ?
00:35:51Fiscal Responsibility Act.
00:35:53Fiscal Responsibility Act.
00:35:55Tout ça, si tu veux,
00:35:57on peut commencer à travailler,
00:35:59mais je ne trouve pas grand-chose.
00:36:01Le transport gratuit pour tous.
00:36:03Rien. Jusqu'à l'heure.
00:36:05Baisse du prix des médicaments.
00:36:07Rien. Jusqu'à l'heure.
00:36:09Abolition de 150 roupies
00:36:11pour rédévance MBC.
00:36:13Je ne connais pas une fille comme ça,
00:36:15je ne suis pas trop sûr.
00:36:17Et rien encore que l'embouteillage
00:36:19sur nos routes.
00:36:21Je trouve ça quelque chose d'incroyable
00:36:23ce qui fait passer
00:36:25sur la route,
00:36:29sur nos routes.
00:36:31Il n'est pas possible.
00:36:33De janvier à aujourd'hui,
00:36:35plus de 3000 nouvelles voitures
00:36:37vont rentrer.
00:36:39Mais il n'est pas possible.
00:36:41Déjà, avec le nombre de voitures.
00:36:43Là, nous arrivons à peu près à 700 000.
00:36:45Ça veut dire pour chaque 2 Mauritien
00:36:47il y a une voiture.
00:36:49Un véhicule, pas une voiture.
00:36:51La majorité, ce sont des deux roues.
00:36:53C'est ça. Mais il n'est pas possible
00:36:55qu'il y en ait cette quantité-là
00:36:57et nous ne pouvons pas faire rien.
00:36:59Il faut attraper le taureau par les cornes
00:37:01et assurer que le nombre
00:37:03de voitures sur les routes
00:37:05diminue.
00:37:07Parce que moi,
00:37:09quand je fais des taxis,
00:37:11je ne me rappelle pas
00:37:13pourquoi on met 2 litres d'eau
00:37:15dans une bouteille d'un litre.
00:37:17C'est pour déborder.
00:37:19C'est un démon qui peut
00:37:21servir sur l'esprit,
00:37:23mais qui fait au niveau du gouvernement
00:37:25qu'il n'y a aucune réflexion.
00:37:27C'est pas possible.
00:37:29Le matin, je me trouve
00:37:31sur un type qui n'a plus de poils pour lui.
00:37:33Ça se met là, bloqué
00:37:35complètement.
00:37:37Et si vous rentrez
00:37:39dans le métro,
00:37:41le métro, on dirait...
00:37:43Il y a une limite qu'il n'y a pas.
00:37:45Alors ça, c'est une bonne affaire
00:37:47que le gouvernement puisse attaquer.
00:37:49On ne peut pas dire qu'il ne peut pas l'attaquer,
00:37:51mais qu'il doit l'attaquer en premier.
00:37:53Il y a une bonne série de priorités
00:37:55qu'il doit bien faire.
00:37:57Et peut-être que tout à l'heure,
00:37:59nous ne pouvons pas causer un petit peu...
00:38:01Là, toujours, on ne peut pas dominer trop.
00:38:03Tout à l'heure, nous ne pouvons pas causer
00:38:05un petit peu...
00:38:07En premier, en second, en troisième, etc.
00:38:09Ça, il me laisse continuer
00:38:11sa tendance de bonne chose
00:38:13qui peut demander
00:38:15une action assez rapide.
00:38:17Par exemple, le nombre de voitures
00:38:19sur nos routes.
00:38:21Si nous prenons à côté Singapour,
00:38:23nous avons besoin d'une licence
00:38:25d'abord, pour qu'on puisse le faire.
00:38:27On ne peut pas dire
00:38:29qu'on peut mettre ça ici, ou que ce n'est pas la licence.
00:38:31Nous avons besoin de penser au rôle un petit peu.
00:38:33Il n'est pas possible,
00:38:35le nombre de voitures continue d'augmenter.
00:38:37Une voiture qui dépasse 20 ans,
00:38:39elle n'a encore pas roulé.
00:38:41Nous devons trouver une solution.
00:38:43Nous payons un petit peu.
00:38:45L'espace sur la route est limité.
00:38:47Il ne peut pas augmenter.
00:38:49Alors, nous devons trouver un système
00:38:51pour limiter le nombre de voitures sur nos routes.
00:38:53Deuxième chose,
00:38:55si nous croisons le nombre de roues
00:38:57avec le nombre de voitures et le nombre de motos
00:38:59sur la route,
00:39:01c'est un accident fatal.
00:39:03Les accidents ont baissé,
00:39:05mais le nombre de morts a augmenté.
00:39:07Alors là,
00:39:09mon petit propos
00:39:11qui est déjà dans le PMI
00:39:13à point, mais avec
00:39:15un système comme il y en a dans d'autres pays,
00:39:17où quand on finit avec une licence
00:39:19qui reste 18 ans, pendant 3 ans,
00:39:21ce sera 21 ans,
00:39:23où vous voulez qu'il y ait une plaque provisionnelle
00:39:25ou air restricted.
00:39:27Une plaque verte et du vent derrière.
00:39:29Et où il n'y a pas un droit,
00:39:31par exemple en Australie,
00:39:33où il n'y a pas un droit ça.
00:39:35L'autre qui a moins de 21 ans dans une voiture.
00:39:37Parce que là, on a une pire pression.
00:39:39Et il roule doucement comme ça.
00:39:41Alors là, on accélère, mais où on accélère
00:39:43au moins on peut se faire.
00:39:45Parce que l'expérience paye.
00:39:47On a plusieurs petites astuces
00:39:49comment on est capable d'améliorer les choses ici.
00:39:51Très bien.
00:39:53Je suis content de dire une chose là.
00:39:55Il y a deux personnes
00:39:57dans le gouvernement
00:39:59qui sont capables aussi.
00:40:01Ce qui est un accident,
00:40:03leur chemin coûte nous.
00:40:05Oui.
00:40:077,8 milliards.
00:40:09Alors comment on est capable
00:40:11de permettre une affaire comme ça.
00:40:13L'embouteillage coûte nous.
00:40:15De 6 à 7 milliards.
00:40:17L'embouteillage.
00:40:19Sur nos routes.
00:40:21L'un soit en Australie.
00:40:23Comment on peut gaspiller ce chiffre-là.
00:40:25Comment on peut essayer de trouver
00:40:27une façon pour économiser
00:40:29cet argent-là et l'investir
00:40:31dans les autres affaires.
00:40:33Comment vous disiez tout à l'heure,
00:40:35pour grossir le gâteau national
00:40:37pour les autres qui sont capables
00:40:39de bénéficier de ça.
00:40:41Comment on laisse l'argent comme ça gaspiller.
00:40:43Pour moi c'est un problème bien grave.
00:40:45Une priorité aussi.
00:40:47Une priorité d'après vous.
00:40:49Alors retournons vers les élits.
00:40:51Nos deux observateurs
00:40:53sont bien soumis
00:40:55à certaines choses.
00:40:57Donc la question,
00:40:59est-ce qu'il y a une priorité
00:41:01qui a été établie ?
00:41:03Est-ce qu'il y a une priorité
00:41:05qui peut encore toucher ?
00:41:07Mais aussi, est-ce qu'il y a un travail
00:41:09qu'on peut faire qui n'est pas au courant ?
00:41:11Bon.
00:41:13Définitivement,
00:41:15il y a,
00:41:17comme on dit, trois mois d'exercice
00:41:19du pouvoir,
00:41:21il n'est pas évident de faire tout.
00:41:23Aujourd'hui,
00:41:25par exemple, le nombre d'accidents,
00:41:27ce n'est pas du jour au lendemain
00:41:29qu'il vous tacle ce problème-là.
00:41:31Et vous trouvez ce gouvernement-là,
00:41:33il ne peut pas faire démagogie,
00:41:35il ne peut pas coûter en vie,
00:41:37gagner de la popularité,
00:41:39il n'est pas permis à point.
00:41:41C'est-à-dire que ce n'est pas tout à fait d'accord.
00:41:43Il y a des gens qui mobilisent,
00:41:45il y a des gens qui s'inquiètent,
00:41:47ce n'est pas tout à fait d'accord.
00:41:49Mais le gouvernement,
00:41:51et surtout le Premier ministre,
00:41:53qui l'a demandé,
00:41:55beaucoup de parlementaires,
00:41:57beaucoup de ministres et députés
00:41:59sont d'accord avec ça.
00:42:01Il n'est pas nécessairement
00:42:03qu'il peut gagner de la popularité
00:42:05comme un ancien gouvernement
00:42:07et ce n'est pas tout à fait conclu.
00:42:09Deuxièmement, nous venons là
00:42:11de la nomination.
00:42:13Vous parlez d'un gouvernement indéfendable.
00:42:15Nous ne faisons que trouver
00:42:17de l'alternative au pouvoir.
00:42:19Le titre Biden sur le pouvoir.
00:42:21Nous,
00:42:23dans le système mauricien,
00:42:25nous calquons normalement
00:42:27le système britannique.
00:42:29Nous avons un service civil
00:42:31qui est neutre
00:42:33et impartial,
00:42:35indépendant.
00:42:37Mais souvent,
00:42:39vous pourrez me répondre à un problème
00:42:41qui s'est soulevé tout à l'heure,
00:42:43qui est de focaliser le ministre.
00:42:45Mais ce système-là,
00:42:47il est souvent pourri au niveau
00:42:49d'un bon fonctionnaire,
00:42:51d'un bon policier.
00:42:53J'aurais dû mettre un commissaire de police
00:42:55très bien, très respecté,
00:42:57mais malheureusement,
00:42:59les congrénés,
00:43:01une partie de sa fonction publique,
00:43:03une partie de la coopérative
00:43:05déjà congrénée,
00:43:07et ce bon fonctionnaire-là,
00:43:09qui ne fait pas de bêtises
00:43:11et qui peut-être peut continuer
00:43:13à faire des bêtises,
00:43:15vous êtes protégés par la loi,
00:43:17vous êtes un bon fonctionnaire,
00:43:19vous n'êtes pas capable de faire
00:43:21des horreurs à travers.
00:43:23Vous n'êtes pas capable de faire
00:43:25comme en 1982,
00:43:27de faire dominer le monde.
00:43:29Vous rentrez dans une trap.
00:43:31Mais le système américain,
00:43:33à l'encontre du système britannique,
00:43:35c'est basé sur ce qu'on appelle
00:43:37le « spoil system ».
00:43:39Il y a un « merit system »
00:43:41et un « spoil system ».
00:43:43Quand le gouvernement est en place,
00:43:45par exemple, la banque de Maurice,
00:43:47il y a trois gens,
00:43:49bien choisis,
00:43:51et quand la plupart du temps,
00:43:53on est d'accord avec Faisal,
00:43:55on n'est pas d'accord.
00:43:57Il va servir le mot,
00:43:59on est d'accord.
00:44:01Vous n'êtes pas un fonctionnaire,
00:44:03mais vous êtes intelligent,
00:44:05vous avez de l'expérience,
00:44:07c'est important.
00:44:09Par exemple, la banque de Maurice,
00:44:11vous trouvez qu'elle fait
00:44:13une nomination correcte,
00:44:15vous êtes compétent.
00:44:17Vous prenez une autre place
00:44:19dans le phénomène du monde,
00:44:21c'est l'UVA.
00:44:23Un ancien parlementaire,
00:44:25un ancien BPS,
00:44:27il n'y a pas mal d'exemples.
00:44:29Mais les risques, aussi,
00:44:31quand le gouvernement est en place,
00:44:33on peut faire une synthèse
00:44:35entre le « merit system »
00:44:37parce qu'il n'y a pas
00:44:39un fonctionnaire,
00:44:41vous êtes spécialiste,
00:44:43vous êtes plus agent politique
00:44:45qu'agent politique.
00:44:47C'est une chose
00:44:49que vous êtes d'accord.
00:44:51Mais c'est un moment
00:44:53où vous avez envie
00:44:55d'avoir des gens
00:44:57qui sont super intelligents,
00:44:59mais qui font des dégâts
00:45:01avec le MSM,
00:45:03le parti de l'opposition.
00:45:05Après, vous vous dites
00:45:07qu'ils sont brillants,
00:45:09qu'ils sont de Cambridge,
00:45:11qu'ils sont d'Oxford,
00:45:13que vous les dirigez
00:45:15l'institution.
00:45:17Pourquoi pas.
00:45:19Mais c'est moi qui décide.
00:45:21Vous espérez,
00:45:23à ma connaissance aujourd'hui,
00:45:25des gens qui peuvent être nommés,
00:45:27des BSC, des MBA,
00:45:29de l'expérience.
00:45:31C'est quelque chose qui peut être discutable.
00:45:33Je ne veux pas défendre toutes les affaires.
00:45:35Je ne veux pas les mal placer
00:45:37comme membres de l'exécution.
00:45:39Je ne veux pas donner l'opinion de chaque nomination.
00:45:41Mais en gros, je vais donner deux, trois exemples.
00:45:43Une nomination peut combiner
00:45:45le pur « merit system »
00:45:47des Britanniques,
00:45:49et même le système britannique,
00:45:51qui est plus hybride ici.
00:45:53Et le système américain,
00:45:55c'est les trois corps basés
00:45:57sur le « sport system ».
00:45:59Le président des États-Unis
00:46:01qui arrive, il vient avec son cohorte
00:46:03d'advisers et des fonctionnaires.
00:46:05Même fonctionnaire.
00:46:07Donc, nous acceptons qu'il y ait un système hybride.
00:46:09Mais c'est moi
00:46:11qui suis totalement d'accord
00:46:13qu'il faut être prudent.
00:46:15Il faut une blende.
00:46:17Vous savez, dans le passé,
00:46:19dans le régime, il y a eu beaucoup de jeunes
00:46:21qui ont fait des dégâts.
00:46:23Ils ont ruiné l'économie, ils ont fait des abus,
00:46:25des cas de corruption.
00:46:27Je veux dire, vous avez un bon dosage
00:46:29de jeunes,
00:46:31dynamiques,
00:46:33proactifs, compétents,
00:46:35mais je ne veux pas dire que vous êtes exclu à certains anciens.
00:46:37Donc, un bon dosage.
00:46:39Dans le Parlement même,
00:46:41il y a une nouvelle figure, mais il y a des anciens
00:46:43qui font la preuve.
00:46:45Il y a un certain nombre de parlementaires
00:46:47qui sont tous dans le parti Tavaïs.
00:46:49Il y en a encore six à sept.
00:46:51Réza Outim, Fabrice David.
00:46:53Je ne veux pas dire qu'ils ont opposé des fois
00:46:55à Chakil Mohamed.
00:46:57Même parmi ces douze-uns, vous pensez,
00:46:59dans l'opposition qui existait, Tavaïs,
00:47:01c'est même le NDC avant PMSD.
00:47:03Mais il y en a qui sont très très valables.
00:47:05Ils ont resté. Il y a une nouvelle figure,
00:47:07une nouvelle figure, oui.
00:47:09Ils ont fait un travail d'ensemble.
00:47:11Et moi, ce que je souhaite, pour ma nomination là,
00:47:13qui nous fait confiance, le premier ministre
00:47:15et le deuxième ministre,
00:47:17qui sont tous des gens
00:47:19basés, capables d'avoir un peu d'affinité
00:47:21dans le parti politique,
00:47:23c'est qu'ils pensent qu'ils doivent réaliser
00:47:25qu'il n'y a plus rien de même.
00:47:27Avant, le MSM, qui était toute une nomination,
00:47:29aujourd'hui, il y a une consultation
00:47:31dans le respect, et c'est ça que je veux mettre en phrase.
00:47:33Il y a un respect
00:47:35entre le parti Tavaïs,
00:47:37qui est bien sûr locomotive,
00:47:39le MMM,
00:47:41le ND, et aussi
00:47:43le PS. Donc, pas capable
00:47:45de nommer n'importe qui. Donc, il y a une consultation
00:47:47entre ces quatre parties-là,
00:47:49et il y a un système de « check and balance »
00:47:51qui peut venir. Mais peut-être, moi, d'accord,
00:47:53en partie, ce qui fait ça,
00:47:55c'est que nous pouvions continuer
00:47:57Mechou,
00:47:59qui va, dans les trois
00:48:01cas, 80%
00:48:03de ma nomination pour me confaire.
00:48:05Et les bons, qui peuvent prendre
00:48:07le temps,
00:48:09un peu pas trop
00:48:11content, qui peut tarder.
00:48:13Moi-même, parfois, je me dis qu'il faut tenter l'institution
00:48:15pour qu'on nomme du monde. Mais vous pensez
00:48:17dans votre sagesse, à quatre leaders
00:48:19là, surtout ça, des leaders,
00:48:21M. David Ramoulam, le premier ministre,
00:48:23et Paul Béranger, mais pensez les temps, pensez
00:48:25en termes
00:48:27de distribution, en termes
00:48:29partis, en termes
00:48:31différents, en différentes considérations.
00:48:33Prends un peu
00:48:35le temps, oui. Et là, du monde, un peu
00:48:37exaspéré, un peu pas trop content,
00:48:39un peu en colère, mais vous pensez plutôt ça,
00:48:41qui vous fait faire des affaires à la va-vite,
00:48:43et finalement, il y a même des catastrophes qui nous viennent pendant
00:48:45dix ans. Et une affaire que moi-même, je peux
00:48:47ajouter à ce que vous pouvez nous dire, c'est que
00:48:49dans le passé, il y a eu plusieurs débats
00:48:51à ce sujet-là, ici, c'est que quand on
00:48:53nomme du monde, c'est un professionnel qui peut le nommer.
00:48:55Donc, s'il y en a un petit affiliation
00:48:57politique, il est bien capable de mettre ça de côté.
00:48:59Bien sûr. Quand il peut
00:49:01prendre un travail, il y a un travail pour lui faire.
00:49:03Est-ce qu'il n'est... Vous voyez, je vous donne l'exemple.
00:49:05En France, nous avons le Conseil constitutionnel.
00:49:07Aux Etats-Unis,
00:49:09il y a Manzouz qui le nommait
00:49:11d'une façon politique. Vous ne pouvez pas nous dire
00:49:13toute nomination politique mauvaise.
00:49:15Mais il y en a aussi, comme dans Pécos,
00:49:17les Etats-Unis, les vrais,
00:49:19ça, du monde qui peut le nommer, ça passe
00:49:21dans le comité. Après,
00:49:23justement, ce que j'allais dire,
00:49:25dans le programme gouvernemental, nous disions qu'il ne vous vient
00:49:27qu'avec un système. Mais là, déjà,
00:49:29si vous mettez un système en place, il vous prend un an, deux ans,
00:49:31vous nommez Manzouz. C'est pour la prochaine élection
00:49:33où ça, au cours du mi-mandat,
00:49:35quand la loi l'a fini,
00:49:37vous avez réfléchi. Est-ce qu'il y a un comité
00:49:39parlementaire qui vous nomme ça un high-profile
00:49:41chairmanship,
00:49:43ou ça, un job-là. La différence
00:49:45entre, moi, je fais toujours la distinction,
00:49:47peut-être qu'il y en a beaucoup qui ne vont pas faire l'i,
00:49:49entre ce qu'ils m'appellent les regulatory bodies,
00:49:51comme la FSC, comme la banque de Maurice,
00:49:53et les normales
00:49:55bodies. Parce que c'est dans un système
00:49:57politique. Il y a des gens qui
00:49:59sont étiquettes, ils sont candidats.
00:50:01Il y a des gens qui sont loyaux, ils soutiennent.
00:50:03Il y a six autres compétents. Pas besoin d'excuser eux.
00:50:05Il y a peut-être d'autres affaires qui discutent.
00:50:07Moi, je préfère défendre mes affaires.
00:50:09Là, en gros, moi, j'y pense.
00:50:11Charlemagne me repose la question, peut-être
00:50:13un petit peu.
00:50:15Est-ce qu'il y a une liste
00:50:17prioritaire qui fait l'établir,
00:50:19l'action qu'il faut prendre.
00:50:21Est-ce qu'il y a quelque chose qui
00:50:23n'est pas en cours d'hier pour tout à coup, tout de suite.
00:50:25Et aussi, est-ce qu'il y a davantage de travail
00:50:27qu'il faut faire dans l'ombre. Ça, je ne suis pas au courant de ça.
00:50:29Vous connaissez, tout est prioritaire.
00:50:31Pour le gouvernement,
00:50:33tout est prioritaire.
00:50:35Parce qu'on hérite un
00:50:37pays que tout a été
00:50:39déshabillé. L'état de l'économie,
00:50:41la diplomatie
00:50:43au plus bas, tout est à refaire.
00:50:45Donc, on finit de trouver
00:50:47pendant plusieurs années,
00:50:49on finit de négliger l'Afrique, par exemple.
00:50:51Donc, le premier ministre, le docteur Angoulême, on finit de trouver
00:50:53que son premier visite, c'est à l'Afrique.
00:50:55Et on finit de trouver,
00:50:57mon camarade junior ministre des Affaires étrangères,
00:50:59je vais t'y poser une question au Parlement,
00:51:01pour que ça s'adapte.
00:51:0311 millions de l'or
00:51:05est payé.
00:51:07Et nous, nous ne pouvons contester,
00:51:09depuis que le droit international prévaloit,
00:51:11nos chagosses,
00:51:13enfoncent ce qu'ils nous font gagner
00:51:15dans la Cour internationale de justice,
00:51:17mais seulement nous,
00:51:19ne pouvons pas faire bon élève au sein de l'Afrique.
00:51:21Donc, ça c'est une priorité.
00:51:23Chagosses.
00:51:25Quand le docteur Angoulême
00:51:27finit de dire au Parlement
00:51:29comment la façon dont il a négocié,
00:51:31c'est de mettre
00:51:33des côtés la souveraineté,
00:51:35c'est une négociation
00:51:37qui a été faite par six premiers ministres,
00:51:39par lesquels il n'y a pas eu de cabinet ministériel
00:51:41qui est parti au courant.
00:51:43Le premier ministre a dit
00:51:45au Parlement, le docteur Angoulême
00:51:47finit de dire comment
00:51:49la négociation peut se faire,
00:51:51comment c'est extrêmement important
00:51:53que la souveraineté reste
00:51:55l'avant-plan de toute négociation,
00:51:57comment ce document
00:51:59qu'il finit de publier, le State of Economy,
00:52:01soit capable
00:52:03de recadrer la façon
00:52:05de faire les choses à Maurice.
00:52:07Donc, tout ça là, c'est une priorité.
00:52:09Donc, quand on met tout ça là comme une priorité,
00:52:11de facto,
00:52:13tous les bancs de considération,
00:52:15ceux qui faisaient ça, le PDG, ils venaient en priorité.
00:52:17Mais, la priorité
00:52:19c'est quoi ?
00:52:21C'est faire les institutions.
00:52:23C'est ce qu'il faut faire pour qu'ils puissent
00:52:25l'implémenter.
00:52:27Donc, les appointments qu'ils finissent de faire,
00:52:29ils ne peuvent pas les faire dans un vacuum.
00:52:31Ils doivent être dans le cadre légal.
00:52:33Pourquoi faire ça ? Il y a plusieurs nominations
00:52:35qui doivent être amendées par la Constitution
00:52:37qui doivent être revues par les standing orders.
00:52:39Par exemple,
00:52:41comment est-ce qu'on peut faire un appointement de comité ?
00:52:43Est-ce qu'on doit
00:52:45mandater le Parlement ?
00:52:47Est-ce qu'on doit, par exemple,
00:52:49nous préconiser un electoral college ?
00:52:51Comment est-ce qu'on peut nommer un chairman ?
00:52:53Qui en a fait ça ?
00:52:55Le Cabinet ? L'exécutif ? Le Premier ministre ?
00:52:57C'est l'appointement de comité là ?
00:52:59Donc, tout ça là.
00:53:01Ils viennent dans un état de droit,
00:53:03une base juridique qu'ils ont besoin de franchir.
00:53:05Donc, tout ça là, ils passent
00:53:07par le state law office.
00:53:09S'il y a un amendement pour amener à la loi
00:53:11ou une nouvelle législation,
00:53:13c'est là où ils viennent.
00:53:15Il y a des nominations qu'ils peuvent faire aussi, vous trouvez.
00:53:17C'est le part-time, non-exécutif
00:53:19chairman, le 2 ans, le 3 ans.
00:53:21Donc, si,
00:53:23quand on fait une Constitutional
00:53:25Review Commission, quand on fait
00:53:27une main-de-garde solide là-bas, quand on trouve
00:53:29qu'il y a un Constitutional Appointment
00:53:31Committee, ou ça, un Appointment
00:53:33Committee qui est sorti depuis le Parlement
00:53:35parce qu'il nous a révoit
00:53:37standing orders, quand on nous a assis,
00:53:39quand peut-être, comme en Angleterre ou en Vallée,
00:53:41un public committee où on gagne
00:53:43les lives, ou quoi pas, qu'est-ce qui peut arriver ?
00:53:45Donc, là, on doit
00:53:47voir le Broadcasting Committee qui nous est là
00:53:49au sein du Parlement, où ils
00:53:51révoient les standing orders pour qu'on mette les...
00:53:53Donc, pour faire ça, il faut prendre un petit
00:53:55peu de temps. Donc,
00:53:57on ne peut pas dire qu'il faut pas le dire, donne tout de suite
00:53:59et puis nous revenons, nous proposons encore un petit peu
00:54:01pendant peut-être 5 minutes
00:54:03l'essentiel du gouvernement,
00:54:05après nous passons au deuxième pas aussi, justement,
00:54:07l'actualité
00:54:09qui nous fait une vie pendant le week-end.
00:54:11Allez-y.
00:54:13...
00:54:15Hardtalk.
00:54:43...
00:54:45...
00:54:47...
00:54:49...
00:54:51...
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00:56:31...
00:56:33...
00:56:35Le retour dans l'émission Hard Talk, nous retournons directement vers Koushal Dobin
00:56:52pour compléter un petit peu ce qu'il nous est posé en termes des premiers 100 jours
00:56:56du gouvernement.
00:56:57Rapidement Koushal, parce que nous devons prendre le docteur.
00:57:00Rapidement, nous résumons.
00:57:01Nous résumons, c'est que nous nous sommes commis pour honorer l'engagement qu'il nous
00:57:07fait prendre les peuples.
00:57:08Nous nous sommes commis pour que les peuples qui nous font faire confiance massivement
00:57:12puissent aller de l'avant avec ce qu'ils nous ont promis.
00:57:15C'est un « five-year mandate » qu'on peut dire là, il y a un « bridge to the future
00:57:20», nous voulons aller de l'avant avec ça.
00:57:22Donc, nous prenons en considération toutes les expectations de la population qui, bien
00:57:26sûr, c'est une raison dans tout ce qui peut aspirer, arriver à notre vie personnelle,
00:57:33notre société et notre pays, et nous, là, pour travailler pour lui.
00:57:36Donc, bien sûr, dans l'état de droit, il y a des règles qui nous sont mises en place,
00:57:40il y a des corrections qui nous sont faites pendant dix ans dans le pays.
00:57:45Donc, pour faire tout ça là, il prend quelques temps.
00:57:48Il me paraît qu'il y a un joli bout de terre pour qu'on puisse dire qu'on a une
00:57:51base là, mais qu'on prend la terre là, qu'on peut fouiller, on peut trouver, bien,
00:57:57il y en a un rouge.
00:57:58Il y a une caverne.
00:57:59Il y a une caverne.
00:58:00Donc, quand on peut couler ça à la base là, bien, d'emplace, on peut couler l'île
00:58:03de Zordi, on peut bien finir prépare l'île avant d'aller la recouler à la base.
00:58:06Donc, voilà un petit peu le pays qui nous fait une hérité.
00:58:08Monsieur le ministre, j'ai juste un petit bout.
00:58:10Oui.
00:58:11Pour dire qu'il m'écoute avec attention Faisal et Sahir, et sa gouvernement-là, moi
00:58:16quand je dis « oh », qui est le premier ministre et le député parlementaire, et
00:58:20les ministres, et les députés-ministres, la majorité, nous contente à l'écoute.
00:58:24Et tant qu'il y a de la même critique constructive dans une société démocratique, c'est une
00:58:28nouvelle ère de la démocratie, nous ne pas gêner du tout avec les critiques de Faisal,
00:58:33hein.
00:58:34Nous écouter, il y a de la même affaire qui nous bat pour d'accord, mais il y a de
00:58:37la même affaire qui nous take note, nous take good note, et dans le Parlement, moi-même
00:58:42parfois, malgré qu'il me donne l'exécutif, où j'ai de mon discours, parfois, moi,
00:58:47et Kouchal qui est un backbencher.
00:58:50Les bizarres critiques.
00:58:51Il ne faut pas dire un backbencher, yes man.
00:58:53Le vrai rôle d'un backbencher, c'est différent d'un membre de l'opposition, mais il ne
00:58:58faut pas dire yes man, il faut dire un membre de l'exécutif, un monsieur qui, en temps
00:59:02et lieu, vend du monde de la trompe de Kouchal pour montrer du monde qu'il n'y a pas
00:59:07d'un réel backbencher.
00:59:09Tout à fait.
00:59:10Alors, voilà.
00:59:11Rapidement, rapidement.
00:59:13Oui, c'est pas les commentaires, c'est pas les critiques de Faisal.
00:59:25C'est les critiques de la population.
00:59:27C'est le citoyen lambda.
00:59:30Et tous les citoyens dans notre ensemble, c'est ça que mon père voulait faire.
00:59:34Parce que moi, mon frère, pas seulement dans la faiblesse, mon frère aussi dans la force.
00:59:42C'est super écouté.
00:59:43La dame qui vous parlait, y'a pas une soixantaine d'euros.
00:59:45Très bien.
00:59:46Vous pouvez continuellement écouter, ou réciter, ou écouter, ou réciter.
00:59:50Merci monsieur.
00:59:51Je vais passer à la dixième partie de l'émission quand nous propose justement les événements
00:59:54du week-end dernier, quand nous trouvent l'arrestation du premier ministre, ancien
01:00:00premier ministre plutôt, Pramila Jagannath, et toutes les choses qui finissent, déroulent
01:00:05autour de ça.
01:00:06Moi, ce qui m'en vient, même sur la table, c'est justement pour voir le parallèle
01:00:12qui finit là, en disant cela, quand on arrête le current prime minister, le lieutenant
01:00:17Aboulam, et la façon dont on arrête Pramila Jagannath.
01:00:21Alors, déjà, la méthode policière est différente.
01:00:25Déjà, la façon dont la loi traite les deux personnes, il y a une similarité.
01:00:32Après 24 heures, les deux finissent leur liberté conditionnelle.
01:00:38Il y a beaucoup de monde aujourd'hui qui dit non, etc.
01:00:43Bon, avant de rentrer dans le sujet, j'ai envie qu'on écoute deux interventions.
01:00:48L'intervention d'Ivan Colanda-Beluc, dont vous avez parlé un peu plus tôt cet après-midi,
01:00:54et celui de Chakil Mohamed, sur ce sujet-là.
01:00:58Vous pouvez dire qu'il maniait la Cour Cahassienne samedi, dimanche et dimanche.
01:01:03Et qui, probablement, la presse ne l'a pas connue.
01:01:06Il y en a un magistrat qui est toujours on call dans Bill Henry Mancotte,
01:01:12samedi et dimanche.
01:01:14Et puis, bien longtemps.
01:01:16Et, lui, c'est un bon prisonnier qui fait même croisson.
01:01:20Mais, bien sûr, c'est ce qu'il nous a demandé, à travers notre avocat.
01:01:25Parfois, les circonstances, ça nécessite qu'il nous ait aidé samedi et dimanche
01:01:30dans une comparativité.
01:01:32Mais, parfois, il vient pour autant.
01:01:34Par exemple, s'il y a une personne bien désapparue,
01:01:36parce que ce madame malade pouvait couper son cochon,
01:01:40bien vite, même dimanche soir.
01:01:42Maintenant qu'il est allé finir, elle m'a marqué ça.
01:01:45Mais, il est évident qu'il a une case high-profile.
01:01:48Donc, il ne quitte pas de finir.
01:01:50Il ne s'en va pas prendre la case.
01:01:52C'est une personne qui travaille bien, ça.
01:01:54Je travaille beaucoup.
01:01:56Je travaille, bien dire, au service des citoyens.
01:02:00Et les citoyens ont droit à même qualité de justice
01:02:04qu'ils voient le premier ministre autour,
01:02:06qu'ils voient le premier ministre actuel
01:02:08ou qu'ils voient la veille de voiture.
01:02:10Si vous voulez, il n'est pas surprenant du tout, pour moi,
01:02:13qu'ils aient écouté ça bien bientôt.
01:02:15D'ailleurs, s'il était aussi anormal que ça,
01:02:20la presse n'a pas fait le rapport au banquier.
01:02:24La presse n'a pas trouvé ça dans la presse.
01:02:34Numéro un, je me rappelle que même moi,
01:02:37quand j'ai été arrêté par le gouvernement Jagnat,
01:02:41et moi, j'ai lié au FO,
01:02:43avec les instructions de certaines personnes
01:02:45au sein du gouvernement Jagnat,
01:02:49c'était une pure vengeance politique.
01:02:54Et rien d'autre.
01:02:56Si tu n'as pas un jour de semaine,
01:02:58tu fais l'application pour payer
01:03:00et tu es sorti vers 7 heures du soir
01:03:03ou même vers 8 heures du soir.
01:03:05Et je sais que pour pouvoir garder la cour ouverte
01:03:09jusqu'à ce qu'elle soit là,
01:03:11un magistrat doit avoir la permission
01:03:13du Master & Registrar.
01:03:15C'est mon expérience.
01:03:18Tu n'es pas capable de garder la cour ouverte
01:03:20jusqu'à ce qu'elle soit là.
01:03:22Alors je pensais que la même procédure
01:03:24finissait par suivre avec la permission
01:03:26du Master & Registrar.
01:03:28La loi dit que le bail and remand court
01:03:30est ouvert pour tout Mauritien,
01:03:32même un week-end.
01:03:34Ce n'est pas une exception à la règle.
01:03:36Maintenant, si un magistrat décide
01:03:38pour ne pas écouter les affaires d'un citoyen
01:03:40parce que c'est un week-end,
01:03:42ce n'est pas la loi qui dit ça,
01:03:44c'est le magistrat qui décide.
01:03:47Il faut respecter sa décision.
01:03:49Il me demande à la population
01:03:51de ne pas polémiquer.
01:03:53Maintenant, si un citoyen pense
01:03:55qu'il a aussi le droit
01:03:57pour ses affaires écoutées
01:03:59d'un week-end,
01:04:01et qu'il pense que le magistrat
01:04:03écoute ses affaires,
01:04:05tout comme l'affaire de M. Jagnac,
01:04:07c'est son droit.
01:04:09Très bien.
01:04:11Peut-être que vous terminez un petit peu
01:04:13ce qu'il y a avant,
01:04:15c'est-à-dire qu'il n'y a pas de médiatisation
01:04:17qui passe le soir
01:04:19et donc on n'est pas au courant de ça.
01:04:21Mais il dit qu'il y a un cas
01:04:23à quelle fréquence.
01:04:25Il dit qu'il y a un cas
01:04:27où les gens demandent
01:04:29une question le soir
01:04:31et que le magistrat reste jusqu'à 14h
01:04:33pour donner sa question.
01:04:35Donc la question qui se pose dans ce cas-là,
01:04:37beaucoup de gens peuvent dire
01:04:39que ce n'est que
01:04:41presque minuit qu'ils font une question
01:04:44et qu'ils mobilisent
01:04:46beaucoup de gens, la police, etc.
01:04:48Mais qu'est-ce qui se passe
01:04:50pour un gens normal
01:04:52qui dit aussi qu'il peut demander une question
01:04:54et qui quelque part, beaucoup de gens disent
01:04:56qu'ils n'ont pas gagné.
01:04:58Vous êtes tous les deux des légistes,
01:05:00êtes-vous capables de nous dire
01:05:02quelle est la réalité ?
01:05:04Nous faisons écouter les deux légistes encore une fois.
01:05:06Pour vous, est-ce qu'il représente
01:05:08exactement ce qu'il a le droit de dire ?
01:05:10Lili Praticième en est une théoricienne du droit,
01:05:12beaucoup plus,
01:05:14mais je suis beaucoup dans le procès.
01:05:16Et je l'écoute avec attention
01:05:18Ivan qui est un grand avocat,
01:05:20je l'écoute avec attention
01:05:22Chakil qui est un très bon praticien,
01:05:24nos deux ministres.
01:05:26Et en fait,
01:05:28façon magistrale, il traite
01:05:30sa cas de M. Pramindjangan.
01:05:32D'abord, je veux dire aux Mauriciens
01:05:34que tout le monde est arrêté
01:05:36et le principe fondamental de nos constitutions
01:05:38est la présomption d'innocence.
01:05:40Il y a beaucoup de politiciens qui sont arrêtés,
01:05:42Chakil Mohamed,
01:05:44Anil Bethu et
01:05:46M. Lamine Raboulam.
01:05:48Le même principe, j'ai dit, applique pour
01:05:50M. Pramindjangan. Nous devons respecter ça.
01:05:52Deuxième, la constitution
01:05:54prévoit aussi, section 10
01:05:56de la constitution,
01:05:58qu'on va arrêter
01:06:00les autres dispositions de la constitution
01:06:02aussi,
01:06:04qu'on va arrêter le bail du monde,
01:06:06ça c'est tout bien à l'âge,
01:06:08on va laisser aller,
01:06:10si toutes les procédures sont suivies,
01:06:12toutes les enquêtes sont terminées,
01:06:14il y a un risque de tamper avec les témoignages,
01:06:16enfin, il y a un série de critères
01:06:18qu'il faut relâcher.
01:06:20En fait,
01:06:22comme en Israël, il coûte ça
01:06:24de 14h
01:06:26jusqu'à
01:06:2811h du soir,
01:06:30à peu près 11h,
01:06:32c'est normal,
01:06:34Chakil Mohamed a raison,
01:06:36il n'y a aucun problème.
01:06:38C'est vrai qu'il y a
01:06:40peut-être un certain nombre de cas
01:06:42qui ne sont pas assez
01:06:44intermédiaires,
01:06:46ça c'est vrai aussi,
01:06:48il y en a encore un cas qui l'est coûteux,
01:06:50ça aussi c'est vrai.
01:06:52Mais il y a une perception
01:06:54qui,
01:06:56il y a une perception du moins,
01:06:58on va dire qu'il y a un système de droit
01:07:00à deux vitesses.
01:07:02A Morisse, c'est hier,
01:07:04il y a un problème aussi,
01:07:06parce que c'est le droit
01:07:08à deux vitesses,
01:07:10il y a un système où la police fonctionne à deux vitesses.
01:07:12Donc là aussi,
01:07:14je vous donne l'exemple
01:07:16récent,
01:07:18la police arrête
01:07:20deux jeunes, ils viennent avec une série d'objections
01:07:22pendant 14 jours,
01:07:24et il y a une allégation qu'un policier
01:07:26lui squeeze les pieds,
01:07:28crasse les pieds,
01:07:30le chauffeur et le bus conducteur,
01:07:32et maintenant la police
01:07:34lui dit qu'il crasse les pieds.
01:07:36Pendant 14 jours,
01:07:38même à l'alcatraz,
01:07:40bon, malgré que je sois dans l'exécutif,
01:07:42quand on trouve un droit fondamentaux,
01:07:44les droits humains sont bafoués,
01:07:46je ne sais pas pourquoi je suis dans l'exécutif,
01:07:48je reste tranquille là.
01:07:50Donc, quand ça procède
01:07:52comme ça,
01:07:54quand ça donne ce ruling, je suis correct.
01:07:56Il peut respecter la loi,
01:07:58l'esprit de la constitution,
01:08:00on a un bel acte qui dit
01:08:02clair et net comment on fait les choses.
01:08:04Il n'y a pas de problème avec ça.
01:08:06Mais la perception là,
01:08:08et aussi façon,
01:08:12quelqu'un qui sait mieux que moi,
01:08:14ou quelqu'un qui est un praticien,
01:08:16normalement quand on donne
01:08:18un ruling,
01:08:20on prend une décision dans quelques lignes,
01:08:22là c'est une décision,
01:08:24au contraire, félicite le magistrat,
01:08:26il est très motivé,
01:08:28il est très motivé comme ça,
01:08:30qu'est-ce qui fait qu'il prend le temps pour le motiver ?
01:08:32Est-ce qu'il veut bien le justifier ?
01:08:34Le public,
01:08:36nous comme juristes, lui comme avocat,
01:08:38moi comme juriste et théoricien du droit,
01:08:40professeur à l'université,
01:08:42ex-professeur,
01:08:44nous guettons d'une façon,
01:08:46Chakir guette d'une façon,
01:08:48Ivan Kolodnavelu, qui est un avocat,
01:08:50guette d'une autre façon,
01:08:52mais les communes de mortels,
01:08:54les citoyens là-bas, guettent d'une autre façon.
01:08:56C'est ce que je souhaitais,
01:08:58qui dorénavant, un bon précédent est établi,
01:09:00nous guettons des choses d'une façon positive,
01:09:02un précédent est établi,
01:09:04c'est-à-dire que demain, les citoyens là-bas,
01:09:06les gens de la commissaire,
01:09:08les gens de l'Union,
01:09:10pour les petites et surtout les petites affaires,
01:09:12je vous rappelle, je vous rappelle que j'ai eu un accident,
01:09:14un accident,
01:09:16dans la cour d'un commissaire de police,
01:09:18tout de suite,
01:09:20une justice expéditive, 24 heures,
01:09:22donc, inacceptable,
01:09:24c'est ce que j'ai souhaité, et j'ai fait l'appel,
01:09:26qui, madame la magistrate,
01:09:28je vous le dis, avec son bon précédent là,
01:09:30je vais le mettre comme ça,
01:09:32qui, tout le monde a eu le même traitement,
01:09:34un traitement équitable,
01:09:36et le même traitement,
01:09:38et là, je vous le dis, la justice n'arrête pas de fonctionner à deux vitesses,
01:09:40le travail retrouve sa normalité,
01:09:42les choses.
01:09:44Est-ce qu'on peut dire dans la perspective,
01:09:46parce que moi, j'ai pratiqué, ça fait déjà 22 ans
01:09:48que j'ai pratiqué à Maurice,
01:09:50et dans la réalité des choses,
01:09:52ce qui est arrivé dimanche,
01:09:54ce n'est pas une affaire
01:09:56qui sort de l'ordinaire,
01:09:58mais, ce qui sort de l'ordinaire,
01:10:00c'est que tout citoyen
01:10:02n'a pas bénéficié de sa même facilité
01:10:04que sa week-end court là,
01:10:06et non. Qu'est-ce qu'on peut dire de ça ?
01:10:08Peut-être que mon journaliste,
01:10:10à la fin de la séance,
01:10:12a dit combien de fois, dimanche,
01:10:14la cour finit de s'aiser,
01:10:16sa week-end court là,
01:10:18combien de fois elle finit d'écouter un cas
01:10:20quand il y a une objection
01:10:22samedi soir,
01:10:24il dit qu'on a arrêté samedi soir,
01:10:26il n'a objecté,
01:10:28passé le lendemain, dimanche,
01:10:30la cour,
01:10:32quand il y a toujours une objection,
01:10:34même s'il met ce bail motion,
01:10:36même s'il finit d'accord
01:10:38pour écouter ce bail motion,
01:10:40même s'il fait un ruling.
01:10:42Peut-être que mon journaliste,
01:10:44éclaire-moi aussi, parce qu'il me pénasse
01:10:46avec mes statistiques,
01:10:48qu'est-ce qu'on peut dire,
01:10:50combien de ruling, dimanche soir,
01:10:52finit d'arriver ?
01:10:54Donc, qui m'en peut dire ?
01:10:56Si tu n'écoutes pas avant le lendemain,
01:10:58il dit qu'il n'y a pas de cas comme ça.
01:11:00C'est bon qu'il n'écoute pas avant le lendemain,
01:11:02il dit qu'il n'y a pas de cas comme ça,
01:11:04parce que moi je pratique 22 ans,
01:11:06il pratique beaucoup plus,
01:11:0840 ans, 45 ans,
01:11:10moi dans mes 22 ans,
01:11:12je n'arrive pas à trouver
01:11:14ça arriver dimanche soir.
01:11:16Donc, c'est un magistrat,
01:11:18il fait ce travail correctement,
01:11:20il fait dans la légalité,
01:11:22il fait un ruling très motivé,
01:11:24intéressant,
01:11:26malgré le fait
01:11:28que quand le DPP
01:11:30n'a pas pu résister,
01:11:32il n'a pas pu résister quand même.
01:11:34Mais,
01:11:36c'est ce qu'il m'en peut dire,
01:11:38qu'il n'y a pas de précédent pareil.
01:11:40Maintenant,
01:11:42le peuple mauricien est au courant
01:11:44de ce qui s'applique pour tous les citoyens.
01:11:46Je trouve mon camarade
01:11:48High Profile case.
01:11:50Je ne crois pas dans aucun High Profile case.
01:11:52Pour moi, tout case est prioritaire.
01:11:54Penalty case, moyen case,
01:11:56grand case, High Profile case.
01:11:58J'ai tout égal dans ce pays,
01:12:00dans l'état de droit,
01:12:02qu'il y ait un premier ministre,
01:12:04qu'il y ait un citoyen lambda,
01:12:06qu'il y ait un maçon ambulant,
01:12:08qu'il y ait un cas de vol
01:12:10d'étroitement,
01:12:12qu'il y ait un cas de vol
01:12:14de centaines de millions,
01:12:16de milliards de roupies.
01:12:18Pour moi, c'est pareil.
01:12:20Ce qui m'a envie de faire ressortir,
01:12:22c'est ce que le peuple mauricien peut dire.
01:12:24Parce que moi, beaucoup de monde
01:12:26finit d'appeler moi.
01:12:28Vous connaissez maintenant,
01:12:30l'information est accessible.
01:12:32Donc, le peuple mauricien a envie
01:12:34de parler quand il y a un changement
01:12:36dans la politique mauricienne.
01:12:38Il a envie aussi,
01:12:40il a envie de trouver un nouveau changement,
01:12:42aussi un judiciaire.
01:12:44Il a envie de trouver une justice
01:12:46qui part de vitesse.
01:12:48Il ne faudrait pas qu'il y ait la perception
01:12:50qui est bail for the rich, jail for the poor.
01:12:52Donc, ce n'est pas juste
01:12:54la perception.
01:12:56Au terrain, il y a une grande majorité
01:12:58dans les réseaux sociaux
01:13:00qui trouvent la réaction des gens,
01:13:02dans la rue.
01:13:04Donc, la justice a un rôle important,
01:13:06le judiciaire a un rôle important,
01:13:08mais il y a aussi des
01:13:10afro-barométhodes différentes dans l'étude.
01:13:12Il y a aussi la perception
01:13:14publique mauricienne pour le judiciaire.
01:13:16Donc, moi, j'ai envie que les gens respectent
01:13:18le système de justice.
01:13:20Moi, j'ai envie que le judiciaire pense
01:13:22d'une façon remarquable.
01:13:24Donc, pareil, comment il fait
01:13:26une acte remarquable, une justice,
01:13:28une justice très rapide.
01:13:30Parce que le bail est la règle.
01:13:32Section trois, il dit que le bail
01:13:34n'a qu'une seule question.
01:13:36C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:38C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:40C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:42C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:44C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:46C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:48C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:50C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:52C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:54C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:56C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:13:58C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:00C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:02C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:04C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:06C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:08C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:10C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:12C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:14C'est-à-dire qu'il n'a qu'une seule question.
01:14:16Une seule question.
01:14:18Donc c'est ça qui expectation sur le peuple mauricien. La justice libysienne n'a pas d'évité, c'est la justice libysienne pour tout le monde, indistinctement sur classe et sur casse qui est là. Et casse et classe.
01:14:33Alors avant de me donner la parole, on a un auditeur en ligne qui pour envie cause le système de nomination, nous prenons ça du monde là. Allo?
01:14:43Allo oui, bonsoir. C'est M. Ringuen de l'Escalier. Oui M. Ringuen.
01:14:48Moi j'ai envie, monsieur Guzain-Bélaud va nous faire nomination, que le gouvernement va nous faire, il est pas mal va nous faire nomination.
01:14:55M. Ringuen, il y a un du monde qui, tout du monde peut attendre un du monde de grande valeur. Pas normal non, s'il vous plaît.
01:15:04Non, c'est M. Meck-Pilé. Meck-Pilé qui est du monde bien intègre, qui fait sa preuve dans STC, Télécom, Air Mauritius.
01:15:15Et puis nous aussi, nous ne pouvons pas attendre. Mais est-ce que, il y a un, comment dire, des poussins qui viennent, comment dire, qu'on peut nommer par là, qu'il soit droitueux, ou bien qu'il va arriver.
01:15:25M. Ringuen répond nous là.
01:15:28M. Ringuen, il nous pose la question.
01:15:31Nous, dans ma nomination, il arrive 75-80%. Et aussi, dans ma nomination, je l'appelle, il nous colle avec espèce d'espèce, ma nomination politique.
01:15:42Ça, c'est un prérogatif du Premier ministre et du député parlementaire. Ça, dans le cadre d'une alliance, c'est aussi un dé.
01:15:50Couchard le dit là-même. Ici, il peut avoir son mot à dire dans son parti.
01:15:55Et aussi le...
01:15:56Résistance.
01:15:57Résistance alternative.
01:15:58Bon, bien sûr, moi, je reconnais les valeurs de M. Mecbile et nous attendons qu'il y ait.
01:16:05Moi, je ne suis pas dans une position pour nommer du monde.
01:16:07Tout à fait.
01:16:08Mais c'est ça, l'équipe-là qui me nomme du monde.
01:16:10Absolument.
01:16:11Et je vais me réitérer à ce qu'il va me dire. Nous avons des gens compétents, des gens qui sont capables, délivrés.
01:16:18Et des gens qui sont dans ce pays-là, dans le trou que nous étions, dans l'abîme que nous étions.
01:16:22Très bien. Nous passons de la parole rapidement sur ce sujet-là.
01:16:25Moi, c'est une frappe, une frappe terriblement qui...
01:16:30Cette situation qui est à Mauritie, c'était...
01:16:33Il y avait des gens compétents pour sortir de ce trou qu'ils étaient là.
01:16:38Qui fait M. Mecbile, il reste gardé à l'écart.
01:16:41Ça, il me fatigue toujours parce que je connais Mecbile, un bon camarade.
01:16:46Mais une personne qui est compétente...
01:16:49Et comme ça, M. là peut dire...
01:16:51Moi, je connais beaucoup de gens.
01:16:53Ce qu'ils ont dit à moi...
01:16:55Si vous mettez là-bas, il est tellement droit qu'il n'y a pas...
01:16:58Il n'y a pas une... Comment on appelle ça ?
01:17:01Un armée à l'air.
01:17:03C'est vrai que, comme Adjan finit d'y aller, nous ne connaissons pas ce qui peut passer.
01:17:08On dirait qu'il y a quelque chose qui peut passer dans le background qui n'est pas au courant.
01:17:12Non, mais moi, je peux dire aussi que l'opinion d'un public...
01:17:15L'opinion d'un public, c'est comme ça.
01:17:17Mais c'est certainement un grand question mark dans ce cas-là.
01:17:22Très bien.
01:17:23Et au niveau de ce qui finit de passer pendant le week-end,
01:17:26il ne peut que juste...
01:17:28La perception devant beaucoup de citoyens,
01:17:31on peut dire comme ça qu'ils n'ont pas le même traitement que les autres du monde.
01:17:34Peut-être que ça arrive au cas où.
01:17:36Oui.
01:17:37Pour commencer, moi,
01:17:39on a tout le grand respect pour le jugement du magistrat pour ce week-end court.
01:17:44Maintenant, si on prend ce que M. Colenda a voulu dire, le week-end court,
01:17:47que ça finit d'exister tout le temps, peut-être,
01:17:50mais moi, je n'en suis pas au courant.
01:17:52Et beaucoup de publics ne sont pas au courant de ça.
01:17:54Et comme M. Kouchal-Lobin l'a dit aussi.
01:17:57Et quand tout ça est arrivé,
01:18:00juger, bail, tout ça, dans le week-end,
01:18:03il paraît un peu bizarre.
01:18:05Mais maintenant,
01:18:08pour moi, le peuple a aussi bénéficié de ce système-là,
01:18:12qui semblait équitable pour tous les citoyens,
01:18:15riches ou pauvres, puissants ou moins puissants.
01:18:18S'il l'applique pour tout le monde,
01:18:21d'accord, bien bon, nous perdons de l'avant.
01:18:24Maintenant, nous n'avons pas de raison de cacher le week-end.
01:18:27C'est arrivé, nous ne faisons pas de fautes.
01:18:29Mais c'est ce que j'ai voulu dire sur ce sujet-là.
01:18:32Très bien. Faisam, tu as besoin de...
01:18:34Moi, je crois que nous devons féliciter ce magistrat-là.
01:18:38Il fait un travail vraiment formidable.
01:18:41Mais il ne faudrait pas qu'il s'applique ça dans les...
01:18:47Comment on appelle ça ? Dans le personnel pédagogique.
01:18:50Il faut bien, comme M. Koussal l'a bien dit,
01:18:53et je crois beaucoup qu'il l'a dit,
01:18:55il faut bien qu'il s'accapare à tous les citoyens
01:18:58pour qu'ils aient accès au même traitement.
01:19:01Et c'est ça, la justice.
01:19:03Sinon, on ne va pas payer la justice.
01:19:05Mais il y a des affaires qui me...
01:19:07Rapidement, parce qu'il nous reste moins que 5 minutes,
01:19:09mais on veut aussi nous causer un petit peu rapidement la politique.
01:19:12Allez-y, allez-y.
01:19:13Nous causons la politique.
01:19:15Allez-y.
01:19:1630 secondes.
01:19:17Les bons qui sont les peuples mauriciens comprennent
01:19:19que quand une personne est arrêtée,
01:19:22quand la caisse est fermée,
01:19:24quand ses parents ne peuvent pas rester avec une casque bizarre,
01:19:27il y a le danseur.
01:19:28Donc, ça s'applique à tout le monde.
01:19:30Donc, le magistrat fait une logue de parole.
01:19:33Dans beaucoup de cas, il y a beaucoup de Mauriciens
01:19:36qui ont bénéficié de ça.
01:19:38Donc, s'il arrête, la caisse est fermée,
01:19:41il fait une logue de parole.
01:19:43Il fait un appel au magistrat.
01:19:45Donc, il applique ça pour tout le monde.
01:19:49Il n'y a pas de tri quand on applique cette méthode-là.
01:19:52Nous rentrons dans sa dernière évolution rapidement
01:19:55parce qu'on a beaucoup de temps.
01:19:57La question qui m'est posée,
01:19:59peut-être que chacun peut répondre rapidement.
01:20:01Quel est l'avenir du MSM face aux choses
01:20:04qui se disent de faire face aujourd'hui?
01:20:07Moi, personnellement, moi aussi,
01:20:09c'est bien, bien gris.
01:20:11L'avenir, c'est bien, bien gris.
01:20:13Pour qu'on arrive à l'avenir,
01:20:15il faut faire un nettoyage au fond de la cuisine,
01:20:18comme on l'appelle,
01:20:20un grand nettoyage.
01:20:22S'il continue pareil,
01:20:24avec son conseiller,
01:20:26et surtout son conseiller next-to-home,
01:20:28Mme Komita Jagnat,
01:20:30ça peut faire beaucoup d'histoires.
01:20:32Il fait beaucoup d'histoires et il perd 160 euros.
01:20:34Et ça peut continuer de faire des histoires.
01:20:36Si un MSM en vient de l'avant,
01:20:38il y a un grand nettoyage à faire.
01:20:40Très bien, très bien.
01:20:44Le problème, c'est que
01:20:46ce pays-là se trouve
01:20:48dans sa situation quotidienne
01:20:50grâce à son leadership.
01:20:52Et c'est un des plus mauvais
01:20:54leaderships que le pays
01:20:56finit de gagner.
01:20:58C'est un des plus mauvais
01:21:00gouvernements
01:21:02que le pays finit de gagner.
01:21:04Et heureusement, d'ailleurs.
01:21:06Alors, le fait que
01:21:08l'ancien Premier ministre,
01:21:10c'est lui qui est responsable
01:21:12de tout ça,
01:21:14je crois qu'il a perdu
01:21:16beaucoup de crédibilité.
01:21:18Et il a encore perdu crédibilité.
01:21:20Là, récemment, l'Indien,
01:21:22il part avec son monsieur,
01:21:24comment il s'appelle ?
01:21:26Dilawan.
01:21:28Il part avec lui.
01:21:30Et puis,
01:21:32le lendemain,
01:21:34les réseaux sociaux
01:21:36mettent une jolie photo.
01:21:38Mais les photos qu'ils ont trouvées,
01:21:40elles ne confirment rien du tout,
01:21:42parce qu'on est aujourd'hui avec des fakes.
01:21:44Ce beau frère,
01:21:46il connaît l'Indien.
01:21:48Ce beau frère,
01:21:50il le confirme, ça.
01:21:52Ça montre que quand
01:21:54quelqu'un peut agir, surtout quand
01:21:56on voit la tête du pays,
01:21:58d'affaires comme ça qui ne sont pas vraies,
01:22:00on perd la crédibilité.
01:22:02Et je crois qu'il a perdu tellement
01:22:04de crédibilité qu'il est pour bien
01:22:06difficile, bien bien difficile
01:22:08pour lui, du moins dans le short-term,
01:22:10nous dire qu'en politique...
01:22:12Un jour et l'un.
01:22:14Rien n'est impossible
01:22:16dans la politique.
01:22:18Il est capable d'un changement,
01:22:20mais si il prend un changement, ce sera à long terme.
01:22:22Et si il prend un changement, il a deux affaires
01:22:24qu'il pourra faire.
01:22:26Un, s'il y a une
01:22:28dissension au niveau du gouvernement,
01:22:30l'alliance du changement,
01:22:32s'il y a un bis-bis,
01:22:34un cash-out,
01:22:36quelque chose comme ça.
01:22:38Et deuxième,
01:22:40il est capable de jouer
01:22:42l'élément socio-culturel.
01:22:44Il est capable,
01:22:46s'il joue là-haut,
01:22:48peut-être
01:22:50il est capable de rétablir,
01:22:52mais sinon,
01:22:54bien, bien difficile.
01:22:56Nous n'écoutons pas les deux observateurs
01:22:58qui finissent de nuire l'opinion
01:23:00apolitique de leurs choses,
01:23:02nous écoutons d'autres, des positifs.
01:23:04En mon cas, j'avoue qu'il n'y a pas
01:23:06un humain qui profite
01:23:08de malheur, ou souhaite malheur
01:23:10à un parti politique.
01:23:12Mais quand même,
01:23:14moi, j'ai réité
01:23:16un point important, présomption d'innocence.
01:23:18Donc l'affaire,
01:23:20il commençait.
01:23:22Moi, comme un citoyen qui m'a souffert
01:23:24dans le passé, nous, les citoyens qui nous souffrons,
01:23:26ça, c'est l'affaire qui nous fait passer
01:23:28et valise avec tout ça,
01:23:30l'argent-là.
01:23:32This is the tip of the iceberg.
01:23:34Il y a une série d'affaires qui m'ont espéré,
01:23:36malgré que je sois dans l'exécutif,
01:23:38parce que je me souhaitais qu'il y ait une institution.
01:23:40Et d'ailleurs, David Ramoulam, le premier ministre,
01:23:42il a dit à plusieurs reprises, Paul Béranger, il a dit,
01:23:44je ne peux pas interférer dans
01:23:46le FCC, ou la police, ou le CCID,
01:23:48laisse la police, laisse l'institution
01:23:50faire son travail.
01:23:52Mais, vous vous rappelez-vous,
01:23:54vous n'avez pas de short memory,
01:23:56this is the tip of the iceberg, parce qu'il y a
01:23:58l'affaire de, pendant la COVID,
01:24:00Moulin-Piravir,
01:24:02Pack & Blister,
01:24:04qui s'est enquêté.
01:24:06On va dire qu'il est ministre,
01:24:08pas connu, fonctionnaire,
01:24:10ministre.
01:24:12Il y a une série d'affaires.
01:24:14Mais ça, c'est,
01:24:16dans le passé, il n'arrivait pas
01:24:18il n'arrivait pas
01:24:20il n'arrivait pas
01:24:22vraiment pour
01:24:24pour éclater,
01:24:26le tsunami,
01:24:28le tsunami qui s'est annoncé par M. Zélezine,
01:24:30une série d'affaires,
01:24:32pour finir,
01:24:34et ça n'a pas vraiment,
01:24:36d'électrochoc, encore, qui vous tape
01:24:38sa partie politique-là.
01:24:40Mais seulement, dans une démocratie,
01:24:42dans sa partie politique-là,
01:24:44je ne souhaite pas aller à personne,
01:24:46mais il y a encore des affaires qui peuvent finir
01:24:48pour affaiblir sa partie-là.
01:24:50Très bien. Au niveau de l'affaire...
01:24:52Au niveau de l'affaire, indépendamment de ce qui
01:24:54banne l'événement, qui pousse suivre,
01:24:56qui peut finir encore, c'est le cas de la réalité
01:24:58politique à Maurice.
01:25:00C'est un résultat qui nous fait
01:25:02gagner en 2024, là.
01:25:04Nous, tu es capable de gagner en 2019.
01:25:06L'MSM, tu as récolté 37%,
01:25:08et plus de 50%, 60%
01:25:10de la population, tu les retrouves
01:25:12dans l'opposition, qui parfaitement vote le MSM.
01:25:14Mais c'est le système électoral
01:25:16qui permet que le MSM ait ce pouvoir.
01:25:18Imagine-nous l'alliance
01:25:20travailliste MMM-PMSD
01:25:22en 2019.
01:25:24Résultat là, un petit peu différent.
01:25:26Donc, il n'y a que la réalité
01:25:28et la fausse politique du MSM.
01:25:30Le MSM, ce n'est pas le post-travailliste.
01:25:32Le post-travailliste, par exemple, il y en a
01:25:34un power base extrêmement
01:25:36faux dans le pays.
01:25:38Il est resté de tout temps ça.
01:25:40C'est le parti le plus ancien.
01:25:42Donc, c'est un parti, le post-travailliste,
01:25:44qui est dans
01:25:46la base électorale,
01:25:48qui l'est là. Il n'est pas dessein d'ébarquer ça.
01:25:50Mais le MSM, il est complètement différent.
01:25:52Par exemple, au fin d'été,
01:25:54quand on finit avec Pravin Jagnath,
01:25:56tu es capable de compter sur tes doigts
01:25:58combien d'élus du MSM
01:26:00sont venus, tu es capable de toucher
01:26:02les doigts, 30, 40, 50.
01:26:04Est-ce qu'ils sentent même tout
01:26:06qui est MSM maintenant? Est-ce qu'ils sentent même
01:26:08tout ce qu'ils expriment de soutien
01:26:10à Pravin Jagnath? Je me pose
01:26:12moi-même la question sur le poids électoral
01:26:14du MSM dans
01:26:16l'opposition maintenant. Donc, c'est un
01:26:18parti qui finit au pouvoir.
01:26:20Donc, c'est très difficile pour le
01:26:22MSM de fonctionner dans l'opposition.
01:26:24Très bien. Merci beaucoup, messieurs.
01:26:26C'est l'heure. Malheureusement, mon père
01:26:28a l'antenne un petit peu en retard. Je vais bien crier.
01:26:30Mais bon.
01:26:32Le débat était là. Merci à vous
01:26:34tous. Je vous souhaite une très bonne soirée.
01:26:36Et donc, reste branché sur Top FM
01:26:38pour rester dans l'actualité.

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