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Le député Arvin Babajee sera l’invité de l’émission Parleman Lepep
Pleins feux sur les 100 premiers jours de l’Alliance du Changement, la reprise des travaux parlementaires axée sur le discours-programme, le 89ème anniversaire du Parti travailliste et les réformes en chantier...
Jimmy Jean Louis reçoit sur le plateau Arvin Babajee, premier député de la circonscription numéro 14, Savanne/Rivière-Noire.
Une émission à suivre entre 17h30 et 18h30 sur TOP FM et sur toutes nos plateformes digitales.
Vos interventions sur le 213 7777, 213 7777.
🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 10
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Le député Arvin Babajee sera l’invité de l’émission Parleman Lepep
Pleins feux sur les 100 premiers jours de l’Alliance du Changement, la reprise des travaux parlementaires axée sur le discours-programme, le 89ème anniversaire du Parti travailliste et les réformes en chantier...
Jimmy Jean Louis reçoit sur le plateau Arvin Babajee, premier député de la circonscription numéro 14, Savanne/Rivière-Noire.
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NewsTranscription
00:00:00aujourd'hui au Parlement, et lui donne-nous l'occasion bien sûr d'accueillir un député,
00:00:03le député Erwin Babadji, premier député de la circonscription numéro 14 à Vannery-Viennau,
00:00:07nous l'a invité cet après-midi, Erwin Babadji, bon après-midi. Bon après-midi Jimmy, bon
00:00:12après-midi les auditeurs de Top FM, bon après-midi tout le monde. Merci d'accepter nous l'invitation
00:00:16ici et de votre présence dans le studio de Top FM. Je vous rappelle bien entendu que l'émission
00:00:21sera jusqu'à 18h30 sur Top FM et sur toutes nos plateformes digitales, nous proposons les 100
00:00:28premiers jours de l'alliance du changement, la reprise des travaux parlementaires,
00:00:30accès sur le discours au programme, le 89e anniversaire aussi du parti travail, c'est les
00:00:35réformes en chantier, Erwin Babadji, bon auditeurs, vous pouvez nous téléphoner, bien sûr à le 213-77-77,
00:00:42213-77-77. Donc d'abord pour ceux qui ne sont pas trop connus, parce qu'il est quand même nouveau
00:00:50en politique, coup d'essai, coup de maître, présente lui-même, et qu'en tête d'élu sur
00:00:55l'élection numéro 14, c'est un monument de la politique qui est à l'intérieur de nous, qui est à l'intérieur de nous là.
00:00:59Et je ne suis pas trop nouveau, mais je suis bien actif à quatre villes. Oui. Dans mon âge très bien jeune.
00:01:08Je suis parti de Maurice en 2007, je suis allé à l'Australie pour faire des études, je suis resté un peu là-bas.
00:01:14Et là je suis retourné en 2020. Je suis bien actif dans la campagne 2017 à quatre villes.
00:01:21En fait, j'ai retourné à Maurice, j'ai fait un coup de main en campagne 2017, parce que le Parti Travailliste qui allait à l'Élysée à l'époque,
00:01:30tout le monde le connaît, et tout le monde me disait que le Parti Travailliste finit, il va finir en Angoulême, il travaille et il va y aller.
00:01:37Mais non, nous venons d'un coup de main, nous gagnons un parti. Et là je suis retourné en 2019, j'ai fait un coup de main numéro 18,
00:01:47parce que j'ai un enfant qui est né à quatre villes. Et là, le leader, je l'ai considéré pour 2024.
00:01:59J'ai dit oui. En 2007 aussi, ils m'ont dit qu'il ne fallait pas, c'était trop court.
00:02:06Pas trop court. Pas trop court. Parce que, et moi j'ai une seule circonscription en tête qui était numéro 14.
00:02:14D'ailleurs, en 2019, le leader m'a dit qu'il ne fallait pas choisir numéro 16.
00:02:21Je lui ai dit non. J'avais l'ambition pour 14, et c'est là-bas qu'ils m'ont parlé.
00:02:28Ils m'ont dit non. Mais j'avais l'ambition, surtout dans une population qui est là, une bien. C'est ça.
00:02:36Quand il y a une volonté, il y a une volonté.
00:02:53Bon, quand on regarde ce qui est passé dans les derniers dix ans, quantité de travail, quantité de nettoyage que vous avez fait, quantité de priorité qu'il y a,
00:03:03pour moi, ils ne m'ont pas trop dit non du tout.
00:03:06C'est au-delà de ce gouvernement-là, et surtout le leader, et ce groupe qui est autour de lui.
00:03:13Il y a un groupe bien costaud autour de lui.
00:03:15Il y a Gavine qui peut donner un gros coup de main de ses sargasses.
00:03:19Il y a le DPM qui peut donner un bon coup de main au niveau de l'institution, de la nomination.
00:03:26Il y a à côté de lui, il y a Chakir Mohamed qui peut donner un coup de main.
00:03:30Quand il y a des problèmes dans le housing, quand il y a une maison qui ne peut pas être montée de quatre côtés, ce n'est pas facile pour livrer.
00:03:37Quand il y a tous les départements qui ont des problèmes, partout.
00:03:41Municipales, combien de temps on fait en municipales?
00:03:43Il y a de tout. Il peut donner un bon coup de main.
00:03:46Et Chappot, qui est une réciproque de tout le monde, qui comprend tout, qui est à côté de lui,
00:03:53il peut faire son travail comme on le fait.
00:03:56Il peut donner plusieurs dossiers en même temps.
00:04:00Si on donne de l'eau, l'énergie.
00:04:03Parce qu'il n'y a pas d'autre proposition que ce qui peut donner.
00:04:07On a une crise de l'eau, en même temps on a une crise d'électricité.
00:04:11En même temps, on paye nos ressources.
00:04:13Là-bas, il y a des problèmes de l'eau de turbine.
00:04:15De l'autre côté, il y a des problèmes.
00:04:16Moi-même, je ne sais pas quel téléphone j'ai.
00:04:18Je n'hésite pas au téléphone.
00:04:20Mais on peut le faire.
00:04:22Je comprends les peuples.
00:04:24Les peuples, ils nous donnent 60€, ils veulent nettoyer partout.
00:04:27Mais on n'est pas capable de faire des affaires qui ne sont pas bien faites.
00:04:30C'est pareil comme dans l'ancien gouvernement.
00:04:32Tu es ici, tu es là-bas, tu casses un contrat, tu mets partout.
00:04:34Mais ils ne payent pas ça.
00:04:36On casse un contrat, on met de l'eau, on met ici, on fait un nettoyage qui n'est pas bien fait.
00:04:40Maintenant, ils mettent une caisse à la cour après qu'ils n'ont pas payé ça.
00:04:43C'est les peuples qui souffrent.
00:04:44Alors, moi je peux dire aux peuples, tous les gens qui sont là,
00:04:48nous sommes tous contents de ça.
00:04:49Nettoyer, tirer, mettre les gens.
00:04:51Mais nous faisons ça avec vigilance.
00:04:53Nous faisons ça bien, dans la légalité.
00:04:55Nous faisons les changements qu'ils veulent faire, comme ils veulent faire.
00:04:58Parce qu'il y a beaucoup de gens dans les autres contrats.
00:05:00Il y a beaucoup de gens qui ferment un contrat.
00:05:02Et plus souvent, ils ferment un contrat qui est simple.
00:05:05Il y a un contrat bien solide.
00:05:07Tu casses un contrat, après ils te demandent ce qu'ils ont fait.
00:05:10D'accord.
00:05:11Je vais donner un exemple.
00:05:12Betamax, ils n'ont pas fait ça.
00:05:13Ils n'ont pas payé ça après.
00:05:16Ils ne sont pas capables d'agir comme des amateurs.
00:05:21D'accord.
00:05:22D'accord.
00:05:40Bon.
00:05:41Jolie question.
00:05:43Quand vous avez le bridge vers le futur,
00:05:48vous avez ça, c'est un esprit visionnaire.
00:05:51C'est un plan visionnaire.
00:05:53Et là, nous l'implémentons.
00:05:56Nous l'implémentons, mais ça ne veut pas dire que
00:05:59vous savez ce qu'il nous dit et qu'il va nous le faire.
00:06:02Nous avons cinq ans.
00:06:04Comme il y a des gens qui le disent.
00:06:07Nous avons 60 mois pour gouverner.
00:06:11Trois mois sont passés.
00:06:13Nous avons 57 mois pour y aller.
00:06:15Et nous avons 57 mois pour l'implémenter.
00:06:18Tout ce qu'ils nous ont mis dans le programme.
00:06:22Je vais vous dire une chose.
00:06:24Si vous regardez ce programme-là,
00:06:26nous l'avons mis pour attirer les jeunes.
00:06:31Les middle-aged.
00:06:34Et nous l'avons aussi pour les seniors.
00:06:38Ça englobe tout.
00:06:40Quand vous regardez ce programme-là,
00:06:42nous l'avons mis pour relancer l'économie maurice qui est à zéro.
00:06:46Nous l'avons mis pour développer la loi.
00:06:52Si vous regardez sur le côté judiciaire.
00:06:55Mais nous avons beaucoup d'arguments.
00:06:58Nous avons beaucoup de problèmes.
00:07:00Si vous regardez sur l'éducation,
00:07:02nous avons beaucoup de problèmes qui sont couverts.
00:07:04Si vous regardez sur l'économie bleue.
00:07:07Ce programme-là, il est là.
00:07:09Mais là, il y a l'équipe costaud autour.
00:07:12Du leader.
00:07:14Qui prend la responsabilité du délivreur.
00:07:18C'est notre invité sur Parlement les Peuples cet après-midi.
00:07:23On peut téléphoner au 213 77 77 213 77 77.
00:07:28Mais quand même, nous avons des mesures fortes qui peuvent être annoncées dans la campagne.
00:07:35Comme le transport gratuit.
00:07:37Est-ce qu'il disparaît?
00:07:39Qu'arrive-t-il à ces mesures-là, par exemple?
00:07:41Vous savez,
00:07:43Diming,
00:07:45pour moi, ces mesures sont très minimes.
00:07:48Peu importe quand,
00:07:50le leader qui prend une décision peut dire
00:07:52que l'économie peut respirer.
00:07:54Tout le monde peut respirer.
00:07:56On est dans la bonne voie.
00:07:58On est dans la bonne direction.
00:08:00Peu importe, il y a un budget, un mini-budget.
00:08:02Peu importe ce qu'il fait avec ça.
00:08:04Mais le programme qu'il met, il peut montrer qui est l'avenir du pays.
00:08:07Vous savez quand on le prend.
00:08:09On a une dette.
00:08:11On a des trous.
00:08:14Pour nous rester convaincus
00:08:16de la banque internationale.
00:08:18Pour nous rester convaincus
00:08:20de l'institution internationale.
00:08:22On peut montrer ça dans le programme.
00:08:24Peu importe, on peut sortir
00:08:26de ce précipice-là, on peut monter.
00:08:28On a besoin d'un plan pour montrer
00:08:30qu'il n'y a pas de petites affaires qui nous permettent.
00:08:32On parle beaucoup
00:08:34d'une souris d'expression.
00:08:36Peu importe.
00:08:38Moi, je ne suis pas pour X, Y, Z.
00:08:40Peu importe.
00:08:42Il y a une campagne où l'autre l'a dit qu'il allait donner son cadeau.
00:08:44L'autre l'a dit qu'il allait donner son cadeau.
00:08:46Il allait montrer sa pension.
00:08:48Mais on a besoin d'être dans l'économie.
00:08:50On peut dire qu'il y a une soudure au poste.
00:08:52Mais c'est pas pour dire qu'on peut donner ça, qu'on peut donner l'autre.
00:08:54Non.
00:08:56Ou même la banque.
00:08:58La banque prend mes affaires et demande un fichier.
00:09:00Ou l'API.
00:09:02Mais si vous gagnez 10.000 rubis, vous pouvez reprendre un loan
00:09:04quand l'API coupe
00:09:06au minimum 15.000 rubis.
00:09:08Comment ils font ça?
00:09:10Si vous prenez un loan et que vous coupez 7.000,
00:09:12est-ce qu'ils commentent votre vie?
00:09:14Ce programme que vous trouvez là,
00:09:16il met ça pour nous convaincre
00:09:18d'une institution internationale
00:09:20dans quelle direction nous pouvons aller,
00:09:22qui nous planque, qui nous vise.
00:09:24Et ça, c'est une petite mesure
00:09:26qu'on peut prendre pour donner un cadeau
00:09:28ou pour faire un transport national
00:09:30ou un cadeau.
00:09:32Mais ça n'est pas ce qu'il faut faire.
00:09:34Nous avons 5 budgets devant nous.
00:09:36Et moi je me dis
00:09:38avant nous n'avons pas
00:09:40des promesses
00:09:42comme
00:09:44un cadeau.
00:09:46Nous n'avons pas de mesures fortes
00:09:48qui nous permettent d'aller
00:09:50avec une
00:09:52dévise de Maurice.
00:09:54C'est ça qui nous a mis au premier.
00:09:56Dans
00:09:58cette question,
00:10:00est-ce qu'il vous satisfait actuellement
00:10:02d'un jeune député du déroulement des travaux parlementaires
00:10:04et l'obligation d'y appeler
00:10:06un paysan comme Adrien Duval ou Julien Pleinier
00:10:08pour parler de ce qui se passe?
00:10:10Bon, si Adrien Duval
00:10:12n'a pas beaucoup de parlement
00:10:14à Maurice,
00:10:16il a pas beaucoup de parlement à dire aux derniers 15 ans
00:10:18à Maurice,
00:10:20en 2020, mais depuis 2020,
00:10:22si Adrien Duval ne veut pas
00:10:24parler,
00:10:26le dernier gouvernement
00:10:28qu'est-ce qu'il veut dire?
00:10:30Le dernier gouvernement, c'est tout un dire
00:10:32I order you out. I'm on my feet.
00:10:34Keep quiet. Rest tranquille.
00:10:36Moi,
00:10:38je fais une analyse
00:10:40et je regarde combien de temps
00:10:42je peux poser des questions,
00:10:44speak up et poser,
00:10:46et combien de temps
00:10:48l'assemblée, le gouvernement,
00:10:50tu peux répondre.
00:10:52Moi, je n'ai rien à dire, je ne fais qu'une analyse.
00:10:54Je ne dis pas qu'il faut poser.
00:10:56Bon,
00:10:58je ne vais pas continuer d'annoncer ça.
00:11:00L'autre jour, un exemple...
00:11:02Quand tu dis que tu peux terminer ce discours,
00:11:04parce qu'il n'y a plus en place des questions,
00:11:06tu peux dire...
00:11:08Jamais, pas qu'il n'y ait plus en place des questions,
00:11:10il ne m'a même pas fait connaître qu'il peut le dire.
00:11:12Quand tu dis qu'il n'y a plus en place des questions,
00:11:14il ne m'a même pas fait connaître qu'il peut le dire.
00:11:16Il n'y a personne qui m'a fait ça.
00:11:18Je vais te dire une chose. L'autre jour,
00:11:20tout le monde s'est retrouvé,
00:11:22DPM, Infair & Critique,
00:11:24Mme Speaker a dit...
00:11:26Retirez-les.
00:11:28Retirez-les.
00:11:30L'autre jour, ce qu'elle a fait,
00:11:32l'autre jour, il n'y avait rien de l'autre côté.
00:11:34L'autre jour, elle a dit qu'elle n'allait pas
00:11:36dire I order you out.
00:11:38Je ne l'ai pas posé.
00:11:40Le Parlement,
00:11:42c'est la chambre de la démocratie.
00:11:44C'est là qu'on peut trouver la démo.
00:11:46Maurice Béth, comment tu dis ça ?
00:11:48C'est là qu'on peut trouver la démocratie.
00:11:50C'est là qu'on peut trouver...
00:11:52Il y a une lune,
00:11:54on dirait qu'il y a une lune.
00:11:56L'autre jour, il n'y avait rien de l'autre côté.
00:11:58C'est là qu'on peut trouver
00:12:00les lignes de débat
00:12:02dans la tranquillité.
00:12:04L'idée de l'opposition
00:12:06est causée par ces questions-là.
00:12:08C'est ce que je veux dire.
00:12:10Normalement, tout le monde va
00:12:12critiquer. On va connaitre des matchs
00:12:14de football, des jeux de paix.
00:12:16Mais il faut continuer.
00:12:18Au niveau national,
00:12:20il y a du monde de proximité
00:12:22dans la construction.
00:12:24Surtout, la construction est dans
00:12:26une poche de pauvreté. Il y a tous les extrêmes.
00:12:28Il y a les extrêmes riches, les extrêmes pauvres.
00:12:30Il y a le milieu de la classe.
00:12:32Au niveau national, la population
00:12:34est impatiente. Il y a cette question de pouvoir d'achat
00:12:36dans lequel il y a encore une promesse électorale.
00:12:38Parfum, je veux dire,
00:12:40Parfum a réellement trouvé
00:12:42une baisse des prix.
00:12:44Je vais demander comment un prix pour baisser.
00:12:46Et je veux dire, d'ailleurs,
00:12:48la dernière PNQ, c'était
00:12:50le petit fordeau qu'il pouvait amener
00:12:52ou le fordeau qu'il pouvait amener pour
00:12:54les gens qui payent remboursement.
00:12:56Comment vous expliquez ça dans la construction?
00:12:58Bon,
00:13:00on connait, tout le monde
00:13:02connait qu'il se perd le VDM.
00:13:04Le taux d'inflation peut monter.
00:13:06Le prix peut prendre
00:13:08l'ascension.
00:13:10Et là,
00:13:12quand je me réponds,
00:13:14je ne pense pas que
00:13:16le directeur de la banque
00:13:18de Maurice,
00:13:20le gouverneur,
00:13:22prenne une mauvaise décision. Pour moi personnellement,
00:13:24étant un
00:13:26des gens qui connaissent
00:13:28Maurice,
00:13:30moi,
00:13:32ceux qui me connaissent
00:13:34en 2005,
00:13:36moi aussi,
00:13:38ils me prennent mesure
00:13:40pour moi,
00:13:42comment refaire l'argent resté,
00:13:44amener, pour stabiliser nos roupies.
00:13:46Et,
00:13:48je vais vous dire, c'était là,
00:13:50les gens qui avaient plaigné
00:13:52le remboursement de l'eau,
00:13:54sur l'objectif, comment nous pouvons
00:13:56ramener nos roupies
00:13:58stables, empêcher
00:14:00l'inflation,
00:14:02et nous mettre
00:14:04tout équitable.
00:14:06Mais nous retrouvons ce résultat dans
00:14:086 mois, 9 mois,
00:14:10nous vous trouvons...
00:14:12Vous êtes convaincu que la situation peut s'améliorer
00:14:14en ce qui concerne le pouvoir d'achat.
00:14:16Bien sûr. Moi, je me dis une chose,
00:14:18en 2005, je me suis dit,
00:14:20là, à l'époque, nous faisions un ceinture,
00:14:22parce qu'il n'y avait pas
00:14:24de trou partout.
00:14:26Je ne sais pas si vous me suivez,
00:14:28mais j'ai posé des questions,
00:14:30sur le PDS, tout ce qui concerne le PDS,
00:14:32je n'ai pas trouvé.
00:14:34Je n'ai pas trouvé tout ce qui concerne le fond.
00:14:36Et là,
00:14:38on peut dire qu'à cause du nouveau gouvernement,
00:14:40c'est ce qui s'est passé.
00:14:42C'est ce qui s'est passé.
00:14:44Maintenant, nous faisons la bouche d'eau
00:14:46pour tous ceux qui sont soiffés du pouvoir,
00:14:48mais je vous le dis,
00:14:50c'est un grand biais ça.
00:14:52Le juge de formation, un avocat,
00:14:54ou exercé à Maurice,
00:14:56et beaucoup de gens,
00:14:58à cause d'une récente arrestation,
00:15:00dont celui de Pravin Jaghnath, l'ancien premier ministre.
00:15:02Premier ministre,
00:15:04depuis Paul Béranger.
00:15:06Il n'y a pas eu d'interférences ou d'ingérences.
00:15:08Mais il y a des gens,
00:15:10à cause de l'état politique,
00:15:12qui n'ont pas eu de point de vue de sa législation,
00:15:14et député d'initiative n°14,
00:15:16qui l'a été.
00:15:18Vous savez,
00:15:20vous me posez des questions,
00:15:22je vais vous apprendre un petit peu de l'état,
00:15:24et surtout, je suis content,
00:15:26que les Mauriciens l'analysent.
00:15:30Quand il y a une arrestation,
00:15:32l'ex-premier ministre,
00:15:34la semaine dernière ou la semaine d'avant,
00:15:38est-ce qu'il y a des gens qui trouvent
00:15:40un avant d'état?
00:15:42Je me pose la question,
00:15:44qu'il fasse obéir à ça,
00:15:46pas directement dans le côté,
00:15:48dans le côté des gens,
00:15:50dans le côté des gens,
00:15:52il y a des preuves,
00:15:54et il n'y a pas de reçu,
00:15:56c'est là-bas.
00:15:58Quand on parle en 2014,
00:16:002015,
00:16:022015, je vais vous dire une chose,
00:16:04moi, je suis en Australie,
00:16:066 heures,
00:16:08tantôt ici,
00:16:10là-bas minuit,
00:16:12minuit du matin, je peux suivre sans direct.
00:16:16Là-bas, il y a des inorganismes,
00:16:18c'est ce que je veux dire,
00:16:20inorganisent les gens,
00:16:22téléphonent les gens,
00:16:24font que les gens descendent à l'avant
00:16:26de la rue des fausses.
00:16:28C'est ce que les leaders ne connaissent pas,
00:16:30c'est ce que les gens connaissent,
00:16:32si Maurice, moi, j'ai téléphoné les gens,
00:16:34j'ai dit, j'ai besoin de Paris-Tabarn,
00:16:36les gens peuvent payer,
00:16:38tu envoies les gens là-bas pour faire ça,
00:16:40tu envoies les gens là-bas pour faire des autres,
00:16:42parce qu'ils vont finir avec moi,
00:16:44les gens peuvent être vendus dans la politique,
00:16:46c'est ce que je veux dire,
00:16:48dénigrer les gens,
00:16:50c'est ce que je veux dire,
00:16:52si on imagine en 2015,
00:16:54si on peut téléphoner,
00:16:56quand le téléphone rentre dans le CIT,
00:16:58on peut téléphoner aux gens,
00:17:00on peut dire les questions qu'ils ont posées,
00:17:02ça les gens ne vont pas oublier.
00:17:04MBC, qu'est-ce que tu peux faire ?
00:17:06Moi, c'est Maurice, moi, je peux suivre ça en ligne,
00:17:08MBC ne peut pas montrer,
00:17:10casse-tombe, casse-tombe,
00:17:12c'est ce qu'appelle le vendetta,
00:17:14c'est-à-dire,
00:17:16tu fais de la propagande, c'est ce que tu fais,
00:17:18l'ingérence,
00:17:20et là,
00:17:22nous sommes fiers,
00:17:24c'est le gouvernement qui fait les premières affaires,
00:17:26il attaque la séparation du pouvoir,
00:17:28il fait les saccades respirées,
00:17:30il rétablit,
00:17:32il peut rétablir, il peut refaire tout,
00:17:34encore beaucoup de travail à faire,
00:17:36l'Assemblée de ce côté, l'exécutif de ce côté,
00:17:38le judiciaire,
00:17:40le premier ministre,
00:17:42le premier ministre n'est même pas là,
00:17:44il dit, si tu veux faire comment maintenant ?
00:17:46Fini d'y, prends l'occasion,
00:17:48et moi je me dis, laisse la justice faire son travail,
00:17:50s'il y en a, m'en donne,
00:17:52dégâtez, si il y en a pour faire vendetta politique,
00:17:54si tu veux amener la loi FCC,
00:17:58si il y en a pour faire ça,
00:18:00et là-dedans, tout le pouvoir est pour ça,
00:18:02le commissaire,
00:18:06si tu veux faire ça, et le commissaire
00:18:08est pour décider s'il doit tenir conscience ou non,
00:18:10mais tu sais,
00:18:12comment tu peux dire
00:18:14qu'il y a un vendetta politique ?
00:18:16Si vraiment tu veux faire maldon,
00:18:18tu veux faire vendetta,
00:18:20tu veux, comment dire,
00:18:22coïncider, mais tu sais,
00:18:24tu sais,
00:18:26tu peux mettre en congé,
00:18:28le parlement est en congé,
00:18:30tu peux le saler,
00:18:32mais il y a des gens, tu sais,
00:18:34pareil, là, je veux dire,
00:18:36toutes les choses qu'ils font,
00:18:38il y en a des 3% qui ne parlent pas un mot.
00:18:40L'autre jour-là,
00:18:42l'idée était d'un grand bassin,
00:18:4498% comprenaient qu'il fallait amener la loi
00:18:46pour régulariser, car
00:18:4810% ne comprenaient rien.
00:18:52Pour une intervention, pour une lutte,
00:18:54pour une lutte, c'est le même problème.
00:18:56La même là,
00:18:58toutes les affaires se déroulent bien,
00:19:00mais il y a des gens qui ne font pas vendetta politique.
00:19:02Ça veut dire, les politiciens qui font ça.
00:19:04Mais en tant qu'avocat,
00:19:06attendez,
00:19:08nous, la personne qui fait
00:19:10d'interdiction, il y a des gens qui font d'interdiction récemment,
00:19:12mais quand même, il y a un gros débat
00:19:14dans la cour sur ces affaires de charge provisoire.
00:19:16Là, ils ont dit,
00:19:18il faut mettre une charge provisoire.
00:19:20Il y a un débat,
00:19:22toute cette question de bail motion,
00:19:24est axée à la justice.
00:19:26Je vais donner un exemple.
00:19:28Une semaine avant, beaucoup de gens criaient,
00:19:30c'est clair,
00:19:32il y a un cochon.
00:19:34Après, il y a des gens qui passent la cour
00:19:36pour des affaires de 200 rubis.
00:19:38Il y a des histoires comme ça,
00:19:40mais ce cochon n'a pas écouté
00:19:42les demandes du cochon.
00:19:44Il nous a envoyé un lundi, il nous a fait samedi dimanche
00:19:46dans ses lunes, et on connaît qu'il y a des prisonniers
00:19:48qui sont à l'état quand même en termes d'argent.
00:19:50Cette question de charge provisoire,
00:19:52bail motion,
00:19:54est axée à la justice.
00:19:56En tant qu'avocat,
00:19:58qui est-ce qui a dit ça?
00:20:00Nous, en 2025,
00:20:02il y a une arrivée pour nous abolir
00:20:04la charge provisoire à Maurice.
00:20:06C'est mon opinion.
00:20:08Mais quand vous avez
00:20:10la façon
00:20:12de la charge provisoire
00:20:14et
00:20:16notamment la charge provisoire à Maurice,
00:20:18les gens ne comprennent pas les choses.
00:20:20Qu'est-ce qui se passe?
00:20:22Il y a une autre discrétion magistrale.
00:20:24C'est le magistrat qui décide
00:20:26s'il y a des troubles.
00:20:28Bien sûr, il y a RICO,
00:20:30il y a des accusés, il y a des personnalités,
00:20:32il y a tout.
00:20:34Je ne vais pas faire de critique
00:20:36judiciaire.
00:20:38Mais il y a une autre discrétion.
00:20:40Mais la façon qu'il nous était
00:20:42aujourd'hui, c'est une simple allégation.
00:20:44Demain, il y aura un problème avec nous.
00:20:46C'est simple.
00:20:50Et je dis beaucoup à Maurice,
00:20:52arrêtez de discuter, arrêtez tout.
00:20:54Je ne vais pas faire une allégation
00:20:56contre vous.
00:20:58Malgré qu'il y a
00:21:00la CCTV,
00:21:02il y a la technologie, il y a tout.
00:21:04Ce qui n'a pas fait de boucler l'enquête,
00:21:06c'est de savoir si c'est vrai ou non.
00:21:08Pour l'heure, c'est la même chose.
00:21:10Mais Maurice n'a pas fait ça.
00:21:12Encore, il a sa charge provisoire
00:21:14et surtout, il a fait une autre chose.
00:21:16C'est une allégation
00:21:18contre vous.
00:21:20Problème.
00:21:24Il est arrivé pour voir
00:21:26un nouveau programme.
00:21:34C'est pareil.
00:21:36Il est à la discrétion du magistrat.
00:21:38C'est lui qui décide.
00:21:40C'est ce que je veux dire.
00:21:42Je comprends le respect
00:21:44pour le judiciaire.
00:21:46Mais si je veux dire
00:21:48qu'il n'a pas fait ce traitement-là,
00:21:50je veux comprendre,
00:21:52comment je peux faire pour dire
00:21:54que ce n'est pas le droit de la justice.
00:21:56Qu'il est capable de faire ça.
00:21:58C'est ce que je veux dire.
00:22:00Je comprends la question.
00:22:04Beaucoup de gens disent
00:22:06qu'il a fait un traitement.
00:22:08Je ne l'ai pas fait.
00:22:10Je n'ai pas fait ça.
00:22:12Beaucoup de choses ne l'ont pas fait.
00:22:14Mais nous, en tant que professionnels,
00:22:16quand on est là,
00:22:18le magistrat n'a pas fait ça.
00:22:20Il n'a pas le statut qu'il a.
00:22:22Il n'a pas le statut d'ex-premier ministre.
00:22:24Il n'a pas le statut d'ex-premier ministre.
00:22:26Il a des cents d'euros.
00:22:28Il a des cents d'euros.
00:22:30Il a tout ça.
00:22:32Il est capable de prendre des décisions.
00:22:34Mais il n'a pas le statut qu'il a.
00:22:36Il n'a pas le statut qu'il a.
00:22:38Il a son background.
00:22:40Il a son statut.
00:22:42Il a son statut.
00:22:44Je ne pense pas
00:22:46que les partis comptables
00:22:48ont le droit de faire ça.
00:22:50Je ne pense pas que les partis comptables
00:22:52ont le droit de faire ça.
00:22:54Mais il y a une responsabilité.
00:22:56Il doit prendre sa décision.
00:22:58Il doit connaître sa décision.
00:23:00Il doit prendre le temps d'écrire.
00:23:02Il est un très bon magistrat.
00:23:04Il faut le reconnaître.
00:23:06Il doit prendre sa décision.
00:23:08Il doit connaître sa décision.
00:23:10Il doit écrire.
00:23:12Pas non plus
00:23:14les sorties des critiques.
00:23:16Mais mon pensée,
00:23:18il connaît.
00:23:20Une dernière chose.
00:23:22C'est la question
00:23:24de l'accès à la justice.
00:23:26J'ai rencontré récemment
00:23:28un garçon qui s'est arrêté
00:23:30avec ses cousins
00:23:32pour voler une bouteille de whisky.
00:23:34Il a fait une déposition.
00:23:36Il a fait une déposition.
00:23:38Il a dit qu'il n'était pas connu.
00:23:40Il n'était pas au courant.
00:23:42Il a dit qu'il allait prendre
00:23:44une manifestation.
00:23:46Avant de vous parler,
00:23:48je voudrais que vous compreniez
00:23:50ce que je veux dire.
00:23:52Vous savez,
00:23:54il faut que
00:23:56quelqu'un
00:23:58fasse un vol
00:24:00pareil.
00:24:02C'est ça le problème.
00:24:04Il y a beaucoup de gens.
00:24:06Moi je connais
00:24:08quelqu'un qui a pris
00:24:10trois corps de bénévoles.
00:24:12Le problème,
00:24:14c'est que
00:24:16s'il y avait
00:24:18quelqu'un qui a pris
00:24:20trois corps de bénévoles,
00:24:22je n'aurais pas pu le faire.
00:24:24Je n'ai pas pu le dire.
00:24:26Je n'ai pas pu l'écrire.
00:24:28Je n'ai pas pu l'écrire.
00:24:30La police prend sous l'enquête,
00:24:32vite, vite, pour finir.
00:24:34Mais qui n'a pas pu l'écrire?
00:24:36Il y a eu des surprises.
00:24:38Une très bonne question.
00:24:40En Australie,
00:24:42il y a un département qui s'appelle
00:24:44Legal Aid.
00:24:46C'est disponible.
00:24:48Peu importe.
00:24:50Si vous arrêtez,
00:24:52vous avez un droit.
00:24:54Vous avez accès à la justice.
00:24:56Si vous n'avez pas les moyens,
00:24:58vous pouvez donner
00:25:00à un avocat Legal Aid.
00:25:02Vous payez pour le gouvernement.
00:25:04Tout de suite, l'assistance.
00:25:06C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:08Il faut penser à l'équilibre actif.
00:25:10C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:12Il ne faut pas dire.
00:25:14On en a beaucoup, surtout dans les gros cas.
00:25:16Dans les gros cas rapides.
00:25:18Il faut penser à l'équilibre actif.
00:25:20Je pense que
00:25:22il faut penser à l'équilibre actif.
00:25:24Je pense que c'est le moyen.
00:25:26Mais dans les gros cas, on ne peut pas dire ça.
00:25:28On peut l'avouer.
00:25:30Mais il faut qu'on ait accès
00:25:32à la loi, à la justice.
00:25:34Il y a un jugement
00:25:36de la Cour suprême de l'Inde.
00:25:38C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:40C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:42C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:44C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:46C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:48C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:50C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:52C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:54C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:56C'est ça qu'il nous faut amener.
00:25:58C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:00C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:02C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:04C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:06C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:08C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:10C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:12C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:14C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:16C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:18C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:20C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:22C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:24C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:26C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:28C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:30C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:32C'est ça qu'il nous faut amener.
00:26:34Factuel et crédible.
00:27:04C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:34C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:36C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:38C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:40C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:42C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:44C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:46C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:48C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:50C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:52C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:54C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:56C'est ça qu'il nous faut amener.
00:27:58C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:00C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:02C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:04C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:06C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:08C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:10C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:12C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:14C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:16C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:18C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:20C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:22C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:24C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:26C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:28C'est ça qu'il nous faut amener.
00:28:30C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:00C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:30C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:32C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:34C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:36C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:38C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:40C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:42C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:44C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:46C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:48C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:50C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:52C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:54C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:56C'est ça qu'il nous faut amener.
00:29:58C'est ça qu'il nous faut amener.
00:30:00C'est ça qu'il nous faut amener.
00:30:02C'est ça qu'il nous faut amener.
00:30:28de
00:30:51De retour en studio bien sûr pour
00:30:53la suite de parlement. Les
00:30:55pépés peuvent-ils finir de session
00:30:57de la séquence numéro 14 qui est avec nous pour répondre à nos bonnes questions.
00:31:00Il y a justement un auditeur qui a envie de poser une question. Anil est avec nous.
00:31:04Anil, bon après-midi. Oui, bon après-midi. Vous vous appelez de quelle région Anil? Ici, on m'habite à
00:31:10Haukoulé. Haukoulé, bien bon, voilà. Oui, mon avis félicite Monsieur le Docteur Naïma Moulam et Paul-Renaud-Véranger
00:31:17avec Assox-Bron. C'est le récit qui a gagné victoire 60-0, nous grâce pour tout. Et moi, on s'en
00:31:23est très content pour ce qu'il nous a proposé, Monsieur Vajis, parce qu'il m'a envoyé un message avec le Docteur Naïma Moulam
00:31:29qui avait une démonstration en temps par Roderick Salarin. Il m'a envoyé sa dossier là et il m'a offert une dossier
00:31:36pour cacher cette dossier-là. Travaille sérieux, tout ce qu'il me faut, je vais le payer. Ok et merci.
00:31:41Voilà, merci. Merci pour la question de l'auditeur Anil de Haukoulé.
00:31:51Et, comment on dit, ça va être cinq petites décisions. Les comédiens ne gardent pas le sérieux ça.
00:31:57Ils peuvent venir, tout le monde connaît, les deux, quand ils prennent l'engagement, ils le font.
00:32:03Ils peuvent venir, mais là, ils n'ont pas de plus gros, ils n'ont pas de plus gros dossier là.
00:32:07Justement, il y a une promesse électorale, c'est le rétablissement de la démocratie locale à travers l'élection municipale
00:32:15pour inscrire dans la constitution. Dimanche, le docteur Naveen Ramgoulam, il nous dit qu'il est confiant
00:32:21dans une victoire aux élections municipales, mais qui est son principal adversaire pour sa élection du 4000?
00:32:27Pour moi, on va pas trouver un adversaire. Pour moi, honnêtement, on va pas trouver un adversaire.
00:32:33Mais, bon, on va penser pour ENA, pour ENA, MSM, PMSD bien sûr, pas connaissez-vous ensemble, séparément.
00:32:44Et RIFORM, l'autre parti, on va pas pétonner, même, il est là-même, là, ou...
00:32:51Ah, bon, ben, c'est de sa recette, ça doit aller à l'âne.
00:32:53Non, mais on va pas le trouver, on va pas connaître s'il est là-même, parce qu'il tient sur le colistier,
00:33:01il y en a d'autres qui sont à Quatre-Bonnes, mais là, il est en 14 mois, peut-être qu'il va faire des retours à Quatre-Bonnes,
00:33:08on va pas le dire, on va pas pétonner d'autres. Mais on va penser à trois blocs là pour venir.
00:33:14Séparés ou ensemble, on va venir.
00:33:16D'accord.
00:33:18Mais honnêtement, pas pour une élection.
00:33:20Pas pour une élection.
00:33:22Surtout URB.
00:33:24Oui. Peine à match, ça. Peine à match.
00:33:26Comment dire, même l'équipe qui gagne...
00:33:28Faut pas trop suivre les courses, mais on va pas dire, on va se balader tassé.
00:33:30On va se balader tassé, ok.
00:33:32Pour le colistier, Ravindra Gornati, dans la place où tu peux t'assiser, un samedi matin, dans l'événement spécial,
00:33:38où tu peux causer le débat de la collectivité locale.
00:33:42Et l'élite prononce qu'elle est en faveur d'une réforme de la collectivité locale.
00:33:46Et surtout de la municipalisation des grands villages.
00:33:48Mais la collectivité locale, elle souffre surtout à la campagne, par rapport au manque de moyens.
00:33:54Gros-gros la casse, grand-grand village, grand-grand ça.
00:33:58Mais pas pépé, non. Il est dans la caisse de la collectivité locale.
00:34:02Et parfois, même les petits aussi, tu dis, c'est une seule, tu peux pas payer.
00:34:06Le fait de ne pas payer, ça donne à ces gens-là un sens de responsabilité.
00:34:10Comment tu trouves cette question de faire les gens payer pour savoir ce qu'ils ont gagné dans la collectivité locale?
00:34:16Bon, une bonne question.
00:34:18Je vais suivre mon collègue Ravindra quand il répondra à cette question-là.
00:34:24Je ne sais même pas qu'il répondra.
00:34:26Oui.
00:34:27Mais il me pose une jolie question, je vais lui dire ce qu'il a à dire.
00:34:32Vous savez, dans la ville, tout le monde paye une taxe.
00:34:36Il y a une taxe qui est payée.
00:34:38Un petit peu payée, inarrêtée, inabolie.
00:34:40Inabolie, exactement, inabolie.
00:34:42Et ça, c'est une décision qu'il prend.
00:34:45Mauvaise décision.
00:34:46Bon, vous pouvez dire mauvaise, mais il y a des gens qui le trouvent bon.
00:34:50Mais pour moi, c'était une décision électoraliste.
00:34:54Oui.
00:34:55C'est pour ça qu'on trouve la caisse vide partout.
00:34:59Pour moi, comme municipal, d'ailleurs, en Australie, la municipalité a son propre budget.
00:35:05Il y a sa propre rente.
00:35:07Il trouve des façons pour faire, pour amener sa propre rente, pour loyer, tout ce genre de choses-là.
00:35:13Moi, quand je parle un peu plus haut, je peux dire qu'il y a des choses, je ne sais pas pourquoi.
00:35:19Il y a sa circonscription qui m'a été là.
00:35:21Il y a l'homme le plus riche de Maurice.
00:35:24Il y a l'homme le plus pauvre.
00:35:26Il y a l'homme le plus pauvre.
00:35:28Il y a son milieu.
00:35:29Une cause vivale, c'est de dire qu'il n'y a pas de ville qui est là dans sa circonscription.
00:35:32Oui.
00:35:33Là, aux 100 millions.
00:35:35Mais il me pose moi la question, qui l'est payé?
00:35:38Pour moi, je ne peux pas dire qu'on amène la municipalité dans les rurales.
00:35:49Je ne sais pas pourquoi.
00:35:50C'est mon opinion.
00:35:51Il y a des gens qui ne savent pas pourquoi.
00:35:53Mais je peux vous dire, le ministère du gouvernement local et le ministère de l'habitation,
00:35:59nous avons l'armée dans l'armée.
00:36:02Pourquoi?
00:36:04C'est un projet qui est là.
00:36:06On ne peut pas dire qu'il y a une ville à 100 millions,
00:36:10sur un terrain,
00:36:13qui est payée 10 roupies.
00:36:15Je prends l'exemple.
00:36:17Et il y a des gens qui sont dans la même superficie terrain.
00:36:22Ils sont dans une...
00:36:26Comment dire?
00:36:27Une superficie terrain.
00:36:28Je peux le mettre, même paysage, même place, même locale.
00:36:33Tout géographiquement, même...
00:36:35Pareil.
00:36:36Même région.
00:36:37Même région.
00:36:38Je vais mettre l'exemple.
00:36:39Ce terrain-là, il coûte 3 millions.
00:36:41L'autre dit qu'il coûte 3 millions.
00:36:42C'est moi qui dis qu'il n'y a pas qu'une montée dans la case.
00:36:44Qu'est-ce qu'on peut faire?
00:36:45Ils m'ont dit que c'était l'ensemble.
00:36:46Il ne peut pas être distribué pareil.
00:36:48Mais là, ce n'est pas bon.
00:36:50Là, ce n'est pas bon.
00:36:52On doit évaluer toute cette propriété qui est là,
00:36:55dans un pays d'après ça.
00:36:58Pour ne pas avoir des gens qui sortent à l'étranger,
00:37:01qui achètent une propriété,
00:37:03qui ne sont pas des pays d'en haut.
00:37:05D'ailleurs, tu as amené une question pour le PDS.
00:37:07Le PDS.
00:37:08Exactement.
00:37:09Exactement.
00:37:10Tu sais, il y a un petit pays qui fait...
00:37:12Il ne peut pas dire tout ça.
00:37:14C'est-à-dire que,
00:37:15sur la circonscription 14,
00:37:17il n'y a qu'un seul chemin,
00:37:19qui s'appelle Coastal Road,
00:37:20qui passe par là.
00:37:21D'ailleurs, c'est ça.
00:37:22Parce que,
00:37:23nous avons un gros problème.
00:37:25Nous avons un problème de trafic,
00:37:27le matin et l'après-midi.
00:37:28C'est un cauchemar.
00:37:30Il y a des gens...
00:37:31Tu sais, il y a un problème
00:37:33que,
00:37:34les malheureux,
00:37:35je ne veux pas critiquer,
00:37:37mais nous avons un ministre des Transports
00:37:39qui n'a pas la même solution.
00:37:41Il dit qu'il n'y a pas de case,
00:37:42le budget est trop faible.
00:37:43Il dit qu'il n'y a pas de case.
00:37:45Tu sais, une ville,
00:37:46elle coûte 200 millions.
00:37:47Et tu sais,
00:37:48combien de projets de villes il y a là-bas?
00:37:50200 millions.
00:37:51200 millions.
00:37:52Mais tu sais,
00:37:53il y a une montée.
00:37:54Tu sais,
00:37:55il n'y a pas de bypass.
00:37:56Il n'y a pas de chemin.
00:37:57Il n'y a pas de...
00:37:58Mais,
00:37:59je vais te dire,
00:38:00gouverner,
00:38:01c'est de prévoir.
00:38:02Tu sais,
00:38:03il y a tout ça,
00:38:04il y a des gens,
00:38:05il y a des cases,
00:38:06il y a des gens.
00:38:07Tu te poses la question,
00:38:08nous avons une population
00:38:09de 1,2,
00:38:101,3.
00:38:11Tu sais,
00:38:12tu sais combien d'hôtels
00:38:13il y a dans Maurice?
00:38:14À peu près 700, 800 milliers.
00:38:18Mais,
00:38:19je te pose même une question,
00:38:21autour de l'infrastructure.
00:38:23Ready?
00:38:24Pas à tout coût de nous passer le matin.
00:38:26Il n'y a pas de problème.
00:38:27Pas à tout coût de nous passer.
00:38:29Tout ça là,
00:38:30nous faisons,
00:38:31on prévoit,
00:38:32on est d'accord,
00:38:33on permet,
00:38:34on a la loi,
00:38:35on peut attirer du monde
00:38:36qui vient de Maurice.
00:38:37L'hôtel vient,
00:38:38les compagnies d'hôtels viennent,
00:38:39tout ça travaille.
00:38:40Moi, je vais te dire,
00:38:41non moi,
00:38:42mais c'est moi,
00:38:43le gouvernement,
00:38:44nous a prévoit,
00:38:45comment nous pas commode,
00:38:46tout ça là.
00:38:47Dans l'ouest,
00:38:48longtemps,
00:38:49sa chemin là,
00:38:50moi je suis encore petit,
00:38:51moi je connais sa chemin là.
00:38:52Des lignes,
00:38:53comment elle y était pareil.
00:38:54Mais avant,
00:38:55il n'y avait pas du monde.
00:38:57Celles,
00:38:58costales,
00:38:59aériennes,
00:39:00pour en ficher un flac,
00:39:01pour aller rire en ville.
00:39:02Il n'y a plus beaucoup d'hôtels.
00:39:04Tous les jours,
00:39:05il y a des touristes voyagers,
00:39:06arrivent,
00:39:07ils disent pas,
00:39:08tu vois,
00:39:09bis à l'île,
00:39:10ou imaginons,
00:39:11un jour,
00:39:12sa chemin là,
00:39:13fermé.
00:39:14L'autre jour là,
00:39:15pas plus que deux semaines,
00:39:16ils ont organisé,
00:39:17il y a eu un accident,
00:39:18le matin.
00:39:20Pour tout bloquer.
00:39:216 heures,
00:39:22ils ont commencé à sonner.
00:39:24Ils ont sonné,
00:39:25chemin bloqué,
00:39:26habitants de Bambou,
00:39:27ils ont dit,
00:39:28il n'y a pas de travail,
00:39:29il y a trop de monde.
00:39:30Ici,
00:39:31ils ont dit,
00:39:32comme ça,
00:39:33il n'y a pas de travail,
00:39:34à l'école de Bambou.
00:39:35Et là-bas,
00:39:36il y a des lignes,
00:39:37trafiquées,
00:39:38bloquées,
00:39:40comme on parle là-bas,
00:39:42deux lignes,
00:39:43pas avec un valet,
00:39:45une catastrophe énorme.
00:39:48Mais,
00:39:49pour qu'ils comprennent,
00:39:50ce qu'ils font,
00:39:51nous avons un développement,
00:39:52partout,
00:39:53les montagnes là-bas,
00:39:55PDS partout,
00:39:56ici,
00:39:57housing,
00:39:58on rentre au 11,
00:39:59housing,
00:40:00il n'y a pas 300,
00:40:01la case,
00:40:02Bambou,
00:40:03Camélia,
00:40:04la case,
00:40:05Médine,
00:40:06la case,
00:40:07mais tout ça,
00:40:08il faut dire qu'on fait le compte,
00:40:09nous,
00:40:10mais qu'on fait ça.
00:40:11Il y a Gorsène
00:40:12qui a une question
00:40:13pour Avina Babadjie.
00:40:14Gorsène,
00:40:15bon après-midi.
00:40:17Gorsène?
00:40:19Ah oui,
00:40:20bonsoir,
00:40:21Top FM,
00:40:22bonsoir,
00:40:23M. Lola Babadjie.
00:40:25Je tiens là,
00:40:26un petit question,
00:40:27en deux volets,
00:40:28vite fait.
00:40:30Un gouvernement,
00:40:31il en fasse beaucoup,
00:40:32le haut,
00:40:33la droite,
00:40:34qui met,
00:40:35pour combattre,
00:40:36sa fléau là.
00:40:38Dans nos pays.
00:40:39Je me suis remarqué
00:40:40que beaucoup de jeunes,
00:40:41ils trompaient
00:40:42derrière la droite là.
00:40:43Moi,
00:40:44je me crois responsable,
00:40:45c'est ancien régime,
00:40:46qui ne touche pas au nez
00:40:47dans nos pays.
00:40:48Je me rappelle bien,
00:40:49moi-même,
00:40:50je fais du football,
00:40:51j'ai vu une famille
00:40:52qui nous cadette,
00:40:53je me rappelle bien
00:40:54que c'est à l'époque là
00:40:55que j'ai joué,
00:40:56il y a des jeunes
00:40:57organisés
00:40:58dans le football,
00:40:59ça n'est plus
00:41:00fini là.
00:41:01Mais mon question,
00:41:02c'est simple,
00:41:03première question là,
00:41:04je suis très content,
00:41:05camarade Babadjie,
00:41:06étant donné
00:41:07que tu es un jeune,
00:41:08qu'est-ce que tu comptes faire
00:41:09pour combattre
00:41:10ce football là,
00:41:11pour combattre
00:41:12sa fléau,
00:41:13la drogue là,
00:41:14et pour que
00:41:15le jeune soit là.
00:41:16Donc,
00:41:17déjà,
00:41:18ma question,
00:41:19j'ai dit,
00:41:20avant d'électer
00:41:21au gouvernement,
00:41:22ancien gouvernement,
00:41:23moi,
00:41:24j'ai dit,
00:41:25il ne me donne pas temps
00:41:26de me dire
00:41:27qu'il va là,
00:41:28dans le village,
00:41:29il y a trop de gens.
00:41:30Mais,
00:41:31tous les temps,
00:41:32on ne connait pas
00:41:33le temps,
00:41:34pour affronter
00:41:35le besoin,
00:41:36il ne me donne pas
00:41:37le temps
00:41:38de me dire
00:41:39qu'il va là.
00:41:40Il y a trop de gens
00:41:41là, ici.
00:41:42Pas tant de taxi,
00:41:43quand même ?
00:41:44Pas tant de taxi,
00:41:45à le travail,
00:41:46l'hôtel,
00:41:47tous les temps,
00:41:48tu ne passes pas
00:41:49au village,
00:41:50avant,
00:41:51il faut aller
00:41:52à l'hôtel.
00:41:53Mais,
00:41:54ça ne me donne pas
00:41:55le temps
00:41:56de me dire
00:41:57que l'hôtel,
00:41:58ça,
00:41:59il y a
00:42:00même des connaissances
00:42:01touristiques,
00:42:02même dans l'auto,
00:42:03il n'y a pas
00:42:04de pénalité,
00:42:05c'est ça.
00:42:06Le député
00:42:07Ervin Babaji.
00:42:08Bon,
00:42:09première question,
00:42:10tout le monde connait,
00:42:11il y a un problème
00:42:12national,
00:42:13surtout,
00:42:14nous,
00:42:15on est jeune,
00:42:16on peut
00:42:17influencer,
00:42:18on connait
00:42:19quand on cause
00:42:20la drogue,
00:42:21là,
00:42:22on ne peut pas
00:42:23nous-même,
00:42:24il y a des types
00:42:25de drogue
00:42:26qui peuvent dominer
00:42:27les gens,
00:42:28les habitants,
00:42:29les Mauriciens,
00:42:30on peut dire.
00:42:31Il y a sept
00:42:32types de drogue
00:42:33qui peuvent dominer
00:42:34les gens.
00:42:35Il y en a
00:42:36synthétique
00:42:37et il y en a
00:42:38la poudre,
00:42:39que ce soit.
00:42:40Là,
00:42:41il y a une autre
00:42:42il y a un autre
00:42:43produit,
00:42:44ce qu'on appelle
00:42:45cristal,
00:42:46cristal meth.
00:42:47Oui.
00:42:48C'est ice
00:42:49et c'est
00:42:50très dangereux.
00:42:51Oui.
00:42:52Là,
00:42:53nous ne pouvons
00:42:54le savoir
00:42:55tous,
00:42:56OK?
00:42:57Mais quand on voit
00:42:58des drogues
00:42:59bien filtrées
00:43:00partout,
00:43:01même dans
00:43:02les écoles,
00:43:03sur le site
00:43:04scientifique,
00:43:05dans toutes les
00:43:06régions,
00:43:07on peut voir
00:43:0825 groupes
00:43:09qui se font
00:43:10détecter.
00:43:11L'autre jour,
00:43:12je vais aller
00:43:13avec des gens
00:43:14sur un compte
00:43:15d'information,
00:43:16on voit
00:43:17un petit bout
00:43:18de papier
00:43:19qui dit
00:43:20que le papier
00:43:21n'est pas
00:43:22capable
00:43:23de le détecter.
00:43:24Et quand on voit
00:43:25des gens
00:43:26qui se penchent
00:43:27sur les zombies,
00:43:28ils ne peuvent
00:43:29pas travailler
00:43:30et ils tombent.
00:43:31Mais là,
00:43:32C'est ce que j'ai pensé avant.
00:43:35Ça a commencé dans les années 2014-2015.
00:43:39Quand on est rentrés, c'est 2014-2015,
00:43:45on commençait à monter et monter.
00:43:47Mais au bout d'un jour, ça n'a pas filtré partout.
00:43:50Et maintenant, ça existe dans la ville.
00:43:53Mais de nos jours, il n'y a pas du tout.
00:43:55La campagne va s'appuyer.
00:43:57La campagne va s'appuyer.
00:43:58C'est vulnérable.
00:43:59C'est ce que j'ai pensé.
00:44:01Ils déstabilisent la maison.
00:44:03Ils déstabilisent tout.
00:44:04Ils écrasent tout.
00:44:05Ils courent sur les enfants.
00:44:06Ils battent sur les enfants.
00:44:07Ils ne connaissent rien.
00:44:08Ils provoquent des accidents.
00:44:09Il y a des enfants qui sont nés dans un lieu riche.
00:44:14Vous pensez qu'ils connaissent ?
00:44:16Un garçon a fait une synthétique pour battre ses enfants.
00:44:18Ils ne connaissent rien.
00:44:21Il a fait une synthétique.
00:44:22Là, j'ai remarqué quelque chose.
00:44:24Avant de rentrer, j'étais dans la salle d'attente.
00:44:27J'ai remarqué qu'il y avait un accident.
00:44:29Depuis ?
00:44:30Depuis.
00:44:31J'ai vu qu'il y avait un produit lucide.
00:44:33Une couleur rouge.
00:44:34Une couleur d'un sac.
00:44:35C'est ce que j'ai pensé.
00:44:38Je n'ai pas encore connu.
00:44:39Je n'ai pas encore connu.
00:44:40Mais je l'ai pensé.
00:44:42Pour moi,
00:44:43c'est une bonne question.
00:44:45On peut la mettre en face.
00:44:46Le football.
00:44:47On peut comprendre qu'il y a une différence.
00:44:48Le sport.
00:44:49On peut dire qu'il y a un ancien joueur.
00:44:51On peut dire qu'il y a un ancien joueur.
00:44:53On peut comprendre ça.
00:44:55On peut dire qu'il y a un ancien joueur.
00:44:57C'est-à-dire qu'il y a un joueur capable.
00:44:59À cette époque-là.
00:45:00À l'époque du football.
00:45:01Il y a des gens qui jouent du sport.
00:45:03On peut dire que tout le monde sait que le sport est mort à Maurice.
00:45:06Surtout au football.
00:45:08Quand je suis allé à Montjouir,
00:45:09je me suis dit que je reviendrais.
00:45:11Je suis allé à Maurice,
00:45:12je suis allé là-bas,
00:45:13à Grand Grandjouir.
00:45:14Mais j'ai rencontré des terrains.
00:45:16Des problèmes.
00:45:17Des souffrances.
00:45:18Il y a des terrains de bambou.
00:45:19Il y a des terrains de l'asislatir.
00:45:22Des pisons.
00:45:24Il y a beaucoup de travail que je dois faire.
00:45:25Il y a beaucoup de travail à faire.
00:45:26Bon.
00:45:27Je ne bouge plus devant.
00:45:28C'est la deuxième question.
00:45:30Moi, je me pose ça pour la drogue.
00:45:33Maurice, pour moi,
00:45:35il en allait être rouge.
00:45:37Il en allait être rouge.
00:45:39Et je peux suivre ça de chez la dépré
00:45:41avec un bon collègue.
00:45:44Mais c'est qu'il finit tombé.
00:45:47On connaît les biens difficiles pour ces gens-là.
00:45:49Ça fait des...
00:45:50Ça dit tout ce qu'il faut.
00:45:52Il y a une volonté.
00:45:53Il y a une volonté.
00:45:55Mais il faut commencer une campagne d'explication.
00:45:59Une campagne pour éduquer les jeunes
00:46:03qui prennent l'âge de 15 à 20.
00:46:06À 18-20.
00:46:08Pour expliquer aux autres.
00:46:09Et faire la même vie de nos agents
00:46:11pour la cause des autres.
00:46:13Ce qui fait qu'il faut dire non synthétique.
00:46:16Non...
00:46:17Vous connaissez.
00:46:18Il faut dire qu'il faut arrêter un supplémentaire.
00:46:21Il faut dire qu'il faut arrêter un supplémentaire.
00:46:25Il faut dire qu'il faut arrêter un supplémentaire.
00:46:27Là, pas même des semaines, trois semaines,
00:46:29je trouve un...
00:46:31un délai, une question là.
00:46:33Les produits-là, même...
00:46:35FSL, je vais vous dire comme ça.
00:46:36Pas la drogue, ça.
00:46:38Vous pouvez venir avec une question localement, là, non?
00:46:41Vous pouvez venir, là.
00:46:43Parce que...
00:46:44Maintenant, dis-moi...
00:46:46Il y a des papiers, c'est-à-dire.
00:46:47Les papiers, après 30 minutes, qu'est-ce qu'il y a?
00:46:49Il n'y a plus de détectable.
00:46:50Il n'y a plus de détectable.
00:46:52Mais me posez-moi la question sur la boîte, là.
00:46:55FSL, regarde ça.
00:46:56FSL...
00:46:58C'est les affaires qui t'ont aidé dans la justice.
00:47:02Dis-moi, on a fini de donner ce statement.
00:47:03Fini de donner tout.
00:47:04C'est les affaires qui manquaient.
00:47:05FSL report.
00:47:06Il faut que FSL report.
00:47:07Après sept mois, huit mois.
00:47:09Après un an, après des ans.
00:47:11Mais si après il n'y a pas piqué ça,
00:47:13c'est après des ans que vous avez dit ça, non?
00:47:16Nous avons un gros problème, là.
00:47:18Ça nous aide bien.
00:47:19Pouvez-vous nous poser une deuxième question?
00:47:22Il y a un auditeur déjà en ligne.
00:47:24Je préfère qu'il nous prenne en ligne
00:47:25et qu'il nous réponde à une deuxième question.
00:47:26Là, M. Mandaret est avec nous?
00:47:28Oui, allô?
00:47:29Oui, oui. Bonsoir.
00:47:30Bonsoir. Posez vos questions.
00:47:31Bonsoir, M. Babadji.
00:47:33Bonsoir, M. Mandaret.
00:47:36Pas Mandaret, Mandari.
00:47:38Mandari, sorry.
00:47:39Bonsoir, Soria.
00:47:40Pardonne-moi, on est là-bas.
00:47:41Pas de problème, pas de problème.
00:47:44M. Babadji.
00:47:45Oui.
00:47:46Nous faisons changement, changement.
00:47:48Nous faisons ça à un inspecteur de police,
00:47:50nous faisons ça à un autre inspecteur de police.
00:47:53L'autre inspecteur de police,
00:47:54si c'est une allée,
00:47:55on fait ça à l'autre.
00:47:56Est-ce qu'ils se sont inquiétés
00:47:57de combien la police fait une fauteuille?
00:48:00Il faudrait nettoyer ça,
00:48:02parce que la police fauteuille,
00:48:03elle est là,
00:48:04elle n'est qu'à partir de ce moment-là.
00:48:05Quelle région nous posez là,
00:48:06M. Mandari?
00:48:07Hein?
00:48:08Pour quelle région?
00:48:09Région qu'on appelle ça.
00:48:10Ok.
00:48:12Alors, si c'est pas pour nettoyer,
00:48:14parce que c'est une fauteuille,
00:48:15elle reste là-même.
00:48:16Est-ce qu'elle est pour faire travail?
00:48:18Jamais elle n'est pas pour faire travail.
00:48:20Parce qu'il habite,
00:48:22il habite, je vais me dire,
00:48:23un château, lui.
00:48:26Alors, si nous pouvons continuer,
00:48:27les autres restent là,
00:48:28ça veut dire travail.
00:48:29Là, pas pour faire,
00:48:30comme je disais,
00:48:32commissaire de police,
00:48:33je vais faire l'enquête.
00:48:34Moi, je suis en train de comprendre
00:48:35rien de la table,
00:48:36pour me donner tout,
00:48:37moi-même, ce qui est arrivé.
00:48:39Bon.
00:48:40Ok.
00:48:41M. Mandari,
00:48:42je ne sais pas exactement
00:48:43quand tu vas finir,
00:48:44mais,
00:48:45bon,
00:48:47bon,
00:48:48transfert au niveau de la police,
00:48:49nous, on ne sait pas comment ça va se passer.
00:48:51Je pense qu'il y a un réchauffement,
00:48:53et là,
00:48:55mais,
00:48:56si on dit qu'il y a une fauteuille,
00:48:57je pense qu'il y a un cadre,
00:48:59un plan d'action là-bas,
00:49:00il y a des affaires
00:49:01qui doivent être abordées,
00:49:02une mesure disciplinaire,
00:49:04il y a souvent une place
00:49:05qu'il faut faire
00:49:06concrète,
00:49:07IPCC,
00:49:08il y a toujours des actions,
00:49:09on ne va pas dire
00:49:10qu'il y a un transfert,
00:49:11on ne va pas dire
00:49:12qu'il y a un,
00:49:13on ne parle pas
00:49:14pour juste
00:49:15ce qu'il y a.
00:49:16Mais,
00:49:17il y a des actions
00:49:18qui prennent d'après,
00:49:20d'après les complains,
00:49:21d'après les normes
00:49:23qu'il y a.
00:49:25Là, on ne va pas dire
00:49:26qui est arrivé,
00:49:27qui n'est pas arrivé,
00:49:28qu'il y a une fauteuille,
00:49:29qu'il n'y a pas de fauteuil,
00:49:30on ne va pas dire ça.
00:49:31Moi, je ne vais pas dire
00:49:32que ce n'est pas M. X
00:49:33qui fait ce travail,
00:49:34M. Craig,
00:49:35non,
00:49:36on ne va pas dire ça.
00:49:37Mais là,
00:49:38il y a des situations
00:49:39qui sont venues,
00:49:40il y a des affaires
00:49:41au département,
00:49:42il y a des affaires
00:49:43dans les affaires,
00:49:44il y a des affaires
00:49:45du divisionnel commandant,
00:49:46tout ça.
00:49:47La question avant,
00:49:48c'était dans le sujet
00:49:49de la conscription,
00:49:50il y avait une patente,
00:49:51une patente,
00:49:52comment tu vas dire,
00:49:53patente taxi et qui,
00:49:54il y a une formule
00:49:55pour donner patente taxi,
00:49:56c'est qu'ils ont besoin
00:49:57de travailler un certain
00:49:58nombre de temps
00:49:59dans le village,
00:50:00après,
00:50:01les langues sont shiftées
00:50:02pour patente l'archivité
00:50:03pour le hôtel.
00:50:05M. Gorsenne,
00:50:06oui,
00:50:07M. Gorsenne,
00:50:08il y a des gens
00:50:09qui l'ont invité exactement.
00:50:10Mais,
00:50:11bon,
00:50:12il y a des problèmes là,
00:50:13C'est un problème là. Pas si c'est pas dans le taxi. Les gens ils nous posent moi ça question là, moi je sais qu'il y a une supposition qui dit qu'il n'y a pas les victimes là-dedans.
00:50:22Mais pas si c'est pas dans le taxi, pas dans le bus. Mais moi je sais que ça qu'il fait, nous prenons pas une question qui va venir après.
00:50:28D'accord. Nous prenons. Et ça c'est qu'il a trouvé là.
00:50:32C'est à dire qu'il y a des gens qui viennent te dire déjà c'est un problème là.
00:50:34Et nous connaissons qu'il y a des gens qui viennent, nous connaissons qu'il y a des gens qui sortent de prison et qu'ils n'ont pas de temps.
00:50:37Quand on sort de prison, je vous dis, après deux semaines, il n'y a pas dans le taxi.
00:50:41Pas dans le taxi, il y en a deux dans la case.
00:50:44Nous ne pouvons pas faire ça. Nous pouvons venir tout seul.
00:50:47Peut-être que, comme je vous l'ai dit, je peux trouver tout l'ordre.
00:50:50Mais c'est mon travail là, nous pouvons faire, nous pouvons analyser un point.
00:50:54Et nous pouvons trouver comment nous pouvons.
00:50:56Nous ne pouvons pas faire nos affaires.
00:50:58Vous savez, il y a des gens qui viennent te dire qu'ils ont un problème là et qu'ils ne veulent pas que tu sois là.
00:51:03Mais si nous arrêtons ça là, nous ne savons pas les conséquences qu'il y a.
00:51:06Pas grâce à la vie.
00:51:08Nous attendons là, nous pouvons venir tout seul.
00:51:11Un dimanche dernier, toujours, le premier ministre s'est encollé contre des gens qui...
00:51:15C'est un des gens qui peut bloquer les institutions et qui peut...
00:51:18C'est un des gens qui peut remettre le bâton dans la roue là.
00:51:22Est-ce que vous connaissez ces gens-là? Vous vous identifiez à ces gens-là?
00:51:26Bon, moi, je ne m'en parle pas pour le prononcement là.
00:51:29L'idée, il y a toute l'information.
00:51:32Nous devons être honnêtes.
00:51:34Nous devons dire qu'au cours des derniers dix ans,
00:51:38nous tous connaissons comment ça a fonctionné.
00:51:41Qui a monté les échelons?
00:51:44Qui a fait le haut?
00:51:47Nous tous, nous connaissons ça.
00:51:49Le transfert, comment faire? Toutes ces choses-là.
00:51:51Mais qui a fait le haut? Qui n'a pas fait le haut?
00:51:54Même en même temps, il y a des gens qui ont détruit les preuves, qui ont fait tout.
00:51:58Nous connaissons.
00:52:01Même des hauts, tous les jours, nous connaissons ça.
00:52:04M. X, encore là-bas, il peut dire ça, il peut dire l'autre.
00:52:06M. Y, encore là-bas, tu me donnes lui les temps.
00:52:08Mais non, nous ne pouvons pas le faire, nous ne pouvons pas le dire.
00:52:10Il y en a.
00:52:11L'idée encore, il ne peut pas le connaître.
00:52:13L'autre peut bloquer ici, l'autre peut bloquer là-bas.
00:52:15Travailler dans des affaires comme ça, non.
00:52:17Mais il y en a plus, l'information.
00:52:19Je laisse lui.
00:52:20Il est la bonne personne.
00:52:21Lallou est avec nous pour une question.
00:52:23Lallou, bonjour.
00:52:24Bon après-midi.
00:52:25Oui, bonjour.
00:52:26Bonjour, l'honorable Babady.
00:52:28Et bonjour, Top FM.
00:52:29Bonjour.
00:52:30Bonjour.
00:52:31Sorry, bonsoir.
00:52:32Et tout d'abord, je félicite les partis.
00:52:36Les partis.
00:52:38Et toujours, je crois, franchement, de dire, je suis satisfait avec le gouvernement.
00:52:43Parce que ce qu'ils font aujourd'hui, nous ne pouvons pas faire de télévision.
00:52:46Nous ne pouvons pas causer de pénurie ou de faillite.
00:52:49Parce qu'à l'époque, ils pouvaient nous causer de la pénurie ou de faillite.
00:52:53Mais maintenant, ce que je tiens à savoir avec ce gouvernement-là,
00:52:57c'est qu'il est vraiment, vraiment, vraiment important qu'on puisse causer.
00:53:00Et il prend nos doléances.
00:53:01Tous les auditeurs qui causaient pour parler le grand matin,
00:53:03ils prennent toutes nos doléances.
00:53:05Je crois qu'il y a des ministres qui écoutaient tout ça.
00:53:07Ça, je le félicite.
00:53:08Tout d'abord, moi, j'ai fait mon travail.
00:53:11Dans l'esprit.
00:53:12Mais franchement, je veux dire, je félicite les ministres et messieurs Bagouane.
00:53:16C'est franchement un travail qu'ils avaient fait à l'intérieur de l'île Maurice.
00:53:20Un bataille pour ces ministres-là.
00:53:22Ce n'est pas un petit parti,
00:53:24mais chez Bagouane, c'est beaucoup difficile.
00:53:26L'inconnu qui a fait ce travail-là, il m'a eu cinq doigts.
00:53:28Et aujourd'hui, Maurice m'a fait profiter.
00:53:31Tout ça, tout ce qu'on a taillé, tout ce qu'on a vu,
00:53:34tout ce qu'on a parlé, c'est vraiment incroyable.
00:53:38Incroyable, cette personne-là.
00:53:40C'est vraiment...
00:53:41Au contraire, moi, j'en ai la place de cela.
00:53:42Moi, je suis bien viser.
00:53:43Et nous avons causé de cela.
00:53:45Il y a vraiment du propre.
00:53:47Je ne vais pas dire le contraire.
00:53:48Et nos premiers ministres, même Paul Véranger,
00:53:51pareil, je travaille et je développe le pays.
00:53:54Au contraire, il y a tellement d'inconnus.
00:53:56Aujourd'hui, il y a beaucoup de pays.
00:53:57Maurice, comment puis-je avancer ?
00:54:01Comment puis-je avancer ?
00:54:02Moi, je vous dis honorable,
00:54:03il n'y a pas de petits ministres qui députent,
00:54:05il n'y a pas de petites institutions qui aident.
00:54:06Bon, nous ne passons pas jusqu'à l'élection,
00:54:08nous descendons de l'autre terrain.
00:54:09Mais alors, au moins dans un mois ou des mois,
00:54:13au moins, descendons d'un stade de village.
00:54:14Qu'est-ce que c'est que le problème ?
00:54:15Pourquoi est-ce qu'il y a des inconnus ?
00:54:16Ceci n'est même pas le taré.
00:54:17C'est la coupure.
00:54:19Ceci n'est plus important pour nous.
00:54:21Donc, merci, merci encore une fois
00:54:24au gouvernement.
00:54:26Merci.
00:54:27Merci Lalo pour les questions
00:54:28et les demandes de réponses
00:54:29avec Abinababadji.
00:54:31Vous trouvez ?
00:54:33M. Lassalle-Dorlès qui est souvent le raisonnement.
00:54:35Et pour tout, quand tout passe,
00:54:37quand tout passe, autant de gens peuvent dire
00:54:39que c'était pas une dictature,
00:54:41qu'on peut pas s'affrayer ici longtemps
00:54:44avant de causer.
00:54:46Moi, j'ai dit comme ça,
00:54:48longtemps, on causait, on tassait.
00:54:50On postait sur Facebook, comme ça,
00:54:52mais pendant ce temps,
00:54:54les gens peuvent respirer,
00:54:55les gens sont libres,
00:54:56les gens causaient, faisaient...
00:54:58Tout !
00:54:59On peut vivre dans un pays
00:55:01où il y a une liberté,
00:55:03où nos constitutions nous garantissent.
00:55:06Mais avant, 3 mois, 4 mois de cela,
00:55:09c'était pas possible.
00:55:10Et d'ailleurs, j'ai dit à beaucoup de gens,
00:55:13c'est les choses qu'ils ont fait,
00:55:15c'est l'année 60.
00:55:176 mois avant les élections.
00:55:20Tu sais ce que tu peux dire?
00:55:22Tu crois où, M. Jean-Louis,
00:55:24euh, Jimmy, je vais te poser une question.
00:55:26Tu crois où 6 mois avant l'année 60?
00:55:28Même un mois avant le candidat.
00:55:30M. Lassalle-Dorlès-Boulanger tu pensais que le 60 allait disparaître?
00:55:32Ouais, tu ne crois pas.
00:55:34M. Lassalle-Dorlés-Boulanger, c'est ce que je pensais,
00:55:35je pensais qu'en premier, le 60,
00:55:36il y avait le candidat Yann Navar,
00:55:38le candidat de l'année 2014,
00:55:39le candidat du comité de l'année 2014,
00:55:40et puis, le seul candidat...
00:55:42Paul Beranger,
00:55:44les deux seuls a été de tous les soixante-zéros, quatre-vingt-deux, euh...
00:55:48On pense au Bagouane aussi, non?
00:55:49Non, non. Quatre-vingt-deux, quatre-vingt-quinze et deux... et deux-mille-vingt-quatre.
00:55:54Non, c'est... c'est... c'est les deux seuls, à mon avis, hein.
00:55:56Rajesh est venu en quatre-vingt-trois, si je ne me trompe pas.
00:55:59Rajesh Bagouane.
00:56:00Donc, nous manquons une pause pub. La suite est juste après... après ça.
00:56:15Radio sur App Store, Play Store et sur aussi Huawei App Gallery.
00:56:20Top FM Live TV, une grande première.
00:56:23Vivez en temps réel, la première radio TV de Maurice.
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00:56:45Fréquences Top FM dans le Nord et le Sud, 106.0.
00:56:50L'Est et l'Ouest, 105.7.
00:56:54Et le Centre, 104.4.
00:56:57Top FM
00:57:28Finest of green teas, herbs and spices.
00:57:31Gives a flavor that's twice as nice.
00:57:34Detoxing, now made easy.
00:57:36Just dip and sip.
00:57:38No wonder they say, Girnar, my chai, my time.
00:57:57Mado, only beauty.
00:58:27Bien sûr, nous pour continuer l'émission encore quelques temps parce que nous avons des appels aussi au stand-up.
00:58:45Swati est avec nous, une question pour Orvin Babaji.
00:58:48Swati?
00:58:50Bonsoir M. Babaji, bonsoir Denis.
00:58:54Je vais plutôt vous poser la question, mais je voudrais féliciter M. Babaji pour sa proximité, ce qu'il y a avec nous dans Katoz.
00:59:01Nous trouvons lui partout.
00:59:03Nous trouvons lui dans la foi, nous trouvons lui dans notre brutalité.
00:59:06Il y a même Grand Bastien.
00:59:07Tout le monde peut dire qu'il y a un jeune politicien qui a aussi de la proximité avec tout le monde.
00:59:11Comme ça, il restera bien depuis tout à l'heure.
00:59:14Fais-nous un plaisir pour travailler avec ce jeune politicien qui est là pour servir le pays.
00:59:21Moi, je suis plutôt contente.
00:59:23Il y a beaucoup de pluie là.
00:59:27Je suis plutôt contente qu'en Katoz, il y ait des bustos qui sont couverts pour les enfants qui vont à l'école le matin.
00:59:38C'est un petit peu bon pour eux.
00:59:39Ils ne sont pas mouillés avec leurs uniformes le matin quand ils vont à l'école.
00:59:42Les bustos pour les jeunes, c'est qui dans le droit exactement Mme?
00:59:46Chamouni.
00:59:48Chamouni.
00:59:49Chamouni.
00:59:50Merci, soit-il pour la question.
00:59:52Merci, merci Mme.
00:59:54Mais, écoute, de nos jours, c'est ça qui m'a tué de l'emphase moi.
01:00:01Politique, il est plutôt dans la proximité.
01:00:04À l'école, il y a une tête.
01:00:06Exactement.
01:00:07Et, il faut l'écouter.
01:00:10Pas non plus.
01:00:11Il y a même des gens qui me posent des questions.
01:00:14Ils me disent, est-ce que vous vous trouvez à Paris là en 2026, 2027, 2028?
01:00:18Je leur dis, bien là, moi je suis absent.
01:00:20Parce qu'à la commencement là, je me trouve en 2029.
01:00:23Mais, nous devons nous dédier pour ça.
01:00:25Je vais vous dire, moi je suis à Katoz, moi je suis à Paris.
01:00:31Je suis à Paris tout le temps, homme de terrain.
01:00:34Nous là, nous pouvons l'écouter.
01:00:36Nous écoutons les autres.
01:00:37Nous sommes toujours présents à vos côtés.
01:00:39Mais quand même, est-ce que vous finissez déçu?
01:00:41Beaucoup de gens peuvent te dire, tu es un peu déçu, un peu...
01:00:44Quand on sortait de l'élite, quand même, c'est le meilleur score qu'il y a dans Maurice.
01:00:47On sortait de l'élite, on battait à la gagneur et on parvient à l'élite.
01:00:50Non, non, jamais.
01:00:52C'est les gens, moi quand je leur dis des choses...
01:00:55Premièrement, je leur dis, honnêtement, tous les gens d'en dehors, tous les gens qui sont autour de moi.
01:01:01Je ne suis pas assez fatigué.
01:01:04Moi, j'ai motivé Maurice.
01:01:05Moi, j'ai motivé Maurice.
01:01:06J'ai amené un combat pour travailler, pour prendre le pouvoir.
01:01:11Sous le leadership du docteur Amin Aboulam.
01:01:14Et c'est ce que j'ai fait.
01:01:16Combien de gens sont venus, combien...
01:01:19Vous connaissez les politiciens?
01:01:20C'est ça, ça ne veut pas être dit.
01:01:21Même Alain, il a dit, tous les gens, pas moi, il ne veut pas être dit, ça ne veut pas être dit.
01:01:26Je n'ai pas gaspillé de temps, je ne l'ai pas dit.
01:01:28J'ai dit, ok, parfait, je suis là pour le parti.
01:01:30Et je l'ai dit, je vais demander à tous les gens qui travaillent autour de moi.
01:01:34Je leur ai dit, arrivez à venir lire.
01:01:38Il y a un changement parce qu'il n'y en a pas.
01:01:40Nous, on est en alliance.
01:01:42Il n'y a pas de permis d'achat.
01:01:43Il y en a, il y en a tout.
01:01:45Mais c'est moi, l'entraîneur que ça n'a.
01:01:48Le coach que ça n'a.
01:01:50C'est de trouver une meilleure vie.
01:01:52C'est ce que j'ai fait, papa.
01:01:53Nous, nous-là, nous n'avons pas besoin de gouvernement.
01:01:55Combien de gens...
01:01:56Moi, je vais vous dire une chose.
01:01:57Combien de gens sont venus dans mon parti?
01:01:58Vous dites, pas moi, je ne l'ai pas dit.
01:01:59Moi, qui vous critique, l'autre là.
01:02:02Moi, je suis pareil.
01:02:03Je continue pareil.
01:02:04Il y a un jour que je suis absent.
01:02:06Gagner ou pas gagner, je ne sais pas.
01:02:08Est-ce qu'il tient le match facile?
01:02:10Est-ce qu'il tient le match facile?
01:02:11Pas facile?
01:02:12Je suis ministre là.
01:02:13Moi, au fond de moi.
01:02:15Un, mon coach.
01:02:19Deuxième, j'ai de l'expérience.
01:02:21Pour traper un dossier ministériel.
01:02:23Je suis d'accord, je dis oui.
01:02:24Tout le monde a une ambition.
01:02:26Tout le monde a envie de venir travailler.
01:02:28Mais seulement, c'est une nouvelle école qu'il y a là-bas.
01:02:30Oui.
01:02:31Une nouvelle école où apprendre.
01:02:32Et moi, je me dis,
01:02:34qui fait mon parti est vraiment intéressé pour être ministre ou quoi?
01:02:38Moi, je n'ai pas le pouvoir de dire tout ça.
01:02:40Vous savez, là, je fais mon étudiant.
01:02:43Moi, je suis plus à l'aise.
01:02:45Mais qui va me dire
01:02:48pour traper sa portefeuille là,
01:02:49où vous êtes délivreur.
01:02:50Vous ne pouvez pas traper une affaire,
01:02:51vous mettez-la au terrain,
01:02:52après, vous n'êtes pas capable.
01:02:53Le dernier gouvernement de tout nous trouver.
01:02:55Combien de novices tu mettais?
01:02:56Après, il n'y en a plus.
01:02:58Mais là,
01:02:59une question,
01:03:00bon,
01:03:01on ne pose pas une question,
01:03:02l'Iran,
01:03:03capable,
01:03:04ce n'est pas une question ou quoi.
01:03:05Mais l'Iran, dans une phase où
01:03:08il n'y a pas ce gouvernement-là,
01:03:10il n'y a pas cette composition ministérielle.
01:03:12C'est tout le monde
01:03:14qui a
01:03:15l'expérience avec
01:03:19le dossier.
01:03:21Et nous tous connaissons
01:03:22tout le ministère
01:03:23qui a des problèmes.
01:03:25Surtout là, là, là, là, là, là,
01:03:27actuellement, là.
01:03:28Ce n'est pas facile pour traper ça.
01:03:30Public Utilities,
01:03:31Energy and Public.
01:03:32Ce n'est pas facile, ça.
01:03:33Je veux dire ça.
01:03:34Ce n'est pas facile du tout, ça.
01:03:36Quand vous avez de la finance,
01:03:38ou quoi, le leader,
01:03:40c'est à ce qu'il était là.
01:03:43Nous tous connaissons,
01:03:44pour qu'il n'y ait pas une étape l'an passé,
01:03:45vous ne connaissez pas ce qu'on entend
01:03:46quand on dit reposer un PD.
01:03:48L'égard du premier ministre,
01:03:49l'égard du ministre des Finances, on dit.
01:03:51Ou quoi, c'est facile, ça.
01:03:53Mais, pour moi, en tant qu'un jeune,
01:03:56bon, je ne vais pas dire
01:03:57que je ne suis pas dans l'ambition
01:03:58d'un ministre, non.
01:03:59Je suis un, et surtout pour mon mandat,
01:04:01maintenant, je suis un ministre.
01:04:03Je suis capable,
01:04:04c'est-à-dire qu'il y a des gens
01:04:05qui sont déjà posés,
01:04:06qui sont déjà occupés
01:04:07pour le fait,
01:04:08je suis un ministre.
01:04:09Je suis un ministre.
01:04:10Et surtout, dans 14,
01:04:11nous sommes un ministre
01:04:12pour aide.
01:04:13Circonception.
01:04:14Aide circonception.
01:04:15Mais, pour moi, honnêtement,
01:04:17nous avons un problème, ça.
01:04:19Vous connaissez
01:04:21Il est capable de dire
01:04:22que jamais il n'a pas envoyé un message,
01:04:24jamais il n'a pas dit
01:04:25qu'il avait besoin d'un ministre,
01:04:26jamais il n'a pas envoyé.
01:04:27Il n'en a pas besoin.
01:04:28Il a dit qu'il avait un plan
01:04:29pour toutes les affaires.
01:04:30Quand il va se lire,
01:04:31il va arriver.
01:04:32Il va arriver.
01:04:33Il n'en a pas besoin.
01:04:34Il n'en a pas besoin.
01:04:35Il ne va pas presser.
01:04:36Il y en a Chris de Rionbel
01:04:37qui est avec nous.
01:04:38Chris.
01:04:39Oui, bonsoir, monsieur Jimmy.
01:04:40Oui.
01:04:41Bonsoir, maître.
01:04:42Ben, vas-y.
01:04:43Que, bon,
01:04:44c'est-à-dire que moi,
01:04:45moi, j'ai ma bonne plantation
01:04:46un petit peu dans le sud.
01:04:50Je suis de Québec,
01:04:51mais je connais un petit peu
01:04:52aussi la conscription.
01:04:53C'est là que beaucoup de monde
01:04:54travaille contre moi.
01:04:55Et aussi,
01:04:56je connais une jeune
01:04:57qui nous a accueillis là,
01:04:58dans le CAC 14,
01:04:59malgré qu'on est en Québec.
01:05:00Mais je vais te demander
01:05:01trois ou six affaires
01:05:02qui, moi, j'ai trouvé,
01:05:03bon,
01:05:04quand on fait une vérité,
01:05:05disons,
01:05:06tout à l'heure-là,
01:05:07c'est vrai,
01:05:08quand on peut dire
01:05:09qu'on a vendu
01:05:10ta politique,
01:05:11nous trouvons
01:05:12que chaque gouvernement
01:05:13qui en est venu,
01:05:14il y en a un petit deux
01:05:15qui vendent
01:05:16ta politique.
01:05:17Par exemple,
01:05:18moi, je vous pose
01:05:19une question.
01:05:20Qui vous n'a
01:05:21voulu,
01:05:22à l'heure-là,
01:05:23un Mauritien
01:05:24qui m'a metté
01:05:25Annie Le Ryan,
01:05:26surtout lui aussi,
01:05:27il y en a un avocat.
01:05:28Il y a un avocat,
01:05:29quand même.
01:05:30Tu peux,
01:05:31tu peux presque,
01:05:32tu peux finir
01:05:33comme président
01:05:34de l'Union africaine,
01:05:35là.
01:05:36Nous,
01:05:37le premier ministre
01:05:38actuel,
01:05:39il fait,
01:05:40il dit,
01:05:41il dit,
01:05:42il dit,
01:05:43il dit qu'il n'est pas
01:05:44pour,
01:05:45c'est-à-dire qu'il appuie
01:05:46son candidature,
01:05:47finalement,
01:05:48qu'il a trouvé
01:05:49des états de Mauritien
01:05:50pour mettre un lot
01:05:51dans une institution
01:05:52aussi forte
01:05:53que l'Union africaine.
01:05:54Et ça,
01:05:55moi, j'ai envie
01:05:56qu'il vous dise
01:05:57à l'heure-là.
01:05:58Et numéro deux,
01:05:59moi, je vais te dire,
01:06:00il y a autant
01:06:01d'institutions
01:06:02internationales
01:06:03pendant même
01:06:04dernier mandat,
01:06:05hein,
01:06:06tu peux féliciter
01:06:07Mauritie
01:06:08pour tout son travail
01:06:09qui est côté
01:06:10institution,
01:06:11même banque de Mauritie,
01:06:12même son gouverneur
01:06:13est une découverte
01:06:14sur la pensée.
01:06:15Finalement,
01:06:16pas même dans un mois,
01:06:17un papier est paré
01:06:18pour dire
01:06:19que l'économie
01:06:20qui paye
01:06:21n'a casse,
01:06:22partout,
01:06:23il y a un trou
01:06:24avec le ministère.
01:06:25Alors,
01:06:26j'espère
01:06:27que nous
01:06:28avons une réponse
01:06:29avec vous
01:06:30à l'heure-là.
01:06:31D'accord.
01:06:32Et dernier,
01:06:33je veux dire
01:06:34que
01:06:35Diego Chagos,
01:06:36bon,
01:06:37c'est fini
01:06:38le négociation
01:06:39avec vous
01:06:40en anglais,
01:06:41c'est fini,
01:06:42d'accord,
01:06:43on a déjà
01:06:44signé
01:06:45l'accord
01:06:46et finalement,
01:06:47Aster,
01:06:48le premier ministre,
01:06:49a dit
01:06:50non,
01:06:51ça ne suffit pas,
01:06:52il n'y a pas de bon,
01:06:53il faut négocier
01:06:54une autre affaire,
01:06:55quand bien,
01:06:56il y a une chose
01:06:57qui dit
01:06:58et bien,
01:06:59il y en a
01:07:00une,
01:07:01il y en a deux,
01:07:02il y en a beaucoup.
01:07:03Alors,
01:07:04il y en a
01:07:05plus,
01:07:06ça peut être
01:07:07un problème,
01:07:08Aster
01:07:09peut attendre
01:07:10le premier ministre
01:07:11lundi
01:07:12pour demander
01:07:13à qui
01:07:14le premier ministre
01:07:15de donner
01:07:16son soutien
01:07:17au candidat
01:07:18kényan.
01:07:19Oui,
01:07:20oui,
01:07:21ça,
01:07:22ça,
01:07:23ça,
01:07:24ça,
01:07:25ça,
01:07:26ça,
01:07:27ça,
01:07:28ça,
01:07:29ça,
01:07:30ça,
01:07:31ça,
01:07:32ça,
01:07:33ça,
01:07:34ça,
01:07:35ça,
01:07:36ça,
01:07:37ça,
01:07:38ça,
01:07:39ça,
01:07:40ça,
01:07:41ça,
01:07:42ça,
01:07:44ça,
01:07:45ça,
01:07:46ça,
01:07:47ça,
01:07:48ca,
01:07:49ca,
01:07:50Ca c'est
01:07:51ça,
01:07:52il faut
01:07:53le faire.
01:07:54Ouais,
01:07:55je pense je le fais.
01:07:56Ca,
01:07:57ca,
01:07:58ça,
01:07:59ça,
01:08:00ça,
01:08:01ça,
01:08:02le,
01:08:03l'élection
01:08:04va nous finir
01:08:05dans lieu
01:08:06et le
01:08:07candidat
01:08:08kéynan
01:08:09sera
01:08:10battu
01:08:11ne redresse pas tout, ne réfère pas tout quand on sait qu'il y a quelqu'un qui a trouvé qu'il n'y a pas de problème.
01:08:17Mais avant, tout le monde pensait que tout était beau.
01:08:22Quand maintenant, au niveau international, c'est ce qu'on peut dire, c'est ce qu'on peut dire sans doute.
01:08:27On ne peut pas savoir quelle réalité il y a.
01:08:32D'accord.
01:08:33Et troisième chose qu'on peut dire sur la gauche.
01:08:35Sur la gauche, oui.
01:08:36Bon, je mets moi-même dans la place des gens qui ne finissent pas de négocier.
01:08:42C'est ce qu'il y a dans ce point de vue.
01:08:44Il n'y a pas de point technique que l'ex-premier ministre a trouvé qui est beau.
01:08:50L'actuel premier ministre ne l'a pas trouvé.
01:08:52Et il n'y a pas de point qu'il n'a pas trouvé, qu'il n'a pas trouvé.
01:08:56Et d'ailleurs, je vais vous dire une chose.
01:08:58Ce groupe qui n'a pas trouvé et qui a négocié, je ne pense pas qu'ils aient pris une décision qu'ils n'ont pas pris.
01:09:04Et surtout, moi, en tant qu'ex-premier ministre, je ne pense pas qu'ils aient pris une décision qu'ils n'ont pas pris.
01:09:13D'accord.
01:09:14Moi, je connais des gens neutres, je connais des professionnels, surtout sur la loi.
01:09:19Je ne pense pas qu'ils aient trouvé un petit point.
01:09:22Et d'ailleurs, je connais le premier ministre qui a envoyé lui-même faire l'admission.
01:09:26Je ne pense pas qu'il ait donné un bon conseil qu'il n'a pas donné.
01:09:31C'est la bonne rectification.
01:09:33Et surtout, s'il nous peut t'aider, qu'il nous dise, nous vous apprends.
01:09:36Et dans l'autre affaire, qu'il nous peut dire qu'il nous paiera de soutien, moi je dis ça.
01:09:39Ça aussi, je ne vais pas vous t'en dire.
01:09:41C'est la seule interprétation.
01:09:43Oui.
01:09:44Qu'il nous paiera de soutien, moi je dis.
01:09:45C'est ce dossier-là.
01:09:46Mais ils nous soutiennent tout le temps.
01:09:47Tout le temps.
01:09:48À ce stade, qu'est-ce qu'on peut dire?
01:09:49Qu'est-ce qu'on peut dire?
01:09:50Ils nous soutiennent.
01:09:52Vous savez, les chefs d'État, c'est ce qu'il y a dans la cour.
01:09:55Vous savez, au Kenya, ce chef d'État, un jour, Maurice,
01:10:01notre premier ministre, c'est ce qu'il y a dans la cour qu'ils ont trouvé bon.
01:10:05Vous savez, ça c'est entre eux.
01:10:06Ils te donnent moins de soutien, moi je vais te donner ça, moi je vais te donner ça.
01:10:09Nous pétons dans la cour.
01:10:11Vous comprenez?
01:10:12Je ne vois pas pourquoi.
01:10:13Je ne suis pas dans sa place pour prendre au soin l'autre.
01:10:15Lorsqu'il vient, il ne peut pas nous donner ce genre d'affaires-là.
01:10:17D'accord.
01:10:18Il y en a un qui est avec nous pour une question.
01:10:19Un.
01:10:20Bonjour.
01:10:21Oui, bonjour.
01:10:22Bonsoir.
01:10:23Moi, j'ai une question pour le ministre de l'Intérieur.
01:10:25Pour mes affaires, j'ai vu sur la télévision,
01:10:30il y a un article sur le chèvre qui a baissé 25%, 28% pour baisser.
01:10:38Ok.
01:10:39Maintenant, il y a à la longue, pour un chèvre qui a baissé jusqu'à 100%.
01:10:45C'est un fait qui l'intend, oui, 100% là.
01:10:51Qui coté une tanza à la télévision?
01:10:55La télévision, c'est nous.
01:10:56Vous ne vous en rendez pas compte.
01:10:57La télévision, c'est le ministre.
01:10:58C'est la même chose.
01:10:59Un.
01:11:00Et deuxième affaire, le guide de parlement.
01:11:01En s'expliquant qu'est-ce qu'il y a, tu peux dire comme ça,
01:11:05« I order you to go out » et si c'est là.
01:11:08Ok.
01:11:09C'est pas si bon.
01:11:10C'est pas si trop libre.
01:11:11C'est pas bien beau.
01:11:12Mais comment j'ai justifié ça qui peut m'éranger?
01:11:17Disiez à Desival.
01:11:19Hein?
01:11:20Allez, admettez-moi, dites-vous.
01:11:22Est-ce qu'il y a un speak à l'Assemblée?
01:11:24Je vais prendre soin de vous.
01:11:26Le ministre va prendre soin de vous.
01:11:27Donc, on ne peut pas nous suivre parlement, malheureusement.
01:11:28L'émission parlementaire, le peuple, il est là.
01:11:31Et nous donnons un élément de réponse à cela.
01:11:35Parce que vendredi dernier, il y a eu un speak-off, il y a eu une ruling sur cette question-là.
01:11:41L'élément de réponse?
01:11:42Oui.
01:11:43Le 100% là, je ne m'attendais pas à ça.
01:11:44Moi non plus.
01:11:45Moi non plus.
01:11:46On m'a déjà annoncé que dans un très proche avenir, il y aura Michael Sikian qui sera invité ici avec un de mes collègues.
01:11:50Non.
01:11:51Et qui va peut-être, probablement, clarifier ça.
01:11:53Oui.
01:11:54Pour le moment, bon, je pourrais voir le prix d'un produit, d'un produit de base.
01:12:01Mais le 100% là, je ne m'attendais pas à ça.
01:12:03Oui.
01:12:04Il y a la raison qu'il y a des baisers comme ça quand même.
01:12:06Ils vous donnent cadeau.
01:12:07Oui, oui, oui.
01:12:08Bien sûr.
01:12:09Bien sûr.
01:12:11Mais là, ça...
01:12:12Déclaration.
01:12:13Déclaration du DPM.
01:12:14Et il y a une ruling qui me dit qu'il faut retirer ce mot-là.
01:12:18D'ailleurs, au début de l'émission, il y a eu une cause là-bas.
01:12:21Il faut retirer ça.
01:12:22Est-ce qu'il y a quelque chose de plus facile?
01:12:24Là-bas, j'ai l'auditeur là.
01:12:26Oui.
01:12:27C'était dans l'ancien régime.
01:12:28Il ne pouvait pas retirer ce mot-là.
01:12:29Il pouvait dire, l'autre là-bas, il n'y a pas.
01:12:31OK.
01:12:32Il y a un dernier appel pour vous.
01:12:33Je connais malheureusement.
01:12:34Toujours, j'ai envie de poser une question, j'ai envie de me battre.
01:12:37Il y a Isaac qui est avec nous.
01:12:38Isaac?
01:12:39Alors, bonjour.
01:12:40Bonsoir, monsieur.
01:12:41Bonsoir, monsieur Babadie.
01:12:42Bonsoir.
01:12:43Je suis content.
01:12:44Il y a eu un changement.
01:12:45Il y a eu un nouveau développement.
01:12:47Parce qu'il nous l'a mis à 2,5 millions de mètres carrés.
01:12:51Oui.
01:12:52Ce qui nous fait faire des élevures depuis la Chine.
01:12:55Nous voulions produire plus d'ici.
01:12:57Nous voulions reproduire l'agriculture.
01:13:00Côté cipling, nous ne voulions aucun développement.
01:13:02Le gouvernement est allé.
01:13:03Le gouvernement est fini.
01:13:04Et ça, le gouvernement a un nouveau changement.
01:13:07Nous espérons qu'il y ait un nouveau développement.
01:13:09Et là, nous sommes, monsieur Babadie, dans la vallée des prix.
01:13:12L'ancien gouvernement est fini.
01:13:14Ils ont déclaré ça.
01:13:15Ils ont dit qu'il y avait un tarif.
01:13:16Ils ont fini de voter.
01:13:18Jusqu'à aujourd'hui, il n'y a pas encore fait ça.
01:13:20Nous sommes là.
01:13:21Nous sommes là avec Joseph Turbin.
01:13:22Dans la vallée des prix.
01:13:23Deuxième chose.
01:13:24Quand nous avons pris la terre, monsieur Babadie.
01:13:27Auparavant, je peux le dire.
01:13:28Depuis 1992.
01:13:30Il n'y a pas encore eu une côte.
01:13:32Nous, trois ans d'ici.
01:13:33Il n'y a pas encore eu une côte.
01:13:34Il n'y a pas encore eu un cadastre.
01:13:35Il n'y a pas encore eu un cadastre.
01:13:36Ils ont fini de payer un pontier.
01:13:37Nous sommes à l'institution là.
01:13:39On parle d'ici.
01:13:40Depuis trois ans, ça.
01:13:41Nous sommes à l'institution là.
01:13:43Manger.
01:13:44Parce qu'il ne faudrait pas.
01:13:45Nous, l'institution.
01:13:46Manger comme un tortue.
01:13:47Et là, nous avons fait la coupe.
01:13:49Et dérouler.
01:13:50Trentième famille.
01:13:51Fini d'assister à la terre.
01:13:52Dans la vallée des prix.
01:13:53Je ne paye leur argent.
01:13:54En 1992, ça s'est fait.
01:13:55Je n'ai pas déroulé.
01:13:56Jusqu'à aujourd'hui.
01:13:57Depuis.
01:13:58Travaillé-ci là, auparavant.
01:13:59D'accord.
01:14:00Travaillé-ci.
01:14:01Ils ont fini.
01:14:02J'espère revoir la cour.
01:14:03Ça fait un bizarre morceau de la cour.
01:14:04Ça ne fait pas capable d'ouvrir.
01:14:05Les gens nous ont présenté.
01:14:06Merci.
01:14:07Baïssac.
01:14:08Elément de réponse avec lequel le député ne va pas dire.
01:14:09Bon.
01:14:10Pour le chemin qu'il peut dire.
01:14:11Ordier.
01:14:12C'est.
01:14:13Je pensais ordier ou municipalité.
01:14:14Municipalité.
01:14:15Je ne sais pas.
01:14:16Je ne sais pas.
01:14:17Le chemin de.
01:14:18Mais.
01:14:19Je pourrais.
01:14:20Je pourrais.
01:14:21Je sais que Baïssac a souhaité cette question-là.
01:14:22Souvent.
01:14:23Il dit que c'est bien.
01:14:24C'est bien.
01:14:25C'est bien.
01:14:27C'est bien.
01:14:28C'est bien.
01:14:29C'est bien.
01:14:30C'est bien.
01:14:31C'est bien.
01:14:32C'est bien.
01:14:33C'est bien.
01:14:34C'est bien.
01:14:35C'est bien.
01:14:36C'est bien.
01:14:37C'est bien.
01:14:38C'est bien.
01:14:39C'est bien.
01:14:40C'est bien.
01:14:41C'est bien.
01:14:42C'est bien.
01:14:43C'est bien.
01:14:44C'est bien.
01:14:45C'est bien.
01:14:46C'est bien.
01:14:47C'est bien.
01:14:48C'est bien.
01:14:49C'est bien.
01:14:50C'est bien.
01:14:51C'est bien.
01:14:52C'est bien.
01:14:53C'est bien.
01:14:54C'est bien.
01:14:55C'est bien.
01:14:56C'est bien.
01:14:57C'est bien.
01:14:58C'est bien.
01:14:59C'est bien.
01:15:00C'est bien.
01:15:01C'est bien.
01:15:02C'est bien.
01:15:03C'est bien.
01:15:04C'est bien.
01:15:05C'est bien.
01:15:06C'est bien.
01:15:07C'est bien.
01:15:08C'est bien.
01:15:09C'est bien.
01:15:10C'est bien.
01:15:11C'est bien.
01:15:12C'est bien.
01:15:13C'est bien.
01:15:14C'est bien.
01:15:15C'est bien.
01:15:16C'est bien.
01:15:17C'est bien.
01:15:18C'est bien.
01:15:19C'est bien.
01:15:20C'est bien.
01:15:21C'est bien.
01:15:22C'est bien.
01:15:23C'est bien.
01:15:25Si on a les plus gros projets, on a le solution.
01:15:28Si on a les plus grands projets, on entend pas la situation.
01:15:31Si on a les meilleurs projets, on a le perspective de
01:15:53Il y a des choses que nous ne pouvons pas accrocher ici, mais seulement, je peux vous dire qu'il y a de l'eau qui sort après le monde, qui passe par le monde et qui est distribuée dans les villes, au détriment des villageois.
01:16:07Mais ça, nous pouvons venir, nous pouvons tacler ce problème-là. Mais nous avons un gros problème de l'eau. Depuis l'enfance, nous connaissons Black River, Dryas, etc. Mais non, il n'y a pas de fil.
01:16:19Quand vous passez, vous connaissez une des zones, la position d'eau, vous pouvez aller vers Tamarin, quand vous allez à gauche, la montagne, quand vous allez à droite, la mer.
01:16:29Et cette montagne là-bas, Magenta, là-haut, l'autre jour, j'ai fait une visite, tout de l'eau descend, mais c'est pas tout de l'eau dans la mer.
01:16:36Il n'y a pas de capture.
01:16:37Tout de l'eau, il n'y a pas de capture.
01:16:39Au bout de cette montagne-là, là-haut, il y a la pluie, il y a tout de l'eau qui descend de même.
01:16:44Il n'y a pas de capture.
01:16:45C'est même un gros problème, personne ne peut le faire.
01:16:48Moi, je ne suis pas au niveau de ce gouvernement-là, de l'autre gouvernement, non.
01:16:52Je suis au niveau d'un projet pour aider la population.
01:16:55Nous tous, nous connaissons ce problème-là.
01:16:57Il n'y a pas assez d'eau.
01:16:59Il n'y a pas de réservoir, il n'y a pas d'eau.
01:17:01C'est tout une solution.
01:17:02Et quand on arrive bien, il y a trois ou quatre rivières qui passent tout de l'eau.
01:17:06Il n'y a pas de marais de l'autre côté.
01:17:07Il n'y a pas de rivières noires.
01:17:09Il n'y a pas de magenta qui descend de l'autre côté.
01:17:12Pourtant, ça fait une belle pression de l'eau, ça fait hydrophile et tout.
01:17:16Il n'y a pas de problème de transport.
01:17:19Il n'y a pas de problème de la santé.
01:17:20On est 14 délaissés, délaissés.
01:17:24Un jour, on sort de l'hôpital.
01:17:27Un jour, on sort de l'hôpital.
01:17:29On sort de l'hôpital le matin.
01:17:32Le matin, pour aller à l'hôpital.
01:17:35De l'après-midi, pour aller visiter sa famille.
01:17:38Un jour, on sort de l'hôpital.
01:17:39On sort de l'hôpital pour lui.
01:17:42Et quand on regarde sa population, il y a un gros problème.
01:17:45Mais on est là.
01:17:46Et l'hôpital est arrivé en eau.
01:17:49Ils font des vols pour travailler ici.
01:17:52Mais il n'y a pas de développement.
01:17:54Il n'y a pas d'énergie.
01:17:57On est là.
01:17:58On est là avec un petit dispensier.
01:18:00C'est ce que j'ai dit, c'est le Pascale Royal.
01:18:02L'autre dispensier,
01:18:03c'est le Community Health Center.
01:18:04Il n'y a plus d'eau.
01:18:06C'est là-bas où il y a le ciel.
01:18:08Et là,
01:18:10un jour, on sort de l'hôpital.
01:18:12On est arrivé à Roseville.
01:18:14On est arrivé à l'hôpital.
01:18:16C'est bizarre.
01:18:17Mais j'ai confiance en nos ministres de la Santé.
01:18:20Daniel Béthieu.
01:18:22Il a beaucoup de problèmes.
01:18:24Il nous a fait souvent des visites.
01:18:26Comme je vous l'ai dit, il y a des problèmes partout.
01:18:28Mais c'est bon.
01:18:29On doit étudier.
01:18:30On est là pour trouver la meilleure solution.
01:18:32C'est clair qu'il n'y a pas de solution dans ces conditions-là.
01:18:34Non, je vous l'ai dit.
01:18:36Je vous l'ai dit.
01:18:37Je vous l'ai dit.
01:18:38C'est ce qui est arrivé.
01:18:39Mais je vous l'ai pas dit.
01:18:41Le poste de travail.
01:18:43Il n'y a pas de solution.
01:18:44Pour m'informer, ça n'a rien à faire.
01:18:46Le poste de travail.
01:18:48Il y a
01:18:50Fire Services à Tamarin.
01:18:51Le poste de travail.
01:18:53Il y a les stations Bamboo,
01:18:54les stations de police.
01:18:55Le poste de travail.
01:18:56Il n'y a rien qui peut venir.
01:18:58Mais il y a un des plus gros projets qu'ils ont fait.
01:19:00Le logement.
01:19:01C'est là que je vais vous dire une chose.
01:19:04C'est le chemin
01:19:05de la fermeture de West Coast Coastal Road.
01:19:07Mais tout le monde le sait.
01:19:09On a oublié de trouver.
01:19:10Je vous donne un autre exemple.
01:19:12Fic en flac.
01:19:13On a une seule entrée, une seule sortie.
01:19:15C'est un bypass qui peut venir.
01:19:16Il n'y a pas de solution.
01:19:17Il n'y a pas de solution dans ces conditions-là.
01:19:18Pareil, il y a une seule montée.
01:19:20Il faut s'en occuper.
01:19:21Mais tu es dégouté.
01:19:22Pareil, il n'y a pas d'aller.
01:19:24On a oublié de trouver un exit de l'autre côté.
01:19:26Et d'ailleurs, il y a un conseil
01:19:28du ministre concerné.
01:19:29Il dit 100%.
01:19:30C'est un conseil.
01:19:31Ouvrez-moi le logement.
01:19:32C'est là que je vais vous dire une chose.
01:19:36Une chose.
01:19:37Souris pour l'expression.
01:19:38Ce n'est pas un ancien ministre là-bas.
01:19:41Il a dit qu'il allait bloquer sa terre.
01:19:43Il avait quelque chose.
01:19:44C'est là que je vais vous donner un contrat après demain.
01:19:47Problème.
01:19:48Qu'est-ce qu'il a fait ?
01:19:49Premièrement, il a dit qu'il était illégal.
01:19:52Il n'a pas de contrat.
01:19:54Il n'a pas sa terre.
01:19:55Deuxièmement, il est rentré en extrême pauvreté.
01:19:59Il n'a pas de terrain.
01:20:00Il n'a pas de contrat.
01:20:01Il n'a pas de contrat.
01:20:02Il n'a pas de lumière.
01:20:03Il n'a pas d'eau.
01:20:04Il a dit qu'il allait vivre là-bas.
01:20:06Il a dit qu'il allait dormir là-bas.
01:20:08Quand il est resté là-bas,
01:20:09il est resté dans une place
01:20:10où il n'y avait pas de chemin,
01:20:11il n'y avait pas d'eau.
01:20:12Il a appelé pour une inondation.
01:20:15Nous tous humains,
01:20:16quand on voit ça,
01:20:17ce n'est pas facile.
01:20:18Mais qu'est-ce qu'il a fait ?
01:20:19Il a dit qu'il allait vivre là-bas.
01:20:21Je ne vais pas le critiquer,
01:20:22mais c'est mon pays.
01:20:23C'est mon pays.
01:20:24Il y a beaucoup de travail à faire.
01:20:25On parle d'eux-mêmes.
01:20:26Ils n'ont pas de place là-bas.
01:20:28Ça nous fait ça.
01:20:29Nous, on ne légalise pas tout.
01:20:31On trouve une place pour nous-mêmes.
01:20:33Il n'y a pas de monde qui a envie d'aller
01:20:35prendre ça,
01:20:36dire ça pour moi, ça pour moi.
01:20:38Nous, on a une loi pour tout le monde.
01:20:41On ne légalise pas tout.
01:20:43Je suis d'accord qu'on a servi
01:20:46ces instruments-là
01:20:49pour les élections.
01:20:50Mais ce n'est pas bon.
01:20:52Ce n'est pas bon.
01:20:53Quand tu rentres,
01:20:54les chars grignotent.
01:20:55Je vais te dire une chose.
01:20:56Il y a un dossier qui nous permet,
01:20:58ça je dois féliciter DPM,
01:21:00qu'on a une cause avec lui.
01:21:02Ce dossier-là, je vais te le dire,
01:21:04on était maintenant des roquettes.
01:21:06Physique, mon dernier.
01:21:0940 ans, 45 ans,
01:21:11une bonne famille.
01:21:13Je ne vais pas vous dire qui place.
01:21:15Maintenant, il y a un petit peu de travail
01:21:17pour aller là-bas.
01:21:18Ça, c'est une cause.
01:21:19Il nous fait du sel, mon fils.
01:21:22Ça, ça commence avec 4 ou 5 familles.
01:21:25Je ne vais pas te dire qui place.
01:21:27Je ne vais pas te dire
01:21:29comment c'est.
01:21:31Avant tout, il faut qu'il y ait du sel.
01:21:32Mais je peux te dire qu'on peut avancer
01:21:34très vite.
01:21:36Et on a compris partout.
01:21:38On a fait 10 élections.
01:21:40Maintenant, il n'y a plus rien à faire.
01:21:43Là, on a fait
01:21:45avec tous les stakeholders,
01:21:47les gros problèmes qu'il y a,
01:21:48on a trouvé des solutions.
01:21:51Et ça m'occupe,
01:21:53député premier ministre,
01:21:54maintenant, tout le monde te le dit,
01:21:56il y a du travail.
01:21:58Il y a du travail à faire.
01:22:00Voilà.
01:22:01Mais quand vous délivrez, on vous connaît.
01:22:03Avin Babaji, merci beaucoup d'accepter l'invitation
01:22:05en Top FM cet après-midi.
01:22:07Merci.
01:22:08Avec beaucoup de franchise,
01:22:09à toutes bonnes questions,
01:22:10avec beaucoup de sincérité.
01:22:12Je me rappelle que vous êtes le premier député
01:22:13de la circonscription numéro 14,
01:22:15à Savannes-Rivière-Noire.
01:22:17Merci d'accepter nos invitations.
01:22:19Je me rappelle, bonne auditeur,
01:22:20que ce jeudi, donc demain,
01:22:22il n'y a pas d'émission
01:22:23parce que c'est congé public.
01:22:24En même temps, nous poursuivons
01:22:25l'évolution du cyclone Garance.
01:22:27Mais il y a aussi ce jeudi,
01:22:29le 27 février 2025,
01:22:31l'événement Ne pas rater,
01:22:32suite à Top FM,
01:22:33Zoom Extra vous plonge
01:22:34au cœur de l'actualité
01:22:35avec Shaquille Mohamed,
01:22:37numéro 3 du gouvernement,
01:22:39ministre du Logement et des Terres.
01:22:40Il sera question des grands chantiers
01:22:42du gouvernement,
01:22:43de l'Alliance du changement
01:22:44et des sujets brûlants de l'actualité.
01:22:46Rendez-vous à partir de 17h30
01:22:48sur Top FM et Top TV
01:22:50avec Jasmine Sokabadou,
01:22:52Zoom Extra, l'émission qui vous donne
01:22:54les clés de l'actualité.
01:22:55Merci.
01:22:56Et on se retrouve, quant à moi,
01:22:57samedi matin pour l'événement Maurice.
01:22:59Merci.