Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 29/03/2025
Retour sur la 20e journée du Top 14 et le multiplex.

Présenté par François Trillo avec Alexandre Priam, nos consultants Yoann Huget et Philippe Spanghero, ainsi que nos deux invités :
- Thierry Maset, ex-troisième ligne du Stade Toulousain
- Brice Mach, ancien talonneur du CO et champion de France 2013.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry

———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

##AU_COEUR_DE_LA_MELEE-2025-03-29##

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Au coeur de la mêlée, retour sur cette 20e journée du top 14 avec notamment le beau
00:06succès de Clermont, le nul de Perpignan et la victoire un peu miraculeuse de Montpellier
00:11mais tellement importante. On y reviendra bien sûr avec vous aux heures 826, 300, 300 avec toute
00:17l'équipe Sud Radio. On aura nos invités 19h15 Thierry Mazet ancien 3e mine du stade Toulousain
00:2419h30 Brice Mac ancien talonneur du castre olympique aujourd'hui entraîneur de Narbonne
00:30qui sera avec nous donc pour nous projeter notamment sur ce castre Toulon qui nous rappelle
00:34aussi des affiches de finale du top 14. Toute l'équipe Sud Radio est là bien sûr et notamment
00:45Philippe Spangio. Salut Philippe. Salut Franck, bonsoir à tous. Il y a eu un nuget qui va pas tarder,
00:50un petit retard. Il était peut-être pris au point presse pour nous parler de l'escapade de
00:59lundi. Lundi, on disait que vous étiez en lune de miel. Après c'est qui je suis, c'est bataille
01:05mais finalement il y a une lune de miel entre Philippe et Johan. Philippe en forme, est-ce
01:10qu'il y a un résultat ? Tiens on peut les rappeler les résultats Alexandre peut-être de cette 20e
01:15journée qui a profité notamment au Clermont. Avec le succès effectivement de l'ASM 33-19 face à
01:23La Rochelle. Le match entre Vannes et Perpignan 20-20. Toulouse a battu Pau 55-10. Bayonne a
01:29battu Lyon au 28-14. Le succès in extremis de Montpellier face au Stade français 38-32. Voilà
01:34avec donc une belle opération pour Clermont qui réintègre le top 6 et Montpellier qui remonte
01:40avec ses 43 points dans une position un petit peu plus agréable. Mais la lutte est farouche. Est-ce
01:47qu'il y a un résultat que tu veux mettre en avant en premier toi Philippe ? Il y en a deux quasiment
01:52sur un pied d'égalité mais on reparlera je pense de Montpellier tout à l'heure. Je vais parler du
01:56résultat de Vannes sur Sapelouse parce que c'est un match très important dans la course au maintien.
02:00Vannes avait l'occasion pour la première fois de la saison et c'est psychologiquement quand même
02:04très important de ne plus être à cette dernière place, à cette 14e place. Ils ont tenu le match
02:09jusqu'à la 77e avec beaucoup de caractère collectif avec des Perpignanais qui ont manqué
02:16beaucoup de réalisme sur des temps forts notamment j'ai une séquence en tête autour de la 55e-60e
02:21où les Perpignanais passent de longues minutes sur la ligne 21e sans réussir à marquer. Donc on pensait
02:27que les 21e avaient fait le plus dur et puis ils sont à 10 points d'avance à 3-4 minutes de la fin
02:31du match et les Perpignanais au caractère arrivent à revenir avec un match nul et ça permet à ces
02:36Catalans de garder cette 13e place à deux points d'avance sur Vannes et donc ça c'est un résultat
02:42important d'abord pour les Catalans sur le caractère et l'état d'esprit de ce groupe être
02:48capable d'aller chercher ce match nul et ces deux points mais du côté Vannes c'est quand même un
02:52coup dur qui va être peut-être difficile à digérer. Oui parce que tu as raison Philippe c'est vrai
02:57quand on voit les visages du président, des supporters juste après le match, ce match nul
03:04alors qu'il y a eu cet essai de Tacola à la 74e minute qui me permettait aux 21e de mener de 10
03:10points, ce match nul il sonnait un peu comme une défaite on a eu l'impression, il y avait un peu
03:14un coup de massue. Oui mais c'est clairement comme ça qu'ils doivent le vivre d'abord parce que ça
03:18fait des semaines qu'ils ont ce match en ligne de mire, on a vu les 21e capables d'aller faire des
03:23coups, aller chercher des points et donc on les a enterrés peut-être un peu vite et puis ils ont
03:27commencé à y croire à nouveau après leur succès sur la pelouse du racing et donc ils se sont dit
03:33la target c'est ce match contre Perpignan, ça va être le moment de bascule de notre saison et
03:38dans le calcul comptable ils avaient raison puisque Perpignan peinait aussi à se détacher
03:43dans ce bas de classement donc c'est clairement un match qu'ils avaient ciblé pour être un point
03:51de bascule de leur fin de saison et donc ils n'ont pas su répondre présent malheureusement et face à
03:57un concurrent direct au maintien c'est des points qui certainement coûteront cher. Tu disais le
04:02deuxième résultat qui t'avait marqué c'est celui de Montpellier face au stade français ? Oui bien
04:08sûr parce que le stade français avait besoin de réagir, ils l'ont fait de la meilleure des manières
04:14et Montpellier aussi parce que Montpellier quand même dans le scénario de match à Pau la semaine
04:19dernière avait ce match en main, l'a perdu dans les arrêts de jeu donc c'était surprenant de voir
04:23quand même cette apathie montpellierienne en début de match, très vite ils sont menés de 20 points,
04:28à un moment du match autour de la cinquantième ils ont 26 points de retard et on sent vraiment
04:34des parisiens en place collectivement notamment très fort en défense, très fort sur l'ombre donc
04:41on sent que Paris tient son match et puis petit à petit ça se délide complètement du côté du stade
04:47français et là vraiment ça c'est à noter, c'est ce caractère collectif des montpellieriens pour
04:53revenir d'aussi loin quand même, remonter 26 points de retard pour repasser devant et puis
04:58surtout dans les arrêts de jeu ils privent les parisiens d'un point de bonus défensif alors à
05:03la vue du match ils auraient mérité quand même de repartir au monde avec un point donc il se
05:07donne un peu d'air quand même dans la course au maintien les parisiens par rapport aux autres
05:11résultats mais c'est vrai qu'avec ce match ils basculaient sur une autre dynamique à regarder un
05:16peu plus vers le haut et donc ça pose quand même des questions sur cette incapacité à tenir un
05:22match quand même à 26 points d'avance sur la gestion de match ça pose quand même des questions.
05:26Effectivement avec tout ce qu'on entend on va dire en marge de la vie de ce club du stade français
05:34c'est vrai que là le scénario peut faire mal à la tête quand même Alexandre à ces parisiens
05:41qui quand même menaient 29 à 3 à la 46e minute quoi. Non mais là c'est un retournement de situation
05:49rare quand même dans le rugby professionnel. On avait vu Vannes face à l'UBB c'est un peu le même
05:56scénario mais bon c'était aussi là un peu un contraste de on va dire en termes de richesse
06:02d'effectifs entre les deux équipes il y avait un rapport de force différent. Là je pense qu'il faut
06:06quand même applaudir l'entrée du banc Montpellier 1 qui est quand même assez exceptionnel et aussi
06:13se poser les questions du délitement de cette équipe du stade français Paris c'est quand même
06:20c'est quand même un cas d'école. On est sur un cas d'école d'une équipe qui est en train de jouer
06:23son maintien qui peut avoir une victoire extrêmement importante à Montpellier et qui voit tout partir
06:30en fumée qui revient sans même un point de bonus défensif. C'est une gueule de bois monumentale
06:36que vont avoir les supporters parisiens. Je vois pas comment tu peux t'en sortir. Je sais pas s'il
06:42y a une défaite plus rageante que ça en fait François. Ce qui est assez aussi on va dire
06:47fait partie aussi de la beauté de ce championnat c'est que la semaine dernière la défaite était
06:51cruelle pour Montpellier. On pouvait dire ce qu'on dit aujourd'hui pour le stade français on pouvait
06:55le dire pour Montpellier Philippe. Défaite 40-38 à Pau sur un drop à la 85ème. 80 plus 5 minutes.
07:02Ouais bien sûr si ce n'est que dans le scénario quand même ça a été un ping-pong au score entre
07:07ces deux équipes. La semaine dernière Montpellier a jamais vraiment su tuer le match. Là les
07:12parisiens on avait vraiment l'impression qu'ils avaient tué ce match et encore une fois quand il
07:17y a 26 points d'avance on trouve pas ça illogique. On sent des parisiens complètement en maîtrise et
07:24c'est certainement la meilleure première mi-temps qu'ils font de la saison ou pas loin. Et donc en
07:29ayant autant besoin de points on se dit qu'ils vont avoir le caractère suffisant et aussi
07:35l'intelligence collective quand même de gestion de match parce que là il y a des choix de jeu à
07:39des moments quand t'as 26 points d'avance et encore une fois ils prennent pas l'eau défensivement.
07:44Ils sont restés quand même bien organisés. Je sais pas si Alex a des stats mais j'ai trouvé
07:48qu'il y a des stats. On a aussi une belle tour en studio. Il y a Quentin qui est en train de nous
07:52quitter là. Ah ouais c'est terrible. J'espère que ça va Quentin. Tu veux quoi comme stats pardon
07:57Philippe ? Dis-moi tout. Les stats défensives du stade français. Ah bon bah on va regarder ça
08:03tout de suite. Les stats défensives du stade français Paris. Je sens que toi tu veux faire
08:05du mal aux parisiens. Elles sont pas si moches que ça. Elles sont même pas si moches. Clément qui
08:12commentait le match donc qui a préparé son match. Forcément Clément. En final quand on regarde la
08:17statistique de plaquage pour moi celui qui change le match c'est Kobus Reynac. En fait le demi de
08:21mêlée remplaçant Montpellier. Dès qu'il rentre le match Montpellier remet la main sur le ballon.
08:24Paris se met à défendre mais il y a 145 plaquages. Ils sont à 145 sur 167 au plaquage les parisiens.
08:32Ce qui n'est pas minable en termes de pourcentage au plaquage. C'est quand même une bonne stat.
08:38Comment tu justifies que tu prends 26 points même plus. Ils étaient menés de 26 points donc
08:46comme il gagne de 6 points ça fait 32 points. Comment tu justifies que tu prends 32 points
08:52en même pas 32 minutes en ayant quelque part d'aussi bonnes stats défensives. C'est incompréhensible.
08:58Je le justifie parce qu'en fait tu donnes le ballon à ton adversaire. Tu commences par être de
09:03plus en plus sanctionné. Et c'est surtout dans l'intention et l'agressivité. Il y avait quelque
09:10chose que ces parisiens avaient en première période que les montpellierains ont fini par
09:15avoir en seconde. Et sincèrement la bascule se fait avec le banc. François m'en a parlé en direct
09:23en rentaine. Montpellier avait bu pendant de retard et il m'a dit qu'ils ont bonbons et qu'ils vont
09:29gagner. Et alors moi je lui ai dit que je ne les voyais pas craquer. J'avais du nez encore.
09:34J'ai parié ma maison. Au delà des statistiques qui sont assez trompeuses parce qu'il y a une
09:43mi-temps pour chaque équipe. Je pense vraiment que le momentum était pour cette équipe de Montpellier
09:49qui a déjà vécu des scénarii ou au moins des remontées qui étaient un peu moins importantes
09:54déjà cette saison à domicile. Mais là quand même ils changent la saison ce match pour les
10:00montpellierains parce que là vraiment ils peuvent regarder vers le haut. Parce que quand on regarde
10:04le classement honnêtement il y a des équipes qui se détachent un peu en haut qui sécurisent leur
10:08place dans le top 6. Mais quand on regarde le cinquième clairement avant le match de Castres
10:12mais peu importe quelque part. Quand on regarde du cinquième clairement au neuvième haut ça se joue
10:18à deux points et Montpellier s'est mis dans ce wagon là. Ils sont à 43 points, huitième à un point du
10:25cinquième clairement. Leur dynamique de fin de saison avec ce résultat elle change complètement.
10:31Ils regardent vers le haut, ils regardent vers le top 6 alors qu'ils avaient annoncé en début de
10:35saison que c'était une saison de reconstruction après la saison compliquée de l'année dernière.
10:39Et donc c'était une opération maintien. Donc quelque part c'est quand même super positif pour le stade montpellierain.
10:45Et on notera que le stade français Paris reste donc la pire équipe à l'extérieur avec zéro
10:50succès et un seul point de bonus défensif cette année. Un seul point acquis en dix matchs à
10:57l'extérieur pour le club parisien. Et Alexandre, le stade français Paris qui ne jouera pas les
11:01deux prochains week-ends puisque éliminé de la Champions Cup en face de Paule.
11:05Ils vont s'entraîner, ils vont essayer d'oublier ce match mais c'est vrai que le retour depuis Montpellier en train
11:12sans doute jusqu'à Paris va être long après ce scénario. En tout cas on va continuer à débriefer
11:20cette vingtième journée après le multi bien sûr. On va revenir sur le succès fleuve, le succès
11:25majuscule du stade toulousain qui a réintégré ses internationaux. On va en parler avec un des
11:30grands anciens de la maison toulousaine, c'est Thierry Mazet qui sera avec nous dans quelques
11:33instants sur Sud Radio. Restez avec nous. Au coeur de la mêlée avec vous les auditeurs Sud Radio, les
11:38passionnés de rugby, toute l'équipe Sud Radio est là. Philippe Semangoro bien sûr, Yoann UG est là.
11:43Bonsoir Yoann. Bonsoir messieurs. Merci d'être avec nous bien sûr. On reviendra bien sûr avec toi sur
11:50cette journée mais on accueille dans notre standard, sur notre antenne Thierry Mazet, ancien de
11:57troisième ligne du stade toulousain dans les années 80, trois fois champion de France, toujours un
12:01plaisir de t'avoir Thierry avec nous en direct. Salut. Bonsoir, bonsoir à tous. Merci d'être avec nous.
12:09Tu as sans doute vécu j'imagine au stade peut-être Thierry, ce succès de Toulouse face à Apo, 55 à 10,
12:178-1. On a l'impression que ce n'est pas la même division quand on voit ce match. Ce n'est pas la
12:23même division surtout quand le banc est rentré en seconde mi-temps. Je crois que ça fait véritablement
12:28la différence. Ils se sont accrochés quand même les palois durant 20 minutes, 30 minutes même si
12:34les Toulousains portaient le ballon mais ça ne concrétisait pas. L'apport du banc en seconde
12:40mi-temps a été fondamental et effectivement au bout il y a beaucoup d'écart. Il y a beaucoup d'écart
12:48avec des joueurs qui surnagent. Yoann, Ange Capozzo en ce moment il est quand même sur un nuage.
12:54Oui il est en feu François. Comme tu dis, c'est un joueur qui est en confiance. Il a réalisé un très
13:00bon tournoi et il confirme aujourd'hui avec la confiance du stade Toulousain et le rôle
13:06aussi qu'il prend dans l'équipe avec la blessure d'Antoine. Il sent qu'il prend de plus d'importance
13:12au sein de l'effectif. Thierry, cette équipe-là, il y a quand même un débat. Je suis content
13:18parce qu'il y a Yoann qui était là. Est-ce que là on assiste à la plus grande génération du stade
13:23Toulousain ? J'y vais franco là Thierry. Je pense que ça fait partie d'une grande génération et c'est
13:32un petit peu le lien de motivation que je sais Hugo Moula insuffle aux joueurs en disant bon
13:41c'est bien ce que vous avez fait mais il y a des joueurs qui par exemple dans les années 90 ont
13:45gagné quatre fois le titre de champion de France donc vous n'êtes pas là encore donc c'est souvent
13:52un moyen de motiver les joueurs. C'est vrai que cette génération-là est assez fantastique et je
14:03pense que ça va rentrer dans les grandes générations mais dans la lignée du stade Toulousain
14:07tout simplement et ça c'est déjà très bien. Tu en fais partie de cette génération, tu as fait le
14:14lien entre deux générations Yoann mais quand même là on a l'impression quand elle met 55
14:20points à Pau, c'est quand même une bonne équipe aujourd'hui. On a l'impression qu'ils sont vraiment au dessus.
14:24Non mais là ils sont passés à la coupe d'Europe déjà donc on sent une équipe qui va, on a l'air
14:30peur, qui manque de lien après le tournoi et finalement ils ont montré à tout le monde que
14:36le collectif était plus fort que tout. Est-ce que c'est la meilleure génération aujourd'hui ?
14:42Bien entendu, on ne peut pas comparer les époques mais ce qu'ils arrivent à réaliser avec l'intensité
14:48des championnats, coupe d'Europe, des matchs internationaux, remporter tout ce qu'ils ont
14:53remporté à ce moment-là avant d'arriver à leur âge on va dire un peu en maturité parce que la
15:01plupart ils ont tous à peu près moins de 30 ans donc ils ont encore 5-6 ans devant eux et on va
15:06voir de bonnes choses encore dans ce groupe. Petite question à Philippe Smanghero quand même sur ce débat des
15:11générations, pour toi il ne va pas y avoir photo si jamais par exemple cette équipe remportait un
15:17nouveau Brenus ? Comme le disait Johan, il y a encore des années pour parler de cette génération parce
15:25qu'ils sont pour certains pas encore arrivés à maturité pour moi la vraie différence et ce qui
15:30est difficile en comparaison c'est cette profondeur dans la génération que le stade toulousain a peut-être
15:36jamais eu même s'il y a eu de la formation etc et donc ce qui est exceptionnel c'est cette capacité
15:41à gérer les saisons parce que malgré tout ce qu'arrive à faire cette génération et qu'a toujours
15:45eu du mal à faire le stade avant c'est la gestion des périodes internationales où ils arrivaient à
15:51cravacher en fin de saison mais ils y laissaient aussi de l'énergie parce qu'il fallait que les
15:55joueurs majeurs jouent tous les matchs. Aujourd'hui ce qu'arrive à faire le stade en termes de gestion
16:00d'effectifs pour appréhender les fins de saison et les phases finales en Champions Cup et en
16:04Championnat, ça pour moi le stade toulousain a jamais eu le luxe de le faire. Thierry Mazet tu as
16:10connu on va dire la génération 80 les trois titres 85 86 89 en 89 pour les ceux qui ont des
16:18cheveux blancs comme moi on se souvient quand même que pour la culture rugby de Yoann c'était
16:24contre Toulon. Mais Thierry c'est vrai que le staff avait instauré et insufflé du 109 je pense à Hugues
16:32Murin, à Jérôme Cazalbou notamment. David Berti. Est-ce qu'on pourrait imaginer par exemple qu'un
16:40Thomas Lacombe qu'on a vu aujourd'hui quand même assez étincelant le jeune talonneur vienne un peu
16:44brouiller les pistes dans les 23 est-ce qu'il donnerait mal à la tête à Hugo Mollard ? Oui
16:53tout à fait il s'inscrit totalement dans une dynamique et puis c'est les plus forts qui jouent.
16:58Rappelez-vous l'an dernier quand même que Paul Coste joue la finale de la coupe d'Europe. Quel
17:04entraîneur en France aurait mis un jeune de 20 ans dans une finale de coupe d'Europe ? Tous les
17:13entraîneurs de France auraient dit bon on va sécuriser on va mettre et il y avait des gens
17:19majeurs des chocobares qui pouvaient jouer en tant que titulaire. C'est Paul Coste qui a joué
17:24l'an dernier c'est à dire que c'est les plus forts du moment qui doivent jouer. Je pense que
17:29si Thomas Lacombe souhaitait être le meilleur c'est lui qui doit jouer bien sûr. Il n'y a pas de
17:36souci avec ça donc c'est bien ça et c'est bien qu'il y ait du renouvellement comme ça et des jeunes
17:44qui ont envie de pousser un petit peu les plus anciens même s'ils ne sont pas très très vieux.
17:49Philippe, Yohann, vous pensez qu'il peut y avoir débat notamment à ce poste là où il y a quand
17:55même deux clients qui sont normalement sur la feuille de match ? Il n'y aura pas de débat sur
18:01les matchs importants les deux joueurs. Là la priorité c'est de savoir qui va démarrer c'est
18:06Peato ou Julien mais pour l'instant il a l'impression d'emprunter sage on va dire et il
18:12apprend plutôt très bien le garçon en peu de temps mais il faut encore du temps pour vraiment
18:17être parmi le collectif du stade. Alexandre avec Thierry Mazet ancien de 3e ligne du Stade
18:26Toulousain qui est avec nous en direct sur Sud Radio, Alexandre Priam. Oui Thierry, ça fait
18:31plaisir de t'avoir sur Sud Radio. Est-ce que cette équipe du Stade Toulousain devra peut-être gérer
18:40un petit peu son avance conséquente au classement sur les dernières journées parce que tout à l'heure
18:45on se posait la question, tiens Perpignan qui recevra Toulouse, est-ce qu'on peut imaginer que
18:49malgré la largeur de l'effectif il faudrait peut-être faire tourner un peu en fin de saison
18:54pour arriver plus frais sur la phase finale ? Il faut toujours tourner, quand on a le moyen de gérer
19:02l'effectif c'est toujours bien de le faire. Maintenant il faut s'habituer aussi à gagner
19:10et donc c'est quand même important d'avoir aussi des joueurs majeurs mais avec la profondeur du
19:18banc qu'il y a aujourd'hui, je ne vois pas comment ils pourraient être embêtés effectivement sur les
19:26derniers matchs et non pas lâcher des matchs mais faire reposer 2-3 joueurs comme ça, pourquoi pas.
19:35Oui ça veut dire une petite gestion qu'ils pourraient gérer. Mais c'est intéressant ce que
19:43disait Johan, on arrive en période Champions Cup, Coupe d'Europe et là ça switch, ça bascule dans
19:51la tête de ces compétiteurs là Johan. Bien sûr c'est exactement ça, on l'a vu, ils auraient pu
19:59s'arrêter, faire tourner, je pensais qu'il allait faire sortir Paul Graauw un peu plus tôt mais il
20:04l'a laissé sur le terrain. Je pense qu'il voulait marquer les esprits avant de basculer sur la Coupe
20:09d'Europe et on voit les joueurs déterminés à jouer de nouveau, à jouer en avançant, à garder le
20:13ballon. Cette équipe là a très peu joué au pied aujourd'hui donc ils sont vraiment passés dans un
20:18mode Coupe d'Europe et à chaque fois ce dernier match de top 14 est un tremplin pour aller vers
20:25la Coupe d'Europe. Voilà les huitièmes de Champions Cup. Tiens Thierry, dernière petite
20:31question sur ça, Toulouse face à Seille, dimanche, on le vivra bien sûr sur Sud Radio, dimanche 6 avril,
20:3616h, ça va être une belle partie de plaisir encore ? C'est toujours des matchs compliqués
20:47contre les nations, mais Johan pourrait bien en parler comme moi, mais des nations étrangères
20:53il y a toujours une autre façon d'aborder les matchs. Je pense que le Stade Toulousain va gagner
21:00assez facilement, mais dans un match sérieux, je ne vais pas être inquiété par l'équipe de Seille.
21:10Voilà et en tout cas ce Stade Toulousain qu'on a vu aujourd'hui, on l'a senti plutôt serein et
21:16plutôt en forme. Merci Thierry Mazet d'avoir été avec nous sur l'antenne de Sud Radio Ancien 3e ligne.
21:21Thierry qui dispensait de sacrés plaquages et qui aurait mérité beaucoup plus de sélections
21:31qu'il n'a pas eues. C'est dit, mais ça faisait partie du rugby d'avant.
21:39Merci Thierry d'avoir été avec nous, à très vite sur l'antenne de Sud Radio. Dans un instant on va
21:44se projeter sur le match du soir Castre-Toulon avec Johan, avec Philippe bien sûr, avec notre
21:50invité ce sera Brice Mac qui sera avec nous, actuel entraîneur de Narbonne, mais ancien joueur
21:54du Castre Olympique. Restez avec nous et on revient dans un instant. Au cœur de la mêlée,
22:00UNUG, Philippe Spanghero qui sont avec nous bien sûr, vous au 0826-300-300, vous êtes les bienvenus
22:05pour interagir dans le débat bien évidemment. La team Sud Radio est là, Alexandre Priam,
22:10Quentin Cabanisse, Clément Combe, toute l'équipe, Quentin Fredon également. Bref on est tous réunis
22:15pour notamment accueillir Brice Mac qui est avec nous, ancien talonneur du Castre Olympique,
22:21actuel entraîneur de Narbonne et ancien international. D'ailleurs je crois que ça s'est
22:25passé avec Johan. Bonsoir Brice. Bonsoir, bonsoir Alexandre. Merci d'être avec nous en direct sur
22:35Sud Radio. D'abord on va te faire réagir bien sûr sur l'actualité top 14, mais quand même un petit
22:43mot sur Narbonne. Narbonne en national, le troisième échelon professionnel et qui est
22:48allé l'emporter hier à Bourg-en-Bresse. C'est ça, effectivement. Bon cru pour Narbonne, deuxième je
22:54crois de national. Exactement, deuxième, on a gagné avec le point bonus offensive à Bourg,
23:01c'était vraiment une belle performance de la part de nos joueurs. Voilà, il fallait cette petite
23:06victoire à l'extérieur avant de recevoir Carcassonne je crois. Le derby Carcassonne,
23:12c'est ça. L'objectif de Narbonne ? L'objectif de Narbonne, je pense qu'on peut plus se le cacher,
23:19en faisant le final et l'accès au match la saison dernière, l'équipe dirigeante nous a
23:24clairement fait passer le message en disant qu'il fallait faire mieux que l'année dernière. Donc
23:28je pense que c'est très clair pour tout le monde. Voilà, nous l'objectif c'est de se qualifier et
23:35tout le monde sait très bien qu'à partir du moment où tu es qualifié, tout est possible. Donc
23:39on ne se pose pas de questions et on va se qualifier pour chercher à aller le plus loin
23:43possible, évidemment. Brice, ça t'éclate ce métier d'entraîneur ? Oui, c'est sûr. Tu le dis
23:50très bien, c'est notre métier. Même si c'est dans le même milieu, ça n'a totalement rien à
23:56voir et le plus dur c'est de pouvoir gérer ses émotions. C'est le plus dur. Oui, tu as parfois
24:02envie de rentrer. Le talonneur bouillant que tu étais a du mal à rester collé à son banc.
24:08Oui, c'est ça. Du coup, je m'extirpe un peu, je me mets dans les tribunes pour me sortir un peu
24:14de tout ça. Mais oui, l'envie de rentrer sur le terrain est toujours présente, bien évidemment.
24:19Johan, Brice ? Moi, je n'ai plus l'envie. C'est vrai que vous n'êtes pas tous sur la même longueur
24:34d'onde sur le fait d'entraîner. Toi, tu as tout de suite enchaîné Brice ? J'ai tout de suite
24:40enchaîné chez les jeunes. Je voulais vraiment commencer par la base de l'entraîneur. J'ai
24:50commencé de suite. On m'a poussé un peu au cul quand même pour être un peu plus vigueur parce
24:55que je ne savais pas trop comment arrêter ma carrière du jour au lendemain. Mon plan de carrière
25:00n'était pas fixé à ce moment-là. Il me manquait entre 3 et 5 ans. Tout n'était pas prêt. C'est
25:08vrai qu'à l'arrêt de ma carrière, on m'a bousculé un peu pour passer mes diplômes. On m'a dit au
25:13pire, si ça ne te plaît pas, tu as passé tes diplômes et puis on verra. Du coup, j'ai mis le
25:18doigt dans le grenage et j'ai du mal complètement à s'en sortir. C'est un boulot qui m'intéresse
25:25vraiment.
25:25Bon, Philippe Spanguero avec nous. Peut-être une question ou un message à Brice.
25:32Ce n'est pas dans le grenage qu'il a mis le doigt, Philippe.
25:34Tu peux préciser, Johan, s'il te plaît.
25:38Non, là franchement, il a craqué complet. Il y a un truc de fou. Le mec est malade.
25:47Brice, je ne sais pas quel effet tu lui fais, mais franchement, c'est la plus belle qu'il ait
25:54faite depuis qu'on travaille ensemble. A 19h37. Magnifique.
25:59On se connaît un peu avec lui, c'est pour ça.
26:02Oui, on a des bons souvenirs communs d'abord, parce que vous vous êtes affronté à un jeune.
26:08Alors, j'ai deux questions. Une un peu ludique, c'est est-ce que pour toi,
26:12le catalan pur souche, ça n'a pas été difficile quand même un peu psychologiquement d'aller chez
26:17les gamaches? Ça a été un gros travail sur moi-même, mais c'est quelque chose que j'assume.
26:24Mais oui, c'est jamais quelque chose d'évident à prendre. Alors qu'on est dans le catalan pur
26:32souche. Ça, ça existe toujours. Ça existe toujours. Ouais, mais je pense que c'est important
26:37que ça existe. Et c'est là où les valeurs sont d'autant plus importantes. Par contre,
26:45là où ça m'a fait grandir, c'est que je me rends compte qu'en fait, les discours sont les mêmes.
26:51Elles sont portées par d'autres personnes. Donc c'est ça qui est intéressant et qui est drôle.
26:55On a les mêmes discours parce qu'on fait partie du porteur méditerranéen. On a les mêmes paroles,
27:00mais c'est dit par d'autres personnes et dans notre cas. C'est rigolo et j'aime ça. Ça me plaît.
27:06Ça me plaît fortement. Deuxième question, Philippe.
27:09Deuxième question plus sérieuse, puisqu'on parle quand même de l'avant-match du C.O.
27:14C'est là où tu as fait la plus grosse partie de ta carrière, où tu as eu, je pense, une partie
27:18des plus beaux souvenirs sportifs. Qu'est-ce qui fait pour toi la particularité de ce club qui
27:23quand même reste collé à ce qui se fait de mieux dans le rugby français en termes de régularité
27:28dans le top six, etc. depuis presque maintenant une quinzaine d'années, avec des moyens qui sont
27:32malgré tout assez limités parce qu'on a tendance à croire que parce qu'il y a les labos Pierre-Fabre
27:37derrière, c'est un club riche et ce n'est pas forcément le cas, notamment sur masse salariale.
27:42Comment t'expliques cette récurrence dans la performance, toi qui as vécu de l'intérieur ?
27:45Bien sûr. Je crois qu'on peut bien résumer l'Olympique dans ce championnat professionnel.
27:53Pourquoi et comment ils arrivent à rester à ce niveau-là ? Je pense que,
27:59si tu dois m'appuyer sur mon extérieur, quand tu arrives au C.O. tu joues pour les mêmes choses
28:09pour lesquelles tu as commencé le rugby. Bien évidemment, il y a le professionnalisme,
28:14c'est une évidence. Mais une fois que l'entraînement est fini, c'est difficile de se laisser perturber
28:20comme dans les grandes villes. Là, vite vite, tu te ressers entre joueurs et t'es à 5-10 minutes,
28:28c'est aller boire un café avec un joueur. Quand c'est fini, tu vas boire un autre café,
28:32tu vas boire un coup avec un autre, tu vas faire des boutiques. Il y a vraiment ce côté petite ville
28:42qui centralise un peu les événements sociaux au sein de l'équipe.
28:47Brice, on sait que tu as arrêté ta carrière de façon assez abrupte pour un problème au cervical.
28:56Tu as aujourd'hui 38 ans, si je ne me trompe pas. Quand on imagine que demain, Manonou, 42 ans,
29:05va faire un match de top 14. Il est remplaçant, mais il va faire un match de top 14. Qu'est-ce qu'on se dit ?
29:10Je dirais que je n'aimerais pas être à sa place en milieu du match. Il y en a des joueurs de 40 ans qui jouent encore.
29:24Ce sont des joueurs en normes. Physiquement, il y a un petit truc en plus. En termes de professionnalisme,
29:31peut-être. Je ne connais pas trop la personne. Mais physiquement, ce sont des joueurs en normes.
29:3842 ans, il va pouvoir remettre les accélérations comme il est capable de faire.
29:44On va voir. On va voir comment il va réagir. Je ne me fais pas de soucis sur la qualité et le talent de Manonou.
29:5542 ans, pouvoir réenclencher une carrière professionnelle, c'est incroyable.
30:02Yohan, sur ce point, 42 ans, le retour de Manonou, ça t'inspire quoi ? Forcément, s'il le fait, il est sûr de son état de forme.
30:12Bien sûr. Il est sûr de son état de forme. Il est sûr de lui. Il a passé une palette de tests physiques avec Pierre Mignogny.
30:21Après, il sort de la transmission. On le voit, il va faire des bouts de match. Mais à ce stade-là, c'est déjà beau.
30:27Ça te tente ?
30:29Pas du tout.
30:31Je suis très bien avec vous.
30:33D'accord.
30:35Après, il n'a pas le temps.
30:37Il essaie de se venger de tout à l'heure.
30:41Il prépare des semis, des marathons, des tournois de qualif' de paddle. Il est plus affûté que Manonou.
30:50Qu'est-ce que tu fais, Brice ?
30:52Vas-y, tu voulais répondre peut-être, Yohan.
30:54Non, j'ai rien à dire.
30:56Tu confirmes que tu es affûté.
30:58Je m'entretiens.
31:00Il s'entretient. Quel bel homme.
31:02Brice, justement, toi, tu t'entretiens comment quand on est entraîneur ?
31:07C'est tous les jours ton job avec le RCN à Narbonne ?
31:12Oui, c'est tous les jours.
31:14Comment je m'entretiens ?
31:16J'entraîne, tout simplement.
31:18C'est différent.
31:20C'est énormément d'heures passées sur l'analyse et sur le triage des informations à retranscrire aux joueurs.
31:32Quand je peux, j'essaie de faire un peu de sport, mais je dois t'avouer que, comme encore, je n'ai pas totalement d'accord avec ces propos-là.
31:40D'accord.
31:42Castre-Toulon, si je te dis ça, ça te rappelle forcément des bons souvenirs ?
31:46Oui, ça me rappelle deux ou trois trucs.
31:48Deux ou trois vignettes.
31:50Laquelle, la première ?
31:52La première ?
31:55La première, fin de match, coup de cypher final, victoire de Castre-Toulon, clairement.
32:052013, c'était au Stade de France.
32:09C'est vrai que c'est un sommet.
32:11C'est le plus beau moment que tu as vécu avec le CO ?
32:17C'est toujours difficile de dire que c'est le plus beau moment.
32:21Ce qui est évident, c'est que ça en fait partie.
32:23Toucher le Graal, Johan est témoin.
32:27Il peut en parler, je pense, plus que moi.
32:29Mais clairement, oui.
32:31Nous, la particularité de ce titre, c'est que dans les médias, je ne sais pas si on a beaucoup parlé de nous.
32:39On parlait beaucoup de la super équipe qu'il y avait tout le monde à juste titre.
32:45Parce que sur le papier, ils avaient les meilleurs joueurs du monde.
32:49Et on a créé un peu cette surprise.
32:51Et cette surprise, elle régale d'autant plus ce titre.
32:57Oui, c'est vrai qu'on imagine que c'est un grand souvenir.
33:01Moi, je pensais que tu allais me dire que le meilleur moment, c'était quand tu battais Toulouse.
33:05Je t'ai dit qu'il y avait plusieurs moments.
33:07En Toulouse, j'étais parti.
33:09Johan, une réaction peut-être ?
33:11On ne relèvera pas parce que c'est tellement rare.
33:15Du coup, je comprends ses émotions.
33:19C'est un bon moment.
33:21Effectivement.
33:23Brice, on va te remercier.
33:25Peut-être un dernier mot ?
33:27Philippe, Alex, avant de saluer Brice, si vous voulez.
33:31Mais Johan, peut-être ?
33:33Juste qu'on a hâte de voir Narbonne peut-être de retour en pro D2.
33:37C'est vraiment quelque chose qu'on attend, ce public, le parc des sports de l'amitié.
33:41Tu lui mets encore plus de pression.
33:43Déjà qu'elle a la pression du président.
33:45Un petit peu de pression, oui. Je suis désolé.
33:48Brice, sur ta carrière perso d'entraîneur,
33:52le but, j'imagine, t'es un compétiteur.
33:54Le but, c'est d'entraîner en top 14 ?
33:58Le but, c'est d'entraîner au meilleur niveau
34:02que celui que je mérite le mieux, clairement.
34:04C'est ça, Narbonne.
34:08C'est un projet qui est très bien,
34:10qui s'inspire sur la durée, sur la longueur.
34:14Ce sont des projets toujours plaisants.
34:17Après, comme tu l'as dit, on est toujours compétiteurs.
34:19Et puis après, on vit au jour le jour.
34:21On verra ce qui se passe.
34:23En tout cas, c'était un plaisir de t'avoir avec nous, Brice.
34:27Brice Mack, ancien talonneur du Castrol'Olympique Internationale, bien sûr.
34:31Champion de France en 2013, c'était contre Toulon.
34:35Deuxième finale en 2014, cette fois-ci perdu,
34:39si je me souviens bien.
34:41En tout cas, talonneur qui a marqué la décennie
34:45avec le Castrol'Olympique.
34:47Merci, Brice, d'avoir été avec nous en direct sur Sud Radio.
34:50On se retrouve dans un instant sur Sud Radio
34:52pour la suite de Coeur de la Mêlée.

Recommandations