"Il y a des énergumènes qui ont voulu nous saboter le spectacle" a lancé Enrico Macias aux 4.000 personnes qui étaient dans la salle du Dôme de Paris ce week-end, "mais moi je m’en fous. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, même me jeter une bombe, j’aurais peur pour vous mais je n’ai pas peur pour moi. Malgré tout ça, je garde toujours l’espoir et l’espérance que la barbarie s’amenuise."
"Cette attaque m’a beaucoup touché, réagit Enrico Macias, contacté par téléphone ce dimanche auprès de nos confrères du Parisien, ajoutant : "Je n’ai pas compris toute de suite ce qui se passait. Je n’ai pas peur. Il ne faut pas avoir peur. Je ne minimise pas le danger. Mais je ne suis pas un dégonflé."
En fait, selon les premières constations, deux personnes ont jetés au sol des produits dans la salle qui ont soudain dégagé une très forte odeur nauséabondes qui a provoqué le départ de plusieurs personnes. Les deux individus, qui seraient en fait des femmes ont pris la fuite dès qu'elles ont commis leur forfait et non pas pu être interpellées.
Une enquête est ouverte pour « entrave concertée et avec menace à l’exercice de la liberté de création artistique » précise ce dimanche soir le parquet de Paris.
"Cette attaque m’a beaucoup touché, réagit Enrico Macias, contacté par téléphone ce dimanche auprès de nos confrères du Parisien, ajoutant : "Je n’ai pas compris toute de suite ce qui se passait. Je n’ai pas peur. Il ne faut pas avoir peur. Je ne minimise pas le danger. Mais je ne suis pas un dégonflé."
En fait, selon les premières constations, deux personnes ont jetés au sol des produits dans la salle qui ont soudain dégagé une très forte odeur nauséabondes qui a provoqué le départ de plusieurs personnes. Les deux individus, qui seraient en fait des femmes ont pris la fuite dès qu'elles ont commis leur forfait et non pas pu être interpellées.
Une enquête est ouverte pour « entrave concertée et avec menace à l’exercice de la liberté de création artistique » précise ce dimanche soir le parquet de Paris.
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00:00Il y avait des énergumènes qui ont voulu nous saboter le spectacle.
00:14Mais moi je m'en fous, ils peuvent faire ce qu'ils veulent, même me jeter une balle.
00:22Heureusement que c'était que des boules puantes.
00:25Heureusement.
00:27J'aurais peur pour vous, mais j'ai pas peur pour moi.
00:33Ce que je voudrais vous dire, c'est que malgré tout ça, je garde toujours l'espoir et l'espérance que la barbarie s'amenuise.