Marche de la honte dans plusieurs villes de France cet après-midi, attisant la haine contre les policiers les accusant d'être "raciste, fasciste" et de tuer, le tout à l'initiative de l'extrême gauche. Selon le Syndicat majoritaire des Cadres de la Sécurité Intérieure, Officiers et Commissaires de Police c'est une banderole scandaleuse qui a été déployée par les organisateurs d'extrême gauche accusant tous les policiers.
Le syndicat écrit ainsi sur son compte twitter :
"Gardiens de la paix - Raciste Fasciste" : banderole déployée lors de la "marche contre les violences d'État, policières [...] et le racisme systémique".
Au même moment, la marche annuelle contre les violences policières et le racisme systémique, organisée à Bordeaux par le CLAP 33 se voulait transpartisane et illustratrice d’une convergence des luttes. Ce samedi 15 mars, une petite centaine de personnes a répondu à l’appel relayé par une demi-douzaine d’associations.
Parmi elles, deux nouvelles venues : Le Collectif des mutilés pour l’exemple et celui réclamant Justice pour Alhoussein, ce jeune Angoumoisin tué lors d’un contrôle de police en juin 2023.
A Toulouse, ils étaient également un millier environ à défiler en hurlant que la police tue et la police assassine selon le slogan qui était le thème principal de la marche.
A noter qu'à Bruxelles, environ 1500 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté ce samedi à Bruxelles à l’occasion de la Journée internationale contre les violences et répressions policières. De la place du Luxembourg à la place du Congrès, elles ont marché pour un changement structurel au sein de la police belge, afin que "plus aucune personne ne meure au contact de la police".
Le syndicat écrit ainsi sur son compte twitter :
"Gardiens de la paix - Raciste Fasciste" : banderole déployée lors de la "marche contre les violences d'État, policières [...] et le racisme systémique".
Au même moment, la marche annuelle contre les violences policières et le racisme systémique, organisée à Bordeaux par le CLAP 33 se voulait transpartisane et illustratrice d’une convergence des luttes. Ce samedi 15 mars, une petite centaine de personnes a répondu à l’appel relayé par une demi-douzaine d’associations.
Parmi elles, deux nouvelles venues : Le Collectif des mutilés pour l’exemple et celui réclamant Justice pour Alhoussein, ce jeune Angoumoisin tué lors d’un contrôle de police en juin 2023.
A Toulouse, ils étaient également un millier environ à défiler en hurlant que la police tue et la police assassine selon le slogan qui était le thème principal de la marche.
A noter qu'à Bruxelles, environ 1500 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté ce samedi à Bruxelles à l’occasion de la Journée internationale contre les violences et répressions policières. De la place du Luxembourg à la place du Congrès, elles ont marché pour un changement structurel au sein de la police belge, afin que "plus aucune personne ne meure au contact de la police".
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00:00C'est pas moi qui l'ai fait, c'est pas moi qui l'ai fait, c'est pas moi qui l'ai fait.