Si les services IT et marketing l’accueillent en général à bras ouverts, l’IA impacte déjà l’ensemble des secteurs de l’entreprise. Mais plutôt que d’adopter la technologie à marche forcée, l’étude Trends of AI recommande d’identifier ce que l’intelligence artificielle peut apporter à chaque corps de métiers.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Le Cercle RH, notre débat pour rester dans le thème de l'IA, l'IA génératif, parce que l'IA, on en a depuis très longtemps,
00:19son impact sur les différentes fonctions de l'entreprise. On va en parler avec des experts peut-être pour rendre les choses moins effrayantes,
00:27pour démythifier, pour en parler simplement. On en parle avec Sébastien Denoual, associé Connected Tech Technologies Stratégie.
00:34Bon, on avait dit qu'on commençait simplement, ça commence mal. Et Transformation chez KPMG, merci d'être là. KPMG France.
00:41Et puis Étienne Lecoeur, cofondateur de Les Enthousiastes, une think tank de réflexion, avec une étude partagée entre KPMG et Les Enthousiastes,
00:50avec ce petit fascicule, Trends of AI, édition 2025, dans lequel vous allez retrouver tous les documents, et puis on retrouve évidemment l'étude
00:59sur les sites respectifs de chacun, pour y voir plus clair. Juste un mot, Les Enthousiastes, associé à KPMG, qui est une marque connue du monde dans le conseil,
01:07mais Les Enthousiastes, c'est quoi ? C'est pour rendre les choses un peu moins effrayantes ?
01:11Oui c'est ça, on a pris le parti effectivement avec ce collectif, vous l'avez dit Arnaud, des Enthousiastes, on a pris le parti d'adresser le sujet par le côté positif.
01:21Pourquoi ? Parce que finalement, cette technologie, elle est là, on ne peut pas faire sans, elle va être de plus en plus présente dans nos quotidiens, professionnels, personnels,
01:31et donc on s'est dit que si on adressait le sujet de manière très pragmatique, et on va y revenir, et relativement objective, on pouvait finalement trouver des motifs de satisfaction,
01:40et c'est d'ailleurs ce que commencent à démontrer les études que l'on mène en partenariat avec KPMG et Les Enthousiastes.
01:46Oui, qui ont des chiffres, qui ont des datas.
01:48C'est ça, dont Trends of AI que vous avez cité. Alors Trends of AI, concrètement c'est quoi ? C'est donc un produit Les Enthousiastes KPMG.
01:55Je vous le montre.
01:56C'est ça, disponible en ligne et en version papier. C'est une étude en fait qui adresse, qui explore l'impact de l'IA en entreprise sur 4 fonctions principales.
02:05Marketing, finance, IT, finance, RH.
02:08C'est ça.
02:09Et j'en oublie un ?
02:10Non, ce sont les 4.
02:11On a les 4. Pour rester dans notre sujet, parce que nous on fait de l'emploi, on a beaucoup de RH qui en parlent beaucoup.
02:16Elles le font ou pas ? Parce qu'on comprend que dans les pré-califs de recrutement, là c'est un outil qui est vachement intéressant.
02:24Après, elles hésitent un peu. Je me trompe ou pas côté KPMG sur l'analyse des datas ?
02:29Alors, effectivement.
02:30Elles trempent un doigt de pied mais pas plus.
02:32Alors, c'est l'une des fonctions qui est la plus prudente, puisqu'elles ont des vrais enjeux aussi de gérer une donnée très sensible.
02:40Les CV ?
02:41Les CV, les choses comme ça. Si on prend le processus du recrutement, dans le cas de l'AI Hack, c'est quand même l'un des processus qui est jugé les plus sensibles.
02:50Et il y a eu un certain nombre d'annonces, même Amazon disait qu'il y avait eu un certain nombre de biais.
02:55L'autre cas d'usage, c'est par rapport à tout ce qui est l'administration du personnel, par rapport à la génération de contrats, de choses comme ça.
03:01On peut aussi envisager…
03:03Ça, ça se développe beaucoup, j'ai le sentiment.
03:04Oui, ça se développe assez vite.
03:07Après, ça peut être aussi un peu le chatbot que vous allez pour donner un certain nombre de réponses à un certain nombre de questions assez génériques sur une politique.
03:16Vous dites qu'il n'y a peut-être pas autant d'innovation que ça, parce que c'est assez classique.
03:19C'est un processus industriel de mise en place informatique, j'allais dire.
03:22Côté marketing, j'ai vu que là, marketing, là ça booste.
03:27Côté marketing, vous avez pensé à la com, on gagne du temps, on crée du doc, c'est un peu ça.
03:31On génère du contenu, on traduit du contenu, on adapte des formats visuels, on crée des visuels.
03:38Il faut savoir qu'aujourd'hui, la moitié des publicités que vous voyez dans l'espace public est générée en partie par l'IA.
03:46Ce n'est pas un mythe, c'est une réalité.
03:49C'est la fin des marketeux.
03:50En tout cas, c'est un marketeur augmenté.
03:52Le marketing est augmenté par l'IA et c'est une vraie réalité.
03:55Aujourd'hui, on voit que c'est clairement la fonction qui s'est le plus emparée de ce sujet d'un point de vue très opérationnel.
04:01Les use case, les cas d'usage qu'on liste au sein de notre étude le démontrent,
04:05puisque ces professionnels du marketing, à hauteur de 50%, l'utilisent quotidiennement, en déploiement ou en phase de test.
04:12Il faut le dire, on gagne du temps, ça crée de la productivité.
04:15Vous êtes d'accord, c'est ça l'objectif.
04:17On le vit tous, on gagne du temps et on a juste à relire pour voir s'il n'y a pas fait de bêtises.
04:22On avait l'invité précédent qui disait que la finance est plutôt à fond.
04:29Dans votre étude, celle que vous portez avec les enthousiastes des KPMG, vous êtes plus prudent que la finance.
04:34Il y a quand même de la donnée stratégique en finance.
04:36On en parle de la direction financière.
04:38C'est important de bien le dire.
04:40Il y a une ambiguïté sur le terme.
04:42Autant le secteur de la finance est probablement un des acteurs qui avance le plus.
04:46Au niveau de la direction financière, même chose.
04:49Il peut y avoir une certaine prudence par rapport à l'enjeu d'auditabilité des données.
04:54Néanmoins, il y a un certain nombre de cas d'usage qui sont mis en oeuvre.
04:58Tout ce qui est lié à la détection des anomalies et des fraudes.
05:01Nos équipes d'audit côté KPMG utilisent de plus en plus ces outils.
05:05Déjà, vous en interne ?
05:07Oui, sur la vérification des comptes qu'on fait chez nos clients.
05:09C'est quelque chose qui va se généraliser.
05:12Après, il y a un autre cas d'usage.
05:14Ce qu'on appelle l'IA conversationnel.
05:16C'est pour aider les équipes de direction financière à accéder rapidement à une multitude de documentations.
05:24Sur les normes, les standards, la réglementation.
05:26Parce qu'il peut agréger très très rapidement.
05:28Et il y a pléthore de normes.
05:30Donc ça, ça peut être une vraie aide.
05:32Après, il y a un certain nombre de cas d'usage qu'ils veulent explorer.
05:34Qui sont plus dans les prévisions de la production de données.
05:37Là, effectivement, il y a énormément d'attentes.
05:39On a fait un certain nombre d'ateliers avec les responsables financiers.
05:44Il y a eu beaucoup d'attentes.
05:46Mais force est de constater qu'aujourd'hui, le niveau d'adoption est encore assez limité.
05:49Et ça, c'est très lié aussi au fait de maîtriser la donnée qui est sous-jacente.
05:53Dans l'étude que vous portez, c'est quand même une réflexion qu'on a.
05:57Dès qu'on anime un débat.
05:59Je sais que vous animez quelques events en tech, en IA.
06:01Il y a toujours le débat de, ok, c'est intéressant, cette technologie est dingue.
06:05Mais elle nous oblige d'investir beaucoup en formation en amont.
06:08De refaire un diagnostic métier.
06:10Et à chaque fois, on vous dit, est-ce qu'il y a un ROI sur le sujet ?
06:13Qu'est-ce que vous répondez à ça ?
06:15Parce qu'il y a un peu ce sujet qui est récurrent.
06:17Comment je gagne de l'argent avec l'IA ?
06:19Pour l'instant, j'en dépense. Mais je n'en gagne pas forcément.
06:21Alors, ce qu'on voit avec l'IA.
06:23Effectivement, le ROI, il est très difficile à démontrer.
06:26C'est beaucoup plus facile de chiffrer les dépenses liées à l'IA que ses revenus directs.
06:30Ça, c'est une chose.
06:31On l'a dit tout à l'heure sur les métiers du marketing.
06:33Il y a un gain de temps.
06:34Or, on sait très bien que le temps, c'est de la ressource.
06:38Et la question, c'est comment ce temps gagné est réalloué ?
06:41Puisque les directions marketing, puisqu'on prend cet exemple-là, vont gagner en efficacité,
06:47est-ce qu'ils vont pouvoir prendre un jour de break de plus par semaine ?
06:51Ou au contraire, aller chercher plus de croissance ?
06:53On observe que c'est plutôt le deuxième cas de figure qui se profile.
06:57Ce n'est pas la société du loisir.
06:59C'est plutôt la société où on en met un peu plus pour aller chercher, créer de la valeur.
07:02Voilà.
07:03Donc, le temps gagné va permettre d'aller chercher plus de valeur.
07:06Vous êtes d'accord avec ça, KPMG ?
07:08Parce que vous portez tous les deux…
07:09Alors, effectivement…
07:10Les boîtes vous le disent.
07:11Vos clients vous le disent.
07:12Et vous le disent.
07:13Mais nous, on a envie d'y aller.
07:14Mais quand même, c'est cher.
07:15Et on n'est pas sûr d'y retomber, quoi.
07:17Alors, sur les cas d'usage qu'on a évoqués, qui sont à un bon niveau d'option,
07:21c'est-à-dire qu'il y a déjà, effectivement, des retours sur investissement.
07:25Bon, clairement, effectivement, le buzz qui a pu y avoir en disant
07:28« on va supprimer massivement des emplois »,
07:30pour l'instant, ce n'est pas au rendez-vous.
07:32Mais on est plutôt dans l'amélioration de la qualité.
07:36C'est des directions financières.
07:38C'est des directions où, quand on est en période de clôture financière,
07:41les gens font des heures.
07:42Donc, ce qu'ils voient, eux, c'est plutôt la capacité, demain,
07:45à dégager du temps pour des analyses à plus forte valeur ajoutée
07:48et s'imposer un peu plus dans un rôle de business partner
07:51qui va aider les autres directions de l'entreprise à être plus performantes.
07:56Après, il y a dans des cas où il commence à y avoir un consensus
07:59sur des gains de productivité.
08:01Si on parle du développement logiciel, par exemple, pour les équipes IT,
08:05on parle de 10, 20, voire 30 % de gains de productivité.
08:10– Avec un investissement de base au départ.
08:12– Qui est relativement limité, pour l'instant,
08:15en s'appuyant sur un certain nombre de grands publics.
08:18Et on peut penser que ça va s'améliorer
08:20avec un certain nombre de solutions qui vont arriver.
08:23Alors, évidemment, là-dessus, les chiffres que je donne
08:25peuvent donner lieu à débats.
08:26Parce qu'il y a certains cas de figure où,
08:28si ce n'est pas bien utilisé, c'est plutôt une catastrophe.
08:31– Oui, on perd plus de temps qu'on en gagne.
08:33– Il y a un enjeu dans l'adoption, d'accompagner.
08:36– Mais que vous évoquez, dans la formation des collaborateurs.
08:38Parce que ça, c'est une de vos missions.
08:40Parce que votre think tank, c'est évidemment d'apporter de la connaissance,
08:42de la donnée, mais c'est aussi de prophétiser en disant
08:45n'ayez pas peur de l'outil.
08:47Il y a un travail de pédagogie à faire dans les entreprises.
08:49C'est bien beau que les COMEX investissent,
08:51mais il faut que les salariés s'en emparent aussi.
08:54– Alors, il y a un travail, effectivement, à faire au sein de l'entreprise
08:58et de manière plus vaste au sein de la société française.
09:02– Ce qu'on fait indirectement, là, en ce moment, en fait.
09:04– Ce qu'on fait indirectement, là, et même plutôt directement, je trouve.
09:08Merci, en tout cas, de l'invitation encore à Arnaud et aux équipes de Bismarck.
09:11Mais ce que s'attache aussi très bien à faire directement,
09:14le Conseil national du numérique, par exemple,
09:16qui est porté par Gilles Babinet, comme vous le savez.
09:19– Un bel ambassadeur qui est venu sur notre plateau.
09:22– Eh bien, super.
09:24Il soutient la démarche des enthousiastes,
09:26donc on le salue, évidemment, Gilles Babinet et toute son équipe,
09:29qui, vraiment, eux, sont là pour démystifier et, je dirais,
09:33démocratiser les enjeux liés à l'IA à son adoption par le plus grand nombre.
09:37Et ça va, en fait, dans la sphère privée, dans la sphère publique, finalement.
09:40C'est une technologie à laquelle il faut qu'on s'habitue,
09:43que l'on se familiarise collectivement
09:45et ça participera de cette démystification, certainement.
09:48– On a une petite infographie qui est tirée de Trend of AI
09:51sur les RH prêtes à utiliser l'IA pour mesurer le climat social.
09:55On a trouvé ça original, parce que ça fait rêver les gouvernants,
09:58voir aussi le logiciel, je ne sais pas.
10:0050% sont plutôt favorables, oui.
10:0223% complètement.
10:0418%, ils ne savent pas trop.
10:068%, plutôt non.
10:08Et 3%, pas du tout.
10:10Moi, en voyant la question qui était posée,
10:12j'avais plutôt l'impression qu'il y avait un vent de rébellion
10:15en disant, hors de question.
10:17En fait, non, pas du tout.
10:19Globalement, 50% plus 23%, plutôt oui complètement.
10:21C'est 73% des gens qui sont d'accord.
10:23Comment vous l'expliquez ?
10:25– Big Brother is watching you.
10:27– Oui, je ne sais pas si c'est ça.
10:29En tout cas, ça conforte peut-être.
10:31– Je sais que vous n'aimez pas quand on dit ça.
10:33– Non, on n'est pas éditeurs de technologie.
10:35On observe, on est des observateurs.
10:37– Non, mais justement, c'est ça qui est intéressant.
10:39– Et en fait, ça fait un peu écho aux noms qu'on a pris,
10:41les enthousiastes.
10:43Je pense qu'on n'est pas les seuls à être enthousiastes.
10:45Et en fait, derrière ces craintes qui sont légitimes
10:47de la part des professionnels, des gens qui se posent des questions…
10:50– Qui n'existent pas dans le sondage, en tout cas.
10:52– En tout cas, les directeurs de ressources humaines,
10:54puisque c'est d'eux dont il s'agit pour cette question-là,
10:56voient plutôt le sujet comme quelque chose d'assez intéressant
10:58et voient le bénéfice final.
11:00C'est quand même des gens qui sont raisonnables,
11:02qui pensent salariés first.
11:04– Et qui n'arrivent pas à toucher dans les très grandes entreprises
11:06l'ensemble des collaborateurs.
11:08C'est ça, la réalité aussi, c'est qu'il n'y a pas de capacité.
11:10C'est un outil magique pour ça.
11:12– En fait, l'enjeu, c'est de se dire comment je peux analyser
11:14toute une série de signaux faibles.
11:16Et c'est ça qui est tentant.
11:18Après, évidemment, avant, là, c'est un intérêt.
11:20C'est vrai que c'était une question un peu provocatrice.
11:22– Non, mais elle est intéressante.
11:24– Et il y a une envie.
11:26Après, c'est évidemment comment je mets ça en œuvre
11:28par rapport à tous les enjeux de protection de données.
11:30Mais voilà, effectivement, c'est une administration
11:32qui peut y avoir un bel enthousiasme par rapport à ça.
11:34– Climat social, vous mettez le climat émotionnel,
11:36vous mettez aussi…
11:38Le climat social renvoie évidemment à la notion de syndicat,
11:40de dialogue social, mais ça peut être aussi le climat
11:42et le bien-être dans la boîte.
11:44Et une boîte de 10 000 ou de 15 000 salariés,
11:46le DRH ne les touche pas.
11:48C'est extraordinaire, à condition de le traiter.
11:50– Voilà, mais c'est clairement,
11:52c'est l'orientation qui était derrière cette idée.
11:54– Vous tous les deux sur le plateau,
11:56et vous êtes venus aussi nous en parler à travers cette étude,
11:58le message subliminal c'est quoi ?
12:00N'en ayez pas peur, vous ne perdrez pas votre emploi.
12:02Parce que ça a été le coup de massue.
12:04On nous a dit, l'IA arrive, il n'y a plus de boulot.
12:08Alors il y a quand même des métiers qui sont impactés.
12:10Au dehors des quatre secteurs que vous traitez,
12:12on voit qu'il y a les métiers, les avocats, les notaires,
12:14les journalistes, d'une certaine manière.
12:16On ne perdra pas son boulot ?
12:18– Le message subliminal,
12:20je ne suis pas en capacité de vous répondre de but en blanc,
12:22parce que je n'ai pas de boule de cristal,
12:24mais je crois que le message subliminal,
12:26c'est qu'il y a les professionnels qui s'empareront des enjeux de l'IA,
12:30et donc qui feront évoluer leur métier,
12:32leurs compétences et leurs boîtes dans le mouvement,
12:34et ceux qui seront réfractaires.
12:36Et donc ceux-là, on peut avoir un peu d'inquiétude pour eux.
12:40– Donc c'est ceux-là qui se mettent en danger ?
12:42– Oui. – C'est l'inverse de ce qu'on peut imaginer.
12:44C'est-à-dire que ceux qui ne prennent pas le train de l'IA,
12:46vous, chez KPMG, vous leur dites à vos clients, j'imagine,
12:50attention, parce que là, vous prenez des risques.
12:52– Oui, effectivement, d'être en retard par rapport à ce que propose la concurrence.
12:56Ça peut être, même quand c'est bien mis en œuvre,
13:00ça peut être une amélioration de l'expérience collaborateur.
13:02– Exactement.
13:03– Et donc si ça, vous ne le mettez pas en œuvre,
13:05évidemment, là, vous avez à terme un défi en termes de concurrence,
13:09que ce soit pour adresser vos clients, d'un point de vue performance financière.
13:12– Étienne, est-ce que vous voulez rajouter un mot ?
13:14Je l'avais tutoyé, parce qu'on est un peu confrères.
13:16– On peut se tutoyer avec joueur.
13:18Oui, je vais profiter d'être sur un plateau de télé
13:20pour vous donner une nouvelle en exclusivité.
13:22– J'adore !
13:23– C'est pour vous, c'est cadeau.
13:24Les Enthousiastes, c'est un collectif, c'est une centaine de dirigeants ETI,
13:27grands comptes sur les quatre fonctions qu'on a évoquées.
13:29– Dont une partie est en photo dans le…
13:31– Que vous retrouverez.
13:32Une bonne partie sont mises en avant, effectivement, dans notre support.
13:35Tout cela sous la houlette, j'ai envie de dire, d'une marraine,
13:38de la première édition de la première année de vie des Enthousiastes.
13:41Donc, c'était Catherine Barba, que vous avez certainement reçue
13:44sur ce plateau, entrepreneuse, investisseuse,
13:47et personnalité particulièrement enthousiaste.
13:49Et donc, j'ai le plaisir de vous annoncer que cette année,
13:52le mandat change de main.
13:55– Alors ?
13:56– Alors, ce sera Anaïs Voyguilis,
13:59qui est chercheuse et auteur de nombreux ouvrages
14:01sur les enjeux de l'industrialisation.
14:03– Une experte.
14:04– Une experte des industries, qui sera donc la marraine des Enthousiastes
14:07pour ce millésime 2025-2026.
14:09– Et bien, on a eu donc en exclusivité le nom de la marraine
14:11pour le prochain numéro.
14:13Vous reviendrez et la prochaine étude, j'imagine que KPMG continue
14:16à travailler la main dans la main avec les Enthousiastes.
14:18– On va continuer et on va étendre l'étude à d'autres fonctions.
14:21– Oui, pour élargir le plus largement possible.
14:23– Pour élargir la relation client dans le sens large.
14:25– C'est vrai qu'il n'y a pas le commercial, là.
14:27– Voilà, et donc, dans la relation client, on commencera par la vente,
14:30jusqu'à l'aspect facturation, tout ce qui est le domaine
14:34des opérations industrielles.
14:35– Bien sûr.
14:36– Et puis aussi, tout ce qui est la dimension des métiers autour du
14:39Risk and Compliance, qui font un peu partie de notre ADN,
14:42et qui sont des fonctions, aujourd'hui, qui, d'un point de vue
14:45digitalisation, ont une marge de progrès assez significative.
14:48– Trend of AI, ça c'est ce guide pratique.
14:51Les Enthousiastes et KPMG, avec cette nouvelle marraine annoncée.
14:55Merci à Étienne Lequeur, co-fondateur des Enthousiastes,
14:58et merci à vous Sébastien Denoyal, vous êtes associé chez KPMG.
15:02France, ça va beaucoup plus vite en le disant comme ça.
15:04Merci à vous deux, c'est un vrai plaisir.
15:06On tourne une page, fenêtre sur l'emploi.
15:08Notre invité, le partage de la valeur.
15:10Ça ne concerne pas que les grands groupes, on en parle tout de suite.