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Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 20/02/2025.

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Sport
Transcription
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00:16...
00:23La folie que vous avez vécue sur la chaîne L'Equipe !
00:27Nous sommes ravis de vous pouvoir vous faire vivre ces moments exceptionnels !
00:30Les fléchettes à suivre, un moment exceptionnel, ambiance de dingue, on s'est régalé encore, merci à Benoît Cossé.
00:36C'est L'Equipe du soir, bonsoir, on vous retrouve un petit peu plus tardivement que d'habitude mais on est quand même content d'être là en compagnie d'Hervé Peuneau, de Régis Testelin, d'Éric Blanc, d'Hugo Guimet et de Fred Pichonne.
00:48Bonsoir messieurs !
00:49Bonsoir !
00:50Vous êtes prêts à beaucoup parler ce soir ou pas ? Parce que l'émission est très longue !
00:53Ah bah non, on va parler vite !
00:54Non, non, non, on va parler vite !
00:55Bon, dans cette émission tout de même, on va parler des droits télé effectivement, puisqu'Hugo Guimet a réalisé une magnifique interview de John Textor.
01:03La première de l'année quand même, d'habitude c'est moins bon.
01:05Il bosse pas trop, vous trouvez ?
01:07D'habitude il est plutôt moyen.
01:09L'émission est tellement longue qu'on peut se permettre des trucs comme ça, des blagues d'Hervé.
01:12Donc voilà, on parlera aussi du Paris Saint-Germain et puis il y aura évidemment le minuit info de Léna Mounier, bonsoir Léna !
01:20Bonsoir Giovanni, bonsoir tout le monde !
01:21Vous êtes en forme ?
01:22Bah oui, j'ai un peu attendu avant la prise d'antenne, mais bon c'est pas grave, c'est un peu long.
01:26Mon scotch est tombé en meudide, donc je fais de la publicité et bah il faudra qu'on me remette un scotch, puisque là en fait, je sais pas comment faire.
01:33Je vais mettre la main, je vais mettre la main.
01:35C'est magnifique !
01:36Donc on parlera aussi de Biathlon.
01:38T'as le coeur qui bat vite, t'as la pression peut-être ?
01:40On parlera de Biathlon, puisqu'Anne-Sophie Bernadie sera présente avec nous.
01:45Encore une victoire pour l'équipe de France Relay Mix, avec une magnifique médaille d'or.
01:50Mais tout de suite, on va parler des droits télé, puisqu'on l'a appris tout à l'heure.
01:55Philippe Diallo a fixé la date de cette réunion avec tous les professionnels de la ligue de football, ça sera le lundi 3 mars.
02:04Hier, vous apprenez grâce à l'équipe les coulisses de cette réunion totalement surréaliste du 14 juillet dernier.
02:12On va découvrir avec vous Léna les déclarations fortes de cette interview de John Textor accordée au Journal de l'équipe.
02:18C'était à notre journaliste Hugo Guimet.
02:20Oui, l'interview est déjà sortie sur le site.
02:22Le titre, John Textor, tous les conflits d'intérêts doivent être divulgués.
02:26On sait qu'il faut être abonné pour la lire.
02:28Mais Hugo, vous l'avez rédigé.
02:30Est-ce que vous pouvez nous en dire un petit peu plus, Hugo, sur le contenu de cette interview ?
02:34En fait, il réagit tout simplement à une réunion à laquelle il a participé.
02:38Donc, disons qu'il n'a pas été surpris par ce qu'il a entendu dans les fuites.
02:44Mais il était assez content que ça sorte.
02:48Lui, le premier, avait dit que cette réunion s'était mal passée.
02:52Et depuis longtemps, il demandait à ce que d'autres personnes parlent.
02:56Bon, ça n'a pas été forcément le cas.
02:58Mais aujourd'hui, l'équipe, en l'occurrence, et puis un autre média, bientôt, France Télé, qui va diffuser l'intégralité de la réunion.
03:06Donc, ça, ça va plutôt arranger ses affaires et celles de Joseph Oubourian, qui sont en opposition avec Nasser El Khalafi et Vincent Labrun.
03:16Mais disons que dans le contenu, il reproche la soumission de la majorité des présidents et surtout du président de la Ligue, Vincent Labrun, à l'autorité de Nasser El Khalafi.
03:30Qui, en plus d'être le président du PSG et le président de l'InSport, qui a participé à l'appel d'offres et qui était pourtant dans cette réunion qui concernait l'appel d'offres des droits de télé.
03:39Il y a un autre président qui s'est exprimé les nazes, c'était chez le confrère de RMC, c'est Jean-Pierre Caillot.
03:45Vous avez sélectionné trois citations à retenir.
03:48La première, j'espère que Canal Plus reverra sa position.
03:51Quand Canal diffusait la Ligue 1, c'était plutôt bien.
03:54Appelez Vincent Bolloré, je pense que vous nous prenez vraiment pour des nazes.
03:58Ce sont des choses qui peuvent se faire sans que ce soit rendu public.
04:02Vous pensez qu'on reste les deux pieds dans le même sabot.
04:05Deuxième déclaration, ma relation est toujours excellente avec Vincent, je n'ai aucun problème.
04:10Si tout le monde le considérait responsable, il ne fallait pas le réélire.
04:14Vous voulez le tenir responsable de Dazen, en quoi il est responsable ?
04:17Il parle juste les nazes 30 secondes, parce qu'il y a deux Vincent qui se sont enchaînés.
04:20Là, le Vincent en question, c'est Vincent Labrun.
04:22Oui, tout à fait.
04:23Et la troisième déclaration, c'est Nasser.
04:25Elle est sur Nasser.
04:26Heureusement que Nasser Al-Raifi a fait un rapport via Bideen.
04:30Un conflit d'intérêt autour de Nasser Al-Ralafi.
04:33Il y a eu des appels d'offres précédents.
04:35Nasser faisait déjà partie du CA de la LFP.
04:38Il est systématiquement mis en recul.
04:40Là, il est choqué qu'on puisse lui en vouloir.
04:42Voilà, donc deux clans s'opposent.
04:44Très clairement, Hugo, je vois que vous riez.
04:46Mais c'est vrai que Jean-Pierre Cailliau est un soutien à Vincent Labrun.
04:49Non, mais là, ce n'est pas une question de clan, Giovanni.
04:51C'est une question de fait.
04:53On les connaît, parce qu'on a vu le contenu de la réunion.
04:58Par exemple, sur la porte de Bideen, on a vu Ben Morel,
05:02qui était le directeur général de la LFP,
05:11qui a clairement dit « attention, on a ça, on a Dazone et Bideen,
05:15mais leurs offres ne sont pas compatibles. »
05:18Et Cailliau l'oublie dans sa déclaration.
05:21C'est ça qui provoque aujourd'hui la colère de Dazone.
05:24Ce n'est pas pour forcément défendre le président Achelaifi,
05:27mais ça fait longtemps qu'il est président de Bideen Sport.
05:29Bideen n'a pas constamment remporté les droits.
05:32Et peut-être que si les présidents n'avaient pas choisi Mediapro,
05:34peut-être que le foot français n'en serait pas là aujourd'hui.
05:36Et on a connu un club dirigé aussi par une chaîne de télé française.
05:40Et tout le monde se félicitait d'avoir Canal+.
05:44Mais c'est comme, Hervé, en agitant,
05:46parce que dans la première déclaration, il agite Canal.
05:48Il faut reparler à Canal. Mais ils vont faire quoi à Canal ?
05:50Il y a un contrat jusqu'en 2029. Ils vont arriver et dire
05:53« Poussez-vous Dazone, on arrive ! »
05:55Ça, c'est n'importe quoi. Pourquoi les présidents, c'est des dirigeants ?
05:58C'est des dirigeants. Pourquoi ils disent ça ?
06:01C'est irresponsable.
06:03Ça n'a aucun sens. Et il faudrait peut-être s'intéresser
06:05à ce qu'a fait Canal+. Depuis quelques années.
06:07Ils ont mis des droits sur d'autres sports.
06:09Ils ont développé d'autres choses.
06:10Et d'un seul coup, ils ne vont pas dire
06:11« On va mettre 300 millions pour rigoler ».
06:13Sans parler forcément de Canal, on va resituer
06:15sur toutes les informations qui tombent,
06:17puisqu'on l'a appris hier grâce au journal L'Équipe.
06:19C'est vrai que le contenu de cette réunion,
06:21Régis, a choqué.
06:23Oui, vous faites partie de cette émission.
06:25Je lisais.
06:27Il ne l'a pas encore lu, mais il est en train de lire.
06:30Il ne va pas pouvoir réagir.
06:32J'ai lu trois fois.
06:33C'est vrai que c'était saisissant.
06:35Vous, à travers la prise de position
06:37de Jean-Pierre Cayot chez nos confrères de RMC,
06:39et la prise de position de John Textor
06:41dans l'interview d'Hugo sur le journal L'Équipe,
06:44qu'est-ce qui vous choque le plus
06:46dans toutes ces déclarations ?
06:48Qu'est-ce qui vous interpelle le plus ?
06:50Ce qui me choque, c'est la cacophonie,
06:52le manque de fond,
06:54le manque d'argumentation,
06:56l'immaturité,
06:58la légèreté.
07:00Il s'agit quand même du football français.
07:02On a l'impression qu'il est confié
07:04à des gens...
07:06Vous avez envie de dire amateurs.
07:08Je trouve ça mesquin,
07:10je trouve ça petit.
07:12C'est quand même des gens
07:14qui ont du charisme,
07:16qui ont une forte personnalité,
07:18qui ont un vécu.
07:20On se dit, moi,
07:22je pourrais y être.
07:24Je trouve qu'il y a
07:26un sentiment de légèreté
07:28et d'amateurisme
07:30qui m'a vraiment choqué.
07:32Ce que dit Cayot,
07:34il y a une phrase qui n'a pas forcément
07:36été reprise beaucoup dans les médias,
07:38mais c'est une des phrases qui m'a le plus choqué
07:40quand j'ai lu le truc,
07:42c'est ce que dit Cayot sur Olas par rapport à Canal.
07:44C'est une mine,
07:46mais ça c'est explosif.
07:48Parce qu'il y a quelques jours,
07:50Olas a dit, je vais reprendre langue
07:52avec Canal+, je vais m'en charger.
07:54Et là, Cayot,
07:56on apprend que Cayot a dit qu'Olas
07:58était très content d'avoir tué Canal.
08:00C'est de la folie.
08:02C'est le royaume de l'hypocrisie.
08:04On apprend des choses incroyables dans ce truc-là.
08:06Évidemment, on peut toujours consulter
08:08ce document sur l'équipe.fr.
08:10L'info du jour, Hervé,
08:12c'est une réunion qui part
08:14du président de la 3F, Philippe Diallo,
08:16avec tout, j'ai envie de dire,
08:18les têtes pensantes du foot français.
08:20Est-ce que selon vous, c'est encore une réunion
08:22qui ne servira à rien ?
08:24Pardon de le dire dans ces termes-là,
08:26c'est peut-être un peu fort,
08:28mais vu ce qu'on a découvert...
08:30On peut toujours tenter des choses, ça c'est sûr.
08:32S'il n'y a pas la Ligue, déjà,
08:34vous avez un élément manquant, un chaînon manquant
08:36qui est important, parce que c'est lui qui décide.
08:38Je veux bien que la FFF se mette au courant
08:40qu'il manque quand même un élément clé,
08:42essentiel, qui est du côté de Vincent Labrouine
08:44et de ses amis.
08:46Donc aujourd'hui, je ne vois pas tellement
08:48en quoi les gens vont...
08:50Il y aura Dazo...
08:52Il y aura la Ligue, les clubs de Ligue 1...
08:54Il y aura la Ligue 1, oui d'accord.
08:56Il y aura la Ligue 2, il y aura la Ligue 1,
08:58il y a l'ensemble du cortège.
09:00De toute façon, de réunir tout le monde,
09:02ce n'est pas une mauvaise chose.
09:04Mais je ne pense pas que ce soit la FFF
09:06qui va diriger les débats.
09:08Elle vous plaît cette réunion quand même ?
09:10Oui, elle me plairait.
09:12Vous pensez qu'elle peut changer un peu des choses ?
09:14Il y a quand même de nouveaux éléments qui sont sortis
09:16grâce à l'équipe hier,
09:18plus France 2 qui a diffusé
09:20quelques vidéos.
09:22Je pense que vraiment, il y a quelques éléments
09:24qui pourraient faire qu'aujourd'hui,
09:26il y a des décisions qui pourraient être radicales
09:28pour certaines personnes.
09:30Quoi comme décision ?
09:32Par exemple, est-ce que Vincent Labrouine
09:34va rester à la tête de cette LFP ?
09:36Pour aujourd'hui, il a quand même
09:38de sacrés coups de pression
09:40et des coups de pression un peu de partout.
09:42Entre la FED,
09:44entre les médias,
09:46entre les instances,
09:48plus la ministre
09:50qui s'en mêle,
09:52ça fait quand même beaucoup.
09:54On se rappelle que quand une ministre
09:56il n'y a pas si longtemps que ça s'est mêlée
09:58du dossier du football français,
10:00c'est le président de la FED qui a démissionné.
10:02Mais normalement, il ne doit pas y avoir
10:04d'interférence du politique dans le sportif.
10:06Sinon, même votre fédération peut...
10:08Mais là, la pression, elle est quand même
10:10énorme sur lui.
10:12La pression est forte,
10:14mais il a quand même aussi des soutiens et des appuis.
10:16Là, on l'a vu encore avec Caillau.
10:18Caillau, il ne se désolidarise pas du tout de Vincent Labrouine.
10:20Caillau, il vient de quitter son poste.
10:22Ralaifi se désolidarise non plus.
10:24Et même dans l'interview de Textor,
10:26d'une certaine manière, il dit qu'il pensait
10:28que Labrouine aurait plus de courage, qu'il serait un peu plus costaud.
10:30Finalement, il n'a pas été, mais on aurait pu
10:32parler avec lui.
10:34Donc, ce n'est pas si simple.
10:36Et juste, puisqu'on parle de Jean-Pierre Caillau,
10:38il a aussi annoncé que le 27 mars,
10:40le collège, un des présidents de Ligue 1,
10:42allait se réunir et qu'il espérait
10:44toujours être le représentant
10:46de ces présidents-là
10:48et avoir surtout leur soutien.
10:50Il essaie un peu d'apaiser les choses.
10:52Mais il n'a pas quitté son poste ?
10:54Non, il voulait, mais finalement, non.
10:56Il réfléchit.
10:58Mais ça peut arriver de réfléchir.
11:00Ça dépend de ce qui se passe à la réunion avec la FED.
11:02Juste, on ne vous a pas encore entendu.
11:04On voit bien que dans tout ce conflit,
11:06il y a quand même un personnage
11:08qui cristallise beaucoup l'attention.
11:10Ce n'est pas Vincent Labrouine, c'est Nasser Khalaifi.
11:12Selon vous, est-ce que c'est lui
11:14le principal problème
11:16du foot français ?
11:18Le problème, c'est que les Qataris sont arrivés
11:20et ils ont acheté le foot français.
11:22On a fait allégeance dès qu'ils ont racheté
11:24le PSG.
11:26Ils ont fait Béhin,
11:28ils ont mis de l'argent sur la table.
11:30C'est une réalité.
11:32Quelques années après, il y a des soucis.
11:34Il y a conflit d'intérêts.
11:36Il est à l'ECA, il est partout.
11:38Tout le monde a besoin de son argent.
11:40Tout le monde a besoin du Qatar.
11:42Rappelez-vous, quand les Qataris sont venus
11:44sous ton contrôle, Sarkozy a trouvé
11:46des arrangements pour le PSG
11:48dans d'autres domaines que le football.
11:50Le Qatar s'est plotté
11:52dans le pays français.
11:54Tu les as fait rentrer.
11:56Ils ont fait du dumping au niveau des maillots.
11:58Rappelle-toi, avec l'UFA, les grands clubs,
12:00le Bayern, ils mettaient 60 millions,
12:02100 millions pour les laisser rentrer.
12:04Pour qu'ils construisent un grand club,
12:06qu'ils deviennent une machine.
12:08Après d'ailleurs, ils sont revenus à des prix
12:10classiques que le Barça peut vendre,
12:12le Bayern, parce qu'il y avait un dumping.
12:14On les a laissés faire.
12:16Sur le sponsoring, les partenariats,
12:18ils faisaient des partenariats.
12:20Ils ont été sanctionnés plusieurs fois
12:22par les charges financières.
12:24On les a laissés rentrer l'argent
12:26parce que le foot en avait besoin.
12:28Tout le monde s'est quand même reposé
12:30sur eux, au lieu de réfléchir
12:32à un modèle qui a besoin d'eux,
12:34mais ils ne peuvent pas non plus
12:36tout commander, tout gérer.
12:38L'argent, ce n'est pas un problème
12:40pour eux.
12:42Moi, quand vous me parlez de Bolloré,
12:44le sport, ce n'est pas politique,
12:46mais c'est politique.
12:48Au niveau où c'est de la Fédération française
12:50de rugby, elle a 30 millions
12:52avec de déficit à cause
12:54de la Coupe du monde.
12:56C'est 18 de plus que 15.
12:58T'es obligé de mettre sur la table.
13:00Même Macron. Je ne connais pas les rapports.
13:02On m'a dit qu'ils étaient soi-disant mauvais.
13:04Macron, Bolloré. Mais t'es obligé.
13:06Arrêtez. Vous croyez. J'ai lu un article.
13:08Le mec disait qu'on a passé des coups
13:10de téléphone en off que personne ne sait,
13:12qu'aucun journaliste ne sait.
13:14Tu veux dire que Bolloré serait obligé de racheter
13:16le football français, de sauver le football français ?
13:18Le problème, c'est où tu as un conflit d'intérêts
13:20et tu demandes à Béhin,
13:22qui est partie prenante, il ne faudrait pas que son Paris-Saint-Germain
13:24soit tout seul à jouer.
13:26Et puis il y a des grands capitaines d'industrie.
13:28Il met ce qu'il faut.
13:30De mémoire, vous me dites si je me trompe,
13:32pour deux matchs, il mettait 300 millions.
13:34Béhin.
13:36Non, il ne l'avait pas acheté cher.
13:38Quand Canal achetait 600-700 millions.
13:40Il y avait de la redistribution.
13:42Il revendait
13:44332 millions.
13:46Tu me dis si je dis des conneries.
13:48En fait, c'était distribué
13:50sur Canal via Béhin.
13:52Mais là, c'était un accord de distribution.
13:54Pour deux matchs.
13:56Après, est-ce qu'on doit leur faire le lit
13:58sur des accointances
14:00dans d'autres domaines ?
14:02C'est extrêmement compliqué.
14:04Arrêtons de dire que c'est que
14:06le football en une dimension politique.
14:08La chance que vous pouvez avoir aujourd'hui.
14:10Où Béhin revient dans la course,
14:12où Béhin, tu les sors, parce que conflit d'intérêts,
14:14on vient de le dire, tu trouves une autre solution.
14:16L'autre solution, c'est, vous venez de le dire,
14:18faire revenir Canal à la table des négociations.
14:20Non, mais Nassia Ndraléfi aussi,
14:22on peut se dire que quand il dit je mets 100 millions,
14:24personne ne proposait autant d'argent.
14:26Donc, à un moment, cet argent-là,
14:28on savait que le foot français...
14:30Mais Hervé, c'est la constitution
14:32des lots.
14:34Tu fais un lot pour 9 matchs et un lot pour 1 match.
14:36Tu es obligé d'acheter les deux lots.
14:38Et donc là, il se positionne sur un lot,
14:40Béhin. Tu peux très bien
14:42estimer que tu vends à
14:44Dazone pour
14:46400 millions et tu fais
14:48une croix sur les 100 millions de Béhin
14:50et Dazone a les 9 matchs.
14:52Tu peux, ce qui n'aurait pas été con d'ailleurs,
14:54parce que ça a permis d'avoir un seul abonnement.
14:56Parce que là, en fait, ce qui se passe, parce qu'on n'est pas obligé de remonter
14:58si loin, juste on remonte quelques mois
15:00en arrière, on a une première offre
15:02de Dazone qui est 100 millions supérieure
15:04à la deuxième, avec un temps
15:06de préparation qui aurait été convenable pour monter
15:08une chaîne qui, éditorialement, aurait été
15:10mieux que ce qu'il y a actuellement.
15:12Et cette offre
15:14a été ignorée. Parce que, pourquoi ?
15:16Parce que Béhin promettait
15:18on va mettre de l'argent, on va
15:20arriver avec 700.
15:22Mais qu'est-ce qui s'est passé à la fin ? Ils n'ont rien mis,
15:24ils n'ont rien donné. Canal n'a rien donné non plus,
15:26on peut les agiter maintenant, mais ils n'ont rien donné, ils avaient d'autres
15:28projets, on le comprend. Et au final,
15:30c'est Dazone qui revient avec 100 millions en moins
15:32et Béhin qui complète,
15:34sauf que dans les 100 millions,
15:36il y a un très gros problème. C'est parce que
15:38il y a une grosse incompatibilité
15:40dans la distribution avec Dazone
15:42et c'est ça qui crée des problèmes
15:44aujourd'hui. Et il y a aussi
15:4620 millions sur ces 100 millions
15:48qui sont liés à du sponsoring
15:50qui est complètement incompatible
15:52avec plusieurs clubs de Ligue 1
15:54et ces 20 millions-là, ils se sont évaporés.
15:56Sauf que Hugo, dans la démonstration
15:58que vous faites, la première offre
16:00repoussée
16:02de Dazone
16:04a été repoussée
16:06par Vincent Labrune en accord
16:08avec les présidents du club. Là, ce n'est pas de la faute
16:10du président du Paris Saint-Germain. Il n'a pas prêché
16:12parce qu'on lui prête un conflit d'intérêts.
16:14Non, ce n'est pas la faute du président du PSG, c'est la faute
16:16aussi du président de Béhin, donc la même personne
16:18qui a promis qu'il allait investir de l'argent
16:20dans le championnat.
16:22La fameuse réunion à l'Elysée aussi.
16:24Oui, mais on dit qu'il a promis.
16:26Il faut déjà être sûr qu'il a bien dit qu'il allait donner
16:28autant de millions parce qu'il y a les bruits qui circulent.
16:30À un moment, on nous expliquait que ce serait un milliard
16:32qu'il y aurait pour la Ligue 1. En étant sûr,
16:34on est sûr que ce sera un milliard. Finalement,
16:36on en est bien loin. Donc, il n'est pas sûr
16:38non plus que ça s'arrêtera là-dessus. Il a promis 700 millions.
16:40Pour conclure, Eric.
16:42Si tu ne trouves pas une solution rapide, tu as peut-être
16:444-5 clubs en dépôt de bilan fin juin.
16:46La seule chance que vous avez,
16:48c'est que vous pouvez peut-être repartir
16:50avec l'histoire d'Azo. On ne sait pas ce qui va se passer
16:52s'il lâche la voile. Vous pouvez peut-être repartir,
16:54je ne dis pas de zéro, mais de quelque chose de nouveau.
16:56Donc, il faut recréer, réinventer un modèle.
16:58À l'FPTV.
17:00On verra. Un feuilleton, évidemment, qu'on suivra
17:02sur la chaîne L'Equipe.
17:04Vous êtes bien sur la chaîne L'Equipe
17:06pour l'équipe du soir. On a appris un petit peu plus tard,
17:08mais on est bel et bien présents. Et maintenant,
17:10on va sourire. On va profiter
17:12parce qu'on va accueillir Anne-Sophie Bernadie.
17:14Elle est à Clos. Entre ici,
17:16Anne-Sophie.
17:18On aurait préféré Julia Simon.
17:20Je rentre avec mes 10 médailles autour du cou.
17:22Anne-Sophie, on va vous
17:24réécouter pour notre plus grand plaisir
17:26avec votre camarade de jeu, Alexis Boeuf.
17:28C'était Frédéric Jean. Frédéric Jean, pardon.
17:30Excusez-moi, j'ai tellement l'habitude d'attendre Alexis.
17:32C'est l'horaire. Non, ce n'est pas l'horaire.
17:34C'est une erreur. Ça arrive. Ça arrive à tout le monde.
17:36Ça n'arrive pas à notre équipe de France de Biathlon qui a décroché l'or.
17:38On revit cette course dans les conditions du direct.
18:00Il est sur la piste face à Justus Trellof.
18:02Pas face à Johannes Boeuf
18:04parce que le Norvégien repart à la faute.
18:06C'est un duel face à l'Allemagne
18:08pour aller chercher la médaille d'or.
18:10Oui, il est là. Quentin Fillon-Maillet
18:12et Julia Simon deviennent
18:14champions du monde du relais mixte simple.
18:16Nouvelle médaille d'or
18:18pour l'équipe de France. La Marseillaise
18:20encore à Lenzerheide.
18:22Devant l'équipe de Norvège. Quel
18:24boulot de Johannes Boeuf.
18:26La Norvège termine deuxième.
18:28Justus Trellof n'aura rien
18:30pu faire. L'Allemagne
18:32avec Franziska Preuss aura le bronze.
18:46Magnifique.
18:48Toujours un plaisir de vous
18:50entendre. Vous nous portez chance.
18:52Des mondiaux exceptionnels.
18:54Dixième médaille. Encore
18:56quatre courses pour aller chercher le record
18:58de 14. Est-ce que
19:00ça doit être, selon vous, l'objectif des Bleus
19:02pour cette fin de mondiaux ?
19:04Je pense très clairement qu'ils peuvent aller le chercher.
19:06J'ai très envie d'y croire.
19:08Aujourd'hui, on est
19:10loin. On est vraiment en avance
19:12sur les bases du record. Il y a deux records.
19:14Il y a le record de l'équipe de France sur des championnats du monde.
19:16C'est 13 médailles. C'était la saison
19:18dernière à Nove Mesto. C'était déjà incroyable.
19:20Déjà vous qui commentiez.
19:22Je ne suis pas pour grand chose.
19:24C'est un bonheur de les accompagner.
19:26Et le record absolu,
19:28c'est celui des Norvégiens en 2021
19:30qui est de 14 médailles.
19:32Moi, je pense
19:34qu'ils vont battre et leur propre record
19:36et le record des Norvégiens. Je vois bien 15 médailles
19:38à l'issue de ces championnats du monde. Il reste
19:40quatre courses. Franchement,
19:42vraiment du mal à croire qu'ils ne seront pas sur le podium
19:44de chaque relais, voire même
19:46qu'il y aura un titre. Ça fait deux.
19:48Ensuite, il reste deux mass-starts.
19:50Je pense que l'équipe de France femmes,
19:52peut espérer mettre deux biathlètes
19:54sur le podium de la mass-start.
19:56Moi, je dis trois.
19:58Justine...
20:00A triplé sur la mass-start.
20:02Justine gagne.
20:04Justine Moisazouche qui est
20:06la plus jeune.
20:08Lou, deuxième. C'est l'ami de tout le monde.
20:10Et Julia, troisième.
20:12Tu les appelles toutes par leur prénom.
20:14C'est comme au tennis. Richard,
20:16Roger, c'est pareil.
20:18Et il y a également un record de titres
20:20potentiellement à aller chercher.
20:22Les Bleus n'ont jamais fait plus de six médailles d'or
20:24sur des championnats du monde. Donc là, ils sont à cinq.
20:26Je pense qu'ils vont tout gagner.
20:28Les Norvégiens, quand ils ont fait 14 médailles d'or,
20:30combien d'or ? Sept médailles d'or.
20:32Sept médailles d'or, c'est le record
20:34absolu. Je ne sais pas si c'était en 2021,
20:36lors des 14 médailles, mais le record absolu de médailles d'or
20:38pour la Norvège et pour toutes les autres nations,
20:40c'est sept. Juste, Anso, toi
20:42qui as la chance de les commenter, de vivre
20:44ces exploits,
20:46à quel point ça t'impressionne que cette équipe
20:48de France soit dominatrice dans des
20:50proportions exceptionnelles ? Parce qu'on est sur les bases
20:52d'une saison, d'un championnat du monde,
20:54des mondiaux historiques. Ce qui est vraiment
20:56fou, c'est que la saison dernière en République
20:58tchèque, c'était des mondiaux records,
21:00mais l'équipe de France s'appuyait essentiellement
21:02sur son équipe de France femme.
21:04Il y avait eu le quadruplet sur le
21:06sprint, les Françaises avaient
21:08brillé, il y avait une seule médaille individuelle
21:10du côté des hommes, c'était
21:12le bronze pour Quentin Fillon-Maillet. Là,
21:14je regarde mes notes parce qu'il y a beaucoup trop
21:16de médailles en sélection.
21:18Sur 10 médailles, il y en a
21:202 sur les relais mixtes,
21:22sur le tout premier relais mixte où ils étaient 4,
21:24là, l'or aussi sur le relais mixte simple
21:26où ils étaient 2. Donc là, il y a un homme, une femme
21:28ou deux hommes, deux femmes. Et sinon, il y a
21:304 médailles pour l'équipe
21:32de France femme et 4 médailles pour
21:34l'équipe de France homme. Et ça,
21:36vraiment, c'est ce qui fait la différence cette saison.
21:38Il y a deux biathlètes qui sont troisième et quatrième
21:40du classement général chez les hommes, alors
21:42que Lou-Jean Monod va se battre pour le globe de
21:44cristal chez les femmes. En fait, c'est l'homogénéité.
21:46Il n'y a peut-être pas un Martin Fourcade
21:48comme il y a eu certaines années.
21:50En 2016, il
21:52décroche beaucoup de médailles, les
21:54Français. Il y a Martin Fourcade, il y a
21:56Marie-Laurent Habert. Ils décrochent tout.
21:58Là, il y a
22:003 titres
22:02pour 3 biathlètes différents.
22:04Il y a Julia Simon qui a été titrée,
22:06il y a Eric Perrault qui a été titrée
22:08également et il y a ces relais mixtes.
22:10Et il y a aussi ces médailles
22:12Quentin Fillon-Maillet a été médaillé,
22:14Lou-Jean Monod a été médaillé.
22:16Et s'il y a un titre pour Justine Brassens-Boucher.
22:18Vraiment, on s'y perd.
22:20Il y a 3 biathlètes
22:22qui ont été titrées et il y a 5
22:24biathlètes différents qui ont décroché
22:26une médaille. Ça, c'est du jamais vu.
22:28Si on veut durer, il faut qu'ils fassent
22:30des enfants.
22:34La génétique par Eric Blanc,
22:36c'est toujours un grand moment.
22:38J'ai une question. On a souvent
22:40parlé cette saison de la suprématie
22:42des femmes. Dans les chiffres que vous avez donnés,
22:44on ne s'en rend pas forcément compte.
22:46Mais est-ce que vous, vous sentez que dans ce sport actuellement,
22:48les Françaises sont supérieures
22:50aux hommes ?
22:52Il y a une domination norvégienne chez les hommes
22:54depuis très longtemps.
22:56Aujourd'hui, cette équipe norvégienne
22:58masculine, elle s'étiole
23:00un peu. En tout cas, ils sont moins dominateurs.
23:02Mais on a beaucoup
23:04dit que les Norvégiens étaient beaucoup
23:06plus forts que les Français. Et justement, cette équipe
23:08de France femmes, tout le monde disait
23:10que c'est les Norvégiens.
23:12Les Norvégiens chez les hommes, c'est les Françaises
23:14chez les femmes. Oui, il y a une
23:16domination. Après,
23:18aujourd'hui, au classement général,
23:20les courses des mondiaux ne comptent pas pour le classement
23:22général. C'est toujours une Allemande
23:24qui est en tête. Donc peut-être qu'à la fin de la saison,
23:26le globe de cristal sera dans les mains d'une Allemande.
23:28Il y a une Italienne qui a eu le globe de cristal
23:30la saison dernière.
23:32Il y a une domination sur ce championnat du monde.
23:34C'était déjà le cas aussi la saison dernière.
23:36C'est une combinaison
23:38de plusieurs facteurs.
23:40Elle domine entièrement
23:42toute la saison. Attention, on sera peut-être
23:44déçu à la fin de l'hiver s'il n'y a pas de globe de cristal
23:46pour une Française.
23:48On va écouter Stéphane Boutillot, le boss
23:50des équipes de France.
23:52Dans mes rêves les plus fous, même si on l'avait fait
23:54l'an dernier, imaginez qu'on en soit
23:56là ce soir avec 9 médailles et 4 titres.
23:58Déjà, parce que les titres ça compte, il n'y a pas que
24:00les médailles.
24:02La densité, on a
24:044 flèches à tirer au départ de chaque course.
24:06Pour le moment,
24:08ça gasse plein fer.
24:10On n'a rien fait
24:12de plus particulier que ça.
24:14Comme d'habitude, quand on attaque
24:16bien un championnat, ça déroule derrière.
24:18Là, tout le monde est dans l'euphorie.
24:20Ils se confrontent au quotidien à l'entraînement.
24:22Il y en a un qui monte sur la boîte.
24:24Les autres se disent, le petit pote
24:26est bien gentil, mais avant-hier à l'entraînement
24:28c'est moi qui lui ai mis. Pourquoi pas moi
24:30aujourd'hui ? Ça gasse.
24:32Question d'Hervé Penaud-Pantoit.
24:34Je ne suis pas garant de la question.
24:36Je suis désolé.
24:38Inévitablement, c'est une bonne question.
24:40Elle vient d'un président, puis elle vient de moi.
24:42Je voulais savoir, qu'est-ce qui est le plus important
24:44pour une sportive ou un sportif
24:46qui fait du biathlon ? Est-ce que c'est d'avoir le globe de cristal
24:48ou d'être champion du monde ?
24:50Est-ce qu'à la fin, par exemple, Julia peut...
24:52Son prénom aussi.
24:54Julia. Est-ce que Julia
24:56par exemple, va se dire à la fin
24:58tiens, j'aurais préféré avoir le globe de cristal
25:00et être championne du monde. Finalement, ça me suffit.
25:02Là, c'est Loujean Monod qui joue plutôt.
25:04Déjà, Julia Simon a déjà un globe de cristal.
25:06C'est pour ça que je parlais d'elle.
25:08Le globe de cristal, c'est la régularité.
25:10Il y a une saison de coupe du monde.
25:12À chaque fois que...
25:14À chaque course, vous marquez des points.
25:16Quand vous êtes premier, vous marquez plus de points
25:18que quand vous êtes deuxième, forcément.
25:20Et à la fin de la saison, on fait les comptes. Celui qui a le plus de points
25:22remporte le classement général. Hop, ça fait un globe de cristal.
25:24Depuis deux saisons,
25:26les championnats du monde qu'on vit là
25:28n'ont plus pour le classement général.
25:30Clairement, des biathlètes qui ne pouvaient pas rivaliser
25:32tout au long de la saison pour aller chercher
25:34le globe de cristal et qui n'étaient pas assez réguliers
25:36peuvent se dire, sur une course d'un jour,
25:38toute ma saison sera axée sur ces championnats du monde.
25:40Ça va le faire.
25:42C'est comme sur les Jeux Olympiques.
25:46Je ne sais pas ce qui est plus prestigieux
25:48à la régularité. C'est nettement plus prestigieux
25:50le globe de cristal. En tout cas, c'est ça qui le récompense.
25:54Mais ils sont champions du monde.
25:56Ça claque quand même.
25:58Et puis là, ils sont cinq fois champions du monde.
26:00Hanso, sans trahir
26:02le secret de ce qu'on se dit parfois
26:04dans les coulisses
26:06de la Daxute,
26:08vous me disiez, Hanso,
26:10il y a un côté, là, s'il ne gagne pas,
26:12s'il n'y a pas de médaille, on est déçu,
26:14on s'habitue un petit peu au caviar.
26:16Il y a ça, ce côté-là ?
26:18Là, on a commenté
26:20trois courses depuis le début de la semaine
26:22parce que demain, c'est repos.
26:24Là, on vient de commenter trois courses.
26:26Il y a eu trois tirs.
26:28Trois titres. J'en perds mes mots, c'est l'enfer.
26:30Il y a eu trois titres,
26:32trois médailles d'or. Là, aujourd'hui,
26:34ouais, à un moment,
26:36la Norvège, en plus, n'aligne pas son équipe type.
26:38Johannes Boe, il est là,
26:40mais avec lui, on n'y croit pas trop.
26:42Aujourd'hui, on se dit, à un moment,
26:44je me disais pendant la course, si ça fait argent.
26:46Et on se dit,
26:48oui, on s'y habitue. Là, c'est de l'ordre
26:50de l'exceptionnel. Et c'est bien
26:52qu'on soit en repos demain, qu'on puisse peut-être
26:54prendre un petit peu de recul avant les quatre
26:56dernières courses qui arrivent à partir de samedi
26:58pour se dire, ce qu'on est en train de vivre,
27:00c'est hors du commun.
27:02Anne-Sophie, est-ce que tu peux rappeler les rendez-vous à suivre ?
27:04Eh bien, je ne les ai pas, mais c'est samedi
27:0610h, quelque chose comme ça.
27:08Samedi, c'est la plus grosse journée
27:10des mondiaux. Deux relais.
27:12Le relais femmes et le relais hommes.
27:14Et dimanche, les deux mass-starts.
27:16Merci beaucoup, Anne-Sophie, Bernardine.
27:18On t'a retenue tard, mais ça valait le coup.
27:20C'était un plaisir de t'entendre.
27:22Je vais essayer de me reposer.
27:24En tout cas, pour moi, t'as le globe de cristal.
27:26Et le titre de championne du monde.
27:28Et le titre olympique, l'année prochaine.
27:30Bonne soirée, Anne-Sophie, Bernardine.
27:32Évidemment que vous vous retrouvez aux commentaires du Biathlon.
27:34Ça fait un carton sur la chaîne L'Équipe.
27:36Et on est très fiers de vous proposer
27:38ce droit, comme les fléchettes.
27:40Vous êtes un bon salarié de l'équipe, mon cher Hugo Guimet.
27:42Allez, tout de suite, on passe aux
27:44milliers d'infos de l'ENA.
27:46Et on va perdre un petit peu notre sourire.
27:48Une nouvelle pour Victor Wembanyama.
27:50Les sports l'ont annoncé dans un communiqué.
27:52Victor Wembanyama souffrait
27:54d'une thrombose à l'épaule droite.
27:56Alors, on n'est pas médecin, mais plus vulgairement,
27:58c'est un caillot de sang dans l'épaule
28:00qui peut être dû à un choc.
28:02Blessure découverte lors de son retour
28:04du All-Star Game. Il avait pour ambition
28:06d'être élu meilleur défenseur de la saison.
28:08Ce n'est plus possible. C'est le premier coup dur
28:10de sa jeune carrière.
28:12On sait, Hervé, que par rapport à son physique,
28:14c'est vrai que c'est quelqu'un de très très grand.
28:16Et souvent les très très grands, dans les proportions
28:18comme ça, ont des pépins physiques.
28:20On se dit que la seule chose qui peut arrêter Victor Wembanyama,
28:22c'est son corps. Est-ce que ça vous inquiète,
28:24cette blessure ?
28:26Je ne suis pas médecin, mais j'espère.
28:28Et je ne veux même pas être inquiet.
28:30Moi, quand j'ai vu la nouvelle, j'ai regardé le site
28:32et j'ai vu ça. L'équipe.fr.
28:34Notre site, l'équipe.fr.
28:36Et là, franchement, j'ai pris un coup.
28:38Ça vous a touché ?
28:40Ça m'a énormément touché. Alors, je ne suis pas
28:42un spécialiste de la NBA, mais je regarde.
28:44Le matin, quand il joue, je regarde ce qu'il a fait.
28:46J'essaie de voir des extraits.
28:48Parce que je trouve qu'on s'est habitués.
28:50C'est un champion hors normes.
28:52C'est une blessure assez grave, visiblement.
28:54Parce qu'une thrombose,
28:56comme l'a dit Léa,
28:58c'est un caillot de sang dans les veines.
29:00Apparemment, il serait assez gros, le sien.
29:02Les Spurs ont annoncé
29:04une fin de saison régulière.
29:06C'est-à-dire qu'il va rater les 30 prochains matchs
29:08des Spurs. C'est énorme, 30 matchs.
29:10Il ne va même pas être éligible aux récompenses
29:12de la saison, puisqu'il faut en avoir joué 65
29:14et qu'il ne les aura pas joués.
29:16C'est un énorme coup dur.
29:20C'est aussi une inquiétude
29:22pour sa santé.
29:24On a eu un cardiologue,
29:26je crois, sur l'équipe.fr,
29:28je ne sais pas si vous l'avez vu,
29:30qui estimait que le risque de rechute
29:32était limité. Mais il parle
29:34de blessures graves, ce spécialiste.
29:36Il y a un autre joueur
29:38qui s'appelle Brandon Ingram,
29:40qui a eu cette blessure-là. Il avait une période
29:42d'indisponibilité qui était plus courte
29:44que Victor Wembanyama, et il a pu retrouver
29:46la pleine possession de ses moyens.
29:48Si c'est bien traité, c'est positif.
29:50Ça dépend de la gravité
29:52ou de quelle manière
29:54on l'a récupéré,
29:56le diagnostic, en vérité.
29:58Si c'est pris à temps, derrière, il pourra
30:00jouer, il pourra trouver son potentiel.
30:02Fred, quand on est jeune joueur
30:04comme ça, évidemment,
30:06sans faire offense à personne,
30:08on ne peut pas comparer ce que vit Victor Wembanyama
30:10tellement c'est énorme,
30:12c'est stratosphérique,
30:14le début de carrière de ce jeune joueur.
30:16Comment on le vit, ça, quand on est athlète de haut niveau
30:18et que très vite, dans l'activité professionnelle,
30:20on a un peu les jambes
30:22coupées ?
30:24Là, il a les bras coupés, finalement.
30:28Mais oui,
30:30c'est quelque chose
30:32qui digère, et très rapidement.
30:34Je ne sais pas s'il faut une opération,
30:36je ne suis pas médecin,
30:38donc je ne peux pas vous dire
30:40quelle est la récupération.
30:42Le plus important, c'est d'être suivi.
30:44Là,
30:46la grande force
30:48de la Ligue et de l'NBA,
30:50c'est que quand c'est des
30:52grands champions comme ça, ils prennent le temps de l'indisponibilité.
30:54C'est un projet qui est sur le long terme
30:56avec les Spurs et Victor
30:58Wembanyama, donc ils ne vont pas lui mettre la
31:00pression pour qu'il revienne tout de suite.
31:02Surtout qu'il ne jouera pas les playoffs.
31:04Ils avaient la possibilité d'avoir...
31:06Ils étaient douzièmes.
31:08Ils pouvaient jouer le play-in, peut-être, mais disons que l'objectif
31:10de Wembanyama avec les Spurs
31:12ce n'était pas cette saison, c'est plus
31:14les objectifs personnels, la construction
31:16de son duo avec Fox.
31:18Cet été, les Spurs avaient pris Chris Paul
31:20pour mieux l'entourer et espérer
31:22disputer les playoffs. Donc voilà, l'important, c'est lui.
31:24Vous, Eric ?
31:26L'important, c'est surtout sa santé, parce qu'on met le sport
31:28de côté. Si ça se passe mal,
31:30en boli, il peut décéder.
31:32On n'en est pas là du tout.
31:34Je te dis,
31:36en boli, tu peux décéder.
31:38Il a été détecté.
31:40Il a un staff médical, il est
31:42connu, ce n'est pas le charcutier qui va le suivre.
31:44A priori, non.
31:46On embrasse tous les charcutiers de France.
31:48Tu peux y laisser ta vie.
31:50Donc lui, il va prendre son temps,
31:52mais quand tu es sportif de haut niveau, déjà,
31:54tu te fais peur à
31:56ta santé.
31:58Donc tu vas le traquer, sagement, et il va
32:00revenir. Mais il faut bien comprendre, à mon avis,
32:02je ne suis pas médecin, mais pour avoir fréquenté
32:04quand même, discuté avec des staffs médicaux
32:06dans d'autres sports, il faut comprendre
32:08le pourquoi du comment. D'où ça vient.
32:10Essaie de remonter, et il sera
32:12peut-être un jour même opéré.
32:14Après, le caillot de sang, normalement,
32:16il faut le faire péter au laser,
32:18il faut l'évacuer et voir
32:20un peu les dégâts, pas les dégâts, comment ça se passe,
32:22etc. Ça n'a rien à voir.
32:24Christensen a rejoué au football, rappelez-vous,
32:26le danois. Il est tombé,
32:28on a cru, et en fin de compte, il est revenu
32:308 mois après.
32:32Donc là, à mon avis, il faut attendre au moins
32:346 mois, 7 mois.
32:36Emers Faye a dû arrêter sa carrière,
32:38parce qu'il avait des flébites à répétition.
32:40Papus Kamara, il a failli arrêter sa carrière aussi.
32:42Pareil.
32:44Avec un retour au PSG,
32:46il avait
32:48cette flébite aussi.
32:50En tout cas, on souhaite le meilleur rétablissement possible
32:52pour Victor Mbanyama, et il est évidemment
32:54très bien entouré.
32:56On va parler de foot. Un petit mot
32:58sur les retours en Ligue Europa
33:00avec vous, Léna. On va vous montrer
33:02le but de la soirée. Regardez.
33:06Petit cafouillage dans la surface.
33:08Et la retournée acrobatique
33:10de Samu pour le FC Porto.
33:12Mais 8 minutes plus tard, Dybala ouvre son
33:14compteur en Ligue Europa, 7 saisons.
33:16Et l'Argentin ne s'arrête pas là.
33:18Le doublé.
33:20Deux buts
33:22en 4 minutes. Score final, 3 buts
33:24à 2. La Roma, qualifiée en 8ème
33:26des finales de la Ligue Europa.
33:28On connaît les 2 potentiels adversaires pour Lyon
33:30en 8ème. Oui, à commencer par
33:32l'Ajax, après un match très tendu
33:34qui s'est terminé en prolongation.
33:36Pénalty de Taylor,
33:38transformée. Ce serait pas mal pour
33:40Bertrand Traoré qui vient de décrocher le pénalty.
33:42Et voilà l'Ajax, qualifiée
33:44même si c'est l'Union Saint-Gilloise
33:46qui a gagné. Et l'autre adversaire potentiel
33:48de Lyon, c'est Bucharest. Tirage au sort
33:50demain. Match
33:52complètement dingue entre Baudoglind et Twente.
33:54Alors là, je vais vous demander à tous
33:56une grande attention. Regardez.
33:58Twente est qualifiée à la
34:0091ème minute parce que 3-2 sur l'ensemble
34:02des 2 matchs. Sauf que Baudoglind
34:04marque à la 92ème. Donc logiquement
34:063-3. Direction les prolongues.
34:08Sauf que 94ème,
34:10Baudoglind remarque. Donc à ce moment-là, 4-3
34:12c'est bon. Il devrait se qualifier.
34:14Sauf que Twente arrache
34:16la prolongation à la 96ème.
34:184-4. C'est énorme ça.
34:20Et finalement, en prolongation,
34:22Baudoglind inscrit 2 buts et file donc
34:24en 8ème de finale de la Ligue au repas.
34:26On va pas faire un top but, mais un top boulette
34:28Léna. Oui, exactement.
34:30Alors à commencer par le match Anderlecht-Fenerbahce.
34:32Deux boulettes en un match.
34:34Regardez. La passe ratée
34:36côté Anderlecht.
34:40Et puis c'est quasiment la même
34:42boulette du côté de Fenerbahce.
34:50Ah oui, là c'est raté.
34:52Et puis au final, c'est le Fener qui s'est qualifié.
34:54On va apprendre des nouvelles de Kyanne Mbappé via son
34:56avocate Delphine
34:58Van Ereden. Elle conteste un accord
35:00entre le joueur et le Paris Saint-Germain.
35:02Elle a assuré aujourd'hui à la LFP
35:04qu'il n'y avait pas eu d'accord à l'été 2023
35:06entre le PSG et le joueur au sujet
35:08des salaires et des primes impayés.
35:10Le PSG, lui, soutient le contraire
35:12selon le club parisien en août
35:142023. Un accord financier aurait
35:16été passé entre la direction et l'attaquant.
35:18Dans cet accord, le joueur se serait
35:20engagé à renoncer à 55 millions de
35:22primes diverses s'il venait à partir
35:24libre en fin de saison.
35:26Le conflit qui n'est pas encore terminé.
35:28Et rien n'est signé.
35:30On sait très bien comment ça va finir cette histoire.
35:32Kyanne Mbappé, il aura son argent.
35:34On le comprend un peu mieux aujourd'hui.
35:36Ah bah oui, et puis avec tout ce qu'on voit sur
35:38Nassal Khalifi, on peut comprendre
35:40qu'il a vécu des moments difficiles
35:42Kyanne Mbappé. Il a le temps de voir venir aussi.
35:44Même si c'est 55, il a le temps de voir venir.
35:46Tu crois ?
35:48Alcaraz, sorti en Caradoa.
35:50Oui, c'est un peu une surprise.
35:52L'Espagnol, 3e mondial,
35:54chute face à l'HK, 25e mondial.
35:56Après avoir perdu le 1er set,
35:58il se reprend quand même dans le 2e.
36:06Avant de s'incliner dans le 3e.
36:08Score final 6-3, 3-6, 6-4.
36:10Ce point vaut le détour.
36:16Et c'est donc une fin de série pour Alcaraz
36:18qui venait d'enchaîner cette victoire de suite.
36:24Un mot de cyclisme.
36:26C'était la 2e étape du tour d'Algarve.
36:28Victoire de Yann Christen.
36:30Le jeune Suisse s'impose sur l'épreuve Rennes.
36:32Une étape accidentée,
36:34beau doublé du AE,
36:36avec la 2e place de Joao Almeida.
36:38Le Français Romain Bardet termine
36:40à la 4e place, à 8s du leader.
36:42Le favori de l'épreuve, le Danois Jonas Vingegaard
36:44termine en 6e position à 10s.
36:46Places qui sont également leurs places au général
36:48parce que, pour rappel, hier,
36:50le classement et l'étape avaient été annulées
36:52suite à un problème d'aiguillage.
36:54Et pour conclure, Léna, ce minuit info,
36:56on l'a vécu en direct sur la chaîne L'Equipe,
36:58c'était la folie à Dublin.
37:00Pour les Flèches !
37:02La folie à Dublin devant 10 000 personnes.
37:043e étape de Première Ligue.
37:06Et le vainqueur, c'est Gerwin Preiss.
37:10Il a battu Luc Litter.
37:12Et donc, la prochaine étape,
37:14c'est à Exeter, jeudi prochain, en Angleterre.
37:16Merci beaucoup Léna.
37:18Restez bien avec nous pour la suite de L'Equipe du soir.
37:20Dans quelques instants, on va parler du Paris-Saint-Germain
37:22puisque demain, on connaîtra l'adversaire
37:24du PSG, mais aussi du LOS.
37:26Pour le Paris-Saint-Germain,
37:28ça sera soit Liverpool, soit le FC Barcelone.
37:30On va en parler.
37:32Et puis, il y aura le jeu, Président Penault.
37:34Lui qui suit. A tout de suite pour la suite et fin de l'ODS.
37:42...
37:46De retour pour la suite et fin
37:48de L'Equipe du soir.
37:50Toujours en compagnie du Président
37:52Hervé Penault.
37:54J'ai été déstabilisé parce que vous regardez votre téléphone.
37:56C'est interdit.
37:58C'est pas mon style.
38:00Régis Testelin, Eric Blanc, Hugo Guimet
38:02et Fred Piquion.
38:04Léna Mounier pour toutes les infos.
38:06Léna, avec vous, on va voir la une du journal L'Equipe.
38:08Et elle revient sur la triste nouvelle
38:10à prise en fin d'après-midi.
38:12Fin de saison pour Victor Wembanyama.
38:14On le rappelle, il souffre d'une thrombose
38:16à l'épaule droite.
38:18Merci beaucoup Léna.
38:20Déjà disponible en édition numérique pour les abonnés.
38:22L'Equipe, on va passer
38:24au Paris-Saint-Germain désormais.
38:26On le sait, ils sont qualifiés hier pour les huitièmes de finale
38:28de la Ligue des Champions.
38:30Un succès 10 à 0 sur l'ensemble des deux rencontres
38:32face à Brest. Et forcément, Eric Roy
38:34inspire la régie.
38:36Eric Roy est impressionné par le PSG
38:38version Louis-Henriquet. On l'écoute.
38:40Clairement.
38:42Je pense que Paris aura toutes ses chances
38:44quel que soit l'adversaire
38:46qui lui sera opposé.
38:48De toute façon, comme ils veulent gagner cette compétition,
38:50il faudra battre les grandes équipes
38:52de cette compétition.
38:54En tous les cas, ça va être un formidable test pour eux.
38:56Mais pour avoir rencontré les deux,
38:58le Barça et le PSG, j'avais déjà été assez
39:00impressionné par le Barça.
39:02Je crois encore plus par le Paris-Saint-Germain.
39:04Surtout le Paris-Saint-Germain de ces dernières semaines.
39:06Donc, en tous les cas,
39:08ça va être quelque chose de magnifique.
39:10Et pour l'Iverpool,
39:12on ne sait pas quel adversaire
39:14leur sera opposé.
39:16Pour l'Iverpool, c'est une équipe qui est très forte
39:18mais qui, à mon sens, n'a pas encore
39:20rencontré d'équipes aussi fortes que le Paris-Saint-Germain.
39:22Donc, je ne sais pas.
39:24Mais en tous les cas, ils auront clairement chance.
39:26Voilà, c'était Eric Roy
39:28au micro de Jérémy Jeannin-Gros.
39:30Donc, soit l'Iverpool, soit l'EFC Barcelone,
39:32est-ce que le PSG doit plus craindre
39:34les Reds ou les Blaugrana ?
39:36A cette question, deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
39:38C'est un duel dans l'équipe du soir.
39:40Jingle.
39:42J'ai carrément pour Régis Testelin, président,
39:44aucun des deux.
39:46Donc là, c'est confiance absolue.
39:48Et j'ai les deux pour Eric.
39:50On va d'abord écouter Eric Blanc.
39:52Le PSG doit craindre les deux.
39:54Et l'Iverpool et le Barça, à vous.
39:56Craindre, en tout cas, il faut toujours se méfier
39:58et être très prudent parce que 10-0 devant
40:00Brest, ça ne ressemble à rien.
40:023-0 à Barcelone, 3-0 à L'Real,
40:0410-0 devant le PSG, donc dès que la marche
40:06est haute, on ne peut pas comparer
40:08ce qu'a fait Brest et le PSG
40:10par rapport à Brest. Le Barça, ils ont terminé
40:12deuxième. Au mois d'octobre,
40:14quand ils ont perdu 3-0, ils ne tournaient pas
40:16comme ils tournent aujourd'hui.
40:18Le Barça, premier Iverpool du championnat,
40:20deux. Donc le PSG,
40:22c'est du 50-50. Je ne dis pas qu'ils n'ont
40:24pas leur chance, mais ils doivent se méfier
40:26car c'est les deux meilleures équipes d'Europe en ce moment.
40:28Attention le temps, Monrico.
40:30Je partage tout à fait l'avis
40:32de ce qu'a dit Eric Roy,
40:34qui n'avait aucun intérêt et aucun effet
40:36de com à dire ça, à dire tout le bien
40:38qu'il pensait du PSG. Je pense que
40:40ce PSG-là, je ne parle pas de celui d'il y a
40:42deux mois, je parle de celui d'aujourd'hui, à l'instant T,
40:44n'a à redouter ni le FC Barcelone
40:46ni l'Iverpool. Franchement,
40:48ce PSG-là est l'équipe qui me fait
40:50la plus grosse impression en ce moment
40:52en Europe. Ils veulent la gagner, comme l'a
40:54dit Roy. Il faudrait qu'ils battent tout le monde.
40:56Il n'y a pas plus à avoir peur du
40:58FC Barcelone que de l'Iverpool quand on est Paris
41:00aujourd'hui.
41:02Bravo pour le temps, Régis Testelin.
41:04Si vous pensez que le PSG doit craindre
41:06les deux équipes, et Liverpool et le FC Barcelone,
41:08vous votez pour Eric Blanc.
41:10Si ce n'est aucun des deux, c'est Régis Testelin.
41:12Vous allez sur l'équipe Connect.
41:14Président Penaud. J'allais dire que par définition,
41:16ils sont obligés de craindre un minimum
41:18les adversaires qu'ils vont affronter.
41:20Et quand vous avez en face de vous l'attaque de Liverpool,
41:22l'attaque de Barcelone, parce que les défauts du PSG
41:24aujourd'hui, qui sont quand même assez
41:26visibles, c'est que défensivement,
41:28ils peuvent avoir des absences. Et notamment sur des
41:30équipes qui peuvent aller vite devant, qui peuvent
41:32leur faire mal par cette vitesse-là.
41:34Et vous avez en face les deux équipes
41:36qui sont peut-être les plus fortes sur ce plan-là aujourd'hui.
41:38C'est-à-dire que Liverpool, ça va très vite. Vous avez un Mohamed Salah
41:40qui est capable de marcher sur l'eau.
41:42De l'autre côté, pareil, vous avez Lewandowski
41:44et peut-être Barcelone. Et plus il y a mal,
41:46plus Rafinha qui vole.
41:48Et en plus, il ne faut pas oublier, Barcelone,
41:50ils ont toujours en mémoire ce qui s'est passé
41:52l'année dernière. Donc je pense que c'est deux équipes à craindre.
41:54Ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas vous qualifier, attention.
41:56Mais simplement, les deux, vous êtes obligés de les craindre.
41:58Aujourd'hui, ils ont fait 1 et 2 de la phase Liverpool, c'est pareil.
42:00Point pour Eric.
42:02Il y a quand même un peu plus de difficultés
42:04défensives du côté de Barcelone, je trouve.
42:06De mon point de vue en tout cas.
42:08Parce qu'il y a un peu plus de largesse. Ils jouent quand même très très haut
42:10et il y a
42:12quand même pas mal d'espace
42:14pour nos attaquants
42:16parisiens.
42:18Maintenant, c'est comment ils vont faire leur contre-pressing,
42:20comment l'équipe adverse, que ce soit Barcelone
42:22ou même Liverpool,
42:24vont ressortir le ballon. Parce que derrière, effectivement,
42:26sur le plan de l'attaque,
42:28c'est quand même deux équipes qui marquent énormément de buts.
42:30Un dans le championnat en Ligue 1
42:32et l'autre quand même en Première Ligue.
42:34Et Liverpool, je pense que c'est une équipe un peu plus costaud
42:36sur l'intensité.
42:38Votre religion là-dessus, mon Ego ?
42:40Moi, je crains plus Liverpool
42:42pour le PSG. Je trouve que le profil
42:44de l'équipe est moins adapté à...
42:46Malgré la petite baisse de régime des Reds
42:48actuellement ? Oui, mais baisse de régime,
42:50mais quand vont arriver les
42:52huitièmes de finale,
42:54ils vont être là.
42:56Salah va être là.
42:58Après, pour moi, c'est le pire tirage,
43:00Liverpool. Et le Barça,
43:02c'est le deuxième pire tirage.
43:04Donc, quelque part, il faut aussi craindre
43:06le Barça. Mais Liverpool, c'est encore
43:08au-dessus. Ça va être très compliqué pour Paris.
43:10Si Paris passe, on se souviendra des propos
43:12de Régis Testelin.
43:14Mais s'il ne passe pas, on s'en souviendra.
43:16On ne fait pas ça.
43:18C'est l'ancien adversaire de Rudi Garcia.
43:20Un ami. Un ami du goguimet.
43:22De Belgique.
43:24Exactement. Sélectionneur de la Belgique.
43:26Le thème du quiz, c'est donc
43:28les Français sélectionneurs
43:30dans un autre pays.
43:32Uniquement foot.
43:34On me connaît bien
43:36sur le plateau
43:38de l'équipe du soir. Vous avez dit Claude Leroy.
43:40Mauvaise réponse.
43:42Deuxième indice, je ne suis pas
43:44Claude Leroy.
43:46Troisième indice,
43:48j'ai coaché le Cameroun
43:50et Aumans.
43:52Paul Le Gouen.
43:54Paul Le Gouen, bonne réponse.
43:56Tu es président ou non ?
43:58Aumans.
44:00Aumane, pardon.
44:02Aumans.
44:04Quand je le lis,
44:06je me dis qu'est-ce qu'il m'a raconté.
44:08J'ai commencé
44:10ma carrière de coach par l'équipe
44:12de France Olympique.
44:14Roger Lemaire.
44:16Mauvaise réponse, Régis.
44:18J'ai enchaîné
44:20par quatre années chez les Hauts.
44:22Henri Michel.
44:24Hugo Guimet.
44:26Et là, ce n'est pas de ma faute, Fred.
44:28Allez, on fait la course en tête.
44:30Je suis actuellement en poste.
44:32Hervé Renard.
44:34Hervé Renard, mauvaise réponse.
44:36Ma sélection
44:38n'est ni africaine ni asiatique.
44:40Troisième indice.
44:42J'ai disputé l'Euro
44:442024.
44:46Willy Sagnol.
44:48Excellente réponse d'Hugo Guimet.
44:50Il est chaud, Hugo.
44:52Sélectionneur de la Géorgie, bien évidemment.
44:54De Gwara Tchkelia.
44:56J'ai entraîné
44:58huit sélections différentes.
45:00Claude Leroy.
45:02Éliminé.
45:04Parmi lesquelles ?
45:06Hervé Renard.
45:08Donc, je suis en vie.
45:10Exactement, Régis.
45:12Parmi lesquelles ? La Côte d'Ivoire.
45:14Le Nigeria.
45:16Le Burkina Faso.
45:18Ou encore, le Qatar.
45:22Avec en point d'orgue...
45:24La Mouchie.
45:26Vous nous mettez dessus ?
45:28Éliminé.
45:30Personne n'y pense.
45:32C'était Philippe Troussier.
45:34J'ai le temps encore pour un dernier.
45:36J'étais...
45:38Hervé Renard.
45:40Éliminé.
45:42J'étais en France, lors de la Coupe du Monde.
45:4498.
45:46Ah oui !
45:48Ma sélection, on sent malheureusement
45:50au premier tour...
45:5611 sélections différentes à mon actif.
46:00Comment ?
46:02Là, ça va aller très vite.
46:04Pas de réponse.
46:06Désolé, Claude.
46:08J'ai gagné.
46:10C'est gagné pour Hugo Guimet.
46:12Bravo, Hugo.
46:14On retrouve votre entretien sur l'équipe.fr
46:16de John Textor
46:18qui parle de la Ligue et de Nasser Khalafi.
46:20Une excellente soirée à vous.
46:22Merci de votre visibilité.
46:24A demain. Bye bye.

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