Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 04/02/2025.
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00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir, l'Atletico dans un fauteuil, tranquille, 5 à 0 contre
00:00:24Retafé, il n'est pas très bien classé dans le championnat d'Espagne, ils sont 14e,
00:00:29ils ont été complètement archi-dominés, rencontres plutôt sympathiques, des beaux
00:00:34gestes à vous proposer, des commentaires de nos chroniqueurs aînés, notamment l'un
00:00:39des nôtres, Olivier Rouillet, le chirurgien de l'image, l'homme qui opère en direct.
00:00:43Présentation de cette petite famille de l'équipe du soir, vous voyez le président Rouillet
00:00:50dans votre ville peuple Siali d'Alma, Stéphanie, Greg Schneider, Greg félicitations pour le
00:00:54prix du meilleur compte rendu de l'année sur le tir olympique à Châteaureau, il vous
00:00:58avait gagné 2000 euros, il ne nous avait même pas invité à boire, merci beaucoup
00:01:01Grégonne, Dominique Sévrac, c'est un scandale, mais félicitations quand même, non, quand
00:01:09ça se termine pas au bistrot, non, à quoi sert les prix, Tanguy Le Sévillier n'est
00:01:13jamais avare pour une bonne tournée, la tournée de l'Atletico c'est maintenant, et le 5.
00:01:17Et là il y a de l'image, vous allez voir, il y a des buts également ce soir dans ce
00:01:20derby madrilène entre l'Atletico de Madrid et Retafe, huitième minute de jeu, le premier
00:01:25but de cette partie avec le centre, vous allez le voir de Ravigalane après ce mauvais renvoi
00:01:30de la défense, Ravigalane qui va centrer à la retombée, Juan Bernat pour son premier
00:01:35match avec Retafe chute et ça profite à Giuliano Simeone, le fils de Diego qui place
00:01:41une tête imparable, on le revoit la tête elle est parfaite Olivier, merci Olivier,
00:01:49avec cette tête effectivement, et le deuxième but qui va intervenir assez rapidement, 17ème
00:01:57minute de jeu, une action à trois passes sur 80 mètres avec Samuel Lino au départ,
00:02:03Roulian Alvarez qui change le jeu pour Rodrigo De Paul et derrière en une touche, ça c'est
00:02:07magnifique pour la finition de Giuliano Simeone avec encore un doublé pour le fils de Diego,
00:02:13ça c'est magnifique la remise de De Paul.
00:02:15Non mais là sur cette action c'est super classe parce que moi ce que j'aime bien c'est
00:02:19tout de suite il a vu la course croisée de son coéquipier et il lui donne dans la profondeur,
00:02:25c'est absolument génial et puis en plus c'est d'une simplicité, c'est propre et à l'arrivée
00:02:29à l'intérieur du pied, tout ça est un régal.
00:02:31L'Atletico vous allez le voir continue de pousser avec l'arrêt parfait, la parade
00:02:35sensationnelle de Iri Letashek sur cette remise un petit peu heureuse de Samuel Lino, l'arrêt
00:02:42est magnifique et puis encore cette défense de Retafé qui se complique un petit peu la
00:02:47vie à la 34e minute de jeu, Omar Alderete qui fait un petit peu n'importe quoi, Alvarez
00:02:53est au départ, Griezmann récupère et rejoue avec Alvarez qui de manière un petit peu
00:02:57incompréhensible tire à côté.
00:02:59La remise était parfaite de la part de Griezmann.
00:03:03On est toujours en première période, l'Atletico continue son cavalier seul dans cette partie
00:03:0942e minute de jeu, la passe de Simonnet, plénaxe pour Roulian Alvarez et puis derrière
00:03:14la finition de Samuel Lino, c'est Roulian Iglesias qui mort dans la feinte du Brésil.
00:03:20Ils sont un peu fébriles quand même nos amis de Retafé, on ne peut pas vraiment dire
00:03:26ça non plus, c'est une défense quand même assez au point, c'est solide, pardon.
00:03:32En deuxième période, l'Atletico va continuer à attaquer, André Alcoya vous allez le voir
00:03:37à 20 mètres, profite de l'appel sur sa droite de Lino pour inscrire le quatrième
00:03:42but de cette partie, avec une férocité défensive au marquage, c'est le maître mot de cette
00:03:50soirée pour Retafé, puis encore une erreur défensive en fin de rencontre, le ballon
00:03:56récupéré par André Alcoya qui trouve sur l'autre, le 1-2 est parfait, victoire 5-0
00:04:01des Colchoneros qui se qualifient pour les demi-finales de la Coupe d'Espagne, on n'oublie
00:04:05pas que demain il y aura un autre derby madrilène entre l'Eganes et l'Oreal Madrid, ce sera
00:04:09évidemment sur la chaîne d'équipe, à partir de 20h00, pour l'aller droit, il n'y en a
00:04:14que 4 offerts sur les 5, il faudrait faire un effort pour le cinquième, mais la sorlotte
00:04:18ça lui fait du bien de marquer quand même, c'est lui on fait plaisir, c'est une bonne
00:04:22soirée, ça c'est une messe qui remet pas confiance, j'aurais aimé avoir votre arbitrage
00:04:27partagé sur cette action, question sur Jean-Dominique, 34ème minute Griezmann donne une passe décive
00:04:34à Julien Alvarez, on va revoir l'action, la passe est bien donnée ou la passe est mal
00:04:40donnée ou c'est Alvarez qui rate son contrôle, vous voyez où je veux en venir là, vous
00:04:43l'avez vu, je ne comprends pas, elle est toute simple, pour moi c'est Alvarez, son contrôle
00:04:49orienté fait qu'il se met en difficulté, peut-être parce qu'il vient de gagner, il
00:04:57a son pied qui est trop loin devant, ça donne de la puissance au ballon, ensuite il est
00:05:01obligé de frapper, malheureusement il y a un rebond en plus et ça le fait monter
00:05:05ce ballon, mais dès le départ, il est au contact, c'est lui qui fait la bagarre pour
00:05:11récupérer le ballon derrière, donc il est peut-être un petit peu gêné, on le revoit
00:05:15encore, pour moi elle est bonne, tu sais c'est dans son contrôle, il fait le contrôle un
00:05:22petit peu trop loin, pour frapper direct tu penses ? Non, là quand il fait son contrôle,
00:05:33je ne pense pas qu'il puisse, parce qu'il n'est pas dans son bon appui, il n'est pas
00:05:38dans son bon appui, pour frapper directement, il peut même la laisser derrière lui, c'est
00:05:43clair.
00:05:44Bon mes amis on va filer en Coupe de France, c'était autre chose au niveau défensif,
00:05:50Coupe d'Espagne, quart de finale, Coupe de France, huitième de finale, le Paris Saint-Germain,
00:05:56l'équipe à l'insert d'ailleurs, comme dirait notre Stéphane Guy, s'est qualifiée
00:05:59pour les quarts de finale, un succès 2-0 face au Mans, je le pique un peu parce que
00:06:03je le sens endormi Stéphane, 2-0 les buts, il y a eu pas mal de choses quand même.
00:06:07Oui il y a eu pas mal de choses, on s'est reparti avec une équipe parisienne un petit
00:06:11peu remaniée de la part de Louis Sénéqué, les parisiens qui étaient face à une équipe
00:06:15nationale, le Mans, avec ce ballon un petit peu perdu, on vous l'a mis de ralenti, complètement
00:06:21perdu, c'est Désiré Doué qui inscrit le premier but de cette partie, vous allez voir
00:06:26l'ouverture parfaite de Nuno Mendes pour l'appel parfait de Bradley Barcola qui inscrit
00:06:31le but du break pour les parisiens, l'image importante de cette partie à la 81ème entre
00:06:35un jeu de Presnel, Kimpembe, ça faisait 709 jours qu'il n'avait pas joué avec le Paris
00:06:39Saint-Germain et puis l'occasion Mansell, il y en aura eu plusieurs dans cette partie,
00:06:43il s'est signé Dame Gay, c'est repoussé par Saffronoff, à noter, petite information,
00:06:48que le Paris Saint-Germain n'a pas laissé la recette, ne laissera pas la recette de
00:06:52cette partie parce que c'est un club qui a le statut professionnel, ils la laisseront
00:06:57pour la demi-finale de France Féminine.
00:06:58Il y a un petit peu des problèmes d'argent parfois, ils viennent de dépenser 70 millions
00:07:02sur un Georgien, donc c'est quand même normal de ne pas laisser la recette.
00:07:06Ils avaient laissé 250 000 euros à Espaly qui était une équipe d'inflammateurs.
00:07:10Vous trouvez ça pingue ? Je ne sais pas c'est combien, ça s'élève
00:07:13à combien cette recette ? Pareil, tu les mets à 300 000, 350 000,
00:07:16ce qui pour Le Mans fait quand même une grande différence, même si c'est un club professionnel,
00:07:19c'est quand même un peu...
00:07:20Sur le pas de 350 000 ? Non.
00:07:21Vous trouvez que le geste aurait pu être fait ?
00:07:23Je pense.
00:07:24Ok, très bien.
00:07:25Pas d'action Stéphane Guy.
00:07:26Ok.
00:07:27J'ai trois solutions là.
00:07:30Je ne suis pas d'homme d'argent lui.
00:07:31A l'homme d'argent c'est Greil, c'est plutôt moi.
00:07:34Mais j'aurais laissé la recette, j'aurais laissé la recette.
00:07:38Tu te serais barré avec oui ? On ne t'aurait plus jamais revu.
00:07:43Paris qualifié pour les quarts de finale.
00:07:44J'ai trois petites choses à vous proposer.
00:07:46C'est le grand betzé ce soir dans l'équipe du soir.
00:07:49Vous retenez quoi ? La qualification de Paris, le retour en compétition après deux ans
00:07:53d'absence, un peu moins mais à peu près, Kimpembe qui rejoue ou Le Mans qui a été
00:07:57plutôt vaillant, habillage à la parisienne, habillage ce que vous voulez.
00:08:01Siami, vous auriez plutôt envie de mettre l'accent sur quoi ? La qualification, Kimpembe
00:08:05qui rejoue ou Le Mans, pas mal ? Vous n'avez pas trop de doutes sur la qualif,
00:08:09je dirais plutôt Le Mans.
00:08:10J'ai fait leur match.
00:08:11Le Muc ? Le Mans.
00:08:13Greg ? On va dire Kimpembe.
00:08:17Kimpembe, le maestro.
00:08:19Monsieur Stéphane ? PSG qualifié.
00:08:22PSG qualifié, on a vraiment un repas complet.
00:08:25Dominique ? C'est pas Kimpembe pour moi.
00:08:28Kimpembe, il en reste toujours.
00:08:31Olivier ? PSG qualifié.
00:08:33PSG qualifié, ok.
00:08:35Est-ce que vous aviez un doute en fait Olivier ?
00:08:38Non, pas du tout.
00:08:39Si j'ai eu peur, je vous vois.
00:08:41Non mais pas du tout, moi j'ai pas...
00:08:44Moi la vaillance de Dumans, excusez-moi, dans les 30 derniers mètres, ils sont trop
00:08:50faibles pour être...
00:08:51Alors si c'est parce que, ah oui, oui, il y avait de l'engagement, mais trop d'erreurs,
00:08:58trop d'erreurs, trop d'erreurs.
00:09:00J'en retiens rien moi de Dumans, je suis désolé.
00:09:03Je suis peut-être sévère, mais je ne retiens absolument rien.
00:09:06Je vous propose qu'on crée une rubrique dans l'équipe du soir Olivier.
00:09:09Chaque semaine, chaque journée, que ce soit le samedi, le dimanche, on voit un but comme
00:09:14le moment où on a pris un, le premier.
00:09:16C'est-à-dire que toutes les semaines, tous les matchs, tous les week-ends de match, il
00:09:20y a une mauvaise relance en repartant du gardien qui se termine par un but de l'adversaire.
00:09:25Non mais je vous trouve...
00:09:27Faire le ment, que le ment, c'est triste parce que je trouve qu'ils font un match très
00:09:31cohérent qui donne ce premier but à Paris.
00:09:33C'est terrible pour eux.
00:09:35Je ne comprends pas cette logique.
00:09:37Il recommence en deuxième période.
00:09:38Je vous trouve dur là-dessus.
00:09:40Je vous trouve dur là-dessus.
00:09:41On va en parler ?
00:09:42Mais je vous trouve dur là-dessus.
00:09:43On en parle tout de suite.
00:09:44Le Paris Saint-Germain joue bien le coup parce que c'est le joueur en plus qui contre et
00:09:50qui donne le ballon.
00:09:51Non mais ça ce n'est pas le problème.
00:09:52Ce que je veux dire c'est que tout de suite, c'est comme une sorte de contre-pressing.
00:09:56Il y a une coordination.
00:09:59Greg, je vais vous présenter dans les semaines à venir notre président du lundi soir qui
00:10:04s'appelle Roland Kourbis et qui nous dit la passe au 6 et tu le passes au 6.
00:10:10Non ce n'est pas l'effet.
00:10:13Parce qu'il n'a pas joué.
00:10:15Le gardien ne l'a pas fait.
00:10:17Vous avez une équipe sur trois qui le fait.
00:10:20Et donc disons qu'il y a des buts toutes les semaines.
00:10:23Tu prends des buts comme ça.
00:10:24Et ça continue.
00:10:25C'est magique.
00:10:26Tu pars du fait que si.
00:10:28En plus quand tu es Barça-PSG.
00:10:31Quand tu es Le Mans-PSG.
00:10:35Je pense que le joueur qui contrôle le ballon, je ne l'attendais pas.
00:10:42C'est-à-dire qu'ils sont tous à peu près calés.
00:10:45Mais c'est un joueur en plus.
00:10:46Ils sont quatre ou cinq à compacter.
00:10:48Je trouve que c'est pas mal joué.
00:10:49Greg c'est Gonzalo Ramos.
00:10:50Il est attaquant.
00:10:51Il va presser le défenseur.
00:10:53Non parce qu'il a déjà un défenseur dans le dos là.
00:10:56Et c'est celui qui arrive de côté qui le chope.
00:10:58Je trouve que c'est bien fait.
00:10:59Que ça soit bien fait.
00:11:00C'est logique.
00:11:01C'est très attendu.
00:11:02Le gardien et la longe terminée on en parle plus.
00:11:04Mais si la longe ça revient tout de suite.
00:11:05Non ça ne revient pas tout de suite.
00:11:06Mais non ça ne revient pas tout de suite.
00:11:08Ça revient moins vite.
00:11:09Tu leur donnes pas un but.
00:11:11De toute façon plus personne.
00:11:13Tout le monde essaie de relancer au pied.
00:11:14Donc les entraîneurs ne sont pas tous des abrutis.
00:11:16C'est un match de coupe Greg.
00:11:17Parce que c'est un match de coupe ça n'a rien d'être un match de coupe.
00:11:19Il y a deux niveaux d'écart comme dit Séphane.
00:11:21Il y a des effets de mode.
00:11:22Pour un moment donné c'était la chenille.
00:11:24Tout le monde faisait la chenille.
00:11:25Guy Lacombe il avait créé la chenille.
00:11:26On voyait les chenilles partout.
00:11:27Ça ne marchait nulle part.
00:11:28Je ne vois plus une équipe qui monte des chiches.
00:11:33Je ne vois plus une équipe qui monte des chiches.
00:11:35La chenille on va la mettre.
00:11:37On va donner la parole au papillon de l'équipe du soir.
00:11:39Siany qui n'a pas sorti.
00:11:41Mais vous vous retenez quand même quelque chose.
00:11:44Alors c'est quoi ?
00:11:45C'est les départs de jeu.
00:11:46Les petites choses comme ça.
00:11:47Moi j'ai trouvé des choses assez intéressantes.
00:11:49Alors déjà il faut quand même préciser que ce n'était pas la grosse équipe du soir.
00:11:52Ce n'était pas la grosse équipe du PSG non plus.
00:11:54Donc effectivement on a eu un match peut-être un peu moins disproportionné
00:11:58que si Cédric avait aligné son équipe.
00:12:01Mais du coup ça a donné un petit peu de spectacle.
00:12:04Le Mans a eu sa chance.
00:12:05Ils ont eu des occasions.
00:12:07Je dirais même des situations.
00:12:10Et en première mi-temps il y a même une situation
00:12:12où il y a un hors-jeu qui ne me semble pas forcément valable.
00:12:15Il est même scandaleux.
00:12:17Le Mans peut mener un 0.
00:12:20C'est exactement où le joueur part de son camp.
00:12:23Mais voilà.
00:12:24Après effectivement Olivier Raison était très limité offensivement.
00:12:27Et finalement ils n'ont pas tellement mis le PSG en danger.
00:12:30Mais en tout cas je trouvais que dans le jeu, dans l'envie
00:12:32et dans ce qu'il nous montrait, il y avait quelque chose.
00:12:34N'hésitons pas.
00:12:35Ça là-dessus.
00:12:36D'accord.
00:12:37C'est logique.
00:12:38Mais par exemple la plus belle occasion que tu nous as montrée
00:12:41quand il est en l'air et que la Vincenzo reprend le ballon.
00:12:44Déjà la qualité du centre n'est pas très bonne.
00:12:46Alors que c'est une situation simple.
00:12:48C'est une situation facile.
00:12:49Et puis la plus belle, et on ne l'a pas vue,
00:12:51mais la plus belle occasion où le Mans peut revenir au score,
00:12:54ça se passe sur le côté droit.
00:12:56Il y a juste à faire le centre en retrait pour donner une offrande
00:12:59parce qu'ils sont à 2 contre 1.
00:13:01Et le joueur il se trompe complètement.
00:13:03Il donne le ballon devant le gardien.
00:13:05Je me suis souvent dit qu'il s'est limité techniquement sur plein de trucs.
00:13:08C'est terrible.
00:13:09Mais c'est terrible.
00:13:10Terrible ou pas.
00:13:11Non, c'est des erreurs.
00:13:12Ils sont nationals.
00:13:13Oui mais quand même.
00:13:14Non mais ça c'est…
00:13:15Non mais j'entends bien.
00:13:16Oui mais Steph, mais ça c'est…
00:13:17Tu te rends compte que celui qui a le ballon, il est absolument seul.
00:13:22Il n'y a pas de contrainte ni quoi que ce soit.
00:13:25Il y a son copain qui est là et il y a un défenseur et le gardien.
00:13:28Il y a juste à faire ça et lui il met le ballon là.
00:13:31Par rapport à ce que vous dites…
00:13:33Là je suis sévère, certes.
00:13:34Oui, l'équipe du soir qui roule pour les équipes les plus fortes.
00:13:38Mais non, mais par rapport à ce que vous dites,
00:13:40je trouve qu'il y a eu beaucoup trop de situations comme ça
00:13:43pour qu'on puisse dire que le PSG a fait un bon match.
00:13:46Je ne dis pas que le PSG a fait un bon match.
00:13:47Tu ne dois pas regarder souvent les matchs du PSG
00:13:49parce que quel que soit l'adversaire, il y a énormément d'occasion pour lui.
00:13:52Et quand c'est une équipe qui joue comme Brest,
00:13:54tu as vu un match Brest-PSG.
00:13:56C'est là que je voulais en venir.
00:13:58Parce que Brest joue au foot.
00:13:59Je trouve qu'il laisse beaucoup de choses à l'adversaire.
00:14:01Et c'est pas nouveau.
00:14:02Parce qu'il laisse énormément d'espace.
00:14:05Et puis ce soir, ils étaient quand même en semi-retraite.
00:14:10Il y a quand même un des plus mauvais défenseurs de l'histoire
00:14:12qui s'appelle Berraldo.
00:14:13Lucas Berraldo quand même qui est face à n'importe quelle division.
00:14:17Mais nul.
00:14:18Il est mauvais en vitesse.
00:14:20Il est mauvais dans les duels.
00:14:21Il n'est pas très bon dans les relances.
00:14:23Il n'a pas de bon jeu de tête.
00:14:24Donc comme défenseur, je ne sais pas vraiment.
00:14:26Il fait vraiment le nôme.
00:14:27Il ne sert à rien.
00:14:28Il a une bonne passe.
00:14:29Pardon ?
00:14:30Il a une bonne passe.
00:14:31Il est international brésilien.
00:14:32Tout ça fait qu'il est international brésilien.
00:14:35Je ne conteste pas ce que tu dis.
00:14:38Il fait un peu d'ironie mais pas sur vous.
00:14:40Sur la situation du football brésilien.
00:14:42Mais là, il a un peu perdu sa place sur les derniers rassemblements.
00:14:45En tout cas, la place du titulaire.
00:14:46Et donc, non Greg, c'est normal que le Mans ait des occasions.
00:14:52Puisque tous les adversaires…
00:14:53Que ce soit normal, je ne sais pas ce que j'ai dit.
00:14:56Je dis que c'est quand même récurrent.
00:14:58Et que contre cette équipe-là, avec un peu de justesse,
00:15:00tu pouvais en prendre deux ou trois.
00:15:02Et ça, ça m'étonne un peu quand même.
00:15:03Moi, je suis surpris du match du Mans quand même.
00:15:05Je parie dans le sens de Siani.
00:15:07Je trouve que c'est une équipe…
00:15:08Je leur reproche ce but encaissé.
00:15:10Mais ça témoigne de la capacité qu'ils ont eue du début à la fin à jouer.
00:15:13Ils ont joué quand même contre Paris.
00:15:15Ils ont bien aimé leur petit burlet sur le côté.
00:15:17Ils n'ont pas les moyens.
00:15:18Malheureusement, ils ne jouent pas dans le même cours.
00:15:20Mais il y avait beaucoup de bonnes choses.
00:15:22Paris s'est adapté.
00:15:23Paris s'est complètement adapté.
00:15:24À retenir également, ça faisait à peu près 12 ans.
00:15:27À peu près, parce que la dernière rencontre Tanguy,
00:15:30c'était le 26 février 2023.
00:15:32Une blessure de Kimpembe qui rechute.
00:15:35Ça faisait deux ans qu'il n'avait pas joué, Kimpembe.
00:15:37Greg et Dominique, vous avez retenu Kimpembe.
00:15:41Kimpembe, vous n'avez pas en coulisses des informations très sereines
00:15:46sur l'avenir de Kimpembe ou Paris Saint-Germain.
00:15:48Non, je suis déjà content.
00:15:51Je suis toujours content quand un joueur blessé rejoue.
00:15:53Pour moi, c'est très important qu'un footballeur puisse faire son métier.
00:15:56Ça, c'est super pour lui.
00:15:58Après, j'avais des doutes.
00:15:59Justement, à Espalie, le terrain n'était pas bon.
00:16:02Ce n'était peut-être pas lui faire un cadeau.
00:16:03Le terrain n'était pas terrible ce soir non plus.
00:16:05Je pense qu'on peut jouer.
00:16:07À un moment donné, il y a combien à Espalie ?
00:16:08Il y a 3 ou 4 rangs.
00:16:09On peut jouer sur 5 minutes, 2 minutes.
00:16:12Juste pour qu'il ait envie de dire que c'est fait.
00:16:15J'avais un doute sur le fait qu'il le relance carrément.
00:16:18On sait que la relation entre Kimpembe et Luis Enrique
00:16:22ce n'est pas ça.
00:16:23Ce n'est pas tout à fait le football.
00:16:25Est-ce qu'il a l'appui de Luis Campos ?
00:16:27Ou pas ?
00:16:28Aujourd'hui, Luis Enrique fait beaucoup ce qu'il veut.
00:16:30Il faut parler à Dieu.
00:16:32Il veut aller au Lyonnais la saison prochaine.
00:16:35Tout le monde connaît le nom.
00:16:36Il joue à Lille.
00:16:37Il s'en fout du contrat de De Naruma.
00:16:40Il ne lui reste qu'un an.
00:16:42Il aura des propositions.
00:16:44C'est le capitaine de l'Italie.
00:16:45Il y a des clubs qui vont vouloir de De Naruma.
00:16:48Il est obsédé par le jeu au pied des gardiens.
00:16:51Il considère que De Naruma, ce n'est pas ça.
00:16:53Il considère que Kimpembe, dans son placement,
00:16:55ce n'est pas un défenseur.
00:16:57Même s'il était au sommet de son art,
00:17:00Kimpembe, ce serait un Béraldobis.
00:17:03Kimpembe, son retour, pour les mêmes raisons.
00:17:06Ça fait toujours plaisir de voir quelqu'un qui rejoue.
00:17:09Il ne faut pas le juger sur ce qu'on a vu.
00:17:13C'est le premier quarton jaune.
00:17:15Je pense que ça a été cataclysmique.
00:17:18Il n'a pas joué depuis deux ans.
00:17:21Il reprend la température.
00:17:24Deux ans, je n'ai rarement vu ça.
00:17:26Avec les moyens modernes,
00:17:29comme rien, tu l'envoies à Spertard,
00:17:31tu le soignes au laser,
00:17:33tu lui mets du sang de veau réticulé.
00:17:35Deux années...
00:17:37Peut-être pas autorisé ?
00:17:39Oui.
00:17:41Je dis ça, je n'en sais rien.
00:17:43C'était à titre d'exemple.
00:17:45Il me semble que deux ans,
00:17:47je commençais à me demander
00:17:49si c'était encore possible
00:17:51ou s'il n'y a pas quelque chose d'invalidant.
00:17:53C'est arrivé à Jimmy Cabot qui a pris sa retraite
00:17:55il n'y a pas longtemps.
00:17:57Il est là parce que c'est un titi,
00:17:59parce qu'il est vice-capitaine.
00:18:01Achraf Hakimi lui a donné son brassard.
00:18:03La saison dernière, il se fait opérer,
00:18:05moyennant une prolongation.
00:18:07Avec son club.
00:18:09Je me fais opérer, mais vous me prolongez.
00:18:11Il est intouchable.
00:18:13C'est très compliqué.
00:18:15L'entraîneur, le directeur sportif
00:18:17ou le président qui prendra la décision
00:18:19de le mettre sur le marché,
00:18:21il va se prendre des ultras dans la gueule.
00:18:23C'est un mec qui est adoré.
00:18:25C'est le gars qui prend le mégaphone.
00:18:27C'est le gars qui, lors des PSG-Marseille,
00:18:29a toujours une attitude de...
00:18:31Je n'aime pas le mot de guerrier,
00:18:33mais voilà ce que je veux dire.
00:18:35Il est adoré.
00:18:37Il a des vrais états de service.
00:18:39Ce n'est pas qu'un joueur vitrine.
00:18:41C'est un joueur qui a montré ses capacités.
00:18:43C'est vrai que c'est émouvant
00:18:45de voir un joueur revenir deux ans après.
00:18:47Louis Seydriki a parlé de
00:18:49Presnel Kimpembe en conférence de presse.
00:18:51C'est à vous, Louis.
00:18:53Kimpembe a été sans aucun doute
00:18:55l'un des leaders du vestiaire.
00:18:57Il a été écarté des terrains très longtemps
00:18:59et son retour a été très long.
00:19:01C'est un jour très heureux pour lui.
00:19:03Il a pu prendre part au match
00:19:05à un niveau élevé.
00:19:07Il progresse physiquement
00:19:09et est proche de revenir à 100%.
00:19:11C'est une bonne nouvelle,
00:19:13même si le terrain n'était pas
00:19:15le plus adapté pour rejoindre.
00:19:17On continue cette journée
00:19:19des bonnes nouvelles ?
00:19:21Il fait très attention
00:19:23à ne jamais froisser les supporters.
00:19:25Il connaît l'histoire de Kimpembe avec eux.
00:19:27Je pense qu'il marche sur des oeufs.
00:19:29Presnel Kimpembe ment en fait.
00:19:31Tous les entraîneurs mentent
00:19:33en conférence de presse.
00:19:35S'il dit qu'il n'aime pas Kimpembe,
00:19:37il jouera très peu.
00:19:39Il ment car c'est ce qu'il a envie de dire.
00:19:41Faire un retour à un très haut niveau,
00:19:43il ne faut pas exagérer.
00:19:45Presnel Kimpembe a parlé
00:19:47de son retour au très haut niveau.
00:19:49Il a parlé chez le diffuseur France Télévisions.
00:19:51Il y a forcément beaucoup d'émotions.
00:19:53C'était mes premières minutes
00:19:55avec la plupart de mes coéquipiers.
00:19:57Il y a eu beaucoup de mouvements
00:19:59ces deux dernières années.
00:20:01C'est une délivrance.
00:20:03Un train qui n'arrive pas à l'heure.
00:20:05L'élimination d'Ile ou la qualification
00:20:07de Dunkerque.
00:20:09Les Lillois sont insubmersibles.
00:20:11Ils se sont trouvés plus insubmersibles
00:20:13que Dunkerque qui a frôlé
00:20:15deux fois l'élimination.
00:20:17C'était à Lille en plus.
00:20:19Dans cet affrontement entre une Ligue 1 et une Ligue 2.
00:20:21Ça s'est passé dans les dernières minutes
00:20:23pour ouvrir le score.
00:20:25Très bon travail de Jonathan David dans la surface.
00:20:27Il va trouver André Gomez
00:20:29qui marque en première intention.
00:20:31Le portugais qui permet à son équipe de mener 1-0.
00:20:33Il y avait 5 minutes de temps additionnel.
00:20:35Les Dunkerquois vont marquer à la 96e
00:20:37grâce à Kei Tejan.
00:20:39Direction la séance de tir au but.
00:20:413-0 à ce moment-là pour Lille
00:20:43avec le pénalty d'André Gomez.
00:20:45C'est Ewen Jaouen
00:20:47le gardien de l'USDL
00:20:49qui termine le travail
00:20:51et qui qualifie Dunkerque pour les quarts de finale.
00:20:53C'est une première depuis plus de 50 ans
00:20:55pour Dunkerque.
00:20:57La dernière fois c'était en 1971.
00:20:59Ça vous ferait plaisir ?
00:21:01C'est partie de la Coupe ?
00:21:03C'est pour le moins.
00:21:05C'est une équipe qui est en pleine bourre depuis des mois.
00:21:07Vous êtes lié un peu effectivement.
00:21:09J'ai ma famille là-bas.
00:21:11C'est pas rien.
00:21:13Ils ont quand même un coup de mou.
00:21:15Vous étiez roumain.
00:21:17Ah d'accord.
00:21:19Le Roumano Dunkerque.
00:21:25Ça fait 2-3 semaines
00:21:27qu'ils perdent un peu le fil.
00:21:29Ils ont perdu contre Martigues
00:21:31vendredi en ski.
00:21:33C'est le genre de truc qu'il ne faut pas faire
00:21:35quand tu es à la lutte pour la montée.
00:21:37Je ne m'attendais pas à ce coup-là.
00:21:39On s'en fiche.
00:21:41C'est un miracle.
00:21:45Il y avait un article de l'équipe qui était formidable
00:21:47où ils expliquaient un truc.
00:21:49Pour vous expliquer Dunkerque.
00:21:51C'est la deuxième équipe d'Europe
00:21:53après le Barça
00:21:55qui prend le plus
00:21:57dans les 5 championnats les plus riches.
00:21:59Qui prend le plus au piège du hors-jeu
00:22:01l'adversaire.
00:22:03C'est une équipe extrêmement ambitieuse
00:22:05qui envoie beaucoup de jeux,
00:22:07qui joue beaucoup.
00:22:09C'est Lille qui se saborde.
00:22:11C'est aussi Lille qui se saborde.
00:22:13Lille a fait le même match
00:22:15que contre l'OM au tour précédent.
00:22:17C'est le scénario du match
00:22:19de l'OM au tour précédent.
00:22:21Cette fois-ci, la pièce est tombée
00:22:23du mauvais côté pour Lille.
00:22:25Le gardien qui s'impose
00:22:27devant Ralsog.
00:22:29Deuxième miracle.
00:22:31Il dégoûte David à la 55ème minute.
00:22:33Il est sauvé également
00:22:35par Kondo sur sa ligne.
00:22:37Trois poteaux, trois fois sauvés par les montants.
00:22:39Il y a eu un peu d'orage de graines.
00:22:41C'est miraculeux.
00:22:43Lille contre Marseille.
00:22:45Ils prennent la lutte à la dernière minute.
00:22:47Ça passe.
00:22:49Dans la séance de tir au but,
00:22:51ils mènent combien ? 3-0.
00:22:53C'est un miracle.
00:22:55Celui qui a vécu un petit cauchemar
00:22:57c'est Alexandro qui sort le but
00:22:59d'égalisation de Dunkerque et à la pêche.
00:23:01Et puis il rate la balle de match.
00:23:03Ils sont à 3-0.
00:23:05Il renvoie le doute dans son camp.
00:23:07Pendant la séance de tir au but,
00:23:09ils ont eu 5 balles de match.
00:23:11Il y en a 3 qui ont été sur le gardien lillois.
00:23:13Et il y en a 2 qui ont été sur les tireurs lillois.
00:23:155 balles de match consécutives.
00:23:17Dans le vestiaire, qualifiés
00:23:19pour les quarts de finale, c'est la belle fête.
00:23:21Images à l'intérieur du vestiaire.
00:23:23On y va.
00:23:25Et aujourd'hui,
00:23:27on a joué,
00:23:29on a joué,
00:23:31la Coupe de France,
00:23:33la Coupe de France,
00:23:35et les Lillois,
00:23:37et les Lillois,
00:23:39à Derby,
00:23:41et à Derby,
00:23:43et ça se joue pas,
00:23:45et ça se gagne,
00:23:47et ça se gagne,
00:23:49et ça se gagne,
00:23:51on est venus,
00:23:53on les a tapés,
00:23:55et ouais,
00:23:57et ouais,
00:23:59un petit match,
00:24:01un petit match,
00:24:03un petit match,
00:24:05on veut une grosse prime,
00:24:07on veut une grosse prime,
00:24:09on veut une grosse prime.
00:24:11Et c'est Wens Jahwen, le petit match,
00:24:13c'est un grand match d'un grand gardien de Dunkerque,
00:24:15son 4ème de Ligue 2,
00:24:17qui sont quand même en course pour la montée directe,
00:24:19son 4ème à 4 points du PFC.
00:24:21Et quand Dunkerque, ça sera lundi ?
00:24:23Oui, monsieur Stéphane ?
00:24:25Non mais le gardien c'est vrai,
00:24:27parce que c'est le héros de Grodes l'an passé contre Monaco,
00:24:29on vous coupe, juste, Brest qualifié pour l'écart de finale,
00:24:31quelques images juste avant la pause, on y va.
00:24:33Oui, logique respectée en revanche,
00:24:35entre Troyes et Brest, Troyes qui était en Ligue 2,
00:24:37et qui s'est fait battre par Brest
00:24:39avec ce premier but signé Ibrahim Salah
00:24:41qui grille la priorité à Romain Fèvre
00:24:43pour ouvrir le score,
00:24:45ça se passe à la 49ème minute
00:24:47de jeu au Stade de l'Aube,
00:24:4955ème minute de jeu, l'égalisation,
00:24:513ème, le Comorien Raffi Kissei
00:24:53qui s'amuse côté gauche, sa frappe est détournée
00:24:55par le malheureux Hugo Magneti
00:24:57qui marque contre son camp, et puis en fin de match,
00:24:5992ème minute de jeu, c'est Abdallah Sima
00:25:01qui reprend son camp de Mathias Pérelache,
00:25:03on le rappelle, Brest est en barrage de C1
00:25:05et en quart de finale de la Coupe de France.
00:25:07Bientôt un Brest PSG en Coupe de France.
00:25:09Dans quelques minutes, on y va faire un tour du Mans
00:25:11pour y retrouver notre envoyé spécial
00:25:13Giovanni Castaldi qui a tout vu, tout entendu,
00:25:15dans quelques minutes on refait le match
00:25:17à la Calique du PSG avec Giovanni, à tout de suite.
00:25:27C'est fait.
00:25:29Les amis, retour sur le plateau
00:25:31de l'Equipe du Soir, celui qui anime
00:25:33nos pubs, c'est Grégory Schneider, peut-être un jour
00:25:35on fera une émission sur Twitch, un truc comme ça
00:25:37les pubs de l'Equipe du Soir
00:25:39avec Greg, parce que Greg est vraiment
00:25:41formidable à la pub.
00:25:43Giovanni Castaldi, notre envoyé spécial
00:25:45est du côté du Mans, bonsoir Giovanni.
00:25:47Est-ce que vous êtes là Giovanni ?
00:25:49Si vous n'êtes pas là, ben voilà.
00:25:51Oui, bonsoir mémé, bonsoir.
00:25:53On a...
00:25:55Vous avez l'une erreur, là vous nous avez attendus.
00:25:57Giovanni, on a fait un peu
00:25:59le débriefing du match en vous attendant.
00:26:01Vu de la télé, on a
00:26:03vu le PSG offrir beaucoup
00:26:05de situations au Mans.
00:26:07Vous avez assisté à la conférence de presse
00:26:09est-ce que Luis Henrique l'a noté, a tiré un peu
00:26:11la soleil de l'alarme ou comment il a expliqué ça ?
00:26:13S'il a été interrogé là-dessus, Giovanni.
00:26:19Écoutez mémé, Luis Henrique
00:26:21il l'a dit, je trouve qu'il est toujours très respectueux
00:26:23en Coupe de France de toute façon
00:26:25des adversaires. Il a souligné
00:26:27la difficulté de cette compétition.
00:26:29Il a estimé que son équipe
00:26:31avait été sérieuse
00:26:33tout en louant le football
00:26:35qu'avait proposé le Mans.
00:26:37Il a plusieurs fois quand même insisté sur
00:26:39l'état de la pelouse mais pas
00:26:41dans le sens du jeu développé.
00:26:43C'était plus sur les questions sur Presnel Kimpembe
00:26:45en disant qu'il appréhendait un peu de le faire entrer
00:26:47vu l'état de la pelouse et la
00:26:49blessure de l'international français.
00:26:51J'arrête un peu parce qu'il y a le bus du Paris Saint-Germain
00:26:53qui est en train de quitter le Mans et il y a quelques
00:26:55supporters du PSG qui applaudissent.
00:26:57Donc non, sur les occasions concédées
00:26:59il a dit c'est normal, Safonov a fait
00:27:01un bel arrêt mais pas de sonnette d'alarme
00:27:03en particulier.
00:27:05Autre chose à retenir sur la con
00:27:07de Luis Henrique, Giovanni ?
00:27:11Je trouve, pour l'avoir
00:27:13connu tendu, notre ami Luis Henrique
00:27:15est un petit peu à cran, notamment sur la
00:27:17période Bayern-Arsenal-Atletico
00:27:19de Madrid, il est de mieux
00:27:21en mieux, beaucoup plus confiant,
00:27:23souriant, il s'ouvre un peu plus,
00:27:25on va vers un Luis Henrique nouveau.
00:27:27Mais vous avez un exemple
00:27:29pour dire qu'il s'est vachement détendu aujourd'hui ?
00:27:31Qu'est-ce qu'il y a ?
00:27:33Vous avez posé une question, il vous a dit super question
00:27:35de Giovanni, vous êtes en progrès ?
00:27:37Il a dit je regarde la chaîne d'équilibre je crois.
00:27:39Il l'a tutoyé je crois.
00:27:41Moi je m'en fous
00:27:43qu'il ai mes questions ou non mais ce que je veux dire c'est que
00:27:45il rentre parfois un peu plus dans le détail.
00:27:47Il lui a posé par exemple une question sur les jeunes parisiens
00:27:49qui étaient en difficulté. Je pense qu'on a tous
00:27:51vu la première période de Zagui qui a été
00:27:53cataclysmique. Il dit je ne suis pas là
00:27:55pour faire des cadeaux, il y a de la concurrence, il rentre
00:27:57plus dans les détails. Il est aussi rentré
00:27:59dans les détails par exemple sur l'association avec
00:28:01Gonzalo Ramos et Guevara Schellia
00:28:03parce qu'on a parfois vu Ramos sur le côté gauche
00:28:05et Guevara en pointe. Il a rappelé
00:28:07toute la synergie.
00:28:09Mais c'est plus dans la manière qu'il a
00:28:11de s'exprimer. Il est détendu, il se sent
00:28:13moins agressé, il est moins sur la défensive.
00:28:15Donc déjà, le dialogue
00:28:17est plus facile. Donc c'est agréable de travailler comme ça.
00:28:19Et je pense que c'est plus agréable pour tout le monde.
00:28:21Olivier, je vous félicite pour cette belle paire
00:28:23de gants que vous avez évidemment aux mains.
00:28:25Maintenant, je vais vous...
00:28:27Il y a quelqu'un qui est agacé. Je vous passe
00:28:29Dominique Sévrac. Je crois que vous êtes au bord de la contre-avance.
00:28:31Dominique, allez-y. Oui, ça sera 135 euros.
00:28:33Et 4 points.
00:28:35Vous n'êtes pas garé là. Vous êtes sur une place handicapée.
00:28:37Voilà, merci beaucoup.
00:28:39Tout simplement.
00:28:41C'était Giovanni Castaldi.
00:28:43Le contrevenant Castaldi.
00:28:45Pris en flag du côté du Mans.
00:28:47Ce soir, il paraissait qualifié. Giovanni,
00:28:49on vous embrasse. Bonne soirée.
00:28:51Lucas Blanchard aussi, qu'on salue évidemment,
00:28:53qui était à la caméra. Merci beaucoup.
00:28:55Les mondiaux de ski
00:28:57à présent.
00:28:59Trouver les bronzés, oui.
00:29:01Première journée aujourd'hui
00:29:03en Autriche.
00:29:07Vous me dites que
00:29:09ce n'est pas le cinéma, ça me va.
00:29:11Pardon ?
00:29:13C'est quoi ces trucs ?
00:29:15Le niveau culturel,
00:29:17zéro.
00:29:19Le rouge, le rouge.
00:29:21Bah oui, direct.
00:29:23Non, mais t'as pas le droit.
00:29:25Alors, un rouge pour Tandil
00:29:27le sévillé, on réclame pas.
00:29:29J'allais le faire.
00:29:35Les images du côté de Salbar en Autriche.
00:29:37Pas de médaille pour la France
00:29:39aujourd'hui éliminée dès l'écart de finale.
00:29:41On va voir ça en images.
00:29:43La compétition
00:29:45juste avant les deux tollards. Maintenant les images,
00:29:47s'il vous plaît. C'est le bouton à droite.
00:29:49La compète, c'est le Stallum Parallel
00:29:51par équipe mixte. Défaite.
00:29:53Trois victoires à une
00:29:55pour l'Italie. Sous vos yeux,
00:29:57le dernier Stallum Parallel gagné par Filippo
00:29:59della Vite.
00:30:01Vous le voyez,
00:30:03il passe la ligne. La France pourra se consoler
00:30:05en étant sortie par les futurs champions du monde.
00:30:07L'Italien qualifié pour l'ennemi,
00:30:09puis qualifié pour la finale.
00:30:11Victoire de l'Italie en finale contre
00:30:13la Suisse. Alors à égalité
00:30:15de victoire partout, l'Italie s'impose
00:30:17au temps général pour
00:30:1945 centièmes de seconde
00:30:21seulement. Tous ces joueurs
00:30:23là, lors de cette dernière course,
00:30:25remportés par Alex Wienatzer,
00:30:27qui a mis K.O. dès la sortie du
00:30:29portillon de départ le Suisse Thomas Tömmler.
00:30:31Coup double donc pour Alex Wienatzer
00:30:33qui est à gauche. Victoire pour
00:30:3561 centièmes de seconde et donc
00:30:37titre mondial à la clé.
00:30:39Pas de médaille, je vous l'ai dit, pour la France aujourd'hui.
00:30:41Ce qui ne signifie pas pas de médaille
00:30:43pour une Française. Une Française dans cette
00:30:45course a remporté la médaille de bronze.
00:30:47Elle se nomme Estelle Alphand.
00:30:49Oui, Alphand, la fille de l'autre.
00:30:51Et concours pour quoi ? Pour la Suède.
00:30:53En 2017, la fille de Lucio
00:30:55dont la maman est suédoise a changé de nationalité
00:30:57sportive. Franck Spiron
00:30:59l'a rencontrée au pied du podium.
00:31:01Alors changer de nationalité sportive,
00:31:03est-ce que ça a été un cas de conscience ? Est-ce que ça a été difficile ?
00:31:05Écoutez cette petite discussion.
00:31:07Difficile, c'est sûr, mais après,
00:31:09c'est vrai que c'était un moment de ma carrière
00:31:11où j'avais besoin de changement.
00:31:13Comment ça se passe dans l'équipe de Suède ?
00:31:15C'est plus difficile de performer ?
00:31:17Le niveau est plus dense ?
00:31:19C'est différent. Après, c'est vrai qu'on a
00:31:21deux leaders
00:31:23qui sont assez vite
00:31:25tout le temps.
00:31:27Difficile, oui, de faire sa place, c'est sûr.
00:31:29Mais après, c'est motivant.
00:31:31On ne peut pas revenir en équipe de France ?
00:31:33On ne peut pas rechanger de nationalité en cours de carrière ?
00:31:35Je crois que pour la FISE,
00:31:37on ne peut changer qu'une seule fois.
00:31:39Après, je ne vais pas faire le yo-yo
00:31:41encore.
00:31:43La FISE, c'est la fédération internationale
00:31:45de ski esthéle alpha, emmédaillée avec la Suède
00:31:47pour la deuxième fois de sa carrière dans un mondial.
00:31:49La France a-t-elle perdu un grand talent ?
00:31:51On est allé voir notre consultant
00:31:53Jean-Baptiste Grange. Opinion,
00:31:55Jean-Baptiste, à vous de jouer.
00:31:57Alors non, je n'irai pas jusque-là.
00:31:59Je vais vous prendre un exemple.
00:32:01Pour moi, Clara Direz était du même niveau
00:32:03qu'Estelle Alphand en étant jeune.
00:32:05Ensuite, Estelle est partie en Suède.
00:32:07Et depuis, les deux filles sont restées
00:32:09à peu près au même niveau.
00:32:11Je dirais même qu'une Clara Direz
00:32:13fait une très belle saison l'année dernière.
00:32:15Donc, elle a pris un petit peu le dessus
00:32:17sur Estelle.
00:32:19On ne saura jamais vraiment
00:32:21ce qu'elle aurait fait en restant en France.
00:32:23Mais en tout cas, elle n'a pas explosé
00:32:25en allant en Suède.
00:32:27Donc, pas de regret.
00:32:29Merci. Demain, repos au Mondiaux.
00:32:31Rendez-vous jeudi, Super G-Dame.
00:32:33Rendez-vous à 11h05.
00:32:35Oui, Grégory ?
00:32:37Tant que ça commence.
00:32:39Pour tenir dix jours, ils font quand même
00:32:41des épreuves un petit peu.
00:32:43Ils nous ont sorti le Scalome Mixte.
00:32:45Excusez-nous, vous étiez en taule.
00:32:47Je trouve que ça n'a pas la valeur
00:32:49d'une médaille en descente
00:32:51ou le Super G-Dame.
00:32:53Là, c'est tout autre chose.
00:32:55Comme vous avez dit hors antenne,
00:32:57on avait aussi envoyé une vachette au milieu.
00:32:59Comme ça, c'était encore plus rigolo.
00:33:01Je trouve que c'est un petit peu...
00:33:03Demain, il n'y a rien.
00:33:05C'est des épreuves spectaculaires.
00:33:07Si c'est un sport qui a une histoire,
00:33:09l'histoire, ça reste le ski.
00:33:11J'espère qu'ils vont rentrer
00:33:13chez eux.
00:33:15Le Scalome parallèle mixte,
00:33:17ça devient...
00:33:19Il y retourne.
00:33:21Franchement, il est dingon.
00:33:23Il y retourne.
00:33:25C'est privé de jeu.
00:33:27Franchement, là,
00:33:29on a l'impression d'avoir vendu
00:33:31du beurre aux Allemands.
00:33:35Une compétition
00:33:37des championnats du monde
00:33:39qui sont liées dans un février royal
00:33:41offert par vous sur la chaîne Netflix.
00:33:43Je crois que j'ai envie d'appuyer le droit de l'achat.
00:33:45On peut appuyer.
00:33:49Le Super G, ça ne vaut pas beaucoup
00:33:51qu'on se lève demain matin.
00:33:53Demain, non.
00:33:55C'est journée de repos.
00:33:57Jeudi, vous pouvez le jouer.
00:33:59Schneider, silence, vous êtes en tour.
00:34:01Vous êtes comment en culture de ski ?
00:34:03Moi, je ne suis pas bien.
00:34:05En dessous de zéro, ça n'existe pas.
00:34:09Moi, je connais Tessa Worley.
00:34:11C'est l'autre consultante.
00:34:13Je vous propose de découvrir
00:34:15la cérémonie d'ouverture.
00:34:17Ce n'est pas l'illustre des JO 2024.
00:34:19Il y a un chanteur qui chante
00:34:21lors de la cérémonie d'ouverture.
00:34:23Si vous êtes bon en ski,
00:34:25vous allez pouvoir deviner qui c'est.
00:34:27On y va.
00:34:49...
00:35:01Les chroniqueurs ont tout séché.
00:35:03C'est le Croate Ivica Kostelic.
00:35:05Champion du monde de snowboard.
00:35:07C'est son pays.
00:35:09C'est sa soeur qui était forte.
00:35:11Vainqueur du Gros Globe en 2011.
00:35:13Comment s'appelait-elle ?
00:35:15Yannick.
00:35:17Merci.
00:35:19...
00:35:21Ça va être lancé, mon dieu.
00:35:23...
00:35:25Rendez-vous demain.
00:35:27Jeudi, Super G.
00:35:29A du côté de la chaîne d'équipe.
00:35:31Rendez-vous.
00:35:33Je vous prescris tous une ordonnance.
00:35:3511h05, vous êtes devant la chaîne d'équipe.
00:35:37Surtout vous, le général.
00:35:39Et Clément de Boots.
00:35:41...
00:35:43On a les moyens dans le sport.
00:35:45...
00:35:47Les choses sérieuses commencent.
00:35:49Soir de coupe.
00:35:51Coupe d'Italie à Talanta Bologne.
00:35:53C'est quoi ?
00:35:55Victoire des visiteurs !
00:35:571but à 0
00:36:07En demi-finale de la Coupe d'Italie.
00:36:09C'est la fiche pour la fin
00:36:12que l'on vous propose ce mercredi sur l'équipe live.
00:36:14Coupe d'Allemagne, Stuttgart-Augsbourg.
00:36:16Augsbourg, c'est pas le PSG.
00:36:18Non, victoire 1 but à 0 du VFB Stuttgart
00:36:22grâce à Denis Zundaf.
00:36:24Vous allez le voir, le contre est heureux.
00:36:26Il va pouvoir faire le 1-2 avec Demirovic.
00:36:30Il remet parfaitement le ballon.
00:36:32Denis Zundaf qui offre la qualification à son équipe pour les demi-finales.
00:36:36Ce mercredi, c'est Leverkusen également
00:36:38qui sera sur l'équipe live face à Cologne.
00:36:40Une manche forte dans le journal de Tanguy Le Sévillé.
00:36:42Les larmes de Félix Lebrun, éliminé dès le 2e tour du côté de Singapour.
00:36:46Une grosse désillusion pour Félix Lebrun
00:36:48qui a donc effectivement terminé en pleurs.
00:36:51La raison est simple, il menait 8-3 dans la manche décisive
00:36:54grâce à ce très très joli point.
00:36:57Mais c'est finalement son adversaire taïwanais Shengjue Cao
00:37:01qui l'a mis KO justement en effectuant une remontée fantastique.
00:37:04Félix Lebrun s'incline finalement 11-9 dans cette manche décisive.
00:37:08Vous allez voir le dernier point de cette partie.
00:37:11Les espoirs reposent désormais sur le grand frère Alexis
00:37:14qui disputera son 2e tour dans les heures qui viennent
00:37:16face à Hiroto Shinozuka, 26e mondial
00:37:18et Simon Gauzy face au 2e mondial, Shidong Lin.
00:37:22C'est fluide.
00:37:23Félix, l'information du jour, la retraite pour Simona Lepp.
00:37:26Oui, là on va parler de la Roumanie.
00:37:28Greg, ça va te plaire.
00:37:29Une défaite 6-1, 6-1 aujourd'hui du côté de Cluj
00:37:32qui aura donc scellé la carrière de la Roumaine.
00:37:34Simona Lepp, 33 ans.
00:37:36Elle avait démarré sur le circuit professionnel en 2006.
00:37:39Elle a remporté 24 tournois dans sa carrière.
00:37:412 du Grand Chlem, Wimbledon 2019 et Roland Garros en 2018.
00:37:45Elle a en plus été numéro 1 mondial pendant 64 semaines.
00:37:48Tu as beau rentrer ?
00:37:50Un petit peu.
00:37:51On n'a pas eu pour elle les égards qu'on avait eu pour Zviatek
00:37:54après son histoire de contrôle positif.
00:37:57Elle est restée un petit peu là-dessus
00:37:59et c'est quelque chose qui finalement
00:38:01elle n'aura pas tout à fait surmonté et effacé.
00:38:03On passe au Vendée Globe, ce qui continue.
00:38:05Jean Le Cam a bouclé son Vendée Globe à la 20e place.
00:38:0820 ans après sa 2e place à Vincent Rioux
00:38:11lors du Vendée Globe 2004-2005,
00:38:13Jean Le Cam, 65 ans, a bouclé son tour du monde en solitaire
00:38:16ce mardi au petit matin à 4h53.
00:38:18C'était son 6e Vendée.
00:38:20Il a pu profiter dans le chenal des Sables d'Olonne.
00:38:22Il a terminé en 85 jours, soit 3 semaines
00:38:25après Charlie Dalin, vainqueur de cette édition 2025.
00:38:28Et en 2005, il l'avait bouclé en 87 jours.
00:38:31Et enfin, dernière petite information,
00:38:33il reste encore 11 bateaux en course.
00:38:35Le prochain qui devrait franchir la ligne d'arrivée,
00:38:37c'est Guirec Soudé.
00:38:39C'est drôle quand il sabre le champagne, Jean Le Cam.
00:38:41Leur Olympe de basket, pas de miracle pour L'Asvel
00:38:43battu ce soir par l'Etoile Rouge à Belgrade.
00:38:45Oui, c'était un gros morceau pour l'Asvel ce mardi soir.
00:38:48Les hommes de Pierrick Poupée ont été battus
00:38:50dans la chaude ambiance de Belgrade.
00:38:52Il y avait 20 000 personnes dans la salle.
00:38:54Défaite 73-66 face à l'Etoile Rouge
00:38:57qui a bien scoré à 3 points
00:38:59même si le meilleur marqueur est du côté de l'Asvel
00:39:02avec Théo Malendon à 13 points
00:39:04qui a terminé meilleur marqueur.
00:39:06C'est la 14e défaite de l'Asvel cette saison en Euroleague.
00:39:08Ce mercredi, Monaco affrontera Baskonia
00:39:10et Paris recevra l'Olympiakos.
00:39:12L'actualité en basket, c'est l'échange,
00:39:14le transfert entre Luka Doncic et Anthony Davis
00:39:16qui suscite beaucoup de commentaires.
00:39:18Oui, il y a l'un des deux intéressés qui a réagi.
00:39:20C'est Anthony Davis dans le Dallas Morning News.
00:39:23Je propose de lire ce qu'il a dit.
00:39:26J'ai été choqué, j'avais aucune idée de ce qui se passait
00:39:28pour être franc.
00:39:29Je regardais un film avec ma femme chez moi
00:39:31et j'ai reçu un coup de téléphone.
00:39:32J'ai envoyé un texto à mes coéquipiers
00:39:34pour les féliciter de la victoire face aux Knicks
00:39:36et une heure après, j'ai appris que je ne faisais plus partie de l'équipe.
00:39:39Cet échange a également choqué l'un de ses collègues en NBS
00:39:42et Denis Schroder au micro de la NBC.
00:39:45Au final, ça ressemble à de l'esclavage moderne.
00:39:48Tout le monde peut décider où vous allez
00:39:50même si vous êtes sous contrat.
00:39:51Alors bien sûr, on gagne beaucoup d'argent
00:39:52et on peut nourrir nos familles.
00:39:54Mais au final, s'ils disent
00:39:55vous ne venez pas au travail demain
00:39:56ou vous devez aller ailleurs,
00:39:58ils peuvent le faire.
00:39:59Ce genre de chose doit changer.
00:40:00Il faut que le monsieur aille voir
00:40:01les chantiers au Qatar pour comprendre
00:40:02ce qu'est l'esclavage de vrai.
00:40:03Sur le fond, je trouve qu'il a raison.
00:40:06Tu dois quand même être maître de ton talent,
00:40:10de l'endroit où tu l'exerces.
00:40:11C'est vrai qu'on anesthésie leur conscience
00:40:13sous des millions et des millions de dollars.
00:40:15J'entends ce qui change un peu le paramètre.
00:40:18Mais pour autant, ce n'est pas des prostituées.
00:40:20Je trouve qu'on soulève un point quand même.
00:40:23On n'est pas dans une administration.
00:40:25Je me souviens, les joueurs de l'Est
00:40:27qui recevaient une lettre en disant
00:40:28tu vas jouer ici, tu vas jouer là.
00:40:29Il y a quelque chose d'archaïque
00:40:31et il y a quelque chose qui me déplaît.
00:40:32Tu dois avoir ton libre arbitre.
00:40:34Tu peux quand même choisir
00:40:36où tu exerceras ton talent.
00:40:38Je sais qu'on l'anesthésie
00:40:39sous des montagnes d'argent.
00:40:40C'est très bien, mais c'est un autre débat.
00:40:41Tu penses qu'ils sont tous anesthésiés ?
00:40:42Tu ne penses pas qu'ils ont une conscience ?
00:40:43Tu ne penses pas que certains savent très bien
00:40:45où ils ont mis les pieds ?
00:40:46Je ne pense pas que le faux sportif soit
00:40:48le mec complètement dépossédé.
00:40:51Quand tu rentres en NBA,
00:40:52tu sais que ça va être comme ça.
00:40:53Effectivement, j'entends bien.
00:40:55Mais le mec qui est devant sa télé,
00:40:57quand on lui dit tu vas à Dallas,
00:40:58tu vas ceci, tu vas cela,
00:40:59il a quand même le droit de choisir
00:41:00son entraîneur, son projet.
00:41:02Greg, c'était quoi l'anecdote avec Boris Dieu ?
00:41:04Je crois qu'il a été chargé,
00:41:05mais il n'avait pas son téléphone près de lui ?
00:41:07Non, il s'était retrouvé
00:41:08avec je ne sais pas quoi de message
00:41:09alors qu'il était là.
00:41:10Il aurait déjà dû être à l'aéroport.
00:41:12À un moment donné,
00:41:13tu fais ce que tu veux de ta vie,
00:41:14de ton talent.
00:41:16La preuve qu'en NBA,
00:41:17l'univers est impitoyable.
00:41:19C'est pareil en foot.
00:41:20Tu ne peux pas aller jouer en NBA.
00:41:22En Europe, ça peut se passer différemment.
00:41:25Oui, mais de ne pas jouer en NBA,
00:41:26c'est compliqué.
00:41:28C'est vrai, c'est vrai.
00:41:29Après, le mot esclavisme moderne,
00:41:31c'était un peu fort,
00:41:32mais on comprend l'idée
00:41:33qu'ils ont quand même le droit
00:41:34d'avoir une discussion avant
00:41:35et de savoir...
00:41:37C'est bizarre quand même.
00:41:39C'est le sport vers lequel
00:41:41je n'ai pas envie d'aller.
00:41:42Ça ne m'intéresse pas.
00:41:43Ce sport-là,
00:41:44le football ressemble beaucoup.
00:41:46Bien sûr.
00:41:47Tout de suite,
00:41:48il y a très bien Drobignoux
00:41:49qui arrive dans un club
00:41:50et il ne sait même pas qu'il a signé.
00:41:51Il lui dit les joueurs se foutent
00:41:52du club dans lequel ils vont.
00:41:53Encore eux qui s'en foutent
00:41:54puisqu'ils ne décident pas.
00:41:55Donc, je veux dire,
00:41:56on ne peut pas...
00:41:57Non, mais il y a quelque chose
00:41:58comme ça quand même qui se...
00:41:59Oui, c'est un bon taux.
00:42:00C'est un bon taux
00:42:01de l'ultralibéralisme.
00:42:02Un peu de MMA pour terminer.
00:42:04Une bonne nouvelle
00:42:05pour le français,
00:42:06là, sur Didier Manoff.
00:42:07Le classement est tombé
00:42:08aujourd'hui en UFC.
00:42:09Oui, et le français
00:42:10se rapproche de la ceinture.
00:42:12Il est désormais deuxième
00:42:13au ranking dans la catégorie
00:42:14des poids moyens.
00:42:15Derrière,
00:42:16le champion Dreykus Duplessis
00:42:18et son premier challenger
00:42:19Sean Strickland.
00:42:20On ne sait pas encore
00:42:21s'il aura sa chance prochainement
00:42:22pour le titre suprême.
00:42:23Il est deuxième
00:42:24mais bien derrière deux personnes
00:42:25puisque le premier
00:42:26est le champion.
00:42:27OK.
00:42:28Merci Tanguy.
00:42:29Le Mercato Express,
00:42:30l'une des images fortes
00:42:31aujourd'hui,
00:42:32c'est l'arrivée du côté
00:42:33de Marseille à l'OM
00:42:34d'Ismaël Benacer.
00:42:35Mais le terrain,
00:42:36donc, de Milan
00:42:37est arrivé aujourd'hui.
00:42:38Il a été accueilli
00:42:39comme un héros,
00:42:40presque comme Maradona.
00:42:41Regardez.
00:42:42Alors que ce n'est pas Maradona.
00:42:441-2-3 !
00:42:45Vive Algérie !
00:42:461-2-3 !
00:42:47Vive Algérie !
00:42:481-2-3 !
00:42:49Vive Algérie !
00:42:50Fabrizio !
00:42:51La classe !
00:42:52Ismaël Benacer.
00:42:53Donc,
00:42:541-2-3,
00:42:55vive Algérie,
00:42:56l'international,
00:42:57donc algérien.
00:42:58Ça voulait vous faire parler,
00:42:59là.
00:43:00Vous avez parlé,
00:43:01Stéphane.
00:43:02Alors,
00:43:03vous êtes lancé
00:43:04dans les calculs.
00:43:05Je ne savais pas
00:43:06que vous étiez général
00:43:07et comptable.
00:43:08Je trouvais l'OM
00:43:09très, très calme
00:43:10depuis le début du Mercato.
00:43:11Ça, c'est un peu,
00:43:12heureusement,
00:43:13à brûler
00:43:14dans les dernières heures,
00:43:15là.
00:43:16Et donc,
00:43:17on en est,
00:43:18j'ai fait un petit calcul
00:43:19cet après-midi,
00:43:20on en est,
00:43:21depuis que Pablo Longoria
00:43:22est à l'OM,
00:43:23à 233 mouvements de joueurs.
00:43:24En 5 ans.
00:43:25Arrivé, départ, prêt,
00:43:26retour de voie.
00:43:27En 5 ans,
00:43:28on en est à 233
00:43:29mouvements de joueurs
00:43:30qui, évidemment,
00:43:31et tout ça,
00:43:32pour construire
00:43:33le projet sportif
00:43:34le plus cohérent
00:43:35et le plus efficient possible.
00:43:36Le projet,
00:43:37ça fait 42 mouvements
00:43:38de joueurs par an.
00:43:39On est en train de parler
00:43:40d'un truc de dingue.
00:43:42Prêt pour Benacer ?
00:43:44Benacer,
00:43:45on parle,
00:43:46moi,
00:43:47ça a été
00:43:48un très très bon joueur,
00:43:49Benacer,
00:43:50lorsqu'il a éclos
00:43:51à Empoli,
00:43:52puis ensuite,
00:43:53lorsqu'il est arrivé à Milan.
00:43:54Vous regardez Benacer
00:43:55depuis 2 ans,
00:43:56quand je vois 12 millions d'euros
00:43:57d'achat,
00:43:5812 millions d'euros
00:43:59l'option d'achat,
00:44:00Benacer,
00:44:01un joueur qui,
00:44:02depuis 2 ans,
00:44:03malheureusement pour lui,
00:44:04parce que je pense qu'il a
00:44:05des soucis de santé,
00:44:06ce garçon,
00:44:07a très peu joué.
00:44:08Amusez-vous,
00:44:09j'espère qu'un jour,
00:44:10j'ai l'impression,
00:44:11Olivier,
00:44:12dans cette émission,
00:44:13de regarder un mouvement.
00:44:14Quand vous regardez
00:44:15la liste des joueurs
00:44:16passés par l'OM
00:44:17depuis 3-4 ans,
00:44:18évidemment,
00:44:19on va vous parler
00:44:20de Rabiot,
00:44:21on va vous parler
00:44:22d'Heinberg,
00:44:23on va vous parler
00:44:24de joueurs,
00:44:25mais il y a des noms.
00:44:26Ah oui,
00:44:27celui-là,
00:44:28celui-là,
00:44:29celui-là.
00:44:30Et au milieu de terrain,
00:44:31là,
00:44:32où arrive Benacer,
00:44:33il y a un Argentin
00:44:34dont on nous disait
00:44:35le plus grand bien,
00:44:36côté 15 millions,
00:44:37je ne sais pas où il en est.
00:44:38Carboni.
00:44:39Pierre-Emile Hochberg,
00:44:40Valentin Angers,
00:44:41Bilal Nadir,
00:44:42Adrien Rabiot,
00:44:43Geoffrey Kondogbia.
00:44:44Voilà,
00:44:45donc ce seront
00:44:46les concurrents
00:44:47de Benacer.
00:44:48Il leur reste
00:44:4915 matchs à jouer.
00:44:50Non,
00:44:5114 matchs.
00:44:52Ils avaient un projet
00:44:53avec McCourt,
00:44:54qui était
00:44:55le Champions
00:44:56de France
00:44:57pour être champion
00:44:58de France
00:44:59et champion d'Europe.
00:45:00Ce n'était pas
00:45:01pour être champion
00:45:02de France,
00:45:03c'était pour jouer
00:45:04la Ligue des champions.
00:45:05Et ensuite,
00:45:06cette accélération
00:45:07des mercatos,
00:45:08parce qu'il a été éliminé
00:45:09par Lille
00:45:10en Coupe de France
00:45:11et qu'ils savent
00:45:12qu'ils ne seront pas
00:45:13champion de France
00:45:14à moins d'un
00:45:15effondrement du PSG.
00:45:16Oui,
00:45:17mais ils veulent quand même
00:45:18consolider le fait
00:45:19d'aller en Ligue des champions
00:45:20la saison prochaine.
00:45:21Et tu as besoin
00:45:22de 8 millions pour ça ?
00:45:23T'as besoin d'un joueur
00:45:24qui garde Benacer
00:45:25Moi,
00:45:26j'aurais préféré
00:45:27qu'ils prennent
00:45:28un défenseur central
00:45:29par exemple,
00:45:30parce que je pense
00:45:31que là,
00:45:32ils ont besoin de…
00:45:33Ils en ont pris deux.
00:45:34Comment ?
00:45:35Oui,
00:45:36mais…
00:45:37Louis-Philippe,
00:45:38t'es arrivé au début
00:45:39du mercato.
00:45:40J'ai oublié,
00:45:41j'ai oublié.
00:45:42C'est pas costaud.
00:45:43Pour moi,
00:45:44c'est pas costaud.
00:45:45En tout cas,
00:45:46il y aurait…
00:45:47Oui,
00:45:48mais des niches
00:45:49sur le côté droit,
00:45:50sur la latérale,
00:45:51c'est encore une chose.
00:45:52Oui,
00:45:53mais tu comprends bien
00:45:54quand tu fais
00:45:55233 mouvements de joueurs
00:45:56qu'il y a des joueurs
00:45:57qui sont là
00:45:58pour le projet sportif
00:45:59pour consulter,
00:46:00pour répondre
00:46:01à des mots sportifs,
00:46:02puis il y en a d'autres,
00:46:03tu peux quand même
00:46:04t'interroger.
00:46:05Et quand tu vois
00:46:06qu'il y en a
00:46:07qui sont en entretemps,
00:46:08etc.
00:46:09Ça permet de faire
00:46:10beaucoup d'attractions.
00:46:11Non,
00:46:12mais ça plaît beaucoup.
00:46:13Par contre,
00:46:14c'est vrai que
00:46:15les mercato actifs,
00:46:16ça plaît énormément aux supporters.
00:46:17Les supporters,
00:46:18ils supportent pas
00:46:19un mercato inactif.
00:46:20On est d'accord.
00:46:21Oui,
00:46:22mais c'est un peu
00:46:23comme les sportifs
00:46:24qui n'ont pas conscience
00:46:25de l'endroit où ils sont.
00:46:26Je pense que les supporters,
00:46:27tu ne peux pas leur faire
00:46:28à l'envers non plus
00:46:29pendant très longtemps.
00:46:30Certes,
00:46:31ils adorent ça.
00:46:32Ils sont un peu agacés
00:46:33l'année dernière.
00:46:34Ça alimente la Provence,
00:46:35etc.
00:46:36On aime ça.
00:46:37On adore ça, nous.
00:46:38Mais sauf qu'à la fin,
00:46:39ils voient bien
00:46:40que l'OM,
00:46:41quand ils jouent
00:46:42contre le PSG,
00:46:43ils en prennent 3 à domicile.
00:46:44Oui,
00:46:45mais ça,
00:46:46c'est pas le problème.
00:46:47Non,
00:46:48mais c'est pas le problème.
00:46:49Là,
00:46:50cette année,
00:46:51on est quand même
00:46:52dans quelque chose
00:46:53d'à peu près cohérent.
00:46:54Je te dis bien
00:46:55d'à peu près cohérent
00:46:56au niveau de Marseille.
00:46:57Vous avez dit
00:46:58qu'ils allaient jouer le titre.
00:46:59En tout cas,
00:47:00moi,
00:47:01personnellement,
00:47:02je le trouve.
00:47:03Vous avez dit
00:47:04qu'il départ en janvier.
00:47:05Oui,
00:47:06mais tu es là.
00:47:07Oui,
00:47:08mais tu es là.
00:47:09Tu es là,
00:47:10Steph,
00:47:11tu es là.
00:47:12Ils sont là,
00:47:13ils sont présents.
00:47:14Tu es deuxième.
00:47:15Tu es deuxième.
00:47:16On a le sentiment
00:47:17qu'ils ont envie
00:47:18de tout faire
00:47:19justement pour rester jusqu'au bout
00:47:20et ça sera compliqué
00:47:21parce qu'Emonaco et Lille
00:47:22vont venir un petit peu
00:47:23les gêner peut-être
00:47:24tout d'un coup
00:47:25à Nice va arriver,
00:47:26etc.
00:47:27Donc,
00:47:28ils ont besoin de...
00:47:29Ils sont dans le coup,
00:47:30il faut reconnaître ça.
00:47:31Ils font des matchs cohérents.
00:47:32La saison dernière,
00:47:33donc,
00:47:34là,
00:47:35on comprenait,
00:47:36mais moi,
00:47:37je trouve que cette année,
00:47:38c'est pas mal.
00:47:39Et là,
00:47:40l'arrivée de Guéry,
00:47:41on l'a vu dimanche
00:47:42quand il est rentré.
00:47:43Si je te sors,
00:47:44Olivier,
00:47:45si je te sors la liste
00:47:46des 56 mouvements
00:47:47qu'il y a eu cette année
00:47:48ou des 52,
00:47:49il y en a 52,
00:47:5056,
00:47:51tu vas trouver ça
00:47:52peut-être moins cohérent.
00:47:53C'est juste ça
00:47:54que je veux dire.
00:47:55Non,
00:47:56mais je comprends bien.
00:47:57La bizarrerie de la chose,
00:47:58c'est que quand Pablo Longoria
00:47:59n'était que directeur sportif,
00:48:00pas encore président,
00:48:01on était plus
00:48:02d'une trentaine de mouvements
00:48:03dans l'année que 60.
00:48:04Ça s'est accéléré.
00:48:05Au fur et à mesure,
00:48:06ça s'est accéléré
00:48:07par on va dire
00:48:08à peu près 50 mouvements
00:48:09depuis qu'il est président
00:48:10par Mercato.
00:48:11Après,
00:48:12il y a quand même un truc,
00:48:13c'est que sur la première partie
00:48:14de saison,
00:48:15pour les avoir vu jouer
00:48:16plusieurs fois,
00:48:17t'as l'impression
00:48:18que le 11 est très costaud.
00:48:19C'est-à-dire que
00:48:20quand t'as Hochberg,
00:48:21quand t'as Rabiot,
00:48:22quand t'as Rongier,
00:48:23c'est solide.
00:48:24Mais les postes
00:48:25de 12, 13 à 18,
00:48:26c'est beaucoup plus faible.
00:48:27C'est-à-dire que
00:48:29Benacerre,
00:48:30ça te musque
00:48:31comme qui peut le back-up.
00:48:32En défense centrale,
00:48:33vous trouvez que c'est solide ?
00:48:34Non.
00:48:35Non, mais c'est pas…
00:48:36Non.
00:48:37Mais ça peut…
00:48:38T'as Cornelius,
00:48:39t'as Murillo
00:48:40qui joue central,
00:48:41t'as Valerdi…
00:48:42Non, mais Murillo,
00:48:43ça va,
00:48:44c'est un bon joueur.
00:48:45On a connu plus solide quand même.
00:48:46Par contre,
00:48:47il faut reconnaître
00:48:48à Pablo Logoria,
00:48:49il a fait deux coups,
00:48:50un très discutable,
00:48:51Grenier,
00:48:52et l'autre,
00:48:53fantastique coup
00:48:54de Mercato
00:48:55avec Rabiot.
00:48:56Rabiot, il n'a rien à faire là.
00:48:57Rabiot, il est déclassé.
00:48:58Même Auger,
00:48:59il n'a rien à faire là.
00:49:00Siani ?
00:49:01Au bout d'un moment,
00:49:02on en fait tellement
00:49:03qu'il y en a forcément
00:49:04un ou deux
00:49:05qui vont quand même fonctionner.
00:49:06Et il en a fait quelques-uns
00:49:07qui étaient bons
00:49:08ces dernières années.
00:49:09Moi, je trouve que c'est beaucoup.
00:49:10Et rien ne nous dit
00:49:11que l'année prochaine,
00:49:12on aura encore les mêmes joueurs
00:49:13parce que ça change tout le temps.
00:49:14Et sur le long terme,
00:49:15je trouve que ça manque
00:49:16de continuité quand même.
00:49:17Edouailly,
00:49:18il a reçu à peu près
00:49:19l'accueil qu'a reçu Benacerre
00:49:20l'été dernier.
00:49:21Rabiot aussi.
00:49:22Rien ne nous dit
00:49:23que dans six mois,
00:49:25Il l'a dit.
00:49:26Il l'a dit dans une interview.
00:49:27Il a dit,
00:49:28je suis là.
00:49:29Si on est en Ligue des champions,
00:49:30il a dit,
00:49:31je ne vois pas pourquoi
00:49:32il va falloir monter
00:49:33le chèque de fin de mois quand même.
00:49:34Après, ça fait autre chose.
00:49:35À propos de joueurs libres,
00:49:36Paul Pogba n'ira pas à l'OM.
00:49:37Hier, sur l'OMC,
00:49:38le président Pablo Longoria
00:49:39a écarté la piste du Français.
00:49:40Juste une petite notule,
00:49:41une petite chose.
00:49:42Tu dois tenir compte
00:49:43en tant que président
00:49:44des équilibres
00:49:45à l'intérieur de ton groupe
00:49:46et d'une dynamique sportive.
00:49:47L'arrivée comme ça de Pogba
00:49:48troublerait les équilibres
00:49:49de l'université.
00:49:54C'est une star.
00:49:55C'est quelqu'un de très populaire.
00:49:58Médiatiquement,
00:49:59il aurait pris la lumière.
00:50:00Après, ça dépend comment on le paye.
00:50:02On peut le payer à la pige,
00:50:03on peut le payer au match.
00:50:04Je ne sais pas quelle est la formule.
00:50:05Je ne pense pas qu'il faille
00:50:06lui donner un salaire.
00:50:07Paul, malheureusement,
00:50:08Pogba,
00:50:09ça fait quelques années
00:50:10qu'on ne l'a pas bien vu jouer
00:50:11sur la continuité.
00:50:12Tu sais,
00:50:13l'histoire du
00:50:14on ne va pas lui donner grand-chose,
00:50:15tu te rends compte
00:50:16que les footballeurs,
00:50:17tu ne leur donnes jamais
00:50:18pas grand-chose.
00:50:19Paul Pogba,
00:50:20je pense qu'il a des exigences.
00:50:21En plus, je pense
00:50:22qu'il a quelques soucis personnels.
00:50:23Il ne trouvera pas.
00:50:24Il ne trouvera pas.
00:50:25Tu parlais de Radio.
00:50:26Il ne voulait pas prolonger la juve.
00:50:27C'est un joueur en bonne santé.
00:50:28Mais il a pris la moitié
00:50:29qui prend la juve.
00:50:30Si Pogba déboule là,
00:50:31tu vas quand même parasiter
00:50:32le sportif
00:50:33et la destinée sportive
00:50:34de cette équipe.
00:50:35On ne va parler que de ça.
00:50:36C'est quand même un élément.
00:50:37Jusqu'à ce qu'il joue.
00:50:38Parce que quand il va jouer,
00:50:39on va s'apercevoir que…
00:50:40Oui, mais même là,
00:50:41ça fera débat.
00:50:42Tu ne peux pas les sortir
00:50:43de leur couloir comme ça.
00:50:44Parfois,
00:50:45sur le plateau de l'équipe du soir,
00:50:53Neymar a changé.
00:50:55On nous l'avait dit.
00:50:56Je me souviens des phrases
00:50:57d'Eric Frosio.
00:50:58Neymar, c'est Asagi.
00:50:59Neymar est plus mature.
00:51:01La preuve.
00:51:02Neymar arrive en hélicoptère
00:51:03à l'entraînement
00:51:04avec son nouveau club.
00:51:05Sans pouvoir éviter de se blesser.
00:51:06Comme Dominique
00:51:07quand il arrive au boulot.
00:51:08Oui, c'est ça.
00:51:09Sur le toit du Parisien.
00:51:10Tout pareil.
00:51:11Greg, ça vous intéresse
00:51:12de parler de Neymar,
00:51:13d'évoquer ?
00:51:14Ça vous émeut ?
00:51:15Ça vous attrite ?
00:51:16Non, je trouve qu'on est…
00:51:17Neymar aujourd'hui,
00:51:18c'est une marque.
00:51:19C'est plutôt un joueur
00:51:20qu'une marque.
00:51:21Le joueur, il a quand même…
00:51:22C'est plus une marque
00:51:23qu'un joueur.
00:51:24Oui, c'est plus une marque
00:51:25qu'un joueur.
00:51:26Donc, il faut le prendre
00:51:27un peu comme ça.
00:51:28Une marque qui ne marche pas.
00:51:29Je pense qu'accoler sa marque
00:51:30à son club d'enfance,
00:51:31c'est quelque chose
00:51:32qui intéressait le club,
00:51:33qui est moribond,
00:51:34qui est quand même
00:51:35dans un état pas possible.
00:51:36Donc, quelque part,
00:51:37il tend la main.
00:51:38Après, il ne faut pas
00:51:39en attendre.
00:51:40Je suis désolé,
00:51:41mais il ne faut pas
00:51:42en attendre plus que ça.
00:51:43Non, on n'attend plus
00:51:44grand-chose de Neymar.
00:51:45Il est à ce stade-là
00:51:46de sa carrière.
00:51:50Il n'a pas besoin
00:51:51d'attirer ça
00:51:52et ne pas lui tirer dessus
00:51:53parce qu'il arrive en hélico.
00:51:54C'est de Louis de Wall Street
00:51:55un peu, non ?
00:51:56Je ne sais pas.
00:51:57Il arrive comme ça.
00:51:58C'est le plus beau jeu
00:51:59que tu as vu de tes yeux.
00:52:00De mes yeux,
00:52:01je jure que je n'ai jamais vu ça.
00:52:02J'ai vu jouer Zidane,
00:52:03c'était quand même mieux.
00:52:04Que Neymar ?
00:52:05Oui.
00:52:06Jamais.
00:52:07Tous les jours.
00:52:08Tous les jours.
00:52:09Tu n'étais pas
00:52:10à France-Brésil,
00:52:11à Francfort, Greg ?
00:52:12Duel.
00:52:13C'est compliqué.
00:52:14Ce jour-là,
00:52:15on a vu quelque chose.
00:52:16Le grand joueur,
00:52:17ce jour-là,
00:52:18pour moi,
00:52:19c'est Vieira déjà.
00:52:20Ce n'est pas Zidane.
00:52:21Alors là,
00:52:22je vais avoir du mal.
00:52:23Messi non plus.
00:52:24Messi, c'est quand même…
00:52:25On peut répondre à ça.
00:52:26Messi,
00:52:27c'est quelqu'un
00:52:28qui faisait…
00:52:29En tout cas,
00:52:30quand je l'ai vu,
00:52:31que ce soit au Mondial
00:52:32ou au Paris Saint-Germain,
00:52:33il faisait peu de choses
00:52:34dans un match
00:52:35mais il était décisif
00:52:36tout le temps.
00:52:37Neymar,
00:52:38je le voyais
00:52:39quand il débarque en France.
00:52:40Je le vois toucher
00:52:41140 ballons par match.
00:52:42Je le vois en fumer
00:52:43des mecs par taquine.
00:52:44On ne va pas remettre en cause
00:52:45de niveau là.
00:52:46Son premier match,
00:52:47c'est le premier match
00:52:48qu'il suit le foot
00:52:49depuis tant d'années
00:52:50et tu nous le dis.
00:52:51Moi,
00:52:52ce que j'ai vu le plus beau,
00:52:53c'est Neymar.
00:52:54Ça m'interpelle.
00:52:55Je l'ai vu électriser
00:52:56des équipes
00:52:57comme je n'ai vu personne le faire.
00:52:58Le premier match
00:52:59de Neymar
00:53:00avec les PSG
00:53:01à Guingamp,
00:53:02c'est extraordinaire.
00:53:03J'y étais,
00:53:04c'était fantastique.
00:53:05Là,
00:53:06le gars arrive de Saint-Tropez,
00:53:07découvre un peu
00:53:08ses partenaires.
00:53:09Après,
00:53:10on a juste un doute
00:53:11que là,
00:53:12on parle de la Ligue 1
00:53:13pour laquelle
00:53:14j'ai beaucoup de respect.
00:53:15Zidane,
00:53:16c'est la première carrière
00:53:17de finale de Coupe du Monde
00:53:18contre le Brésil.
00:53:19Quand tu sors le match
00:53:20qu'il est capable de sortir,
00:53:21c'est quelque chose d'unique.
00:53:22C'est un chef-d'oeuvre.
00:53:23C'est un résultat.
00:53:24Fin.
00:53:25Neymar, en tout cas,
00:53:26fait parler la preuve
00:53:27une nouvelle fois
00:53:28sur le pateau de l'équipe du soir.
00:53:29La Roma a ciblé
00:53:30Carlo Ancelotti
00:53:31pour la saison prochaine.
00:53:32C'est les informations,
00:53:33les inscriptions de As
00:53:34puisqu'en Espagne,
00:53:35on en est sûr,
00:53:36on en est certain.
00:53:37Carlo Ancelotti
00:53:38ne restera pas
00:53:39l'entraîneur du Real
00:53:40la saison prochaine.
00:53:41Donc,
00:53:43C'est un Romain, Carlo Ancelotti.
00:53:44Il a démarré sa carrière
00:53:45à la Roma.
00:53:46Vous voulez en parler
00:53:47de Carlo Ancelotti ?
00:53:48Oui, parce que je pense
00:53:49qu'il a fini son cycle
00:53:50au Real Madrid.
00:53:51Ça ne me choquerait pas
00:53:52qu'il parte.
00:53:53Je trouve qu'il a donné
00:53:54de son temps,
00:53:55qu'il a fait
00:53:56ce qu'il avait à faire.
00:53:57Il a remporté
00:53:58la Ligue des champions.
00:53:59Oui, c'est vrai.
00:54:00Il fera difficilement mieux.
00:54:01Et puis, moi,
00:54:02qui aime la Roma,
00:54:03je le verrais bien
00:54:04dans une équipe comme ça.
00:54:05Ça lui permettrait
00:54:06de boucler la boucle.
00:54:07Après, peut-être
00:54:08qu'on a l'impression
00:54:09que c'est forcément
00:54:11un déclassement
00:54:12par rapport au Real Madrid.
00:54:13Mais j'ai l'impression
00:54:14que pour le Real,
00:54:15ce serait bien d'avoir
00:54:16un nouveau souffle,
00:54:17un nouvel entraîneur.
00:54:18Et puis, pour lui...
00:54:19Xabi Alonso est attendu.
00:54:20Avec les bras ouverts,
00:54:21il semblerait.
00:54:22Vous faites du jeunisme.
00:54:23Il va remplacer Ranieri
00:54:24à la Roma.
00:54:25Donc, ce n'est pas non plus...
00:54:26Il est beaucoup plus jeune
00:54:27que Ranieri.
00:54:28Passé après Ancelotti au Real,
00:54:29bonne chance.
00:54:30Il n'est pas né à Rome.
00:54:31Si Xabi Alonso est bon,
00:54:32ça ira.
00:54:33Il s'est révélé à la Roma,
00:54:34mais il n'est pas né à Rome.
00:54:35D'accord.
00:54:36Merci beaucoup, Général.
00:54:38Merci à mon partenaire Wikipédia.
00:54:40Merci.
00:54:41Wissam Ben Yedder
00:54:42pourrait se relancer en Italie
00:54:43à Venise,
00:54:44qui est 19e.
00:54:45L'équipe et le Parisien
00:54:46avaient fait un petit écho
00:54:47hier dans le journal.
00:54:48Le joueur est libre
00:54:49depuis son départ de Monaco
00:54:50en juin.
00:54:51Il n'est pas soumis
00:54:52aux pertes de Mercato.
00:54:53Sianni aussi, Wissam Ben Yedder.
00:54:54Ça n'est qu'à moi.
00:54:55Il ne rejouerait pas.
00:54:56Mais bon...
00:54:57Oui.
00:54:58Je trouve que les histoires
00:54:59colloquent.
00:55:00Je n'ai pas quelqu'un
00:55:01que j'ai envie de retrouver
00:55:02sur un terrain,
00:55:03mais bon...
00:55:04S'il peut s'éloigner
00:55:05un petit peu de la France...
00:55:07Personnellement,
00:55:08je trouve ça choquant.
00:55:09Je suis choqué qu'un club,
00:55:10même un club italien,
00:55:12puisse penser à un joueur...
00:55:15Un mec qui a pris
00:55:17pour deux ans et demi
00:55:19de...
00:55:20qui va encore passer en procès
00:55:21parce que rien n'est fini.
00:55:23Agression sexuelle.
00:55:24Alors, je ne dis pas
00:55:25qu'il faut l'enterrer.
00:55:26Ce n'est pas ça.
00:55:27Mais quand même,
00:55:28moi, ça me choque.
00:55:29Ça me choque
00:55:30qu'on puisse penser...
00:55:31Franchement,
00:55:32j'ai un mal fou
00:55:33depuis que j'ai appris ça.
00:55:35Hier, je me dis
00:55:36que ce n'est pas possible.
00:55:37Comment tu peux avoir
00:55:39le réflexe de penser
00:55:40à un joueur comme celui-ci ?
00:55:41Tu peux être désespéré.
00:55:42Montpellier a tenté le coup.
00:55:43Oui, je sais bien.
00:55:44Oui, mais tu as vu
00:55:45comment les supporters ont réagi.
00:55:47C'est très bien.
00:55:48C'est la réaction qu'on va avoir.
00:55:50S'il est cuistot dans un resto,
00:55:52ça ne pose de problème à personne.
00:55:53S'il est footballeur, non.
00:55:54Non, mais...
00:55:55Moi, ça me pose le même problème.
00:55:58J'ai vraiment beaucoup
00:55:59d'affection pour lui
00:56:00parce que je l'ai bien connu.
00:56:02C'est une descente aux enfers,
00:56:03ce garçon.
00:56:04Ça, c'est clair.
00:56:05Il y a eu des gros soucis.
00:56:06Mais moi, ce qui me choque
00:56:08pour suivre ce que dit Olivier,
00:56:10c'est que les affaires sont en cours.
00:56:12Il aurait été condamné.
00:56:14Il aurait purgé sa peine.
00:56:16Oui, heureusement qu'on a le droit
00:56:18après à une autre vie.
00:56:19Oui, il y a une deuxième chance.
00:56:20Mais là, avec toutes les affaires en cours,
00:56:22c'est vrai qu'en ce moment,
00:56:23on a juste envie de lui dire
00:56:24prends soin de toi,
00:56:25gère ta vie avec les gens
00:56:27qui peuvent t'encadrer.
00:56:28Et puis voilà.
00:56:29Je suis complètement d'accord
00:56:30avec Séni,
00:56:31complètement d'accord avec Olivier.
00:56:32Pendant son procès,
00:56:33il a quand même reconnu
00:56:34qu'il était à l'alcool, etc.
00:56:35Et pas qu'à l'alcool,
00:56:36il a plein de choses.
00:56:37En fait, il faut se soigner.
00:56:38Je n'ai pas compris.
00:56:39Il doit se soigner, bien sûr.
00:56:40Il n'a rien à faire
00:56:41sur un terrain de foot.
00:56:42Ce n'est pas bon pour lui.
00:56:43Il peut vendre des fringues
00:56:44au magasin du coin.
00:56:45Mais non,
00:56:46quel que soit son métier.
00:56:47Et puis là, en plus,
00:56:48tu as un personnage public.
00:56:49Je te dis qu'il faut qu'il soigne.
00:56:50Je te dis qu'il a un problème
00:56:51avec les femmes.
00:56:52Je te dis qu'il a un problème
00:56:53avec l'alcool.
00:56:54Je te dis qu'il faut qu'il se soigne.
00:56:56Il faut qu'il règle ses problèmes.
00:56:58Si jamais ses problèmes sont réglables.
00:57:02Et s'il était vendeur de fringues,
00:57:03je dirais pareil, en fait.
00:57:04Je n'ai pas envie qu'un mec
00:57:06qui tape des femmes
00:57:07ou qui a un problème avec les femmes
00:57:08me vende des habits.
00:57:09Donc, c'est pareil.
00:57:10Je ne vois pas le rapport.
00:57:11Ce n'est pas son métier, le problème.
00:57:12Ce n'est pas le problème de son métier.
00:57:13C'est le problème qu'il faut qu'il soigne.
00:57:14Mais tant qu'il n'est pas condamné,
00:57:15qu'est-ce que t'en fais ?
00:57:16Il a été condamné.
00:57:17Oui, mais s'il n'est pas en prison,
00:57:19qu'est-ce que t'en fais ?
00:57:21En fait, là, il est mis en cause
00:57:22par des femmes quand même.
00:57:23Tout à fait.
00:57:24Ça, il faut l'entendre.
00:57:25Et donc, moi, je ne peux pas comprendre
00:57:27qu'un club se penche sur son cas.
00:57:28Il a envie de l'engager.
00:57:29Pour l'instant, Venise ne l'a pas
00:57:31encore engagé.
00:57:32Mais ça pourrait être fait.
00:57:33Non, non, mais c'est un débat.
00:57:34C'est quand même...
00:57:35Je ne sais pas si tu vois Marseille,
00:57:36les rues blumenes sur les îles de France,
00:57:39etc.
00:57:40Ça pose des problèmes.
00:57:41Chaque affaire est extrêmement...
00:57:42Oui, mais ça pose des problèmes.
00:57:43Dans quelques minutes,
00:57:44sur le plateau de l'équilibre du soir,
00:57:45on parlera de Cristiano Ronaldo,
00:57:47le roi qui a 40 ans aujourd'hui.
00:57:49Oh, quel bel âge !
00:57:50Un petit coup d'œil sur l'âge de l'équipe ?
00:57:52Bien sûr.
00:57:53Depuis 32 minutes, il a 40 ans.
00:57:55Effectivement, ça fait la une de l'équipe
00:57:57ce mercredi avec ce titre inclassable
00:58:00pour les 40 ans de Cristiano Ronaldo,
00:58:02multiple ballon d'oeuvre.
00:58:03Avec le 7 à l'envers.
00:58:04Cristiano Ronaldo se considère
00:58:06comme le meilleur joueur
00:58:07de l'histoire de ce sport.
00:58:08On en parlera sereinement, tranquillement.
00:58:11S'il y a des fans de Ronaldo
00:58:13sur les réseaux, allez le défendre.
00:58:17C'est parti.
00:58:27Mes amis, c'est un spécial Cristiano Ronaldo.
00:58:29Peut-être que vous êtes toujours là.
00:58:31Je vous le souhaite.
00:58:32En tout cas, tous les chroniqueurs sont restés
00:58:34pour fêter les 40 ans aujourd'hui
00:58:35de Cristiano Ronaldo.
00:58:36Ce soir, on l'a surnommé le roi.
00:58:38C'est un peu de sa faute car
00:58:40M. Cristiano Ronaldo se considère
00:58:42comme le meilleur joueur de l'histoire.
00:58:44D'accord.
00:58:45Et l'anniversaire de Neymar,
00:58:47c'est le même jour.
00:58:48Oui, mais on est tombé sur ça.
00:58:50Et en plus, Cristiano a accordé
00:58:52une interview à l'émission El Chiringuito.
00:58:54Regardez, extrait.
00:58:55Il se dit qu'il est le meilleur,
00:58:56le meilleur, le meilleur.
00:58:57Il a une raison.
00:59:00Je crois que je suis le joueur
00:59:01le plus complet.
00:59:02C'est mon opinion.
00:59:03Ça peut être une question de goût,
00:59:04mais honnêtement, je crois que c'est moi.
00:59:06Je joue bien de la tête,
00:59:07je tire bien les coups de pied arrêtés,
00:59:09je tire bien du pied droit, du pied gauche,
00:59:11je suis rapide, je suis fort et je saute.
00:59:13Dire que tu préfères Messi, Pelé ou Maradona,
00:59:15évidemment, je l'entends et je le respecte.
00:59:17Mais dire que Cristiano n'est pas complet,
00:59:19c'est un mensonge.
00:59:20Les gens sont un peu pesants, c'est vrai,
00:59:22avec cette histoire de mille buts.
00:59:24Je sais que je suis aussi un peu coupable de ça.
00:59:26Mais les choses doivent se passer naturellement.
00:59:28Parce que même si je marque 920, 925 ou 930 buts,
00:59:31le meilleur de l'histoire, c'est moi.
00:59:33Point final.
00:59:37J'aime bien le sourire sur le canapé.
00:59:39Il n'est pas le pire de l'histoire.
00:59:41Il est très sérieux.
00:59:42Vous êtes vraiment pas d'accord.
00:59:44Vous avez fait un petit classement, je crois.
00:59:46Vous avez dit...
00:59:47J'ai dit à Paul, qui m'a appelé pour la question,
00:59:49j'ai dit que j'en voyais au moins...
00:59:51Paul Giffard.
00:59:52Paul Giffard, un homme de talent.
00:59:54J'ai dit que j'en voyais 5 ou 6 meilleurs que lui.
00:59:56J'avais pas l'explication de Cristiano Ronaldo,
00:59:58mais c'est l'explication des datas.
01:00:00Ils m'expliquent qu'il est le meilleur,
01:00:02parce qu'il est le plus complet,
01:00:03c'est lui qui saute le plus haut,
01:00:04qui est le plus gainé.
01:00:05Mais en fait, c'est pas ça, le foot.
01:00:07C'est pas que ça.
01:00:08Marco van Basten, qui a une carrière
01:00:10moins importante que Cristiano Ronaldo,
01:00:12m'a donné beaucoup plus d'émotions.
01:00:14Zinedine Zidane m'a donné beaucoup plus d'émotions.
01:00:16Ruud Gullit m'a donné beaucoup plus d'émotions.
01:00:18Par exemple, si moi, mon critère, c'est l'émotion,
01:00:20il est mort, Cristiano Ronaldo.
01:00:22Mais si, il m'a donné plus d'émotions.
01:00:23Est-ce que vous répondez à la question...
01:00:25Je sais pas qu'il m'en donne pas.
01:00:26Dominique, vous répondez,
01:00:28je pose la question aux autres.
01:00:29Finalement, le meilleur joueur de l'histoire,
01:00:31c'est tout d'un coup, il y a le critère,
01:00:33il y a celui qui te donne des émotions.
01:00:35Il y a le poids qu'il porte.
01:00:37Je pense qu'on peut difficilement sortir
01:00:39du binôme Pelé-Diego.
01:00:43Devant l'éternel...
01:00:45Conte tenu du poids qu'il porte,
01:00:47compte tenu de ce qu'il a fait en Coupe du Monde,
01:00:49parce que lui, en Coupe du Monde, quand même,
01:00:51il sort au premier tour en 2014,
01:00:53en 2018, il sort en huitième,
01:00:55et le coup d'après,
01:00:57il tire une gueule de six pieds de long,
01:00:58parce que Gonzalo Ramos empile les pions,
01:01:00lui, depuis le banc.
01:01:01Donc ça, c'est quand même une tâche importante.
01:01:03Qu'on me raconte pas qu'il est dans une petite équipe.
01:01:05L'Argentine, le Brésil et le Portugal
01:01:07avaient pratiquement parmi les meilleurs jampions.
01:01:13Cristiano Ronaldo,
01:01:15sa place dans l'histoire,
01:01:17est-ce que finalement ça nous donne l'occasion
01:01:19de... sa place dans l'histoire ?
01:01:21Il a deux éléments pour lui indiscutables,
01:01:23c'est le goléador, exceptionnel.
01:01:25C'est une régularité de goléador extraordinaire,
01:01:27y compris aujourd'hui.
01:01:29Et puis la longévité.
01:01:31C'est un garçon, on en parle depuis qu'il a...
01:01:33Il est plus en Europe.
01:01:35C'est très bien.
01:01:37Il a eu 3-4 ans.
01:01:39C'est un phénomène de...
01:01:41Francesco Totti, je vois l'aroma
01:01:43jusqu'à 41-42.
01:01:45Moi, je réponds souvent à votre question,
01:01:47c'est le plus grand athlète de l'histoire du foot.
01:01:49Oui, c'est ça.
01:01:51C'est pas pareil que...
01:01:53Pourquoi Pelé ?
01:01:55C'était pas un athlète qui valait...
01:01:57J'ai pas dit que les autres sont pas des athlètes.
01:01:59C'est le plus grand athlète dans le sens...
01:02:01Pelé est athlète.
01:02:03C'est vrai que c'est très difficile...
01:02:05De toute façon, on dit qu'il y en a un qui est athlète
01:02:07et que les autres ne le sont pas.
01:02:09Grégory, pour Dominique,
01:02:11dans son classement,
01:02:13s'il le met premier dans une catégorie,
01:02:15c'est le côté athlétique.
01:02:17Mais Pelé, l'athlète que c'était !
01:02:19Je parle de l'athlète, pas du joueur.
01:02:21C'est l'athlète.
01:02:23Christiano Ronaldo, à mon sens,
01:02:25au niveau de l'athlète,
01:02:27il est plus puissant que Pelé.
01:02:29Mais si !
01:02:31Je sais pas comment dire ça.
01:02:33Déjà, il avait 25 ans qui durent.
01:02:35Mais je te rejoins.
01:02:37Il a une VMA,
01:02:39Christiano, de plus de 20, je crois.
01:02:41Avec les progrès qui ont été faits.
01:02:43Mais ça aussi, c'était juste Pelé.
01:02:45Il jouait au pic de sa carrière.
01:02:47Il joue tous les deux jours.
01:02:49Il n'a pas la même nutrition.
01:02:51C'est des débats qui sont...
01:02:53C'est difficile de comparer les époques.
01:02:55C'est deux époques difficiles.
01:02:57On parle d'un homme de foot
01:02:59qu'on a tous connu.
01:03:01Un homme que j'adorais.
01:03:03C'était Pape Diouf.
01:03:05Notre confrère et président de l'OM.
01:03:07On avait cette discussion un jour
01:03:09à Baton-en-Puy.
01:03:11Et lui, il avait vu jouer Pelé.
01:03:13Il me parlait de ça.
01:03:15Moi, j'ai pas vu jouer Pelé.
01:03:17J'ai vu des images de Pelé,
01:03:19mais j'ai jamais vu.
01:03:21C'était lumineux.
01:03:23Il en a vu des papes.
01:03:25Il avait ce regard d'enfant
01:03:27et d'admiration totale
01:03:29pour Pelé.
01:03:31Moi, je l'ai vu jouer Pelé.
01:03:33Moi, je l'ai vu.
01:03:35C'est fabuleux.
01:03:37Moi, mon image de football
01:03:39que je retiens le plus,
01:03:41c'est le quatrième but
01:03:43contre l'Italie.
01:03:45Quand il est face au jeu,
01:03:47on ne sait pas ce qui va se passer.
01:03:49Il te fait cette passe lumineuse
01:03:51pour son latéral droit qui arrive.
01:03:53Il frappe croisé.
01:03:55Quand tu es là...
01:03:57A l'époque, j'avais 15 ans.
01:04:01Tu parlais d'émotion.
01:04:03Je te jure, tu t'es dit
01:04:05comment il l'a vu, comment il l'a senti.
01:04:07C'est ça, l'émotion.
01:04:09Pelé, c'était fabuleux.
01:04:11Ce n'est pas une question
01:04:13avec plein de deuxième degré d'ironie.
01:04:15Pelé, meilleur que Platini ?
01:04:17Ce n'est pas pareil.
01:04:19Moi, Michel, c'est...
01:04:21J'entends bien.
01:04:25Je pense que Pelé
01:04:27était au-dessus.
01:04:29Bien que Michel est juste là.
01:04:31Pour moi, c'est le mec.
01:04:33Michel, il se considère
01:04:35comme le meilleur de l'histoire ?
01:04:37Je n'ai jamais posé la question.
01:04:39Je n'ai jamais posé la question.
01:04:41Je pense que c'est vrai.
01:04:43Je le connais bien moins bien
01:04:45qu'Olivier.
01:04:47Il a un tout petit peu de second degré.
01:04:49Il manque à Ronaldo cette interview-là.
01:04:51On a envie de lui dire, détends-toi, fiston.
01:04:53Tu es adulé,
01:04:55tu es un craque.
01:04:57Je peux parler d'un truc.
01:04:59L'image et l'émotion.
01:05:01C'est Dominique qui a mis ça sur ce plan-là.
01:05:03Je n'ai jamais rien vu qui m'apporte l'émotion
01:05:05que m'apportait Pelé sur sa feinte
01:05:07sur Mazurkiewicz.
01:05:09Le gardien.
01:05:11Je n'ai jamais vu ça.
01:05:13Quand il fait semblant de toucher le ballon,
01:05:15il ne le touche pas.
01:05:17Jamais Cristiano Ronaldo,
01:05:19de près ou de loin,
01:05:21a déclenché.
01:05:23Par exemple,
01:05:25quand on parle de Platini,
01:05:27le truc qui me fait
01:05:29à chaque fois m'émerveiller,
01:05:31c'est à la Juventus,
01:05:33quand il fait son aile de pigeon,
01:05:35que le ballon passe au-dessus de tout le monde,
01:05:37qu'il est à la réception.
01:05:39C'est pareil.
01:05:41C'est du génie.
01:05:43Je ne sais pas.
01:05:45Mais ça, c'est des trucs
01:05:47où tu t'arrêtes.
01:05:49Moi aussi, je suis comme Olivier.
01:05:51C'est mon héros, Platini.
01:05:53J'ai quand même commenté
01:05:55beaucoup de matchs.
01:05:57Il y a eu des matchs complètement génies.
01:05:59C'est devenu un jour un pur robot.
01:06:01Le Ronaldo de Manchester United,
01:06:03quand il éclot,
01:06:05quand il s'envole,
01:06:07c'est magnifique.
01:06:09Vous posez cette question à des gens
01:06:11qui ont grandi avec Cristiano Ronaldo.
01:06:13Je pense que Pelé et Maradona
01:06:15seront peut-être à sortir de l'équation.
01:06:17Là, on parle de joueurs.
01:06:19C'est un peu des Madeleines de Proust.
01:06:21Il y a une part de subjectivité
01:06:23qui nous font mettre.
01:06:25Je pense que des enfants
01:06:27qui auront grandi
01:06:29avec Messi et Ronaldo,
01:06:31ils auront ce truc-là.
01:06:33Moi, par exemple,
01:06:35Messi, Maradona, Pelé,
01:06:37j'ai vu des images, mais je n'ai pas vécu le truc.
01:06:39C'est moins fort pour moi que Cristiano,
01:06:41Platini.
01:06:43Je comprends ce qu'il veut dire
01:06:45sur le meilleur joueur de l'histoire,
01:06:47mais c'est un classement très difficile à faire.
01:06:49Si c'est pour nous humilier,
01:06:51disons que vous êtes plus jeunes que nous.
01:06:53Maradona, il gagne
01:06:55une Coupe du monde tout seul.
01:06:57C'est pas vrai.
01:06:59Il peut aider par l'armée.
01:07:01Si je peux me permettre,
01:07:03ce qui m'embête dans son discours,
01:07:05c'est que c'est un sport collectif.
01:07:07C'est assez gênant de censurer
01:07:09l'équipe et les personnes.
01:07:11Il essaie de rendre cartésien
01:07:13un débat qui n'est pas cartésien.
01:07:15Et n'importe quel joueur,
01:07:17même Pelé, Maradona.
01:07:19Ce qui me fascine de Ronaldo,
01:07:21c'est qu'il a encore cette rage
01:07:23de vouloir montrer
01:07:25qu'il est encore le meilleur.
01:07:27Inclassable, Cristiano Ronaldo.
01:07:29Il fait la ligne demain
01:07:31et on lui souhaite un bon anniversaire.
01:07:33Il a 40 ans
01:07:35aujourd'hui.
01:07:37Il rêve de jouer la Coupe du monde.
01:07:39Il dit beaucoup de conneries.
01:07:41Avec son fiston.
01:07:43Le quiz Cristiano Ronaldo.
01:07:45Anniversaire de 40 ans.
01:07:475 février...
01:07:4983.
01:07:51On est en 2025.
01:07:53Ils ont joué au foot jusqu'à 40 ans.
01:07:55C'est le thème du soir.
01:07:57Papa.
01:07:59J'ai arrêté ma carrière en 2023.
01:08:01Zlatan.
01:08:03C'est une mauvaise réponse.
01:08:05J'avais 45 ans.
01:08:07Hilton.
01:08:09C'est une mauvaise réponse.
01:08:11J'ai joué à la Juve et au PSG.
01:08:13Buffon.
01:08:15J'ai bouclé la boucle.
01:08:17Gianluigi Buffon.
01:08:21Je suis l'un
01:08:23des nombreux brésiliens du FC Barcelone.
01:08:25Hilton.
01:08:27Laissez tranquille.
01:08:29Je suis l'un des nombreux
01:08:31brésiliens du Barça.
01:08:33C'est une mauvaise réponse.
01:08:35J'ai joué jusqu'à 43 ans.
01:08:37Rivaldo.
01:08:39Je suis ballon d'enfant
01:08:41au football.
01:08:433 points pour
01:08:45Grégory Schneider.
01:08:47C'est un joueur.
01:08:49J'ai 42 ans.
01:08:51Je suis toujours en activité.
01:08:53Dante.
01:08:55J'ai joué au LOSC.
01:08:57Je suis une légende.
01:08:594 points pour Stéphane Guy.
01:09:01Moi aussi.
01:09:03J'ai joué jusqu'à 50 ans.
01:09:05Stanley Matthews.
01:09:07Je suis anglais.
01:09:09Je suis une légende.
01:09:11Je suis le premier ballon d'enfant au football.
01:09:13On ne rend pas assez hommage à Stanley Matthews.
01:09:15Bravo Stéphane.
01:09:174 points supplémentaires.
01:09:19Bravo.
01:09:21Le général passe à l'offensive.
01:09:23Contemporain du général.
01:09:25J'ai joué jusqu'à 41 ans.
01:09:27Hilton.
01:09:29Au revoir messieurs.
01:09:31J'ai terminé
01:09:33au Cap Ferret en 2004.
01:09:35C'est pas Papin ?
01:09:37Je symbolise les grandes heures de l'oeil.
01:09:39Je suis Ballon d'or France Football.
01:09:41C'est en effet Jean-Pierre Papin.
01:09:43JPP, Ballon d'or, France Football.
01:09:4591 ans.
01:09:47J'ai pris ma retraite
01:09:49la saison dernière à 40 ans.
01:09:51Zlatan.
01:09:53C'est une mauvaise réponse.
01:09:55Je suis une légende espagnole.
01:09:57Bravo.
01:09:59C'est Iniesta.
01:10:01Bravo.
01:10:03Iniesta.
01:10:05C'est bien.
01:10:07Mais vous ne marquez pas de points.
01:10:09Dominique Sévrac.
01:10:11C'est le meilleur point.
01:10:13C'est ce qui fait le plus plaisir.
01:10:15Il a honte.
01:10:17Je suis une légende du football africain.
01:10:19Mila.
01:10:21A 42 ans j'ai marqué
01:10:23dans une coupe du monde.
01:10:25C'était contre la Russie en 1994.
01:10:27Ce record tient toujours.
01:10:29Il s'agit bien sur du vénérable.
01:10:31Roger Milla.
01:10:33J'ai stoppé ma carrière
01:10:35à 7 en 2022.
01:10:37A 7 ?
01:10:39Je peux vous faire brasser ?
01:10:41Pour les bons publics ?
01:10:43Hilton.
01:10:45La plus belle page de ma carrière s'est écrite
01:10:47non moins de là dans une ville située
01:10:49à 30 km au nord de Sète.
01:10:51Montpellier.
01:10:53Hilton.
01:10:55Bravo.
01:10:57J'étais champion de France
01:10:59lors de ma 40e année.
01:11:01Zlatan.
01:11:03C'est toujours pas lui.
01:11:05Je suis un défenseur
01:11:07d'1m91.
01:11:09Lent mais fiable.
01:11:13Un indice.
01:11:15Le troisième.
01:11:17J'ai été coaché par Christophe Galtier.
01:11:19Un défenseur lent et fiable.
01:11:211m91.
01:11:23Coaché champion de France
01:11:25lors de son 40e anniversaire.
01:11:27Fonté.
01:11:29José Fonté.
01:11:33Toujours en activité à 41 ans.
01:11:35Lâche pas José.
01:11:37Enfin.
01:11:39J'ai arrêté ma carrière en 2023.
01:11:41Zlatan.
01:11:43Comme il s'est arrêté
01:11:45le premier année.
01:11:47Merci.
01:11:49On fait les comptes.
01:11:51C'est Dominique.
01:11:53C'est pas moi.
01:11:55Il y a Olivier.
01:11:57Comme d'habitude.
01:11:59T'as arrêté à quel âge ?
01:12:0132.
01:12:03Comme d'habitude.
01:12:07Vous ne pouvez pas ce jeu ?
01:12:09Non.
01:12:11Je ne réagis pas assez rapidement.
01:12:13Il joue.
01:12:15Quand je suis chez moi, je trouve tout.
01:12:17C'est plus facile.
01:12:19Je suis plus détendu.
01:12:21On dit pas obligé de le croire.
01:12:23On vous embrasse.
01:12:25Demain, la maison est ouverte.
01:12:27Avec la Coupe d'Espagne.
01:12:29Il y aura Léganès contre Real.
01:12:31On termine par la dernière imitation
01:12:33de Cristiano Ronaldo.
01:12:35C'est Tanguy qui va fermer.
01:12:43Sous-titrage MFP.