Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 29/01/2025.
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00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir à tous et bienvenue Cocorico, il y aura 4 clubs français
00:00:21qui sortent de cette phase de ligue des champions, puisque Paris devait valider son ticket ce
00:00:27soir, Paris avec autorité s'est imposé à Stuttgart et accompagnera donc Paris, Brest,
00:00:32Monaco et Lille. Lille le premier de la classe puisque Lille a explosé le Feyenoord à domicile
00:00:396 buts à 1 et Lille termine dans le top 8. Lille est 7ème de cette phase de ligue, c'est une
00:00:44performance considérable. On va faire évidemment un survol de toute la soirée avec plus de 60 buts
00:00:49marqués ce soir en 18 matchs, c'est énorme, en compagnie de Johan Mikko, de Stéphane Guy,
00:00:55Mélisande Gomez, de Jérôme Alonso et de Dave Apadou. Les amis vous pouvez les montrer,
00:00:59parce que sinon, voilà, d'accord, ok, d'accord. Tanguy Le Sévillé, un petit rappel, un petit
00:01:09survol de la soirée, vous étiez en train de mettre des petites choses, il n'y a pas d'image
00:01:12pour l'instant, alors attendez, on va aller voir nos envoyés spéciaux, pardonnez-moi,
00:01:16j'ai David à Guingamp, j'ai Timothée à Milan et j'ai Candice à Lille. Bonsoir messieurs,
00:01:25dames. Quel enseignement du match que vous avez suivi ce soir ? Tiens, Giovanni, du côté de
00:01:31Stuttgart. Bonsoir mémé, bonsoir à tous. Bah écoutez, vous l'avez dit dans votre lancement,
00:01:38pour une fois vous avez été honnête avec le PG de Louis St-Riquet, avec autorité,
00:01:42une grande première période, Ousmane Dembélé, phénoménale. Juste mémé, petit point noir de
00:01:46la soirée, à la dernière seconde de la rencontre, c'est Warren Zaher Emery, le genou qui a tourné un
00:01:51petit peu, il est sorti en grimaçant, on attend d'avoir des nouvelles du jeune international
00:01:55français. Il y a du bleu dans le ciel... Pour une fois vous avez été honnête. Il y a du bleu ce
00:02:00soir... Giovanni l'attaque fort. Il y a du bleu ce soir dans le ciel de Lille, puisque Lille
00:02:04termine 7e et dans le top 8 et qualifiée directement pour les 8e de finale Candice
00:02:10Roland. Quel est l'enseignement du match vous ce soir ? Une soirée de folie tout simplement,
00:02:19l'impression d'avoir vécu une soirée qui compte pour le foot français tout simplement, avec des
00:02:24Lillois qui sont complètement décomplexés, plein de folie tout le temps, ils couraient partout même
00:02:27à la 94e minute. Elle était romaniée cette équipe mais elle a montré du caractère, elle a fait le
00:02:33travail tout simplement. C'est une soirée aussi parfaite pour Bruno Genesio, il a fait tourner,
00:02:36il a pensé à les Ligue 1, il a fait reposer un petit peu quelques titulaires notamment Jean-Nathan
00:02:40David, il est entré, il n'a marqué que du positif pour cette soirée évidemment. Ils vont pouvoir
00:02:44savourer cette 7e place et surtout un petit peu de repos d'ici une dizaine de jours. Candice,
00:02:49on va vous retrouver très vite puisque Lille a signé la performance française de cette phase
00:02:54de Lille. David Aiello, du côté de Guingamp, il n'y a pas eu de miracle ? Comment se sont
00:02:58comportés les Brestois ?
00:03:29David, j'ai l'impression que vous avez un doute, on vous a bien entendu mon cher David.
00:03:33Timothée Mémon, du côté de Milan, on redoutait le pire, le pire est arrivé, Timothée ?
00:03:41Le pire est arrivé parce qu'il n'y a pas eu de match ici à Milan, tout simplement. Le match s'est
00:03:45terminé après 10 minutes de jeu, pénalty très rapidement, exclusion du joueur Monegas, bref,
00:03:50soirée catastrophique pour l'AS Monaco. Une soirée à oublier très clairement, le seul
00:03:55enseignement finalement ce sera que l'AS Monaco pourrait parfaitement affronter en barrage le Paris
00:04:01Saint-Germain. Aïe, aïe, aïe, un duel 100% Ligue 1. Merci Timothée, on vous retrouvera un petit peu plus
00:04:07tard, il y aura toujours quelque chose à dire, ne vous inquiétez pas, vous nous tenez au courant.
00:04:10On aura à priori un duel 100% Ligue 1, soit Paris Monaco, soit Paris Brest. Un petit survol des
00:04:18résultats de la soirée Tanguy ? Oui, on peut tout à fait se faire ça. Oui, vous allez le faire tout
00:04:22de suite. Avec les clubs français, on l'a vu, la victoire de Lille, celle du Paris Saint-Germain
00:04:28également, du côté des gros clubs, le Bayern s'est imposé 3 buts 1 face au Slovane Bratislava,
00:04:34le match nul, 2 buts partout entre Barcelone et la Talenta Bergam, la victoire d'Aston Villa face
00:04:40au Celtics, c'était important par rapport à Lille évidemment, la victoire de Dortmund face à Donetsk
00:04:46et puis le Milan AC qui s'est incliné notamment du côté de Zagreb en Croatie. 63 buts ont été
00:04:52marqués ce soir mes amis. Alors ce multiplexe, c'était la première expérience, 18 matchs comme
00:04:57ça en direct, en simultané, grandiose, overdose, impression mes amis. Mais je pense que c'est pas
00:05:03pareil pour les gens qui regardent chez eux que le multiplexe. Pour nous par exemple, qui devons
00:05:07regarder le multiplexe et deux matchs. On est des professionnels en même temps. Non mais c'est encore
00:05:11autre chose si t'as que le multiplexe. Mais moi je pense que c'est une réussite quand même. Après
00:05:16nous on doit regarder plusieurs matchs et le multiplexe. Non mais c'est marrant parce qu'il
00:05:19aurait fallu calculer après chaque but. Donc t'as dit 63 buts. Après il y a eu pratiquement 63
00:05:25classements. Donc peut-être pas tout à fait mais ça veut dire qu'il y a eu des rebondissements
00:05:29permanents. Il y avait 16 matchs qui avaient de l'enjeu. Seuls deux matchs sur 18 n'avaient pas
00:05:33d'enjeu. C'était très excitant. Je trouvais la deuxième période notamment très excitante parce
00:05:38qu'à mesure qu'on avançait il y avait un suspense de dingue. Moi j'arrivais peu à suivre. Non mais
00:05:44c'est-à-dire que j'avais mon fil rouge qui était Paris. Et puis on suivait un peu l'évolution du
00:05:50score de voir si Brest pouvait faire quelque chose. Monaco on avait assez vite acté que ça n'irait
00:05:55pas. Et jusqu'où irait l'île. Puisqu'à un moment c'était quand même un petit peu à touche-touche.
00:05:59Mais c'est vrai qu'à un moment en fait j'arrivais plus à savoir les changements de classement etc.
00:06:07Sachant que la minute d'après ça pouvait rechanger. Donc en fait je me suis dit bon on verra tout ça
00:06:11à la fin. Et moi j'avoue que alors que j'étais super excité pour moi c'était le multiplexe du
00:06:16siècle. Je l'ai appelé comme ça. Mais honnêtement je suis un peu passé à côté de ce truc là.
00:06:21J'étais vraiment sur un match j'avais du mal à m'embarquer sur les autres. Le feu d'artifice n'a
00:06:26pas convaincu Dave Apadou. On va aller voir Timothée Mémon. Timothée très rapidement Timothée du
00:06:32côté de Monaco du côté de l'Inter la messe était dite. Vous vous avez regardé le match. Vous étiez
00:06:37sur votre smartphone. On peut se parler. Vous serez payé Timothée. Vous inquiétez pas. Dites comment
00:06:44vous avez vécu la soirée quoi. Alors justement c'était intéressant. Je voulais vous raconter un
00:06:49peu comment ça a été vécu en tribune de presse. Dès le début de la rencontre on se tapait tous le
00:06:53coude avec notre voisin. J'avais Régis Testelin à ma droite. Lui dire ah il y a un but là.
00:06:56Potentiellement Monaco pourrait affronter un tel ou un tel. On s'est vite rendu compte aussi qu'il
00:07:00y avait beaucoup de mouvements et que c'était pas la peine de faire trop de plans sur la comète.
00:07:03Mais j'ai regardé au moment où je me suis aperçu que finalement j'étais plus intéressé par ce qui
00:07:07se passait sur le potentiel tableau de 16e de finale enfin de barrage. J'ai regardé ce que
00:07:13faisaient mes confrères et tout le monde en était là en fait. Surtout dans un match qui on l'a dit
00:07:16a été plié au bout de dix minutes. Tout le monde était là à se parler, à expliquer. Et finalement
00:07:21il m'en est arrivé cette conclusion je vous le dirai assez rapidement. Là c'est un avis personnel.
00:07:24C'est que finalement ce format et bien il est très nord-américain. Et c'est peut-être la volonté de
00:07:29l'UFA c'est de se rendre un peu plus intéressant peut-être pour les nord-américains qui d'une sont
00:07:33habitués à des sports où il y a des actions très régulièrement. Donc quand vous regardez le
00:07:37multiplex vous en avez en permanence. Deuxièmement le sport américain est un sport qui ne comprend pas
00:07:41le match nul. C'est quelque chose de très latin. Or là aujourd'hui si vous me permettez l'expression
00:07:45le match nul perd sa neutralité parce qu'il y a des nuls qui font gagner, il y a des nuls qui font
00:07:49perdre. Donc j'ai trouvé finalement la formule de ce soir très à la nord-américaine.
00:07:55Thank you very much monsieur Mémon. Donc on regarde quelques matchs de foot mais en fait on regarde le
00:08:03classement. C'est bizarre mais c'est normal. C'est le concept du multiplex surtout dans cette formule là.
00:08:08Les multiplex moi j'ai toujours du mal parce que quand tu regardes un match tu regardes le match
00:08:12et même deux matchs des fois ça me saoule. Mais là c'était un autre exercice. C'est effectivement
00:08:18très spectaculaire parce que quand tu as 17 ou 18 matchs il y a des buts tout le temps.
00:08:23Et puis au fur et à mesure de la soirée tu te dis bah tiens je vais plutôt regarder City puisque
00:08:29Paris était bien palacé. Donc du coup c'est vrai qu'en fonction du scénario c'est assez sympa.
00:08:34Après des matchs nuls, des plans sur la comète on en faisait encore plus et beaucoup plus
00:08:42dans la formule d'avant. On savait à peu près qui allait se qualifier. Alors tu ne savais pas
00:08:48contre qui tu allais tirer le tour d'après. Là c'est vrai que tu peux te projeter même sur les
00:08:55huitièmes, sur les quarts. Parce que tu sais déjà contre qui tu vas pouvoir jouer dans deux, trois jours.
00:08:59Mais Mélisande vous vous souvenez c'était pas il y a dix ans, c'était l'an dernier à l'issue des
00:09:05dernières journées. Il n'y avait plus de suspense. Souvent après la quatrième. Il y a plein de clubs qualifiés après la quatrième journée.
00:09:13Globalement s'il y a eu réforme, c'est pour avoir un peu plus le droit à télé d'accord.
00:09:19Mais sportivement, sur l'incertitude, elle est à valider cette formule.
00:09:24Quand tu as le Bayern, le Real Madrid, le Paris Saint-Germain, Manchester City qui jouent leur qualif sur le dernier match.
00:09:29Là ils vont jouer en barrage. On va les voir en barrage.
00:09:32City a été éliminé à la pause ce soir. City aura un printemps européen.
00:09:35Ce sera face au Real ou au Bayern.
00:09:37A un moment donné Zagreb était qualifié. Zagreb qui ne mettait pas un pied devant l'autre.
00:09:41Tanguy, tu viens de dire qu'en barrage, on aura Real-Bayern ou Real-City ?
00:09:46C'est Manchester City. Soit le Real, soit le Bayern.
00:09:49On peut avoir City-Real en barrage.
00:09:51On aura City-Real ou City-Bayern. On aura un des deux.
00:09:54L'ancienne formule, la sixième journée n'était pas nulle.
00:09:58Il y avait des matchs où ça se jouait à la première place, la deuxième.
00:10:02Il y avait plus de clubs déjà tranquilles et plus de clubs déjà éliminés même après la quatrième journée.
00:10:09La troisième place était qualifiée pour la Ligue Europe.
00:10:11Il y avait des matchs intéressants à chaque fois.
00:10:14La première et la deuxième place étaient très importantes.
00:10:17Dans les structures de groupe avant, je mets de côté le groupe exceptionnel de Paris l'an dernier.
00:10:25Avec Newcastle, Milan, Dortmund etc.
00:10:27C'était un peu particulier.
00:10:29Mais la plupart du temps, tu avais deux gros.
00:10:32Une équipe formant la Ligue Europe et un quatrième qui était destiné à se faire exécuter.
00:10:39L'enjeu, c'était de savoir qui allait finir premier.
00:10:43Est-ce que tu allais réussir à finir troisième quand tu étais destiné à être quatrième ?
00:10:47L'année dernière, en janvier, on était en vacances.
00:10:50On attendait tranquillement que le printemps arrive.
00:10:52Le 20 janvier, on a un premier gros pic émotionnel dans notre saison de foot.
00:10:56Il y en a eu quelques autres avec des supercoupes.
00:10:59Mais là, on a un gros pic émotionnel avant d'attaquer un printemps qui s'annonce très excitant.
00:11:04L'équipe du soir ne connaît pas de repos.
00:11:07En janvier, à Lenson, c'est très très calme.
00:11:10Donc, pas d'overdose. Plutôt grandiose.
00:11:13Et plutôt, finalement, la correction qui a été faite sur cette phase.
00:11:16Ce premier tour qui était un peu plan-plan.
00:11:19Tout d'un coup, voilà.
00:11:21Il y avait aussi les grandes Europes.
00:11:24Les grandes Europes, dans ces phases de poule, dans ces mini-championnats, étaient au rendez-vous.
00:11:28On a le sentiment qu'il y a moins de marge là.
00:11:30Pour le Bayern, pour le Real.
00:11:32Ça dépend des fois. Le Real, par exemple, quand il gagne ses ligues des champions,
00:11:36même quand il a fini par gagner, il y a eu des fois où ils se sont fait peur
00:11:39sur les deux premières journées de phase de groupe.
00:11:41Et là, je crois qu'ils finissent quand même par six victoires de suite.
00:11:44Si je ne me trompe pas. Le Real.
00:11:46Oui, oui. Mais ce n'est pas la première fois qu'ils sont laborieux en début de saison.
00:11:50Le Bayern avait l'habitude d'écraser tout le monde dès le début.
00:11:53Le Real, beaucoup moins.
00:11:54Et après, tu les retrouves en février, ce n'était plus les mêmes.
00:11:57Et puis, ça montait en puissance.
00:11:58Mais c'est quand même un peu une surprise de voir autant de clubs...
00:12:01Bon, alors, City, c'est un peu la caricature de ça.
00:12:03Mais autant de clubs qui ont galéré un petit peu, pas jusqu'au bout, mais pas loin.
00:12:07Parce qu'en fait, on pensait que l'allongement de cette phase de...
00:12:12Maintenant, on n'appelle pas de groupe, maintenant.
00:12:14Phase de ligue.
00:12:15Cette phase de ligue, on pensait que c'était forcément favorable aux gros
00:12:19parce que tu allonges le championnat, donc c'est favorable aux plus gros effectifs,
00:12:22à ceux qui savent gérer, etc.
00:12:23C'est par rapport à ce que vient de dire Melissandre.
00:12:25De quoi ?
00:12:26C'est par rapport à ce que vient de dire Melissandre.
00:12:27Oui.
00:12:28Les préparations vont changer aussi.
00:12:29Oui, peut-être.
00:12:30Parce qu'aujourd'hui, te dire, attends, si je perds mes trois premiers matchs,
00:12:33je suis très mal quand même.
00:12:35CF, Paris.
00:12:36Parce que Paris finit par trois victoires quand même.
00:12:38Mais Paris, il y a un mois de ça, juste avant les vacances,
00:12:41ils sont très très mal quand même.
00:12:43Donc c'est peut-être aussi la préparation que les...
00:12:45Ou tu disais, Le Réal, combien de débats on a eu ici en novembre,
00:12:48en disant, ils ne la gagneront pas cette année.
00:12:49Et puis paf, février, mars, boum, ils sont là.
00:12:51Mais on verra d'ailleurs l'intérêt de cette formule plus tard,
00:12:53parce qu'on verra si les gros qui sont à la paix,
00:12:55on verra, ils seront peut-être au rendez-vous quand même.
00:12:57Oui, mais je pense qu'on va retrouver, pas une normalité, mais une hiérarchie.
00:13:00Tu verras peut-être l'année prochaine, les gros seront prêts plus vite.
00:13:03Oui, mais je pense que ce qui a changé surtout, c'est l'état d'esprit des petits,
00:13:07des qualifiés petits.
00:13:08Parce que ce que tu disais, Dave, effectivement,
00:13:10c'est que quand tu étais le petit du groupe,
00:13:12tu y allais pour te faire exécuter.
00:13:13Donc d'essayer de limiter la casse, parce que tu jouais, disons, le premier.
00:13:16Enfin, le potentiel premier.
00:13:18Ensuite, tu avais ces deux matchs charnières,
00:13:20troisième, quatrième journée, contre le même adversaire,
00:13:22où tu disais, je vais essayer de faire deux points.
00:13:24Donc tout le monde était en train de se projeter sur les quatre journées,
00:13:27y compris les petits.
00:13:28Là, on a l'impression, quand on voit Brest,
00:13:30ils ont pris le truc, tu ne peux pas te projeter,
00:13:32parce que c'est huit journées.
00:13:33De toute façon, il y a des gros, tu te dis, allez, je joue,
00:13:35et j'y arriverai ou je n'y arriverai pas.
00:13:37Il y a deux premiers matchs très jouables dans son parcours.
00:13:39Ils prennent Stumgras et ils prennent Salzbourg.
00:13:41Et après, ils sont lancés.
00:13:42Ça, tu ne pouvais pas l'avoir dans l'ancienne formule.
00:13:44Tu ne pouvais pas avoir deux équipes de ce calibre-là sur tes deux premiers matchs.
00:13:47Tu avais forcément un Real, un Manchester City.
00:13:49Moi aussi, j'avais moins de marge.
00:13:50Parce que quand tu joues six matchs et huit matchs, tu as moins de marge.
00:13:52C'est-à-dire que quand tu jouais les petits,
00:13:54il fallait vraiment les taper pour espérer attraper cette première place.
00:13:58Là, aujourd'hui, tu joues un petit, tu sais que…
00:14:01Tu ne l'approches pas pareil.
00:14:03Si on me perd, ben hop.
00:14:05Un peu quand même.
00:14:06Il y a quand même deux matchs de plus.
00:14:08Et donc, tu as une marge qui est plus importante, selon moi, pour les gros.
00:14:11Et ça reste dans leur tête.
00:14:13On va juste un petit peu avancer.
00:14:15Parce que du 9 au 16, tu as quand même pas mal de gros.
00:14:18Ah oui, énormément.
00:14:19Il y a une grande densité d'anciens vainqueurs de la Ligue des Champions.
00:14:22Après, de 17 à 24, à part City, c'est quand même…
00:14:26Pour moi, ça reste un peu dans la logique.
00:14:29Et puis, tu as eu des résultats sinusoïdales.
00:14:31Feyenoord, ils viennent de mettre 3-0 au Bayern.
00:14:34Ils prennent 6-1 la semaine d'après.
00:14:36Le Sporting qui avait démarré en septembre, ils avaient éclaté Manchester City.
00:14:40Ils ont peiné à se qualifier ce soir.
00:14:42Mes amis, on va juste regarder.
00:14:43Parce que c'est l'évolution.
00:14:44Là, maintenant, il y a les qualifiés.
00:14:46Il y a les 8 premiers qui vont directement en 8e.
00:14:49Il y a des barrages-retours.
00:14:50Et il y a une sorte de tableau.
00:14:52C'est un terme américain.
00:14:53Un braquette.
00:14:54Un tableau ou une braquette.
00:14:55Il y aura un tirage au sort vendredi prochain.
00:14:59Pour l'instant, c'est fromage ou dessert.
00:15:01Vous allez nous expliquer ça.
00:15:03Oui, effectivement.
00:15:04Parce que si Monaco, Brest ou le Paris Saint-Germain,
00:15:07ces trois équipes, peuvent s'affronter en barrage,
00:15:11si elles se qualifient,
00:15:13elles retrouveraient soit Liverpool, soit Barcelone
00:15:15en 8e de finale.
00:15:16Donc, ce sera un gros morceau, quoi qu'il arrive,
00:15:18pour les clubs français.
00:15:20Et du côté de Lille, les quatre adversaires potentiels,
00:15:22c'est le Sporting Lisbonne, le Club Bruges, Dortmund
00:15:25et la Talenta Bergam en 8e de finale.
00:15:28Voilà.
00:15:29On conserve cette infographie, mes amis.
00:15:31Merci beaucoup.
00:15:32Allez-y, remettez-moi ça, mes amis.
00:15:34Voilà.
00:15:35Pour voir le truc.
00:15:37C'est le bouton qui est là.
00:15:38Vous allez voir.
00:15:39Merci, les copains.
00:15:41Donc, Monaco-Brest pour Paris.
00:15:44Lille, directement.
00:15:45Donc, les pieds au sec au mois de février.
00:15:46Je vous rappelle que les barrages allaient,
00:15:48les barrages retournent.
00:15:49Donc, les 16e allaient, les 16e retournent.
00:15:5012, 13 février.
00:15:5117, 18 février.
00:15:53Enfin, courant février.
00:15:55On aura de la Ligue des champions.
00:15:57Donc, Lille directement qualifiée.
00:15:59Vous voyez ce qui se trame.
00:16:01En dessous de Lille, il y aura un mini-championnat,
00:16:03éventuellement, pour affronter Lille.
00:16:05Le vainqueur affrontera Lille.
00:16:06Monaco, ce sera soit le Paris Saint-Germain,
00:16:09soit le Benfica-Lisbonne.
00:16:11Brest, Paris Saint-Germain ou Benfica.
00:16:14Rappelons que la Ligue 1 a signé un grand chelum.
00:16:17Il y avait 4 clubs français au départ.
00:16:19Les 4 clubs français sont toujours en Lille,
00:16:21sont toujours en course, comme l'Angleterre.
00:16:23Liverpool, Arsenal, Aston Villa et donc City
00:16:26ont rejoint les 3 équipes anglaises.
00:16:29Ça, ça change par rapport à l'ancienne formule.
00:16:31Oui.
00:16:32Ça te permet d'avoir tous les clubs français en 16e.
00:16:35Mais c'est vrai qu'avant, on avait…
00:16:37L'Italie, 4 sur 5, puisque l'Italie…
00:16:40Le père du Bologne.
00:16:41C'est Bologne, au revoir.
00:16:42Les 2 Milan, la Talenta et la Juve.
00:16:443 sur 4 pour les Espagnols.
00:16:47Barca, Petit Co et Real.
00:16:49Giron, adios.
00:16:51L'Allemagne, 4 sur 5.
00:16:52Bayern, Dortmund, Leverkusen.
00:16:54Stuttgart.
00:16:55Stuttgart, ils sont éliminés.
00:16:57Stuttgart, merci beaucoup.
00:16:58Donc, 3 sur 5 pour l'Allemagne.
00:17:00La France réalise un très joli tir groupé.
00:17:04Le premier de cordée, le meilleur élève…
00:17:06C'est les Anglais ?
00:17:07Les Anglais, c'est 4 sur 4.
00:17:10Liverpool, Arsenal, Aston Villa.
00:17:11Ceux qui sont en tête du classement.
00:17:13Ils ont 3 sur 4 qualifiés, les Anglais.
00:17:17Le City qui n'est pas qualifié.
00:17:18On va faire un petit focus sur le meilleur élève français,
00:17:21le premier de la classe.
00:17:22C'est le LOSC.
00:17:24Le LOSC, ce soir, a terrassé le Feyenoord.
00:17:26C'était le 12e contre le 11e, ce soir.
00:17:286 buts à 1.
00:17:29Les 7 buts en 30 secondes chrono.
00:17:30Non, vous avez dû faire mieux.
00:17:32On a dû réduire un petit peu la voilure, effectivement.
00:17:34Mais on va quand même assister et vous montrer le premier but
00:17:37de cette partie remportée par les Lillois.
00:17:40Avec la magnifique passe décisive de Rémi Cabella pour Sarraoui.
00:17:44Bailo, un petit peu spectateur.
00:17:46Derrière, une de magnifique entre Baker et Angel Gomes.
00:17:49L'Anglais qui fait un joli try.
00:17:51Un joli numéro dans l'assurance de réparation.
00:17:53Jonathan David qui va aussi participer à la fête avec ce joli but.
00:17:56Et puis, le dernier but de la partie sera signé Rémi Cabella.
00:17:59Auteur d'une très très belle partie.
00:18:01C'est Sarraoui qui est pour le centre.
00:18:04Il termine 7e de cette phase de pôle.
00:18:067e, Lille dans le top 8 directement qualifiée pour les 8e de finale.
00:18:09C'était le vainqueur, elle est dans le top 8.
00:18:12Il y avait un gros enjeu aussi pour Feyenoord.
00:18:15Lille, ce soir, c'était on va dire un peu hacky toodoo.
00:18:20Je salue notre prof de maths Julien Guyon.
00:18:23Une victoire, il y avait des chances de rallier le top 8.
00:18:26Mais en cas de défaite contre Feyenoord qui était 11e,
00:18:28qui était devant avant cette journée,
00:18:30ils auraient pu être au-delà de la 16e place.
00:18:33Ils auraient été qualifiés dans le 16e.
00:18:35Mais donc, ne pas recevoir au bas-jeu-retour.
00:18:37Il y avait quand même beaucoup d'enjeux.
00:18:39En tout cas, ce qui concerne Lille.
00:18:40La question de Lille, Lille est dans le top 8.
00:18:42Est-ce que c'est un exploit considérable ?
00:18:43Habillage à la dogue, à la lilloise, à ce que vous voulez mes amis.
00:18:46Trouvez une petite musique pour qu'on fasse la fête et qu'on célèbre Lille.
00:18:52Oui ou non ?
00:18:53Oui.
00:18:54Dave ?
00:18:55Oui.
00:18:56Stéphane ?
00:18:57Oui.
00:18:58Jérôme ?
00:19:00Je voudrais souligner un truc.
00:19:02Ce qui est très fort, c'est la gestion et le management de Genesio
00:19:05durant toute cette compétition et durant ses premiers mois avec Lille.
00:19:08Compétition commencée dès juillet.
00:19:10Oui.
00:19:11En plus.
00:19:12Je trouve qu'à chaque fois, il fait des changements de joueurs de poste
00:19:16par rapport aux matchs précédents dans les championnats.
00:19:18Je trouve que sa gestion est très forte
00:19:20et ça lui donne raison sur l'ensemble de cette compétition.
00:19:23Souvent, avant les matchs, j'entends les spécialistes dire
00:19:26qu'ils ne comprennent pas pourquoi ce soir, Jonathan David ne joue pas,
00:19:29Aradson ne joue pas, on ne comprend pas,
00:19:31alors que c'est un match tellement important, etc.
00:19:33Et à chaque fois, les compositions de Genesio lui donnent raison.
00:19:37Et en fait, ce qu'on oublie aussi peut-être de temps en temps,
00:19:40c'est qu'un match, ce n'est pas juste les 11 qui commencent.
00:19:42Tu peux avoir aussi des joueurs qui amènent une certaine fraîcheur sur la fin
00:19:45et ça a pu être le cas.
00:19:47Il avait des absents en plus.
00:19:49Sur l'ensemble des matchs qu'on a vécu avec Lille.
00:19:52Ça veut dire que l'effectif de Lille a été bien constitué.
00:19:55Déjà ça, et en plus, une bonne gestion de la part de Lille.
00:19:58En plus, c'est vrai qu'en ayant perdu Thiago Santos
00:20:00et en ayant Zébrova blessé six semaines, qui a raté les deux matchs décisifs.
00:20:04Je pense qu'ils managent bien aussi ceux qui ont leur chance.
00:20:07Par exemple, je me souviens du match contre l'Atlético de Madrid.
00:20:10C'est quasiment une équipe B, parce qu'il y a une gestion,
00:20:13c'est entre deux gros matchs de championnat, etc.
00:20:15Il y avait à peu près les mêmes commentaires que ce que tu disais.
00:20:19Ils le vivaient mal, hein, Genesio ?
00:20:22Je me souviens d'un petit coup de klaxon.
00:20:27Le fait est que la plupart du temps dans ces rotations,
00:20:30que ce soit en Ligue des champions ou même en championnat,
00:20:33parce qu'à un moment ils ont une série d'une vingtaine de matchs
00:20:35sans défaite, globalement.
00:20:37Elle s'est terminée la semaine dernière.
00:20:39Elle s'est terminée récemment.
00:20:41Le fait est qu'à chaque fois qu'il y avait des joueurs
00:20:43dont je n'avais jamais entendu parler, ils étaient à niveau.
00:20:45Peut-être juste ponctuellement, mais ça veut dire aussi
00:20:48qu'il y a quand même un travail de coach, de mise en condition.
00:20:51On ne peut pas saluer ça.
00:20:53Je me souviens à l'époque des José Moignot qui étaient capables
00:20:55de transformer des chats en tigres.
00:20:57On disait voilà, ça c'est l'effet Moignot.
00:20:59On le sent vraiment serein, moi je trouve.
00:21:01Et ça transpire sur le groupe aussi.
00:21:03Et puis quand il faut mettre un coup de gueule, il le met.
00:21:05Il l'a mis il y a quelques jours parce qu'il sentait que
00:21:07dans son groupe, en cette période de Mercato,
00:21:09il y avait un ou deux esprits qui partaient ailleurs.
00:21:11Il a un peu recadré tout le monde.
00:21:13On oublie qu'ils ont gagné à Marseille en Coupe de France.
00:21:15Il n'y a pas que Ligue des champions.
00:21:17Ce que l'on remarque le plus...
00:21:19Ils ont gagné un très gros match contre Nice en Ligue 1.
00:21:21Donc Jo, tu l'as dit,
00:21:23c'est pas tellement Ligue des champions,
00:21:25évidemment on en parle ce soir,
00:21:27mais la manière dont ils gèrent leur saison.
00:21:29Parce que quand même le débat sur les clubs français
00:21:31commençait en août et qui était cramé,
00:21:33qui lâchait soit la Coupe de France,
00:21:35soit leur Coupe d'Europe, soit eux.
00:21:37Ils jouent tout depuis début août.
00:21:39Je crois qu'ils jouent
00:21:41Mourinho l'année avant.
00:21:43Oui, il fait l'armature avant.
00:21:45Et il commence à Valenciennes, il ne commence pas chez eux
00:21:47parce que leur stade est réquisitionné pour les JO.
00:21:49Et en arrivant là, fin janvier,
00:21:51avec Coupe de France qualifiée
00:21:53avec un gros match,
00:21:55là, un match référence.
00:21:57Franchement, c'est...
00:21:59Et là où ils sont très costauds,
00:22:01c'est qu'en février, ils s'offrent un peu de répit
00:22:03en termes de calendrier grâce à cette qualification
00:22:05pour les huitièmes.
00:22:07Vraiment à un bon moment.
00:22:09On a eu la chance de recevoir le président de Lille,
00:22:11Olivier Lettaud,
00:22:13un obsessionnel.
00:22:15Il semblerait qu'il travaille 25 heures sur 24.
00:22:17Le mec ne s'arrête jamais de travailler.
00:22:19Il ne lâche rien.
00:22:21Et parfois, on va dire insupportable.
00:22:23C'est lui-même qui l'avait reconnu.
00:22:25C'est insupportable, parfois, pour me supporter dans un club.
00:22:27Mais entre un président comme ça,
00:22:29obsessionnel, voire un peu malade,
00:22:31je le dis amicalement,
00:22:33est-ce qu'il se passe sur le terrain ?
00:22:35Est-ce qu'il y a des choses comme ça ?
00:22:37Ce n'est pas une question
00:22:39de malade ou pas malade.
00:22:41Il est, je pense, assez difficile à vivre au quotidien
00:22:43mais après, c'est soit tes compétences
00:22:45soit tu ne l'es pas.
00:22:47Je pense que les temps, partout où il est passé,
00:22:49c'est quelqu'un qui a une connaissance du football
00:22:51et une compétence dans ce qu'il fait.
00:22:53Ce n'est pas forcément
00:22:55facile à vivre. Il y a une exigence,
00:22:57il y a une envie de perfection
00:22:59partout, tout le temps,
00:23:01donc il met beaucoup de pression.
00:23:03Mais déjà, il n'est pas négatif, visiblement, pour ses joueurs.
00:23:05Tu parlais de chats.
00:23:07On n'a peut-être pas fait le bon choix.
00:23:09Exactement.
00:23:11Les chats, les tigres,
00:23:13il y a eu des blessés, mais pas tant que ça.
00:23:15C'est aussi un club qui travaille bien partout.
00:23:17Il y a toujours des blessés dans une saison
00:23:19mais il ne faut pas qu'il y en ait trop.
00:23:21J'ai l'impression que le staff travaille bien au niveau physique.
00:23:23Sur le recrutement qu'ils ont fait,
00:23:25des joueurs qu'on ne connaissait pas,
00:23:27mais il y a du talent dans cette équipe.
00:23:29C'est une équipe hyper équilibrée.
00:23:31Il y a des cadres qui sont clairement identifiés.
00:23:33Il y a des jeunes qui sont au niveau
00:23:35et qui sont encadrés.
00:23:37Il y a des joueurs qui progressent.
00:23:39Quand on voit Chevalier,
00:23:41ce n'est pas évident de garder un joueur comme ça.
00:23:43Dans une progression constante,
00:23:45avec la pression, le regard,
00:23:47l'équipe de France, il est toujours
00:23:49focus sur son truc.
00:23:51Ils arrivent à créer une ambiance de travail
00:23:53qui est positive.
00:23:55Les gens disent qu'il est dur,
00:23:57mais il ne doit pas être si invivable que ça
00:23:59puisque tout le monde arrive à travailler correctement.
00:24:01Par rapport au staff ?
00:24:03Par rapport à tout le monde,
00:24:05surtout les salariés.
00:24:07Même sur le staff technique ?
00:24:09J'ai appris qu'un petit jeune
00:24:11qui était en études de droit
00:24:13a fait un stage au LOSC.
00:24:15Olivier Létang lui a tellement cassé
00:24:17les bonbons que lui,
00:24:19il est parti de son stage.
00:24:21C'est pas possible.
00:24:23Tu ne parles pas du staff technique ?
00:24:25Tu parles de l'ensemble
00:24:27de la professionnalité dans le club ?
00:24:29Les coachs qu'on travaille avec,
00:24:31ils te disent tous qu'il est
00:24:33extraordinairement présent.
00:24:35C'est une présence
00:24:37qui peut être positive
00:24:39ou vécue négativement.
00:24:41Et ponctuellement vis-à-vis des joueurs.
00:24:43Il y a eu un ou deux moments dans la saison
00:24:45où il y a eu des contre-performances,
00:24:47peut-être même des matchs nuls.
00:24:49Je n'ai plus ça de mémoire.
00:24:51Lui estimait être, pas une faute professionnelle
00:24:53mais pas loin, en tout cas pas digne de ça.
00:24:55Il n'y a pas de relâchement possible.
00:24:57Il met vraiment un état d'esprit.
00:24:59Il ne veut pas le maintenir comme une sorte
00:25:01de club un peu amuseur
00:25:03du championnat, qu'il serait 4e, 5e.
00:25:05La bonne petite équipe.
00:25:07Exactement.
00:25:09Il a vraiment l'impression
00:25:11qu'il veut aller matcher.
00:25:13C'est la structure des grands clubs.
00:25:15Il y a une pression constante.
00:25:17Rappelle-toi l'époque
00:25:19de l'affaire Aurier avec Laurent Blanc.
00:25:21Il prend parti pour Laurent Blanc.
00:25:23Les gens l'oubliaient.
00:25:25Il est pour une sanction très lourde
00:25:27pour Serge Aurier.
00:25:29Et c'est Nasser Al Khalafi
00:25:31qui a sauvé Serge Aurier.
00:25:33C'est le péché original du PSG.
00:25:35Il était de ceux
00:25:37qui étaient pour la ligne très dure à ce moment-là
00:25:39et qui n'a pas été soutenu.
00:25:41Lui a soutenu Laurent Blanc tout de suite.
00:25:43Vous voyez le tableau.
00:25:45Le tirage au sort
00:25:47sera fait vendredi prochain.
00:25:49Paris pourra affronter
00:25:51soit Monaco, soit Brest.
00:25:53L'île est directement
00:25:55qualifiée en 8e.
00:25:57Elle est exempt de ce barrage.
00:25:59Voici ses adversaires.
00:26:01L'île va tomber après
00:26:03dans un tableau
00:26:05soit en quarts de finale
00:26:07Liverpool ou Barça.
00:26:09Ou peut-être même potentiellement
00:26:11avec le PSG.
00:26:13Il y aura une bonne petite pause.
00:26:15Mais après, on leur souhaite
00:26:17le championnat.
00:26:19Paris va jouer en Ligue 1.
00:26:21Le barrage après l'île.
00:26:23Cessez cette ironie mordante.
00:26:25C'est marrant.
00:26:27En début de saison,
00:26:29quand tu regardes les effectifs,
00:26:31tu te dis que l'effectif de l'île
00:26:33tout aussi bien constitué qu'il soit
00:26:35va aller en top 8.
00:26:37Avec ce programme de match-là.
00:26:39C'est extraordinaire.
00:26:41Stéphane,
00:26:43que l'île soit déjà
00:26:45dans les 24 premiers.
00:26:47Avec le calendrier qu'ils avaient.
00:26:49Tu commences par le sporting.
00:26:51Là, tu n'existes pas.
00:26:53Tu prends 2-0.
00:26:55Après, tu vas à l'Atletico.
00:26:57Après, tu reçois la juve.
00:26:59Match nul.
00:27:01Au bout de 4 journées,
00:27:03ils étaient à 7 points.
00:27:05C'est un très gros sporting.
00:27:07Ils ont encore Amorim.
00:27:13Derrière, ils s'imposent contre Bologne.
00:27:15Ils battent Sturmgrass.
00:27:17Ils ont une défaite logique.
00:27:19Logique mais bien.
00:27:21Contre Liverpool.
00:27:236-1 ce soir.
00:27:25Contre Feyenoord.
00:27:27Vu le tableau,
00:27:29c'est extraordinaire.
00:27:35On est toujours sur l'ensemble
00:27:37du travail.
00:27:39On a parlé de Lille.
00:27:41Globalement,
00:27:43on ne souligne pas assez
00:27:45la qualité de Bruno Genesio.
00:27:47On est parti là-dessus.
00:27:49Assez vite, on le détourne.
00:27:51Il y a des entraîneurs
00:27:53qui n'ont pas tout à fait ces résultats
00:27:55sur qui on va écrire des thèses.
00:27:57Sam Pauli, par exemple.
00:27:59Quand il arrive, il y a une horaire.
00:28:01Tu regardes les matchs.
00:28:03C'est-à-dire qu'il s'est escorté
00:28:05d'une école de pensée.
00:28:07C'est sans doute justifié.
00:28:09Genesio, ce n'est pas neutre.
00:28:11Genesio, tu l'aimes
00:28:13ou tu ne l'aimes pas.
00:28:15Genesio, ce n'est jamais neutre.
00:28:17Je trouve qu'on n'est pas très nombreux
00:28:19à envisager le fait qu'il soit
00:28:21un très bon coach.
00:28:23On va donner la parole
00:28:25à un supporter Lillois.
00:28:27Il s'appelle Valentin.
00:28:29Je pense que vous sortez du stade,
00:28:31mon cher Valentin.
00:28:33Valentin, c'est un prénom de jeune.
00:28:35Bonsoir mémé, bonsoir tout le monde.
00:28:37Je me demandais ça.
00:28:39Quel âge vous avez, Valentin ?
00:28:4124 ans.
00:28:43Je ne sais pas
00:28:45depuis quand vous supportez
00:28:47votre LOSC.
00:28:49Est-ce que vous avez l'impression
00:28:51de vivre un truc exceptionnel ?
00:28:53Actuellement, un truc inédit ?
00:28:55De mémoire, de supporter que vous êtes ?
00:28:57Forcément, c'est inédit.
00:28:59Je n'ai même pas les mots
00:29:01pour être tout à fait honnête avec vous.
00:29:03Ça fait exactement
00:29:05depuis l'âge de mes 10 ans que je supporte le LOSC.
00:29:07Je ne suis pas à la plaine.
00:29:09J'ai vécu pas mal d'émotions.
00:29:11Le doublé en 2011,
00:29:13le championnat en 2021
00:29:15contre Chelsea.
00:29:17Mais là, avec le nouveau format, le tirage,
00:29:19ce qu'on nous prédisait
00:29:21avec le tirage,
00:29:23c'est bien au-delà de nos espérances.
00:29:25Honnêtement, moi, le premier
00:29:27à ne jamais accrocher le top 8,
00:29:29franchement, je ne le croyais même pas.
00:29:31Votre chouchou, c'est qui dans cette équipe ?
00:29:33Le gars qui vous bluffe ?
00:29:37Moi, c'est Jonathan David.
00:29:39Depuis qu'il est là, j'adore ce joueur.
00:29:41Je le trouve énormément sous-coté.
00:29:43Je le mets au rang des légendes du LOSC.
00:29:45Meilleur buteur au 21ème siècle.
00:29:49Des efforts défensifs à chaque match.
00:29:51Jamais avoir d'effort.
00:29:53Mon chouchou, c'est Jonathan David.
00:29:55Vous êtes bluffés également
00:29:57par le recrutement de votre président ?
00:29:59Les Muco, les Bouhadi,
00:30:01les Mathias Pardo,
00:30:03les petits gars qu'on découvre
00:30:05qui font la maille,
00:30:07qui rentrent et jouent leur partition
00:30:09de manière magnifique.
00:30:11Oui, totalement.
00:30:13Bouhadi, il est du centre de formation.
00:30:15Pour le LOSC,
00:30:17depuis quelques années,
00:30:19je ne suis pas étonné qu'on sorte de très bons joueurs
00:30:21du centre de formation.
00:30:23Au niveau du recrutement,
00:30:25on n'a pas grand-chose à dire pour l'instant.
00:30:27On a eu une très belle découverte.
00:30:29Pardo était formé également au LOSC.
00:30:31Il est revenu chez nous.
00:30:33Le recrutement nous bluffe un petit peu.
00:30:35Pour l'instant,
00:30:37on n'a pas grand-chose à se plaindre.
00:30:39Il ne faut que crier victoire.
00:30:41Merci, Olivier Lethan.
00:30:43Valentin,
00:30:45le LOSC est en huitièmes.
00:30:47Qu'est-ce que vous faites ?
00:30:49Vous êtes content ou vous en voulez un peu plus ?
00:30:51C'est quoi l'état d'esprit ?
00:30:53Votre état d'esprit,
00:30:55puis avec les copains autour de vous qui suivent votre club ?
00:30:59Je ne veux pas être trop gourmand non plus.
00:31:01C'est déjà bien au-delà
00:31:03de nos espérances de se qualifier
00:31:05directement pour les huitièmes de finale.
00:31:07J'attends le tirage.
00:31:09J'ai vu qu'on était du côté de Dortmund,
00:31:11Atalanta, Bruges, il me semble.
00:31:13J'attends le tirage.
00:31:15On va jouer ce huitième
00:31:17en espérant au moins faire un quart.
00:31:19Ce sera déjà une première dans l'histoire du club
00:31:21en Coupe d'Europe.
00:31:23J'ai déjà profité ce soir d'être
00:31:25en huitième de finale, savouré.
00:31:27Pour l'instant, pour être tout à fait honnête,
00:31:29je ne réalise pas tellement.
00:31:31C'était Valentin qui était complètement sous le choc de son LOSC
00:31:33qui a martyrisé le Feyenoord.
00:31:35Si Buzyn !
00:31:37Merci beaucoup mon cher Valentin.
00:31:39On vous félicite.
00:31:41Avec grand plaisir, merci à vous.
00:31:43On vous félicite. Vous n'avez pas mis un coup de pied dans le ballon
00:31:45dans cette Ligue des Champions, mais vous avez suivi le bon club.
00:31:47Valentin, on vous embrasse.
00:31:49Félicitations à les LOSC et à plus tard.
00:31:51Merci beaucoup. Une très bonne soirée. A bientôt. Au revoir.
00:31:53Ils sont charmants.
00:31:55Lille, l'île septième.
00:31:57On a une petite archive.
00:31:59C'était hier.
00:32:01Conférence de presse. Vous ne l'avez pas ?
00:32:03Je vais vous la raconter.
00:32:05Simone Zaghier, coach de l'Inter.
00:32:07Qui parle de la bonne réussite des clubs français.
00:32:09Il dit qu'il y a des gens de talent,
00:32:11mais affronter les clubs français,
00:32:13ils sont physiques.
00:32:15Là, c'est la première fois que j'entends
00:32:17physiques à l'Inter.
00:32:19Je pense qu'ils bossent.
00:32:21Affronter les clubs français aujourd'hui, c'est...
00:32:23C'est ce que les entraîneurs
00:32:25étrangers disent quand ils viennent en Ligue 1.
00:32:27Généralement, ça ne s'exportait pas
00:32:29beaucoup en Coupe d'Europe.
00:32:31Les joueurs vont très vite.
00:32:33Il y a des joueurs de rupture, qui sont des joueurs rapides.
00:32:35C'est physique.
00:32:37C'est un rythme. C'est de la vitesse.
00:32:39Je pense que c'est ce que voulait dire
00:32:41Simone Zaghier.
00:32:43Elle se méfie un petit peu.
00:32:45Ça s'est plutôt bien passé pour eux.
00:32:47C'est la réputation de la Ligue 1 à l'étranger.
00:32:49Il faut se rappeler que l'an passé,
00:32:51Lille, sur les deux matchs, domine
00:32:53Aston Villa, à les retours.
00:32:55Déjà l'an passé, c'est un travail de
00:32:57continu Aston Villa.
00:32:59Il était top 4 à l'époque.
00:33:01Il était quasiment top 8 aussi ce soir.
00:33:03Il y a une vraie continuité dans ce que fait Lille
00:33:05depuis plusieurs années.
00:33:07Lille a un des meilleurs gardiens en Europe.
00:33:09On n'en parle pas depuis le début.
00:33:11Mais la phase de Ligue de Lucas Chevalier,
00:33:13elle est juste.
00:33:15Contre les deux clubs madrilènes, il est incroyable.
00:33:17Il ne faut pas passer à côté.
00:33:19C'est l'année de la confirmation qui est souvent la plus dure.
00:33:21Là, il est encore meilleur que l'année dernière.
00:33:23C'est pareil. C'est un vrai choix de club.
00:33:25On rappelle qu'il était prêté à Valenciennes.
00:33:27C'était un choix à un moment donné de se dire
00:33:29on mise sur un gamin de 20 ans.
00:33:31Et depuis longtemps.
00:33:33Quand il était prêt à Valenciennes,
00:33:35l'idée c'était déjà de le faire jouer
00:33:37pour le faire revenir en tant que numéro 1.
00:33:39C'est ça un club de foot.
00:33:41C'est plein de petites décisions qui sont prises
00:33:43au fil des mois et des semaines
00:33:45et qui, à un moment donné, t'amènent là où ils sont aujourd'hui.
00:33:47Ça ne va pas ranger l'ego d'Olivier Letant.
00:33:49Il va vous mettre tort cet Olivier.
00:33:51Il peut.
00:33:53On peut le taquiner aussi.
00:33:55Paris va rejoindre
00:33:57la Galaxie française
00:33:59en 16ème de finale
00:34:01du champion en barrage.
00:34:03Paris a-t-il passé un cap ?
00:34:05Vous aurez deux heures pour répondre à cette question.
00:34:07Je vous laisse un moment de repos.
00:34:09Alors que Carl-Anne Cheletier a le sourcil un petit peu fronceux.
00:34:11Son équipe vient de s'imposer
00:34:13et est qualifiée pour la suite de la compétition.
00:34:15A tout de suite mes amis. On est partout ce soir.
00:34:25Stuttgart-PG.
00:34:27Quel sera le score final ?
00:34:29Mélenchon-Gomez.
00:34:315-1.
00:34:33David Vapadou ?
00:34:355-0.
00:34:37Stéphane Guy ?
00:34:391-6.
00:34:41Gérard Malonzo ?
00:34:431-4.
00:34:45Et enfin, Johan Mikko ?
00:34:470-0.
00:34:49Le 3-3.
00:34:512-5.
00:34:534-1.
00:34:55C'est Gérard Malonzo qui a le bon prono.
00:34:57Paris s'impose 4-8-1.
00:34:59Quand il y a un bon prono et tout ça,
00:35:01Louis-Henri qui arrive en conférence de presse.
00:35:03Vous aurez les deux champions.
00:35:05J'ai choisi déjà.
00:35:07Je sors David Vapadou.
00:35:09Ah d'accord.
00:35:11Non, c'était pas du coup.
00:35:13C'était de l'émission.
00:35:15Le terrible.
00:35:17Paris a-t-il passé un cap ?
00:35:19Vous aurez à répondre à cette petite question.
00:35:21C'est l'image du triomphe de Paris.
00:35:23Avec un show d'Embellez ce soir.
00:35:25Direction l'Allemagne pour cette victoire.
00:35:27Brillante du Paris Saint-Germain.
00:35:294 buts à 1.
00:35:31Avec dès la 6ème minute de jeu,
00:35:33le but de Bradley Barcola et la déviation
00:35:35heureux de Désir & Doué sur ce corner.
00:35:37Le deuxième but avec la magnifique passe
00:35:39de Vitigna pour Barcola.
00:35:41Le premier de ces trois buts ce soir.
00:35:43Embellez qui reçoit le ballon.
00:35:45Il va y aller tout seul en force.
00:35:47Il trompe le gardien de Stuttgart.
00:35:49Une petite déclaration de Louis-Henri Quay.
00:35:51C'est ça une équipe de football.
00:35:53Au début de la saison c'était Barcola en pleine forme.
00:35:55Maintenant c'est Ousmane.
00:35:57Peut-être que ce sera Gonçalo Ramos plus tard.
00:35:59On est une équipe.
00:36:01Aujourd'hui on est prêt à jouer contre n'importe qui.
00:36:03En 16ème de finale.
00:36:05En barrage ce sera Monaco ou Brest pour le Paris Saint-Germain.
00:36:07Et puis en 8ème de finale la possibilité
00:36:09de retrouver un très gros d'Europe.
00:36:11Soit Liverpool, soit le Barça.
00:36:13Tout ce tableau sera tiré au sort
00:36:15vendredi prochain.
00:36:17Paris a-t-il passé un cap ?
00:36:19Habillage à la parisienne.
00:36:21J'attends les réponses des chroniqueurs.
00:36:23Bélizande, oui ou non ?
00:36:25Oui.
00:36:27Dave ?
00:36:29Oui.
00:36:31Stéphane ?
00:36:33Oui.
00:36:35Par rapport au début de saison, incontestablement.
00:36:37Un grand oui.
00:36:39Jo ?
00:36:41Oui.
00:36:43Ils ont passé un cap ferré.
00:36:45C'est ça le cap-horne.
00:36:49Si vous regardez Qui du Soir
00:36:51et vous voulez faire de la comédie acteur,
00:36:53il y a plusieurs manières de dire oui.
00:36:55On est aussi une école de théâtre.
00:36:57Oui.
00:36:59Oui, un grand oui.
00:37:01Collectivement et individuellement.
00:37:03On l'a dit tout à l'heure,
00:37:05Manon joue un PSG qui sait jouer,
00:37:07qui peut jouer de différentes manières.
00:37:09Premièrement, la PAD.
00:37:11Moi je ne la voyais pas trop.
00:37:13Aujourd'hui, quand je le vois,
00:37:15depuis trois ou quatre matchs,
00:37:17je me dis que c'est beaucoup mieux.
00:37:19En tout cas, je me régale.
00:37:21Je vois à peu près où il veut aller maintenant,
00:37:23concrètement et individuellement.
00:37:25Je suis désolé.
00:37:27Aussi, la qualité d'un coach,
00:37:29c'est de voir comment ses joueurs progressent.
00:37:31Dembélé n'est plus le même.
00:37:33Barcola, depuis trois ou quatre matchs,
00:37:35c'est mieux.
00:37:37Je retrouve un peu mon Vitigna.
00:37:39Joan Neves se révèle.
00:37:41Pour toutes ces raisons,
00:37:43je trouve que ce qu'on vit depuis deux semaines
00:37:45me pousse à croire
00:37:47que Paris a passé un cap.
00:37:49Sera-t-il suffisant contre Barceau-Liverpool ?
00:37:51Je n'en sais rien.
00:37:53Mais est-ce qu'il a passé un cap depuis le mois de septembre ?
00:37:55Et même depuis le mois de novembre ?
00:37:57Pour moi, c'est un grand oui.
00:37:59C'est déjà pas mal.
00:38:01Pendant un bon moment,
00:38:03plusieurs semaines, voire mois,
00:38:05c'était un Paris équipe de handball.
00:38:07Tu avais une ultra possession
00:38:09qui ronronnait
00:38:11autour des derniers mètres adverses
00:38:13sans réellement faire mal.
00:38:15Je veux dire,
00:38:17quand c'était des matchs à touche-touche,
00:38:19quand il y avait un peu de répondants en face,
00:38:21ils avaient vraiment du mal à trouver
00:38:23ces espaces, à accélérer, etc.
00:38:25Moi, je trouve que là, depuis quelques temps...
00:38:27Depuis ? Quand ?
00:38:29La deuxième période de Manchester City ?
00:38:31Le match de samedi dernier
00:38:33contre Reims, par exemple ?
00:38:35Non, mais par exemple,
00:38:37contre Monaco, par exemple, ils ont été bons.
00:38:39Ils ont été bons.
00:38:41Ça a été deux matchs où on peut relativiser,
00:38:43mais Monaco, ils ont des résultats quand même.
00:38:45Et je trouve que dans ces matchs-là...
00:38:47Pas beaucoup.
00:38:49Monaco, les résultats.
00:38:51Ils sont qualifiés, non ?
00:38:53Oui.
00:38:55Ces dernières semaines...
00:38:57Ces dernières semaines,
00:38:59Monaco et le Manchester City,
00:39:01et Stuttgart, c'est une équipe de...
00:39:03Ils ont fait leur job, ils ont été parfaits.
00:39:05Oui, mais regarde contre Gironne,
00:39:07qui est Gironne cette saison.
00:39:09Oui, c'est mieux qu'en septembre.
00:39:11C'est mieux qu'en septembre, c'est sûr.
00:39:13PSG chez toi aussi.
00:39:15PSG chez toi, c'était pénible aussi.
00:39:17Un chiffre vient de me parvenir.
00:39:19120 km parcourus
00:39:21par le Paris Saint-Germain.
00:39:23120 km parcourus pour le PSG.
00:39:25D'essayer de dater un match ou une soirée
00:39:27où on aurait passé un cap au PSG,
00:39:29je trouve que dans le changement
00:39:31de paradigme qu'on a vu avec la philosophie
00:39:33Louis-Henriquet, avec pas de stars,
00:39:35avec les joueurs qui ont été expiltrés,
00:39:37en tout cas vendus,
00:39:39avec ce nouveau projet,
00:39:41et dont on peut continuer à douter
00:39:43de savoir si ce sera suffisant
00:39:45contre les plus gros,
00:39:47d'avoir des joueurs qui soient moins rodés.
00:39:49Là, moi, je trouve que le cap,
00:39:51depuis...
00:39:53On commençait à le voir en début de saison,
00:39:55c'est le collectif, c'est cette équipe
00:39:57qui défend, tout le monde défend.
00:39:59Depuis le début du PSG-Qatari,
00:40:01je ne sais pas si on avait déjà vu ça une fois.
00:40:03Le pressing qu'il a,
00:40:05qui est la marque de fabrique
00:40:07de Louis-Henriquet,
00:40:09dans la tradition guardiolesque,
00:40:11d'être capable de presser très fort
00:40:13à la perte, et tout le monde doit le faire,
00:40:15parce que si c'est toi qui es à côté du ballon
00:40:17et que t'es mbappé,
00:40:19c'est quand même toi qui dois y aller.
00:40:21Donc là, il a réussi à avoir ça.
00:40:23Alors, il n'y a pas les grandes stars,
00:40:25et toutes les grandes équipes européennes,
00:40:27elles ont le Real accepté, sans doute,
00:40:29parce que pour plein d'autres raisons,
00:40:31c'est un autre modèle,
00:40:33mais le Bayern, l'Inter,
00:40:35l'Iverpool, quand ils gagnent,
00:40:37c'est des équipes où tous les joueurs de champ
00:40:39participent aux efforts collectifs,
00:40:41et ça, on l'a au PSG, et donc peut-être que ça va les améliorer.
00:40:43Au Real, tu l'as aussi.
00:40:45Au Real, Vinicius, il ne fait pas toujours...
00:40:47Je ne suis pas contre Barcelone.
00:40:49Sur les gros matchs de Ligue des Champions,
00:40:51vous avez toujours travaillé.
00:40:53Tu avais toujours des joueurs qui ont un supplément d'âme,
00:40:55qui peuvent tolérer
00:40:57une politique de stars.
00:40:59Mais bon, ils ont d'autres forces.
00:41:01On a démonté le monteur du PSG.
00:41:03C'est la pub.
00:41:05Et voilà.
00:41:07C'est vrai que quand on a un truc à dire,
00:41:09c'est frustrant.
00:41:11J'ai écouté jusqu'à présent.
00:41:13Elle est bien, l'émission ?
00:41:15Dans quelques minutes, Johan Mikko va commencer l'équipe du soir.
00:41:17Dans quelques minutes, ne manquez pas les débuts
00:41:19dans l'équipe du soir de Johan Mikko.
00:41:21Mais actuellement, il n'y a plus d'inefficacité.
00:41:23Ça marque !
00:41:25Ça marque, mes amis !
00:41:27À tout de suite.
00:41:55C'est à vous, on l'écoute.
00:41:59On vous l'a répété.
00:42:01Je pense que je peux le redire.
00:42:03Quand il y a eu le tirage au sort,
00:42:05quand on a vu les clubs qu'on allait affronter,
00:42:07tout le monde imaginait qu'on allait finir
00:42:09avec finalement très peu de points.
00:42:11On a démontré que le club était fort,
00:42:13que le groupe avait beaucoup de qualités,
00:42:15qu'on avait un staff et un coach de grande qualité.
00:42:17Parce que sinon, on n'aurait pas fait ce parcours-là.
00:42:19Mais on en parle souvent.
00:42:21Indépendamment des qualités,
00:42:23c'est un groupe qui, humainement, est extraordinaire.
00:42:25Et on l'aura rappelé,
00:42:27je l'aurai rappelé dans le vestiaire après le match,
00:42:29c'est que ce groupe a en capacité à réaliser
00:42:31des très grandes choses.
00:42:33L'aventure continue.
00:42:35C'est ça un grand plaisir.
00:42:37Tout de suite, il se projette sur le coup d'après.
00:42:39On est content, mais on peut encore aller au-delà.
00:42:41Il a raison.
00:42:43Olivier Letendre était là au tirage au sort
00:42:45de la Ligue des champions.
00:42:47Quand j'ai vu le programme et le calendrier,
00:42:49l'objectif était de se qualifier.
00:42:51Maintenant, aujourd'hui, c'est lui qui rigole.
00:42:53Il ne rigole pas.
00:42:55Déjà, quand il tire Fenerbahce en août,
00:42:57en tour préliminaire,
00:42:59vu ce qui est arrivé au club français si souvent
00:43:01au mois d'août,
00:43:03le Fenerbahce de José Mourinho,
00:43:05on s'est dit, ce n'est pas gagné.
00:43:07Paris a-t-il passé un cap ?
00:43:09On était là, la mayonnaise commençait à prendre.
00:43:11C'est l'efficacité.
00:43:13On attend Joe Mikou quand même, Olivier.
00:43:15Oui, attendez, Bradley Barcola,
00:43:17on me dit de lancer Bradley Barcola.
00:43:19Oui, Tanguy le sait.
00:43:21Une petite déclaration
00:43:23de Bradley Barcola.
00:43:25On a pris conscience
00:43:27qu'il fallait gagner ces matchs.
00:43:29On a beaucoup travaillé, on s'est vraiment mis dans la tête
00:43:31qu'il fallait être plus efficace, c'est le cas ce soir.
00:43:33Après le déclic, là, ça allait
00:43:35tout seul, c'est vraiment ce qu'il nous manquait.
00:43:37On est fiers de notre qualification.
00:43:39Le secret pour marquer, c'est de se dire qu'on va marquer.
00:43:41Moi, ça m'étonne
00:43:43toujours ce genre de déclaration.
00:43:45Moi, j'ai toujours l'impression que ça passe plutôt
00:43:47par le travail, par
00:43:49par exemple, comme Ousmane Dembélé, on avait
00:43:51entendu parler du fait qu'il
00:43:53faisait un peu plus de spécifique, il cherchait
00:43:55des zones, des trucs comme ça. Ça, je peux le comprendre.
00:43:57Mais là, d'entendre, on s'est dit qu'il fallait
00:43:59marquer. Donc, on va marquer.
00:44:01Moi, ça m'étonne, mais je ne dis pas que c'est faux.
00:44:03Je dis juste, moi, de mon point de vue à moi, qui ne suis pas sportif
00:44:05de haut niveau. Ce n'est pas le premier gars qui arrive
00:44:07en conférence de presse qui nous lance un truc.
00:44:09Et bien, ça m'étonne toujours, moi.
00:44:11Ça veut dire qu'avant,
00:44:13ils n'avaient pas compris qu'il fallait marquer.
00:44:15Il y a un gars qui est arrivé qui disait
00:44:17les gars, en fait, il faut marquer. Ah, mais ouais.
00:44:19Je ne sais pas. On ne va pas lui...
00:44:21Peut-être que tu te responsabilises
00:44:23aussi un peu plus parce que
00:44:25précédemment, tu avais un joueur
00:44:27qui peut-être marquait beaucoup plus de buts.
00:44:29Et eux, ils se disaient, bon, maintenant, on participe offensivement.
00:44:31Essayer d'amener ce ballon vers lui.
00:44:33Et là, peut-être le fait qu'il parte et tout,
00:44:35ça a amené ces joueurs-là
00:44:37à prendre plus d'initiatives
00:44:39et être vraiment plus décisifs.
00:44:41Peut-être que ça te prend
00:44:43un petit délai.
00:44:45Et là, aujourd'hui, ça fonctionne plutôt bien pour eux.
00:44:47On va aller voir le sur Castaldi.
00:44:49Giovanni, Paris a-t-il passé un cap ?
00:44:51On est évidemment en train de se poser des questions.
00:44:53On est en train de voir que, bon,
00:44:55il y a quelque chose qui est en train de se passer
00:44:57de manière positive du côté du Paris Saint-Germain.
00:44:59On avait l'hésitation de Bradley Barcola.
00:45:01Finalement, le moment où on s'est dit, maintenant,
00:45:03il faut qu'on marque et il commence à marquer.
00:45:05Moi et l'ensemble du plateau,
00:45:07ça ne nous suffit pas.
00:45:09Est-ce que vous qui suivez le club, il y a des trucs
00:45:11à apprendre en coulisses ?
00:45:13Ce qui est sûr, mémé,
00:45:15c'est que la phrase de Bradley,
00:45:17il ne faut pas accorder trop d'importance.
00:45:19C'est en zone mixte.
00:45:21Après la rencontre, c'est une réponse un peu toute faite.
00:45:23Je ne sais plus qui le soulignait,
00:45:25mais c'est un truc un peu pilote automatique.
00:45:27Moi, ce que je peux vous dire de ce que je vois,
00:45:29c'est qu'évidemment,
00:45:31et ça, il ne faut pas avoir fait sincère pour le comprendre,
00:45:33ce qui s'est passé au Parc des Princes,
00:45:35ça a libéré les têtes.
00:45:37Et ce soir, l'entame du Paris Saint-Germain,
00:45:39même si Stuttgart n'a pas fait le match du siècle,
00:45:41elle est exceptionnelle
00:45:43de confiance et de relâchement.
00:45:45Et je trouve que ce qui a changé le match de City,
00:45:47c'est que les garçons,
00:45:49sur chaque action,
00:45:51et même nous, en tribune, on s'est fait la réflexion,
00:45:53tu as l'impression que ça peut aller au bout.
00:45:55Alors que tout le début de la Ligue des Champions,
00:45:57ils disaient, ils jouent bien, il y a du pressing, c'est sympa,
00:45:59mais ils ne vont jamais marquer un but.
00:46:01Et je trouve que c'est ça qui a changé.
00:46:03Et même nous, quand on suit les actions,
00:46:05on a une appréhension qui est totalement différente.
00:46:07La suite pour le Paris Saint-Germain,
00:46:09c'est un match en barrage
00:46:11contre un club français.
00:46:13Trois matchs, vous desserrez, Brest ou Monaco.
00:46:15Monaco ou Brest, tirage au sort,
00:46:17ce sera vendredi, on pourra en parler.
00:46:19Brest ou Monaco ?
00:46:21Vous ? Comme ça ?
00:46:23Déjà, ça nous dérange.
00:46:25Que les trois clubs français soient dans le même quart de barrage,
00:46:27c'est dommage.
00:46:29On se souvient,
00:46:31je crois que le dernier affrontement franco-français,
00:46:33si je ne me trompe pas,
00:46:35c'était par Bordeaux-Lyon en 2010.
00:46:37Il y a dû y avoir des trucs en Ligue Europa
00:46:39ou en Coupe de l'UEFA,
00:46:41mais ça, on ne s'en souvient plus.
00:46:432010, quart de finale.
00:46:45Ce n'est quand même pas notre meilleur...
00:46:47T'en étais encore ?
00:46:49J'ai dû finir.
00:46:51Ce n'est pas des grands soucis.
00:46:53Et là, ce qui est désolant,
00:46:55pas pour Paris,
00:46:57parce que pour Paris, ils vont être ultra favoris,
00:46:59que ce soit Monaco ou Brest.
00:47:01Par exemple, pour Brest,
00:47:03si tu termines ça par un barrage
00:47:05contre Paris,
00:47:07c'est triste.
00:47:09Il n'y a pas ce côté parfum européen.
00:47:11Sauf si c'est une demi-finale
00:47:13de Ligue des Champions ou un truc comme ça.
00:47:15Mais là, sur un barrage,
00:47:17c'est dommage.
00:47:19Aujourd'hui,
00:47:21il y a un tel complexe vis-à-vis du PSG,
00:47:23honnêtement, pour moi, c'est injouable.
00:47:25Paris, c'est Brest ou Monaco,
00:47:27puis après, ça sera Liverpool ou Barça.
00:47:29Juste, on va aller retrouver Giovanni,
00:47:31parce que, Giovanni, nous aussi,
00:47:33on a vu la blessure de Warren Zahir-Emery.
00:47:35Le téléphone a dû sonner, a dû chauffer.
00:47:37Vous avez quelques nouvelles à nous apporter
00:47:39sur la nature de la blessure
00:47:41de Warren Zahir-Emery ?
00:47:43Pour l'instant,
00:47:45c'est beaucoup trop tôt.
00:47:47On a posé la question en conférence de presse
00:47:49à Luis Enrique. Il y aura des examens
00:47:51qui seront réalisés demain,
00:47:53mais de son propre aveu, le coach espagnol
00:47:55avait l'air désolé. Il nous a dit
00:47:57que ça ne sent vraiment pas bon.
00:47:59Le match contre les Cataux est encore ouvert.
00:48:01Ça va compter pour le PSG. On rappelle que,
00:48:03dans l'esprit de Luis Enrique, non seulement
00:48:05Warren Zahir-Emery est milieu de terrain,
00:48:07mais il est également la doublure de Achraf Hakimi.
00:48:09C'est d'ailleurs à ce poste-là qu'il a terminé la rencontre.
00:48:11Merci beaucoup, Giovanni.
00:48:13Je peux me permettre, Olivier ?
00:48:15Il y a un truc qui me frappe vraiment
00:48:17sur ce PSG, et qui est antérieur
00:48:19au match contre Manchester City,
00:48:21où je date plutôt au match à Marseille,
00:48:23c'est la personnalité de cette équipe.
00:48:25Et ça, ça me frappe quand même.
00:48:27C'est la personnalité, c'est l'équipe
00:48:29qui a enfin de la personnalité,
00:48:31qu'elle n'avait pas en début d'année,
00:48:33qui était une équipe un peu fadasse.
00:48:35Et là, je trouve qu'elle a trouvé ce...
00:48:37Après, moi, j'étais sceptique sur la question
00:48:39ont-ils franchi un cap ou pas,
00:48:41parce que le cap, ils étaient demi-finalistes l'an passé.
00:48:43Quel cap ont franchi en se qualifiant
00:48:45à l'arrache ? Sur la saison, oui.
00:48:47Sur la saison, la façon d'opérer,
00:48:49c'est ce que disait Mélisande tout à l'heure.
00:48:51C'est cette espèce de conviction
00:48:53collective que tu dois faire
00:48:55les efforts, ce qui n'a quand même pas
00:48:57toujours été la marque de favori du PSG,
00:48:59qu'effectivement...
00:49:01Et l'attaque, surtout, l'attaque.
00:49:03Moi, je trouve que c'est sur le contre-effort,
00:49:05parce que l'attaque, tu as pu le voir par moments,
00:49:07y compris la saison dernière, quand ils font mal
00:49:09à Barcelone, etc.
00:49:11Quand on débat, il y a une semaine, du PSG,
00:49:13en première mi-temps, contre Manchester City,
00:49:15on se dit, ils récupèrent des ballons
00:49:17et au lieu d'aller vite vers l'avant,
00:49:19ils font la passe temporale ou la passe arrière.
00:49:21La deuxième mi-temps a changé ça.
00:49:23C'est un nouveau style qu'on a revu encore ce soir.
00:49:25C'est ça qui est intéressant dans le jeu.
00:49:27Je voulais vous brancher, Johan, sur la mentalité,
00:49:29parce que je me souviens d'une de vos remarques.
00:49:31Je vous le disais.
00:49:33C'était cette saison.
00:49:35Ça devait être contre...
00:49:37Je ne sais plus.
00:49:39Ils sont joueurs Arsenal ou pas ?
00:49:41Oui, Arsenal.
00:49:43Quand ça part bien,
00:49:45c'est bien. Et quand ça part mal,
00:49:47il n'y a pas beaucoup de gens
00:49:49dans l'équipe pour un peu corriger.
00:49:51Là, j'ai le sentiment qu'il y a l'émergence
00:49:53de quelque chose.
00:49:55On ne découvre pas un talent leader comme ça
00:49:57du jour au lendemain, mais il y a un truc qui se passe.
00:49:59Celui qui a une vraie grosse personnalité,
00:50:01un vrai caractère, il est sur le banc.
00:50:03C'est Enrique. Et après, sur le terrain,
00:50:05tu ne le voyais pas sur certains matchs
00:50:07où, comme tu dis, quand ça ne se passait pas très bien,
00:50:09il n'y avait pas de retournement de situation.
00:50:11Là, ça s'est passé contre City, notamment.
00:50:13Peut-être que ça a permis ce déclic-là
00:50:15et avoir un peu plus de confiance en eux.
00:50:17Maintenant, on va voir.
00:50:19J'ai quand même passé un cap aussi sur le fait
00:50:21qu'il y avait des matchs très importants à gagner.
00:50:23Maintenant, on va voir par rapport
00:50:25aux adversaires qu'ils auront en face d'eux.
00:50:27Mais c'est vrai que dans l'ensemble,
00:50:29j'ai dit un oui comme ça parce que, justement,
00:50:31j'attends de voir quand le niveau va s'élever.
00:50:33Mais c'est vrai qu'on peut constater
00:50:35que collectivement,
00:50:37tout le monde parle, mais c'est quand
00:50:39ils n'ont pas le ballon.
00:50:41Quand ils vont harceler régulièrement
00:50:43n'importe qui sur le terrain,
00:50:45le fait. Pour l'adversaire,
00:50:47c'est difficile d'avoir la première relance,
00:50:49de pouvoir construire du jeu.
00:50:51Pour le moment, là-dessus,
00:50:53je trouve qu'il y a un vrai progrès.
00:50:55Et après, on peut donner aussi du crédit
00:50:57à Louis-Henriquet sur le fait qu'à chaque fois,
00:50:59à chaque conférence de presse, il nous disait
00:51:01ce qu'il nous manque, c'est de marquer.
00:51:03Là, quand ça marque,
00:51:05parce que t'as 6 tirs cadrés ce soir, t'as 4 buts.
00:51:07Donc, forcément, ça te passe 6 litres.
00:51:09Moi, ça, ces trucs-là, je ne sais pas ce que ça veut dire.
00:51:11C'est les actions
00:51:13qu'elle donne.
00:51:15Donc, ça veut dire
00:51:17que ça lui donne un petit peu raison.
00:51:19Et ça facilite les matchs, quand il arrive à les mettre au fond.
00:51:21Après, il y a eu des occasions, quand même,
00:51:23sur les matchs en Ligue des Champions.
00:51:25Moi, ça fait très longtemps
00:51:27que je n'ai pas vu Dembélé être aussi précis
00:51:29sur ses frappes.
00:51:31Dembélé, Dembélé,
00:51:33Dembélé triplé, c'est le deuxième.
00:51:35Son premier, c'était en 2016
00:51:37contre Rennes. C'est à peu près ce qu'on a retrouvé.
00:51:39Louis-Henriquet,
00:51:41en conférence de presse,
00:51:43sur Ousmane Dembélé.
00:51:45On reparlera du niveau du PSG.
00:51:47On y va, Louis-Henriquet.
00:51:49J'aime parler d'Ousmane Dembélé,
00:51:51qui a fait un match
00:51:53superbe.
00:51:55C'était une très belle nouvelle,
00:51:57de voir ce qu'il a fait
00:51:59sur le terrain.
00:52:01Il a vraiment montré
00:52:03toutes ses qualités
00:52:05que nous avons, que ce soit lui
00:52:07ou d'autres joueurs.
00:52:09Ousmane Dembélé a vraiment
00:52:11marqué des buts
00:52:13extraordinaires.
00:52:15Je voudrais souligner que c'est maintenant une belle équipe.
00:52:17Message à l'UEFA,
00:52:19il faut changer de traducteur.
00:52:21Le traducteur ne colle pas au physique de Louis-Henriquet.
00:52:23Il voit un peu plus Rocaille.
00:52:25Comme il ne m'écoute pas, je peux dire le truc
00:52:27d'où ça sert. Je suis désolé.
00:52:29Paris a-t-il passé un cap ? Dembélé a-t-il passé un cap ?
00:52:31On ne sait pas, en fait.
00:52:33On ne va pas vendre au téléspectateur
00:52:35qu'il ait gagné un semi-limiteur.
00:52:37Il marque beaucoup.
00:52:39Il n'a jamais mis autant de buts dans une saison
00:52:41qu'il l'a mis en janvier.
00:52:43Sur les dernières semaines, il est quand même beaucoup plus précis
00:52:45sur ses frappes.
00:52:47Donc, il y a une progression.
00:52:49Mais en début de saison, il y a eu une période où il marquait pas mal.
00:52:51Et d'ailleurs, on s'était dit, tiens, est-ce que c'est le temps ?
00:52:53Et après, tu as eu un trou d'air
00:52:55de je ne sais pas combien de semaines,
00:52:57où il n'y avait plus rien, et on était revenu
00:52:59à Dembélé qui te la met en tribune Z.
00:53:01Et là, par contre, je trouve que depuis
00:53:03le 1er décembre, il aligne de nouveau.
00:53:05Mais par contre, moi, je voulais revenir
00:53:07sur ce que tu disais,
00:53:09sur le caractère.
00:53:11Là, ils ont renversé City, mais un City,
00:53:13je ne veux pas m'ignorer, mais on parle,
00:53:15on essaye d'évaluer le PSG.
00:53:17Ils ont renversé un City
00:53:19qui est malade et qui, de toute façon,
00:53:21même en menant, ils étaient de toute façon en dessous du PSG.
00:53:23Moi, je trouvais que le PSG était au-dessus du début à la fin.
00:53:25Le 2-0 n'avait pas de sens.
00:53:27Que là, bon, ils ont éclaté une équipe.
00:53:29Ils ont su aborder à chaque fois l'événement.
00:53:31Mais par contre,
00:53:33c'est contre une équipe comme Arsenal
00:53:35qui était objectivement meilleure qu'elle.
00:53:37Là, effectivement, on a vu qu'ils manquaient
00:53:39de tout, que ce soit des qualités
00:53:41et du mental. Et s'ils les recroisent
00:53:43ou ils recroisent une équipe comme Liverpool...
00:53:45C'est là que ça sera intéressant.
00:53:47Voilà, c'est là que ça sera intéressant sur la question du caractère.
00:53:49Parce qu'en renversant une équipe, il faut jouer au coup.
00:53:51Même pour la question du jeu.
00:53:53Mais disons qu'ils jouent au coup pour prolonger les discussions.
00:53:55Donc, il y a l'arborescence, il y a des tableaux qui commencent
00:53:57à se dessiner. En quart de finale,
00:53:59ça serait soit Liverpool,
00:54:01soit Barça.
00:54:03Quel serait le meilleur adversaire pour Paris ?
00:54:05C'est-à-dire le plus jouable.
00:54:07Et donc, est-ce que ça répond aux questions qu'on se pose ?
00:54:09Et aux doutes qu'on peut avoir sur le Paris-Saint-Germain
00:54:11par rapport à ça ?
00:54:13Pourquoi vous dites que c'est le Barça ?
00:54:15Je pense que c'est plus Barcelone.
00:54:17Parce que Barcelone est une équipe plus joueuse.
00:54:19Ça ne veut pas dire que Liverpool ne l'est pas.
00:54:21Ça joue, mais ça joue un rouleau compresseur pour moi.
00:54:23C'est-à-dire que c'est une équipe
00:54:25plus joueuse.
00:54:27C'est-à-dire que ça joue un rouleau compresseur pour moi.
00:54:29C'est-à-dire que c'est vraiment très compact.
00:54:31C'est proche les uns des autres.
00:54:33Le Barça, pour moi, ils ne l'ont pas forcément.
00:54:35C'est-à-dire que quand ils développent leur jeu,
00:54:37ils créent vraiment beaucoup d'espace.
00:54:39Mais si Paris arrive à renouveler ce genre de match
00:54:41défensivement, c'est-à-dire aller agresser l'adversaire
00:54:43et récupérer ses ballons avec la ligne offensive
00:54:45qu'ils ont, qui va très très vite,
00:54:47ils peuvent faire très mal.
00:54:49Et moi, je pense que Liverpool ne se dévise pas autant.
00:54:51Ils sont capables que quand ils perdent le ballon,
00:54:53Liverpool est capable de se reconstruire
00:54:55plus rapidement que Barcelone.
00:54:57Donc je pense qu'au niveau des deux équipes,
00:54:59si je suis Paris, je préfère jouer Barcelone
00:55:01que Liverpool.
00:55:03Dans ce que vous dites, ça veut dire que Paris
00:55:05n'est pas encore à ce niveau-là.
00:55:07Pourquoi tu penses que Paris est au niveau de Liverpool aujourd'hui ?
00:55:09Non, mais on parle de Paris.
00:55:11Moi, je trouve ça insultant et méprisant
00:55:13pour les clubs qui vont affronter en barrage.
00:55:15Déjà, se projeter là,
00:55:17il n'y en a pas de ce qu'il y a à l'arrache
00:55:19pour les barrages qu'on est en train de se projeter.
00:55:21Donc on zappe le barrage.
00:55:23C'est-à-dire que tout d'un coup, hop, c'est réglé.
00:55:25On verra dans un mois
00:55:27si c'est réglé.
00:55:29Respectons un peu quand même la compétition.
00:55:31En tout cas, s'ils arrivent contre Barcelone
00:55:33ou Liverpool, il faudra passer un cap supplémentaire.
00:55:35Si tant est qu'ils en ont passé un, il faudra en passer
00:55:37un nouveau. Parce qu'il n'y a pas
00:55:39de pressing de la part de Stuttgart ce soir.
00:55:41Donc ça change complètement la manière
00:55:43de jouer et la façon dont tu peux
00:55:45développer ton jeu.
00:55:47Et les latérons de Stuttgart, ils ne jouent pas
00:55:49à Brest.
00:55:51C'est bizarre de voir une équipe aussi haute
00:55:53qui ne presse pas.
00:55:55Et à l'inverse, Liverpool et Barcelone savent se sortir du pressing.
00:55:57Parce qu'on parlait du contre-effort du PSG.
00:55:59C'est vrai qu'ils te pourrissent des distances
00:56:01des équipes Stuttgart, etc.
00:56:03C'est vrai que Liverpool a l'habitude
00:56:05de le subir en Première Ligue ou même en Ligue des Champions.
00:56:07Ils s'en sortent sans problème.
00:56:09Et Barcelone le fait aussi sans problème.
00:56:11Mais gagner facilement contre une équipe moyenne,
00:56:13ils ont passé un cap aussi, je suis désolé.
00:56:15L'équipe moyenne, c'est vrai.
00:56:17Mais faire un gros match contre une équipe moyenne,
00:56:19c'est toujours du PSG.
00:56:21Mais Liverpool, c'est fort.
00:56:23Parce qu'il y a une semaine, Liverpool, les mains en haut du guidon,
00:56:25maîtrisait le LOSC.
00:56:27La suite du Paris Saint-Germain,
00:56:29c'est peut-être Brest.
00:56:31Peut-être Monaco.
00:56:33Pour Stéphane.
00:56:35Et pour Brest,
00:56:37c'est soit donc Paris ou soit Benfica.
00:56:39Donc on t'allait lui poser la question.
00:56:41Tu préfères ton père ou ta mère ? Tu préfères Paris ou Benfica ?
00:56:43Éric Roy, écoutez.
00:56:45Quand on joue une Coupe d'Europe, on a plus envie
00:56:47de jouer quand même des équipes
00:56:49étrangères.
00:56:51Le Benfica, forcément.
00:56:53Pour le PSG,
00:56:55ils n'auront pas de choix. Quoi qu'il arrive, pour eux,
00:56:57ce sera une équipe française, je crois.
00:56:59Donc on verra bien.
00:57:01Mais en tous les cas, c'est vrai qu'en plus,
00:57:03comme on joue le Paris Saint-Germain,
00:57:05ça ferait quand même beaucoup de matchs contre le PSG
00:57:07en peu de temps.
00:57:09Mais en tous les cas,
00:57:11quoi qu'il arrive, ce sera un match difficile pour nous.
00:57:13Même si on aura le coeur
00:57:15de jouer notre chance à fond
00:57:17comme on a essayé de le faire ce soir.
00:57:19C'est un bon tirage pour Paris,
00:57:21qui surdomine le championnat, les compétitions nationales,
00:57:23que d'affronter un club français en Coupe d'Europe.
00:57:25Et surtout, match retour au parc. C'est quand même la donnée première
00:57:27de ce soir. C'est la deuxième info pour Paris.
00:57:29Ils sont qualifiés et ils vont jouer leur match retour au parc.
00:57:31Et ils ont tellement l'ascendant.
00:57:33Par exemple, Monaco.
00:57:35Monaco, aujourd'hui, ils se pointent devant Paris.
00:57:37C'est un peu comme l'OM. Ils n'existent pas.
00:57:39Et en Coupe d'Europe, non ?
00:57:41Après, on ne sait jamais.
00:57:43C'est plutôt un bon tirage pour Paris.
00:57:45Je me souviens des années de Chelsea
00:57:47de Mourinho, qui a affronté Liverpool
00:57:49en Coupe d'Europe. Liverpool qui n'existait pas
00:57:51en championnat.
00:57:53Oui, mais ce n'est pas
00:57:55la même culture européenne. Liverpool,
00:57:57il y a toujours ce truc. Ils sont capables de battre
00:57:59le grand Barça de Ronaldinho,
00:58:01etc. C'est un peu différent.
00:58:03C'est une équipe qui peut renverser Milan.
00:58:05On ne parle pas de ça, là.
00:58:07On nous dira le Monaco-PSG-Monaco-Monay à l'heure de jeu.
00:58:09Quand on aura au masque à ouvrir la fenêtre.
00:58:11C'est un peu comme PSG-City.
00:58:13Monaco mène au score
00:58:15à l'heure de jeu.
00:58:17Le Monaco, du moment,
00:58:19c'est une proie.
00:58:21Je me demande même si ce n'est pas presque
00:58:23plus compliqué pour PSG
00:58:25de jouer presque Monaco.
00:58:27Quelques scènes de Liesse
00:58:29dans le vestiaire. Lillois racontée
00:58:31par Tanguy Lecellier.
00:58:33Ça se regarde.
00:58:35Il faut suivre notamment Alexandro
00:58:37avec Bruno Genesio.
00:58:39C'est à mon côté.
00:58:41C'est bien.
00:58:47Ah voilà.
00:58:49Lillois, Lillois.
00:58:51Lillois, Lillois.
00:58:53Lillois, Lillois.
00:58:55Lillois, Lillois.
00:58:57Ouai, ouai, ouai.
00:58:59...
00:59:01Aaaaah.
00:59:03...
00:59:05...
00:59:07Vas-y Thierry ! Vas-y Thierry ! Vas-y Thierry !
00:59:16Inaudible
00:59:35Voilà ! Merci beaucoup !
00:59:37On va remettre ça. C'est plus simple.
00:59:39Olivier Olivier ! C'était Olivier Létant.
00:59:41A mon avis, on a quand même une petite prémonette.
00:59:43Ah, peut-être.
00:59:44Giovanni, un dernier mot. Vous vouliez, je crois à un moment, vous inviter dans le débat d'MBD.
00:59:50Avez-vous des informations importantes à nous délivrer sur la nouvelle dimension d'Ousmane Dembélé devant le but ?
00:59:56Est-ce que Paris a franchi un cap, Mémé ? Puisque la question a été posée en conférence de presse par quelqu'un que vous connaissez bien, Dominique Sévrac.
01:00:05Et la réponse de l'entraîneur espagnol, c'était non. Il a rappelé, franchement, il n'a pas arrêté tout au long de la conf de dire
01:00:11« Pour moi, on a été excellent dans le jeu tout au long de cette phase de ligue. Alors oui, il y a une progression.
01:00:17Oui, on se libère devant le but. Mais là, marquer 4 buts par match, ce n'est peut-être pas normal.
01:00:21Et le fait qu'on n'ait pas marqué au début de la compétition, ce n'est pas normal. »
01:00:24Donc, il n'y a une nouvelle fois pas d'enflammade de la part de Louis-Henriquet qui était très calme, serein et posé en conférence de presse.
01:00:29Merci. Dernière intervention. Très bonne nuit. Très bonne soirée du côté de Stuttgart.
01:00:33Attention, derrière toi ! Il y a un camion !
01:00:36Oh, le drame !
01:00:42Il va se faire écraser par un camion dans une ville qui a vu la célèbre barre Porsche.
01:00:47Ça aurait été quand même con. Giovanni, on vous rassure. Giovanni, viva !
01:00:51Bon retour du côté de nos studios de boulogne Biancourt.
01:00:55Un petit truc à nous montrer, je crois ?
01:00:57Une petite déclaration d'Oussemane Dembele.
01:00:59Oussemane !
01:01:00Oussemane Dembele.
01:01:03Il a inscrit un triplé ce soir, on le rappelle.
01:01:05Depuis quelques temps, on est bien, on se sent bien, on joue bien, on gagne nos matchs et il a un très bon état d'esprit.
01:01:10C'est seulement le travail, ça va faire plaisir à Dave.
01:01:12Les joueurs ont envie de gagner des trophées ici.
01:01:14Ils se battent pour le maillot et ça donne ces résultats-là.
01:01:17On le rappelle ce soir, victoire 4-1 contre Stuttgart.
01:01:19Ça n'a pas toujours été le cas cette saison quand Oussemane a été sorti par Louis-Henriquet du côté d'Arsenal.
01:01:26Il a fait un petit tour du côté des tribunes.
01:01:29On attaque Brest.
01:01:30Brest qui a affronté le Real.
01:01:33C'est toujours ça une saison.
01:01:34Oui, c'est vrai.
01:01:35Une saison, tu ne peux pas être plat toute la saison.
01:01:37Il y a des moments un peu de crise.
01:01:39Mais il vaut mieux se dire les choses.
01:01:41J'ai l'impression qu'avec Oussemane-Henriquet, ça se dit les choses et ça avance.
01:01:44Oui.
01:01:45Brest, 0.
01:01:46Real, 3.
01:01:47Faut-il malgré tout féliciter Brest ?
01:01:49Mais juste avant, quelques images.
01:01:50Bien sûr.
01:01:51Evidemment, le premier but du Real Madrid avec Monsieur Champions, c'est Rodrigo
01:01:56qui se joue de Brennan Chardonnet pour enchaîner parfaitement et tromper Marco Bizotte.
01:02:01Ça fait un 0 à la 27e minute de jeu.
01:02:03Les Brestois vont égaliser.
01:02:05Mais finalement, le but sera refusé.
01:02:07Et derrière, quasiment dans la foulée, c'est Jude Bellingham qui offre le deuxième but au Madrilen.
01:02:11Et puis, Rodrigo va s'offrir un doublé après cette jolie action de Kylian Mbappé.
01:02:16Le Real Madrid qui affrontera soit le Celtic Glasgow, soit Manchester City en barrage.
01:02:23Si je vous pose la question, faut-il malgré tout féliciter Brest ?
01:02:25Parce que dans la première intervention de David Ayot, qui est là, que je vois,
01:02:29vous m'aviez dit que Brest n'avait pas démérité, avait tiré 23 fois au but.
01:02:34C'est bien ça ? Vous me confirmez cette stat ?
01:02:36Donc, ça veut dire que Brest a perdu face au Real.
01:02:39Ça ne sera pas la première équipe à subir les fouts du Real.
01:02:42Mais Brest, sur le contenu du match, vous leur tirez les oreilles ou plutôt vous dites bien joué ?
01:02:49Bien sûr qu'on leur dit bien joué.
01:02:51J'en parlais il y a quelques instants avec Christophe Revel, qui est l'entraîneur des gardiens,
01:02:54qui assiste au match depuis le banc.
01:02:56Il faisait le même constat que moi.
01:02:58La différence, et d'ailleurs c'est ce qu'a répété également Éric Roy il y a quelques instants,
01:03:01ici même en conférence de presse, il a utilisé le même mot que celui que j'utilise en ouverture,
01:03:04à savoir le talent.
01:03:05C'est le talent qui fait la différence.
01:03:06Après, sur le jeu, franchement, le stade Brestois a loin d'avoir été ridicule pendant les 90 minutes.
01:03:13Ils n'ont pas subi.
01:03:15C'est vrai qu'à partir de la 57ème et le deuxième but du Real,
01:03:18on a senti que les Madrilen étaient un petit peu en gestion.
01:03:21Mais on avait beaucoup de regrets évidemment aussi sur le but d'Ajor qui a été refusé pour quelques centimètres,
01:03:28qui aurait pu forcément changer la phénoménie du match.
01:03:31Donc globalement, mon sentiment et celui que viennent de nous exprimer le staff,
01:03:38l'entraîneur et les joueurs, c'est que malgré le score qui est lourd, ils peuvent sortir la tête haute.
01:03:44Vous avez une ambiance là ? C'est quoi ? C'est la mer ? C'est la flotte ?
01:03:49C'est quoi ? Qu'est-ce que j'entends là ?
01:03:53On est sur un bateau.
01:03:56En fait, on a eu de la chance pour le match.
01:03:58Il s'est complètement arrêté de pleuvoir entre 21h et 23h.
01:04:02Et depuis que les joueurs du Real Madrid ont quitté le stade, il pleut très fort.
01:04:07Tempête qui s'abat sur la Bretagne d'ailleurs.
01:04:10Il y a une tempête actuellement qui s'abat sur la Bretagne, notamment en Ile-et-Vilaine.
01:04:13On a une pensée émue pour les Bretons.
01:04:15Faut-il malgré tout féliciter Brest ?
01:04:17Vous avez les clés.
01:04:18Moi, je m'appuie sur le témoignage de l'envoyé spécial David Ayello.
01:04:21Habillage pirate des Caraïbes. On y va.
01:04:26Faut-il malgré tout féliciter Brest ?
01:04:28Ce côté italien de Mélisande va me dire non.
01:04:31Mais bien sûr que oui.
01:04:32Ah, c'est vrai ?
01:04:33Oh, Mélisande, vous êtes plus latine finalement.
01:04:35Vous avez eu un padou ?
01:04:36Si.
01:04:37Stéphane ?
01:04:38Un grand oui.
01:04:40Un grand oui.
01:04:41Autre nuance peut-être ?
01:04:42Même que Stéphane.
01:04:43Un grand oui ?
01:04:44Oui.
01:04:45D'accord.
01:04:46Jo ?
01:04:47Oui.
01:04:48Ok, d'accord.
01:04:49Vous me surprenez.
01:04:50Vous êtes déçu.
01:04:51Non, non, non, je ne suis pas déçu.
01:04:52Non, non, non, je ne suis pas déçu.
01:04:53Parce que j'étais sûr que vous alliez dire non, on ne peut pas les féliciter.
01:04:56Ils ont perdu 3-0.
01:04:57C'est Olivo, c'est machin.
01:04:58Mais c'est le Real Madrid et c'est Brest.
01:05:00Oui.
01:05:01Non, non.
01:05:02Mais la faute du soir, c'est quoi ?
01:05:03Ce n'est pas qu'ils aient perdu 3-0 contre le Real.
01:05:05C'est qu'ils sont qualifiés pour le prochain tour de Ligue des champions.
01:05:08Bravo à eux.
01:05:09Ce n'est pas un Copec.
01:05:10Personne en Europe n'aurait mis un Copec au début de la compétition sur Brest.
01:05:14Rien.
01:05:15Rien.
01:05:16Vous ?
01:05:17Non.
01:05:18Moi, je l'espérais très fort.
01:05:19Ils auraient fait un parcours à la Géoserde il y a 10 ans avec 6 matchs, 0 victoire.
01:05:23J'aurais compris.
01:05:24Et puis, tu sais, l'OM, ils ont fait des campagnes à 0-3.
01:05:28Oui, bien sûr.
01:05:29Je ne l'espérais évidemment pas.
01:05:33Ils font un parcours qui est bluffant.
01:05:36Ce soir, ils font un vrai match.
01:05:38Ce soir, ils font un vrai match.
01:05:39Un vrai match.
01:05:40Et Courtois, il fait 4 ou 5 carrés extraordinaires.
01:05:42Il y a le but refusé pour un centimètre.
01:05:44Donc, il y a cette campagne Ligue des champions.
01:05:46Et puis, on leur promettait l'enfer aussi tout court à Brest.
01:05:48Rappelez-vous les débats qu'on avait en août.
01:05:50C'était, mais est-ce que Brest va jouer le maintien ?
01:05:52Tu vois, là, ils sont encore…
01:05:54Pareil, Ligue des champions, Coupe de France.
01:05:56Championnat, ils sont revenus quasiment dans la course.
01:06:00Au-delà, évidemment, de cette campagne Ligue des champions
01:06:04qui est, je trouve, fantastique.
01:06:06Ce soir, il y a un vrai match.
01:06:07Et leur saison, elle n'est pas déjà réussie.
01:06:10Enfin, pas loin.
01:06:11Elle n'est pas déjà réussie.
01:06:13C'est costaud.
01:06:15Maintenant qu'ils sont revenus à la 8e place,
01:06:17je pense qu'ils ont le secret espoir aussi
01:06:19d'aller raccrocher un peu l'Europe.
01:06:20Alors là, pour le coup, ça serait extraordinaire.
01:06:23C'est costaud parce que ce match-là,
01:06:25qui est le match d'une vie quasiment pour la plupart,
01:06:28déjà, c'est la compétition d'une vie,
01:06:29mais tu prends le Real,
01:06:31qui est le club le plus légendaire de cette compétition.
01:06:3315 Ligue des champions, Brest, première fois en Coupe d'Europe.
01:06:35Voilà.
01:06:36Et compte tenu du fait que les Jeux étaient faits pour eux,
01:06:39c'est-à-dire qu'ils les avaient fait le boulot,
01:06:41c'est très facile d'être spectateur de ce match
01:06:43et de prendre des photos.
01:06:45Ce n'est pas le genre de la maison.
01:06:46Alors voilà.
01:06:47Mais c'est quelque chose qui s'entretient, qui se salue.
01:06:50Moi, je trouve que face à un événement comme ça
01:06:53où tu es un peu…
01:06:54C'est Star Wars qui débarque dans le coin.
01:06:57C'est Galactikourou.
01:06:58Oui, exactement.
01:06:59Il y a ça.
01:07:00Puis c'est Mbappé, c'est tout ça.
01:07:02C'est Ancelotti.
01:07:03C'est le champion d'Europe.
01:07:04Et moi, je trouve qu'ils auraient tout…
01:07:06Enfin, il y a d'autres clubs que j'imagine être facilement…
01:07:09Tu savais quand même ce soir que Brest n'allait pas être ça.
01:07:11Peut-être.
01:07:12Moi, je n'ai jamais imaginé ça.
01:07:13Peut-être, mais je ne le prends pas pour acquis.
01:07:14C'est-à-dire qu'il faut saluer qu'ils gardent un état d'esprit très compétiteur.
01:07:19J'ai l'impression que tu parles des enfants qui ont joué le Real Madrid.
01:07:24Tu sais le nombre d'équipes qui ont joué le PSG en se prenant en photo au parc ?
01:07:28Il y en a plein.
01:07:29Non, mais ça peut-être avant les matchs.
01:07:31Et ils se prennent 5-0 sans avoir acquis.
01:07:34Ce n'est pas l'ADN de ce Brest-là.
01:07:36Mais vous, vous le prenez comme si c'est un truc qui était…
01:07:39Ouais, c'est comme ça.
01:07:40Moi, je pense que c'est quelque chose qu'il faut retenir.
01:07:42Non, je pense que le prendre comme si les joueurs qui vont jouer le Real Madrid,
01:07:45ce sont des enfants en fait.
01:07:46C'est des joueurs professionnels qui vont jouer le Real.
01:07:48C'est pas ça.
01:07:49Tu n'as jamais vu des joueurs professionnels, le jour où ils tombent sur une équipe galactique,
01:07:52le Barça, le Machin, qui viennent les spectateurs ?
01:07:55Non, je n'ai jamais vu ça.
01:07:56Tu n'as jamais vu ça à la télé ?
01:07:57Les spectateurs ?
01:07:58Oui.
01:07:59C'est-à-dire ?
01:08:00C'est-à-dire, je vais t'en donner mille des exemples de clubs.
01:08:02Je me souviens de Saint-Etienne, de Nantes, etc.
01:08:04Quand ils débarquent au Parc des Princes, ils sont là,
01:08:06ils voient Neymar, ils voient Zlatan, etc.
01:08:08Oui, mais pas avec Brest, M. Apadou.
01:08:10Mais c'est ce que je lui ai dit.
01:08:11On a vu un entraîneur de Ligue 1 en cours de match demander le maillot d'un joueur du PSG.
01:08:15On a vu ça en France.
01:08:16On a vu ça en France.
01:08:17Un entraîneur de Ligue 1 en cours de match demander le maillot d'un joueur du PSG.
01:08:20C'est qui ?
01:08:21Je ne me souviens plus.
01:08:22Je n'ai pas envie de remuer ça.
01:08:24Tu es allé trop loin là, Stéphane.
01:08:25Non, non.
01:08:26Vous passez.
01:08:27Vous passez.
01:08:28Surtout, vous passez.
01:08:29On l'a vu plein de fois.
01:08:30Mais ce que je veux dire, c'est qu'on ne pouvait pas une seconde imaginer.
01:08:32Moi, je n'avais aucun doute en août que Brest serait là dans l'esprit, dans le combat.
01:08:36J'avais par contre des doutes sur leur capacité.
01:08:39On ne vous écoute plus, là.
01:08:40C'est qui le coach ?
01:08:43Un coach qui vous est cher.
01:08:45Un coach qui vous est cher, oui.
01:08:46Ah ouais ?
01:08:47C'est Angers, ça.
01:08:48Ah, c'est Angers ?
01:08:49Non, mais c'est…
01:08:51Il n'a pas dit non.
01:08:52Il n'a pas dit non.
01:08:53Non, mais j'ai beaucoup d'affection pour lui.
01:08:55Ah, OK.
01:08:56Donc, c'est lui, alors.
01:08:57OK.
01:08:58Jacques Pratt pour Brest.
01:08:59Qualifié pour les barrages.
01:09:02Ah, Oseille.
01:09:0334 minutes.
01:09:04L'interview du président de Brest, Le Sen dans l'équipe, c'était ce matin ?
01:09:07Oui, ce matin.
01:09:08Fantastique.
01:09:09Il faut lire ça parce qu'il y a tout là-dedans.
01:09:11Il y a à la fois l'esprit de construction.
01:09:14On sent justement que le monsieur, il est bien debout sur ses deux jambes dans son terroir.
01:09:21Il n'est pas sur une autre planète.
01:09:23Mais en même temps, il n'est pas non plus spectateur de l'épopée.
01:09:28Il a construit et il imagine des suites.
01:09:31Il ne surbudgetise pas.
01:09:34C'est pas fréquent de lire un dirigeant français tenir un langage comme celui-là.
01:09:43D'autant qu'il est hyper discret, lui.
01:09:45On comprend les raisons.
01:09:46David Ayelau, 34 millions, des perspectives d'avenir.
01:09:48Vous avez un petit écho à nous donner à cette conversation ?
01:09:54C'était effectivement pour élargir un petit peu.
01:09:57Sur la suite, évidemment, les 34 millions et tout ce qui va rentrer dans les caisses, on est ravi.
01:10:02Par contre, sur la perspective de jouer le Paris Saint-Germain, ça du côté de Brest, c'est une perspective qui ne plaît pas forcément.
01:10:10On rappelle Paris ou Benfica, on était clairement sur la volonté de jouer à un club étranger.
01:10:16D'autant que le Paris Saint-Germain va venir ce week-end du côté de Brest.
01:10:20Donc voilà, si on peut éviter, du côté de Brest, on préférait.
01:10:25Par rapport à tout ça, bientôt, on va se poser la question de l'avenir d'Éric Roy.
01:10:28Parce qu'il est en fin de contrat.
01:10:30Et tout ce qui se passe aujourd'hui autour de Brest, l'interview du président Le Sens, les rentrées d'argent, la remontée en championnat...
01:10:36Il finit la saison quand même.
01:10:38Il finit la saison évidemment, mais je pense que ça peut aussi ouvrir des perspectives d'avenir.
01:10:41Pourquoi pas ?
01:10:42Il l'a dit, il n'était pas sûr de rester à Brest.
01:10:44Oui, mais il n'est pas sûr de partir non plus.
01:10:46Parce qu'en France, aujourd'hui, de poste libre, il y aurait quoi de mieux que Brest pour Éric ?
01:10:51Si on est très honnête.
01:10:52Rien, il est bien à Brest.
01:10:54Je suis d'accord avec ça.
01:10:55Il est très bien à Brest.
01:10:57C'est d'accord.
01:10:58En plus, tout ce qui se passe...
01:10:59C'est trouvé, là.
01:11:00Il trouve une ville, un club, un truc.
01:11:01En fait, il n'est pas naïf non plus, Éric Roy.
01:11:03Il sait que la durée de vie d'un entraîneur, c'est 18 mois.
01:11:05Même ceux qui réussissent très bien.
01:11:07Et là, ça fait deux ans et demi qu'il va être à Brest.
01:11:09Il sait qu'il fera difficilement mieux que ce qu'il a déjà fait.
01:11:12Il a plein de...
01:11:14Il peut y avoir des exceptions.
01:11:16Ok, ok.
01:11:17Bon, d'accord.
01:11:18On continue.
01:11:19Bonne texte arrive.
01:11:20Ce n'est pas le débat du soir quand même.
01:11:22Non, non, non.
01:11:23On fait les débats des semaines qui viennent.
01:11:26On est en train de faire le quart de finale du PSG.
01:11:28On est en train de faire l'avenir de Brest.
01:11:30On va faire quoi ? Lille sort l'étang.
01:11:32Monaco racheté par l'Arabie Saoudite.
01:11:34On attaque maintenant.
01:11:35Olivier Ménard a fait une école de questions.
01:11:37Non, mais c'est surréaliste.
01:11:39Laissez, d'ailleurs.
01:11:40Ne vous inquiétez pas.
01:11:41Pierre Lesméleau a parlé ce soir.
01:11:43Il a dit quoi ?
01:11:44Il a parlé de l'avenir.
01:11:45Sur le prochain adversaire de Brest en Ligue des Champions,
01:11:47Mikrokosmos.
01:11:48Il a dit qu'on aimerait jouer le Benfica.
01:11:50C'est soit le Benfica, soit le PSG.
01:11:52Il préfère le club portugais.
01:11:53Il paraît que ce serait con quand même.
01:11:55On les connaît et on les joue assez.
01:11:57Ce serait cool de choper le Benfica.
01:11:59C'est normal.
01:12:00Après, c'est aussi parce qu'il faut quand même qu'on mesure notre chance
01:12:03d'avoir les quatre clubs qualifiés.
01:12:05En tout cas, aucun éliminé.
01:12:06Ce qui n'est pas le cas du championnat allemand.
01:12:08Ce qui n'est pas le cas du championnat italien.
01:12:09Ce qui n'est pas le cas du championnat espagnol.
01:12:11Et vu qu'il y a toujours une course maintenant
01:12:13pour cette nouvelle formule de Ligue des Champions
01:12:15et des classements en permanence entre les différents championnats,
01:12:18c'est important d'avoir la France aussi bien positionnée.
01:12:22Évidemment, vu qu'il y a cinq équipes d'un même pays
01:12:25ou quatre équipes d'un même pays,
01:12:26il va y avoir dans cette formule-là pas mal de confrontations directes
01:12:29à partir des barrages.
01:12:31Karl-Heinz Schelotti est l'Oral qualifié.
01:12:34Soit le City, soit le Celtic.
01:12:36Karl-Heinz Schelotti.
01:12:53Oui, c'est basique, logique, de bon sens.
01:12:56Au moins, il est là.
01:12:57Voilà.
01:12:58OK.
01:12:59Bon.
01:13:00Autre chose à dire.
01:13:01On va aller du côté de Monaco maintenant.
01:13:03On va continuer de faire le petit tour des clubs français
01:13:06avec un match où il n'y a rien à débriefer.
01:13:08Rien, il paraît.
01:13:09Inter 3-0, c'est ça contre Monaco.
01:13:113-0, c'est ça du côté de Monaco.
01:13:13C'est ça, c'est ça.
01:13:14C'est ça, c'est ça.
01:13:15C'est ça, c'est ça.
01:13:16C'est ça, c'est ça.
01:13:17C'est ça, c'est ça.
01:13:18C'est ça, c'est ça.
01:13:19C'est ça, c'est ça.
01:13:203-0, c'est ça contre Monaco.
01:13:213-0, c'est ça du côté de San Siro ce soir en Italie
01:13:24avec grosse victoire des interistes.
01:13:27Le pénalty de Lautaro Martinez qui trompe Radoslav Majewski.
01:13:31Derrière, les Monegasques vont passer à 10 contre 11
01:13:35avec cette erreur de Christian Maouissa.
01:13:38Les interistes vont réussir quasiment dans la foulée
01:13:40à inscrire un deuxième but encore par Lautaro Martinez.
01:13:42Puis le 3-0 encore pour l'attaquant argentin de cette équipe interiste.
01:13:47Victoire 3-0.
01:13:48Monaco est quand même qualifiée pour les barrages.
01:13:49Elle affrontera soit le Paris Saint-Germain, soit Benfica.
01:13:51Faut-il juger Monaco sur cette défaite ?
01:13:53Habillage à la Monegasque et on y va.
01:13:56On ne sait pas où la classer cette équipe de Monaco.
01:13:59Il faut la juger Monaco sur cette défaite ?
01:14:01Non.
01:14:02Non ?
01:14:03Dave ?
01:14:04Oui, quand même.
01:14:05Oui, quand même.
01:14:06Stéphane ?
01:14:07J'ai envie de oui.
01:14:08Oui, oui.
01:14:09Jérôme ?
01:14:10Oui, quand même.
01:14:11Oui, quand même.
01:14:12Enfin !
01:14:13On a un petit truc là.
01:14:14J'ai failli te barrer.
01:14:17En Régis, si on n'est pas prêt, ce n'est pas grave.
01:14:19On va filer la gonfle à Mélisande.
01:14:20On va faire ça à l'ancienne.
01:14:21Sans duel.
01:14:22Tranquillement.
01:14:23Les gars ont sorti.
01:14:24Avec tous les embouts spéciaux.
01:14:26C'est pas possible.
01:14:27Les gars sont...
01:14:28Non ?
01:14:29Pourquoi ?
01:14:30Parce que déjà, on n'est pas dans la culture de l'instant.
01:14:32Quand on est un vrai journaliste.
01:14:33C'est pas parce que tu perds 3-0.
01:14:37Non, mais parce que je pense qu'il faut...
01:14:38Voilà, tu joues à San Siro contre l'Inter.
01:14:40Qu'on ne connaît peut-être pas assez ici en France.
01:14:43Mais qui est une des favoris à la victoire de cette Ligue des champions.
01:14:47C'est une des équipes les plus fortes du tableau.
01:14:50Qui est un collectif qui se trouve les yeux fermés.
01:14:53Parce qu'il travaille avec le même entraîneur depuis plusieurs saisons.
01:14:55Qui a été finaliste déjà de la compétition.
01:14:58Qui s'est renforcée.
01:14:59Qui récite son football.
01:15:01Et qui a eu la chance de se retrouver à 11 contre 10 très vite dans le match.
01:15:04Avec un Lautaro qui marche sur l'eau.
01:15:06Qui met 3 buts.
01:15:07Donc si vous me dites que parce qu'ils ont pris cette taule-là à 10 contre 11.
01:15:10À San Siro contre l'Inter.
01:15:13Ils sont nuls.
01:15:14Ils ne méritent pas.
01:15:15Ils sont ceux-ci.
01:15:16Ils sont ceux-là.
01:15:17Alors qu'on n'a pas non plus eu exclusivement les yeux sur ce match-là.
01:15:20Très bien.
01:15:21Mais moi je pense quand même qu'il y a un tel écart entre les deux.
01:15:24Et que quand ça se goupille comme ça.
01:15:26Et que tu prends un pénalty.
01:15:29Et puis un carton rouge.
01:15:30Et puis juste après le carton rouge.
01:15:32De tomber le deuxième.
01:15:33Tu as 2-0.
01:15:34Et c'est terminé.
01:15:35Oui mais là tu en fais une fatalité.
01:15:36Alors que moi je pense que Monaco.
01:15:37Il y a un vrai problème.
01:15:38Ce n'est pas le premier match comme ça.
01:15:39Où il y a les fils qui se touchent chez certains joueurs.
01:15:42Dans des gros matchs.
01:15:44Dans des matchs importants.
01:15:45Ils ont aussi ce problème de maîtrise d'eux-mêmes.
01:15:48Alors ça va peut-être avec la nature de cet effectif.
01:15:51Moi je trouve qu'ils traversent une passe compliquée.
01:15:53Vraiment.
01:15:54C'est une passe.
01:15:55Alors qu'on en parlait comme du challenger principal du PSG.
01:15:59Capable éventuellement de faire le match un peu plus longtemps que d'autres.
01:16:03En tout cas c'était un petit peu comme ça que c'était présenté.
01:16:06Et à un moment c'était un peu l'équipe la mieux placée pour ça.
01:16:08D'ailleurs je me souviens de Ben Seguir et Acliouche qui avaient fait une interview.
01:16:11En disant on n'a rien envie au PSG etc.
01:16:13Enfin on était dans cette période-là.
01:16:15Et je trouve que ces fautes de concentration.
01:16:19Où ils se retrouvent à 10 contre 11.
01:16:20Où ils font des énormes erreurs.
01:16:21Je trouve que c'est assez révélateur.
01:16:24La question elle n'est pas de savoir est-ce que tu perds contre l'Inter.
01:16:26C'est comment tu perds.
01:16:27Et moi je trouve que ça c'est assez important.
01:16:28Mais tu ne l'as pas découvert ce soir.
01:16:29Que c'était une équipe qui joue plutôt qu'une équipe qui défend.
01:16:32Ce n'est pas ce qu'on dit.
01:16:33On joue un match.
01:16:35Mais ce n'est pas sa défaite qui t'a dit.
01:16:36Ah oui j'ai découvert qu'il défendait mal.
01:16:38Elle nous l'a confiée.
01:16:39Dave et Melisa on regardait le casque bleu arrive.
01:16:41Non mais c'est une confirmation quand même.
01:16:43Qu'ils ne sont pas invités à ce niveau-là.
01:16:45Mais pourquoi ?
01:16:46Parce que s'il y a les talents devant.
01:16:47Ok Minamino, Acliouche, Ben Seguir.
01:16:49Même Golovin quand il a envie.
01:16:50Quand il en veut.
01:16:51Bon bref.
01:16:52Mais derrière c'est une catastrophe.
01:16:54Et on parlait de Lucas Chevalier tout à l'heure.
01:16:56Monaco a un vrai problème de gardien.
01:16:58Et c'est un club qui bosse tellement bien.
01:17:02Souvent bien sur d'autres postes.
01:17:04Mais depuis le départ de notre ami Kroat.
01:17:07Comment est-ce appelé ?
01:17:08Subasic.
01:17:09Subasic.
01:17:10Depuis c'est une catastrophe.
01:17:12Et si tu dis non.
01:17:13C'est que tu as un gros problème de compréhension du jeu.
01:17:15Parce que Monaco dans les buts.
01:17:16C'est un vrai problème.
01:17:17Et ce soir encore.
01:17:18Je m'excuse.
01:17:19C'est une confirmation.
01:17:20Que depuis sept ans je dis.
01:17:21Vous verrez Monaco aura du mal.
01:17:22Parce qu'au niveau gardien.
01:17:23Ce n'est pas du tout au niveau européen.
01:17:24Mais malheureusement ce soir.
01:17:25La défense et le gardien.
01:17:26Ça le confirme.
01:17:27Timothée Memon.
01:17:28Depuis quelques temps.
01:17:29Monaco fait des catastrophes.
01:17:31Monaco fait des cadeaux.
01:17:32A l'équipe adverse.
01:17:33Est-ce que ce soir.
01:17:34C'était le cas sur les trois buts encaissés.
01:17:36Est-ce qu'il y a eu des cadeaux.
01:17:37Des buts on va dire.
01:17:38Donnés.
01:17:39Bêtement.
01:17:40Ça va être difficile de répondre non.
01:17:44Dans la mesure où vous offrez un pénalty.
01:17:45Très rapidement.
01:17:46Par naïveté.
01:17:47Et vous prenez un carton rouge.
01:17:49Pourquoi ?
01:17:50Pour une mauvaise lecture du ballon.
01:17:51Peut-être parce que.
01:17:52Cette rencontre.
01:17:53Elle était trop forte.
01:17:54En termes d'intensité.
01:17:55De pression.
01:17:56C'est d'ailleurs.
01:17:57Les arguments.
01:17:58Qu'a avancé.
01:17:59L'entraîneur.
01:18:00Il y a eu des conférences.
01:18:01De presse.
01:18:02Des propos.
01:18:03Qui m'ont été rapportés.
01:18:04Puisqu'on était.
01:18:05En zone mixte.
01:18:06Mais Andy Hooteur a dit.
01:18:07Qu'il y avait de la nervosité.
01:18:08Que ce stade.
01:18:09Cette ambiance.
01:18:10L'équipe d'en face.
01:18:11Avait créé une nervosité.
01:18:12Dans cette équipe.
01:18:13De Monaco.
01:18:14Alors.
01:18:15La thèse n'a pas forcément.
01:18:16Été accréditée.
01:18:17Par Braylem Bolo.
01:18:18Même s'il admettait.
01:18:19Que peut-être pour les plus jeunes.
01:18:20C'était difficile.
01:18:21Elle est peut-être là.
01:18:22L'explication.
01:18:23Après.
01:18:24J'irai.
01:18:25Jouer les avocats.
01:18:27Une belle campagne.
01:18:28En affrontant.
01:18:29Il faut le rappeler.
01:18:30Sur ces huit matchs.
01:18:31Quatre équipes.
01:18:32Qui finissent.
01:18:33Dans les huit premiers.
01:18:34Barcelone.
01:18:35Arsenal.
01:18:36L'Inter.
01:18:37Et Aston Villa.
01:18:38C'est donc.
01:18:39Qu'ils avaient.
01:18:40Parmi.
01:18:41Les tableaux.
01:18:42Les chemins.
01:18:43Les plus compliqués.
01:18:44Les plus relevés.
01:18:45Chapeau 4.
01:18:46Chapeau 4.
01:18:47En août.
01:18:48Au tirage au sort.
01:18:49Donc.
01:18:50On peut aussi féliciter.
01:18:51Monaco.
01:18:52Vous avez rencontré.
01:18:53Braylem Bolo.
01:18:54Dans la zone d'interview.
01:18:55On va parler.
01:18:56Du début de match.
01:18:57Écoutez-le.
01:18:58On n'était pas trop attentif.
01:19:00C'est dur.
01:19:01Après.
01:19:02Après.
01:19:03Le premier pénalty.
01:19:04Et après.
01:19:05Le carton rouge.
01:19:06Surtout.
01:19:07C'est dur.
01:19:08Contre une équipe.
01:19:09Comme ça.
01:19:10Avec beaucoup d'expérience.
01:19:11De faire quelque chose.
01:19:12Comme je dis.
01:19:13C'était pas la soirée.
01:19:14Qu'on voulait.
01:19:15Et.
01:19:16Après.
01:19:17Dix minutes.
01:19:18C'était.
01:19:19C'était.
01:19:20C'était.
01:19:21C'était dur.
01:19:22Un but.
01:19:23Encaissé.
01:19:24Pour l'instant.
01:19:25Avec un gardien correct.
01:19:26Oui.
01:19:27Jan Sommer.
01:19:28Je l'estimais.
01:19:29Un des meilleurs gagnants au monde.
01:19:30Oui.
01:19:31C'était Leverkusen.
01:19:32À la 92ème minute.
01:19:33C'est De Vrij.
01:19:34Qui fait une saison incroyable.
01:19:35En Charnière Centrale.
01:19:36Non.
01:19:37Mokele.
01:19:38Le seul buteur.
01:19:39Pas Skriniar.
01:19:40Mokele.
01:19:41Non.
01:19:42C'est pas Skriniar.
01:19:43Nardi Mokele.
01:19:44Qui a marqué.
01:19:45Contre l'infranchissable.
01:19:46Inter.
01:19:47Le match bascule.
01:19:48En fait.
01:19:49Où on a vu les défauts.
01:19:50C'est Benfica.
01:19:51On s'était bien pris la tête.
01:19:52Sur Benfica.
01:19:54Le diable de Di Maria.
01:19:55Carton rouge.
01:19:56Qui fait la musique.
01:19:57Qui fait la chanson.
01:19:58Et voilà.
01:19:59Mais depuis.
01:20:00Depuis cette défaite là.
01:20:01Non.
01:20:02Mais après.
01:20:03Parce que derrière.
01:20:04Il y a l'OM.
01:20:05Il y a aussi le.
01:20:06Il y a aussi le.
01:20:07Ça démonte les lacunes.
01:20:08Que tu peux avoir défensivement.
01:20:09Et puis.
01:20:10Contre le Benfica.
01:20:11Tu l'as eu.
01:20:12Bon.
01:20:13Là.
01:20:14Ce soir.
01:20:15C'est un match particulier.
01:20:16Mais.
01:20:17Tu fais aussi une erreur.
01:20:18Sur ce carton rouge.
01:20:19Qui.
01:20:20Marcus Thuram.
01:20:21Joue très très bien le coup.
01:20:22Donc.
01:20:23Et.
01:20:24Souvent.
01:20:25On met l'accent là-dessus.
01:20:26Donc.
01:20:27C'est une équipe joueuse.
01:20:28Une équipe qui aime.
01:20:29Attaquer.
01:20:30Mais.
01:20:31Tu vois.
01:20:32Ce qu'on disait sur Liverpool.
01:20:33Qui arrive à se recomposer très rapidement.
01:20:34Moi.
01:20:35Je trouve que Monaco.
01:20:36N'y arrive pas.
01:20:37Et quand tu as du talent en face.
01:20:38Ben.
01:20:39Ça fait très très mal.
01:20:40Monaco.
01:20:41Son avenir européen.
01:20:42Dans cette compétition.
01:20:43Vous avez récupéré des billes.
01:20:44Des commentaires.
01:20:45De la part de ces acteurs monégasques.
01:20:46Timothée.
01:20:47Oui.
01:20:48Il y avait.
01:20:49Surtout d'abord.
01:20:50Rappeler la satisfaction.
01:20:51D'être qualifié.
01:20:52C'est peut-être.
01:20:53Une façon.
01:20:54D'évacuer.
01:20:55Rapidement.
01:20:56Le désastre.
01:20:57Et le cauchemar.
01:20:58Qu'aurait été la soirée.
01:20:59De ce soir.
01:21:00Mais.
01:21:01Effectivement.
01:21:02Brel Mbolo.
01:21:03Entre Paris.
01:21:04Et Benfica.
01:21:05Il a fait son choix.
01:21:06Moi.
01:21:07Personnellement.
01:21:08Je trouve que c'est un peu dommage.
01:21:09Parce que.
01:21:10On veut un peu notre revanche.
01:21:11Contre Benfica.
01:21:12Je crois que c'est ça.
01:21:13Le deuxième.
01:21:14Mais si c'est Paris.
01:21:15C'est Paris.
01:21:16Comme j'ai dit.
01:21:17On va voir.
01:21:18On va accepter.
01:21:19On va prendre tous les duels.
01:21:20C'est la Ligue des champions.
01:21:22Deux images.
01:21:23De la soirée.
01:21:24City est éliminé.
01:21:25A la pause.
01:21:26City sera qualifié.
01:21:27Rétablissement de City.
01:21:28Contre le club de Bruges.
01:21:29Trois buts à un.
01:21:30Quelques images.
01:21:31Ils ont eu chaud.
01:21:32Ils ont eu chaud.
01:21:33Parce qu'ils étaient menés.
01:21:34Les citizens.
01:21:35Un but à zéro.
01:21:36Finalement.
01:21:37Ils s'imposent.
01:21:38Trois buts à un.
01:21:39On va vous montrer le dernier but.
01:21:40De cette soirée mancunienne.
01:21:41Avec le but de Savigno.
01:21:42Qui assure la qualification.
01:21:43Le contrôle de la poitrine.
01:21:44Et derrière l'enchaînement parfait.
01:21:45Du brésilien.
01:21:46Mais pour Manchester City.
01:21:47Ce sera le Real Madrid.
01:21:48Ou le Bayern Munich.
01:21:50Une soirée.
01:21:51Sans parler de Grisou.
01:21:52C'est comme prendre une douche.
01:21:53Avec un impermeable.
01:21:54Ça ne sert à rien.
01:21:55Donc Grisou.
01:21:56C'est à faire un doublé.
01:21:57Ce soir.
01:21:58Oui.
01:21:59Je trouvais que ça.
01:22:00Un magasin.
01:22:01Un succès.
01:22:02Contre Salzbourg.
01:22:03Vous allez me dire.
01:22:04Tout le monde marre.
01:22:05Contre Salzbourg.
01:22:06Mais c'est Grisou.
01:22:07Donc on s'en fout.
01:22:08Allez-y.
01:22:09L'Atletico qui s'est imposé.
01:22:10Quatre buts à un.
01:22:11On va vous montrer le premier but.
01:22:12Avec l'excellent travail.
01:22:13De Giuliano Simone.
01:22:14Qui va éviter le gardien adverse.
01:22:15Avant de servir parfaitement.
01:22:16Antoine Griezmann.
01:22:18Ce sera soit le Celtic.
01:22:19Soit Manchester City.
01:22:20Soit le Real.
01:22:21Soit le Bayern.
01:22:22En huitième de finale.
01:22:23Ça nous promet un gros choc.
01:22:24Comment il fait là ?
01:22:25Grisou.
01:22:26Il n'est pas facile à mettre.
01:22:27Oui.
01:22:28Il faut s'impliquer.
01:22:29Demain du coup.
01:22:30Quelques suites de l'équipe du soir.
01:22:32Allez.
01:22:33On y va.
01:22:34J'ai hâte d'entrer qui m'a débuté.
01:22:44Je demande le bon dimanche chaud.
01:22:45Enregi.
01:22:46Bon dimanche chaud.
01:22:47Bon dimanche chaud.
01:22:48Et Monaco, Brest et Paris vont empocher aux alentours de 34 millions d'euros de dotation.
01:22:53Jackpot pour l'île.
01:22:54Il ne faut pas le dire.
01:22:55Parce que si ça s'ébrouille.
01:22:56Ça reste entre nous.
01:22:5751 millions d'euros.
01:22:58Directement 51 millions.
01:23:00On ne le dit pas.
01:23:01Si vous croisez Olivier Letten.
01:23:02Vous ne m'avez jamais vu.
01:23:03Et le top 5 à France qu'il faut retenir de l'actualité du soir avec vous.
01:23:08Hors Ligue des champions.
01:23:09On va commencer par France Gall.
01:23:12Vendredi.
01:23:13C'est le début de tournée destination.
01:23:14Aujourd'hui Fabien Galtier a livré son 15 de départ.
01:23:16Oui.
01:23:17Pour recevoir le pays de Galles vendredi soir au stade de France.
01:23:19Fabien Galtier pour raconter sur Antoine Dupont et Romain Entamac en charnière.
01:23:22Pour pallier les blessures de Damien Penaud et Timo Flamand.
01:23:26Vous apercevez Théo Attisogbe et Alexandre Roumat juste derrière.
01:23:29Vous allez le voir avec le numéro 4.
01:23:31Ils vont démarrer face aux Gallois.
01:23:33On retrouvera également dans le 15 de départ.
01:23:35Pea Tomovacca, Grégory Aldrite, Louis Biel-Biarré ou encore Thomas Ramos, Hugo Radou et Oscar
01:23:40Gégou.
01:23:41Eux démarreront sur le banc des remplaçants.
01:23:43Attisogbe, vous l'avez dit, remplace Damien Penaud qui a eu un petit souci d'orteil.
01:23:47Édition spéciale vendredi soir dans l'équipe du soir.
01:23:51On attendait Clément Noël Schladming en Autriche.
01:23:54On peut l'attendre parce que c'est mal passé.
01:23:56Oui, il avait terminé 6e de la première manche ce soir du côté de Schladming.
01:24:00On espérait évidemment une belle place pour le Français.
01:24:04Il n'a pas réussi à terminer la seconde manche puisqu'il a enfourché.
01:24:07On va le voir au ralenti sur ces images.
01:24:10La petite erreur du Français.
01:24:12La victoire revient au Norvégien Timon Hogan.
01:24:15C'est son deuxième succès de la saison.
01:24:17Un podium complété par Feller et Gerstein, deux Autrichiens, le premier Français.
01:24:20C'est Steven Amier qui termine à une belle 7e place.
01:24:23Il avait gagné à Kitzbühel le week-end dernier.
01:24:25Championnat d'Europe de Biathlon en Italie.
01:24:27Deux courses et pas de médaille pour l'équipe de France.
01:24:29Ce sont deux filles qui se sont bien exprimées côté Français aujourd'hui.
01:24:34Amandine Mangin, toujours aussi en forme.
01:24:36Elle termine au pied du podium à la 4e place de cette individuelle.
01:24:39Une course remportée par Johanna Pouf, l'Allemande.
01:24:42Autre bonne nouvelle, c'est la 6e place de Voldija Galmas-Polin.
01:24:46Chez les hommes, Oscar Lombardo a été le meilleur Français.
01:24:49Mais il a craqué sur le dernier tir et termine finalement 19e.
01:24:52Voilà pour la meilleure performance française côté Français chez les garçons.
01:24:55Demain, repos. Vendredi, place au sprint hommes et dames.
01:24:58Rendez-vous sur notre antenne 10h20.
01:25:01Championnat du monde de handball.
01:25:03La suite des quarts de finale.
01:25:04Colossale surprise.
01:25:06Allemagne sortie. Le Portugal qui passe.
01:25:08Le Portugal qui est en demi-finale du mondial.
01:25:10C'est une première dans l'histoire.
01:25:12On n'aura pas le droit à la revanche entre l'Allemagne et le Danemark en demi.
01:25:15Puisque les Portugais se sont imposés après prolongation.
01:25:18Vous avez vu le premier but magnifique de Luis Frade depuis son camp.
01:25:22Les Portugais qui ont longtemps mené, qui ont finalement dû arracher la prolongation à la toute dernière seconde.
01:25:2726 partout à ce moment-là du match.
01:25:29Le but de la victoire au buzzer est signé Martin Costa pour une victoire 31 à 30.
01:25:34Les Portugais qui se qualifient pour la première fois de leur histoire.
01:25:37Ils affronteront les Danois qui n'ont pas fait dans le détail face aux Brésiliens.
01:25:41Les Danois se sont imposés de 12 buts.
01:25:43Victoire 33 à 21.
01:25:45Ils ont toujours mené dans cette partie.
01:25:47Ils n'ont laissé absolument aucun espoir aux Sud-Américains.
01:25:49La demi-finale face aux Portugais aura lieu ce vendredi du côté de ce qu'on rappelle.
01:25:54C'est France-Croatie de l'autre côté.
01:25:56C'est logique puisque en handball les Brésiliens c'est les Danois.
01:25:59France-Croatie demain.
01:26:00Rendez-vous 20h30.
01:26:01Débrief intégral évidemment au début de l'équipe du soir.
01:26:04Du télis à Montpellier.
01:26:05Joli coup, joli coup de raquette, joli perf.
01:26:08Un joli point.
01:26:09Malheureusement ce n'est pas pour notre Français.
01:26:11Arthur Cazot battu ce soir par Félix Auger.
01:26:15Aliassime le Canadien tête de série numéro 2 sur ce tournoi de Montpellier.
01:26:18Défaite 6-4, 7-6 pour le Français.
01:26:21Auger et Aliassime vainqueur de ce point est en bas de l'écran.
01:26:24Arthur Cazot qui était député après le match.
01:26:27Il a évoqué une faute professionnelle.
01:26:29On va voir le joli point d'Auger et Aliassime qui conclut au filet.
01:26:34Le Canadien qui affrontera le Chinois Buh au tour suivant.
01:26:38Un point de prof de télis.
01:26:39On finit par un dernier écho du côté du Stade Rennais.
01:26:42Sampaoli, l'avenir s'annonce en pointillés.
01:26:45C'est une information à l'équipe.
01:26:47Il était arrivé le 11 novembre dernier.
01:26:49Et Georges Sampaoli est déjà sur le départ à Rennes.
01:26:52Son bilan c'est 7 défaites en 10 matchs.
01:26:55Ça marche bien.
01:26:56Un petit peu pour lui.
01:26:58Rennes affronte Strasbourg dimanche à 17h15.
01:27:00On verra s'il sera sur le banc ou pas.
01:27:02C'est aussi sur la sellette.
01:27:04Il est sur le départ.
01:27:05Oui, sur le départ.
01:27:06Il y a un personnage qui est libre.
01:27:08Il faut qu'il se dépêche les Rennais.
01:27:09Il ne peut pas se faire piquer.
01:27:10Ok.
01:27:11Ça serait beau.
01:27:12Ligne de l'équipe Tanguy.
01:27:14Avec évidemment le grand chelem français.
01:27:17Tous les clubs français qualifiés en Ligue des champions.
01:27:19Et puis évidemment la petite information sur Georges Sampaoli.
01:27:22En manchette tout en haut.
01:27:24Bientôt écarté point d'interrogation.
01:27:26Le quiz à présent.
01:27:27Je rappelle que c'est Jérôme Alonso qui a les jokers.
01:27:31Aujourd'hui nous avons fêté l'anniversaire de Romario.
01:27:3359 ans, bon anniversaire à toi mon cher Romario.
01:27:36Le thème, les grands buteurs qui ont joué au Barça.
01:27:42Il n'y en a pas beaucoup.
01:27:43Je suis brésilien.
01:27:45Ronaldo.
01:27:46Ronaldo, c'est faux.
01:27:48J'ai joué en Ligue 1.
01:27:50Neymar.
01:27:51C'est faux.
01:27:53J'ai joué en Ligue 1.
01:27:54Ronaldinho.
01:27:55Ronaldinho, c'est faux.
01:27:56J'ai joué en Ligue 1.
01:27:57Autre indice.
01:27:58À l'OM mais aussi à l'OL.
01:28:01Anderson.
01:28:02Sonny Anderson.
01:28:03Deux points pour Stéphanie.
01:28:06Autre grand buteur qui ont joué au Barça.
01:28:09Je signe au Barça en 1997.
01:28:13Ronaldo.
01:28:17Ronaldo, perdu.
01:28:18Après il y avait...
01:28:23Ronaldo, d'accord.
01:28:24Rivaldo.
01:28:25Rivaldo, quatre points pour Jérôme Alonso.
01:28:27J'arrive en provenance de la Corune.
01:28:28Je suis ballon d'or France Football.
01:28:30C'était en 1999.
01:28:31C'était Rivaldo.
01:28:32Je suis le plus grand.
01:28:34Ronaldo.
01:28:36Fenomeno.
01:28:37Ronaldo ?
01:28:38Ronaldo.
01:28:39Ibrahimović.
01:28:40Ibrahimović en taille.
01:28:42Bravo, 1m96.
01:28:43Quatre points.
01:28:44Mon prénom est devenu une expression.
01:28:46Elle signifie dominer physiquement.
01:28:47C'est Zlatané.
01:28:48Lors de mon passage au Barça, je me suis brouillé avec Pep Guardiola.
01:28:51Le dernier pour la route.
01:28:52Toujours le même indice.
01:28:53Je suis le plus grand.
01:28:54Ronaldo ?
01:28:55Ronaldo, non.
01:28:56Messi ?
01:28:57Messi.
01:28:58Même si je ne mesure qu'1m69.
01:28:59672 buts en 1778 matchs pour Barcelone.
01:29:034 plus 4, ça fait 8.
01:29:054 à 4.
01:29:068.
01:29:07Et pourquoi il ne les met pas ?
01:29:08Si, si.
01:29:09Je sors, je joue à demi-coup.
01:29:11Too late, man.
01:29:12Quoi ?
01:29:13Too late.
01:29:14Bon, mes amis, voilà.
01:29:15Victor Dejeune, on vous embrasse.
01:29:16On vous dit à demain.
01:29:17Demain, il y a du handball.
01:29:18Je veux les 8 points.
01:29:19Je veux les 8 points.
01:29:20Non, non, non.
01:29:21Allez, à demain.
01:29:22Ciao.
01:29:24Ciao.