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Avec Olivier Dauvers

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##LE_SUPPLEMENT_MEDIA-2025-02-10##

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News
Transcription
00:00Le Supplément Média avec Olivier Dauver pour cette émission diffusée ce soir à 21h10
00:08sur M6 qui s'intitule « À quel prix ? ». Bonjour Olivier, avec toute votre bande autour
00:14de Julien Courbet, vous allez apprendre aux consommateurs et consommatrices, souvent c'est
00:19les femmes qui font les budgets dans les ménages, comment faire des petites économies
00:24d'échelle et c'est stupéfiant de s'apercevoir qu'en réalité le diable se cache dans tous
00:30les détails de nos factures, de nos abonnements, de quand on fait nos courses et on est capable
00:36de faire des petites économies rien qu'en regardant son compte en banque.
00:40En fait on en a partout sous le pied mais on ne s'en rend pas compte.
00:43C'est la fainéantise ? C'est la routine, c'est l'habitude, c'est
00:47le fait de ne pas regarder en permanence sur quoi on est engagé parce que vous verrez
00:52ce soir il y a une séquence où on retravaille le prix des abonnements en se posant la question
00:57toute bête.
00:58Qu'est-ce que j'ai fait hier soir moi ? Cet abonnement il me donne quoi ? Ah mais
01:01je me rends compte que l'autre me donne pour partie un peu pareil donc il y en a un de
01:05trop sur les deux.
01:06Bref en fait on se rend compte, mais c'est valable peut-être dans beaucoup de compartiments
01:09de notre vie, c'est que s'installe une forme de routine qui nous fait oublier ce
01:14sur quoi on est engagé et puis ces dépenses-là elles ont une particularité, on ne les sort
01:17pas de notre poche, c'est quelqu'un qui vient se servir chez nous et donc il n'y a pas
01:21la sensation de l'appauvrissement de la même manière que lorsque vous êtes dans un magasin,
01:26vous dépensez 100, 150, 200 euros, vous les voyez sortir de votre poche ou de votre carte
01:31bancaire.
01:32C'est le prélèvement, c'est une dépense en apparence invisible mais qui n'est pas
01:37indolore.
01:38Alors ce soir c'est une nouvelle émission qui arrive sur M6, il faut dire que c'est
01:43extrêmement bien produit avec des reportages un peu à la capitale qui sont extrêmement
01:49bien faits, plus un laboratoire, vous verrez, sur les machines à laver, c'est formidable
01:53et vous, vous vous occupez évidemment, on vous connaît en particulier pour ça, pour
01:57la grande distribution.
01:58Alors on ne va pas spoiler l'émission, vous accompagnez une famille, vous donnez des conseils
02:04et à un moment vous parlez, la famille va acheter du poulet un peu trop cher alors que
02:10derrière il y avait des cuisses de poulet beaucoup moins chères et moi je me suis dit
02:17mais oui mais les plus chères sont peut-être La Belle Rouge et Meilleur parce que dans
02:20cette émission le seul reproche que je pourrais faire c'est qu'on ne parle pas de la qualité
02:25des produits.
02:26Forcément on peut toujours trouver des produits moins chers mais ils sont, vos pilons de poulet
02:32ils sont peut-être moins bons.
02:33Deux remarques par rapport à ça, d'abord c'était un rêve de très longtemps que d'accompagner
02:37des gens faire leurs courses pour transmettre, pour passer ce que je sais par ailleurs depuis
02:4235 ans que je m'intéresse aux commerçants et à la conso mais ce passage-là il ne peut
02:47pas se faire n'importe comment, bien évidemment que si la famille a prévu d'acheter un poulet
02:52La Belle Rouge, un poulet fermier des Landes, La Belle Rouge, je ne vais pas lui dire non
02:56non achetez un poulet industriel pas cher, à chaque fois et vous le verrez dans l'émission
03:00je suis resté dans ce qu'elle avait prévu d'acheter, c'est-à-dire que faire des économies
03:05en affamant une famille ce n'est pas difficile non plus, il suffit de couper, de diviser par
03:09deux tout ce qu'elle achète, elle fera des économies mais ils auront faim donc évidemment
03:12il y a quand même un peu de sérieux derrière tout ça alors je ne prétends pas tout savoir
03:16et tout connaître mais je pense qu'en nombre de magasins visités depuis que je suis sur
03:20terre je pense que je suis probablement champion du monde dans tous les cas au moins champion
03:25de France mais tout ça pour dire que ce que je vais donner comme conseil ce n'est pas
03:29à l'emporte-pièce, c'est évidemment ils avaient prévu d'acheter un poulet classique
03:34et je leur dis mais attendez regardez les cuisses de poulet et je leur explique pourquoi
03:38parce que dans le poulet les cuisses personne n'en veut, on veut tous du filet et comme
03:42un poulet par principe il y aura toujours de filet et de cuisse, si tout le monde veut
03:45du filet ça fait monter le prix du filet et mécaniquement ça fait baisser le prix
03:49des cuisses parce qu'il faut les écouler et donc c'est comme ça qu'on fait des écoulures.
03:52Donc c'est parce que si je n'ai pas d'argent je suis condamné à manger des cuisses ?
03:55Non, vous êtes condamné à vous intéresser aux morceaux qui n'intéressent pas les autres
03:59et si vous savez les cuisiner, moi je vis convenablement, j'adore m'acheter des cuisses
04:03de poulet à 2,90€ le kilo, vous les mettez 45 minutes au four, elles sont croustillantes
04:09comme dans une rôtisserie mais c'est un régal et je n'ai pas payé 2,90€ le kilo
04:14en me disant mon dieu qu'est-ce que je suis malheureux, non, j'ai fait une super affaire
04:18et en plus c'est bon, il ne s'agit pas d'affamer les gens ou de les rendre malheureux
04:21par l'alimentation, il s'agit de leur dire il y a peut-être mieux à faire que ce que
04:24vous faites.
04:25Est-ce que ce n'est pas une forme de tordre le coup aussi ces problèmes de questions
04:29de pouvoir d'achat, ça revient en permanence, il y a des chiffres qui viennent de sortir,
04:33les français sont à découvert au 16 du mois, enfin une grande majorité pour certains,
04:37de leur dire mais en même temps avec des petits revenus ou des petits salaires vous
04:41pouvez arriver à vous en sortir et à consommer, est-ce que ce n'est pas un appel à la consommation
04:44alors que justement finalement il y a des choses qu'on achète qui ne sont pas forcément
04:47essentielles ?
04:48C'est un appel à une meilleure consommation sans porter de jugement moral dessus parce
04:53que dès lors qu'on va sur le terrain de vous ne devriez pas acheter ça parce que
04:57ce n'est pas bien, parce que ça fait travailler, là on est dans une forme de moral, ce n'est
05:01pas dire que je n'ai pas de moral, pas du tout, c'est que moi je me refuse d'aller
05:05là parce qu'on est sur un jugement personnel qui viserait à convaincre les autres que
05:09sa vision de la consommation est la bonne et elle est supérieure, non j'essaye de
05:12leur dire et puis après chacun fait ce qu'il veut, vous voyez je reviens sur mon exemple
05:16du poulet, quand vous vous intéressez aux morceaux qui n'intéressent pas les autres
05:20ils seront moins chers donc vous allez faire une bonne affaire et après vous ferez ce
05:23que vous voudrez avec le reste de votre argent, je ne mangerai pas préalablement, et puis
05:27le supermarché vous savez c'est un endroit où on vend en moyenne 110 fois par an, ça
05:31c'est la moyenne France, alors il y a des écarts à la moyenne, 110 fois par an, on
05:34dépense en moyenne une famille, papa, maman et deux enfants, 5000 euros par an au supermarché,
05:40si à chaque fois que vous y allez, vous dépensez un tout petit peu moins sur quelque chose
05:44parce que vous êtes un peu plus malin, un peu plus éveillé, vous regardez un peu plus
05:47ce que vous achetez, vous passez un peu plus de temps, quand vous multipliez une économie
05:51fois 110, l'économie elle devient tout de suite très importante.
05:54– Ce qui m'a étonné dans l'émission, vous qui êtes le grand spécialiste et qui
05:58est peut-être l'image de nos auditeurs, en fait vous expliquez que les grandes surfaces
06:04et les grands hypermarchés ne font presque pas de marge, parce qu'à un moment dans
06:08l'émission, quelqu'un vous dit, il pourrait nous faire des promos, et vous nous dites
06:13ils ne font presque aucune marge, ce n'est pas du tout l'image qu'on en a.
06:16– Il ne s'agit pas de dire qu'ils sont philanthropes, ce n'est pas des philanthropes
06:20c'est des entreprises, donc évidemment elles sont là pour faire du profit, du bénéfice,
06:24la question est de savoir combien, et là les chiffres sont têtus, en moyenne un hypermarché
06:29ça gagne à peu près 2% de son chiffre d'affaires sous forme de bénéfice net, c'est-à-dire
06:35une fois qu'on a tout payé, parce qu'on raconte tout et n'importe quoi quand on vous
06:39dit ils ont margé à 30 à 40%, il faut payer le personnel que je sache, ils ne sont pas
06:42bénévoles, ceux qui y bossent, il faut payer l'électricité, il faut payer le loyer,
06:46et donc on mélange souvent ce qu'on appelle la marge brute, c'est ce qui sert à payer
06:50les charges d'un magasin, et le bénéfice c'est ce qui reste dans la poche de celui
06:53qui le possède, la moyenne elle est à 2%, alors effectivement ensuite il y a des gros
06:57écarts à la moyenne, le fruits et légumes, ils margent davantage, pourquoi ? Parce que
07:00le fruits et légumes c'est un produit qui dépérille, si le soir vos salades elles
07:03ne sont pas vendues, elles sont jetées, donc il faut que la marge des salades qui ont été
07:07vendues dans la journée puisse venir couvrir les salades qui seront éventuellement jetées,
07:12vous voyez ce que je veux dire, donc plus vous êtes sur des produits périssables,
07:15plus les marges elles sont élevées, il ne s'agit pas de dire qu'il n'y a pas des cas
07:17où les marges elles sont hautes, oui bien sûr qu'il y en a, moi je regarde la moyenne
07:20parce que je suis un peu rigoureux comme garçon, je suis cartésien, je fais des études
07:24agricoles, plein de bon sens, mais je ne regarde pas les choses par le petit bout de la lorgnette,
07:29en moyenne...
07:30Mais tu n'as pas le coup à nos industries ?
07:31Bien sûr que la négociation elle est super dure, et ça remonte jusqu'aux paysans qui
07:37subissent les conséquences de Sénégal, mais parce que les distributeurs eux-mêmes
07:41subissent les conséquences de nos comportements de consommateurs, dans quelle enseigne d'après
07:46vous allons-nous le plus en moyenne en France ?
07:48Action ?
07:49Le clair.
07:50Pourquoi ? Parce que c'est le moins cher, donc ça veut dire que nous...
07:53Quand il y a pas d'alimentation, c'est l'action.
07:54Un tout petit peu, mais en gros, il y a un lien de cause à effet aujourd'hui entre les
07:59enseignes qui sont les moins chères et les enseignes qui sont les plus performantes,
08:02ça veut dire que les consommateurs que nous sommes, on donne mandat aux enseignes d'aller
08:07négocier pour nous, puisqu'on favorise les enseignes les moins chères, si on était
08:11aussi peu orienté sur le prix, nous les consommateurs, on ne mettrait pas de pression sur les distributeurs
08:15qui en mettraient beaucoup moins sur les fournisseurs, c'est-à-dire que le point de départ de la
08:18pression dont in fine sont victimes, et comme je suis issu de cette filière-là, les agriculteurs,
08:24c'est bien nous les consommateurs qui la mettons, cette pression, on ne se trompe pas.
08:27Je consomme, donc je suis, c'est ce qu'on dit.
08:30Est-ce que...
08:31J'allais poser la question, parce qu'on a eu une discussion avec Christine en coulisses,
08:36on s'est dit qu'on allait vous poser la question, finalement nos cuisses de poulet, ce ne serait
08:40pas mieux d'aller au marché les acheter, boucher le boucher ? Est-ce que c'est moins
08:44cher ? Moi je pense que c'est plus cher et Christine pense que c'est moins cher.
08:47La difficulté qu'il y a à généraliser, c'est qu'on trouvera chacun le contre-exemple
08:52qui sert sa propre conviction.
08:53Donc si vous êtes convaincu qu'il vaut mieux aller au marché ou chez le boucher, allez-y.
08:58Si vous êtes convaincu qu'il vaut mieux aller dans la grande surface, allez-y aussi.
09:00La réalité ?
09:01Quand vous regardez ce que coûte un hypermarché qui écrase ses charges sur des milliers de
09:08tonnes tous les ans et ce que coûte un artisan, évidemment la comparaison elle est faussée,
09:13l'hypermarché sera toujours moins cher, alors on trouvera des exceptions, mais le
09:18boucher vous apportera autre chose, il vous apportera le fait que vous le connaissez,
09:21qu'il vous dit bonjour, plus cher que le supermarché humain, mais bien sûr, le principe
09:28d'un hypermarché c'est la masse pour diminuer les coûts par le volume qu'il vend, n'importe
09:34qui peut le comprendre, mais après il y a des moments où on ne veut pas le voir et
09:37c'est respectable parce qu'on vient chercher autre chose qu'un prix, on vient chercher
09:41le contact client, le conseil éventuellement.
09:43Est-ce que c'est vrai que pour un supermarché, la porte d'entrée des fruits et légumes
09:48et les bouteilles au fond du magasin, c'est les deux impératifs avec le rayon boucherie
09:52charcuterie ?
09:53C'est les rayons qui justifient le fait que vous veniez le plus souvent possible.
09:56Si je vous mets à l'entrée des paquets de biscuits qui se conservent trois mois dans
10:00votre étagère, ça ne va pas vous donner envie de revenir.
10:02Si je vous mets des belles salades dont vous savez que vous n'allez pas en prendre pour
10:05une semaine parce qu'elle sera défraîchie dans votre frigo, vous allez avoir envie de
10:08revenir le lendemain matin.
10:09Les produits frais, plus généralement, c'est ça qui donne envie de venir et de revenir.
10:13C'est d'ailleurs ça qui forge l'image d'un magasin.
10:16Et les magasins qui marchent le mieux, c'est les magasins qui ont des rayons fruits et
10:19légumes dignes d'un marché ou un rayon boucherie dignes d'un état de spécialiste
10:23parce que ça donne envie.
10:24C'est ce que j'appelle moi, de manière un peu familière, des temples de la bouffe.
10:26Quand vous êtes dans un supermarché bien tenu, vous regrettez presque de ne faire que
10:31trois repas par jour.
10:32Comme quand vous êtes dans un restaurant, ça a dû vous arriver, vous avez une liste
10:35de plats et vous vous dites « j'en mangerais bien deux ou trois ».
10:37Et puis vous savez bien que de toute façon, vous n'allez en manger qu'un parce que
10:39ce n'est pas possible.
10:40Et donc, ça vous fait tellement envie que vous avez envie de tout essayer.
10:43Et bien, un supermarché, dès lors qu'il est capable de générer cette envie-là,
10:47d'acheter tellement c'est beau, c'est bon, ça donne envie, il a gagné le match.
10:51Et ils ne sont pas tous à ce niveau-là.
10:52– Moi, je suis assez admiratif de M6 de faire une telle émission parce que M6 a des annonceurs.
10:57Est-ce que vous avez conscience que vous avez une chance de faire cette émission-là ?
11:02Mais est-ce que vous avez eu à l'inverse des choses contre...
11:05en disant « ça, c'est un annonceur important pour nous » ?
11:07– Deux remarques par rapport à ça.
11:08Je suis un éditeur dans ma vie professionnelle par ailleurs,
11:11puisque j'ai une entreprise d'édition spécialisée.
11:13– Vous êtes dans un site web, à votre nom ?
11:15– Bien sûr, la frontière entre pub et rédaction, je la connais par cœur
11:17depuis 35 ans que je suis dans la presse pro.
11:19Je dois dire, et en vous regardant dans les yeux, ça fait trois ans que je suis
11:22dans le groupe RTL M6 où je parle conso matin, midi et soir.
11:26Je caricature un peu.
11:27Je n'ai jamais, mais alors vraiment, jamais eu la moindre pression, le moindre écho,
11:32la moindre remarque sur des marques que je citerai ou que je ne citerai pas.
11:36Parce que des fois, on peut vous reprocher de ne pas citer quelqu'un.
11:39Alors franchement, je vous regarde, mais jamais.
11:41Et dans la presse pro, je peux vous dire, qui est celle de ma famille d'origine,
11:45la frontière, elle est parfois beaucoup plus perméable qu'elle ne l'est,
11:48pour le coup, sur une grande chaîne, avec des grands annonceurs.
11:50Et je l'imagine, parce que je ne suis pas à la régie,
11:53des sommes en jeu faramineuses.
11:54Mais quand on est à peu près sérieux sur ce qu'on raconte,
11:56on ne vient pas vous expliquer ce qu'il veut dire.
11:58– Juste une dernière question rapide.
11:59– Johnny va nous taper sur les doigts.
12:00– Julien Courbet, il est sympa.
12:02– Oui, il est sympa, mais est-ce qu'il consomme, est-ce qu'il suit vos conseils ?
12:06– Oui, je lui ai fait goûter le délice végétal de chez Picard,
12:09qui est un ersatz de foie gras, comme il est très sensible à la cause animale.
12:14Il a adoré ça, et je pense pouvoir dire que je lui ai fait déguster quelque chose.
12:17– Il a trouvé que ça avait le goût de foie gras ?
12:19– Ça lui plaît, c'est l'essentiel.
12:20– Mais est-ce que c'est le goût de foie gras ?
12:21– Attention à tout jugement moralisateur, ce que vous aimez
12:24n'est pas destiné à être aimé par tous.
12:26Il faut être très distancié par rapport à ça.
12:28– Alors, économiser plus pour gagner plus, pour regarder ce soir.
12:32– Oui, ça nous arrange bien, c'est super.
12:34– Et j'ai envie de dire, les jeunes générations qui ont tout dématérialisé,
12:37qui ne savent plus vraiment, en tous les cas qui ont une utilisation
12:40de leur budget parfois un peu complexe, puisque tout c'est sur téléphone,
12:44on ne se rend pas forcément compte de comment ça se passe.
12:48Regardez bien, économiser plus, gagner plus,
12:50mais c'est l'émission « À quel prix ? » ce soir 21h10 sur M6.
12:53Merci Olivier Devers.
12:54– Merci, je vous en prie.
12:55– Merci beaucoup Gilles, je vous dis à demain.
12:56Demain, on va parler de l'IA et de nature, on recevra Yann Arthus-Bertrand.
13:00– Absolument, absolument, maintenant on va s'arrêter un petit instant
13:04et on va tenter de se mettre d'accord, à tout de suite.